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Ciel Voilé

Résultat pour “qu'est-ce qui a causé la grippe espagnole ?”

La révolte des agriculteurs se poursuit aux Pays-Bas et ailleurs...

9 Juillet 2022, 08:14am

La révolte des agriculteurs se poursuit aux Pays-Bas et ailleurs...

FranceSoir Publié le 08 juillet 2022 - 18:10

 

Voilà un mois déjà que la colère gronde aux Pays-Bas. En réponse à un plan du gouvernement visant à réduire les émissions d’ammoniac et d’oxydes d’azote, les agriculteurs ont décidé de bloquer les routes, les centres de distribution, ainsi que la frontière avec l’Allemagne. Petit à petit, des citoyens hollandais ont rejoint le mouvement agricole, et certains autres pays comme la Pologne, l’Italie, l’Espagne veulent apporter leur soutien à cette grogne populaire. Seraient-ce les prémices d’une protestation d'envergure mondiale ?

 

Avec cette nouvelle politique, le gouvernement hollandais — véritable puissance agricole — pourrait s'infliger une diminution de 30 % de sa production. Ce faisant, de nombreux agriculteurs seraient obligés de cesser leurs activités.

 

La colère des agriculteurs...

 

Depuis le mois de juin, le mouvement a pris une telle ampleur que des centres de distribution, des supermarchés, des autoroutes, des ports et des aéroports ont été bloqués par les agriculteurs, mais aussi par les citoyens.

 

 

https://www.francesoir.fr/politique-monde/pays-bas-revolte-agriculteurs

 

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Appel du Dr Pamart : Touche pas à mon doc

18 Juillet 2022, 08:25am

Manifeste

 

Les Conseils Départementaux de l’Ordre des Médecins multiplient, sur l’ensemble du territoire, les convocations de médecins suite à « des signalements des Directions Régionales du Service Médical » (DRSM).
En pratique ces services de l’assurance maladie ont répertorié les prescriptions réalisées dans le cadre de la prise en charge en ville (hors hôpital) de la Covid.

 

A l’heure actuelle, l’épidémie reste un sujet de préoccupation, malgré les mesures déjà proposées par les Pouvoirs publiques (distanciation physique, masques, vaccins, traitements ciblés…). Il semble impensable au vu de l’évolution des connaissances sur le sujet qu’on puisse remettre en question une proposition thérapeutique supplémentaire : les traitements précoces associés au suivi rapproché et à la prévention des complications, la prise en charge des patients en ambulatoire, pour éviter au maximum les complications et les hospitalisations.

 

https://tpmd.fr//manifeste/

 

 

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"Des gens qui se disent démocrates libéraux ont l’ambition folle de faire émerger un homme nouveau" Éric Verhaeghe

12 Septembre 2022, 17:44pm

"Des gens qui se disent démocrates libéraux ont l’ambition folle de faire émerger un homme nouveau" Éric Verhaeghe

FranceSoir Publié le 11 septembre 2022 - 19:40

 

« Le sujet numéro un, c’est la grande opération de psychologie sociale dont nous sommes l'objet, c’est la matrice qui consiste à nous faire croire qu’il y a un monde qui justifie des actions et en réalité, les raisons de ces actions sont ailleurs », nous assure Éric Verhaeghe, qui nous fait le plaisir de revenir sur le plateau de FranceSoir. Dans ce nouvel "Entretien essentiel", cet entrepreneur et ancien haut fonctionnaire développe les grandes lignes de l'Agenda 2030, plus connu sous le vocable de "Grande Réinitialisation", piloté par les élites mondialisées qui gravitent autour du Forum de Davos.  

 

https://www.francesoir.fr//videos-l-entretien-essentiel/eric-verhaeghe-great-reset-lambition-folle-de-faire-emerger-un-homme-nouveau

 

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Covid: la Cour suprême indienne juge la vaccination obligatoire anti-constitutionnelle

6 Mai 2022, 14:04pm

Publié par Ciel Voilé

Covid: la Cour suprême indienne juge la vaccination obligatoire anti-constitutionnelle

 Publié le 05/05/2022 à 19:30 - Teresita Dussart, pour FranceSoir

 

CHRONIQUE - "Intégrité physique", "autonomie personnelle", deux considérations éthiques tellement évidentes, pourtant bannies des décisions politiciennes et affairistes, qui ont défiguré l’idée que le monde se faisait de l’Etat de droit. Une décision de la plus grande démocratie du monde, comme il est de coutume de la qualifier, vient les restaurer. Ce lundi 2 mai, la Cour suprême d’Inde a statué : on ne peut obliger personne à se soumettre aux "vaccins" contre le Covid-19.

