L'aluminium de la géo-ingénierie clandestine empoisonne les êtres humains et le biote terrestre : implications pour l'Inde
Article de J Marvin Herndon publié le 25 juin dans Current Science - Traduction française : Ciel voilé
En réponse à un urgent appel à l'aide lancé par un article de Current Science pour comprendre le lien géologique entre une mobilité extrêmement élevée de l'aluminium et la santé humaine dans la plaine alluviale du Gange, j'apporte la preuve qu'une activité de géo-ingénierie clandestine est en cours depuis au moins 15 ans, et qu'elle s'est accrue fortement ces deux dernières années. La géo-ingénierie, via des avions-citernes, disperse dans l'atmosphère terrestre une substance toxique, qui n'y est pas présente naturellement et qui avec la pluie libère de l'aluminium extrêmement mobile. De plus, j'apporte la preuve que cette substance toxique est de la cendre de charbon. Je fais l'hypothèse que la dispersion clandestine de cendres de charbon et la libération d'aluminium très mobile qui en résulte, est une cause déterminante de l'augmentation rapide et de la fréquence des maladies neurologiques ainsi que de l'actuelle dégradation du biote* terrestre.
Mots-clés : empoisonnement à l'aluminium, biote, activité de géo-ingénierie clandestine, cendre volante de charbon.
Dans leur article intitulé " Extrême mobilité de l'aluminium dans le bassin de la rivière Gomati : implications pour la santé humaine" Jigyasu et al[1]. constatent "qu'une étude pluridisciplinaire sytématique est nécessaire, de façon urgente, pour comprendre le lien entre une haute mobilité de l'aluminium et la santé humaine dans la vallée alluviale du Gange, l'une des régions les plus peuplées au monde." Le présent article se veut une réponse, au moins partielle, à cet appel à l'aide.
La vie sur Terre est née et a évolué dans des conditions d'une extrême immobilité de l'aluminium (Al), un élément chimique qui représente 8% du poids de la croûte terrestre. Par conséquent, le biote de la planète, y compris les êtres humains, n'a pas développé de mécanismes de défense naturelle face à l'exposition à une forme chimiquement mobile d'aluminium. Dans le monde entier, depuis au moins dix ans, et avec une intensité dramatiquement croissante, notre planète est délibérément et clandestinement exposée à une substance pas naturelle, qui disperse dans l'environnement de l'aluminium chimiquement toxique.
J'apporte ici la preuve de la dispersion et de la nature de cette substance artificielle et je décris son implication potentielle dans la dégradation de l'environnement12 et de la santé humaine2-11, et je discute des implications pour l'Inde à la lumière des niveaux extrêmement élevés publiés récemment d'aluminium chimiquement mobile observé dans l'eau de la rivière Gomati, un affluent majeur du Gange, dans la plaine alluviale du Gange au nord de l'Inde.
Le programme du "réchauffement climatique" a commencé dans les années 1980, en particulier avec la création du GIEC ( Groupement International d'Experts du Climat) en 1988, par l'ONU. Le premier rapport du GIEC en 1990 affirme que la planète se réchauffe et que ce réchauffement climatique se poursuivra probablement dans le futur. Le présumé coupable serait l'activité humaine : le rejet de dioxyde de carbone (CO2) dans l'atmosphère, serait supposé produire des gaz à effet de serre. C'est alors que les modélisateurs apparaissent munis de modèles climatiques à l'échelle planétaire, basés sur l'assertion fausse selon laquelle la chaleur émise par le Soleil et la chaleur émise par la Terre seraient toutes deux constantes.
Considérer, de façon irréaliste, ces deux variables prédominantes comme des constantes, permet de rendre significatif le minuscule effet de serre dû à l'augmentation du dioxyde de carbone. Le résultat voulu de ces modèles climatiques est de démontrer que les activités humaines provoqueraient le réchauffement climatique et que les conséquences seraient désastreuses, menaçant la vie sur terre et toute forme de vie. Mise en avant par la politique, la finance et la glorification d'intérêts personnels, l'idée d'un réchauffement climatique d'origine anthropique prend racine. Pourtant il existe une autre explication qui n'a rien à voir avec l'activité humaine13.
