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Avant la crise sanitaire, notre association diffusait de l'information essentiellement sur le contrôle en cours du climat, sur la géo-ingénierie en cours et sur la destruction, délibérée ou non, de l'atmosphère, du sol, de l'eau et de tout le vivant sur terre. Mais devant la démesure des décisions prises par tant de gouvernements qui semblent tous suivre la même feuille de route, devant les atteintes gravissimes au droit et aux libertés individuelles et collectives, devant les dévastations économiques sans précédent, nous donnons la parole à ceux que les médias aux ordres, ignorent ou censurent. Nous sommes les témoins d'un basculement de civilisation.
Résultat pour “rivotril”
Le scandale du Rivotril
Le Dr Nicole Delépine s'exprime sur le rivotril
Commission d'enquête Covid-19 : protocole Rivotril et GIR
Démission de Dominique Martin, Directeur Général de l’ANSM. Scandale de trop, Remdesivir, hydroxychloroquine ou Rivotril?
France Soir - le 6 décembre 2020
L’Agence Nationale de Sécurité du Médicament et des Produits de Santé (ANSM) annonce la démission de son directeur général Mr Dominique Martin « à sa demande ». La publication au journal officiel fait état que Mme Ratignier-Carbonneil est chargée d’exercer cette position par intérim. Cela fait suite à une proposition de l’Elysée du 9 novembre 2020 de la nommer au poste de directeur général
Guerre de pouvoir ou ce scandale de trop
Le directeur général de l’ANSM, censé être autonome, est sous tutelle ministérielle. Après les scandales de la Dépakine, de l’essai mortel Biotrial, l' Uvestérol D et du Levothyrox voilà que l' hydroxychloroquine aurait des effets graves et mortels. D’un côté l’hydroxychloroquine qui a fait l’objet d’un surprenant refus de règlement temporaire d’utilisation à la demande de l’IHU de Marseille ou le remdesivir, traitement dont nous avions alerté de la toxicité et des problèmes dès le mois d’avril feront surement partie du scandale de trop, pour ne pas parler du Rivotril administré comme traitement compassionnel à nos ainés. Serait-ce les diverses enquêtes et instructions en cours qui auraient poussé Mr Martin à démissionner ou bien tout simplement une guerre de pouvoir au sein de l’ANSM ?
Lors de la commission d'enquête sénatoriale le 22 octobre 2020, Dominique Martin avait déclaré en justifiant la ATU (autorisation temporaire d'utilisation) de cohorte accordée au Remdesivir (traitement aujourd'hui déconseillé par l'OMS) « cette grande étude extrêmement solide qui a montré cette réduction d'hospitalisation »
Non à la légalisation de l'euthanasie pour les seniors atteints par le covid 19
Pétition lancée par Bruno Lafontaine
M. Le Premier ministre EDOUARD PHILIPPE, M. Le ministre des solidarités et de la santé, OLIVIER VÉRAN,
Votre décret en date du 28 mars 2020 autorise la délivrance de Rivotril© hors AMM (Autorisation de Mise sur le Marché). Il rend accessible à tout médecin dans sa forme injectable (à la différence de la forme orale), la prescription de Rivotril© .
Ce médicament est un anticonvulsivant non barbiturique qui appartient à la famille des benzodiazépines. Selon vos préconisations, ce traitement a pour objectif la prise en charge palliative des patients confrontés à un état asphyxique et ne pouvant être admis en réanimation ou pour lesquels une décision de limitation de traitements actifs a été prise.
Cette décision d'administration de Rivotril pouvant être prise hors de toute collégialité présente un risque de perversion de la législation française interdisant l'euthanasie active.
L'euthanasie demeure interdite, selon la loi Leonetti de 2005, cette loi autorise, après avis collégial et autorisation des proches ou du patient, à appliquer un traitement anti-douleur «qui peut avoir pour effet secondaire d’abréger sa vie», mais non de provoquer la mort.
Il serait utile au demeurant de revenir sur les raisons qui interdisent l'accès en réanimation pour les personnes plus âgées dont plusieurs cas de guérison sont connus après avoir contracté le COVID-19.
La défaillance de l'état dans la gestion des capacités de soin doit-il se traduire par le sacrifice de nos parents ?