Rappelant le droit fondamental à l’information, autre concept brutalement éradiqué du débat public depuis deux ans, les juges B.R. Gavai et L. Nageswara ont également demandé que les données sur les effets indésirables des injections soient rendues publiques.

 

https://www.francesoir.fr/politique-monde/la-cour-supreme-indienne-juge-la-vaccination-obligatoire-anti-constitutionnelle

 

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Le contrôle citoyen, un nouvel instrument dans la vie démocratique de la cité

8 Avril 2022, 18:44pm

 Le contrôle citoyen, un nouvel instrument dans la vie démocratique de la cité

 Publié le 08/04/2022 à 17:30 – France Soir

 

Face à la perte de confiance de certains de nos concitoyens dans la fiabilité du processus électoral, pour redonner du sens à ces élections, une initiative citoyenne inédite intitulée ReCiProc s’est créée. 

ReCiProc, une initiative de contrôle des élections destinée à renforcer l’engagement citoyen

Pour contrer ce climat de méfiance et de tensions à l'égard de la transparence de l'élection présidentielle du 10 avril, des citoyens ont posé un regard attentif sur les divers aspects de la vie politique pour se demander si l’implication des citoyens est suffisant ou s’il n’y a pas lieu de trouver de nouvelles formes de participation à la vie de la cité. Ils ont pensé que la première chose à initier pour restaurer la confiance était d’inviter les citoyens à s’impliquer au-delà du vote. Comment ? En effectuant un contrôle démocratique pour proscrire tout incident et assurer le bon déroulement des rendez-vous démocratiques de ces prochaines semaines.

 

 

https://www.francesoir.fr//politique-france/le-controle-citoyen-un-nouvel-instrument-dans-la-vie-democratique-de-la-cite

 

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ALERTE : la Haute Autorité de Santé commence-t-elle à paniquer devant les effets secondaires des vaccins ?

31 Mai 2022, 19:36pm

ALERTE : la Haute Autorité de Santé commence-t-elle à paniquer devant les effets secondaires des vaccins ?

ALERTE : la Haute Autorité de Santé commence-t-elle à paniquer devant les effets secondaires des vaccins ?

La Haute Autorité de Santé est-elle prise d'un sentiment de panique face à la question des effets secondaires des vaccins, qui s'envenime après l'audition des "anti-vax" par l'Office Parlementaire présidé par Cédric Villani (lire notre résumé de cette séance publié vendredi) ? En tout cas, son dernier document publié, sur la stratégie vaccinale à mettre en oeuvre cet automne laisse entendre, entre les lignes, que la vaccination obligatoire tant aimée par le gouvernement et ses commanditaires européens soulève quelques problèmes de conscience, désormais.

 

 

https://lecourrierdesstrateges.fr//2022/05/30/alerte-la-haute-autorite-de-sante-commence-t-elle-a-paniquer-devant-les-effets-secondaires-des-vaccins/

 

 

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L’OMS modifie son Règlement Sanitaire International... et ce n’est PAS bon

22 Mai 2022, 06:39am

L’OMS modifie son Règlement Sanitaire International... et ce n’est PAS bon

                                                                  

L’OMS modifie son Règlement Sanitaire International... et ce n’est PAS bon
                                                                                                                    Kit Knightly 20 mai 2022 

https://off-guardian.org/2022/05/20/the-who-is-changing-their-international-health-regulations-thats-not-good/

Le 22 mai marque le début de la 75e Assemblée mondiale de la Santé de l’Organisation mondiale de la santé, à Genève. Curieusement, c’est le même jour que le sommet DAVOS du Forum économique mondial recommence de l’autre côté de la Suisse. Une coïncidence, certes.

 

À l’approche de ces grands jours du calendrier mondialiste, il y a eu beaucoup de discussions sur le « traité sur la pandémie » proposé par l’OMS. Tout le monde, de Russell Brand à GBNews, en a parlé, et c’est tant mieux.

Le traité représente une énorme menace pour la souveraineté nationale et la liberté individuelle, avec des clauses proposées incluant des cartes d’identité numériques internationales et incitant même les pays du tiers monde à exagérer ou même à créer de futures « urgences sanitaires ».

Donc, vous ne pouvez pas avoir trop de conscience... mais cela ne devrait pas non plus être notre objectif exclusif.

