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Ciel Voilé

L'ACSEIPICA répond au journal "L'âge de faire" N°77

26 Juillet 2013, 06:48am

Publié par Ciel Voilé

 

Réponse de Claire Henrion, présidente de l’ACSEIPICA à la réponse de Fabien Ginisty à Ciel voilé ( N° 77 de l’Âge de Faire) à propos de l’article sur la géo-ingéniérie ("Quand les avions provoquent les nuages" N° 76)

 

                                                                                              Le 16 juillet 2013

Bonjour,

 

Votre article sur la géoingéniérie suscite beaucoup d’émoi chez les militants qui dénoncent les

épandages aériens clandestins de produits toxiques, communément appelés « chemtrails » et les manipulations climatiques en général.

 

Chercheur indépendant en astronomie et climat depuis 1995, j’ai fondé en 2008 l’Association

Citoyenne pour le Suivi, l’Etude et l’Information sur les Programmes d’Interventions Climatiques et Atmosphériques (ACSEIPICA).

 

Je me permets de revenir sur votre affirmation « le GIEC, un groupe de scientifiques de toute la planète qui a contraint les responsables politiques à reconnaître la réalité du réchauffement climatique. » Chers « écologistes pratiques », êtes-vous naïfs au point de croire que le CO2 émis par nos activités purement civiles (car on ne nous parle jamais des militaires …) puisse être la cause de la fonte de la calotte polaire et du dit réchauffement climatique qui nous fait grelotter tandis qu’on se baigne en Alaska ? Savez-vous qu’il représente moins de 0,05% des gaz composant notre atmosphère ? Et que même si son pouvoir d’effet de serre est fort, la vapeur d’eau est beaucoup plus forte que lui pour l’effet de serre global ?

 

Le GIEC a été créé à l’initiative de l’ONU pour cautionner la thèse d’un réchauffement climatique dû à nos émissions de gaz à effet de serre, en particulier le CO2. Il faut savoir que depuis 1993 fonctionnent des installations HAARP et consorts (SURA, EISCAT…), de plus en plus nombreuses qui font fondre la calotte polaire arctique par un effet de four à micro-ondes en jouant avec la ionosphère. Ceci, pour HAARP étant sous contrôle exclusivement militaire.

 

On arrive aujourd’hui en 2013 à l’un des résultats escomptés : l’ouverture d’un passage arctique maritime, ce qui semblait réjouir tout le monde jusqu’aux années 70, après quoi on s’est alarmé de ce que la banquise fonde… La calotte polaire antarctique, elle, ne fond pas sauf en un endroit depuis 1999 : autour de la base américaine où se trouve également un relais HAARP … (Ceci est le résultat d’une recherche personnelle, publiée dans le diaporama présenté au Klimaforum de Copenhague en 2009 « Les causes de la crise climatique sont-elles vraiment celles que l’on croit ? ») http://rockastres.org/spip.php?article76.

 

Savez-vous que la première équipe du GIEC, composée de scientifiques de renom, n’avait pas abouti aux conclusions désirées par ses commanditaires (l’ONU) ? Aussi leurs rapports ont été tronqués de telle sorte que le sens originel était renversé. Les auteurs ont demandé à retirer leurs noms ; on le leur a refusé car ils étaient prestigieux ; ils ont dû faire un procès pour parvenir à leurs fins ( Source : une interview d’Aaron Russo que je ne retrouve actuellement plus sur internet.). Les équipes de scientifiques suivantes ont bien su faire ce qu’on leur demandait ; c’est le problème de la spécialisation, qui oublie l’origine et le global.

 

S’appuyant astucieusement sur la mauvaise conscience liée à la pollution émergeant en force ces années-là, il n’a pas été difficile de faire gober à une population pleine de bonnes intentions mais dépourvue de culture scientifique que c’était à cause de son mode de vie, ce qui n’était pas faux mais disproportionné et très pratique pour cacher la cause majeure.

 

J’ai eu l’occasion d’assister à une conférence de la Royal Society en 2010 intitulée « Geoengineering the climate » au cours de laquelle nous avons suivi des exposés sur la manière de convaincre l’opinion publique de la nécessité de la géo-ingénierie ; ceci s’articulant sur la conviction hors de tout soupçon que le CO2 est la cause de ce soit- disant réchauffement (c’est plutôt un dérèglement) et que c’est lui qu’il faut combattre.

 

Il est dramatique que beaucoup de personnes impliquées dans l’écologie ne voient pas ce qui se passe dans le ciel, cette attaque généralisée et systématique, d’épandage à petit feu depuis 11 ans de produits toxiques par des avions militaires qui croisent à des altitudes souvent bien inférieures à celles des couloirs civils, par escadrilles, tartinant le ciel pendant des heures et le défigurant.

