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Ciel Voilé

Résultat pour “effet secondaire en attente”

Suppression de l'immunité innée par les vaccinations à ARNm du SRAS-CoV-2 : Le rôle des G-quadruplexes, des exosomes et des MicroRNAs

28 Mai 2022, 18:32pm

Suppression de l'immunité innée par les vaccinations à ARNm du SRAS-CoV-2 : Le rôle des G-quadruplexes, des exosomes et des MicroRNAs
Suppression de l'immunité innée par les vaccinations à ARNm du SRAS-CoV-2 : Le rôle des G-quadruplexes, des exosomes et des MicroRNAs

Stéphanie Seneff ,Greg Nigh , Anthony M. Kyriakopoulos

Peter A. McCullough

 

Pdf de l'article en anglais ci-dessus.

Traductions en français : le sommaire et la conclusion

 

Sommaire

 

Les vaccins ARNm SARS-CoV-2 ont été mis sur le marché en réponse aux crises de santé publique du Covid-19. L'utilisation de vaccins à ARNm dans le contexte des maladies infectieuses n'a pas de précédent. Les nombreuses altérations de l'ARNm du vaccin cachent l'ARNm des défenses cellulaires et favorisent une demi-vie biologique plus longue et une production élevée de protéine de pointe. Cependant, la réponse immunitaire au vaccin est très différente de celle à une infection par le SRAS-CoV2.

 

Dans cet article, nous présentons des preuves que la vaccination induit une altération profonde de la signalisation de l'interféron de type I qui a diverses conséquences néfastes sur la santé humaine. Les cellules immunitaires qui ont absorbé les nanoparticules du vaccin libèrent dans la circulation un grand nombre d'exosomes contenant la protéine spike ainsi que des microARNs critiques qui induisent un signal de type I.

 

Nous identifions également des perturbations profondes dans le contrôle réglementaire de la synthèse des protéines et de la surveillance du cancer. Ces perturbations ont potentiellement un lien de causalité avec les maladies neurodégénératives, la myocardite, la thrombocytopénie de Bell, les maladies du foie, l'altération de l'immunité adaptative, l'altération de la réponse aux dommages de l'ADN et la tumorigenèse. Nous présentosn les preuves tirées de la base de données VAERS qui soutiennent notre hypothèse. Nous pensons qu'une évaluation complète des risques/bénéfices des vaccins à ARNm les remet en question en tant que contributeurs positifs à la santé publique.

 

Conclusion

 

Le système de santé publique des États-Unis et du monde entier a diffusé un message inébranlable sur la sécurité et l'efficacité des vaccins à ARNm contre le SRAS-CoV-2. L'efficacité est de plus en plus mise en doute, comme le montre une lettre récente de Günter Kampf (2021b) adressée au Lancet Regional Health.

 

Kampf a fourni des données montrant que les vaccinés sont désormais autant susceptibles que les non-vaccinés de propager la maladie. Il concluait : "Il semble que ce soit faire preuve d'une grave négligence que d'ignorer la population vaccinée en tant que source possible et pertinente de transmission lorsqu'on décide de mesures de contrôle de santé publique."

 

En outre, l'insuffisance des essais de phase I, II et III pour évaluer les effets secondaires à moyen et long terme des vaccins génétiques à ARNm a pu induire en erreur quant à leur impact suppressif sur l'immunité innée des vaccinés. Dans cet article, nous attirons l'attention sur trois aspects très importants du profil de sécurité de ces vaccinations.

 

Le premier est le dérèglement largement documenté de l'immunité innée, principalement par la suppression de l'IFN-α et de sa cascade de signalisations associées. Cette suppression aura un large éventail de conséquences, dont la moindre n'est pas la réactivation d'infections virales latentes et la réduction de la capacité à combattre efficacement les infections futures.

 

Le deuxième est le dérèglement du système de prévention et de détection des transformations malignes d'origine génétique au sein des cellules et, par conséquent, le risque que la vaccination favorise ces transformations.

 

Troisièmement, la vaccination à l'ARNm perturbe potentiellement la communication intracellulaire assurée par les exosomes et incite les cellules qui absorbent l'ARNm de la glycoprotéine spike à produire des niveaux élevés d'exosomes porteurs de la glycoprotéine spike, avec des conséquences inflammatoires potentiellement graves.

 

Si l'une de ces réactions devait se réaliser pleinement, l'impact sur des milliards de personnes dans le monde pourrait être énorme et contribuer à la charge de morbidité à court et à long terme à laquelle notre système de soins de santé est confronté.

 

Compte tenu de la prise de conscience actuelle des multiples rôles des G4 dans la régulation de la traduction de l'ARNm et de l'élimination par les granules de stress, l'augmentation des pG4 due à l'enrichissement du contenu en GC à la suite de l'optimisation des codons a des conséquences inconnues mais probablement de grande portée. Il est urgent de procéder à une évaluation analytique spécifique de la sécurité de ces constructions dans les vaccins, notamment par spectrométrie de masse pour identifier l'expression cryptique et par des études d'immunoprécipitation pour évaluer le potentiel de perturbation ou d'interférence avec les activités essentielles des protéines de liaison de l'ARN et de l'ADN.

 

Il est essentiel que d'autres études soient menées pour déterminer l'étendue des conséquences pathologiques potentielles décrites dans cet article. Il n'est pas pratique que ces vaccinations soient considérées comme faisant partie d'une campagne de santé publique sans une analyse détaillée de l'impact humain des dommages collatéraux potentiels. Le VAERS et les autres systèmes de surveillance devraient être optimisés pour détecter les signaux liés aux conséquences sanitaires de la vaccination par ARNm que nous avons décrites. Nous pensons que le système de surveillance VAERS amélioré décrit dans l'étude de Harvard Pilgrim Health Care, Inc. mais qui n'est malheureusement pas soutenu par les CDC, serait un bon point de départ à cet égard (Lazarus et al.).

 

En fin de compte, des milliards de vies sont potentiellement en danger, étant donné le grand nombre de personnes auxquelles on a injecté les vaccins à ARNm SRAS-CoV-2 et le large éventail de résultats indésirables que nous avons décrits. Nous appelons les institutions de santé publique à démontrer, preuves à l'appui, pourquoi les questions abordées dans ce document ne sont pas pertinentes pour la santé publique, ou à reconnaître qu'elles le sont et à agir en conséquence. En outre, nous encourageons tous les individus à prendre leurs propres décisions en matière de soins de santé en tenant compte de ces informations comme facteur contribuant à ces décisions.

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Privilèges et nuisances du trafic aérien

27 Novembre 2013, 13:47pm

Publié par Ciel Voilé

Trafic aérien en Ile de France

 

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            Le 12 octobre dernier, un collectif d’associations, militant surtout contre le bruit, organisait un colloque sur le trafic aérien en Ile de France. Il s’agit d’une réussite inédite qui ouvre, on l’espère, une période d’actions collectives. Sans surprise, aucune intervention ne concernait les avions qui sillonnent notre territoire en ne transportant  ni fret, ni passagers. Ne seront rapportées ici que les déclarations ou informations qui peuvent nous éclairer sur l’étendue de la liberté du lobby aérien, c’est-à-dire le lobby du pétrole, kérosène et gazole.

 

Bilan carbone

 

            L’Ile de France concentre 20% de la population française et 60% du trafic aérien français en 2012, soit 88 millions de passagers (71 millions en 2002). Dans aucun autre pays d’Europe, on ne rencontre une telle concentration de population à proximité des aéroports. Le trafic aérien a explosé depuis les années 1990, notamment à Orly (1 mouvement toutes les 77 secondes). Lors du plan climat parisien en 2007, le trafic aérien doublait les chiffres d’émissions de CO2, il a donc été exclu  puisqu’il était le plus gros pourvoyeur !

 

Le bilan carbone du trafic aérien en Ile de France est catastrophique :

·         6.7 milliards de litres de kérosène consommé !

·         17.2 millions de tonnes de CO2

·         6.7 millions de tonnes de vapeur d’eau

·         5 000 tonnes de SO2 (pluies acides, irritant)

·         4 000 tonnes de CO (toxique)

·         811 tonnes d’hydrocarbures imbrûlés (nocifs, cancérigènes)

·         1er émetteur de gaz à effet de serre de tous les transports en Ile de France

·         Plus de la moitié du total de toutes les émissions des transports en Ile de France !

·         Les plates-formes aéroportuaires polluent plus que le périphérique parisien : les déplacements au sol utilisent le diesel. La société Aéroports de Paris utilise environ 5 000 véhicules : 3.15 millions de m3 de méthane, 3.15 millions de litres de gazole !

2.7 millions de personnes souffrent de « disparité environnementale » -1.6 million sont gênées par le bruit - 570 000 ressentent mal le bruit des avions.

Les quotas de CO2 ont été mis en place pour seulement 15% des émissions, 85% sont libres !

 

 

Acteurs du secteur

 

            Le lobby aérien ne supporte aucune contrainte, juste faire ce qu’il veut. Les pouvoirs publics laissent faire.  Le trafic aérien est exonéré de traçabilité sous prétexte de secret commercial : aucune transparence des données. Le trafic aérien en Ile de France est une "zone de non-droit" ! C’est "l’omerta" sur les nuisances occasionnées. Pour la biosphère la dégradation est irréversible.

 

La société Aéroports de Paris (ADP), créée en 2005, détenue à 51% par l’Etat, est entrée en bourse en 2006. Par décret du 20 juillet 2005, ADP gère les stations de mesures sur les plates-formes aéroportuaires : ADP est ainsi juge et partie. Quelle est la fiabilité des mesures diffusées ? Airparif n’est pas autorisé à prendre des mesures sur les plates-formes aéroportuaires. Certains jours, les concentrations d’oxyde d’azote y dépassent les taux réglementaires. 

 

La Direction Générale de l’Aviation Civile (DGAC) est une émanation du Ministère des Transports. En principe, elle est au service des citoyens. Or, c’est un "Etat dans l’Etat" : les ministres passent, l’administration reste. La DGAC divise les associations entre elles, intervient en toute impunité,"sans contre-pouvoir".

Privilèges du trafic aérien

 

            Les OSP (Obligations de Services Publics) : «  Afin de maintenir des services aériens réguliers sur les liaisons vitales pour le développement économique de certaines régions de leur territoire, les États membres de l’Union européenne peuvent imposer des obligations de service public. Un règlement européen du 24 septembre 2008 établit des règles communes pour l’exploitation de ces services aériens dans la Communauté. » Sur Orly : 20 000 créneaux horaires. Une nouvelle navette Paris-Toulouse est prévue toutes les 20 minutes : 27 000 créneaux horaires ! Les OSP pour moins de 50 voyageurs devraient être supprimées.

 

L’aéroport du Bourget accueille l’aviation «  d’affaires » : il faudrait « dénoncer l’incurie de ces pratiques : en moyenne 2 passagers par avion ! » ( Les trois quarts des passagers circulent pour des entreprises).

 

Le kérozène est le plus polluant des carburants et pourtant le moins taxé : pas de taxe incluse (contre 0.61€ sur le litre d’essence), pas de TVA, la taxe de solidarité ne représente que quelques euros par billet. C’est une conséquence de la convention de Chicago de 1944 ( devenue obsolète) destinée à favoriser le trafic aérien, même s’il est polluant.

 

Les pouvoirs publics sont extrêmement généreux pour le trafic aérien :

 

·         L’Etat a fait cadeau du foncier à ADP :  extrait du rapport de la Cour des Comptes : « Le choix de transférer en pleine propriété à la société ADP les biens du domaine public de l’Etat prive ce dernier des avantages liés à la propriété de ces actifs sur le long terme. Ce qui est d’autant plus critiquable du point de vue de la préservation de son intérêt, qu’il existait la possibilité d’opter pour une solution consistant à ne céder que l’usufruit de ces biens domaniaux. »

 

·         L’Etat a participé au sauvetage d’Air France : 53 millions d’euros

·         Vatry, entièrement financé par le département pour 140 millions d’euros est sous utilisé.

·         Les compagnies à bas coûts obtiennent des subventions pour trois ans pour l’ouverture d’une ligne sur un aéroport secondaire, au bout des 3 ans, elles ferment la ligne.

·         La moitié des investissements pour l’aéroport de Beauvais a été financée par des subventions.

·         Les plates-formes aéroportuaires ne respectent pas les règles comptables. Certaines sont maintenues alors même qu’elles sont déficitaires.

·         Les coûts de sûreté des plates-formes aéroportuaires ont été multipliés par quatre depuis le 11 septembre 2001.