Le traité n’en est qu’à ses débuts, même la première version du projet n’étant pas attendue avant août, et probablement pas de vote avant 2024.

Mais ce qui devrait être voté la semaine prochaine, ce sont les amendements proposés par la mission américaine au Règlement Sanitaire International (RSI).

C’est ce qui devrait être notre objectif principal à l’heure actuelle.

 

QUE SONT LES RSI?

Le RSI est la législation habilitante de l’OMS, fixant les conditions et les limites de ses pouvoirs. Toute modification de ces règles a un impact mondial quasi immédiat. Bien que cela ne représente peut-être pas une menace pour la liberté à la même échelle que le « Traité sur la pandémie », c’est certainement plus urgent. C’est aussi beaucoup plus facile à mettre en place.

Lorsqu’un tout nouveau traité nécessite des mois de rédaction puis de signature par chacun des 194 États membres de l’OMS, un amendement à la législation préexistante peut être adopté par un simple vote à l’Assemblée de la Santé.

De cette façon, ils pourraient même utiliser le Traité comme un écran de fumée.

Vous pouvez même soutenir que la perspective du traité dans deux ans détourne l’attention des règles qu’ils pourraient adopter dès ce dimanche après-midi. Ce n’est pas impossible.

 

QUELLES SONT LES NOUVELLES RÈGLES ?

Les amendements au RSI ont été proposés pour la première fois par la mission américaine auprès de l’OMS en janvier, ils sont longs et déroutants, mais si vous êtes si enclin, vous pouvez lire l’intégralité du document ici.

Nous allons choisir les changements les plus préoccupants ci-dessous.

Accélérer le processus

Le dernier règlement modifié est le premier que nous examinerons ici. L’article 59, paragraphe 1, du RSI énonce actuellement [c’est nous qui soulignons]...

Le délai prévu en exécution de l’article 22 de la Constitution de l’OMS pour le rejet ou la réserve du présent Règlement ou d’un amendement à celui-ci est de 18 mois à compter de la date de notification par le Directeur général de l’adoption du présent Règlement ou d’un amendement au présent Règlement par l’Assemblée de la Santé.

 

La proposition américaine supprimerait totalement les mentions en gras des amendements et ajouterait une nouvelle sous-clause réduisant le délai d’exécution de dix-huit mois à seulement six...

 

Le délai prévu en exécution de l’article 22 de la Constitution de l’OMS pour le rejet ou la réserve d’un amendement au présent Règlement est de six mois à compter de la date de notification par le Directeur général de l’adoption d’un amendement au présent Règlement par l’Assemblée de la Santé. Tout rejet ou réserve reçu par le Directeur général après l’expiration de ce délai n’a pas d’effet.

Cela signifie que tout règlement voté ce week-end devrait être pleinement appliqué d’ici la fin de l’année. Beaucoup plus tôt que la mise en place d'un traité.

Le « comité de conformité »

Les amendements ajoutent un tout nouveau chapitre au règlement – le chapitre IV – créant ce qu’ils appellent le « comité de conformité » (CC). Le comité hypothétique serait composé d'« experts » régionaux non élus dont le travail serait d’évaluer dans quelle mesure chaque État membre applique les nouvelles règles.

Parmi les nombreuses responsabilités de ce panel de technocrates, ils seraient autorisés à [italiques ajoutés]...

Faire des recommandations à un État partie concerné et/ou à l’OMS sur la manière dont l’État partie peut améliorer le respect des dispositions et toute assistance technique et tout soutien financier recommandés.

Le « soutien financier » n’est qu’une corruption internationale. Essentiellement, le CC sera habilité à distribuer des pots-de-vin en échange de l’accord des gouvernements nationaux pour jouer le jeu avec un récit de pandémie. Nous l’avons vu pendant le Covid, où la mort soudaine du président tanzanien John Magufuli, sceptique face au COVID, a été rapidement suivie d’un renversement de sa politique Covid et d’un prêt de 600 millions de dollars du FMI.

Nous avons discuté de cet aspect dans notre dernier article sur le Traité sur la pandémie.

