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Ciel Voilé

La 5G revue et corrigée par France-Info

17 Juillet 2020, 13:24pm

La 5G revue et corrigée par France-Info
On a passé au crible les affirmations d'Extinction Rebellion et Zéro Déchet sur les conséquences de la 5G

Les opposants à la 5G avancent de nombreux arguments contre cette téléphonie mobile de cinquième génération, mais tous ne sont pas exacts. (BAPTISTE BOYER / FRANCEINFO)

Par Benoît Zagdoun, Linh-Lan Dao – France Télévisions

Mis à jour le 17/07/2020 | 13:39 – publié le 17/07/2020 | 07:01

Les antennes strasbourgeoises des deux associations ont signé une infographie critique à l'égard de la 5G. Elles l'ont dépubliée après avoir constaté qu'elle contenait des erreurs et des approximations. Mais celle-ci a continué de circuler sur les réseaux sociaux.

Elles voulaient dévoiler "la face cachée" de la 5G. Les antennes strasbourgeoises des associations Zéro Déchet et Extinction Rebellion ont réalisé, fin juin, une infographie listant une série d'arguments contre le déploiement de la téléphonie mobile de cinquième génération. Ce visuel comporte toutefois des erreurs et approximations.


 

"Il n'y avait aucune volonté de désinformer", se défend, contrit, Simon Baumert, cofondateur de Zéro Déchet Strasbourg, qui promet de "mettre en place un processus de vérification interne", afin de s'assurer de l'exactitude du travail fourni par les bénévoles. "Nous tenons à être fiables et à pouvoir appuyer ce que nous avançons sur des sources rigoureuses", abonde Extinction Rebellion Strasbourg, qui confirme "la création d'une équipe spécifique chargée du recoupement des sources". Les associations ont supprimé l'image, mais elle a continué de circuler sur les réseaux sociaux. Franceinfo démêle le vrai du faux.

"Une antenne toutes les dix à douze maisons" : exagéré

En France, la 5G va être lancée sur la bande de fréquences des 3,5 GHz (entre  3,4 et 3,8 GHz), qui permet d'obtenir un débit plus élevé que celles des 700 MHz à 2,6 GHz servant aujourd'hui pour la 4G. Or, "plus on monte en fréquence plus la portée diminue", explique Hugues Ferrebœuf, directeur du Shift Project, un groupe de réflexion sur la transition énergétique. Les antennes 5G ont une portée plus courte que les antennes 4G. Logiquement, "on va devoir ajouter des équipements pour avoir une couverture équivalente." 

Le cabinet Tactis, qui conseille des collectivités dans l'aménagement numérique de leur territoire, anticipe donc la nécessité d'une "densification massive des réseaux". Selon ses estimations, il faudra construire deux à trois fois plus de pylônes pour atteindre une couverture similaire en zone rurale. En zone péri-urbaine, il sera nécessaire d'implanter 30% de sites supplémentaires. 

En plus de cette bande des 3,5 GHz, les opérateurs comptent dans un second temps utiliser une deuxième bande de fréquences, celle des 26 GHz, afin de proposer un très haut débit. Or, "ces ondes pénètrent très mal les parois vitrées, pointe Gauthier Roussilhe, designer et chercheur, qui étudie l'impact environnemental du numérique. Un obstacle de taille en ville. "Selon les sources, le nombre d'antennes pourrait être multiplié par quatre ou vingt, en zone urbaine dense", explique l'expert. Il faudra donc "des centaines voire des milliers d'antennes". Hugues Ferrebœuf juge cependant "très pessimiste" cette hypothèse d'une antenne tous les 50 à 100 mètres. "Parfois, ce sera tous les 100 mètres, parfois tous les 300 mètres", envisage pour sa part Gauthier Roussilhe. 

D'où vient cette fourchette d'une antenne toutes les dix à douze maisons ? Des Etats-Unis, répond Gilles Brégant, directeur général de l'Agence nationale des fréquences (ANFR). "Outre-Atlantique, la bande des 3,5 GHz était encombrée, notamment par des services de sécurité difficiles à déblayer. Pour aller plus vite, les Américains ont attaqué directement par la bande du haut. Chez eux, ça a été la 28 GHz", résume-t-il. Pour déployer la 5G rapidement, "une méthode expéditive" a été employée. De petites antennes, les "small cells", ressemblant à des alarmes incendies ou des alarmes de magasin, ont proliféré. En France, "on ne va pas installer une antenne 5G toutes les dix maisons, ça n'a pas de sens", tranche le patron de l'ANFR.

