Nous vivons à l'ère de l'espace électromagnétique
Elana Freeland - Février 2016 - Traduction Ciel voilé
http://www.positivehealth.com/article/environmental/the-electromagnetic-space-age-we-live-in
Quarry observait VIXAL. Il l'imaginait comme une sorte de nuage numérique incandescent, essaimant occasionnellement sur terre. Ce pouvait être n'importe où - dans une zone industrielle étouffante, défoncée et puante de carburant d'aviation et retentissant de cigales en bordure d'un aéroport international en Asie du Sud-Est ou en Amérique latine; ou dans un parc d'affaires frais et verdoyant sous la pluie douce et claire de Nouvelle-Angleterre ou de Rhénanie; ou occupant un appartement peu visité et sombre d'un nouvel immeuble de bureaux à Londres, Mumbai ou Sao Paolo; ou même perché caché au-dessus de cent mille ordinateurs personnels. Il était tout autour de nous, pensait-il, dans l'air que nous respirons. Il leva les yeux vers la caméra cachée et donna le plus discret des signes d'obéissance. "Laissez-les," dit-il. Robert Harris, The Fear Index 2012
Nous vivons des temps étranges, de science-fiction. Les vrais problèmes sont marginalisés comme « théorie du complot », et les scientifiques qui tirent la sonnette d'alarme sont discrédités, mis à l'écart, ou tués. Même des médecins meurent à présent de morts étranges, disparaissent, restent sinistrement silencieux, ou répétent ce qu'on leur dicte parce que la recherche en technologie de pointe est dominée par des fonds militaires qui requièrent cloisonnement, élimination du besoin de savoir, et accords de confidentialité. Ce système actuel de scientisme fonctionne main dans la main avec la pratique de l'examen par les pairs financée par la science du complexe militaro-industriel américain. Tout ceci doit être balayé si nous voulons survivre à nos technologies.
Internet n'est pas non plus idéal avec ses commentaires sonores, sa mauvaise information et sa désinformation. Pourtant, il s'est avéré inestimable pour les chercheurs qui tentent de sonder la couverture de « sécurité nationale » qui dissimule les technologies de guerre spatiale, à venir, en ligne, chaque jour à un rythme qui défie la raison. Lorsque j'ai écrit "Chemtrails, HAARP, et la domination totale de la planète Terre" en 2013, je n'avais tout simplement accès à aucun livre réputé et à jour sur le sujet. J'ai dû retrouver les faits et la vérité en partant à la chasse et en picorant à travers des centaines, voire des milliers d'articles et de comptes, y compris des douzaines d'articles scientifiques et militaires et des brevets déclassifiés. Ce qui manquait en général, c'était le contexte pour interpréter comment tout s'emboîte et ce que cela implique à l'avenir. Comme le mythe égyptien d'Isis et d'Osiris dont les francs-maçons sont si friands, les parties du corps d'Osiris sont éparpillés à travers les médias, en attente de ceux qui sont capables de reconstituer tout l'ensemble et d'interpréter ce qui est caché et nié, et pour quelles raisons.
Alors que beaucoup s'interrogent sur les traînées qu'ils voient dans le ciel, peu ont une vue d'ensemble du chaos climatique mondial qui inonde quotidiennement la une des journaux. Les grands médias nous assurent que cela est dû au réchauffement et / ou au changement climatique, et se précipitent sur un doctorant qui l'explique aussitôt par les cycles naturels solaires, les émissions excessives de dioxyde de carbone, un basculement des pôles imminent, le retour d'un mini-âge glaciaire, etc. Ce que toutes ces explications laissent de côté, c'est l'éléphant dans le magasin de porcelaine: l'énorme complexe militaire qui finance des milliers d'«expériences» sur la météo lesquelles détruisent les communautés et la vie des gens.