 

Tout cela, vous ne le voyez pas ? Vous préférez vous laisser persuader que ce sont des traînées de condensation d’avion normales ? C’est bien sûr de la condensation, mais autour de quels noyaux ? Du baryum, de l’aluminium, divers métaux et composés chimiques, comme le révèlent toutes les analyses d’eaux de pluies faites par des individus – car bien sûr aucun pouvoir public ne s’en est encore occupé. Rassurez-vous, il y a aussi des épandages dans les couloirs civils ; il y en a en fait à tous les étages : en bas avec les épandages agricoles, au milieu avec les militaires et en haut avec les civils et les militaires déguisés en civils. C’est ce à quoi concluent nos observations et nos enquêtes.

 

Comment des personnes sensibles à l’écologie peuvent-elles ne pas avoir le cœur retourné par ces lacérations du ciel comme on en voit quelquefois ? Comment peuvent-elles ne pas avoir remarqué de changement dans le ciel ? Ce sont des questions qui tracassent ceux qui osent identifier par eux même ce que leurs yeux voient et ils en observent les effets sur la nature et la santé des créatures vivantes.

 

Le rapport Case Orange n’est pas anonyme : il a été présenté par le professeur Coen Veermoren de l’Université de Delft aux Pays Bas au symposium du Belfort Group à Gand (Belgique) le 29 mai 2010 ; il en assume la paternité ! Merci de nous faire remarquer que le résumé en français du rapport Case Orange stipule que les auteurs préfèrent rester anonymes jusqu’à nouvel ordre : celui-ci est levé depuis longtemps déjà et nous ne l’avions pas corrigé.

La version intégrale en français est ici http://rockastres.org/IMG/pdf/case_orange_1-99._def_doc.pdf

 

Pour revenir à Olivier Boucher, nous avons voulu nous inscrire l’année dernière à l’Atelier de

Recherche Prospective « Géoingéniérie de l’environnement, quels partenariats et quelles recherches » qu’il proposait pour l’Agence Nationale de la Recherche. Nous avons eu, avec une collègue, un entretien d’une heure avec lui, mais quand nous lui avons dit que notre préoccupation était de tirer au clair une bonne fois pour toutes la composition des traînées suspectes (qui illustrent la page internet de présentation de cet atelier

http://www.agence-nationale-recherche.fr/programmes-de-recherche/ateliers-de-reflexion-prospective/geoingenierie-de-lenvironnement-nbsp-nbspquelles-recherches-et-quels-partenariats/ ), il a rompu le contact.

 

Ainsi donc, notre association citoyenne s’est vue fermer la porte de cet atelier présenté comme ouvert aux associations. Il ne faut pas vouloir tirer certains problèmes au clair ?

A vous d’en juger d’un point de vue citoyen.En espérant vous avoir apporté quelques éclaircissements. Et en souhaitant que vous saurez faire rebondir la question avec des informations plus fournies car le nombre de vos lecteurs conscients du problème ne cesse d’augmenter et d’exiger du sérieux dans la documentation.

 

Si nous pouvons vous être utiles dans ce domaine, voir notre blog

http://acseipica.blogspot.fr/

Un jeune réalisateur suisse, Mathias Hancke, est en train d’achever un film sur les preuves scientifiques de la réalité des épandages aériens clandestins de produits toxiques et la composition chimique de ces traînées : « Overcast ».

 

Pour finir, je vous invite à regarder cette toute récente interview de Vandana Shiva, physicienne indienne, sur la question de la géoingéniérie http://www.youtube.com/watch?v=uZg4NKhXh5M

 

Claire Henrion

 

Le chevalier de lACSEIPICA se base sur son bon sens d’être vivant

Observateur et curieux, il sefforce de faire la part des choses

Respectueux de chacun, il interpelle ses concitoyens

 

Association Citoyenne

pour le Suivi, lEtude et lInformation

sur les Programmes dInterventions

Climatiques et Atmosphériques

Leymarie 12300 LIVINHAC

09 74 62 34 77

www.acseipica.blogspot.com

acseipica.association@gmail.com

 

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La CIA finance une étude sur la géo-ingénierie menée par le gouvernement

21 Juillet 2013, 22:37pm

Publié par Ciel Voilé


Steve Watson - Infowars.com - Le 19 Juillet 2013

 

http://www.infowars.com/cia-is-funding-government-led-chemtrailing-project/


La CIA finance une étude scientifique pour déterminer si modifier le climat de la planète pour lutter contre le changement climatique est faisable, selon des documents publiés par l’Académie Nationale des Sciences.


