Concentrations de métaux lourds dans l'eau de pluie en Allemagne
Le site allemand www.sauberer.himmel.de a présenté fin janvier 2013, une étude comparée de 73 analyses d’eau de pluie.
L'empreinte graphique des chemtrails
Le 23 janvier 2013 www.sauberer.himmel.de
Moyennes des concentrations de métaux lourds dans l’eau de pluie.
( Traduction : Eisen : fer – Kupfer : cuivre – Mangan : manganèse – Blei : plomb)
Ce graphique a été établi dans le cadre de notre « action des eaux de pluie nationale» qui nous permet de représenter les valeurs moyennes de concentrations de métaux trouvés dans l'eau de pluie. 73 échantillons ont été analysés pour une période allant de juillet 2011 à novembre 2012. 71 échantillons d'eau de pluie ont été collectés en Allemagne, à plus de 60 endroits différents, un en France et l en Autriche. L'aluminium et le baryum ont été analysés dans les 73 échantillons. Les résultats sont moins probants pour les autres métaux, mais ils pourraient tout de même bien être représentatifs en raison du grand nombre d'échantillons analysés.
Nous avons déjà indiqué lors de précédentes publications que l’empreinte caractéristique des chemtrails dans l’eau de pluie est la même en Allemagne que dans d'autres parties du monde. Le graphique montre maintenant les valeurs moyennes des concentrations de métaux dans l'eau de pluie. L'importance de ces moyennes n’est pas à surestimer, puisque dans le cas présent, aucune conclusion ne peut être tirée au sujet de la distribution des concentrations. Le calcul de l'écart type, et une réflexion sur les valeurs de diffusion sont plus parlants. La fréquence des métaux trouvés nous semble plus importante ainsi que leur corrélation les uns avec les autres.
Titre : Fréquences des métaux lourds dans l’eau de pluie.
Sous-titre : Pourcentage d’échantillon dans lequel chaque métal est détectable
Pour l'interprétation des valeurs moyennes, par conséquent, le graphique doit être consulté en même temps que celui sur la fréquence des métaux dans l'eau de pluie. Ainsi la fréquence du silicium est une bonne illustration de la manière dont les moyennes peuvent fausser l'image globale. Le silicium a rarement été détecté par les laboratoires dans l'eau de pluie. Si on en trouve dans l’eau de pluie, alors ses valeurs sont élevées. Il en résulte une moyenne élevée de silicium.
Concentrations d'aluminium dans l'eau de pluie
Pourtant, cet exemple démontre également que la fréquence ainsi que les concentrations comparées avec les autres métaux (autres que le zinc) sont considérables pour l’aluminium. L’aluminium dans l'air joue un rôle beaucoup plus important que les autres métaux tels que le cuivre, le fer, le plomb, le silicium, le nickel, le titane, le cadmium, l'arsenic et l'antimoine. Les fréquences du baryum et du strontium ainsi que leurs concentrations sont aussi surprenantes.
Concentrations de baryum dans l'eau de pluie
Prenons par exemple le strontium. Une étude de l'Université technique de Freiberg montre que les quantités de strontium dans l'eau de pluie varient de 0,0001 ... 0,00044 mg / l. Or, dans nos échantillons la concentration du strontium s’élève jusqu’à 0,017 mg / l et la valeur moyenne mesurée de strontium est de 0.002 mg / l. Même notre moyenne de strontium est supérieure de 350 % à la valeur de référence établie par l’Université technique de Freiberg. La concentration de baryum est aussi une grosse surprise. D’où vient-il ? Cette question chacun devrait se la poser parce que chacun inhale ce beau mélange de baryum et d'autres métaux.
Les fréquences observées d'aluminium, de baryum, de strontium et de manganèse dans l'eau de pluie sont, à l’évidence, fortes par rapport à de nombreux autres métaux. Comme par hasard, on retrouve ces métaux, du fait de leurs propriétés chimiques dans de nombreux brevets soupçonnés d’être utilisés pour pulvériser des chemtrails. Les principaux polluants de l'industrie et des transports, tels que le cuivre, le fer et le plomb sont beaucoup moins fréquents dans l'eau de pluie. Seul le zinc peut rivaliser en termes de fréquence dans l'eau de pluie avec des éléments comme l’aluminium, le baryum, le strontium et le manganèse.
Mais comment expliquer la présence d’une quantité de zinc si forte : nous ne savons pas. Chaque année, le secteur automobile à lui seul (principalement les pneus et plaquettes de frein) libère 1.975 tonnes de zinc (en comparaison: 76,7 tonnes de plomb et 904 tonnes de cuivre). Le zinc trouvé dans nos échantillons d'eau de pluie proviendrait-il donc principalement des secteurs automobile et industriel ? Une grande partie de ce zinc est emportée par le système d'égouts pour les eaux de surface. Les niveaux extrêmement élevés de zinc (fréquence et concentrations) dans l'eau de pluie restent donc surprenants. Le zinc serait-il pulvérisé dans le ciel ?
En tout cas, les présentes analyses confirment notre position. Elles correspondent finalement à ce qui est attendu lorsque de fines poussières d’aluminium, de baryum, de manganèse et de strontium sont constamment pulvérisées dans le ciel.
D'autres résultats de l'enquête vont suivre.