Étant donné que toute cette technologie est tenue secrète pour des raisons de sécurité nationale et a été développée dans les laboratoires universitaires et gouvernementaux subventionnés par le budget militaire, l'implication des militaires dans ce que nous voyons dans notre ciel devrait être évidente, mais des campagnes médiatiques de désinformation font que ce n'est pas le cas.
Pourquoi est-il si difficile d'imaginer que le contrôle mondial de la météo fait suite à des années d'expérimentations à ciel ouvert et dans des milieux diversifiés?
Comment manipuler la météo
Loin dans l'océan Pacifique, la marine américaine manipule l'humidité du Pacifique Sud vers l'est et le sud. Ils ne pratiquent pas l'ensemencement des nuages au nitrate d'argent. Ils manipulent électromagnétiquement les systèmes à faible et à haute pression, à grande échelle, au moyen de condensation de vapeur et d'avions pulvérisant des aérosols (chemtrails ou traînées chimiques) chargés de métaux conducteurs ensuite dispersés et dirigés au laser ou par fréquence radio.
Une fois pulvérisés, les métaux conducteurs légers restent en suspension, les plus lourds tombent lentement. Dès que la fréquence radio est déclenchée dans ce brouillage radar, chimiquement amélioré et statiquement chargé, un mur de plasma dense est activé par les ondes radio et les masers radars et lasers alignés sur terre, en mer, à bord de navires, et dans l'air à bord d'avions. Ce mur de plasma devient alors un guide d'onde nord-sud conducteur qui aspire l'humidité des sols et l'ajoute à celle du Pacifique Sud, puis la canalise et l'oriente vers le haut, le long de la côte. Sur l'île de Vancouver, l'humidité est ensuite lancée dans le courant-jet et plongée vers l'est dans le Sud-Ouest et le Midwest, puis plus à l'est pour d'autres événements météorologiques comme les tempêtes à haute pression, les tornades, les inondations et les ouragans offshore.
Durant les deux dernières décennies, dans le cadre du projet Cloverleaf, l'armée américaine et le renseignement ont travaillé en tandem avec les entreprises de l'ingénierie-météorologique mondiale. Au-dessus de vos têtes, des avions militaires et commerciaux pulvérisent des nanoparticules sur votre ville ou votre région. Les systèmes météorologiques peuvent être détournés et propulsés au moyen d'unités électromagnétiques au sol opérant en phase avec les avions dispersant les chemtrails: centrales dont les tours de refroidissement libérent de la vapeur d'eau, parcs éoliens, tours GWEN, antennes-relais, radars Doppler et Nexrad, et réseaux privés d'intensification des pluies ( par ionisation).
Les 7 opérations
Dans son documentaire de 2005,( version française),Cloud Cover (plus tard rebaptisé Aerosols Crimes), le scientifique indépendant Clifford Carnicom (www.carnicominstitute.org ) cite les cinq autres opérations militaires au-delà de l'ingénierie de la météo, et l'opération finale ajoutée plus tard :
• modification du temps;
• modification géophysique de l'environnement;
• opérations électromagnétiques;
• opérations militaires;
• opérations biologiques;
• opérations de renseignement / de surveillance;
• détection / obscurcissement des systèmes de propulsion exotiques.
Toutes les opérations mentionnées ci-dessus concernent l'utilisation de l'environnement comme arme pour faire avancer la doctrine de domination totale et les 4 C (commandement, contrôle, communications, et cyber-guerre). Comme l'épidémiologiste Rosalie Bertell l'a expliqué dans son livre paru en 2001, "Planète terre, la dernière arme de guerre : une étude critique dans l'armée et l'environnement": " La capacité combinée de HAARP, d'un laboratoire spacial et d'une fusée à fournir de très grandes quantités d'énergie comparable à celle d'une bombe nucléaire, partout sur terre, par l'intermédiaire de laser et de faisceaux de particules, est effrayante."