 

 

 

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Vaxxed 2 : de la dissimulation à la fraude

17 Juillet 2020, 11:34am

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5G: 6 arguments pour un moratoire stratégique

17 Juillet 2020, 09:55am

5G: 6 arguments pour un moratoire stratégique

 

 Peut-on avoir un débat stratégique sur la 5G ou doit-on se contenter des a priori pour ou contre ? La partie est-elle déjà jouée ou les États européens et leurs citoyens ont-ils une possibilité de recouvrer leur souveraineté dans cette affaire ? 6 arguments devraient être débattus séparément et à égalité d’importance: la santé, l'environnement, la souveraineté, les territoires, l'utilité sociale, la sécurité. Tout débat qui éviterait l’une de ces questions serait détourné des vrais enjeux et de l’exploration des possibles qui sont tellement plus nombreux que la dépendance de sentier que l’on veut encore renforcer.


1/ La santé

C’est l’argument principal des opposants. Argument aussitôt rejeté par les partisans puisque « les autres pays l’ont bien lancée ». Mais on peine à trouver les études convaincantes sur le sujet et d’autres pays comme la Suisse et la Belgique ont mis leur processus de lancement en pause pour traiter la question. Les fréquences utilisées sont connues et n’ont jamais provoquées aucun problème, nous dit-on. Sauf que les usages et la densité de couverture n’avait rien à voir. Il faut donc faire des études correctes et cela non seulement en calquant sur les antennes de la 4G puisque la 5G demandera beaucoup plus d’antennes de plus courte portée, certes de plus faible puissance, donc avec de nouveaux paramètres.

N’oublions pas non plus de tester la potentialisation des effets entre ondes électromagnétiques, les effets cocktails, comme on devrait le faire pour les médicaments ou pour les substances chimiques, ce qui est compliqué certes mais nécessaire pour avoir une idée des effets en environnement réaliste ( et on en labo). On ne teste pas une antenne mais la combinaison avec un environnement déjà saturé d’ondes. De même pour le WiFi d’ailleurs, dont les constructeurs ne mesurent les box que émetteur par émetteur et non avec tous les émetteurs de la box activés ensemble, sans parler des autres équipements domestiques ou professionnels.

Nous construisons l’infrastructure du XXIeme siècle nous disent certains pour promouvoir la technologie. Si c’est le cas, cela vaut donc le coup de prendre le temps de faire tous les tests. Mais aussitôt, ce que j’appelle depuis plus de 30 ans « la tyrannie du retard » s’impose à tous : « nous n’avons pas le temps, sinon les autres pays et firmes prendront tout le marché ».

Voilà comment nous avons cédé aux lobbies automobiles, nucléaires ou chimiques pour arriver à ces conséquences que l’on ne peut plus traiter, en laissant faire une dérive systémique. Petite lâcheté après petite lâcheté, avec beaucoup de bonne conscience et pour le bien de tous et surtout de l’industrie, nous avons été incapables de mettre en place une « seconde modernisation », comme l’appelle Ulrich Beck, qui soit capable de penser les conséquences de ses décisions.

Pour la 5G, il n’existe pas de nécessité sociale immédiate mais au contraire un impératif de santé et d’environnement qui est celui du développement contrôlé de la technologie réseau du XXIeme siècle ( dont la 5G n’est qu’un maillon). On ne peut pas jouer avec la santé des consommateurs sous prétexte de business à court terme comme on l’a fait avec l’amiante, le tabac, les pesticide ou les particules du diesel.

Pour la santé, il faut donc : expertises indépendantes, tests en environnements réalistes qui débouchent sur un cahier des charges précis et contraignant, et cela avant d’attribuer les fréquences pour que les opérateurs sachent à quoi s’en tenir.