Les documents révèlent que le projet se déroulera sur 21 mois pour un coût de 630.000 $, avec un rapport final en 2014. Les scientifiques soutenus par la CIA étudieront comment les conditions météorologiques pourraient être influencées et modifiées, et évalueront les impacts potentiels des essais de géo-ingénierie.


Le site NAS remarque que le financement de l'étude provient de « la communauté du renseignement américain ». William Kearney, un porte-parole du NAS, a déclaré à Mother Jones que l'agence en question est la CIA.


C’est la première fois, selon ces révélations, qu'une agence de renseignement finance publiquement une telle étude.


Un porte-parole de la CIA n'a pas voulu confirmer que l'agence était impliquée, mais a déclaré qu’ « il est naturel que sur un sujet comme le changement climatique l'agence collabore avec les scientifiques pour mieux comprendre le phénomène et ses implications sur la sécurité nationale. »


Il semble que la CIA ait externalisé ses études de géo-ingénierie à la suite de la fermeture apparente de son propre centre de recherche sur le changement climatique et la sécurité nationale en 2012. Le mouvement est venu suite aux critiques de membres républicains du Congrès qui déclaraient que la communauté du renseignement ne devrait pas se consacrer à des recherches sur la modification du climat.


Le site NAS indique que l'étude englobera une « évaluation technique d'un nombre limité de techniques de géo-ingénierie proposées. » Une technique de premier plan qui sera évaluée, selon les documents, est « la gestion du rayonnement solaire », qui consiste à pulvériser des particules d'aérosols dans la stratosphère pour réfléchir la lumière du soleil loin de la planète - en d'autres termes le « chemtrailing ».


L'étude se penchera également sur « l'élimination du dioxyde de carbone (CDR) », qui consiste à aspirer le carbone de l'air par des réactions chimiques ou des nanoéponges poreuses. Bien sûr, le dioxyde de carbone est essentiel à toute vie sur Terre, donc « l’aspirer de l'air » pourrait avoir des conséquences désastreuses.


L'étude est également soutenue par deux autres agences gouvernementales – la NASA et la National Oceanic and Atmospheric Administration.


Evoquant le projet, le New Scientist souligne que la participation de la CIA à la modification du climat ne doit pas nous inquiéter.


« En fait, l'intérêt principal de la CIA dans la géo-ingénierie ne réside pas dans son utilisation offensive. Au contraire, la communauté du renseignement américain considère le changement climatique comme une menace potentielle pour la stabilité géopolitique mondiale, et donc veut une analyse approfondie des options d'atténuation » indique le rapport.


Les critiques fusent face à une déclaration si naïve, compte tenu de l'histoire de la CIA qui a secrètement  déstabiliser et renverser des gouvernements étrangers qu'elle n'approuve pas, et fait tout autre chose que d'assurer la stabilité géopolitique.


Les armes climatiques existent depuis des décennies, la recherche sur les techniques offensives remonte aux années 1950. En 1997, le secrétaire américain à la Défense, William Cohen, a reconnu que les techniques de modification du climat étaient activement utilisées par les gouvernements depuis plus de 15 ans. L'armée américaine a utilisé des techniques de modification climatiques depuis la guerre du Vietnam.


Il suffit de lever les yeux au ciel pour avoir la confirmation que nos gouvernements, à la demande de groupes de réflexion, de groupes de « recherche » et d’organismes environnementaux radicaux, se sont déjà engagés dans ce type de programmes. Notre ciel est criblé de nuages ​​artificiels, qui sont manifestement autre chose que les traînées standard de condensation des avions.


En effet, comme nous l'avons signalé l'année dernière, une expérience de projet de l'Université d’Harvard, financée par le fondateur de Microsoft, Bill Gates, a pulvérisé des milliers de tonnes de particules de soufre sur le Nouveau-Mexique, dans le cadre d'une étude de géo-ingénierie, en dépit du fait que même des écologistes fervents ont averti que le processus pourrait avoir des effets catastrophiques sur l'écosystème de la Terre.


Ce n'est qu'un exemple d'une pratique qui est maintenant mise en œuvre depuis des années, sinon des décennies.


Des groupes tels que l'Association américaine pour l'avancement des sciences (AAAS) se réunissent régulièrement pour discuter des programmes de géo-ingénierie en cours, notamment la pulvérisation d'aérosols dans l'atmosphère.


Les niveaux d'aluminium, baryum et strontium dans l'air, l'eau et le sol ont augmenté de façon exponentielle, menant beaucoup à conclure que ce sont les suites de programmes de géo-ingénierie radicaux qui sont déjà en cours.


Une autre étude, l'an dernier, a révélé que le coût d'un programme massif de pulvérisation de particules dans la haute atmosphère serait d'environ 5 milliards de dollars par an. Cependant, l'étude,  menée par des scientifiques américains écrivant dans la revue « Les lettres de la recherche environnementale » a complètement échoué à analyser si un tel programme massif de géo-ingénierie serait une bonne idée et quelles seraient ses conséquences
environnementales.


