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Ciel Voilé

Résultat pour “effet secondaire en attente”

SMS gate : plainte contre Ursula Von der Leyen

18 Mars 2024, 18:25pm

SMS gate : plainte contre Ursula Von der Leyen

Plusieurs états portent plainte contre Ursula Von der Leyen pour corruption dans le cadre du SMS Gates. Entre entrave politique à l'enquête et recherche de soutien, quel avenir pour Ursula ?


 

Xavier Azalbert, France-Soir Publié le 18 mars 2024 – 10:23


 

Depuis 2021, l’association BonSens.org mène plusieurs actions juridiques, dont une action civile à l’encontre de Santé Publique France et de la société Pfizer/BioNtech, afin d’obtenir la nullité des contrats d’acquisition de vaccins contre la Covid sur le motif général que « la fraude corrompt tout ». Leur négociation, effectuée par une équipe dédiée, a été marquée par de nombreux échanges SMS entre la présidente Ursula Von der Leyen et Albert Bourla, président de Pfizer, dont le contenu reste à ce jour inconnu. Après analyse, le docteur en droit Olivier Frot déclarait  « un contrat aussi favorable à l’industriel, cela me parait anormal ».

Dans l’optique de lever l’opacité tant sur les contrats que sur les éléments de négociation, BonSens.org a cherché à obtenir les textos par une procédure en France et aux États-Unis. En effet, il y a lieu de penser que les SMS renferment un pacte de corruption qui pourrait expliquer les clauses léonines de ce contrat, notamment l’absence de responsabilité de Pfizer pour les effets indésirables, mais aussi l’absence des spécifications exactes des produits.

Devant l’impossibilité d’obtenir les SMS, Frédéric Baldan, lobbyiste belge, est parti du principe que les SMS ont été détruits. Le 5 avril 2023, il déposait une plainte pénale avec constitution de partie civile entre les mains de Frédéric Fresnay, juge d’instruction à Liège, contre Ursula Von der Leyen. Les chefs d’accusation étaient usurpation de fonctions et de titre, destruction de documents et prise illégale d’intérêt et corruption. Le juge d’instruction belge partait donc à la recherche des textos.


 

La suite :


 

https://www.francesoir.fr/politique-monde/plusieurs-etats-portent-plainte-contre-ursula-von-der-leyen-pour-corruption-dans-le


 

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“Un acte de censure scientifique stupéfiant” : une revue rétracte une étude évaluée par des pairs critiquant le vaccin Covid-19

5 Mars 2024, 18:00pm

“Un acte de censure scientifique stupéfiant” : une revue rétracte une étude évaluée par des pairs critiquant le vaccin Covid-19

Un acte de censure scientifique stupéfiant” : une revue rétracte une étude évaluée par des pairs critiquant le vaccin Covid-19

Lundi, la revue Cureus a rétracté le premier article évalué par des pairs qui présentait une analyse approfondie des données des essais du vaccin ARNm Covid-19 et des lésions consécutives à l'injection. Les auteurs de l'article ont également appelé à un moratoire mondial sur les vaccins.


 

Brenda Baletti – Le 5 mars 2024


 

Lundi, la revue Cureus a rétracté le premier article évalué par des pairs qui présentait une analyse approfondie des données des essais du vaccin ARNm Covid-19 et des lésions consécutives à l’injection. Les auteurs de l’article ont également appelé à un moratoire mondial sur les vaccins.

Le Dr Peter McCullough, l’un des auteurs de l’article, a qualifié la rétractation d’”acte stupéfiant de censure scientifique”. Il a dit au Defender :

La revue et ses rédacteurs avaient le droit de rejeter l’article à tout moment au cours du processus d’examen. Une fois publié, la rétractation d’un article sans justification adéquate constitue une violation des lignes directrices du Comité d’éthique de la publication (COPE) “.

Le document, publié le mois dernier, décrit en détail les graves effets nocifs potentiels des vaccins, les problèmes de contrôle et de traitement des vaccins, les mécanismes à l’origine des effets indésirables, les raisons immunologiques de l’inefficacité des vaccins et les données relatives à la mortalité issues des essais d’homologation.


 

La suite :


 

https://www.mondialisation.ca/un-acte-de-censure-scientifique-stupefiant-une-revue-retracte-une-etude-evaluee-par-des-pairs-critiquant-le-vaccin-covid-19/5687161


 

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Les globules rouges des mammifères endommagés par les toxines Bt Cry

18 Mai 2013, 11:16am

Publié par Ciel Voilé

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Fritz Kreiss, le 6 mai 2013


Des études démontrent que les toxines Bt trouvées dans les cultures de Monsanto sont dangereuses pour le sang des mammifères, elles endommagent les globules rouges et plus encore. Les globules rouges apportent l'oxygène à tous nos tissus par le flux sanguin.


Bacillus thuringiensis (Bt) est une bactérie communément utilisée comme pesticide. C’est un micro-organisme qui fabrique des produits chimiques toxiques. On le trouve dans l'environnement, généralement isolé à partir du sol, des insectes et des surfaces végétales. Avant cette étude, on pensait qu’il n’était toxique que pour les insectes, mais cette étude prouve le contraire.


Dr. Mezzomo et son équipe de scientifiques du service de Génétique et  Morphologie de l'Institut des sciences biologiques à l'Université de Brasilia a récemment publié une étude impliquant Bacillus thuringiensis (toxine Bt) et ses effets sur le sang des mammifères. Selon l'étude, les toxines « Cry » que l'on trouve dans les cultures OGM de Monsanto comme le maïs et le soja, sont beaucoup plus toxiques pour les mammifères qu'on ne le pensait précédemment. L'étude a été publiée dans le Journal d’Hématologie et de maladies thromboemboliques (1).


Nous ne sommes pas favorables à l'expérimentation animale, nous pensons qu'elle est inutile. Il est évident que les cultures OGM causent des dommages importants à la santé humaine. Les études qui ne nécessitent pas de tests sur les animaux ont déjà démontré les dangers de la consommation d'OGM. La présente étude a malheureusement nécessité l'utilisation de souris albinos suisses pour évaluer les toxines Bt correctement. Dans le même temps, nous savons que l'existence des OGM est complètement inutile.


Les progrès du génie génétique promettent l'expression de multiples toxines Cry en plantes Bt, appelées gènes pyramidaux. Par conséquent, des études sur les espèces non-cibles font partie des exigences des protocoles internationaux pour vérifier les effets néfastes de ces toxines, et assurer la sécurité sanitaire humaine et la protection de l’environnement.


En raison de son utilisation croissante dans les activités agricoles, les toxines Bt Cry sont déjà présentes dans l’environnement, dans  le sol et l'eau. Par conséquent, la disponibilité biologique des protéines Cry a augmenté, et pour des raisons de sécurité biologique, leurs effets indésirables doivent être étudiés, principalement pour les organismes non-cibles. Des études sont donc nécessaires pour évaluer la toxicité Bt sur les organismes non-cibles; la persistance de la toxine Bt et sa stabilité dans les milieux aquatiques. Egalement les risques pour les humains et les animaux exposés à des niveaux potentiellement toxiques de Bt par leur alimentation. (1)


Ainsi, nous avons cherché à évaluer, chez des souris albinos suisses, la toxicité hématologique et la toxicité génétique des quatre Bt Cry ...


 Des scientifiques ont testé des niveaux allant de 27 mg à 270 mg sur une période de sept jours, il était remarquablement évident que les toxines Cry étaient toxiques pour le sang, même aux doses les plus faibles administrées. Les hémotoxines détruisent les globules rouges,  perturbent la coagulation du sang et provoquent la dégénérescence des organes et des lésions tissulaires.