Assouplissement de la définition de « pandémie »

Le RSI est la législation qui habilite le Directeur général de l’Organisation mondiale de la Santé à déclarer qu’une maladie est une pandémie, ou une « urgence de santé publique de portée internationale » (USPPI). Les règles modifiées visent à élargir considérablement ce pouvoir de la manière suivante:

1) by allowing a PHEIC to be declared in the event of a “potential” emergency…

Art 12(2) […]If the Director-General considers, based on an assessment under these Regulations, that a potential or actual public health emergency of international concern is occurring

2) by creating an entirely new class of “public health incident”, the intermediate public health alert”, a term which is given absolutely zero  definition within the document and seems to be entirely at the whim of the WHO’s DG:

Article 12, paragraphe 6 Lorsqu’il n’a pas été déterminé qu’un événement répond aux critères d’une urgence de santé publique de portée internationale, mais que le Directeur général a déterminé qu’il nécessite une sensibilisation internationale accrue et une intervention de santé publique internationale potentielle, le Directeur général, sur la base des informations reçues, peut décider à tout moment d’émettre une alerte de santé publique intermédiaire.

3) en habilitant les directeurs régionaux de l’OMS à déclarer l’urgence de santé publique de portée régionale (PHERC) (également toute nouvelle) :

Article 12, paragraphe 7. Un directeur régional peut déterminer qu’un événement constitue une urgence de santé publique d’intérêt régional et fournir des directives connexes aux États parties de la région avant ou après que la notification d’un événement susceptible de constituer une urgence de santé publique de portée internationale soit faite au Directeur général.

Comité d’urgence

Contrairement au « comité de conformité », le comité d’urgence (CE) existe déjà dans l’ancien cadre du RSI et serait formé à la demande du Directeur général après avoir déclaré une situation USPPI. Le groupe d’experts serait entièrement composé de membres triés sur le volet de la « liste d’experts du RSI » et durerait aussi longtemps que le DG l’aurait dit.

C’est déjà assez grave, mais les nouvelles règles changeraient radicalement la composition du comité.

Auparavant, l’article 48, paragraphe 2, relatif à la composition des CE se lisait comme suit:

Au moins un membre du Comité d’urgence devrait être un expert désigné par l’État Partie sur le territoire duquel l’événement se produit

La version modifiée se lit comme suit:

Les membres du Comité d’urgence devraient comprendre au moins un expert désigné par l’État Partie sur le territoire duquel l’événement se produit, ainsi que des experts désignés par d’autres États Parties touchés.

Oui, tous les « États touchés » obtiennent maintenant une place automatique au comité. Au cas où vous vous poseriez la question, un « État affecté » est défini à l’article 48 comme suit:

[Un] État partie géographiquement proche ou autrement touché par l’événement en question.

... un concept incroyablement vague qui pourrait être appliqué à pratiquement tous les pays du monde, et sur une base complètement ad hoc pour contrôler le récit.

Il y a cependant de bonnes nouvelles, au moins ce groupe de technocrates non élus qui se verront attribuer des pouvoirs d’urgence pendant une pandémie (ou une pandémie « potentielle »), sera agréable et diversifié ...

Article 48, paragraphe 2, [...] Le Directeur général choisit les membres du Comité d’urgence sur la base de l’expertise et de l’expérience requises pour une session donnée et en tenant dûment compte des principes d’égalité entre l’âge, le sexe et la représentation géographique.

La tyrannie équitable est la MEILLEURE.

Atteinte à la souveraineté

L’attaque contre la souveraineté nationale contenue dans ces amendements n’est pas seulement une clause ou un changement de formulation unique, mais le thème récurrent du document. Le but même de chaque changement qu’ils proposent est d’affaiblir la nation individuelle en faveur du « Comité d’urgence », de la « communauté internationale » et, bien sûr, de l’OMS elle-même.

Il y a littéralement trop d’instances à compter ici, mais voici les exemples les plus flagrants.

Le paragraphe 3 de l’article 11 se lisait comme suit : « L’OMS consulte l’État partie »...le nouveau texte se lit comme suit : « L’OMS en informe l’État Partie ». Réorganiser clairement et évidemment le langage pour établir une dynamique de pouvoir. En ces termes, l’OMS surclasse maintenant l’État-nation.

Le paragraphe 5 de l’article 12 commençait par « Si le Directeur général, après consultation de l’État sur le territoire duquel l’urgence de santé publique de portée internationale s’est produite »...

le nouveau libellé se lit comme suit : « Si le Directeur général, après consultation du Comité d’urgence et des États parties concernés »

En fait, tout au long du document, pratiquement tous les cas de l’expression « l’État sur le territoire duquel l’état d’urgence s’est produit » sont remplacés par « les États parties touchés ».