2/ L’environnement

La consommation d’énergie de la 5G ne peut pas être passée sous silence au moment où tout le secteur du numérique se révèle en croissance permanente, adoptant  parfois des technologies aberrantes en matière d’énergie (blockchain à base de proof of work par exemple). De même pour la consommation de matières rares qui ne représente aucun avenir durable mais que l’on poursuit sans vergogne.

Les équipementiers annoncent tous des performances supérieures à la 4G en efficacité énergétique et on voudrait bien les croire. Mais c’est toute la chaine de production qui devrait être auditée sur ce plan, y compris les serveurs et les terminaux. Et cela supposera de prendre en compte l’incitation à la consommation de bande passante et donc les contenus que l’on pousse toujours en plus haut débit, même lorsqu’on pourrait s’en passer, et qui sont fondés sur une captation de notre attention pour engendrer une surconsommation constante.  

 

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Mascarade de protection

17 Juillet 2020, 09:36am

1- Février 2020- 2 - Masques obligatoires dans les lieux publics fermés à partir du 20 juillet - 3 Mode d'emploi en français ci-dessous
1- Février 2020- 2 - Masques obligatoires dans les lieux publics fermés à partir du 20 juillet - 3 Mode d'emploi en français ci-dessous
1- Février 2020- 2 - Masques obligatoires dans les lieux publics fermés à partir du 20 juillet - 3 Mode d'emploi en français ci-dessous

1- Février 2020- 2 - Masques obligatoires dans les lieux publics fermés à partir du 20 juillet - 3 Mode d'emploi en français ci-dessous

Mode d'emploi en français : Ce produit est un masque d'oreille. Ce produit n'est pas un respirateur et ne fournira aucune protection contre le Covid-19 (coronavirus) ou d'autres virus ou contaminants.

Le port d'un masque d'oreille ne réduit pas le risque de contracter une maladie ou une infection. L'utilisateur est seul responsable de la sélection de l'équipement personnel approprié pour le réglage et l'application. Changer immédiatement en cas de contamination.

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Le masque sanitaire comme rituel de soumission

17 Juillet 2020, 09:23am

Le masque sanitaire comme rituel de soumission

Coronavirus et manipulation politico-sociale : le masque comme rite de passage vers un Nouvel Ordre Mondial…

Publié le 15 juillet 2020 par Olivier Demeulenaere

« En ce 14 juillet 2020, Macronus 1er vient de rendre obligatoires les masques dans les lieux publics clos devant une crainte d’une “seconde vague” du virus qui ne viendra pas, mais surtout comme mesure d’imposition d’une nouvelle “norme” sociale de la paranoïa et du contrôle organisés.

Toute cette affaire du SRAS-CoV-2 ou “nouveau coronavirus”, organisme génétiquement créé en premier lieu, dans un laboratoire de l’université de Caroline du Nord, avant sa militarisation dans les labos secrets du Pentagone et son largage à Wuhan par une fausse équipe sportive militaire yankee “participant” aux jeux inter-armées en octobre 2019, emprunte pas à pas tous les méandres d’une vaste opération planétaire d’ingénierie sociale pour la transformation de nos sociétés en quelque chose de bien plus contrôlable à souhait, toujours sous le coup du thermostat de la tension dont le curseur est monté et descendu le long de sa coulisse, faisant passer le statut psychologique collectif de “crainte” à “peur” jusqu’à “terreur” et “panique” selon les besoins oligarchiques du moment.

A ce titre, une menace invisible, virale,  aux effets gonflées à dessein par des gouvernements et des merdias complices, est bien plus efficace qu’une menace terroriste. Plus personne en effet ne croit qu’un islamiste se planque sous son lit, le mousseux est éventé, place donc au nouveau croquemitaine : le bien antipathique et terrifiant Bébert Corona alias COVID19 !

L’oligarchie eugéniste, malade de toujours plus de contrôle, mène nos sociétés vers une société de la grille de contrôle mondialisée, vers une nouvelle société de la dictature technotronique qui verra l’IA, les drones, l’internet des choses via la 5 puis la 6G, le nano-puçage, et le contrôle “sanitaire” paranoïaque total, contrôler à outrance nos vies quotidiennes à l’échelle planétaire. Les ordures aux manettes sont en train de nous faire passer d’une vieille société épuisée à un nouvel ordre mondial de la domination technotronique et elles veulent le faire avec notre “consentement” sanitaire. A ce titre, nous sommes contraints de nous soumettre à un rite de passage de l’une à l’autre des sociétés et comme tout rite de passage ancestral, ceci comprend ses propres stigmates, comme par exemple… le port du masque sanitaire.