Le nombre des globules rouges, ainsi que leur taille, a considérablement diminué, et dans la même proportion les niveaux d'hémoglobine disponibles pour fixer l'oxygène. Tous les facteurs caractéristiques des globules rouges ont subi des dommages à tous les niveaux de toxine administrés et pour toutes les protéines Cry. Les essais ont clairement démontré que les protéines Cry résultant de la toxine Bt étaient toxiques pour les cellules de moelle osseuse. Des études montrent sans exception, que ces protéines tuent les cellules sanguines en ciblant les membranes cellulaires des globules rouges.


Cry1Ab (la protéine commune au maïs Bt et au soja Bt) a induit une anémie hypochrome microcytaire chez la souris, même à la dose testée la plus basse de 27 mg / kg, et cette toxine a été détectée dans le sang de femmes non enceintes, de femmes enceintes et de leur fœtus   au Canada, supposés exposés par leur régime alimentaire. Ces données, ainsi que l'augmentation de ces toxines dans l'environnement, renforcent la nécessité de recherches plus poussées, d'autant plus que peu d’informations sont disponibles sur les effets néfastes des toxines Bt Cry sur les espèces non-cibles. (1)


Dr. Mezzomo et son équipe ne sont pas le seul groupe de scientifiques à découvrir les effets nocifs des toxines Bt. Le Professeur Joe Cummins, professeur émérite de génétique à l'Université de Western Ontario les a également étudiés (2) (3) (4). Il a conclu qu'il y a suffisamment de preuves que la toxine Bt a un impact direct sur la santé humaine en endommageant l'iléon, dernière partie de l'intestin grêle responsable de l'absorption de la vitamine B12. Il souligne également qu’il n’a pas été prouvé que le gène de la toxine Bt Cry soit le même que le gène bactérien naturel. Comme mentionné dans le premier paragraphe, ce dernier est naturellement présent dans l'environnement, habituellement isolé à partir du sol, des insectes et des surfaces végétales.


Chaque jour apporte de nouveaux renseignements sur les OGM. Nous avons tellement de preuves que ces aliments sont dangereux, et pourtant ils continuent d'être produits en masse et les sociétés qui les développent sont constamment protégées. La vérité perdure, vous avez toujours le choix de ce que vous ingérez. J'encourage chacun à la lecture de cet article à poursuivre ses recherches. La plupart des « industries » que nous avons aujourd'hui sur la planète ne sont pas vraiment nécessaires, mais on veut nous faire croire qu’elles le sont.


Fritz Kreiss est fondateur de  OccupyMonsanto. Parcours professionnel dans le domaine de la santé : nutrition, phytothérapie, médecine orientale, acupuncture, kinésiologie, physiologie,  de nombreuses années de pratique en tant que kinésithérapeute professionnel et enseignant.

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Sources:

http://gmoevidence.com/wp-content/uploads/2013/05/JHTD-1-104.pdf (1)
http://www.biotech-info.net/bt_cummins.html  (2)
http://www.i-sis.org.uk/Bt-toxin.php (3)

http://www.gefree.org.nz/assets/pdf/joecummins.pdf  (4)
http://occupymonsanto360.org/2013/05/06/new-study-proves-bt-toxins-in-gmos-toxic-to-mammalian-blood/
http://www.nationofchange.org/new-study-proves-bt-toxins-gmos-toxic-mammalian-blood-1367936953 

+ en français :   * Qu’est-ce qu’une plante Bt ? : http://www.infogm.org/spip.php?article961  

                          *Toxine Cry : http://www.symposcience.org/exl-doc/colloque/ART-00000787.pdf  

 

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Pétition : NON à la vaccination de nos enfants contre le COVID-19 !

2 Mai 2021, 19:22pm

Pétition : NON à la vaccination de nos enfants contre le COVID-19 !

Adressée à : Monsieur Olivier Véran, Ministre des Solidarités et de la Santé

Vaccination de nos enfants : trop peu de recul et inutile

Selon Agnès Pannier-Runacher, Ministre déléguée à l’Industrie, le sujet de la vaccination des enfants est actuellement sur la table et sera étudié sérieusement ces prochains mois. [1]

L’ambition du gouvernement est d’atteindre "l'immunité collective” le plus rapidement possible avec une telle mesure. 

Depuis le mois de janvier, plusieurs laboratoires ont débuté les essais sur des adolescents et des enfants. [2]

L’argument avancé par les promoteurs de cette idée est que les enfants seraient des « réservoirs » pour le COVID-19. [3] Généralement asymptomatiques, ils participeraient à la propagation du virus, notamment chez leurs parents et leurs grands-parents. 

Il s’agit ni plus ni moins d’une manipulation des données scientifiques dont nous disposons : plusieurs études montrent que le rôle des enfants dans la propagation du Covid est très faible. [4, 5]

Un article du journal de référence suisse, Le Temps, révélait ainsi en novembre dernier que si la charge virale des enfants pouvait atteindre celle des adultes… ils étaient cependant beaucoup moins contagieux : 

les différentes observations tendent à montrer que les enfants ne seraient pas des moteurs efficaces de la propagation du virus.[6]

De son côté, l’Agence européenne du médicament n’a donné aucune indication ou autorisation quant à la vaccination des enfants de moins de 16 ans. [7]

Les enfants ne sont pas une cible prioritaire.

Les enfants ne peuvent pas être une cible prioritaire pour la vaccination. 

Et ils ne doivent pas l’être. 

Il ne s’agit pas seulement d’une démarche mal étayée scientifiquement : il s’agit d’une mesure hasardeuse pour la santé des plus jeunes

Le manque de recul sur ces nouveaux vaccins aux essais cliniques précipités devrait nous faire réfléchir à deux fois. 

Quels sont les risques réels d’effets secondaires ? Quel sera l’impact dans 10 ou 20 ans sur la santé de nos enfants ? 

Rappelez-vous de la vaccination pour l’hépatite B au début des années 2000. Certains soignants qui ont été obligés de se faire vacciner sont actuellement en fauteuil roulant à cause de la sclérose en plaques. [8] 

Des études démontrent déjà de nombreux effets secondaires sur les vaccins, notamment des thromboses sur de jeunes adultes. [9]

Alors que la vaccination n’est ouverte que depuis 4 mois !

Nos enfants auront-ils également comme effet secondaire l’apparition de caillots sanguins ? A un si jeune âge ?

Un autre risque plus spécifique aux vaccins à ARN plane sur les personnes recevant des vaccins type Pfizer : là encore nous manquons gravement de recul sur les conséquences à long terme de l‘administration de ces thérapies géniques. [10]

Il est de notre devoir de rejeter la vaccination de nos enfants

Le risque de complications chez les enfants malades du Covid-19 est faible. C’est aux personnes qui risquent de contracter une forme grave de considérer la vaccination. 

Il en va de leur responsabilité personnelle

Depuis plus d’un an, nos enfants :

  1. Renoncent à une scolarité normale

  2. Sont privés de jouer avec leurs amis et de sorties culturelles

  3. Ne peuvent pas voir leurs grands-parents

Depuis trop longtemps, nos enfants sont privés de partages et de sociabilisation.

Et si, au lieu de sacrifier nos enfants, nous pensions à d’autres solutions pour nous sortir de cette crise qui dure déjà depuis plus d’un an ?

La vaccination n’est pas la réponse. Prenons aussi, par exemple, la voie des traitements.

Ensemble, fixons des limites au gouvernement. 

Il est inadmissible qu’il puisse nous pousser à faire vacciner nos enfants alors même que des risques non identifiés pour leur santé existent.

Il est urgent d’agir. 

Nos enfants ne sont pas des cobayes.  