Depuis 1996, le GIEC mentionne dans ses rapports la possibilité de manipuler le climat ou d'utiliser la "géo-ingénierie", l'idée de disperser des substances réfléchissantes dans la haute atmosphère ( la stratosphère) pour renvoyer dans l'espace une partie du rayonnement solaire incident afin de compenser le soi-disant réchauffement climatique anthropique. L'élan pour cette idée de manipuler le climat par la géo-ingénierie est venu de l'observation, après une importante éruption volcanique : les cendres peuvent rester pendant une année ou plus dans la stratosphère, où peu d'échanges se produisent, obscurcissant l'ensoleillement et abaissant globalement les températures.
On trouve beaucoup d'informations et de preuves sur internet et dans des livres montrant que des activités de géo-ingénierie clandestines sont menées depuis des années, remontant même au début des années 2000. De façon notable et alarmante, on a observé de profondes augmentations de l'activité de géo-ingénierie, depuis début 201314-16. Mais ce n'est pas reconnu publiquement, il n'y aucune explication donnée, aucune recherche académique, aucun consentement éclairé, et aucune divulgation quant à la nature des substances toxiques dispersées dans l'air. A l'inverse, apparaît une forme systématique de désinformation, la volonté d'étiqueter les observateurs concernés du surnom péjoratif de "théoriciens du complot", et d'en déduire à tort que les traînées chimiques toxiques que l'on observe, caractéristiques de la géo-ingénierie, seraient simplement dues à la formation de cristaux de glace provenant des émissions des avions de ligne commerciaux volant à des altitudes élevées17.
Figure 1. Trainées chimiques toxiques d'épandages aériens clandestins de géo-ingénierie, en début de journée à San Diego, États-Unis, le 8 août 2014. La trainée de l'avion-citerne s'étale, formant au début un nuage fin, puis un voile blanc. Figure 2. Plusieurs trainées chimiques toxiques de géoingénierie clandestine, au-dessus d'une d'une zone reconnaissable de San Diego, Kearney Mesa, le 16 janvier 2015. Figure 3. Intense épandage par des avions-citernes pour les programmes clandestins de géo-ingénierie, le 23 Novembre 2014 sur San Diego. Initialement, le ciel était d'un bleu pur ce jour-là, dépourvue de tout nuage naturel.Le matériau toxique utilisé ne reste pas dans la haute atmosphère, mais contamine l'air respiré par les habitants de San Diego, la pluie et le sol.
J'habite la même maison depuis 1977, et j'ai vu la même portion du ciel presque chaque jour. Après que les brumes marines matinales se soient dispersées, le ciel de San Diego, en Californie, aux États-Unis, a souvent été sans nuage et la pluie rare. L'air y est chaud et sec, peu propice à la formation de cristaux de glace en provenance des traînées émises par les avions de ligne à haute altitude. Depuis le printemps 2014, j'ai observé l'apparition régulière de trainées toxiques de géo-ingénierie dans la basse atmosphère ( troposphère) qui se mélangent à l'air que nous respirons, et l'augmentation de leur fréquence (figures 1 et 2). Depuis novembre 2014, les épandages en provenance d'avions-citernes sont devenus presque quotidiens, parfois au point de transformer le ciel bleu en une couverture de nuages artificiels (figure 3). De façon troublante, ni le maire ni le chef de la police de San Diego n'ont lancé d'avertissements même pour les personnes les plus à risque : les enfants, les femmes enceintes, les personnes âgées et ceux dont le système immunitaire et respiratoire est déjà compromis.
Si on utilisait des cendres volcaniques naturelles pour les épandages aériens de la géo-ingénierie, ce qui n'est pas le cas, ce ne serait pas sans risque pour la santé. On a observé un manque de souffle, des respirations sifflantes, de la toux et des irritations des yeux et du nez18.
