Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Ciel Voilé

Moins de vent, moins de pluie et moins de soleil : bienvenue en géo-ingénierie !

27 Novembre 2014, 20:38pm

Publié par Ciel Voilé

191-300x198

  

10 novembre 2014 Dane Wigington  


http://www.geoengineeringwatch.org/less-wind-rain-and-sun-welcome-to-geoengineering/

La science qui étudie les effets d'une atmosphère saturée en particules est claire et inquiétante : moins de pluie, moins de vent et moins de soleil. De nombreuses études d'ingénierie de l'environnement ont constaté que les niveaux de pluie, de vent  et de soleil dans le monde aujourd'hui sont probablement bien moindres que ce qu'ils devraient être sans les aérosols chimiques qui déciment notre atmosphère. Ces études traitent des  problèmes induits par les aérosols atmosphériques, mais la plupart des articles, comme celui cité ci-dessous, ignorent l’« éléphant dans le magasin de porcelaine » qu’est  la géo-ingénierie, de loin la plus importante source d'aérosols atmosphériques. Un récent rapport de la NOAA admet même qu'ils ne savent pas d’où viennent toutes ces particules.


 http://www.noaanews.noaa.gov/stories2011/20110721_particles.html

Ces particules dans l'air empêchent les « noyaux de condensation » ( particules cent fois plus petites qu’une gouttelette de nuage) de se combiner et de tomber finalement en précipitation ou en pluie. Au lieu de cela, le processus normal de formation des nuages ne se produit plus et l'humidité atmosphérique est dispersée au loin, en un nuage artificiel d’aérosols, sans pluie, ce qui conduit à considérablement diminuer et dissiper les précipitations mondiales dans leur ensemble (même si la fréquence de pluies diluviennes isolées augmente également). L'effet visuel de ce processus transforme souvent le ciel en une voûte complètement uniforme de trainées d’avions persistantes qui s’étalent en dispersant ces aérosols. Selon le degré d'intensité des pulvérisations, le ciel peut apparaître comme un mélange de nuages naturels et artificiels, dégradés de blanc, de réseaux vaporeux, clairsemés, argentés au-dessus des  nuages naturels. On peut souvent voir ces traînées de particules par temps « partiellement nuageux » créer un ciel en strates. Bien que le vent puisse encore, bien sûr, souffler sur ce ciel chargé d’aérosols, la science disponible indique clairement que le vent et le soleil sont moindres si l'atmosphère est complètement saturée en particules (bien sûr, il y aura toujours des exceptions dépendant des conditions météorologiques relatives au vent et à la pluie, et selon les objectifs du génie climatique dans des circonstances particulières).

L'objectif déclaré de nombreux brevets de géo-ingénierie est de saturer l'atmosphère en aérosols (particules de taille extrêmement petite de l’ordre du nanomètre). Les SAG (aérosols stratosphériques de la géo-ingénierie) et SRM (gestion du rayonnement solaire) sont des abréviations désignant  les pulvérisations et les dispersions faites par des avions, à présent constantes, clairement visibles dans le ciel par toute personne qui se soucie de le regarder régulièrement. Bien que la plupart commencent enfin à se demander ce qui ne va pas à propos de la météo, très, très peu prennent le temps de l’étudier. Les médias financés par les multinationales et les météorologues, politiquement complaisants sont tous bien trop compétents pour expliquer le ciel maintenant complètement perturbé au-dessus de nos têtes, les fluctuations radicales de la température, la quasi disparition des ciels clairs, et toute une longue liste de phénomènes météorologiques anormaux qui augmente de jour en jour. Le ciel est souvent couvert d’un bout à l’autre de l’horizon de larges traînées blanches, de traînées en X et d'autres configurations en quadrillage considérées comme « normales ». Il est important de se rappeler qu'il n'y a pas d'absolu dans cette équation. Bien que les aérosols dans l'atmosphère aient des effets généraux spécifiques, comme on fait monter la pression dans le système climatique, de redoutables tempêtes se développeront aussi pour libérer cette pression.

Quiconque se donne la peine d'enquêter véritablement sur la désastreuse question de la géo-ingénierie constatera que des choses se passent dans notre ciel qui n’ont rien de normal. Dans le même temps, la plupart, sans le savoir, souffrent des effets insidieux de ces pulvérisations d’aérosols, qui silencieusement diminuent l'équilibre naturel de la nature et ont des conséquences dévastatrices. Bienvenue à la géo-ingénierie. Bien que l'étude de Stanford University ci-dessous, bien sûr ne reconnaisse pas que la géo-ingénierie soit une source d’aérosols atmosphériques, le point sur leurs effets  est désormais établi.

http://news.stanford.edu/news/2007/january24/slowwind-012407.html

 

Commenter cet article