Dans dix ans, dans vingt ans, nos enfants et adolescents, devenus adultes, pourront nous dire : 

Vous saviez que c’était risqué. 
Vous saviez que vous maniez des produits mal maîtrisés. 
Pourquoi avoir joué avec notre santé ?

Et ils auront raison

Nous demandons au gouvernement :

  1. de ne pas imposer la vaccination aux enfants

  2. de mener des études plus approfondies sur les effets secondaires des vaccins

  3. de continuer à chercher des solutions alternatives qui fonctionnent contre le Covid-19, notamment les traitements

Si vous aussi vous refusez catégoriquement la vaccination de nos enfants, signez et partagez cette pétition en masse !

Rodolphe Bacquet


 

 

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Choix des volontaires pour les essais de vaccin contre le Covid-19

6 Novembre 2020, 18:29pm

Publié par kla.tv

Choix des volontaires pour les essais de vaccin contre le Covid-19

La vidéo de kla.tv a été censurée. Ci-dessous le texte de son contenu.

Le caractère scandaleusement insidieux des tests du vaccin contre le coronavirus www.kla.tv/17480

03.11.2020

Le journal DIE WELT (Le Monde allemand) a rapporté le 9 septembre 2020 que la société pharmaceutique AstraZeneca a dû arrêter de tester le vaccin contre le coronavirus en raison de graves effets secondaires. Cela est présenté comme une pure mesure de précaution, mais cela est très discutable. D'autant plus que le vaccin contre le coronavirus est censé être prêt en quelques mois, ce qui est en contradiction avec toutes les règles et les expériences antérieures.

 

Comme l'écrit la revue médicale Arzt & Karriere : « La production d'un vaccin efficace et sûr contre un nouveau virus est un processus long et complexe. En moyenne, on peut s'attendre à une période d'environ dix à douze ans entre la recherche et la validation». Si on examine également les critères de sélection des personnes sélectionnées pour les tests du vaccin, on a l'impression que l'on veut seulement passer la phase de test de la manière la plus positive possible.

Parce que les seules personnes qui peuvent le faire sont celles qui: - pratique l'abstinence ou la contraception pendant au moins 30 jours avant et jusqu'à 60 jours après la dernière vaccination

• - peut présenter un test de grossesse actuel négatif ! (pour les femmes en âge de procréer) • - ne sont pas donneurs de sang ou de sperme,

• - et sont en parfaite santé Les raisons de l'exclusion à la participation aux essais du vaccin controversé sont, par exemple :

• - de prendre des médicaments, des anticoagulants ou de l'aspirine

• - les maladies respiratoires ou les contacts avec des personnes infectées par le coronavirus SRAS-CoV-2

• - la migraine au cours des 5 dernières années

• - les maladies auto-immunes

• - les maladies chroniques du foie, y compris la maladie du foie gras

• - une hypersensibilité ou une réaction allergique à une vaccination antérieure

• - la consommation d'alcool au cours des 6 derniers mois avant la première administration du vaccin

Ces critères, totalement étrangers à la pratique habituelle, garantissent que les tests révèlent le moins d'effets secondaires possible. La période d'observation de quelques semaines n'est en aucun cas suffisante pour exclure des effets tardifs. Pour le dire clairement : Les tests ne tiennent pas compte des effets du vaccin, par exemple en cas de prise de médicaments ou d'alcool, des complications qui peuvent survenir en cas de maladies antérieures ou d'intolérances antérieures à une vaccination, ni de la manière dont la vaccination affecte une grossesse existante et l'enfant à naître.

Cela ne révèle-t-il pas un scandaleux caractère insidieux?

En Allemagne, « les études sur la tolérance aux vaccins chez les femmes enceintes ne sont pas menées, entre autres pour des raisons éthiques ». Mais il n'y a apparemment pas de scrupule à en inoculer à tout le monde après le lancement sur le marché.

Deux grands scandales médicaux méritent d'être rappelés ici : la vaccination contre la grippe porcine a provoqué à elle seule la narcolepsie, une maladie du sommeil, chez 1 300 personnes. Heureusement, à l'époque seulement peu de personnes se sont fait vacciner. Le Contergan, qui contenait de la thalidomide, était par exemple, considéré comme particulièrement sûr à la fin des années 1950. La prise de ce médicament au cours de certaines semaines de la grossesse a entraîné de graves malformations chez les enfants à naître. Même à cette époque, les voix critiques concernant les risques n'ont pas été entendues pendant longtemps. Cette folie n'a pris fin qu'après que des milliers d'enfants gravement atteints et mort-nés ont été mis au monde.

Cependant, la vaccination contre le coronavirus n'est pas seulement un risque sanitaire incalculable, que nous avons également souligné dans l‘émission « Réveil urgent : la vaccination contre le coronavirus intervient dans l'ADN ». Un autre « effet secondaire » grave, tout à fait différent, se fait déjà sentir : la vaccination divisera notre société encore plus profondément que ne le font déjà les mesures coercitives précédentes.

 

Ceux qui sont asservis aux politiciens et aux médias dirigés par les laboratoires pharmaceutiques exerceront une pression massive sur ceux qui ne veulent pas être vaccinés suite à leurs propres recherches approfondies.

Afin d’éviter des conséquences préjudiciables, informez maintenant vos amis et connaissances des risques incalculables associés aux vaccinations prévues contre le coronavirus. Diffusez davantage l‘émission dans les réseaux sociaux afin que chacun puisse en prendre conscience par lui-même.

Liens sources:

 

Durée des tests de vaccins Dauer Impfstofftests https://arztundkarriere.com/forschung/die-entwicklung-impfstoffen/
 
Exigences pour les participants aux essais cliniques Anforderungen an die Teilnehmer der klinischen Erprobung https://clinicaltrials.gov/ct2/show/NCT04283461?term=vaccine&cond=covid-19&draw=2
 
Premières entreprises approuvées pour des essais cliniques : Erste für klinische Tests zugelassene Firmen: https://www.youtube.com/watch?v=mfh4vHCEty0
ab 22:38 Min. Tests de vaccins Impfstoffprüfung https://www.aerzteblatt.de/archiv/67275/Impfung-gegen-Influenza-A-H1N1-Impfsurveillance-fuer-Schwangere

 
Antécédents de vaccination avec la grippe porcine : Impfschadensfälle bei der Schweinegrippe: https://www.spiegel.de/gesundheit/diagnose/schweinegrippe-impfstoff-pandemrix-risiken-wurden-ignoriert-a-1229144.html
 

 

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Nanoparticules de carbone dans les poumons

29 Octobre 2015, 06:24am

Publié par Pièces et Main d'oeuvre

Nanoparticules de carbone dans les poumons

Des nanos dans les poumons (on vous l’avait bien dit)

dimanche 25 octobre 2015 - Pièces et main d’œuvre

http://www.piecesetmaindoeuvre.com/spip.php?page=resume&id_article=759

Les technocrates nous diront comme d’habitude que le risque zéro (alias dysfonctionnement, effet pervers, etc) n’existe pas. Nous vous disons qu’à partir du moment où l’on développe les nanotechnologies, on crée les pollutions et les accidents nanotechnologiques.

La revue médicale en ligne Ebiomedicine vient de publier un article intitulé « Des nanotubes de carbone anthropogènes trouvés dans les voies respiratoires d’enfants parisiens » (Anthropogenic Carbon Nanotubes Found in the Airways of Parisian Children).(1)

Ayant étudié les poumons d’enfants parisiens asthmatiques, et trouvé des nanotubes de carbone dans tous les échantillons examinés, les neuf auteurs américains et français concluent : « Ces résultats suggèrent fortement que les humains d’aujourd’hui sont exposés de façon routinière aux nanotubes de carbone provenant de sources anthropogènes. »

À Paris, et sans doute dans toutes les villes, nous respirons des nanotubes de carbone issus de la pollution industrielle. C’est la moindre des choses, puisque ces nanoparticules infestent tous les écrans électroniques, les pneus, les cadres de vélo modernes et de multiples marchandises.