 

 

 

Le rapport de force entre pouvoirs publics et lobby aérien est transparent. Les compagnies aériennes depuis 2008 ont aussi été touchées par la crise, pourtant le trafic aérien ne tarit pas. Ne serait-il pas temps de s’interroger sur les conséquences de la manipulation du climat par des épandages chimiques aériens ? D’approfondir le degré de mise en œuvre de la géo-ingénierie dans les différents pays du monde ? De se pencher sur les produits dérivés climatiques qui rapportent des dizaines de milliards par an aux spéculateurs ? Parier sur le temps qu’il fera à Paris en février prochain : vérifiez : c’est possible et ça rapporte !

 

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Comment mettre fin au paradis fiscal dont bénéficie le transport aérien ?

20 Mai 2019, 19:32pm

Publié par Ciel Voilé

Comment mettre fin au paradis fiscal dont bénéficie le transport aérien ?

Selon une étude réalisée en 2018 pour la Commission européenne mais qu'elle n'a pas rendu publique à ce jour, l’Europe demeure un « paradis fiscal » pour le transport aérien. L'état des lieux met en lumière une fiscalité particulièrement avantageuse pour le transport aérien en Europe et notamment en France, au détriment du climat.


 

https://reseauactionclimat.org/comment-mettre-fin-au-paradis-fiscal-dont-beneficie-le-transport-aerien/


 

En bref

Selon une étude réalisée en 2018 pour la Commission européenne mais qu’elle n’a pas rendu publique à ce jour, l’Europe demeure un « paradis fiscal » pour le transport aérien. L’état des lieux met en lumière une fiscalité particulièrement avantageuse pour le transport aérien en Europe et notamment en France, au détriment du climat. Démontrant les avantages de la taxation environnementale pour diminuer les émissions de gaz à effet de serre, les nuisances sonores et ce, avec un impact négligeable sur l’emploi, elle appelle à des réponses politiques immédiates.

En complément de la nécessaire taxation du kérosène, le Réseau Action climat et ses associations membres proposent, dans le cadre de la Loi Mobilité examinée dès cette semaine en commission Développement durable à l’Assemblée nationale, une « contribution climat » dont devraient s’acquitter les compagnies aériennes pour tous les billets achetés pour un décollage en France.

En France, le transport aérien hors des radars de la politique climatique et du projet de loi mobilité

Le transport aérien est le mode de transport le plus émetteur de gaz à effet de serre par personne et kilomètre parcouru : il est au moins deux fois plus émetteur de CO2 que la voiture et 14 à 40 fois plus que le train. Ses impacts dépassent le seul CO2 puisque ses trainées de condensation et les oxydes d’azote qu’il génère réchauffent aussi l’atmosphère (1). Dépourvu d’objectif contraignant sur ses émissions, le trafic aérien français poursuit sa hausse en métropole et à l’international (2), à un rythme insoutenable pour le climat. La consommation de kérosène a même cru en France en 2018 (UFIP).

Malgré ces impacts et ces tendances inquiétantes, aucune mesure de réduction du trafic aérien et des émissions de gaz à effet de serre du transport aérien n’a été prise à ce jour en France et le transport aérien est absent du projet de loi Mobilité.

A l’étranger, des démarches s’avèrent concluantes. En Suède par exemple, le nombre de passagers a diminué de près de 4,4 % sur un an, dont – 5,6 % sur les vols intérieurs, depuis la mise en place d’une nouvelle taxe climat sur les billets d’avion et la relance des trains (de nuit notamment).

La pollution du transport aérien largement subventionnée en France

La France n’a pour l’instant aucune fiscalité environnementale sur les trajets en avion. Au contraire, certaines compagnies et certains aéroports sont lourdement subventionnés pour garantir le fonctionnement des lignes régionales comme l’a démontré la FNAUT (3), le kérosène est complètement exonéré de TICPE et de TVA contrairement aux autres modes de transports -hormis le fioul maritime. De plus, le taux de TVA est réduit (10%) sur les billets acheté pour des vols nationaux tandis qu’un taux zéro de TVA est appliqué sur les billets internationaux. La taxe de solidarité est faible en comparaison d’autres taxes appliquées aux billets à l’étranger selon l’état des lieux produit par la commission européenne. La seule exonération de taxe sur le kérosène en France représente un manque à gagner de 3,6 milliards d’euros, un montant qui serait deux fois plus élevé si le kérosène était taxé comme l’essence (4).

Selon l’étude de la commission européenne, la mise en place d’une taxation du kérosène à hauteur de 33 centimes par litre permettrait de réduire de 9% les émissions de GES du secteur,  équivalant au retrait de 850 000 véhicules sur les routes de France, de 7% le nombre de personnes exposées à de fortes nuisances sonores, et aurait des « impacts négligeables » en termes d’emplois. Les arguments des opposants à la taxation environnementale du transport aérien sont donc mis à mal par l’étude de la commission européenne. De plus, le maintien des avantages fiscaux créé une injustice sociale, moins d’un quart les des ménages dont le niveau de vie est le plus faible ayant pris l’avion en 2015, contre 49% des ménages dont le niveau de vie est le plus élevé (5).

Des attentes fortes pour mettre le transport aérien à contribution et investir dans les solutions comme le train

L’étude de la Commission européenne confirme qu’il est juridiquement possible, dans le cadre de la convention internationale de Chicago, de taxer le kérosène sur les vols intérieurs et les vols internationaux, à condition que les pays s’entendent bilatéralement sur son application. La France peut donc agir sans plus attendre avec les pays volontaires pour taxer le kérosène au national et à l’international, d’autres pays taxant déjà le kérosène.

La suite de l'article :

https://reseauactionclimat.org/comment-mettre-fin-au-paradis-fiscal-dont-beneficie-le-transport-aerien/


 

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Le Covid-19 empêche les globules rouges de transporter l'oxygène

16 Avril 2020, 14:26pm

Le Covid-19 empêche les globules rouges de transporter l'oxygène

Une nouvelle étude révèle que COVID-19 attaque l'hémoglobine des globules rouges, la rendant incapable de transporter l'oxygène. Utilisons-nous un faux paradigme médical pour traiter une nouvelle maladie ?


Docteur Seheult - 11 avril 2020

 

( Ciel voilé : nous avons ajouté après l'article les définitions de certains termes médicaux utilisés)

Nous étudions le coronavirus mortel depuis décembre 2019, date à laquelle le virus a débuté à Wuhan, en Chine. Nous nous sommes principalement concentrés sur l'identification de la véritable origine du virus. Au cours des dernières semaines, cependant, notre couverture s'est déplacée vers le traitement du virus à l'aide des trois médicaments que sont l'hydroxychloroquine, le sulfate de zinc et l'azithromycine, après que le célèbre docteur français Didier Raoult ait publié les résultats de son premier traitement des patients atteints de COVID-19 en France.


Selon l'Institut national de la santé (NIH), le séquençage complet du génome du SRAS-CoV-2 a été isolé en janvier dernier par culture cellulaire chez des patients coronavirus (COVID-19) en Corée. Cependant, nous ne savons pas exactement comment le virus COVID attaque les cellules humaines. Dans la mesure où nous voulons que les gens soient guéris de cette horrible maladie, nous pensons que cette information est essentielle pour fournir le bon traitement aux patients atteints de COVID-19. Oui, les trois médicaments peuvent donner des résultats positifs, mais ils ne sont pas concluants tant qu'ils n'ont pas été démontrés dans des essais cliniques. Pour l'instant, ces médicaments apportent le soulagement tant attendu aux patients atteints de coronavirus.


Où voulez-vous en venir, vous demandez-vous ? Nous ne pouvons pas fournir le bon remède si nous ne comprenons pas complètement comment le virus attaque les cellules humaines. La question clé est donc la suivante : le COVID-19 libère-t-il réellement des ions de fer libres pour faire exploser la physiologie d'un patient ? Nous sommes donc partis à la recherche d'informations médicales crédibles en ligne.


La première recherche nous a permis de découvrir les résultats d'une nouvelle étude publiée par des chercheurs chinois, le Dr Wenzhong Liu de l'université du Sichuan et le Dr Hualan Li de l'université de Yibin. Leur recherche, publiée il y a quelques jours dans ChemRxiv, a révélé que le coronavirus Sars-CoV-2 attaque l'hémoglobine des globules rouges par une série d'actions cellulaires, qui rendent finalement les globules rouges incapables de transporter l'oxygène. C'est énorme : « rend finalement les globules rouges incapables de transporter l'oxygène ». Cela pourrait expliquer pourquoi certains patients atteints du COVID-19 sont morts après avoir été amenés à l'USI. En outre, il semble que l'utilisation d'un ventilateur puisse causer beaucoup de dommages aux patients atteints de Covid-19.


Au cours de la recherche, ils ont effectué des tests d'isolement du virus et le séquençage des acides nucléiques pour confirmer que la maladie était causée par un nouveau coronavirus. Ils ont constaté que l'acide nucléique du nouveau coronavirus est un ARN8 à brin positif. Ses protéines de structure comprennent : la protéine de pic (S), la protéine d'enveloppe (E), la protéine de membrane (M) et la phosphoprotéine de la nucléocapside.


Des études antérieures ont également montré que le nouveau coronavirus pénètre dans les cellules épithéliales par l'intermédiaire de la protéine de pic qui interagit avec la protéine du récepteur ACE2 humain à la surface, provoquant une infection humaine. Cependant, l'analyse structurelle de la protéine de pic (S) du nouveau coronavirus révèle que la protéine S ne se lie que faiblement au récepteur ACE2 par rapport au coronavirus du SRAS. Le rapport des chercheurs démontre que les taux d'hémoglobine et de neutrophiles de la plupart des patients ont diminué, et que les valeurs d'indice de la ferritine sérique, de la vitesse de sédimentation des érythrocytes, de la protéine C-réactive, de l'albumine et de la lactate déshydrogénase de nombreux patients ont augmenté de manière significative.


En d'autres termes, le coronavirus se faufile dans les cellules par l'intermédiaire des récepteurs ACE2 dans les tissus pulmonaires et les attaque et provoque des dommages importants tandis que les tempêtes de cytokines créent davantage de dégâts. Cela pourrait également expliquer les symptômes de la plupart des patients atteints de COVID-19, en particulier l'incapacité de l'organisme à obtenir suffisamment d'oxygène, ainsi que l'accumulation de dioxyde de carbone qui crée ce que l'on appelle les symptômes du SDRA et le stress.


Cette découverte pourrait fournir un indice permettant de proposer le bon traitement avec des médicaments qui ciblent l'ECA2, ou l'enzyme de conversion de l'angiotensine 2 pourrait être la clé pour débloquer soit un vaccin contre le coronavirus, soit un traitement contre le COVID-19. Cette nouvelle découverte montre également que certaines des approches actuelles de traitement du COVID-19 peuvent être erronées, en particulier l'utilisation de ventilateurs d'une manière non appropriée qui pourrait en fait aggraver des poumons déjà "blessés" et enflammés.


« Ce traçage implique que l'hémoglobine du patient diminue, que l'hème augmente et que le corps accumule trop d'ions ferreux nocifs, ce qui provoque une inflammation dans le corps et augmente la protéine C-réactive et l'albumine. Les cellules réagissent au stress dû à l'inflammation, en produisant de grandes quantités de ferritine sérique pour lier les ions fer libres afin de réduire les dommages. L'hémoglobine se compose de quatre sous-unités, 2-α et 2-β, et chaque sous-unité a un hème lié au fer », a constaté l'étude.

« L'attaque entraînera une diminution de l'hémoglobine pour transporter l'oxygène et le dioxyde de carbone. Les cellules pulmonaires présentent une inflammation extrêmement intense due à l'incapacité d'échanger fréquemment du dioxyde de carbone et de l'oxygène, ce qui finit par donner des images de poumons semblables à du verre de sol. » Les patients souffrant de détresse respiratoire connaitront une aggravation. Les patients diabétiques et les personnes âgées ont un taux d'hémoglobine glyquée plus élevé. L'hémoglobine glyquée a été réduite par l'attaque, ce qui a rendu le sucre sanguin des patients instable. Comme les complexes de porphyrine du virus produits dans le corps humain ont inhibé la voie anabolique de l'hémoglobine, ils ont provoqué un large éventail d'infections et de maladies", ont déclaré les chercheurs.


D'après leurs conclusions, les dommages causés aux patients atteints de coronavirus surviennent après que le virus se soit infiltré dans un globule rouge, l'ait pris en otage et ait retiré les ions fer des groupes hémiques (HBB) pour prendre leur place. L'attaque empêche l'hémoglobine de transporter l'oxygène vers d'autres organes du corps. En conséquence, les poumons sont stressés et enflammés, tandis que les autres organes sont également privés de l'oxygène dont ils ont tant besoin. Le SDRA et la défaillance des organes qui s'ensuit peuvent être attribués à ce phénomène.