A l’institut Carnegie pour la science, une proposition similaire a récemment préconisé la pulvérisation dans la haute atmosphère d’aérosols, un processus qui « réduirait de 20 % la quantité de lumière qui se dirige directement vers le sol et transformerait le ciel bleu en  ciel blanc à brumeux » a rapporté le New Scientist.

 

 Compte tenu du fait que la plupart des progrès en science et en technologie sont déjà réalisés des années avant leur communication au public, il va de soi que les programmes de géo-ingénierie basés sur  la pulvérisation de particules dans la haute atmosphère sont déjà en cours.


Les scientifiques admettent maintenant que des traînées de vapeur des avions créent des « nuages ​​artificiels » qui bloquent le soleil. Ce n'est plus un sujet de débat. Les « théoriciens du complot » qui ont été ridiculisés en affirmant depuis le milieu des années 90, que des avions à réaction avaient des traînées persistant des heures et formant des nuages ​​artificiels, avaient raison.


Le professeur Keith Shine de l'Université de Reading a déclaré au Daily Mail que les nuages « formés par les vapeurs d'avions pourraient s'attarder  pendant des heures, privant les zones sous les trajectoires de vol, comme Londres et les Home Counties, de soleil d'été. »


Le rapport fait également référence à une étude réalisée en 2009 par le Met Office qui  constatait que les vents d’altitude  ne dispersent pas des traînées persistantes lesquelles forment plus tard des nuages ​​qui couvrent une distante étonnante de 20,000 miles (32km).


Comme nous l'avons prouvé, les programmes de géo-ingénierie basés sur la pulvérisation d'aérosols artificiels étaient déjà en exploitation il y a des années, y compris au ministère américain de Savannah River, au laboratoire national de l'énergie à Aiken, Caroline du Sud, qui en 2009 a commencé à mener des études impliquant la pulvérisation énorme de quantités de matières particulaires, dans ce cas « des microsphères de verre à paroi poreuse », dans la stratosphère.


Un autre programme dans le cadre du programme du ministère de la science atmosphérique et de l'énergie est conçu pour « développer la compréhension globale des processus atmosphériques qui contrôlent le transport, la transformation et le parcours des traces de produits chimiques et des matières particulaires."


Le site Web du DOE affirme que « l'objectif actuel du programme est le forçage radiatif du climat par des aérosols. La formation des aérosols, leur évolution et leurs propriétés affectent  directement et indirectement le temps et le changement climatique. »


Ces programmes ont déjà pour effet de bloquer la lumière du soleil. L'émergence du phénomène « chemtrails » a coïncidé avec une baisse moyenne de 22% de la lumière solaire atteignant la surface de la terre.


En 2008, un reportage aux informations de KSLA constatait qu'une substance qui tombe au sol en provenance d'un chemtrail de haute altitude contient des niveaux élevés de baryum (6,8 ppm) et de plomb (8,2 ppm) ainsi que des traces d'autres produits chimiques comme l'arsenic, le chrome, le cadmium, le sélénium et l'argent. Parmi ceux-ci, tous sauf un sont des métaux, certains sont toxiques alors que plusieurs autres sont rarement ou jamais trouvés dans la nature.


L’étude met l'accent sur le baryum, qui est le « marqueur » de chemtrails. KSLA a trouvé des niveaux de baryum dans ses échantillons à 6,8 ppm soit « plus de six fois le niveau toxique fixé par l'EPA. » Le ministère de la qualité de l’environnement en Louisiane a confirmé que les niveaux élevés de baryum étaient « très inhabituels », mais a ajouté que « la preuve de la source était une toute autre affaire » dans sa discussion avec KSLA.


KSLA a également demandé à Mark Ryan, directeur du Centre antipoison, quels sont les effets du baryum sur le corps humain. Ryan a déclaré que « l'exposition à court terme peut conduire à des douleurs d’estomac ou de poitrine et que l'exposition à long terme peut provoquer des problèmes de pression artérielle. » Le Centre antipoison a en outre indiqué que l'exposition à long terme, comme pour toute substance nocive, contribuerait à affaiblir le système immunitaire.


La pulvérisation de soufre dans la haute atmosphère cause à la fois des catastrophes environnementales et des problèmes de santé humaine.