Rappel aux nouveaux venus : dès 2004, nous avons signalé les inquiétudes des toxicologues à propos des nanotubes de carbone, qui provoquent des effets semblables à ceux de l’amiante. À l’époque, les rats exposés à ces nanoparticules dans les labos de la Nasa, de la Rice University ou de l’industriel DuPont, et les lapins de chez L’Oréal ne faisaient pas de vieux os et présentaient, nous disait-on « des lésions atypiques ».(2)

À l’époque, Louis Laurent et Jean-Claude Petit, du département de recherche sur l’état condensé, les atomes et les molécules (Drecam) du Commissariat à l’énergie atomique, s’étaient fendus d’une « réflexion » destinée à contrer les luddites, intitulée : « Nanotechnologies : nouvel Age d’or ou Apocalypse ? »(3)

Mesurez la profondeur de la « réflexion » : « La structuration à l’échelle nanométriques est la règle depuis que l’Homme utilise des matériaux : le bois, les textiles naturels, les os, les roches, le ciment. De même la plupart des aliments que nous ingérons sont structurés à l’échelle moléculaire ! Les nanoparticules errantes ne nous sont pas non plus étrangères. Elles sont générées par la nature en centaines de millions de tonnes par an (embruns, volcanisme, poussières désertiques) mais aussi par l’industrie, par exemple le noir de carbone (production de 8 millions de tonnes par an) ou le dioxyde de titane (2 millions de tonnes par an) et la combustion (dizaines de millions de tonnes par an), en particulier celle qui a lieu dans les moteurs qu’ils soient diesel ou à essence. D’une certaine façon, tout processus de combustion est de la nanotechnologie ! (…) On ne peut donc diaboliser un produit sous prétexte qu’il est associé au préfixe « nano ». »

À l’époque, lorsque nous interpellions les nanocrates lors de leurs conférences, ils répondaient avec un large sourire : « Mais les nanoparticules existent depuis la nuit des temps ! Elles sont présentes dans les peintures des Mayas, les vitraux et dans les fumées de diesel, c’est vous dire s’il n’y a pas lieu de s’inquiéter. » On cite de mémoire Jean-Louis Pautrat, le premier VRP des nanotechnologies envoyé par le CEA pour séduire les foules. Le physicien Pautrat, chargé de la communication de Minatec, nous traitait d’obscurantistes dans Télérama. (4) Il n’a pas écrit la suite de son ouvrage de propagande Demain le nanomonde. Dommage. Le nanomonde, nous y sommes, et il ne dément aucune de nos alertes depuis plus d’une décennie.

En 2004, les chercheurs assénaient cet argument-massue : les nanoparticules ne sont pas plus dangereuses que les particules fines du diesel. Dans le même temps, en bons cyniques scientistes, ils vantaient devant les autorités susceptibles de les subventionner l’intérêt des nanoparticules… pour limiter la pollution des moteurs diesel. Les marchands de mort de chez Rhodia (ex-Rhône Poulenc) faisaient ainsi de la retape devant le Sénat : « Vous introduisez dans le gas-oil des nanoparticules d’oxyde de cérium pour diviser par un facteur de 100 environ la production de suies et ce pendant plus de 80 000 km. Peugeot développe cela avec nos produits. » (5)

Non seulement le diesel tue plus de 40 000 personnes par an en France, mais on l’enrichit de nanoparticules dont les effets, révélés au compte-gouttes, sont tout aussi désastreux. Admirez le progrès : l’oxyde de cérium utilisé pour rendre « plus propre » la combustion du diesel attaque nos poumons tout autant que les nanotubes de carbone, selon deux études publiées en 2014 et le 1er octobre 2015 : l’inhalation d’émissions de diesel additionné de nanoparticules d’oxyde de cérium induit des effets nuisibles. Les rats exposés développent entre autres des inflammations et des fibroses pulmonaires. (6) Quelqu’un en a-t-il informé le Sénat ? Mais pas de panique, les nanoparticules existent depuis la nuit des temps.

Résumons. En octobre 2011, le CEA avouait que, conformément à que nous écrivions depuis dix ans, les nanoparticules de dioxyde de titane pouvaient provoquer des inflammations cérébro-vasculaires et perturber certaines fonctions cérébrales. (7) Une aubaine pour Clinatec et la recherche en neurotechnologies, un vaste marché en expansion pour les dispositifs neuro-électroniques.

En octobre 2015, nous apprenons que les nanotubes de carbone, réputés pour leurs effets voisins de ceux de l’amiante, envahissent nos poumons. Une aubaine pour les nanotechnologues du rayon « Cancer », un vaste marché en expansion pour leurs futures molécules innovantes à base de nanoparticules et autres nanorobots tueurs de tumeurs.

En somme, rien de neuf sous le soleil de l’innovation.

Pièces et main d’œuvre

Grenoble, le 25 octobre 2015

NOTES
(1) À lire sur www.piecesetmaindoeuvre.com/... Merci à la lectrice qui nous a signalé la parution de cette étude.
(2) Voir Aujourd’hui le nanomonde n°1 (2003) et 9 (2004).
(3) Juillet 2004
(4) 7/01/04
(5) Rencontres internationales de prospective du Sénat : « Les nanotechnologies : vivier du futur. Pour une prise de conscience des enjeux écologiques », 20/06/02
(6) Inhaled diesel emissions generated with cerium oxide nanoparticle fuel additive induce adverse pulmonary and systemic effects, étude publiée dans la revue Toxicological Science (2014), et Inhaled diesel emissions generated with cerium oxide nanoparticle fuel additive induce adverse pulmonary and systemic effects, étude publiée le 1/10/15 par Europe PubMed Central : http://europepmc.org/articles/pmc4579046
(7) Lire On vous l’avait bien dit – Les nanoparticules, c’est bon pour l’industrie de la contrainte, PMO, 27/10/11

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Pourquoi le vaccin contre le coronavirus de Pfizer doit-il être stocké à -70C ?

19 Novembre 2020, 03:51am

Pourquoi le vaccin contre le coronavirus de Pfizer doit-il être stocké à -70C ?

... parce qu'il contient des composants nanotechnologiques expérimentaux qui n'ont JAMAIS été utilisés dans des vaccins auparavant...

Mercredi 18 novembre 2020 - Mike Adams -

 

https://www.distributednews.com/475569.html



(Natural News) Vous voyez les reportages partout aux actualités : Le nouveau vaccin contre les coronavirus de Pfizer doit être stocké à -70C (-94F), ce qui est beaucoup plus froid que le pôle Nord. S'il n'est pas stocké à cette température, ses ingrédients commencent à se décomposer et il ne fonctionne pas. Actuellement, Pfizer affirme, sans preuve, que son vaccin est "efficace à 90%". Mais cette affirmation n'est rien d'autre que de la propagande d'entreprise destinée à faire monter le prix des actions par de fausses projections.

Mais d'abord, pourquoi ces vaccins doivent-ils être maintenus à -70C ?

La réponse est qu'ils contiennent des ingrédients potentiellement dangereux qui n'ont jamais été utilisés dans des vaccins auparavant.

Comme l'a expliqué Children's Health Defense dans un article du 6 août, « les vaccins à ARNm soumis aux essais cliniques du Covid-19, y compris le vaccin Moderna, reposent sur un « système porteur » à base de nanoparticules contenant un produit chimique synthétique appelé polyéthylène glycol (PEG) ».