Toutes ces opérations se chevauchent en ce sens qu'elles sont toutes dépendantes d'un réseau synchronisé de technologie électromagnétique placé et réglé pour maintenir ionisée la basse atmosphère. Tout d'abord, les particules chargées sont tirées vers le bas de l'ionosphère ( 60 à 1000 km) par des chauffages ionosphériques comme la station HAARP à Gakona, en Alaska. Puis les nanoparticules de métaux conducteurs (baryum, aluminium, strontium, lithium, etc.) sont pulvérisées et guidées par ondes radio et micro-ondes. Pulvériser et disperser, orienter, décharger et pomper.
Les opérations environnementales / géophysiques font suite à des opérations de modification du temps. Aux États-Unis, nous avons assisté aux reconfigurations de trois ports maritimes internationaux, présentées comme "catastrophes naturelles": le port de la Nouvelle-Orléans après l'ouragan Katrina (2005), et les ports de New York et du New Jersey après l'ouragan Sandy ( 2012). Suis-je en train de dire que ces ouragans ont été concoctés dans le chaudron de la géo-ingénierie? Oui. Ce qui a servi à cacher ces faits, c'est le contexte dans lequel les événements ont été présentés par les médias traditionnels.
Ensuite, il y a la fracturation hydraulique tous azimuts des compagnies pétrolières. Elle aussi est en phase avec ce même réseau de géo-ingénierie électromagnétique. Les compagnies pétrolières bénéficient financièrement de la tomographie (rayons X), des ondes sonores et des ondes scalaires au sol qui sondent et pénètrent la planète, déplacent les plaques tectoniques, chauffent le noyau de la Terre, etc. Même la catastrophe pétrolière de Deepwater Horizon de British Petroleum (BP) dans le golfe du Mexique en 2010 n'était pas un « accident ». Le golfe et le littoral américain ont été complètement ravagés par ce que Wikipédia nomme l'injection "purement expérimentale" de Corexit, dispersant du pétrole, connu pour contenir des "agents cancérigènes, des toxines dangereuses et des produits chimiques perturbateurs endocriniens ". Le magazine Mother Jones a rapporté que le Corexit multipliait la toxicité du déversement de pétrole par 52. Le cancer a augmenté chez les résidents, et les sinkholes et les dômes de sel continuent à s'effondrer ...
Les opérations biologiques, au-delà des ravages du golfe du Mexique, comprennent la descente de spores fongiques de l'atmosphère supérieure vers nos poumons par la dispersion de chemtrails, des micro-organismes génétiquement modifiés circulant avec les composants des chemtrails. Les bactéries "inter-domaines" des morgellons véhiculent des nanofibres Mylar ( ndt : résine polyester ) dans nos poumons et notre circulation sanguine; Ann Fillmore raconte l'histoire des expériences, menées en Orégon, de pulvérisations d'aérosols de lithium et de drogues agissant sur le psychisme, comment l'Orégon semble avoir été pré-sélectionné pour une expérimentation aérienne aux psychotropes et au lithium. Suivez l'argent et vous trouverez que les bio-ingénieries en plein essor, médicale, pharmaceutique et OGM ont toutes des liens avec les opérations de géo-ingénierie de l'armée pour utiliser le système de dispersion aérien et électromagnétique.
Les opérations de renseignement et de surveillance vont désormais bien au-delà de l'enregistrement des appels téléphoniques et des courriels ou des prises de vue de l'espace. Avec les métaux conducteurs, les polymères et le filtrage biologique vers le bas des chemtrails, nous inhalons et ingérons des milliers de milliards de micro-capteurs et microprocesseurs ( "nanorobots") qui peuvent communiquer et être programmés à distance, qui passent la barrière hémato-encéphalique et s'introduisent dans notre cerveau et jusque dans notre ADN. Le lanceur d'alerte Edward Snowden aurait pu être révolutionnaire s'il avait révélé ces faits effrayants. Les nanotechnologies utilisant les systèmes de dispersion aérienne dans le monde entier, marquent le début d'un tout nouveau niveau de surveillance, de commande et de contrôle C4.