Ainsi dans une 1ère phase, le masque est présenté comme inutile et même dangereux pour la santé, ce que soutient la science, car il n’est pas sain de porter un masque de la sorte des heures par jour. Puis on entre dans la 2ème phase où le masque est présenté comme le symbole de la survie, barrière ultime pour un nouveau virus qui ne fait pas plus de mort que la grippe saisonnière, même en gonflant les chiffres et râclant les fonds de tiroirs des morgues hospitalières. Il est avéré aujourd’hui que le taux de mortalité du CoV19, hors facteurs de co-mortalité, est de l’ordre de 0,45%, celui de la grippe saisonnière étant de 0,35%.

 

 

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Deuxième vague ? Pensez micro-ondes

16 Juillet 2020, 21:00pm

Deuxième vague ? Pensez micro-ondes


Julian Rose - 15 juillet 2020

"Entre 1949 et 1962, tout ce que nous devions savoir sur les micro-ondes était déjà connu. En 1952, toutes les interférences de la condition humaine étaient connues. Toutes les anomalies congénitales, les organes, les cellules, les fonctions cérébrales et les humeurs pouvaient être saisies, modifiées et détruites. Les micro-ondes étaient alors, comme aujourd'hui, utilisées comme des armes furtives, avant qu'elles ne deviennent des téléphones portables".


Ce sont les mots de Barrie Trower, ancien expert en armes à micro-ondes de la Royal Navy, prononcés à l'université d'Exeter en février 2020. Je le citerai à nouveau plus tard.


Une "arme furtive" émet des flèches empoisonnées invisibles et, comme nous l'explique Barrie Trower, des flèches qui modifient, mutilent et tuent. Un tel outil, entre les mains de milliards d'êtres humains, a la capacité d'atteindre ses objectifs grâce à une forme de furtivité très astucieuse, car contrairement à l'intoxication alimentaire, aux polluants matériels ou aux balles, elle ne laisse que très peu de traces dans le corps de ceux qui ae reçoivent.


En fait, tout comme le four à micro-ondes, il cuit la matière vivante de l'intérieur vers l'extérieur plutôt que de l'extérieur comme le fait la cuisson normale. Cela rend la nourriture toxique pour l'intestin humain.


Maintenant, ce que nous avons appris des médecins et des scientifiques les plus instruits et les plus attentifs à l'examen des symptômes du Covid-19, c'est qu'un virus (Covid-19 a été appelé "un virus") attaqué se comporte de la même manière. Dans son effort pour se purifier des agents pathogènes agressifs, il libère ce que l'on appelle des "exosomes", une sorte de mucus comme un fluide qui empoisonne l'envahisseur.


Ces mêmes médecins affirment qu'un virus ne peut pas "passer" d'une personne ou d'un animal à l'autre. Seule une forme de pathogène peut le faire. Après la tristement célèbre épidémie de grippe espagnole qui a tué des millions d'Européens en 1918, des efforts ont été faits pour isoler l'agent pathogène. La profession médicale a largement admis que le véhicule devait être quelque chose qui passe librement entre les humains. Ils ont donc fait en sorte que les personnes infectées éternuent au visage des personnes non infectées et que la salive des animaux infectés soit transmise aux animaux non infectés.


Le résultat a été un choc : aucune des personnes ou des animaux non infectés n'a développé la grippe ni présenté de symptômes associés à celle-ci. Des milliers de personnes ont participé à cette recherche.


La grippe espagnole a été étiquetée comme une forme de coronavirus, mais contrairement à ses cousins Corona qui sont responsables des cycles classiques de la grippe hivernale, elle ne pouvait pas infecter par l'intermédiaire de contacts humains ou de proximité. Un facteur de "furtivité" invisible semble avoir joué un rôle clé dans la maladie respiratoire et fébrile qui a entraîné la mort de tant de personnes en 1918.