CHD poursuit en expliquant :

L'utilisation du PEG dans les médicaments et les vaccins est de plus en plus controversée en raison de l'incidence bien documentée des réactions immunitaires indésirables liées au PEG, y compris l'anaphylaxie qui met la vie en danger.

Environ sept américains sur dix pourraient déjà être sensibilisés au PEG, ce qui pourrait entraîner une réduction de l'efficacité du vaccin et une augmentation des effets secondaires indésirables.

Si un vaccin à ARNm contenant du PEG pour Covid-19 obtient l'approbation de la FDA, la hausse de l'exposition au PEG sera sans précédent - et potentiellement désastreuse.

Les documents et publications de Moderna indiquent que l'entreprise est bien consciente des risques de sécurité associés au PEG et à d'autres aspects de sa technologie d'ARNm, mais qu'elle se préoccupe davantage de ses résultats.


Les nanoparticules lipidiques provoquent des réactions hyper inflammatoires dans l'organisme, entraînant des réactions graves, une hospitalisation et potentiellement la MORT.

Pourquoi les LNP (nanoparticules lipidiques) sont-elles utilisées dans ces vaccins ? Comme l'explique plus en détail CHD :

Les LNP « encapsulent les constructions d'ARNm pour les protéger de la dégradation et favoriser l'absorption cellulaire » et, en outre, renforcent le système immunitaire (une propriété que les scientifiques du vaccin décrivent d'ordinaire comme les "propriétés adjuvantes inhérentes" des LNP).

En d'autres termes, les LNP sont des adjuvants, c'est-à-dire qu'ils sont conçus pour provoquer des réactions hyper inflammatoires chez les êtres humains, une fois injectés. Ceci est fait dans le but d'induire la création d'anticorps qui permettent ensuite au fabricant de vaccins de revendiquer des taux d'"efficacité" élevés, même lorsque ces mêmes adjuvants provoquent des réactions indésirables graves.

Selon les récents essais de vaccins menés par Moderna, 100% des sujets humains du groupe d'essai des vaccins à forte dose ont subi des réactions indésirables.

Le gouvernement britannique se prépare à une vague de décès liés aux vaccins

Les réactions indésirables causées par les vaccins à ARNm contre les coronavirus sont si répandues que le gouvernement britannique a récemment admis qu'il s'attendait à une vague massive de "réactions indésirables" / effets secondaires des vaccins contre les coronavirus. Comme je l'ai décrit dans mon précédent article, "Vague de morts par vaccin : le gouvernement britannique lance un appel d'offres pour un système d'IA afin de traiter le flot attendu de blessures et d'effets secondaires du vaccin COVID-19 décrit comme une « menace directe à la vie des patients »" :

Le gouvernement britannique a publié un appel d'offres et un avis d'attribution de marché, recherchant un système d'intelligence artificielle (IA) capable de traiter le flot attendu de lésion et d'effets secondaires du vaccin COVID-19.

Cette offre explique, selon les propres termes du gouvernement :

Le MHRA recherche d'urgence un outil logiciel d'intelligence artificielle (IA) pour traiter le volume élevé attendu d'effets indésirables du vaccin Covid-19 et s'assurer qu'aucun détail de la description des réactions n'est oublié.

En d'autres termes, ils savent déjà que ces vaccins vont tuer un grand nombre de personnes.

David Knight a présenté aujourd'hui dans son émission un lanceur d'alerte britannique qui a révélé que les adjuvants des vaccins contre les coronavirus présentent un taux de stérilité de 97 % chez les femmes qui prennent le vaccin. C'est ce qui se produit lorsque vous confiez la synthèse de vos protéines à des sociétés malveillantes qui poursuivent un programme mondial de dépopulation :

Les décès dûs aux vaccins contre les coronavirus seront classés comme des décès dûs au covid-19 pour que l'escroquerie continue

Plus important encore, comme les gens commenceront à mourir des vaccins contre les coronavirus, l'establishment médical classera tous ces décès dans la catégorie « décès covid-19 » afin de prétendre que la pandémie s'aggrave.

Cela créera un tout nouveau cycle de mort, d'hystérie médiatique et de politiques de vaccination obligatoire. Ceux-ci, à leur tour, tueront encore plus de personnes, alimentant ainsi la même boucle de rétroaction qui fait que davantage de personnes seront vaccinées et tuées.


En fin de compte, les vaccins eux-mêmes finiront probablement par tuer plus de gens que le coronavirus. Et nous aurons atteint le cauchemar médical autoritaire de George Orwell où le « traitement » maintient la pandémie à perpétuité, alors que l'ensemble de l'escroquerie est utilisé pour écraser la liberté humaine et asservir les gens dans leurs propres maisons et appartements, partout dans le monde.


C'est ce qui se passe lorsque vous laissez les grandes entreprises pharmaceutiques s'associer à l'État profond pour écraser la liberté humaine et travailler à leur objectif ultime de génocide de masse contre la race humaine.


Bill Gates est sans doute en train de le célébrer en ce moment même, avant même que les morts en masse ne commencent.


Si vous voulez survivre à tout cela, résistez à tout prix au vaccin contre le coronavirus. Résistez à la violence du vaccin avec tous les moyens d'autodéfense dont vous disposez, ou vous serez tué.


Le vaccin AstraZeneca, soit dit en passant, est fabriqué à partir de cellules de fœtus humains avortés provenant d'un bébé mâle de 14 semaines. Donc, si vous vous faites injecter ce vaccin, c'est du cannibalisme médical, et vous soutenez l'industrie qui collecte des parties du corps de bébé à des fins lucratives (c'est-à-dire les ateliers de découpe de bébés du Planned Parenthood).

 

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Pourquoi la géo-ingénierie attire-t-elle la Chine ?

23 Mars 2013, 14:29pm

Publié par Ciel Voilé

 

Pékin veut réduire ses émissions sans nuire à sa croissance mais aussi éviter la révolte d'une population soumise à des évènements météorologiques extrêmes


Clive Hamilton - The Guardian - Le  22 Mars 2013 - Traduction Ciel voilé

 

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L'une des solutions de la géo-ingénierie au changement climatique consiste à blanchir les nuages au-dessus de la mer en y  pulvérisant des gouttelettes d'eau de mer pour qu’ils réfléchissent davantage les rayons du soleil. Photo: NASA


Le dilemme politique de la géo-ingénierie entre une intervention délibérée et à grande échelle  sur le système climatique pour lutter contre le réchauffement global et l’atténuation de certains de ses effets,  sera peut-être plus aigu en Chine.


En décembre dernier, le pays a listé  parmi ses priorités de recherche en géosciences, la géo-ingénierie, un revirement remarqué dans le paysage international du changement climatique, par deux spécialistes de la Chine, Edney Kingsley et Jonathan Symons.


D'une part, la rapide croissance économique chinoise a provoqué une escalade massive de ses émissions de gaz à effet de serre, lesquelles ont dépassé, il y a 5 ans ( 2007) celles des États-Unis. La croissance soutenue du PIB fournit au parti communiste chinois sa seule justification de légitimité, son « mandat du ciel ». Les efforts déployés par la Chine pour limiter la croissance de ses émissions ont été considérables, et dépassent de loin ceux de nombreux pays développés.


Pourtant, les efforts de la Chine, et ceux des autres pays au cours des deux ou trois prochaines décennies  risquent de ne pas suffire à ralentir le réchauffement de la planète, ni à arrêter le dérèglement climatique qui s’en suivra. Les émissions mondiales n'ont ni baissé ni même ralenti. En fait, elles s'accélèrent. Même la Banque Mondiale, critiquée pendant des années pour sa promotion du développement intensif du marché carbone, avertit maintenant que nous sommes en bonne voie pour 4°C de réchauffement, ce qui changerait tout.