En conclusion, les deux chercheurs formulent la recommandation suivante : "Compte tenu de ces résultats, une analyse plus approfondie a révélé que la chloroquine pourrait empêcher l'orf1ab, l'ORF3a et l'ORF10 d'attaquer l'hème pour former la porphyrine, et inhiber la liaison de l'ORF8 et des glycoprotéines de surface aux porphyrines dans une certaine mesure, soulageant ainsi efficacement les symptômes de détresse respiratoire. Comme la capacité de la chloroquine à inhiber les protéines de structure n'est pas particulièrement évidente, l'effet thérapeutique sur différentes personnes peut être différent. Le favipiravir pourrait inhiber la protéine d'enveloppe et la protéine ORF7a liées à la porphyrine, empêcher le virus de pénétrer dans les cellules hôtes, et
capturer des porphyrines libres. En raison des effets secondaires et des réactions allergiques de médicaments tels que la chloroquine, veuillez consulter un médecin qualifié pour connaître les détails du traitement et ne prenez pas le médicament vous-même".


En parcourant d'autres revues fiables, nous avons constaté que les recherches ci-dessus sont étayées par une nouvelle étude menée par le NIH. Cette étude est intitulée : "L'administration d'érythropoïétine humaine recombinante à des patients gravement malades atteints de COVID-19 a-t-elle des effets thérapeutiques miraculeux ? Au cours de l'étude, un homme de 80 ans présentant de multiples comorbidités s'est présenté aux urgences avec une tachypnée, une tachycardie, de la fièvre et une saturation en O2 dangereusement basse et les résultats définitifs d'un scanner thoracique en faveur de COVID-19 et des résultats positifs de la PCR en 48 heures.


Selon l'étude, l'homme a ensuite reçu un traitement antiviral plus de l'érythropoïétine humaine recombinante (rhEPO) en raison de sa grave anémie. Après 7 jours de traitement, il a été libéré avec une amélioration miraculeuse de ses symptômes et de son taux d'hémoglobine. L'anémie résulte d'un manque de globules rouges ou d'un dysfonctionnement des globules rouges dans l'organisme, ce qui entraîne une réduction du flux d'oxygène vers les organes du corps. Comme vous pouvez le voir, l'homme qui a participé à l'étude du NIH a souffert d'une anémie sévère qui entraîne une baisse du niveau d'oxygène. Cela est similaire aux conclusions des chercheurs chinois qui ont montré l'effet du COVID-19 après qu'il « attaque l'hémoglobine dans les globules rouges par une série d'actions cellulaires, qui rend finalement les globules rouges incapables de transporter l'oxygène ».


Les chercheurs de l'étude du NIH ont conclu que la rhEPO pouvait atténuer le syndrome de détresse respiratoire et faire face au virus SRAS-CoV-2 par de multiples mécanismes, notamment la modulation des cytokines, les effets anti-apoptotiques, la libération de leucocytes de la moelle osseuse et la redistribution du fer loin du virus intracellulaire.


Pour être juste et équilibré, le Dr. Seheult, a partiellement approuvé certaines des conclusions de l'étude chinoise.


https://techstartups.com/2020/04/11/breaking-new-research-study-reveals-covid-19-attacks-hemoglobin-red-blood-cells-rendering-incapable-transporting-oxygen-fooled-covid-19-current-medical/

 

 

 

Glossaire :


* L'anabolisme est l'ensemble des réactions chimiques de synthèse moléculaire de l'organisme considéré. Il est le contraire du catabolisme, ensemble des réactions de dégradation. Le catabolisme et l'anabolisme sont les deux composantes du métabolisme.

Les réactions de l'anabolisme sont des réductions et ne sont pas spontanées, ce sont des réactions endergoniques c'est-à-dire qu'elles nécessitent un apport en énergie pour avoir lieu. On peut aussi parler de biosynthèse.

Ces réactions permettent aux organismes vivants, la synthèse de métabolites essentiels à partir des éléments de base fournis par l'alimentation et aboutissant à la construction ou au renouvellement des tissus.

Exemples : la photosynthèse, la biosynthèse des protéines.

 

* L'érythropoïétine (EPO) est une hormone de nature glycoprotéique (protéine portant un glucide).Cette hormone est une cytokine pour les précurseurs des érythrocytes dans la moelle osseuse (c'est un facteur de croissance).Elle entraîne ainsi une augmentation du nombre de globules rouges dans le sang. Il y a donc un risque d'hypertension artérielle et d'une augmentation de la viscosité

 

* On appelle hémoglobine glyquée, la part de l’hémoglobine qui se fixe sur le glucose quand le taux de sucre dans le sang est élevé.Son taux est un reflet de la glycémie pendant toute la durée de vie des globules rouges.

* L'hème est un terme chimique qui définit une structure contenant un atome de fer. De fait, il s'agit d'un élément constitutif de l'hémoglobine, qui permet le transport de l'oxygène entre les poumons et les organes puisque le dioxygène se fixe sur cet atome lors de l'oxygénation du sang. Voilà pourquoi l'hème est considéré comme un cofacteur important de l'hémoglobine.

 

* Les porphyrines sont des pigments d'un très grand intérêt biologique. Elles constituent une partie fonctionnellement essentielle de certaines macromolécules protéiniques indispensables aux processus d'oxydation. On retrouve en effet une porphyrine combinée au fer (l'hème) : dans les hémoglobines et les myoglobines, transporteurs d'oxygène atmosphérique ; dans la catalase et les peroxydases, capables de catalyser respectivement le transfert de l'oxygène moléculaire et celui de l'oxygène atomique détachés d'un substrat ; dans les cytochromes, qui fonctionnent dans la chaîne respiratoire intracellulaire comme transporteurs d'électrons.

 

 

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Que deviendrions-nous si nous perdions notre ciel ?

30 Mai 2015, 18:31pm

D'Anna North pour le New-York Times - Le 20 février 2015 - Traduction Ciel voilé

http://op-talk.blogs.nytimes.com/2015/02/20/what-if-we-lost-the-sky/?_r=2

[Avertissement : Voici un exemple d’article, d’un journal grand public, destiné à la diffusion du « discours officiel » sur l’acceptation sociale de la géo-ingénierie ( fin du texte : interview d’Alan Robock, qui comme Ken Caldeira, David Keith ou Clive Hamilton sont en charge de la propagande officielle sur la géo-ingénierie) . La marge de liberté de la journaliste pour présenter d’autres points de vue ( les plus intéressants) reste limitée.]

Cela ressemble fort à une question philosophique, mais cela pourrait devenir très concret. Un rapport diffusé la semaine dernière par le Conseil National de la Recherche lance un appel pour étudier comment inverser le changement climatique par un procédé appelé « la modification de l’albédo » : réfléchir la lumière solaire loin de la terre, par exemple en pulvérisant des aérosols dans l’atmosphère. Un tel procédé, disent certains, pourrait changer l’apparence du ciel, ce qui pourrait affecter tout, de notre santé physique à la manière dont nous nous percevons nous-mêmes.

Si la modification de l’albédo était maintenant mise en œuvre, a expliqué Alan Robock, professeur de sciences de l’environnement à l’Université Rutgers, au journaliste du Washington Post*, Joel Achenbach : « Vous auriez un ciel plus blanc, vous n’auriez plus de ciel bleu. ». Et il ajoute : « Les astronomes ne seraient pas contents parce que le ciel serait couvert en permanence. Dorénavant, cela deviendrait difficile de voir la Voie Lactée ».

La disparition du ciel de nuit aurait des conséquences importantes, déclare Dacher Keltner, professeur de psychologie à Berkeley, Université de Californie. Son récent travail s’intéresse aux effets sur la santé de l’émerveillement comme émotion. Dans une étude publiée en janvier dans le journal Emotion, lui et son équipe ont découvert que les personnes qui font l’expérience d’un grand émerveillement, ont des niveaux plus bas d’un marqueur d’inflammation lié à des douleurs physiques et mentales. L’une des plus importantes sources d’émerveillement est le monde naturel. « Quand vous allez dehors, et que vous marchez dans un beau lieu, vous ne vous sentez pas seulement soulevé mais plus fort, » dit le docteur Keltner, « il existe clairement une base neurophysiologique à cela ».

Et il ajoute que regarder un ciel étoilé procure « une émotion d’émerveillement typique », une opportunité de sentir que « vous êtes une petite et humble partie de quelque chose de plus vaste ».

« La recherche sur les effets de l’émerveillement, dit-il, laisse supposer que sans un ciel étoilé, les enfants deviendraient moins imaginatifs, se montreraient davantage suffisants et moins gentils les uns envers les autres, et cela pourrait être coûteux en termes de santé ».

Si nous perdions le ciel étoilé, « Nous perdrions quelque chose de précieux et de sacré ».

Il estime que le blanchiment du ciel diurne pourrait aboutir à « la même perte du sens de ce qui est vaste », le sens est « l'une des choses les plus importantes que les gens construisent dans leur vie », suggèrent les recherches de son équipe.


Paul K. Piff, professeur de psychologie et de comportement social à l'Université de Californie, Irvine, dit que quand il a étudié l’émerveillement chez les Himbas en Namibie, « le ciel de nuit était un des marqueurs très évidents » de l'émotion. Le ciel « a ce rôle vraiment important, évidemment, de toutes sortes de façons différentes et historiques pour le développement de l'humanité et de la conscience humaine, mais il a aussi cette caractéristique commune, que peu importe où vous êtes et d'où vous venez, il semble apporter cette expérience vraiment, vraiment incroyable de transformation ».


« Nous constatons dans notre laboratoire que l'expérience de l’émerveillement nous permet de nous sentir connecté à quelque chose de plus grand que nous- même, de voir l'humanité dans d'autres êtres humains », a t-il expliqué. « À bien des égards, c’est une sorte d'antidote au narcissisme ». Et le ciel est l'une des rares sources de cette expérience, disponible pour presque tout le monde : « Tout le monde n’a pas accès à l'océan ou aux arbres géants, ou au Grand Canyon, mais certainement tous vivent sous le ciel étoilé ».


« Chacun d’entre nous lève les yeux au ciel et se demande quelle est sa place dans l'univers », a t-il dit, « donc effacer les étoiles serait nous priver de cette expérience grandiose, chérie et extrêmement convaincante de transformation, que nous partageons tous ».


« Nous étions beaucoup plus reliés au ciel », a déclaré l'artiste Ken Murphy. « Il était là au-dessus du feu de camp, ou bien on le regardait avant d'aller au lit, maintenant nos vies ont radicalement changé, et je pense que c’est une perte à coup sûr ».


Pour son projet «Une histoire du ciel », il a installé un appareil-photo pour photographier le ciel de San Francisco toutes les 10 secondes, pendant un an. Il a ensuite monté un film en accéléré pour chaque journée et a disposé tous ces films sur une grille, créant une sorte de journal vidéo du ciel de la ville :


« Pendant que je tournais, j’étais très à l'écoute de ce qui se passait dans le ciel », a t-il dit. « C’est très parlant de suivre ce qu’il se passe au-dessus de nos têtes ». Pendant de longues randonnées pédestres, son attention s’est tournée souvent vers le ciel : « Ce drame qui se déroule tous les soirs permet vraiment de voir comment dans l'histoire, ont émergé les mythes élaborés autour de ce qu’il se passe dans le ciel. Cela a dû beaucoup occuper la conscience des gens, avant que toutes ces autres distractions ne nous absorbent ».

« C’est une pensée terriblement troublante pour moi que de l’imaginer en permanence obscurci, d’une façon ou d’une autre », a- t-il déclaré.


Pour Jennifer Wu, photographe et co-auteur du livre « Photographie: Ciel de nuit », le ciel étoilé est « une des choses dont les gens pourront toujours profiter, j’espère ». « Quand nous sortons la nuit et que nous voyons les étoiles, un lien se tisse » dit-elle. « Nous nous sentons créatifs et ressourcés. Etre à l'extérieur la nuit et regarder les étoiles nous procure une sensation de fraîcheur ».


Si quelque chose s’interposait entre nous et les étoiles, dit-elle, « Nous ne pourrions plus les photographier autant ». C’est déjà un problème pour les citadins, selon elle - en raison de la pollution lumineuse, beaucoup d’habitants des zones urbaines ne peuvent plus voir ni photographier les étoiles.


« J’aime admirer la Voie Lactée » a-t-elle ajouté. « Sortir de nuit et voir cette superbe et incroyable bande de lumière au-dessus de nos têtes, est tout simplement magnifique, et ce serait dommage de ne plus la voir, nous perdrions le sentiment d’être un de ces petits points de lumière parmi tant d’autres ».


L’obscurcissement du ciel nocturne rendrait également difficile l’étude des étoiles par les astronomes. « La technologie du télescope vient d'atteindre un stade », a déclaré Steven Flandre, le responsable des relations publiques de l'Observatoire Palomar à Caltech, « où les systèmes correcteurs sur ces télescopes sont maintenant de plus en plus capables de compenser le flou de l'atmosphère terrestre. Au moins aux longueurs d'ondes visibles, on n'a pas besoin d'aller dans l'espace comme on l’a fait avec le télescope spatial Hubble, parce qu’on peut faire aussi bien ou mieux avec la technologie de correction. Tous ces progrès deviendraient inutiles si nous perdions l'accès au ciel de nuit ».