L'exposition au soufre a les effets suivants sur la santé :


- Effets neurologiques et changements de comportement
- Perturbation de la circulation sanguine
- Lésions cardiaques
- Effets sur les yeux et la vue
- Échec de la reproduction
- Dommages au système immunitaire
- Troubles gastriques et  gastro-intestinaux
- Dommages aux fonctions des reins et du foie
- Défauts auditifs
- Perturbation du métabolisme hormonal
- Effets dermatologiques
- Suffocation et embolie pulmonaire


Même le scientifique Mark Watson, en faveur de la géo-ingénierie, admet que l'injection de soufre dans l'atmosphère pourrait conduire à des « pluies acides, à l'appauvrissement de la couche d'ozone ou à des perturbations météorologiques. »


Le météorologue Alan Robock de l’université de Rutgers a aussi «  créé des simulations informatiques indiquant que le sulfate de nuages ​​pourrait affaiblir les moussons d'été en Afrique et en Asie, et réduire les pluies qui irriguent les cultures vivrières de milliards de personnes."


« Imaginez si on déclenchait une sécheresse et la famine en essayant de refroidir la planète », a dit Robock lors d'une conférence de géo-ingénierie en 2010.


Le Groupe canadien ETC (Erosion, Technologie et Concentration) a demandé que de telles expériences soient stoppées. « Cette expérience est seulement la première phase d'un plan beaucoup plus grand qui pourrait avoir des conséquences dévastatrices, y compris de grands changements dans les régimes climatiques tels que des sécheresses mortelles," a indiqué le groupe dans une déclaration écrite.


Fred Singer, président du Projet de politique environnementale de la science et un sceptique du réchauffement climatique d’origine anthropique, prévient que les conséquences de la manipulation grossière du délicat écosystème de la planète pourraient entraîner des dangers considérables.


« Si vous faites cela sans interruption, vous appuyez sur la couche d'ozone et  provoquez toutes sortes d'autres problèmes que les gens préfèrent éviter » a déclaré Singer.


Même le responsable scientifique de Greenpeace au Royaume-Uni - un ardent défenseur de l'explication du réchauffement de la planète par l'homme - Doug Parr - a qualifié de « bizarres » et « dangereuses » les tentatives de géo-ingénierie sur la planète.
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Steve Watson est rédacteur en chef pour Infowars.com et Prisonplanet.com d'Alex Jones, à Londres. Il possède une maîtrise en relations internationales de l'École de sciences politiques à l'Université de Nottingham et un baccalauréat ès arts en littérature et création littéraire de l'Université de Nottingham Trent.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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HAARP Alaska ferme ses portes

19 Juillet 2013, 22:26pm

Publié par Ciel Voilé

 

http://www.arrl.org/news/haarp-facility-shuts-down 


Le 15 juillet 2013

 

Le programme High Frequency Auroral Research active (HAARP) - un objet de fascination pour beaucoup et cible des «  théoriciens du complot » et de militants anti-gouvernementaux - a fermé ses portes. Le gestionnaire de programme HAARP, le Dr James Keeney de la base de Kirtland Air Force, Nouveau-Mexique, a déclaré à l’ARRL que le centre de recherche ionosphérique qui s’étend sur 35 acres (14 hectares) dans la région éloignée de Gakona en Alaska, a été fermé depuis début mai.


« Actuellement, le site est abandonné », a-t-il dit. «  C’est par manque l'argent. Nous n'en avons pas. » Keeney dit que personne ne se trouve sur place, les routes d'accès sont bloquées, les bâtiments sont enchaînés et le courant éteint. Le site de HAARP via l'Université d'Alaska n'est plus disponible; Keeney a déclaré que le programme n’a plus les moyens de payer ce service. «Tout est en mode sécurisé », a-t-il ajouté, l’installation restera dans cet état au moins pendant 4 à 6 semaines. En attendant un nouveau contractant qui viendra assurer la maintenance de l’installation dont le gouvernement est propriétaire (GOCO).


HAARP a prévenu tout le monde, il y a deux ans, qu'il serait en cours d'arrêt et n'a pas présenté une demande de budget pour l'exercice 5, affirme Keeney, « Mais personne n’y a fait attention. Maintenant, les gens se plaignent. Ils ne lâchent plus ! », a déclaré Keeney, notant qu'il a déjà reçu des demandes du Congrès. Les universités qui dépendaient des subventions de recherche HAARP sont également irritées, a-t-il ajouté.


En ce moment, la seule lueur d'espoir à l'horizon pour HAARP est que la DARPA ( Defense Advanced Research Projects Agency ) est prévue sur le site comme client pour terminer quelques recherches durant l'automne et l'hiver. La DARPA dispose de près de 8,8 millions de dollars dans son plan de budget de l'exercice 14, pour la recherche sur les « aspects physiques des phénomènes naturels tels que les tempêtes de la magnétosphère, le feu, la foudre et les phénomènes géophysiques."