La Chine est très vulnérable aux pénuries d'eau dans le nord, à la baisse des rendements et à la flambée des prix agricoles, aux tempêtes et aux inondations dans l'est et le sud. Les catastrophes liées aux intempéries en Chine sont déjà une source majeure d'instabilité sociale, et Pékin craint à juste titre que les impacts du changement climatique dans les provinces ne renversent le gouvernement dans la capitale. Les catastrophes naturelles mettent en péril son mandat.


Alors, que peut faire le gouvernement chinois? Poursuivre la croissance des émissions de gaz à effet de serre est une condition de son maintien au pouvoir, mais le dérèglement climatique qui en résultera, menacera de le déstabiliser.


La géo-ingénierie séduit immédiatement comme un moyen de sortir de ce dilemme. Une variété de technologies pour capturer le carbone de l'air ou de « gérer » le rayonnement solaire sont à l'étude, pourtant, à l'heure actuelle, l'intervention de loin la plus probable consisterait à couvrir  la planète Terre d’une couche de particules de sulfate pour renvoyer une partie du rayonnement solaire incident.


La pulvérisation d’aérosols sulfatés pourrait masquer le réchauffement et le refroidissement de la planète en quelques semaines, mais ne résoudrait pas le problème de base : l’excès de dioxyde de carbone dans l'atmosphère et les océans.


Les scientifiques et les décideurs politiques en Chine ont suivi de près le débat sur la géo-ingénierie qui se déroule aux États-Unis et en Europe où il y a eu un boom dans la discussion et la recherche depuis la levée du tabou en 2006, par le prix Nobel Paul Crutzen appelant à la recherche d’un  « plan B ».


Aux États-Unis, plusieurs rapports de haut niveau plaident pour davantage de recherche sur la géo-ingénierie - le Conseil National de la Recherche, le comité pour la science et la technologie de la Chambre des Représentants et la «  Cour des comptes » américaine. D’influents groupes de réflexion Beltway, et le Bipartisan Policy Center, ont rejoint la mêlée. Le Plan B est en cours de discussion à la Maison Blanche ( John Holdren, 2009), et l'armée garde un droit de regard, et peut-être plus.


La décision de la Chine de lancer un programme de recherche pourrait être motivée par rien d'autre qu'une volonté de développer une capacité nationale à se tenir au courant de ce qui se passe dans le reste du monde. Certes, il y a une bonne dose de scepticisme à l’égard de la géo-ingénierie au sein de la communauté scientifique chinoise.


Pourtant, alors que le monde reste paralysé par l'ampleur de la crise du réchauffement, et attend des solutions, la capacité à mettre en œuvre une intervention d'urgence sera de plus en plus attrayante. Et dans une situation d'urgence mondiale - une sécheresse paralysante, l'Amazonie en feu, l’effondrement du Groenland, le regard se focalise sur l’urgence à l'exclusion de tout le reste, y compris les intérêts de nations moins puissantes dont la situation s’aggraverait si une grande puissance décidait de réglementer le système climatique terrestre.


Les pays occidentaux ne sont pas gouvernés par un parti étatique déterminé à se maintenir au pouvoir à tout prix, mais, la tyrannie du système économique n'est pas moins absolue. La crise financière de 2008 et ses suites ont montré que les structures de pouvoir qui sous-tendent le système - les banques, les marchés, les grandes entreprises et leurs liens avec le système politique - sont extrêmement résistants, peut-être tout aussi résistants au changement que le parti communiste chinois.


Après tout, quand il s'agit de répondre à tous les bouleversements climatiques, chaque rapport ou recommandation, le rapport Stern ou le GIEC, - suppose que les mesures visant à réduire les émissions de gaz à effet de serre tiennent compte de l'impératif premier : le maintien de la croissance économique, même si c’est elle qui intensifie les émissions de gaz à effet de serre.


Voici donc un scénario plausible pour 2035. Face à la révolte d'une population soumise à des intempéries extrêmes, le gouvernement chinois rechercherait le consentement du gouvernement des États-Unis pour refroidir la planète en pulvérisant des aérosols sulfatés dans la stratosphère. Les protestations populaires empêcheraient Washington d’approuver ce plan, mais accepteraient tacitement de ne pas abattre les avions de la Chine. Ce serait suffisant, le point de non- retour serait atteint.


Clive Hamilton, professeur d'éthique publique, Université Charles Sturt à Canberra et auteur de : «  Les maîtres de la Terre : L'aube de l'ère du génie climatique », publié par Yale University Press.


http://www.guardian.co.uk/environment/2013/mar/22/geoengineering-china-climate-change 

 

 

 

 

 

 

 

 

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Trois bonnes raisons d'abandonner le papier d'aluminium

14 Mars 2021, 20:26pm

Trois bonnes raisons d'abandonner le papier d'aluminium

Liivi Hess – Le 14 mars 2021

 

https://www.thealternativedaily.com/3-scary-reasons-ditch-aluminum-foil/

 

Vous commencez probablement à en avoir un peu assez des gens qui vous disent que les choses que vous mangez ou utilisez depuis des années sont mauvaises pour votre santé. Vous en avez acceptées certaines : vous faites de votre mieux pour éviter le gluten et vous mangez bio quand vous le pouvez. D'autres que vous avez stratégiquement choisies d'ignorer ; votre crème glacée préférée à base de produit laitier, par exemple, ou cette poêle à frire anti-adhésive prétendument toxique qui permet de faire les meilleures crêpes.

 

 

Mais en voici une que vous devriez probablement éviter comme la peste : le papier d'aluminium. Croyez-le ou non, chaque fois que vous utilisez du papier d'aluminium dans la cuisine, vous nuisez gravement à votre santé. Voici trois raisons de ne pas utiliser de papier d'aluminium dans votre cuisine, et quelques alternatives plus saines à utiliser à la place.

 

  1. Le papier d'aluminium est une neurotoxine

 

L'aluminium est depuis longtemps étudié par la communauté scientifique pour son rôle potentiel de neurotoxine. Les chercheurs soutiennent qu'en raison du fait que l'aluminium n'a aucun rôle physiologique dans le corps humain, il peut avoir des effets néfastes importants lorsqu'il est consommé.

 

Cette théorie a été prouvée sans équivoque lorsqu'une étude de 2014 a montré qu'un homme de 66 ans décédé de la maladie d'Alzheimer avait une teneur en aluminium significativement élevée dans le cerveau, après huit ans d'exposition professionnelle. Bien que l'étude ait noté que c'était le système respiratoire qui était exposé à la poussière d'aluminium, nous savons maintenant qu'il existe un lien direct entre l'ingestion d'aluminium et la maladie d'Alzheimer, un trouble neurologique débilitant.

 

Il n'en reste pas moins que le papier d'aluminium n'est pas totalement inerte ; il a été démontré que les aliments cuits ou préparés dans ce matériau présentaient des niveaux d'aluminium nettement plus élevés que s'ils avaient été préparés dans un autre support. La conclusion est simple : le papier d'aluminium peut avoir des effets neurotoxiques, notamment la maladie d'Alzheimer.

 

  1. Le papier d'aluminium peut contribuer aux maladies osseuses

 

Les recherches montrent que l'aluminium provenant de sources comme le papier d'aluminium peut augmenter le risque de développer une maladie osseuse. Une étude qui a examiné l'effet de l'hémodialyse, qui entraîne une accumulation d'aluminium dans le sang, a révélé que 37 % des patients sous dialyse avaient développé une maladie osseuse associée à l'aluminium. Les auteurs de l'étude ont conclu que "l'apport oral d'aluminium à long terme chez les patients hémodialysés entraîne une prévalence élevée de maladies osseuses associées à l'aluminium". L'hypothèse est que l'aluminium a un impact direct ou indirect sur la production d'ostéoblastes, ce qui entraîne une perte osseuse.