Un domaine qui pourrait en pâtir, dit-il, serait celui de la recherche de planètes dans d'autres systèmes solaires. Et cette recherche joue un grand rôle, elle maintient l’intérêt du public pour l'astronomie : Quand nous parlons de planètes, a t-il expliqué, « nous parlons de la recherche de vie ».


Quant à connaître l’incidence sur l’humanité d’une perte dans la recherche astronomique, a t-il dit, « Au niveau pratique, je ne pense pas que nous perdions quoique ce soit. Mais à un autre niveau, nous perdrions la curiosité qui rend notre société vivante et en mouvement ».


« La recherche de vie est terriblement excitante, et on peut dire que la société, toute société, a besoin de ce genre de stimulus, sous diverses formes ».


Nous ne savons pas clairement, disent certains chercheurs, à quel point les aérosols modifieraient l'apparence du ciel. « C’est interposer des choses entre nous et la lumière », a déclaré Waleed Abdalati, professeur de géographie à l'Université du Colorado, Boulder, et l'un des auteurs du rapport. Quand vous parlez de diminuer la lumière nocturne telle celle des étoiles, il est certes possible et même probable qu'elle semblera plus faible ». « Ainsi, les aérosols pourraient blanchir le ciel pendant la journée. Quels en seront les effets visibles ? Cela dépendra de la quantité de matériau déversé dans l'atmosphère - et nous ne savons pas encore combien nous voudrions en déverser, parce que nous ne connaissons pas encore ce que les autres effets secondaires pourraient être ».


Ben Kravitz, chercheur post-doctorant au Laboratoire National du Pacifique Nord-Ouest, qui a étudié la possibilité de modification de l'albédo par les aérosols, a déclaré dans un courriel que, selon les modèles actuels, l'effet blanchissant de l'injection d'aérosols « serait semblable au ciel blanc souvent vu dans les grandes villes ou dans les zones polluées par l’industrie. « Quant à la lumière des étoiles, a-t-il dit, « je ne connais pas d'étude montrant que les aérosols risquent de masquer les étoiles. Cela semble un problème de recherche intéressant ».


Alan Robock, professeur de sciences de l'environnement, a mentionné un possible effet inverse dans une interview: « Vous obtiendrez ces magnifiques couchers de soleil rouges et jaunes », comme « les couleurs jaunes et rouges se reflètent sur le fond de ce nuage ».


Il recommande davantage de recherches sur la modification de l’albédo: « Si jamais, certains étaient tentés de le faire, je veux qu'ils soient bien informés des avantages et des risques potentiels pour prendre une décision éclairée ».


Pour comprendre en partie ces risques et ces avantages, on peut évaluer les impacts émotionnels d’un changement rapide de l’apparence du ciel. Selon le Dr Abdalati « Selon moi, ils sont énormes ».


« Je pense que leur ampleur diminuera avec le temps, en devenant la norme. Mais pour la génération qui prend la décision d'entreprendre quelque chose comme ça, de le déployer, selon moi, les implications seraient profondes ».


Pourtant, il estime qu’il nous incombe d’explorer toutes les options disponibles, même si elles ne sont jamais déployées. Cela signifie d’abord, ne pas aggraver le changement climatique, explorer toutes les façons d'éliminer le dioxyde de carbone présent dans l'atmosphère - et comprendre les implications de la dispersion d’aérosols dans l'atmosphère, même si nous ne le faisons pas. « Quelque chose comme le déploiement de la modification de l'albédo est une « solution » de la dernière chance », a t-il expliqué. « Je pense qu'elle doit être évitée à tout prix, mais on doit la connaître ». Et, a t-il dit, « Nous avons provoqué un désordre climatique. Le fait que nous parlions de ces choses le révèle ».


Pour le Dr Keltner, le ciel est une source d’émerveillement. Pour Mme Wu, il est une source de créativité. Et si un jour il devient blanc, il sera le rappel de quelque chose d'autre: le rappel que l'humanité a dépassé les bornes.

* Le Washington Post organe de propagande de Monsanto :

http://www.naturalnews.com/049887_Washington_Post_Monsanto_propaganda_quack_science.html

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Franc Zalewski confirme la découverte du Dr Carrie Madej

13 Octobre 2021, 08:03am

Franc Zalewski confirme la découverte du Dr Carrie Madej
Franc Zalewski confirme la découverte du Dr Carrie Madej
Franc Zalewski confirme la découverte du Dr Carrie Madej
Franc Zalewski confirme la découverte du Dr Carrie Madej
Franc Zalewski confirme la découverte du Dr Carrie Madej
Franc Zalewski confirme la découverte du Dr Carrie Madej
Franc Zalewski confirme la découverte du Dr Carrie Madej
Franc Zalewski confirme la découverte du Dr Carrie Madej

Un organisme parasite surnommé "La Chose" trouvé dans les vaccins COVID | Franc Zalewski : "C'est pourquoi il y a du graphène ajouté à l'intérieur des vaccins, qui nourrit l'œuf".
 

11 octobre 2021 James Fetzerblog - Franc Zalewski
 

A propos : "Je m'appelle Franc Zalewski, je suis géologue, minéralogiste mais aussi archéologue, cosmologue, égyptologue, fasciné par les mathématiques et par vocation je suis un découvreur de vérité en Pologne et dans le monde." - Franc Zalewski

 

https://jamesfetzer.org/2021/10/parasitic-organism-dubbed-the-thing-found-in-covid-vaccines-dr-franc-zalewski-thats-why-theres-graphene-added-inside-the-vaccines-which-nourishes-the/

 

Beaucoup de gens sont peut-être déjà au courant de l'étrange parasite ressemblant à une "hydre" qui a été découvert dans les vaccins COVID par le Dr Carrie Madej et quelques autres chercheurs/scientifiques. Carrie Madej a été une fervente opposante aux vaccins covid et a participé à de nombreuses interviews et événements afin d'alerter le public sur ces injections dangereuses.
Voici une interview entre elle et Stew Peters détaillant ce qu'elle et son équipe ont trouvé en enquêtant sur le contenu des flacons : Un parasite qui a pu être identifié comme "hydra vulgaris" a été vu dans le vaccin COVID.


En plus de la vidéo ci-dessus, une autre personne a révélé la présence d'un organisme similaire, mais légèrement différent, dans les vaccins.


Franc Zalewski affirme avoir trouvé une forme de vie à base d'aluminium et de carbone dans les vaccins COVID. Il présente également plusieurs questions quant à la raison pour laquelle on ne les trouve que dans certains vaccins. Pour certains vaccins, dit-il, ils n'ont pu trouver qu'une solution saline.


Il en découle une hypothèse selon laquelle un vaccin légitime largement répandu et infecté par des parasites provoquerait trop d'effets secondaires néfastes d'un seul coup - ce qui serait assez alarmant pour le public. C'est pourquoi le vaccin expérimental contenant des parasites est intercalé avec des flacons de solutions salines afin d'épargner à certains les conséquences néfastes de ces effets secondaires et des décès, mais seulement pour le réintroduire plus tard avec une deuxième injection et des rappels continus.


Il ne s'agit bien sûr que d'une hypothèse, mais au vu de toutes les manipulations, de l'utilisation de gaz et de l'application d'obligation vaccinale, alors que ce n'est pas nécessaire, les raisons alternatives "pour la santé" sont de moins en moins justifiables. Gardez également à l'esprit les tentatives radicales des NIH, CDC, etc. d'interdire l'Ivermectine dans le traitement du COVID et des personnes vaccinées, un médicament bien connu et approuvé qui est sur le marché depuis des ANNÉES, et qui se trouve être efficace contre les parasites...


Mais une autre hypothèse soulevée par Franc Zalewski est que ces créatures parasites pourraient ne pas se manifester tant que les conditions de vie adéquates ne sont pas réunies. A savoir, mélangées à un hôte, avec du graphène.


Il ne mâche pas ses mots. Il n'enjolive pas ses conclusions. Il tire la sonnette d'alarme : tous ceux qui ont reçu ces vaccins risquent de voir ces êtres se développer en eux.


La vidéo de Franc Zalewski expliquant ce qu'il a trouvé dans les vaccins se trouve ci-dessous, avec une transcription basée sur les sous-titres anglais fournis. La conférence originale était en polonais. Merci beaucoup à la personne qui a traduit et fourni les sous-titres anglais.

Transcription de la vidéo de Franc Zalewski :


Premier échantillon de vaccin covid : "Et ici on peut voir un trou (parce que le ruban de graphite a été utilisé comme surface) J'ai remarqué beaucoup de cristaux, mais certains si "agressifs" que même le graphite a quelque peu fondu. Et j'ai pensé avoir trouvé quelque chose. Bien sûr, j'ai effectué des tests et il s'est avéré que c'était du sel ; ce fluide s'est avéré être une solution saline. Rien d'autre à l'intérieur.


J'ai donc continué... Ainsi, dans le premier échantillon, je n'ai rien trouvé, tout s'est desséché, et même le sel ne pouvait plus être remarqué... donc la composition du liquide varie."


Deuxième échantillon de vaccin covid : "Dans le deuxième échantillon, j'ai trouvé beaucoup de cristaux. Et ici nous pouvons voir les résultats : Ils sont constitués de sodium (Na) et de chlorure (Cl). C'est ce que nous appelons le sel de cuisine ordinaire. Le liquide ne contient donc qu'une solution saline. Mais je cherchais autre chose, et comme toujours, j'ai trouvé quelque chose. Et j'ai trouvé ceci :C'est ce que j'ai trouvé : "La Chose". Où est mon marqueur ? Nous devons écrire "ce quelque chose" en grosses lettres et en caractères gras.


J'ai continué mes études, et j'ai fait des analyses. Quelle est cette chose ? Elle semble avoir une tête et trois jambes. J'ai fait des tests, de la tête (1) et (2), (3), (4) et voilà les résultats : C'est de l'aluminium et du carbone ...excusez-moi, j'ai mon outil."


[Franc Zalewski écrit sur le tableau de présentation] : "LA CHOSE"
"Les plus timorés peuvent quitter la salle. Non, sans blague.


Les résultats des analyses suivantes sont : aluminium, brome et carbone. Cela signifie que "la chose" a des jambes de différentes couleurs. Voici les résultats des analyses de cette "chose". [Voici 1/10e de l'objet de démonstration. Si la tête ici fait 2mm, alors les jambes/bandes font 25m. La tête de 2mm, et les bandes de 25m. Comme ça."

"Et je pense : "Quel genre d'être est-ce que c'est ?" Est-ce que "la chose" est quelque chose comme cette créature avec des griffes qui tue les gens ? Ou quelque chose qui est montré dans "Matrix" qui vole, et a des tentacules, et s'attache à d'autres choses ?
Non. "Cette chose" c'est ça, ici. "Vous l'avez ici sur la photo. Les vaccins COVID-19.
Bienvenue mes amis. C'est "La Chose" que j'ai testé dans ces échantillons. Oui ? Choqué ?


"Cette chose" est donnée aux gens dans les vaccins, mais dans des oeufs. Je cherchais ses oeufs. Et ils doivent avoir un environnement approprié. Si l'injection est testée sur un plat nu, rien ne se passe, et on n'a pas trouvé d'oeufs. Peut-être qu'ils n'étaient pas à l'intérieur de l'injection, parce que certaines d'entre elles sont des solutions salines pures.


Mais si on la teste sur une bande de graphite... C'est pourquoi il y a du graphène ajouté à l'intérieur des vaccins qui nourrit les œufs.


Et chers vaccinés, vous pouvez vous évanouir maintenant... Quelque chose comme ça va se développer en vous.


La tête aura 20 microns [µ], et la longueur 2,5 mm (les tentacules). C'est une forme de vie.
Et maintenant vous devez vous demander... Trop peu ? Coïncidence... Franc vient de l'obtenir... même un écureuil aveugle trouve parfois un gland...


J'ai marqué les fioles numéro 1, 2 et 3. C'est seulement dans la troisième qu'il y avait "cette chose" à l'intérieur. Et elle a grandi pendant 4 jours. Ensuite, on l'a mise dans une chambre de pulvérisation. Là, la température est élevée, pour que le graphite soit pulvérisé, et que l'arc électrique brûle.


Une autre ! S'il n'y en avait qu'une... mais ici on en voit une autre... On peut voir la tête et les jambes qui en sortent. L'échelle est de 30 microns [µ].

"La chose" a trouvé un terrain fertile. Et ici nous avons "cette chose", elle nous sourit. Voici la tête et ici les tentacules. En voici une autre, et les tentacules colorés. Et il est fait d'aluminium et de carbone. Connaissons nous des formes de vie à base d'aluminium ?