Mais il y a quelque chose qui correspond à cette description et qui a été déclenché dans le monde à cette époque et qui est décrit comme "un saut quantique dans l'électrification". Rudolf Steiner a déclaré qu'après cet événement, "il est devenu beaucoup plus difficile d'être humain".


D'autres poussées de maladies virales ont eu lieu lors de l'introduction des radars militaires pendant la Seconde Guerre mondiale. Et maintenant, nous arrivons à une autre expansion de masse critique des technologies de rayonnement micro-ondes : le lancement dans l'espace d'un nombre toujours croissant de satellites 5G émettant des micro-ondes c/o le mégalomane multimilliardaire Elon Musk.


L'expansion au sol des émetteurs 5G sera éclipsée par l'ampleur même des rêves fous (et de nos cauchemars) de Musk. Déjà plus de quatre cents satellites 5G irradiants provoquent des niveaux élevés de perturbation de l'ionosphère où ils sont placés en orbite.


L'ionosphère, comme l'explique Arthur Firstenberg, auteur de The Invisible Rainbow, est le point source du circuit électrique qui alimente toute vie sur Terre avec son énergie dynamique cyclique. Il s'agit d'un mécanisme très délicat, et le fait de le zapper avec un rayonnement étranger modulé a la capacité de déstabiliser complètement les échelles d'énergie harmonique naturelle qui circulent de l'ionosphère vers la Terre, puis, par le biais des orages, de revenir à leur point de départ dans l'ionosphère.


Le meurtrier, M. Musk, veut faire entrer vingt mille de ces armes dans l'ionosphère au cours des deux ou trois prochaines années "afin que chaque centimètre carré de la Terre puisse être couvert". Ne tournons pas autour du pot, il s'agit d'une opération de surveillance centrale et d'un catalyseur de la disparition de la vie sur Terre, combinés.


Nous sommes maintenant dans les mois d'été de 2020. L'arnaque du CV-19, lancée au début de l'année, a entraîné une vague de tromperies, de mensonges et de confusion comme aucun autre événement n'en a jamais connu. Au milieu de la cacophonie de la publicité, des fausses statistiques, des masques futiles et de la distanciation sociale insensée, quelque 0,26% de la population mondiale serait morte du Covid-19.


Ces chiffres correspondent presque parfaitement aux décès annuels normaux liés à la grippe hivernale. Les personnes dont la vie a été sauvée ont souffert d'un virus dont la présence n'a jamais été scientifiquement prouvée.


La cause de la maladie de ces personnes n'a jamais été identifiée ou isolée. C'est pourquoi le "vaccin" prévu ne fera pas ce qu'il sera décrit comme faisant. Il ne protégera pas, mais il rendra tous les récepteurs plus sensibles à toutes les maladies.
 

Cela nous amène donc à la carte suivante dans le paquet de cartes de la série Corona : la deuxième vague. Si le système de contrôle central doit empêcher le facteur de peur Covid de s'affaiblir - et il s'affaiblit en ce moment -, il doit faire en sorte que la "deuxième vague" soit présente à l'esprit de tous en un minimum de temps.

 

Un public de plus en plus sceptique va avoir besoin de preuves plus solides que celles de la "première vague" pour prouver qu'il se passe quelque chose de grave. Les autorités le savent, et elles savent qu'elles disposent de l'arme furtive qui constitue le parfait rempart contre une deuxième vague de maladie inexplicable. Assez d'alarme pour que l'emprisonnement à domicile, ou quelque chose de similaire, soit à nouveau à l'ordre du jour.


Quelque chose qui permette aux agents de contrôle de garder un contrôle serré sur les modèles de comportement des foules, maintenant ainsi l'élan vers le système de contrôle planétaire du Nouvel Ordre Mondial cybernétique qui est l'ambition ultime des auteurs cachés derrière cette grande tromperie.


Revenons à Barrie Trower


"En 1965, j'avais déjà un téléphone portable militaire. Il était considéré comme un marché potentiellement très lucratif pour le public. La plupart des pays ont reconnu qu'en raison des dangers encourus, les téléphones portables ne seraient pas autorisés et qu'ils devraient donc adopter le test Schwan 1953 de "six minutes de chauffage seulement". Ce test est toujours en cours d'essai par l'INCIRP aujourd'hui. Il s'agit d'un test totalement inapproprié pour les formes de rayonnement non ionisant à long terme et précise que "si le corps n'est pas chauffé dans les six minutes d'utilisation d'un téléphone portable, il est parfaitement sûr".