Comme nous l’avons vu plus haut, la définition des « États touchés » est si vague que presque n’importe quel pays sur Terre pourrait prétendre en être un. L’effet pratique de cela sera de diluer le pouvoir d’un État individuel de contrôler ses propres politiques de santé, tout en permettant simultanément à des pays plus puissants de se frayer un chemin dans toute « urgence » et de contrôler le récit.

Mais le plus troublant de tous est l’article 9 (1), qui concerne les rapports d’urgences de santé publique de tiers – c’est-à-dire les rapports qui ne sont pas officiellement soumis par un gouvernement concernant sa propre santé publique, mais plutôt par une source extérieure.

Ce règlement se lit actuellement comme suit :

L’OMS peut tenir compte des rapports provenant de sources autres que les notifications [des gouvernements nationaux] et évalue ces rapports conformément aux principes épidémiologiques établis, puis communique des informations sur l’événement à l’État Partie sur le territoire duquel l’événement se serait produit. Avant de prendre des mesures à partir de ces rapports, l’OMS consulte l’État Partie sur le territoire duquel l’événement se serait produit et s’efforce d’obtenir une vérification de sa part.

Le nouveau projet de cette clause supprime totalement la phrase en gras.

Cela signifie qu’en vertu de nouvelles règles, l’OMS pourrait recevoir des données tierces affirmant qu’une nouvelle maladie a tué des milliers de personnes dans le pays X et n’aurait pas à vérifier ces données auprès du gouvernement X avant de déclarer une pandémie internationale.

Cela déresponsabilise totalement l’État-nation, tout en donnant d’énormes pouvoirs à ces « tiers », y compris les gouvernements étrangers et les agences de renseignement, les multinationales, les ONG, les groupes de réflexion et les agences internationales (y compris l’OMS elle-même).

CONCLUSION

Voyez-vous la tendance ici? Comprenez-vous le fin entrelacement du contrôle narratif que ces règles modifiées créent réellement?

En vertu de ces règles, la machinerie est mise en place qui peut créer une « pandémie potentielle » à partir de rien quand ils le veulent.

 

  • Étape 1 : Certains laboratoires Big Pharma peuvent rapporter des données exagérées / falsifiées / inventées à l’OMS, affirmant une urgence sanitaire dans un pays africain pauvre.

  • Étape 2 : L’OMS, n’ayant plus à vérifier ces données auprès du pays désigné, déclare immédiatement une « urgence potentielle ».

  • Étape 3 : En vertu des règles d'« urgence potentielle », un comité d’urgence est créé.

  • Étape 4 : Étant donné que toute « nation touchée » obtient automatiquement un siège au comité, les États-Unis / UE / Chine seront toujours en mesure d’insérer leurs propres « experts » dans toute « urgence » en prétendant qu’ils sont « touchés » en raison des routes commerciales ou des liens financiers ou des droits de l’homme ou ... quoi que.

  • Étape 5 : Les « experts » placés sur le panel « confirment » les données de Big Pharma (sans jamais révéler que beaucoup d’entre eux ont travaillé ou travaillent encore pour Pfizer/Merck/GSK et al.)

  • Étape 6 : Si le pays africain pauvre nie toute urgence sanitaire à l’intérieur de ses frontières, il sera traduit devant le « comité de conformité » qui examinera son infrastructure de santé, la trouvera insuffisante et leur offrira un « soutien financier » et une « assistance technique » pour « mieux détecter d’éventuelles pandémies à l’avenir ».

  • Étape 7 : Si le président du pays africain pauvre sait ce qui est bon pour lui, il se rendra immédiatement compte qu’il a une pandémie en cours après tout. Si ce n’est pas le cas, sa santé peut se détériorer rapidement.

De toute évidence, la plupart des pays du tiers monde prendront cet argent sans hésitation, parce qu’ils sont désespérément pauvres et / ou corrompus.

Et juste comme ça... vous avez une pandémie.

La réalité est que, aussi grave que fût la « pandémie » de Covid19, ce n’était aussi qu’un essai de routine. À partir du moment où le récit a été déployé, les personnes qui le dirigeaient prenaient note de ce qui fonctionnait et de ce qui ne fonctionnait pas, de ce qu’elles avaient le pouvoir de faire et de ce qu’elles n’avaient pas réussi.

Maintenant, alors que la majeure partie du monde est distraite par « l’opération spéciale » de la Russie en Ukraine, ils mettent en place les premières mesures législatives qui rendront la prochaine « pandémie » beaucoup plus serrée.