Nous en connaissons maintenant. La majorité des gens en ont déjà dans le corps. La majorité qui l'a pris volontairement...


Je suis très heureux que nous soyons réunis ici et que je puisse vous présenter "cette chose".
Et encore "la chose" à l'intérieur d'un autre échantillon. Est-ce une plante ? De la poussière ? "Un être" donné aux gens dans des oeufs dans un environnement fertile/convenable.

 

Quelque part à proximité, il pourrait y avoir une sorte de signal qui a amené cet être à commencer à vivre. De même que les graines de pomme de pin ne pousseront pas si elles ne se trouvent pas dans un environnement approprié sur un sol fertile, la même "chose" semble ne pas bouger. Il se peut qu'elle soit en sommeil ou endormie.


Qui est prêt à avoir "ça" à l'intérieur ?


Beaucoup d'entre vous l'ont déjà choisi et reçu... Bienvenue. J'espère qu'elle ne sera pas activée.
Continuons avec les analyses suivantes. Ici nous avons des formes de vie à base d'aluminium. Connaissons-nous des formes de vie à base d'aluminium ? Je demande aux représentants les plus intelligents de ce monde. Qu'ils le présentent... mais pas en secret.


C'est l'extrémité d'un tentacule. La façon dont il est construit, ce n'est pas dentelé. C'est construit comme ça. Il se termine par une patte... Et il est fait d'aluminium. 100% aluminium. Nous avons maintenant des êtres à base d'aluminium qui sont à l'intérieur de nous. [Franc Zalewski se corrige par la suite en affirmant que l'extrémité du tentacule est à base de carbone et non d'aluminium].


Ici, nous avons 10 microns et voici la jambe. La longueur de la jambe de cet être est d'environ 2,5 mm. Ce n'est que de la vie... mais différente. Sera-t-elle bienveillante ? [...]


Ce sont les résultats des tests : l'extrémité est faite de carbone. Excusez-moi, je voulais dire carbone, pas aluminium, mais la fin est faite de carbone seulement. J'ai fait une erreur.


Voici la marque qui fabrique cette "potion de guérison" pour notre bonheur et notre bien-être. [montre une diapositive des vaccins Pfizer]. Ça vient de cette marque.


Et maintenant, on peut se demander pourquoi certaines personnes reçoivent une injection avec seulement une solution saline, et pourquoi d'autres reçoivent autre chose - des œufs.
Mais ce n'est pas à moi de le découvrir. Je suis un chercheur de la vérité, mais pas de ce monde. Ce monde, nous devons le réaliser, est presque déjà perdu.


Il suffit de regarder les statistiques. Combien de personnes l'ont déjà pris.


Oui, nous avons beaucoup de bactéries et de virus auxquels nous devons faire face. Et nous continuons à vivre. Mais personne ne nous les donnait artificiellement. Maintenant, la majorité l'a pris volontairement.


Voulez-vous avoir un être comme ça à l'intérieur de vous ? Il a de jolies couleurs, on peut s'en occuper... Mais il n'a pas été créé pour rester assis là et ne rien faire. Il veut aussi vivre et se multiplier... vous devez vous en rendre compte.


Et ce n'est pas un hérisson et ce n'est pas non plus un oursin."

"C'est une brosse à écouvillon pour collecter des échantillons d'ADN. C'est une petite brosse à écouvillon pour prélever des échantillons dans la bouche, ou de l'autre côté comme en Chine.
Pourquoi la brosse à écouvillon est-elle construite comme ça ? Chaque extrémité est fondue/scellée. Elle n'est pas coupée, elle est fondue. J'ai analysé les extrémités, ainsi que les parois latérales. Ici, nous avons la paroi latérale, et là, l'extrémité fondue. La brosse de l'écouvillon contient du titane, de l'aluminium et du carbone.


Vous devez comprendre qu'il s'agit de collecter de l'ADN. J'étais à l'aéroport... et alors que je passais devant, il était officiellement écrit : "Base de données centrale d'ADN". Et là, ils font des prélèvements.


Le but du test de l'écouvillon est de collecter de l'ADN. Pourquoi ont-ils besoin de notre ADN ? Je vous invite à le découvrir. Je plaisante, nous ne ferons pas de pause maintenant.


Mais qui est intéressé par ça ? A ceux qui s'y intéressent, je suis heureux que vous soyez ici aujourd'hui. La salle est remplie mais... Vous auriez dû être un million aujourd'hui.


Mais peut-être que derrière l'écran, un million d'entre vous, apprendront tout cela".

 

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Grande-Bretagne : un membre senior du conseil d'administration du NHS ( National Health Service) nous alerte : Arrêtez le génocide ou nos enfants seront les prochains

5 Mai 2021, 11:30am

Grande-Bretagne : un membre senior du conseil d'administration du NHS ( National Health Service) nous alerte : Arrêtez le génocide ou nos enfants seront les prochains

UK Column – Le 18 avril 2021

 

La transcription ci-dessous est celle d'un appel passé à Brian Gerrish le 18 avril 2021. La voix de l'appelant a été modifiée pour protéger son identité.

 

Le membre senior du conseil d'administration du NHS prévient que le gouvernement contrôle désormais le NHS, et que c'est le gouvernement qui dicte en fait ce que le NHS doit faire pendant les mesures d'urgence Covid. Elle affirme que le résultat des politiques de vaccination et de Covid imposées par le gouvernement peut être décrit comme un génocide. Les messages du gouvernement à ses collègues du NHS leur enlèvent toute capacité de pensée rationnelle, et ils sont effectivement contrôlés par l'esprit pour mettre en œuvre des politiques que, dans des moments plus rationnels, ils contesteraient comme étant mauvaises. La peur prévaut, et on attend d'elle et de ses collègues du conseil d'administration qu'ils respectent une ligne politique non écrite, définie principalement lors de conférences téléphoniques sans trace écrite. Elle prévient que si ses collègues en difficulté ne s'expriment pas, "vos enfants seront les prochains".

 

Brian Gerrish : J'ai été contacté par un professionnel du NHS qui aimerait me parler de ce qui se passe dans le NHS. Donc, sans plus attendre, passons à notre interlocuteur d'aujourd'hui.

Merci beaucoup de m'avoir appelé. C'est vraiment merveilleux que vous ayez eu la confiance de nous appeler au UK Column. Je vais vous poser la question clé : pourquoi m'avez-vous appelé aujourd'hui ?

 

Lanceuse d'alerte : Oui, merci. J'ai écouté - je crois que c'était votre émission de mercredi [14 avril] - le témoignage de l'infirmière que vous avez diffusé, et il m'a vraiment touché. J'ai vraiment eu mal au cœur et j'ai compris ce qu'elle traversait. Vous savez, elle avait manifestement une connaissance du NHS à l'échelle du Royaume-Uni, et une grande connaissance de ce qui se passe dans son travail.

Donc, comme vous l'avez dit, je suis un professionnel du NHS et je siège au conseil d'administration du NHS.

L'autre raison pour laquelle j'ai pris contact avec vous, c'est qu'elle a parlé à plusieurs reprises du "prochain niveau de gestion", à savoir le conseil d'administration. Je pense qu'elle rendait compte à l'un de ces conseils. Vous savez, je voulais juste partager mon histoire personnelle sur ce qui s'est passé depuis mars dernier.

 

Brian Gerrish : C'est bien sûr merveilleux, car les informations provenant directement de personnes qui sont des professionnels du système sont extrêmement précieuses. Je vais vous dire tout de suite que je réalise que faire cela est une pression énorme, donc merci, et nous respectons cela.

Donc, vous parlez de ce que vous vous sentez à l'aise de partager avec le public.

 

Lanceuse d'alerte : OK, merci. Donc, je suppose que lorsque le Coronavirus a commencé, et lorsqu'il est arrivé au Royaume-Uni - en mars de l'année dernière - évidemment les conversations portaient principalement sur les mesures pour arrêter l'infection, les prévisions, vous savez, "voici ce que nous prévoyons", vous savez, "comment gérer les services". C'est ce qui se passait, puis, au cours de l'été, on a commencé à parler un peu du développement de vaccins et de traitements potentiels, etc.

Et puis les traitements ont complètement disparu, et les discussions sur les vaccins se sont accélérées, et en novembre, nous avons vraiment commencé à parler de manière prédominante. Et, je veux dire, vous ne pouvez pas l'appeler un vaccin, parce qu'il ne répond pas à la définition, donc je vais l'appeler une injection, mais je m'assure juste que tout le monde est sur la même longueur d'onde que moi.

En novembre, il est devenu clair pour moi, et pour quelques autres collègues que je connais dans d'autres NHS Boards, que l'on allait nous demander de déployer complètement ce vaccin - et aussi qu'il y avait vraiment des problèmes de sécurité à long terme, et des choses que nous ne savions pas. Nous avons donc été surpris par l'ampleur et la rapidité de l'opération.

À l'époque, nous avons eu de nombreuses discussions, en tant que conseil d'administration, sur nos inquiétudes à ce sujet. N'oubliez pas que lorsque le NHS fait l'objet de mesures d'urgence, ce qui est et a été le cas, le gouvernement est en mesure de contrôler étroitement les activités du NHS et de lui dicter beaucoup plus de choses que s'il n'était pas en situation d'urgence.

Notre directeur général a donc discuté de nos préoccupations, et je peux dire que d'autres conseils ont eu les mêmes discussions, et en résumé, ce qu'on nous a dit en décembre, c'est : "Si vous refusez de coopérer à la mise en place de ce système, nous vous retirerons". Et cela n'a pas été dit explicitement, et cela n'a pas été mis dans les e-mails, mais il a certainement été très indiqué que c'était le cas.

 

Brian Gerrish : Donc c'était essentiellement une menace voilée. Je pense que vous appelleriez cela une menace voilée.

 

Lanceuse d'alerte : Oui. Et le deuxième défi que nous avons eu, et qui a été au centre de beaucoup de nos discussions, c'est que même si nous ne le faisions pas - si nous disions " Écoutez, nous ne le ferons pas " - alors le public que nous servons serait très en colère, ou la majorité du public que nous servons : certainement pas tous, mais la majorité du public que nous servons, aurait été très en colère à ce moment-là et aurait probablement essayé d'aider à notre retrait, parce qu'ils voulaient cela, et comment osons-nous essayer de les en empêcher !

À ce moment-là, j'ai réfléchi et je me suis dit : " Je peux soit partir, parce que je ne suis pas d'accord, soit rester et consacrer mon énergie à des choses comme le consentement éclairé, à veiller à ce que nous saisissions correctement les effets secondaires, à donner des informations équilibrées au public pour qu'il puisse prendre une décision éclairée ". Et, vous savez, les gens allaient prendre ça quoi que je fasse, mais peut-être qu'en étant là et en essayant de me concentrer sur ces domaines, je pourrais faire la différence.

C'était donc ma position à l'époque, et puis, au fil des mois, la pression du gouvernement n'a cessé de croître, et j'ai contesté à plusieurs reprises, et la plupart du temps, c'est balayé d'un revers de main ; parfois, les gens sont très désinvoltes en retour ; et parfois, c'est le silence. Mais je continue à essayer de contester, en utilisant les propres données du gouvernement, en utilisant certaines des politiques, en examinant même cet énorme problème de Covid qui prend le dessus sur tout, de sorte que tous les autres services de santé ne fonctionnent pas comme ils le devraient.

Et ce dont j'ai été témoin, vraiment, parallèlement à cela, c'est une augmentation massive de la propagande, de fausses déclarations à ce sujet, un manque total de consentement éclairé, des effets secondaires non signalés par les patients et le personnel du NHS, et cette normalisation de "Si vous êtes au lit pendant deux jours, c'est OK"( !) Et je ne me souviens pas, lorsque nous avions le vaccin contre la grippe - vous savez, les gens qui se font vacciner contre la grippe il y a quelques années - si vous étiez au lit pendant deux jours après avoir été vacciné contre la grippe, cela n'aurait pas été considéré comme OK ! Mais pour le vaccin Covid, c'est devenu normal.

 

Brian Gerrish : C'est un point extrêmement intéressant.

 

Lanceuse d'alerte : Mmm. Donc, en gros, après ces discussions - on m'a dit à plus d'une occasion que je pouvais partir si je n'étais pas d'accord, et "Le consensus a été atteint ; nous devons simplement nous y mettre maintenant". Au fil des mois, j'ai constaté que les gens se sentaient de plus en plus à l'aise avec ce déploiement et qu'ils se disaient : "Nous devons simplement nous y mettre, et voici ce que nous devons faire".

Et j'ai été témoin de beaucoup de va-et-vient de la part des gens autour de moi. Des périodes d'inquiétude, puis ils reçoivent les documents du gouvernement, et puis c'est comme, "Oh, c'est bien, c'est bien." Donc, c'est presque comme une bataille interne qui se déroule avec les collègues qui m'entourent, qui leur cause beaucoup de stress et de maladie.