Trower poursuit : "Le 5G est apparu pour la première fois en 1972. En 1971, des documents américains top secrets ont prouvé que le cancer était causé par des radiations micro-ondes de faible intensité et en 1973, l'Organisation mondiale de la santé a organisé une conférence à Varsovie. Le document de 350 pages qui a résulté de cet événement a documenté les transmissions par micro-ondes comme étant directement liées au cancer chez les gens ordinaires. Le document a été estampillé "Top Secret" et n'a jamais été publié".


Aujourd'hui, le secret demeure. Il est maintenant "top secret" que la 5G (et peut-être même la 4G+) est un agent causal important dans la maladie respiratoire étiquetée Covid-19. Des preuves scientifiques sont apparues montrant que la 5G aspire l'oxygène de l'air ainsi que les corpuscules du sang. Des articles en ligne reliant la 5G au Coronavirus sont presque instantanément mis sur une liste noire.


La prochaine "grande pandémie", si nous sommes suffisamment nombreux à ne pas nous exprimer pour éviter qu'elle ne se propage à la société, sera une attaque du satellite 5G contre toute vie sur Terre. Mais cette attaque sera intitulée "La deuxième vague de coronavirus". Personne n'admettra que "les micro-ondes" sont "la deuxième vague". Une deuxième vague de 5G.


Ne courez pas vous cacher, ce ne sera pas possible de toute façon. Sortez de votre condition de victime des micro-ondes. Cessez de soutenir l'industrie de l'armement et donnez au monde la chance de vivre et de respirer, et non de subir une lente asphyxie sous une couverture de radiations mortelles.


Julian Rose est un des premiers pionniers de l'agriculture biologique au Royaume-Uni, écrivain, activiste international, entrepreneur et enseignant. Son dernier livre "Overcoming the Robotic Mind - Why Humanity Must Come Through" est une lecture particulièrement perspicace pour cette époque : voir www.julianrose.info


 

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Démantèlement d'Encrochat

15 Juillet 2020, 06:11am

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Non aux OGM dans les forêts !

14 Juillet 2020, 21:19pm

Non aux OGM dans les forêts !

L’industrie des OGM travaille sur un plan perfide pour rendre acceptable sa technologie controversée aux États-Unis et au Canada : faire passer les arbres transgéniques pour un moyen de sauver certaines espèces et forêts menacées. Nous devons contrecarrer ce plan : non aux OGM dans les écosystèmes complexes des forêts !

Appel

Au Département de l'agriculture (USDA) et au Service d'inspection sanitaire des animaux et des plantes (APHIS) des États-Unis

“Le risque pris en laissant planter des châtaigniers transgéniques dans les forêts d’Amérique est incalculable. Merci de ne jamais l’autoriser.”

Afficher la lettre de pétition

Tel est le story telling de l’industrie des OGM :

Le châtaignier d’Amérique, autrefois très répandu, a presque totalement disparu à cause d’un champignon venu d’Asie. Aujourd’hui ne restent que quelques spécimens adultes dans les forêts de l’Est des États-Unis et du Sud-Est du Canada. Des chercheurs ont donc modifié le matériel génétique du châtaignier de manière à ce que l’espèce d’arbre soit résistante à l’acide oxalique produit par le champignon. Dès que possible, ils espèrent planter dans les forêts des arbres OGM issus de leur laboratoire, afin qu’ils se dispersent dans la nature. Le châtaignier d’Amérique retrouverait alors son habitat et le génie génétique serait déclaré sauveur de la forêt…

En réalité, ce plan est dangereux car personne ne peut prévoir les conséquences irréversibles d’une telle expérimentation. Les forêts sont des communautés biologiques extrêmement complexes. Il n’existe pas d’études à long terme sur la manière dont les arbres transgéniques interagissent avec les divers écosystèmes, insectes, oiseaux et autres animaux sauvages.

Le prétendu sauvetage du châtaignier d’Amérique pourrait ainsi contribuer au déclin d’autres espèces.