 

La clé ici est cette petite déclaration sur "l'absorption orale d'aluminium à long terme". Nombreux sont ceux qui affirment que l'utilisation régulière de papier d'aluminium pendant des années équivaut à une absorption orale d'aluminium à long terme. Cela signifie que l'utilisation de papier d'aluminium dans la cuisine peut contribuer aux maladies osseuses.

 

  1. Le papier d'aluminium peut favoriser la fibrose pulmonaire

 

L'utilisation de papier d'aluminium pour préparer, conserver ou cuire des aliments peut augmenter le risque de fibrose pulmonaire, une forme de maladie pulmonaire. Une étude qui a analysé les tissus pulmonaires de neuf travailleurs exposés à l'oxyde d'aluminium a révélé des niveaux alarmants d'aluminium dans les tissus pulmonaires, suggérant que l'exposition à l'aluminium a contribué au développement de leur fibrose pulmonaire.

 

Même si le papier d'aluminium ne contribue pas aux maladies pulmonaires au même rythme que l'inhalation d'oxyde d'aluminium, le risque que la cuisson dans du papier d'aluminium provoque une fibrose pulmonaire et d'autres maladies des poumons reste bien réel.

 

Pourquoi l'aluminium peut s'infiltrer dans les aliments que vous mangez ?

 

Dans une étude de 2012, une équipe de la faculté d'ingénierie de l'université d'Ain Shams au Caire a examiné les différentes façons dont le papier d'aluminium et d'autres ustensiles de cuisine interagissent avec les aliments. La lixiviation de composés d'aluminium nocifs était de loin la plus élevée lorsque des aliments acides comme le jus de citron ou les tomates entraient en contact avec le papier d'aluminium, et ce phénomène était souvent exacerbé par l'utilisation d'épices.

 

En substance, le papier d'aluminium n'est pas inerte. Lorsqu'il est exposé à certains aliments, il a été démontré qu'une partie de ses composés métalliques s'infiltre dans les aliments, qui sont ensuite ingérés. À partir de là, il peut s'accumuler dans le sang, les muscles et les organes et contribuer à toutes sortes de problèmes de santé. La science commence tout juste à comprendre à quel point ces conséquences peuvent être négatives.

 

 

La solution est simple : n'utilisez pas de papier d'aluminium à la cuisine et tenez-le éloigné des aliments que vous consommez. Voici quelques alternatives plus saines pour cuisiner et conserver vos aliments, qui n'auront pas d'effets néfastes sur la santé.

 

Des alternatives plus saines au papier d'aluminium

 

Personnellement, je n'ai jamais été un grand fan du papier d'aluminium et des ustensiles de cuisine en aluminium. Si je veux conserver des aliments dans le réfrigérateur ou le garde-manger, j'utilise presque toujours des récipients en verre. Le verre est totalement inerte et ne transmet aucun produit chimique ou métal nocif aux aliments, même s'ils sont acides. De cette façon, nous minimisons également les déchets, car le verre peut être utilisé à l'infini... contrairement au papier d'aluminium !

 

Pour la cuisine, là où l'on utilise du papier d'aluminium pour faire cuire des pommes de terre au four ou du poisson, j'utilise simplement un plat en céramique avec un couvercle. L'effet est exactement le même, sauf que la céramique ne libère pas de composés dans nos aliments ! Pour la cuisson, j'utilise soit des ustensiles en verre, soit des ustensiles en silicone de haute qualité qui ne nécessitent aucun revêtement. Ces matériaux sont beaucoup plus agréables à utiliser, produisent généralement des plats de meilleure qualité et ne créent pas de déchets excessifs. C'est tout bénéfice, si vous voulez mon avis !

 

 

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Veolia siphonne légalement nos taxes

21 Novembre 2018, 08:34am

Publié par Marc Laimé

Veolia siphonne légalement nos taxes
Toulouse : quand les taxes sur le diesel tombent dans les poches de Veolia

par Marc Laimé, 19 novembre 2018

http://www.eauxglacees.com/Toulouse-quand-les-taxes-sur-le?var_mode=calcul

Les "gilets jaunes" n’en croiraient pas leurs yeux. L’effet combiné de deux des mesures fiscales les plus inégalitaires de la période, la création du CICE sous François Hollande, censée “relancer la compétitivité des entreprises”, puis l’augmentation de la TICPE, ardemment défendue par Emmanuel Macron, Edouard Philippe… et Nicolas Hulot, sous couvert (fallacieux), de privilégier la "transition écologique", conduisent à procurer, au cas d’espèce, une rente d’argent public à Veolia, qui l’utilise pour faire du dumping et gagner un nouveau contrat de délégation de service public, en affichant un tarif défiant toute concurrence, au détriment de celui d’une gestion en régie publique… Au regard du droit européen ces privilèges fiscaux dont joue le géant français des services à l’environnement pourraient être considérés comme une “aide d’état” déguisée, pratique honnie, comme on le sait, par les thuriféraires de la “concurrence libre et non faussée”…

La martingale est aussi imparable que scandaleuse.

Ici, bien noter que nous ne reprochons pas à Veolia d’avoir commis quoi que ce soit d’illégal.

Non, ici, le scandale est que tout ce qui suit est, en apparence, parfaitement "légal"...

- Le CICE, péché originel en forme de reniement du quinquennat de François Hollande ("Mon ennemie c’est la finance"), qui - sous couvert de favoriser l’emploi -, a procuré une rente annuelle de 20 milliards d’euros d’argent public aux entreprises qui, loin d’embaucher, en ont profité pour reconstituer leurs marges, est financé par le budget de l’état.

- Le budget de l’état a, lui, été alimenté, à hauteur de 24,5 milliards d’euros en 2014, par la TICPE, et donc les fameuses taxes sur le diesel (assortie de la taxe carbone, alpha et omega de la galaxie écolo BCBG), au coeur de la contestation des “gilets jaunes”. En 2018 nous en sommes déjà à 34 milliards d’euros.

Noter ici, pour en finir avec les "fake news" des REMouleurs, dont les chevaux-légers sont envoyés ces jours-ci à l’abattoir sur les chaines infos (les caïds se planquent...), qu’en vérité à peine 2 milliards d’euros des 34 milliards d’euros qu’atteint désormais la TICPE en 2018 sont réellement affectés à la "transition écologique", à strictement parler...


 


 


 

TICPE 2019

Affectation des recettes de la TICPE en 2017, 2018 et 2019

(Rapport général de l’Assemblée nationale sur le PLF 2019)

https://www.lejdd.fr/Politique/carb...

Une Madofferie à la française

- Par ailleurs le directeur financier de Veolia a dû reconnaître, comme l’y contraint la loi, devant le Comité central d’entreprise qui s’est tenu les 5 et 6 juillet dernier, que l’entreprise avait reçu de l’état 21 613 918 euros d’argent public en 2017, au titre du CICE.

Et le Directeur financier Eau France de rappeler que le CICE a été instauré aux fins de réduire le coût du travail en France.

Avant d’ajouter :

En réalité, une partie significative du montant perçu au titre du CICE a été « restituée » par le biais de révisions tarifaires. Sur certains contrats, l’Entreprise a pu conserver le CICE. En revanche, sur 56 % des contrats, elle a dû restituer ce gain aux collectivités délégataires.

"En même temps", au terme de son 4ème "Plan de sauvegarde de l’emploi" (PSE) en un peu moins de 5 ans, Veolia s’est débarrassé de 5000 salariés en France. C’est dire l’effroyable pantalonnade du désormais tristement célèbre CICE...