 

Brian Gerrish : Certains de vos collègues du Conseil ont-ils des inquiétudes sur ce qui se passe ?

 

Lanceuse d'alerte : Oui, et ils le font parfois, mais ce qui semble se passer, c'est que c'est comme des montagnes russes. Il y aura quelque chose que je dirai, ou quelque chose qui se produira, ou quelque chose aux nouvelles qui suscitera des inquiétudes, mais une fois qu'ils auront reçu la ligne du gouvernement, cela se calmera quelque peu. Et c'est ce qui me pose problème. C'est comme une dissonance cognitive où l'inquiétude monte, puis quelqu'un les apaise et leur dit : "C'est bon, non, on a ça, et c'est bon." Et maintenant, nous sommes dans cette sorte de schéma où l'on attend simplement : "Eh bien, quelle est la position du gouvernement sur ce sujet ?"

Je pense que c'est vraiment important, en fait, que les auditeurs comprennent, parce que je pense que beaucoup de gens pensent que le NHS a le contrôle total de la situation, et ne réalisent pas que dans le cadre des mesures d'urgence, on leur dit quoi faire.

 

Brian Gerrish : C'est un point très important. Et comment leur dit-on ce qu'ils doivent faire ? On peut supposer que la politique vient du gouvernement, mais à qui est-elle transmise ? Est-ce qu'elle va aux directeurs généraux ?

 

Lanceuse d'alerte : Oui, et le directeur de la sécurité publique ou l'équivalent.

 

Brian Gerrish : Donc ces individus en particulier sont ceux qui, disons, reçoivent directement les communications du gouvernement, et ils doivent ensuite vendre cette politique au système local du NHS lui-même.

 

Lanceuse d'alerte : Oui.

 

Brian Gerrish : Et comment les instructions arrivent-elles du gouvernement ? Est-ce que cela se fait par e-mail et lettres, ou est-ce que cela se passe par des appels téléphoniques directs, par exemple ? Eh bien, ce serait des conférences téléphoniques maintenant, je suppose.

 

Lanceuse d'alerte : Oui, c'est un mélange, mais une grande partie des détails sont généralement transmis lors des conférences téléphoniques, et il n'y a pas autant d'informations envoyées par e-mail, par courrier électronique sur les politiques.

 

Brian Gerrish : Et juste pour cibler un peu les choses : pouvez-vous juste nous donner un résumé de ce qui vous préoccupe ? Vous décrivez que les choses ne vont pas bien, vous parlez des vaccins, et vous dites que les gens passent deux jours au lit, ce qui aurait été un problème pour le vaccin normal contre la grippe, mais personne n'en tient compte. Dites-nous juste ce qui vous préoccupe en ce moment à propos de ce que vous voyez se passer.

 

Lanceuse d'alerte : Oui, il y en a tellement. Je pense que les plus importantes sont l'absence d'un véritable consentement éclairé, l'absence d'un rapport équilibré entre les risques et les avantages pour les gens. Je pense qu'on dit aux gens que leurs effets indésirables sont "normaux". Je sais que le système de déclaration des cartes jaunes ne reflète pas la quantité d'événements indésirables qui se produisent réellement, et je vais vous en donner un exemple. Je connais un patient qui a signalé son effet secondaire extrême à une infirmière, et cette dernière ne l'a pas signalé au système de déclaration des cartes jaunes. C'est donc une préoccupation, car nous n'avons pas un reflet exact de ce qui se passe réellement après ces injections.

Et je pense que les effets de sécurité à long terme de ces injections ne sont pas encore connus, mais nous pouvons voir que l'impact à court terme est énorme. Et nous nous dirigeons maintenant vers un territoire où nous nous adressons à des individus sains, jeunes, fertiles, et - Dieu nous en préserve - à des enfants. Et cela, très franchement, me terrifie.

 

Brian Gerrish : Oui, et je pense que d'autres personnes ressentent la même chose, parce qu'elles pourraient dire : "Bon, d'accord, nous savons qu'il y a des effets indésirables pour le moment." Néanmoins, si nous devions adopter la position selon laquelle le nombre et la nature des effets indésirables à ce jour sont acceptables par rapport aux avantages (quels qu'ils soient), l'élément clé que le public ne connaît pas est ce que seront les réactions indésirables futures.

 

Lanceuse d'alerte: Oui, c'est exactement ça. Et je pense que cela est utilisé pour dire, "Eh bien, regardez, nous n'avons pas eu autant d'événements indésirables par rapport aux millions de personnes que nous avons vaccinées" - mais ce n'est pas une représentation réelle, et donc vous ne pouvez pas vraiment établir ces parallèles.

 

Brian Gerrish : Comment le personnel en activité - vous avez principalement parlé de la réaction d'un niveau assez élevé du NHS - comment tout cela affecte-t-il les médecins et les infirmières sur le terrain, dans les salles ? Les personnes qui doivent faire face aux effets indésirables, mais aussi celles qui doivent administrer les vaccins : comment cela les affecte-t-il ?

 

Lanceuse d'alerte : C'est là que je suis d'accord avec votre interlocuteur du 14 avril. La plupart des gens ne font que suivre ce qu'on leur demande de faire, et - même au niveau du conseil d'administration - ne savent pas ce que contiennent ces injections. J'ai testé cette théorie et j'ai constaté qu'elle était vraie. Ce que nous voyons en ce moment est, de mon point de vue, une main-d'œuvre très épuisée à qui l'on dit constamment des choses différentes.

Je vais aussi vous donner un exemple qui m'a beaucoup préoccupé récemment. Des gens qui ont les mains sèches et craquelées à cause de la quantité de lavages de mains qu'ils doivent faire ; le port constant de masques, qui cause d'énormes problèmes de peau ; des maux de tête massifs ; beaucoup de gens en arrêt maladie - et la pression qui s'exerce sur le système est énorme.

 

Brian Gerrish : Les effets que vous décrivez, des personnes qui se retrouvent avec des mains douloureuses et crevassées (et j'en ai entendu parler par de nombreuses autres personnes du NHS) : Je sais que les gels désinfectants qu'ils utilisent peuvent avoir différents effets, mais l'un des principaux est qu'ils ont tendance à dessécher la peau des gens, et si vous les utilisez tout le temps, vous finissez par avoir la peau craquelée. Bien sûr, si vous avez la peau craquelée, cela va vous rendre très vulnérable comme voie supplémentaire d'infection, avec les personnes auxquelles vous avez affaire en tant que professionnel de santé.

Et qui s'occuperait de ça ? Le Health and Safety Executive, ou qui est responsable au sein du NHS pour répondre à ce genre de préoccupations concernant le port de masques et ce qui arrive aux mains des gens en raison des préconisations sanitaires ?

 

Lanceuse d'alerte : Eh bien, le département qui supervise cela dans les services est le contrôle des infections. Et cela sera ensuite transmis à la Commission médicale.

 

Brian Gerrish : Et est-ce qu'ils produisent des rapports ? Est-ce qu'ils font leur travail et qu'il est ensuite non utilisé, ou est-ce qu'ils ne font tout simplement pas leur travail ?

 

Lanceuse d'alerte : Je ne pourrais pas le dire précisément, mais d'après ce que j'ai compris, beaucoup de gens se plaignent, mais ce n'est pas enregistré officiellement. Je regarde donc mes mains fendues, mais ce n'est pas enregistré officiellement. Et je pense qu'il y a de la peur à propos de l'enregistrement de ces choses, et qu'il y a un contrôle de l'esprit, presque, à propos de "Eh bien, vous devez le faire, parce que sinon vous pourriez être responsable de la propagation de cette infection, ou de la mort de cette personne". J'ai l'impression que la pression est énorme.

 

Brian Gerrish : Je ne veux pas vous influencer, car vous êtes ici pour raconter votre expérience, alors je vais formuler les choses très soigneusement. Au début, lorsque la pandémie a été déclarée, comment cela a-t-il affecté les gens ?

 

Lanceuse d'alerte : Je pense qu'il y avait un certain niveau de peur, mais en fait, j'ai l'impression que la peur a augmenté, parce que la propagande, les médias et la pression du gouvernement ont augmenté. C'est presque comme si vous voyiez la peur et la pression augmenter en même temps. Donc, si vous me dites "Comment les gens ont-ils réagi en avril de l'année dernière par rapport à ce qu'ils sont maintenant ?", ils sont bien pires maintenant en termes de santé globale, de bien-être mental et de niveau de peur.

 

Brian Gerrish : C'est un état de fait très triste et très grave. Ce qui me vient immédiatement à l'esprit, c'est le document SPI-B du 22 mars 2020 qui a été présenté lors de la réunion du conseil d'administration du SAGE, quel que soit le nom qu'on lui donne, où il est spécifiquement dit que l'idée était d'augmenter le facteur peur dans l'ensemble de la population. Il disait : "Les gens n'ont pas assez peur, nous devons les rendre plus craintifs pour que la politique soit effectivement mise en place".

Maintenant, la plupart des gens à qui nous avons fait circuler et diffusé ce document, l'ont bien sûr lu en tant que membre du public, et ils considèrent que c'était le message du gouvernement sur la façon de traiter le public - mais je pense qu'il n'est pas déraisonnable de dire que ces politiques psychologiques ont également été directement injectées dans le NHS, et en fait dans d'autres parties du gouvernement et de la fonction publique. Mais si nous nous concentrons sur le NHS, cette psychologie appliquée a été introduite directement dans le NHS, et on nous a donné (et nous avons trouvé par nous-mêmes) un certain nombre de documents au sein de divers trusts du NHS en Angleterre décrivant comment ils vont utiliser la psychologie comportementale appliquée pour faire progresser le programme de soins Covid et de vaccination dans les hôpitaux.

Donc, cette politique délibérée de psychologie appliquée n'était pas seulement destinée au grand public ; elle a été introduite par le NHS également, il me semble.

 

Lanceuse d'alerte : Oui, et je pense que ces types de choses ne sont pas complètement évidents, mais je peux certainement vous donner des exemples où j'ai eu des conversations très rationnelles avec mes pairs et puis nous pouvons nous asseoir quelques jours plus tard et cette conversation rationnelle a disparu. Et j'en ai une irrationnelle qui n'a pas de sens ; elle est basée sur la peur ou les émotions ou quelque chose qui a changé - par rapport à ce qu'on leur a dit dans d'autres réunions, ou ce qui s'est passé dans les briefings.

Je ne peux donc pas faire de commentaire direct sur le fait que ce soit si visible, mais il semble certainement qu'il y ait des preuves que - j'ai simplement l'impression que la plupart des gens du NHS semblent très irrationnels dans leurs choix et dans ce qu'ils choisissent de continuer à faire. Et ce n'est pas une excuse pour eux, en aucune façon, mais, vous savez, même à un niveau très élevé dans le NHS, les gens ne pensent pas rationnellement, et ils ont certainement été manipulés psychologiquement.

 

Brian Gerrish : Si nous prenons le cas des personnes du NHS qui ont déjà été vaccinées, lorsqu'elles ont reçu leur vaccin, étaient-elles réellement conscientes du détail réel des effets indésirables via le système de la carte jaune ? Les membres du NHS en savent-ils plus sur les vaccins, lorsqu'ils sont vaccinés, que, disons, un membre ordinaire du public ?

 

Lanceuse d'alerte : C'est l'autre chose qui a résonné avec votre interlocuteur de mercredi. Non, ils ne le font pas. J'ai posé la question à de nombreuses personnes, qu'il s'agisse de personnes qui font les injections ou de personnes qui siègent au conseil d'administration, et elles ne savent pas ce que contiennent les vaccins, et elles ne comprennent pas vraiment les risques. Je dirais également que la plupart des personnes à qui j'ai parlé et qui occupent un poste de direction au sein du NHS m'ont dit : "J'étais partagé entre le prendre ou ne pas le prendre".

Donc, à un certain niveau, il y a une croyance inconsciente que ce n'est peut-être pas sûr, à mon avis, parce qu'il y a beaucoup de cinquante-cinquante, mais au fil du temps, ils l'ont pris. Beaucoup de gens l'ont donc pris plus tard, plutôt que lors de la première vague, lorsqu'il était proposé aux professionnels de la santé. Et, bien sûr, ils font maintenant partie de ce groupe de personnes qui ne voudraient peut-être pas connaître les effets indésirables pour eux-mêmes, parce qu'ils ont pris cette injection.

 

Brian Gerrish : On aurait pu penser qu'à l'intérieur du système NHS, en particulier lorsque l'on remonte la chaîne de gestion, les gens seraient absolument au courant de l'existence des fiches d'effets indésirables de la carte jaune. C'est sur le site Web du gouvernement ; le NHS fait une référence indirecte au système de la carte jaune dans sa propre partie du site Web public du NHS, mais même lorsque vous arrivez à la partie MHRA, vous devez vraiment chercher les fiches techniques elles-mêmes. Je trouve toujours incroyable l'idée que les gens du NHS n'aient pas vu ces fiches eux-mêmes !