La cause directe de l’arrêt de HAARP début mai est moins budgétaire qu'environnementale, explique Keeney. Les générateurs diesel du site ne sont plus aux normes du Clean Air Act. Les réparer pour répondre aux normes EPA coûterait 800.000 $. Au-delà de cela, dit-il, cela coûte 300.000 dollars par mois juste de garder l'installation ouverte et 500.000 dollars pour la faire fonctionner à pleine capacité pendant 10 jours.


Financée conjointement par le laboratoire de recherche de l'US Air Force et le laboratoire de recherche de  l'US Navy, HAARP est une installation de recherche sur l'ionosphère. Son appareil le plus connu est un instrument de recherche ionosphérique (IRI, 3,6 MW HF (environ 3 à 10 MHz)), qui alimente un système étendu de 180 antennes et qui est utilisé pour « exciter » des sections de l'ionosphère. Un autre équipement de l’installation en évalue les effets.


Larry Ledlow, N1TX, de Fairbanks, en Alaska, a déclaré que l’ionosonde HAARP et les données du riomètre ont été « inestimables, surtout étant plus ou moins locales, pour comprendre les conditions actuelles dans les hautes latitudes. » Il a dit que les données provenant d'autres sites « Tout simplement ne reflètent pas fidèlement la propagation unique que nous endurons ici. »


Pour combler cette lacune, Ledlow dit que plusieurs membres de l'Arctique Radio Amateur Club - dont Eric Nichols, KL7AJ, auteur de Radio Science pour les radio-amateurs et d’ articles de la TVQ - ont discuté de la construction de leurs propres instruments. « C'est très préliminaire, mais on sent vraiment un pincement à perdre HAARP. » Nichols, du Pôle Nord, Alaska, a mené des expériences à HAARP. Il a estimé que l'arrêt de l’installation est « une grande perte pour l'Alaska et ailleurs. »


L'installation d'alimentation à ultra-haute fréquence a longtemps intrigué les gens, même en dehors de l'Alaska. En 1997, HAARP  a transmis des signaux de test sur HF (3,4 MHz et 6,99 MHz) et demander des rapports aux émetteurs et auditeurs en ondes courtes dans le « Lower 48 » pour déterminer dans quelle mesure les transmissions HAARP pourraient être entendues dans le sud. En 2007, HAARP a réussi à faire rebondir un signal à 40 mètres au large de la lune. Plus tôt cette année, les scientifiques d’HAARP ont réussi à maintenir  un nuage de plasma à haute densité dans la haute atmosphère de la Terre.


En l'état, l’US Air Force en est propriétaire, pour l'instant, mais si aucun autre organisme ne s'avance pour prendre le relais, l'installation unique HAARP sera démantelée, dit Keeney. Il a souligné qu'il en coûterait moins de raser le champ de 180 antennes que de les remplacer.


Les annonces sensationnelles abondent sur internet, accusant HAARP de contrôler le temps - plus récemment dans le cas de l'ouragan Sandy et la vague de tornades - et à provoquer d'autres catastrophes naturelles. En plaisantant Keeney ajoute : « Si je pouvais effectivement affecter le temps, je la garderai ouverte. »

 

 

Ndt : Cet article présente la station HAARP d’Alaska comme l’unique installation HAARP. Il en existe bien d’autres et des mobiles. La dernière remarque du Mr Keeney : « Si je pouvais effectivement affecter le temps, je la garderai ouverte. », ne correspond en rien aux possibilités effectives de cette installation. Ses portes n'étaient-elles pas déjà fermées ? Association Ciel voilé

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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ChArMEx : une traque exceptionnelle de la pollution atmosphérique en Méditerranée

1 Juillet 2013, 21:11pm

Publié par Ciel Voilé

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Communiqué de presse - Paris, le 20 juin 2013

 

Du 10 juin au 10 août 2013, le CEA et le CNRS coordonnent une grande campagne de mesures en vue d’établir l’état des lieux le plus complet de la pollution atmosphérique en Méditerranée. Ce projet international, nommé ChArMEx ( Chemistry - Aerosol Mediterranean Experiment), partie intégrante du méta-programme international interdisciplinaire MISTRALS (Mediterranean Integrated Studies at Regional and Local Scales ) vise à améliorer notre compréhension des interactions entre pollution atmosphérique et climat. Ces interactions  pourraient être à l’origine d’une aggravation des conditions météorologiques estivales chaudes et sèches dans le bassin méditerranéen, ainsi que d’une augmentation de la détérioration de la qualité de l’air.