Tenant à vous alerter sur les risques de nombreuses dérives éthiques que votre décret comporte, je reste attentif aux précisions du cadre légal que vous voudrez bien lui apporter.
Mise à jour du 09/04/2020
Merci à chacun de vous pour sa mobilisation !
Plus de 35 700 signatures de soutien rassemblées en une semaine. Il s’agit d’un signe fort, du trouble jeté par le décret promulgué par M. Edouard PHILIPPE (Premier Ministre) et M. Olivier VERAN (Ministre des Solidarités et de la Santé) en date du 28 mars 2020.
De nombreuses dénégations ont été publiées dans la presse, notamment par le biais de la Société Française de Gériatrie et Gérontologie (que vous pouvez interpeller) https://sfgg.org/nous-contacter/ qui est à l’initiative de ce décret et affirme que le Rivotril ne sert pas à précipiter les décès, qu’il est prescrit dans des cas spécifiques et encadrés.
Nous l’avons tous compris, ce décret, au regard des drames qui se déroulent actuellement en France et de la gestion gouvernementale chaotique de cette crise, présente un risque de perversion de la législation française qui encadre avec précision les soins palliatifs et interdit l'euthanasie active. Ce décret mis en cause, y compris par de nombreux médecins comme le Dr Nicole Delépine (ancien chef de service d’oncologie pédiatrique de l’hôpital de Garches) https://www.youtube.com/watch?v=QDLNScOavf4 comporte un risque de dérive éthique ainsi que de possible déviances. Ces interrogations ont d’ailleurs été portées par plusieurs députés lors de la dernière séance de questions au Gouvernement - Mardi 7 avril 2020.http://videos.assemblee-nationale.fr/video.8931812_5e8c9193c6f28.questions-au-gouvernement---mardi-7-avril-2020-7-avril-2020
Nous devons rester vigilants et mobilisés en vue d’introduire une requête auprès du Conseil d’Etat pour faire abroger ce décret, ceux et celles parmi vous ayant des compétences juridiques sont les bienvenus.
Crise sanitaire : Euthanasie des personnes âgées ?
Décret n° 2020-360 du 28 mars 2020 complétant le décret n° 2020-293 du 23 mars 2020 prescrivant les mesures générales nécessaires pour faire face à l'épidémie de covid-19 dans le cadre de l'état d'urgence sanitaire
Extrait :
*Le rivotril, sédatif * puissant, prescrit en gouttes pour l'épilepsie, devient prescriptible par tout médecin, jusqu'au 15 avril 2020, en intraveineuse aux patients atteints ou susceptibles d'être atteints du Covid-19.
* Wikipedia : « Un sédatif est une substance qui a une action dépressive sur le système nerveux central (c'est donc un psychotrope, et plus particulièrement un psycholeptique) et qui entraîne un apaisement, une relaxation, une réduction de l'anxiété, une somnolence, un ralentissement de la respiration et une diminution des réflexes. Un sédatif peut être aussi désigné comme tranquillisant1, dépresseur, anxiolytique, soporifique, somnifère ou sédatif-hypnotique. À forte dose, la plupart des sédatifs peuvent entraîner des altérations de la conscience, le coma, voire la mort. »
Vidal :
Contre-indications du médicament RIVOTRIL
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insuffisance respiratoire grave,
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syndrome d'apnée du sommeil,
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insuffisance hépatique grave,
Témoignage :
C'est la légalisation de l'euthanasie pour les patients en détresse respiratoire, déjà triés comme du bétail au profit d'autres plus jeunes, plus beaux, ou plus rentables, ou un VIP qui lui, aura le privilège d'être intubé. Ce poison rivotril qui est disponible en pharmacie de ville et dans les EHPAD pourra être délivré sur simple ordonnance avec mention covid jusqu'au 15 avril 2020.
Il est manifeste que ces politiciens criminels avec la complicité du corps médical veulent profiter de l'état d'urgence pour s'octroyer les pleins pouvoirs et autoriser par décret mortifère contraire à l'esprit de la déclaration des droits de l'homme qui édicte le droit à la vie, à exterminer les personnes âgées dans les EHPAD ; c'est un plan d'abattage massif d'une catégorie de population, soit un génocide relevant des crimes contre l'humanité.