 

Lanceuse d'alerte : Oui, exactement, et quand j'ai soulevé et présenté ces faitss, et essayé de faire bouger les choses, ce qui est revenu souvent c'est, "Eh bien, oui, vous savez, il n'y en a que quelques-uns, il y a ceci, il y a cela, mais en fait, nous vaccinons des millions de personnes". Maintenant, même si vous tenez compte du fait que les rapports ne sont pas exacts, quand nous pensons à n'importe quel autre médicament dans l'histoir,e qui est passé par le NHS, il ne serait pas acceptable que tant de personnes meurent, point final. Et pourtant, dans cette circonstance, pour une raison quelconque, c'est acceptable.

 

Brian Gerrish : Eh bien, c'est présenté comme acceptable.

 

Lanceuse d'alerte : Absolument. Je veux dire, ça ne l'est pas, mais oui.

 

Brian Gerrish : L'autre personne qui a appelé a soulevé la question du manque d'information des patients et du fait que les brochures d'information pour les patients n'étaient pas remises, de sorte que les gens n'ont pas vraiment reçu d'information lorsqu'ils ont été vaccinés. Ils ont peut-être reçu quelque chose après avoir été vaccinés, mais ils n'ont pas reçu d'informations préalables qui leur auraient permis de faire ce choix si important en toute connaissance de cause. Avez-vous également constaté, ou êtes-vous au courant, que le public se fait vacciner sans recevoir toutes les informations nécessaires ? Je pense que vous l'avez mentionné plus tôt dans cette conversation, alors excusez-moi si je vous fais répéter, mais je pense que c'est une chose importante.

 

Lanceuse d'alerte : Oui, c'est l'une des choses sur lesquelles j'ai pensé que si je restais, je pourrais peut-être avoir une influence : veiller à ce que cela se produise. Et je pense que, dans une certaine mesure, mes appels ont été entendus à ce sujet, mais c'est encore terriblement insuffisant. Les gens reçoivent souvent le dépliant vingt minutes, quinze minutes, avant de recevoir l'injection. Ils sont déjà dans le centre de vaccination. C'est une opération très habile. On leur dit que tout ira bien. Vous savez, il n'y a pas de temps pour une réflexion profonde ou des questions.

 

Brian Gerrish : Pouvez-vous dire quelque chose sur les femmes enceintes ? La grossesse a été l'un des sujets brûlants, et bien sûr les femmes enceintes sont particulièrement vulnérables, l'enfant est vulnérable. Pouvez-vous nous dire quelque chose à ce sujet, ou bien les femmes enceintes passent-elles par le système et sont-elles vaccinées comme tout le monde ?

 

Lanceuse d'alerte : Je n'en ai pas connaissance, non.

 

Brian Gerrish : Eh bien, vous avez été très courageux de vous exprimer, et c'est merveilleux, car bien sûr, chaque fois que quelqu'un s'exprime, quelqu'un l'écoute et dit : " Oh, mon Dieu, je suis au courant de cela ", et donc ils sont prêts à s'exprimer également. J'espère donc vraiment que ce que vous avez fait avec nous aujourd'hui va déclencher cette réaction chez quelqu'un d'autre.

Si vous aviez une baguette magique, que voudriez-vous voir se produire en ce moment pour aider à résoudre ce qui se passe ?

 

Lanceuse d'alerte : Si j'avais une baguette magique, cela s'arrêterait tout simplement. Cela s'arrêterait maintenant, avant de blesser quelqu'un d'autre. Ce serait génial. Ce serait le plus beau jour de ma vie, parce que chaque jour, je me réveille en pensant à la façon dont je peux trouver cette pépite d'or pour essayer de faire prendre conscience aux gens qui m'entourent des dégâts que nous causons. Nous causons - je veux dire, nous avons entendu le mot "génocide" de la part de la dame mercredi. Je ne suis pas en désaccord avec cette déclaration. Et c'est terrifiant, et cela m'attriste, et la raison pour laquelle je reste où je suis pour le moment est d'essayer de faire une différence de quelque manière que ce soit, mais - comme elle l'a dit, et je suis absolument d'accord avec cela - je veux voir le jour du jugement. Je donnerai des preuves.

Et aussi, j'accepterai tout ce qu'on me demandera de faire pour rester et faire partie de tout cela, mais je continuerai à essayer de faire tout ce que je peux pour le public que nous servons, parce que ce n'est pas en abandonnant et en partant que nous obtiendrons le bon résultat. Et donc, si je peux faire de petites différences jusqu'à ce que je n'en puisse plus, alors c'est ce que je ferai.

 

Brian Gerrish : Merci d'avoir partagé cela avec nous. Et - je vais le dire en termes professionnels - si nous pouvions faire les bonnes choses et faire en sorte que tout le processus s'arrête en ce moment, ai-je raison de dire que ce serait l'occasion pour nous - en tant que nation, en tant que NHS - de faire une pause, de reprendre notre souffle, puis de regarder réellement ce qui s'est passé, de l'analyser correctement, et de décider vraiment si les politiques qui ont été promulguées étaient erronées ou si elles ont été délibérément mises en place ; sont-elles malveillantes ? Nous pourrons ainsi avoir une analyse complète de ce qui s'est passé.

 

Lanceuse d'alerte : Oui, c'est vrai, c'est vrai. Et je pense que le danger, aussi, est que pour une partie de la population, ils vont regrouper cela avec, vous savez, "Tous les vaccins sont mauvais", ou "Tout ceci est mauvais" ou "Tout cela est mauvais". Or, il se passe chaque jour des choses étonnantes au sein du NHS qui sauvent des vies. Les gens sont engagés et attentionnés. Et donc, vous pourriez perdre tout cela avec ce qui se passe, et nous devons nous arrêter et vraiment, vraiment réévaluer.

Et, vous savez, l'autre chose est que nous avons besoin de nous retrouver. Les gens qui essaient désespérément de faire la différence et qui essaient désespérément de crier à tue-tête, "S'il vous plaît, arrêtez !" Nous devons nous trouver les uns les autres, et c'est très difficile, parce que nous sommes très dispersés, nous sommes diabolisés, on nous dit de nous taire, dans chaque emploi, et cela rend le processus beaucoup plus difficile.

 

Brian Gerrish : Eh bien, je ne peux que vous remercier, mais je le pense vraiment, car il est difficile de s'exprimer. Vous avez donné un aperçu très complet de ce que vous avez vu se produire, et votre résumé à la fin, je pense, est tout simplement merveilleux, parce que, oui, nous devons rassembler les gens.

 

Quel conseil donneriez-vous à quelqu'un qui envisage de se faire vacciner - c'est ma première question - et la deuxième question est : quel conseil donneriez-vous à quelqu'un qui s'est déjà fait vacciner ?

 

Lanceuse d'alerte : Je pense que le conseil pour la première question est : "Faites vos propres recherches." Je pense qu'en tant que nation, nous sommes trop dépendants de nos professionnels de santé. Et ce n'est pas une clause dérogatoire, mais, vous savez, vous me demandez comment donner à quelqu'un le pouvoir de vraiment prendre le contrôle - parce que c'est son corps, d'accord, c'est son corps - et absolument, le NHS est là pour le soutenir, mais faites vos propres recherches, et faites-les à fond. Si vous ne savez pas comment regarder les études cliniques, trouvez quelqu'un qui le sait et demandez-lui de vous aider.

Mettez au défi les personnes qui vous appellent pour vous proposer un vaccin. Mettez-les au défi et posez-leur des questions. Nous devons conserver notre esprit critique. C'est la chose la plus importante. Je ne vais pas vous dire ce que vous devez faire. Les gens me le demandent, et je ne vais pas leur dire. Je vais leur dire : "Ecoutez, il n'y a pas de données sur la sécurité à long terme, et il peut y avoir des problèmes. Vous devez évaluer le rapport risques-avantages. Allez faire vos propres recherches aussi !" Je pense que c'est un point essentiel.

Si les gens ne sont pas en mesure de le faire, je leur donne souvent quelques domaines qu'ils peuvent explorer, et j'essaie toujours d'être équilibré, car je pense que c'est important. Vous savez, les gens doivent se faire leur propre opinion à ce sujet.

 

Brian Gerrish : Le deuxième groupe est évidemment celui des personnes qui ont été vaccinées. Nous savons qu'il y a beaucoup de gens, beaucoup de gens : ils ont été vaccinés, s'ils ont eu un effet indésirable, ils sont vraiment prêts à chercher l'information et à essayer de trouver pourquoi, donc ce sont des gens très motivés. Mais les personnes qui ont été vaccinées n'ont peut-être pas eu d'effets indésirables du tout. Devraient-ils continuer et se faire vacciner une deuxième fois ?

 

Lanceuse d'alerte : Encore une fois, je ne peux pas leur dire ce qu'ils doivent faire, mais ce que je dirais, c'est que je vois de plus en plus de personnes qui remettent en question la sécurité du vaccin après avoir reçu la première dose, à cause de ce qui se passe dans les médias, et j'ai l'expérience de personnes qui ont eu des effets indésirables mais qui n'en ont pas parlé. Et ce que je dirais, dans les deux cas, c'est : si vous avez un événement indésirable, signalez-le, parlez-en. Ne vous contentez pas d'un refus. Pour vous, et pour les autres derrière vous. Vous savez, vous avez le droit, et vous devriez vous lever et dire, "Ce n'est pas assez bon, et je dois le signaler, et vous devez vous assurer que les gens sont tenus de rendre des comptes pour cela aussi".

Je pense, pour le deuxième élément, que si les gens n'ont pas d'effets et qu'ils sont inquiets, alors je leur conseille de parler à quelqu'un. Ne restez pas assis en silence. Parlez à quelqu'un, parlez-en, faites vos recherches. C'est certainement ce que je ferais, et j'encouragerais n'importe qui d'autre à le faire aussi.

 

Brian Gerrish : Eh bien, c'est extrêmement utile, parce que bien sûr, en mettant ces questions en lumière, nous ne voulons pas ajouter au stress général et à l'anxiété dont souffrent les gens, et je peux imaginer que si vous avez reçu un vaccin et que vous entendez parler d'effets indésirables, cela peut vraiment peser sur votre esprit.

 

Lanceuse d'alerte : Oui, bien sûr.

 

Brian Gerrish : Je comprends donc parfaitement : ce que vous dites là, c'est qu'il faut faire vos recherches pour être heureux dans votre propre esprit.

 

Lanceuse d'alerte : Oui.

 

Brian Gerrish : Y a-t-il autre chose que vous aimeriez ajouter ? Ce que vous avez donné a été extrêmement intéressant et instructif.

 

Lanceuse d'alerte : Non, je pense que la seule chose que j'aimerais ajouter est : parlons-nous et soutenons-nous davantage. Je pense que beaucoup de gens qui ont été vaccinés sont assis chez eux, ils ont peur et sont inquiets, ils ne savent pas quoi faire, et ils regardent les nouvelles principales ou leur brochure du NHS. Et parler aux gens, obtenir du soutien et regarder une grande variété d'informations est tellement important pour les gens, et cela leur donnera le sentiment d'avoir plus de contrôle sur ce qui leur arrive, sur leur corps et sur leur vie.

 

Brian Gerrish : Et une chose qui m'est venue à l'esprit pendant que vous parliez, alors permettez-moi une toute dernière question : quel conseil, ou que diriez-vous à vos collègues du NHS, pour les encourager à réfléchir à ce qui se passe ?

 

Lanceuse d'alerte : Honnêtement, ce qui me vient à l'esprit est : "Vos enfants sont les prochains". Et c'est terrifiant, et ça me fait vomir quand j'y pense. Alors si vous ne parlez pas parce que vous avez été vacciné, ou si vous ne parlez pas parce que vous avez peur (je le comprends), ou si vous ne parlez pas parce que vous ne voulez pas perdre votre emploi (et je le comprends tout à fait), sachez simplement que cela ne s'arrêtera pas tant que nous ne nous lèverons pas tous pour dire "Stop". Et nous sommes de plus en plus jeunes ici maintenant, et notre temps est compté.

 

Brian Gerrish : Merci beaucoup de vous joindre à moi, et il a été extrêmement utile d'entendre les informations que vous avez à transmettre. Je sais que cela vous a demandé beaucoup de courage, alors merci beaucoup.

 

Lanceuse d'alerte : Merci.

