Gardasil : résultats cancérologiques actuels des vaccins anti HPV
Publié le 05/08/2020 – Dr Gérard Delépine – France Soir
TRIBUNE : La pression pour la vaccination obligatoire revient au galop
Manifestement, le sujet Gardasil, vaccin anti-papillomavirus censé prévenir du cancer du col et d’autres cancers (orl, anus) revient sur le devant de la scène. Il faut rappeler que le gouvernement a inscrit en catimini cette vaccination contestée et contestable sur le calendrier vaccinal 2021 pour filles et garçons pendant le confinement français.
Alors que les français étaient plus préoccupés à remplir correctement leurs ausweiss, autorisations de sortie ou blessés par l’interdiction de rendre visite à leurs ainés en EHPAD et même de leur porter des vêtements propres de rechange, les gouvernements profitaient de cette période « bénie » sans gilets jaunes, ni antivax pour voter des lois iniques comme la modification du droit du travail. Il faut dire que cela dure, puisqu’un 31 juillet ils transformèrent le droit à l’avortement en droit à l’infanticide jusqu’au terme. Autre sujet de honte.
Une propagande permanente relayée par toutes les médias et le ministère prétend que la vaccination anti HPV prévient le cancer du col de l’utérus. Aucune preuve scientifique de ces allégations n’existe et la propagande marchande dont on nous abreuve repose uniquement sur des simulations mathématiques reposant sur des hypothèses fausses, comme celles qui ont convaincu nos dirigeants de nous confiner lors de la crise du Covid19 aboutissant à une surmortalité considérable[1] qu’on aurait pu éviter.
Un vaccin mis sur le marché sans résultat cancérologique démontré
L’autorisation de mise sur le marché du Gardasil a été obtenue il y a 14 ans (2006) en utilisant des critères substitutifs (évaluation des infections, dysplasies bénignes, en lieu et place du nombre de cancers, objectif visé) sans avoir démontré d’effet préventif sur le cancer invasif, son indication officielle. Cette vaccination, dont on ne connait pas le résultat sur le cancer, car ce cancer est classiquement long à apparaitre au cours de son évolution naturelle, constitue donc depuis 14 ans un traitement expérimental sur des populations entières.
La suite sur France-Soir