Le véritable objectif de ce plan est de faire rompre un barrage et franchir les étapes du processus réglementaire pour planter un arbre transgénique dans la nature. Il ne s’agit pas de la noble protection d’un arbre mythique, mais de servir les intérêts économiques de l’industrie de la pâte à papier ou des granulés de bois.

Le génie génétique ne protège pas les forêts et la haute technologie est une approche totalement erronée. La crise du COVID-19 nous enseigne d’une manière brutale les conséquences de notre mépris des limites de la nature.

Au lieu de bricoler le matériel génétique des arbres, nous devrions préserver l’environnement.

 

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Mouvement du système solaire

14 Juillet 2020, 21:12pm

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Victoire des défenseurs de l'eau à Roybon

14 Juillet 2020, 21:07pm

Victoire des défenseurs de l'eau à Roybon

« D’abord ils vous ignorent, puis ils se moquent de vous, ensuite ils vous combattent, et à la fin vous gagnez » (Gandhi)

La presse a fait un large écho à l’annonce par G Brémond, le Pdg de P&V, de l’abandon de son projet d’implantation d’un Center-Parcs dans les Chambaran. Il s’en est expliqué notamment dans une interview publiée par « Les Echos », le 8 juillet dernier.


C’est bien sûr une victoire pour nos adhérents et sympathisants, qui nous conforte dans la stratégie menée pendant plus de 10 ans face à un groupe qui a fait de l’immobilier de loisirs son cheval de bataille, et qui renonce à un projet à 390 M€, après avoir épuisé tous les recours possibles, et tenté de discréditer notre association et l’ensemble des opposants au projet.

Dans ses déclarations à la presse, Monsieur Brémond, après avoir rappelé son « engagement en faveur d’un tourisme responsable et durable », invoque pêle-mêle des « changements de réglementation, les (trop) nombreuses autorisations administratives concernant le défrichement, le permis de construire, la préservation des espèces, la lenteur de la justice, les zadistes… ». Pour ce qui est de la lenteur de la justice, Monsieur Brémond oublie tout simplement qu’il a déposé tardivement le dossier central « loi sur l’eau » en 2014, au moment où la commission d’enquête émettait un avis défavorable sur l’ensemble du projet. Il passe également sous silence les nombreux recours que ses avocats ont initiés aux fins de minimiser les surfaces de zones humides menacées directement par le projet, jusqu’à solliciter en dernier lieu l’arbitrage du conseil d’Etat qui l’a désavoué. L’abandon du projet de Roybon est donc avant tout dicté par des considérations pratiques, à savoir une situation juridique et une impasse économique intenables plus longtemps par le groupe.

C’est aussi un démenti cinglant et une leçon de modestie imposés aux élus de tout bord qui ont, au départ, « vendu » le projet à la population locale en lui faisant miroiter des retombées économiques conséquentes, tout en se gardant bien d’en mentionner le coût environnemental exorbitant. Les subventions et les contrats de prise en charge des coûts « indirects » signés à la va vite par les collectivités régionales n’auront pas suffi pour neutraliser l’opposition à un saccage programmé.


Pour autant, le terrain appartient toujours à P&V, ce qui doit nous amener à rester vigilants sur les intentions de son propriétaire. PCSCP restera donc mobilisé tant que les quelque 200 Ha du projet n’auront pas été sécurisés (et remis en état après défrichement) au regard de la loi sur l’eau.  Il en ira de même en cas de menace environnementale sur les Chambaran en général, et le bois des Avenières en particulier, qui, encore une fois, constituent une zone stratégique pour l’eau et la biodiversité.

L’interview de Gérard Brémond le jeudi 9 juillet sur France-Inter au journal de 13 :00 est un concentré de contre-vérités et de mensonges sur les raisons réelles de son abandon du projet. Il n’hésite pas, en effet, à accuser de tous les maux les zadistes, et s’embrouille dans le dossier juridique en confondant permis de construire et « loi sur l’eau » ! Il désarçonne ensuite le journaliste qui l’interroge sur les conséquences de cette mauvaise nouvelle pour P&V, en répondant qu’au contraire le groupe développe partout en France et en Europe des projets dans la plus parfaite harmonie avec les collectivités et les populations locales ! Entretemps, il a pu replacer ce gros mensonge plusieurs fois dénoncé par PCSCP concernant le chômage dans le canton de Roybon, qui n’est, selon l’INSEE pas supérieur à la moyenne enregistrée sur l’ensemble du territoire national.