Comme nous arrivons à la septième opération militaire de détection ou de dissimulation des dispositifs de propulsion exotiques derrière une couverture chimique de nuage de plasma, nous ne sommes pas si surpris, compte tenu de tout ce qu’il se passe dans notre brave nouveau monde. Bien entendu, les technologies de furtivité radar et de dissimulation sont utilisées depuis des décennies, et donc les essais pour détecter des vaisseaux ennemis cachés sont justifiés, que le système de propulsion exotique soit celui d'un Aurora triangulaire ou d'un disque anti-gravité que l'armée et la CIA ont perfectionné pendant 70 ans . (Lire le livre paru en 2001, de Nick Cook : "La chasse au point zéro : dans le monde classifié de la technologie anti-gravité"). Mais au-delà des systèmes exotiques de l'ingénierie humaine, il peut aussi y avoir d'autres dispositifs de propulsion exotique lorgnant derrière les nuages de plasma. La physique quantique nous assure que d'autres dimensions existent. Qui sait ce que les radars et les instruments infra-rouges assistés par des nuages de plasma sont en mesure d'identifier ?
La clôture de l'espace
J'enchaîne sur le livre que je suis en train d'écrire sur la clôture de l'espace : l'armée envisage une ceinture ionosphérique artificielle permanente autour de la planète pour des communications C4 permanentes. Cela a commencé avec le Projet West Ford, en mai 1963, lorsque l'US Air Force a lancé 480 millions de minuscules aiguilles de cuivre pour créer un anneau conducteur autour de la Terre. Conçues pour être la moitié de la longueur d'onde des micro-ondes de 8000 MHz, les aiguilles forment une ceinture de dipôles de 15 kilomètres de large et 30 kilomètres d'épaisseur capable de tourner autour de la Terre jusqu'à ce qu'elles se dispersent et que les communications deviennent peu fiables. Les engins spatiaux et les dipôles de cuivre du projet West Ford sont toujours en orbite là-haut, avec les débris d'autres rêves militaires et commerciaux, y compris le satellite Vanguard I de 1958.
Avec une basse atmosphère ionisée et un ensemble / réseau électromagnétique synchronisé au sol, le rêve de clôture de l'espace est ressuscité. Selon la NASA, cependant, les dépenses de 3,3 milliards de dollars pour cette résurrection ne serviraient qu'à détecter et suivre (sans collecte) les objets et débris spatiaux qui s'élèvent maintenant au nombre de 500 000. Le premier système pour tenter de suivre des débris était NAVSPASUR de l'US Navy en 1961, suivi par le système de surveillance Air Force Space (AFSSS). Apparemment, la nouvelle clôture de l'espace a la capacité de détecter des objets de seulement 10 cm, grâce aux plus grands radars à balayage électronique jamais construits (comme PAVE PAWS).
Je doute fortement que 3,3 milliards de dollars ne servent qu'à pister des déchets. Chaque fusée-sonde qui surgit au-dessus de la Terre et dans l'espace emporte dans son sillage des métaux lourds qui s'ajoutent à la ceinture de métaux lourds, qui comme la ceinture de Saturne, orbite autour de notre fragile planète.
Une fois que l'instrument de surveillance le plus sophistiqué jamais créé sera opérationnel, vivrons-nous un verrouillage planétaire, un contrôle, jusqu'à notre ADN ?
Les références
“Deepwater Horizon oil spill,” Wikipedia.
Julia Whitty, “Chemical Dispersant Made BP Oilspill 52 Times More Toxic.” Mother Jones, December 4, 2012.
Bill Sweetman, Aurora: The Pentagon’s Secret Hypersonic Spyplane. Motorbooks International, 1993.
Anthony Kendall, “Earth’s Artificial Ring: Project West Ford.” Damn Interesting, 2 May 2006.
Brian Dodson, “Raytheon and Lockheed Martin submit USAF Space Fence construction proposals.” Gizmag, November 16, 2012.
Further Information
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