Au cas où vous penseriez que cela pourrait être une perspective lointaine, rappelez-vous que Bill Gates et ses semblables parlent déjà et à plusieurs reprises de « la prochaine pandémie » et suggèrent qu’elle sera « pire que Covid ».

Avec ces nouvelles règles en place, ils vont prouver qu’ils ont raison.

 

 

 

 

 

 

 

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Dupond-Moretti veut empêcher les non-vaccinés de se défendre contre la haine officielle

24 Mai 2022, 16:46pm

Dupond-Moretti veut empêcher les non-vaccinés de se défendre contre la haine officielle

Éric Verhaeghe 23 mai 2022 – Le courrier des stratèges

  •  

Les non-vaccinés peuvent-ils invoquer la loi condamnant les appels à la haine lorsqu'ils sont victimes de ces appels ? C'était la question que je posais au nom de l'association Rester libre ! aujourd'hui à la 17è chambre correctionnelle de Paris, après que le docteur Masson, président de la Fédération nationale des médecins radiologues (FNMR), ait publiquement affirmé au sein de l'Institut Santé de Frédéric Bizard qu'il fallait affamer les non-vaccinés pour les forcer à accepter le vaccin. Frédéric Bizard a d'ailleurs protégé le docteur Masson. Selon le Parquet, les non-vaccinés ne peuvent bénéficier de la protection de la loi interdisant l'appel à la haine... si le Parquet ne le demande pas. Une nouvelle manière, pour Dupond-Moretti, de briser les reins de l'état de droit et de livrer tout crus les non-vaccinés à la haine.

 

https://lecourrierdesstrateges.fr//2022/05/23/dupond-moretti-veut-empecher-les-non-vaccines-de-se-defendre-contre-la-haine-officielle/

 

 

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Qu’allait donc faire le patron de la DGSE à la réunion du Bilderberg ?

10 Juin 2022, 07:24am

Qu’allait donc faire le patron de la DGSE à la réunion du Bilderberg ?

Publié le 8 juin 2022 par Olivier Demeulenaere

 

Les grandes réunions mondialistes s’enchaînent. Après la Forum économique mondial de Davos, puis la rencontre destinée à donner plus de pouvoirs à l’OMS, c’est le Bilderberg qui s’est réuni à Washington.

 

Les participants français à la réunion du groupe Bilderberg 2022 sont :

  • Patricia Barbizet, PDG de Témaris (fonds d’investissement), membre du CA de plusieurs grands groupes, ex-présidente du Siècle,

  • Valérie Baudson, DG d’Amundi (société de gestion, 2064 milliards d’euros)

  • Thomas Buberl, PDG d’AXA

  • Bernard Émié, directeur de la DGSE

  • Patrick Pouyanné, PDG de Total

Les Français pourraient-ils avoir quelques explications sur la présence du patron de la Direction Générale de la Sécurité Extérieure, service de renseignement de la France, à cette rencontre des magnats du Nouvel Ordre Mondial ? Notons que le directeur de la CIA était également de la partie.

 

https://olivierdemeulenaere.wordpress.com//2022/06/08/quallait-donc-faire-le-patron-de-la-dgse-a-la-reunion-du-bilderberg/

 

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De l'importance du désordre

20 Mai 2022, 17:44pm

Publié par Ciel Voilé

De l'importance du désordre

Xavier Azalbert - le 20/05/2022 à 15:25 – France Soir

 

 

EDITO - L’ordre, ne l’avons-nous pas essayé ?

L'ordre des médecins. L'ordre de ceci, de cela, ces entités professionnelles, disciplinaires et autres, nous les avons toutes essayées. Y compris les « ordres » des sociétés savantes, ces « avis/opinions » qui passent du rang d'avis consultatif à celui de norme, de législation, lorsque les Gouvernants s’abritent derrière l'opinion qui est donnée par l'autorité « technique » officielle en la matière.

Cette tendance déjà fortement à la mode avant la crise du Covid, a atteint son paroxysme depuis son déclenchement. En effet, peut-être par facilité ou par crainte de voir leur responsabilité engagée, les gouvernants s'en sont entièrement remis, entre autres, à l'ordre des médecins ou divers comités consultatifs. À tel point que depuis deux ans, on est en mesure de s’interroger sur qui « dirige l'action du gouvernement » ?  Est-ce le Premier ministre, comme l’indique l’article 21 de la Constitution, ou celui qui est en quelque sorte le « Big Boss » de l'ordre des médecins, le directeur général de la santé ?

 

https://www.francesoir.fr/opinions-editos/de-limportance-du-desordre

 

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