On n’en est plus à un mensonge près. Mais il ne suffit pas de verdir ses déclarations pour accéder au statut d’écologiste et de défenseur de l’environnement.


Nous reviendrons prochainement sur les déclarations faites par certains élus locaux à la presse, au lendemain de l’annonce de l’abandon de P&V.

Quelques mots sur le rejet de la QPC et ses conséquences.

Le 18 juin dernier, le Conseil d’Etat rendait publique sa décision de rejet de la « Question Prioritaire de Constitutionnalité » (QPC) déposée en début d’année par la SNC Roybon Cottages, le porteur du projet de center Parcs à Roybon. Cette procédure visait à contester le rétablissement(1), par le législateur (loi du 24 juillet 2019), des critères alternatifs de caractérisation des zones humides, moins favorables aux promoteurs du projet, en raison de la nature particulière des sols et de la flore sur le site et aux alentours. Il s’agissait évidemment d’une bonne nouvelle pour PCSCP et pour tous les opposants à l’implantation d’un complexe immobilier et de loisir dans les Chambarans.

Au plan juridique, c’est donc la cour d’appel de Lyon qui devait reprendre l’instruction du dossier, interrompue par la QPC, sur la base de la dernière décision en date du 21 mai 2019, par laquelle les juges demandaient que soit désigné un collège de trois experts pour inventorier les surfaces concernées et établir leur fonctionnalité(2).

Rappelons que le mécanisme des compensations pour les zones humides détruites constitue le dernier volet du principe réglementaire « Eviter, Réduire, Compenser » (ERC) qui s’applique de droit à tout projet ayant un impact environnemental.

A ce stade, les juges de la Cour d’appel pouvaient en effet, soit :
    • Confirmer leur demande d’expertise du 21 mai 2019
    • Considérer qu’une expertise n’est pas nécessaire, au vu des dispositions de la loi précitée, en rendant pertinente l’obligation antérieure, pour SNC Roybon, d’avoir à compenser 76 Ha(3) dans le respect des contraintes imposées par la réglementation en vigueur.

L’annonce de l’abandon de P&V signifie donc la fin de la procédure, sous réserve du désistement effectif du groupe auprès de la cour d’appel.


La problématique de l’eau


En filigrane, ce dossier trouve un écho de plus en plus fort lorsqu’il est replacé dans la thématique du réchauffement climatique et de la raréfaction de la ressource AEP (alimentation en eau potable). Il suffit, pour s’en convaincre, de consulter le recueil des actes de la préfecture de l’Isère, qui répertorie les alertes sécheresse. La dernière en date, du 24 juin 2020, porte sur la gestion des quatre vallées et les eaux superficielles de la Galaure et de la Drôme des Collines. Y figure, entre autre, la commune de … Roybon. A cet égard, Il devenait de moins en moins facile, pour Pierre&Vacances, de justifier un projet de parc de loisir axé sur la consommation démesurée d’une ressource rare et précieuse, au prix d’une destruction irréversible d’un environnement exceptionnel.


Nous tenons enfin à remercier chaleureusement les adhérent.e.s et sympathisant.e.s qui, tout au long de ces 10 années nous ont soutenus et encouragés. Cette victoire, c’est aussi la leur et ils peuvent la revendiquer avec fierté.

PS : suite au report du salon bio de l’Albenc, nous nous efforçons de trouver un autre rendez-vous pour accueillir nos adhérents et sympathisants.

https://www.pcscp.org


Le conseil d'administration de PCSCP

 

(1) Le conseil d’Etat avait entretemps considérablement affaibli la définition d’une zone humide en exigeant qu’elle soit caractérisée par les critères cumulatifs de sol et de flore.

(2) Il s’agit des « services rendus » par les zones humides (régulation du cycle de l’eau, rôle de filtration, maintien des écosystèmes, etc…).

(3) Surface considérée incompressible à la suite des précédents recours « loi sur l’eau »


 

 

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