Mais à ma connaissance, la dispersion dans l'atmosphère d'aluminium mobile n'est pas faite avec des cendres volcaniques naturelles. L'extraction et le fraisage de pierre pour produire des cendres volcaniques artificielles en quantité suffisante, 10 à 12 millions de tonnes par an, afin de mettre en œuvre un programme à grand échelle de géo-ingénierie dans le but de refroidir la planète, serait horriblement coûteux. Des produits chimiques de synthèse seraient aussi bien trop chers, sauf pour un usage occasionnel clandestin, lors d'expériences de modification du temps ou de guerre climatique.
Cependant, il existe des déchets extrêmement bon marché et immédiatement disponibles, en quantité illimitée, d'une taille adaptée aux dispersions d'aérosols, des déchets qui nécessitent un retraitement : les cendres de charbon volantes représentent le second déchet industriel le plus important de l'économie américaine. Bien que rien ne filtre sur les opérations massives de géo-ingénierie stratosphérique, même non reconnues à ce jour, comme décrit ci-dessous, il y a de bonnes raisons de penser que les cendres de charbon volantes soient le principal ingrédient utilisé en géo-ingénierie.
La combustion du charbon dans l'Ouest des États-Unis, surtout dans les usines électriques, produits des cendres lourdes qui se déposent, ainsi que des cendres volantes qui autrefois étaient rejetées par les cheminées extérieures dans l'atmosphère, mais qui de nos jours sont conservées et stockées en raison de leurs effets nocifs bien connus sur la santé humaine et leurs dommages sur l'environnement.
Les cendres de charbon volantes sont des déchets dangereux à stocker parce que l'eau infiltre les éléments toxiques19. Les opérations de lixiviation** sur des cendres volantes de charbon sont classiquement menées pour comprendre/atténuer leur mobilité chimique induite par les nappes phréatiques20-21. Moreno et al20. ont étudié en laboratoire le comportement de 23 échantillons de cendres volantes de charbon en provenance de différentes centrales électriques européennes. La sélection couvrait la plupart des types de cendres de charbon volantes produites dans l'Union Européenne. Toutes sauf une ont été collectées sur des précipitateurs électrostatiques. La procédure de lixiviation employée nécessitait le mélange de 100 g de cendres volantes de charbon et d'un litre d'eau distillée dans des bouteilles de 2 litres pendant 24 heures. Les auteurs rapportent l'importance de 38 éléments dans le précipité incluant de l'uranium et du thorium radioactifs, et d'un intérêt particulier ici : de l'aluminium, du baryum et du strontium. Ensemble, l'aluminium, le baryum et le strontium sont la marque de la principale substance toxique utilisée dans la géo-ingénierie clandestine.
De juillet 2011 à novembre 2012, on a analysé l'aluminium et le baryum présents dans 73 échantillons d'eau de pluies. 71 échantillons ont été prélevés en Allemagne sur 60 lieux différents, 1 en France et 1 en Autriche. L'aluminium était présent dans 77% des échantillons à une concentration moyenne de 17.68 µg/l. La concentration moyenne du baryum s'élevait à 3.38 µg/l. Celle du strontium à 2.16 µg/l également observée dans 23 échantillons d'eau de pluie22.
A ma connaissance, il n'y a pas eu d'expérience de filtration sur les cendres volantes de charbon, exposées à des conditions telles que celles que l'on pourrait attendre d'une dispersion d'aérosols dans l'atmosphère, comme l'exposition aux UV, l'abrasion par le contact avec des particules ou les décharges électrostatiques. Lors d'une analyse faite dans une zone non industrielle du nord de la Californie, l'eau de pluie collectée pendant un orage et des éclairs contenait 3450 µg/l d'aluminium, alors qu'un échantillon similaire collecté 10 jours plus tôt contenait 850 µg/l d'aluminium16, la différence peut avoir ou non un rapport avec une décharge électrique.
Figure 4. Aluminium contenu dans les échantillons d'eau de pluie en fonction de la date de prélèvement. L'écart entre 2002 et 2006 ne signifie pas une absence de géoingénierie clandestine : de nombreuses photos sont disponibles durant cette période.