Nos parents et grands parents qui nous ont donné la vie, la génération des baby boomers, mourront dans des conditions atroces, avec suffocations, convulsions et arrêt cardiaque, tués sur ordre de leurs descendants de la génération X sans âme. Précisément, ce produit est règlementairement interdit en cas d'insuffisance respiratoire alors que c'est la pathologie des hospitalisés covid souffrant d'une pneumonie sévère; si ce produit est prescrit en cas d'insuffisance respiratoire, c'est la mort assurée.
On ne peut non plus exclure l'abus qui pourrait en être fait pour donner la mort à tout opposant au système étiqueté covid 19 qui pourrait être éliminé par ce biais avec la complicité de quelque médecin appartenant à quelque loge, ou des crimes déguisés.
On ne peut rester passif face à une telle situation ; tuer les vieillards, c'est leur projet, digne de l'aktionT4 des nazis. C'est le plan de génocide conçu pour libérer les EHPAD et économiser le versement des pensions des bouches inutiles, ou le plan de retraite n°2 de la macronie. Attali qui soutenait l'euthanasie des anciens et les mérites d'une bonne pandémie doit tirer une grande fierté de sa créature qui passe à la pratique.
Encore beaucoup de morts en EPHAD à prévoir jusqu'au 11 mai 2020 ?
La date d'effet du décret du 28 mars 2020 (complétant celui du 23 mars 2020) autorisant la prescription du Rivotril injectable en médecine de ville (et par voie de conséquence autorisant la pratique de l'euthanasie active sur nos personnes âgées atteintes du Covid ou simplement suspectées de Covid) initialement fixée au 15 avril 2020 vient de se voir prorogée par un nouveau décret du 14 avril 2020 jusqu'au 11 mai prochain.
Les diverses réactions de médecins, pétition, protestations semblent n'avoir pas atteint le grand public.
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- Au I de l'article 3, aux I, II et III de l'article 4, au I de l'article 5, au premier alinéa de l'article 7, au I des articles 8 et 9 et au premier alinéa des I et II de l'article 12-3 du décret du 23 mars 2020 susvisé, la date : « 15 avril 2020 » est remplacée par la date : « 11 mai 2020 ».
II. - Le I est applicable aux collectivités de l'article 74 de la Constitution et à la Nouvelle-Calédonie dans les mêmes conditions que les articles qu'il modifie.
Connais ton ennemi
https://www.levilainpetitcanard.be/connais-ton-ennemi/
Mars 2020, une majorité des pays les plus riches, mais aussi les plus endettés de la planète basculaient dans la dictature sanitaire. Incarcération domiciliaire en dehors de tout cadre constitutionnel, décrets et arrêtés toujours plus liberticides, absurdes, humiliants, contradictoires, contraires au bon sens et à l’évidence scientifique. Tout ça pour quoi? Pour un virus qui ne tue pas plus qu’une mauvaise grippe.
Lassé de courir après la baballe en attendant le prochain train de mesures quasi-dictatoriales décidées dans le confortable entre soi d’un quarteron de pourritures et claironnées le lendemain par tous les médias de grands chemins, j’ai décidé de m’arrêter un instant pour réfléchir. Eh oui, la vraie question à se poser c’est comment des pays réputés démocratiques ont-ils pu basculer simultanément dans la dictature sanitaire, et donc comment l’ensemble des politiques aux pouvoir dans ces pays ont-ils pu s’affranchir du droit pour imposer des mesures dont on se rend parfaitement compte aujourd’hui qu’elles ont tué par centaines de milliers?
Prenons l’exemple d’Olivier Véran, Ministre français de la Santé. Le 28 mars 2020 était publié le fameux décret Rivotril, pour « soulager » les patients covid en état de détresse respiratoire. En pratique le Rivotril les a « soulagés » comme l’avaient été les handicapés mentaux victimes du tristement célèbre programme Aktion T4 des nazis2. On les a piqués comme des chiens. Or en France, l’euthanasie est illégale, elle est assimilée à un meurtre. Logiquement donc, en cas de retour à la normale, Olivier Véran devrait être mis en examen en tant que responsable de plusieurs milliers de meurtres, voire de crimes contre l’humanité, ce qui lui vaudrait une condamnation à perpétuité. Pourtant, aucun de ces hommes de pouvoir ne semble craindre un seul instant l’éventualité d’être traduit en justice un jour, et ils se vautrent toujours plus avant dans l’abjection et la tyrannie3. Comment cela est-il possible?