"En même temps", si l’on récapitule, l’ingénieux "corporate crowdfunding" de Veolia, c’est-à-dire le racket opéré, via le CICE, sur les impôts des Français, lui aura rapporté un pognon de dingue : 100 millions d’euros de 2014 à 2018. Largement de quoi se livrer à un dumping d’enfer quand il s’agit de renouveler un contrat de délégation de service public...

Le ruissellement pour les riches

Au cas d’espèce de Toulouse, cette martingale scandaleuse permet dès lors à la multinationale française Veolia d’obtenir, grâce à un colossal dumping, le renouvellement d’un précédent contrat qui lui a déjà rapporté une fortune depuis 1990, en proposant un prix de l’eau défiant toute concurrence, écartant dès lors toute hypothèse d’un retour en gestion publique, comme s’en félicitait le 15 novembre dernier, Jean-Luc Moudenc, président centralo-macroniste de Toulouse Métropole :

« Je suis heureux de pouvoir permettre aux habitants un gain de pouvoir d’achat. » Jean-Luc Moudenc a tranché. Hier, un jour après avoir exposé la comparaison entre gestion publique de l’eau dans les 37 communes de Toulouse Métropole et gestion confiée à une entreprise, le président de la collectivité, dans un entretien exclusif à La Dépêche du Midi, a révélé avoir choisi la délégation de service public. Un choix sans surprise vu la différence de 51 centimes en faveur des industriels. Le 13 décembre, il proposera aux élus de signer le contrat de l’eau avec Veolia, concessionnaire à Toulouse depuis 1990, et le contrat de l’assainissement avec Suez.

https://www.ladepeche.fr/article/20...

Références

1. La TICPE

La taxe intérieure de consommation sur les produits énergétiques (TICPE), TVA non comprise, a rapporté 24,5 milliards d’euros aux finances publiques en 2014 :

« La fiscalité des produits pétroliers en 2014 », sur developpement-durable.gouv.fr,

En termes de recettes, elle se place donc derrière la taxe sur la valeur ajoutée (192,6 milliards d’euros en 2015), la contribution sociale généralisée (91,5 milliards d’euros en 2014), l’impôt sur le revenu (76,0 milliards d’euros en 2015), et l’impôt sur les sociétés (59,3 milliards d’euros en 2015).

La hausse du prix des carburants hors taxes tend à accroître les recettes de la TVA perçue sur ce produit, et réduit légèrement les recettes de la TICPE en raison de la baisse des volumes. Par ailleurs, elle pèse sur d’autres recettes fiscales : la TVA sur les autres produits (les ménages réduisent leurs achats d’autres produits) et l’impôt sur les sociétés (les carburants sont une dépense pour les entreprises) :

https://fr.wikipedia.org/wiki/Taxe_...

2. Le CICE

Le crédit d’impôt pour la compétitivité et l’emploi (ou CICE) est une mesure du gouvernement de Jean-Marc Ayrault visant à soutenir les entreprises françaises.

Le CICE a été proposé par Jean-Marc Ayrault dans le Pacte national pour la croissance, la compétitivité et l’emploi qu’il a présenté le 6 novembre 2012 après la remise du « Rapport sur la compétitivité française ».

Elle a ensuite été votée dans la loi de finance rectificative pour 2012 et est entrée en vigueur le 1er janvier 2013. Son montant est de 20 milliards d’euros par an.

D’après la loi, les entreprises doivent utiliser le CICE pour investir, embaucher ou conquérir de nouveaux marchés et ne doivent pas l’utiliser pour augmenter les salaires des dirigeants ou les dividendes des actionnaires.

Néanmoins, les instructions transmises à l’administration fiscale en juillet 2013 stipulent que le report de l’utilisation du CICE dans les comptes annuels de l’entreprise est une possibilité et non une obligation et que l’utilisation du CICE ne sera pas contrôlée par l’administration fiscale.

En juillet 2016, le rapport d’informations de la sénatrice Marie-France Beaufils critique fortement le dispositif dont elle souligne le coût important pour les finances publiques (i.e. un manque à gagner de 19 milliards d’euros) face à des effets sur l’emploi très incertains.

Le rapport 2016 du Comité de suivi publié au mois de septembre de la même année confirme l’absence d’effet du CICE.

En comparant les entreprises plus fortement ciblées par le dispositif et les entreprises moins fortement ciblées pour les années 2013 et 2014, le Laboratoire interdisciplinaire d’évaluation des politiques publiques (LIEPP) de l’Institut d’études politiques de Paris montre qu’il n’y a pas d’effet avéré du dispositif sur les exportations, les investissements et l’emploi.

En revanche, l’analyse met en avant des effets sur le résultat net des entreprises et sur les salaires. L’analyse de l’OFCE, centrée sur les effets sur les exportations et la compétitivité, montrent que le CICE n’a pas eu d’effet à court terme sur les exportations mais suggère néanmoins qu’il pourrait y avoir des effets positifs à moyen terme.

Selon le rapport d’évaluation du CICE de 2016, des entreprises auraient reconstitué leur marges en utilisant une importante partie du CICE mais sans certitude.

« L’impact du CICE sur la masse salariale versée par les entreprises, somme de l’effet sur l’emploi et sur les salaires, apparaît mesuré, et ne correspond qu’à une fraction des créances pour 2013 et 2014. Cela suggère que les entreprises ont consacré une partie importante du CICE à la reconstitution de leurs marges.

Pourtant, les travaux d’évaluation peinent à faire apparaître de façon robuste un effet différencié sur l’évolution du taux de marge des entreprises, selon que celles-ci ont bénéficié plus ou moins fortement du dispositif ».

https://fr.wikipedia.org/wiki/Créd...

3. L’utilisation du CICE par Veolia

Compte rendu du Comité centrale d’entreprise de Veolia Eau France, tenu les 5 et 6 juillet 2018 :

« (…)

- Information sur les sommes perçues au titre du CICE 2017 et sur leur utilisation

(…) Le montant 2017 est de 21 613 918 euros, sur 2018, le CICE reste ramené à un taux de 6 % contre 7% en 2017. Il sera supprimé au 1er janvier 2019, pour être remplacé par un dispositif d’allègement des charges patronales.

Le taux de cotisation patronale maladie diminuera de six points. Le gain réalisé sur les charges patronales pour un emploi au SMIC est estimé à 9,90 %. Pour l’année 2018, le CICE continuera de s’appliquer aux rémunérations inférieures à 2,5 fois le SMIC.

(…)

Le Directeur Financier Eau France rappelle que le CICE a été instauré aux fins de réduire le coût du travail en France.

Avant d’ajouter :

En réalité, une partie significative du montant perçu au titre du CICE a été « restituée » par le biais de révisions tarifaires. Sur certains contrats, l’Entreprise a pu conserver le CICE. En revanche, sur 56 % des contrats, elle a dû restituer ce gain aux collectivités délégataires.

Il conviendra d’examiner les nouvelles règles de manière détaillée afin de continuer à bénéficier de cet apport.

(…)

(Un) représentant de la CGT déplore que le CICE n’ait pas été utilisé par l’Entreprise pour développer l’emploi et accroître le pouvoir d’achat des salariés.

Force est de constater que cela n’est pas le cas. Il s’indigne que 150 milliards d’euros d’exonérations aient été accordés aux entreprises, pour un résultat économique nul. »

http://www.eauxglacees.com/Pour-le-...

- Lire aussi :

- La première jacquerie de la crise écologique :

https://blogs.mediapart.fr/guillaum...

Mediapart, 19 novembre 2018.

- "Gilets jaunes" : un peuple qui vient ?

https://www.liberation.fr/debats/20...

Libération, 20 novembre 2018.

 

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