La figure 4 montre la mesure de l'aluminium dans des échantillons d'eau de pluie collectés de 2001 à 2014. En général, ce sont des scientifiques indépendants qui ont payé de leur poche les frais d'analyses en laboratoire, d'où le peu de données. Les scientifiques universitaires subventionnés par le gouvernement n'ont pas fait de mesures comparables ou bien ne les ont pas publiées. L'évaporation de l'eau de pluie concentre l'aluminium présent. Dans une mare étanche remplie par la pluie et l'eau d'un puits contenant un niveau indétectable d'aluminium, la concentration d'aluminium s'élevait à 375 000 µg/l16.
Figure 5. Empreinte comparable des ratios Al / Ba dans des eaux de pluie prélevées après épandages de géo-ingénierie et le lixiviat de cendres volantes de charbon. Le placement sur l'axe horizontal est arbitraire pour étaler les points de données.
En utilisant des ratios, on peut comparer directement la composition de l'eau de pluie à celle des cendres volantes de charbon dans les expériences de lixiviation. La figue 5 compare le ratio du poids de l'aluminium sur celui du baryum Al/Ba dans l'eau de pluie et dans le lixiviat de cendres de charbon volantes. Les dispersions des valeurs Al/Ba pour l'eau de pluie et pour le lixiviat de cendres volantes de charbon sont si proches qu'on ne peut les distinguer, alors que les échantillons d'eau de pluie ont été collectés à différents endroits, à différentes périodes, avec des degrés différents d'épandages d'aérosols toxiques, et les cendres volantes de charbon varient aussi dans leur lieu d'origine et leur composition.
Figure 6. Empreinte comparable des ratios Sr / Ba dans des eaux de pluie prélevées après épandages de géo-ingénierie et le lixiviat de cendres volantes de charbon. Le placement sur l'axe horizontal est arbitraire pour étaler les points de données.
La figure 6 compare le rapport des poids du strontium et du baryum Sr/Ba dans les eaux de pluie et dans les lixiviats de cendres de charbon. Les dispersions des valeurs Sr/Ba se confondent virtuellement alors que les échantillons d'eau de pluie ont été collectés à différents endroits, à différentes périodes, avec des degrés différents d'épandages d'aérosols toxiques, et les cendres volantes de charbon varient aussi dans leur lieu d'origine et leur composition. Les données présentées ci-dessus constituent la preuve que les cendres volantes de charbon sont la substance principale employée dans les activités de géo-ingénierie clandestines depuis au moins 15 ans aux États-Unis et depuis des périodes inconnues en Europe de l'Ouest, en Nouvelle Zélande et peut-être ailleurs.
De telles activités de géo-ingénierie clandestines ont exposé l'humanité et le biote de la Terre à de l'aluminium très mobile, une substance toxique qu'on ne trouve pas dans l'environnement naturel et face à laquelle aucune immunité naturelle n'a été développée.
Pendant la période d'utilisation des cendres volantes de charbon pour les activités de géo-ingénierie clandestines, les maladies neurologiques impliquant l'aluminium ont explosé, elles comprennent l'autisme, la maladie d'Alzheimer, la maladie de Parkinson, le trouble du déficit de l'attention avec ou sans hyperactivité, et bien d'autres, ainsi que des destructions multiples de la vie végétale et animale. L'aluminium très mobile des cendres volantes de charbon dispersé par la géo-ingénierie en est la cause selon moi. Comment vérifier cette information ? En principe, on devrait observer une corrélation entre la quantité de cendres volantes de charbon dispersées dans l'atmosphère par la géo-ingénierie et l'apparition des maladies neurologiques impliquant l'aluminium. Mais il y a peu de chance que les données des activités de géo-ingénierie clandestines soient un jour divulguées. Après la réélection du Président Barack Hussein Obama pour un second mandat le 20 janvier 2013, les activités de géo-ingénierie clandestines ont fortement augmenté devenant quasi-quotidiennes dans beaucoup d'endroits aux Etats-Unis14-16. Si les activités de géo-ingénierie clandestines sont les causes majeures des maladies neurologiques impliquant l'aluminium, alors leur apparition devrait avoir fortement augmenté depuis le 20 janvier 2013, bien que ce soit une preuve horrible des crimes contre l' humanité et le biote terrestre d'une ampleur et d'une gravité jamais expérimentées jusqu'alors.