Ce qui suit est une opinion, une tentative d’expliquer ce qui est apparemment inexplicable si l’on ne prend pas la peine d’articuler les causes et les événements qui nous ont amenés là. C’est une étape cruciale pour savoir qui est à la manoeuvre, et pour savoir précisément jusqu’où ces gens sont prêts à aller. À la lumière de ce qui précédait, vous devez déjà vous en douter un peu, non?
En règle générale, les hommes politiques sont d’une prudence de Sioux, ne s’engageant qu’à coup sûr, s’assurant que leur responsabilité n’est jamais engagée au point que l’on pourrait ultérieurement les poursuivre en justice sur base de leurs actions, et le timide docteur Véran ne fait pas exception à la règle. Comment transforme-t-on des paisibles chapons4 en sociopathes prêt à tuer sans l’ombre d’une hésitation?
Dr Delépine : " Au secours, retour de l'euthanasie en EPHAD !"
Dr Nicole Delépine – France-Soir – Le 23 octobre 2020
Tribune : Terrifiante succession des faits en cet automne sordide : il apparait ainsi successivement :
l’interdiction de la prescription d’azithromycine chez les ainés en septembre et en octobre,
un nouveau décret Rivotril pour euthanasie des résidents en EHPAD réactualisé dans le cadre des nouvelles mesures anticovid !
Sans parler bien sûr de l’enfermement nocturne qu’on n’avait pas vu depuis août 44,
du scandale des masques inutiles et dangereux par infection bactérienne entre autres,
des tests covid non fiables, base de la propagande éhontée du gouvernement.
Edouard Philippe a la mémoire courte.
Ce jour (21 Octobre) le premier ministre du confinement a affirmé sous serment devant la commission d’enquête parlementaire qu’il n’y avait pas d’instruction pour interdire aux pensionnaires des Ehpad d’aller à l’hôpital. Comment peut-il ignorer la fiche d’admission rédigée par les ARS[1][2] [3] et la SFAR le 19 mars (2 jours après le confinement) et les Recommandations professionnelle multidisciplinaire opérationnelles qui ont organisé le tri des malades à l’entrée en soins intensifs en excluant les plus fragiles, précisément ceux que l’état d’urgence était censé protéger.
Cette « pertinence de l’admission » était jugée à froid, le plus souvent sur dossier, sans voir le malade en fonction de « critères médicaux et éthiques » (sic[4] ) Si le pronostic du malade était jugé mauvais[5] ou sa qualité de vie insuffisante[6], critères discutables, théoriquement jugés de façon collégiale (pour diluer les responsabilités personnelles ?), on ne vous acceptait pas en réanimation et on préparait une seringue de Rivotril à votre nom.
Comment peut -il ignorer les consignes et recommandations concernant l’appui des établissements de santé aux établissements hébergeant des personnes âgées dépendantes adressée le 31 mars[7] et rappelant que « la prise en charge des cas suspects et confirmés ne présentant pas de critères de gravité doit être assurée en priorité au sein des EHPAD afin de ne pas saturer les établissements de santé » et que « la décision de transfert vers un établissement de santé ne peut être prise que par un médecin du SAMU centre 15. Par ailleurs, les régulateurs du SAMU doivent avoir un accès facilité aux éventuelles directives anticipées et aux notes écrites dans le dossier médical. Ainsi, un médecin d’astreinte réanimateur doit pouvoir être contacté H24 pour participer le cas échéant à la décision collégiale de non-admission en réanimation[8] ».
A quoi joue Olivier Véran ?
Il devrait se douter qu’un jour plus ou moins lointain, des familles ne comprenant pas la mort par euthanasie de leur proche en EHPAD, en leur absence, tenteront d’avoir des explications devant un tribunal. Et même si les responsables sont en général déclarés non coupables selon la formule bien connue, ces procès feront apparaître le sordide des évènements qui peuvent se révéler au moins politiquement coûteux pour leurs responsables.
Rebelote… Le nouveau décret n’oublie pas de rappeler « l’autorisation d’euthanasie non volontaire » pour des gens âgés dont le directeur d’EHPAD aura estimé que ses chances de guérison en réanimation, si le besoin s’en faisait sentir, seraient insuffisantes pour encombrer les hôpitaux et tant pis si les lits privés interdits de travail normal sont vides.
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