 

La Méditerranée est un laboratoire naturel qui permet d’étudier l’effet du réchauffement climatique

et de prédire la qualité de l’air d’une grande partie de l’Europe. Plus d’une centaine de scientifiques

d’une dizaine de pays ( France, Espagne, Italie, Irlande, Allemagne, Malte, Algérie, Grèce, Chypre, Liban, Turquie, Israël, Maroc,Tunisie ) sont mobilisés dans et autour du bassin occidental pour réaliser l’inventaire le plus complet jamais réalisé des espèces chimiques présentes dans l’atmosphère, de leurs transformations au cours du transport des masses d’air, et de leurs impacts sur le climat régional.


Une vaste panoplie de moyens d'observation sera déployée en Méditerranée nord-occidentale : des avions pour réaliser des mesures aéroportées et radiosondages, des ballons dérivants, des ballons sondes, ainsi qu’un voilier fonctionnant avec une pile à hydrogène, pour ne pas polluer les relevés. En parallèle, les mesures depuis le sol seront renforcées sur huit sites en France, en Italie et en Espagne, grâce à la mise en place d'instruments de mesures atmosphériques (lidars, radiomètres, compteurs de particules, analyseurs chimiques de différentes sortes...).

 

L’une des innovations mises en œuvre dans ChArMEx, testée en 2012, est le déploiement couplé de ballons dérivants et d’avions : capables de suivre l’évolution de la concentration en ozone ou en particules, les ballons servent également de traceurs aux avions pour analyser les mêmes masses d’air à plusieurs étapes de leur transport. Ces ballons permettront pour la première fois de suivre en continu au fil de l’air l’évolution de la concentration en ozone et celle de la granulométrie des particules sur plusieurs centaines de kilomètres. Il s’agit d’un moyen particulièrement puissant de tester la formation d’ozone et la sédimentation des poussières prévues par les modèles

.

Lancé en 2010, ChArMEx a déjà fait l’objet d’une première campagne de mesures intensives en juin - juillet 2012. Celle-ci a d’ores et déjà apporté des résultats particulièrement étonnants :

 

• première surprise, la pollution en particules fines mesurée au Cap Corse, dans un lieu isolé des sources de pollution, a été plus forte que celle mesurée pendant la même période dans la banlieue parisienne;

 

• deuxième surprise, l’observation par ballon sonde au-dessus de Martigues (Provence) a révélé

de grandes quantités de particules de poussières sahariennes de diamètre compris entre 15 et 30 micromètres, considérées généralement comme étant trop lourdes pour être transportées si loin de leurs sources, et qui ne sont généralement pas prises en compte par les modèles.

  

Si de telles observations se reproduisent, cela indiquerait que les modèles sous-estiment par exemple les transferts de poussières désertiques qui contribuent à fertiliser la surface de la Méditerranée, et qu’il faut expliquer comment celles-ci restent aussi longtemps en suspension dans l’air.

 

D'une envergure sans précédent en Méditerranée nord-occidentale, la campagne de l'été 2013 permettra d'engranger un nombre considérable de données, notamment sur les zones encore peu couvertes par les précédentes campagnes de mesures. Ces résultats contribueront à affiner la représentation des processus dans les modèles climatiques et de prévision de qualité de l’air.

 

ChArMEx- France implique près de 120 scientifiques d’une vingtaine de laboratoires, ainsi que les

partenaires suivants : le CNRS, l’ADEME, le CNES, l’ANR, le CEA, Météo-France, la Collectivité

Territoriale de Corse, Qualitair Corse, la Région Paca, Airpaca, l’École des Mines de Douai, l’École

polytechnique, ainsi que les Universités de Aix-Marseille, Clermont-Ferrand, Paris Diderot, Littoral

Côte d’Opale, Joseph Fourier, Lille1 Lyon, Paris-Est-Créteil, Pierre-et-Marie-Curie, Strasbourg,

Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines.

 

ChArMEx s'inscrit dans le méta-programme international et interdisciplinaire MISTRALS (Mediterranean Integrated Studies at Regional And Local Scales, 2010-2020) dédié à la compréhension du fonctionnement du bassin Méditerranéen et piloté par le CNRS. MISTRALS France est soutenu par 13 organismes (CNRS, IRD, Météo-France, Ademe, BRGM, CEA, Cirad, Irstea, CNES, Ifremer, IFP, Inra, IRSN).

 

La Méditerranée, laboratoire climatique de l’Europe

 

Située à la confluence de plusieurs déversoirs naturels drainant l’air provenant des continents limitrophes (l’Europe et l’Afrique), cette région est le réceptacle de toutes sortes de pollutions :


• d’origine humaine, venant surtout du nord et se déversant dans le bassin via les grandes vallées fluviales (Rhône, Pô) ou de grands complexes industriels et urbains (Barcelone,Marseille, Gênes, Alger, Sfax);


• d’origines naturelles, venues du cœur du Sahara sous la forme de gigantesques panaches

de poussières désertiques.