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Trafic d'organes : du Kosovo à Gaza

28 Mars 2024, 18:49pm

Vidéo de 7' censurée à la diffusion :

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( L'effet Papillon est le nom de la chaîne)

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Les experts belges de la santé accusent l'OMS de simuler une pandémie de coronavirus

9 Octobre 2020, 07:18am

Les experts belges de la santé accusent l'OMS de simuler une pandémie de coronavirus

Jeudi 8 octobre 2020 - Zoey Sky - Natural News

 

Le 5 septembre, des experts de la santé en Belgique ont présenté une lettre ouverte exhortant les autorités à enquêter sur la manière dont l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) a simulé la pandémie de coronavirus (COVID-19).

 

L'année 2020 touche à sa fin. Alors que le coronavirus continue de se propager, les stratégies appliquées par les gouvernements du monde entier ont fait plus de mal que de bien, paralysant les économies et affectant négativement le bien-être général du public.

 

Un débat ouvert sur la soit-disant « pandémie » :

 

La lettre ouverte dit :

 

« Nous, médecins et professionnels de la santé belges, souhaitons exprimer notre vive inquiétude quant à l'évolution de la situation au cours des derniers mois autour de l'apparition du virus du SRAS-CoV-2. Nous demandons aux responsables politiques d'être informés de manière indépendante et critique dans le cadre du processus décisionnel et de la mise en œuvre obligatoire des mesures de lutte contre le coronavirus. Nous demandons un débat ouvert, où tous les experts seraient représentés sans aucune forme de censure. Après la panique initiale autour du Covid-19, les faits objectifs montrent maintenant une image complètement différente - il n'y a plus de justification médicale à une quelconque politique d'urgence ».

 

Les experts ont indiqué que la gestion actuelle de la crise est désormais totalement disproportionnée, avec des effets néfastes sur la santé de nombreuses personnes et des restrictions sur nos droits publics, en particulier dans les zones où les fermetures sont prolongées.

 

Préserver la santé publique en protégeant les droits de l'homme

 

En 1948, l'OMS a défini la "santé" comme "un état de complet bien-être physique, mental et social, et pas seulement l'absence de maladie ou d'autre déficience physique".

 

Cela implique que la santé est un concept large qui affecte le bien-être physique, émotionnel et social d'une personne. Il est du devoir de la Belgique et d'autres nations de garantir les droits fondamentaux des citoyens en tenant compte de ces droits lors de la prise de décisions visant à améliorer la santé publique.

 

Dans les premiers jours de la pandémie, les mesures appliquées dans le monde entier étaient raisonnables - l'OMS avait initialement prévu que le coronavirus ferait 3,4 % de victimes ou entraînerait des millions de décès. L'organisation a également fait état de l'absence de traitement ou de vaccin contre ce virus très contagieux, ce qui aurait mis à rude épreuve la capacité des unités de soins intensifs (USI) des hôpitaux.

 

Ces annonces ont provoqué une panique mondiale, sans précédent dans l'histoire. Pour "aplatir la courbe", il a été conseillé aux pays d'imposer des mesures d'austérité qui paralysent la société, l'économie et les individus en bonne santé.

 

Comprendre le COVID-19

 

Contrairement à la menace incurable décrite par l'OMS, les experts ont affirmé que le coronavirus avait suivi le cours d'une vague d'infection normale, tout comme la saison de la grippe. Ils ont également noté que des tendances similaires ont été observées en comparant les vagues d'infection dans les pays appliquant des politiques de confinement strictes à celles des pays qui n'imposent pas de confinement, comme l'Islande et la Suède. Cela montre que les mesures de confinement imposées ne sont pas nécessaires pour maintenir le cours de l'infection.

 

Comme pour la saison de la grippe, le temps, la température et l'humidité, ainsi que l'immunité croissante, sont plus susceptibles de réduire la vague d'infection.

 

Quels sont les effets du confinement sur la santé physique et mentale ?

 

Des études suggèrent qu'au lieu de prévenir les infections, les confinements prolongés, l'isolement social et les malheurs économiques dûs à la pandémie sont liés à un plus grand nombre de cas de "dépression, d'anxiété, de suicides, de violence intrafamiliale et de maltraitance des enfants".

 

À maintes reprises, la recherche a confirmé que le maintien de relations solides est crucial pour la résistance d'une personne aux virus. Avec le onfinement obligatoire et les quarantaines, il est possible que les gens soient devenus plus sensibles aux infections.

 

Les personnes âgées sont devenues inactives en raison des mesures d'isolement. En outre, la distanciation sociale a été liée à la peur, au stress et à la solitude. Ces facteurs ont un impact négatif sur la santé psychologique et générale.

 

N'existe-t-il pas de remède contre le coronavirus ?

 

La mortalité est nettement plus faible que prévu. Avec 1,2 %, elle est plus proche de celle de la grippe saisonnière normale. On peut affirmer sans risque que le nombre de décès dus aux coronavirus est largement surestimé.

 

Notez que le décès par le COVID-19 est différent du décès avec le COVID-19. Les humains sont souvent porteurs de plusieurs virus ainsi que de bactéries potentiellement pathogènes.

 

Dans la plupart des cas, les personnes testées positives peuvent être mortes d'autres causes, ce qui n'est pas toujours inclus dans les données présentées sur les cas confirmés et les décès.

 

Des études ont également permis d'identifier les groupes les plus vulnérables. La plupart des patients décédés avaient 80 ans ou plus.

 

Par ailleurs, 70 % des personnes décédées qui avaient moins de 70 ans souffraient également d'un trouble sous-jacent comme une maladie cardiovasculaire, le diabète sucré, une maladie pulmonaire chronique ou l'obésité. Les résultats ont montré que 98 % des personnes infectées ne sont pas tombées malades, n'ont pas souffert de symptômes légers ou se sont rétablies spontanément.

 

Les experts ont également trouvé des traitements abordables, efficaces et sûrs lorsqu'ils sont utilisés sur des patients présentant des symptômes légers. Il s'agit notamment de l'hydroxychloroquine (HCQ), de l'azithromycine et du zinc. L'application immédiate de ces traitements améliore les chances de guérison des patients et peut même éviter l'hospitalisation.

 

Mais au lieu de faire connaître ces traitements potentiels, les médias grand public tentent de censurer et même de faire taire les informations à leur sujet.

 

Des études sur la vaccination contre la grippe révèlent que des vaccins ayant un taux d'efficacité de plus de 50 % n'ont été mis au point que trois fois en dix ans.

 

Les virus mutent naturellement et, comme l'ont montré les cas annuels de grippe, les vaccins ne sont qu'une solution temporaire qui nécessite de nouveaux vaccins. Au lieu de se concentrer sur le développement d'un vaccin COVID-19 non testé qui pourrait avoir de nombreux effets secondaires négatifs, les gouvernements du monde entier devraient élaborer des stratégies pour prévenir efficacement les infections.

 

Le rôle des médias dans la pandémie

 

Au cours des derniers mois, les fonctionnaires ont utilisé les grands médias pour faire peur aux gens au lieu de les aider à se tenir informés sur le coronavirus. Au lieu d'être partiaux, les journalistes doivent présenter les nouvelles de manière objective et neutre pour aider tout le monde à rester informé et pour éviter une panique générale.

 

Plutôt que de censurer les vidéos et les articles sur les traitements alternatifs COVID-19, les politiciens et les professionnels de la santé devraient s'attacher à les tester et à vérifier leur efficacité.

 

Terrifier les citoyens avec des chiffres jour après jour sans expliquer ce que ces chiffres signifient a fait plus de mal que de bien. Au lieu de simplement présenter ces chiffres, les reportages devraient les comparer aux décès dus à la grippe d'autres années et aux décès dus à d'autres causes pour éviter une panique générale.

 

Les experts belges de la santé demandent que l'OMS réponde de son rôle dans cette "infodémie", qui consiste notamment à utiliser la censure des médias pour faire taire "toutes les opinions divergentes du discours officiel, y compris de la part d'experts ayant des points de vue différents".

 

Soutenir une discussion ouverte sur les mesures de prévention de la maladie signifie que les experts peuvent aider les patients atteints de COVID-19 à se rétablir tout en veillant à ce que le public soit informé sur la prévention efficace des infections dans le cadre de la soi-disant pandémie.

Signataires

Les sources comprennent :

GreatGameIndia.com

Docs4OpenDebate.be

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10% du budget annuel de Paris à la Fondation Rockefeller

8 Avril 2018, 14:24pm

Publié par Ciel Voilé

10% du budget annuel de Paris à la Fondation Rockefeller

Paris ville résiliente

En devenant membre du réseau 100 villes résilientes, la ville de Paris, verse chaque année 10% de son budget à la Fondation Rockefeller !

Visitez le site : https://www.paris.fr/parisresilient

« Membre depuis 2015 du réseau des 100 Villes Résilientes, créé par la Fondation Rockefeller, la Ville de Paris a conduit un état des lieux des forces et faiblesses du territoire, puis développé une stratégie de résilience urbaine, présentée au Conseil de Paris le 25 septembre 2017.

Ce travail est piloté par un Haut Responsable de la Résilience et son équipe, au sein de la l’administration municipale, et fait suite aux engagements pris pendant la COP 21 de consacrer au moins 10% du budget de la ville aux efforts de résilience.

À l’issue d’une première phase d’état des lieux des forces et faiblesses du territoire parisien et de sa capacité actuelle de résilience, en juillet 2016, le réseau «100 Villes Résilientes» a proposé le financement d’un deuxième poste, pour une durée d’un an, afin de soutenir le Haut Responsable de la Résilience dans l’élaboration de la stratégie. 

Les enjeux prioritaires 

L’état des lieux de la résilience de Paris, qui a mobilisé plus de 800 parties prenantes, a permis d’identifier six enjeux prioritaires, qui fragilisent le territoire et constituent des défis pour Paris. Cette liste n’est pas exhaustive. Paris est et sera confrontée à d’autres risques, liés notamment aux nouvelles technologies mais aussi au nucléaire, à une pandémie ou des épidémies, un choc financier, pétrolier, des grèves massives ou encore des blocus routiers. In fine, la résilience consiste à se préparer à faire face à l’imprévisible, à n’importe quels types de chocs ou de stress chroniques. Les enjeux dégagés constituent donc un socle de la stratégie de résilience de la Ville, et différentes solutions et actions concrètes répondant à ces enjeux sont identifiées autour des axes suivants :

1. Les inégalités sociales, économiques et territoriales, et les risques pesant sur la cohésion sociale.

2. Le risque terroriste et le contexte sécuritaire.

3. Le dérèglement climatique.

4. La pollution de l’air, enjeu prioritaire pour la santé.

5. La Seine et les risques liés au fleuve

6.La gouvernance territoriale

 

 Qu'est-ce que la résilience urbaine ?


Les villes font face à une gamme croissante d'adversités et de défis au XXIe siècle. Des effets du changement climatique à l'augmentation des populations migrantes et des infrastructures inadéquates, aux pandémies et aux cyberattaques. La résilience est ce qui aide les villes à s'adapter et à se transformer face à ces défis, en les aidant à se préparer aux attentes et aux imprévus.


100RC définit la résilience urbaine comme « la capacité des individus, des communautés, des institutions, des entreprises et des systèmes dans une ville à survivre, s'adapter et grandir, quels que soient les types de stress chronique et les chocs aigus qu'ils subissent».


Construire la résilience urbaine nécessite de regarder la ville de manière holistique: comprendre les systèmes qui composent la ville et les interdépendances et les risques auxquels elle peut être confrontée. En renforçant le tissu sous-jacent d'une ville et en comprenant mieux les chocs et les stress potentiels auxquels elle peut être confrontée, une ville peut améliorer sa trajectoire de développement et le bien-être de ses citoyens.

https://www.100resilientcities.org/10percent-resilience-pledge/

 Dividende de résilience


https://www.rockefellerfoundation.org/blog/valuing-resilience-dividend/


L'application d'une optique de résilience conduit à des projets et des politiques mieux conçus qui répondent à plusieurs défis en même temps, améliorant ainsi les services et économisant des ressources. C'est ce que l'on appelle le « dividende de la résilience », c'est-à-dire les avantages sociaux, économiques et physiques nets obtenus lors de la conception d'initiatives et de projets prospectifs, axés sur le risque, inclusifs et intégrés.


Pour en savoir plus sur la façon dont le renforcement de la résilience aide les villes à s'améliorer dans les bons et les mauvais moments - pour tous les citoyens - passez en revue le travail de la Fondation Rockefeller sur le dividende de résilience.


L'engagement de résilience de 10%

La promesse de résilience de 10% exhorte les maires des villes 100RC à s'engager de façon plus ambitieuse dans la résilience des villes, en promettant 10% des budgets annuels de leurs villes pour des objectifs et des projets de résilience sans lever de fonds ou de taxes supplémentaires.
https://www.100resilientcities.org/10percent-resilience-pledge/

 

 


http://www.wikistrike.com/2016/01/hidalgo-offre-a-la-fondation-rockeffeler-la-resilience-de-paris.html

 

https://www.nato.int/cps/su/natohq/official_texts_133180.htm

 

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