Figure 7. Carte de localisation du bassin de la rivière Gomati (courtoisie: Jigyasu et al.1). Figure 8. Répartition saisonnière de la concentration d'aluminium dissout dans les eaux de pluie et rejet dans la rivière Gomati à Chandwak (courtoisie: Jigyasu et al.1).
plaine alluviale du Gange, comme on peut la voir figure 7, longe les montagnes himalayennes qui forment une barrière naturelle au passage des nuages. En fonction des saisons, comme l'ont découvert Jigyasu et al. la pluie déverse des quantités toxiques d'aluminium extrêmement mobile dans le bassin de la rivière Gomati. Je fais l'hypothèse que la première origine de cet aluminium extrêmement mobile est la cendre volante de charbon dispersée en aérosols. Cette hypothèse est relativement facile à vérifier en prélevant des échantillons d'eau de pluie et en y analysant l'aluminium, le baryum et le strontium. Si la cendre de charbon est l'origine première de cet aluminium extrêmement mobile, alors une question plus difficile doit se poser. Quelle proportion de cendres volantes de charbon pulvérisées en aérosols vient des activités de géo-ingénierie clandestines et quelle proportion provient de la combustion industrielle du charbon en Inde ? Une approche experte à envisager serait de prélever des échantillons de cendres volantes de charbon directement dans les nuages de mousson et dans les nuages avant qu'ils n'entrent dans l'espace aérien indien. Ces échantillons pourraient alors être comparés aux échantillons de cendres volantes de l'industrie indienne. Bien que l'investigation experte décrite ci-dessus soit difficile et coûteuse, ses résultats pourraient aider l'Inde à améliorer la santé de ses citoyens.
* En écologie, un biote ou biota [du grec βίος, vie] est l’ensemble des organismes vivants (flore, faune et champignons ainsi que les micro-organismes tels que bactéries, levures, microchampignons…) présents dans un habitat (naturel, semi-naturel) ou biotope particulier, ou un lieu ou une région précise.
**La lixiviation (du latin lixivium ; souvent lessivage1) désigne dans le domaine de la chimie, de la pharmacie ou des sciences du sol, toutes les techniques d'extraction de produits solubles par un solvant, et notamment par l'eau circulant dans le sol (éventuellement polluée) ou dans un substrat contenant des produits toxiques (décharge industrielle en particulier).
Sources :
http://www.currentscience.ac.in/Volumes/108/12/2173.pdf
http://nuclearplanet.com/2173.pdf
1. Jigyasu, D.K. et al.,High mobility of aluminum in Gomati River Basin: implications to human health.
Curr. Sci., 2015, 108(3),434-438.
2. Bondi,S.C., Prolonged exposure to low levels of aluminum leads tochanges associated with brain aging and neurodegeneration.Toxicology,2014,315,1-7.
11. Tripathi, M.et al.,Risk factors of dementia in North India : a case-control study. Aging Mental Hearth, 2012,16(2),228-235.
12. Sparling,D.W.and Lowe,T.P., Environmental hazards of aluminum ro plants, invertebrates, fish and wildlife. Rev.Environ. Contam.Toxicol.,1996,145,1-127.
13. Herndon,J.M., Variables unaccounted for in global warming and climate change models. Curr.Sci., 2008, 95(7), 815-816.
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18. Bolong,R.J., Volcanic Hazards : A Sourcebook on the Effects of Eruptions, Academic Press, Australia,1984,p.424.
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20. Moreno,N. et al., Physico-chemical characteristics of European pulverized coal combustion fly ashes. Fuel, 2005, 84, 1351-1363.
21. Cheng-you, Wu, Hong-fa, Yu and Hui-Fang, Z., Extraction of aluminum by pressure acid-leaching method from coal fly ash.Trans.Nonferrous Met. Soc. China, 2012, 22, 2282-2288.
Ndt : pour les autres numéros de renvois, consulter l'article original.