 

Toutes ces pollutions convergent dans le bassin qui, cerné de toute part par des reliefs, fait office d’immense réacteur chimique. Sous l’effet du climat méditerranéen, chaud, ensoleillé et sec, cette pollution évolue : de nouvelles espèces chimiques apparaissent, tandis que d’autres se transforment, ou disparaissent. Une partie de cette pollution va acquérir une nocivité accrue, donnant lieu à la formation de l’ozone et des poussières ultrafines susceptibles de causer des troubles respiratoires et cardiovasculaires. Elle va aussi modifier le climat en provoquant plus de sécheresse encore. Le début d’un cercle vicieux qui fait peser un risque sanitaire sur la population.

 

Pour en savoir plus: http://charmex.lsce.ipsl.fr


Contact Presse : Nicolas TILLY– Tel.: 01.64.50.17.16 / mail : nicolas.tilly@cea.fr

 

Pour en savoir : http://www.mistrals-home.org/

 

 

                                                                                  

http://wwwobs.univ-bpclermont.fr/opgc/index.php

 

Nous avons participé à la pré-campagne de terrain qui s'est déroulé l'été 2012 au Cap Corse, avec l'installation au Cap Corse de mesures d'oxydes d'azote, de mesure de nanoparticules, et de mesure de l'état de mélange de l'aérosol.


Ces mesures ont pour vocation, associées à de nombreuses autres mesures, de devenir un observatoire pérenne du Cap Corse, dans le cadre de CORSICA, (« *C*entre d’*O*bservation *R*égional pour la *S*urve*i*llance du *C*limat et de l’environnement *A*tmosphérique et océanographique en Méditerranée occidentale » (http://www2.obs-mip.fr/corsica).


Observatoire Atmosphérique CORSICA


Centre d’Observation Régional pour la Surveillance du Climat et de l’environnement Atmosphérique et océanographique en Méditerranée occidentale CORSiCA « Centre d’Observation Régional pour la Surveillance du Climat et de l’environnement Atmosphérique et océanographique en Méditerranée occidentale » est un observatoire atmosphérique implanté en Corse. Il s'agit d'une plate-forme instrumentale multi sites de mesures dédiées aux études atmosphériques et océanographiques en Corse dans le cadre du « chantier Méditerranée » dénommé « MISTRALS » (Mediterranean Integrated STudies at Regional And Local Scales) et plus particulièrement dans le cadre des programmes  HyMeX et ChArMExHyMeX (Hydrological cycle in the Mediterranean Experiment) a pour objectifs d'améliorer la caractérisation et la compréhension du cycle de l'eau sur le bassin Méditerranéen ;  ChArMEx (Chemistry-Aerosol Mediterranean Experiment) a pour but de dresser le bilan actuel et futur de l’environnement chimique atmosphérique (espèces particulaires et réactives gazeuses à vie courte) du bassin méditerranéen, et de ses impacts régionaux sur le climat, la qualité de l’air, et la biogéochimie marine.


Dates :


CORSiCA est un observatoire à vocation pérenne. Il sert également de structure d'accueil pour des projets de recherche, tels que  HyMeX et ChArMEx. HyMeX et ChArMEx sont organisés en 3 périodes imbriquées. Une période d’observation longue (Long Observation Period, LOP) de 2010 à 2020, une période d’observation plus soutenue (Enhanced Observation Period, EOP) de juin 2012 à septembre 2014 et plusieurs périodes d’observations intenses (Special Observation Period, SOP).

       

 

           

Nous participons cette année aux campagnes intensives qui se déroulent sur 3 sites :
-Toujours le site de l'observatoire au Cap Corse : du 5 juin au 12 aout 2013
- Et nous équipons un des avions de recherche du CNRS, l'ATR-42 pour 2 campagnes successives :

1/ Période d'observation intensive 1 : du 5 juin au 8 juillet 2013 ; l'ATR-42 est basé à Cagliari (Sardaigne), et dans le cadre de l'ANR ADRIMED : Impact du forçage radiatif direct des aérosols sur le climat Méditerranéen., plus de 45H de vols sont prévues pour aller échantillonner les poussières désertiques au dessus du bassin méditerranéen.

2/ Période d'observation intensive 2 : du 10 juillet au 12 aout 2013 : l'ATR-42 sera basé à Gênes (Italie), et dans le cadre de l'ANR SAF-MED: Formation des aérosols secondaires en méditerranée (http://www.agence-nationale-recherche.fr/projet-anr/?tx_lwmsuivibilan_pi2), plus de 45H de vols sont prévues pour aller échantillonner les panaches de pollution au dessus de la Méditerranée et de comprendre les processus d'évolution des polluants au cours de leur transport atmosphérique.

La plupart du personnel LaMP est impliqué dans ces campagnes de terrain.

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