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Avant la crise sanitaire, notre association diffusait de l'information essentiellement sur le contrôle en cours du climat, sur la géo-ingénierie en cours et sur la destruction, délibérée ou non, de l'atmosphère, du sol, de l'eau et de tout le vivant sur terre. Mais devant la démesure des décisions prises par tant de gouvernements qui semblent tous suivre la même feuille de route, devant les atteintes gravissimes au droit et aux libertés individuelles et collectives, devant les dévastations économiques sans précédent, nous donnons la parole à ceux que les médias aux ordres, ignorent ou censurent. Nous sommes les témoins d'un basculement de civilisation.
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Robert Kennedy J : message aux français
Vous avez dit « complotiste » ?!
Vous avez dit « complotiste » ?!
Posted by Jean-Dominique Michel
Dans un énième élan d’imbécilité (à laquelle nous sommes désormais habitués de sa part), le quotidien suisse Le Temps vient de qualifier une conférence que nous donnerons ce soir au Club suisse de la presse à Genève en compagnie des Pr Christian Perronne et Astrid Stuckelberger ainsi que du Dr Pablo Buono de « conférence complotiste ». La bêtise et la malveillance sidérales de cet article valent à tel point le détour que je m’empresse de donner au lecteur le lien où il pourra aller contempler cet objet de curiosité.
Einstein soulignait qu’il y avait deux choses infinies à ses yeux : l’Univers et la bêtise humaine. « Et encore, ajoutait-il, pour l’Univers je n’en suis pas certain ». C’est dire si la contemplation à laquelle je vous invite a presque une saveur mystique…
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Pour lire « La conférence complotiste au Club suisse de la presse maintenue, sous conditions » sur Le Temps : cliquer ici.
Rappelons au passage les caractéristiques des processus de stigmatisation :
C’est ce pli au service de la pensée unique et de l’obscurantisme qui tient désormais lieu de « pensée » à ce journal en plein naufrage. Dont les connaisseurs observent que les abonnés ont fui par canaux de sauvetage entiers, le titre ne faisant plus illusion qu’en invoquant un incertain lectorat en ligne.
Ce qui est triste bien sûr mais n’a pas lieu de nous surprendre : à faire un travail malveillant et médiocre, n’importe quelle entreprise commerciale en subit tôt ou tard les conséquences.
L’époque devient plutôt amusante (quoique) pour nous qui avons été ainsi étiquetés par des médias de connivence : les mensonges du Covid fuitent de toutes parts. Dernier en date, l’identification d’une séquence génique brevetée par Moderna trois ans avant l’apparition du Sars-coV-2, figurant dans son génome avec une probabilité d’occurrence naturelle de 1 sur 3’000 milliards !
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McKinsey au Sénat : les conseillers peinent à repondre aux questions de la Commission
Publié le 20/01/2022 à 17:40 – France Soir
Auditionné par une commission d’enquête sénatoriale mardi 18 janvier, un des directeurs associés du cabinet de conseil McKinsey a eu toutes les peines du monde à justifier un contrat de 496 800 euros pour « évaluer les évolutions du métier d’enseignant », entre autres sujets de discussion.
Une somme versée pour « réfléchir aux évolutions du métier d’enseignant »
En langage familier, c’est ce que l’on appelle « passer un sale quart d’heure ». Mardi 18 janvier, la commission d’enquête du Sénat s’est réunie pour mesurer « l’influence croissante des cabinets de conseil privés sur les politiques publiques ». L’objectif était de mieux comprendre le rôle joué par ces cabinets dans la gestion de la campagne de vaccination contre le Covid-19, mais aussi en savoir davantage sur la nature de certaines missions facturées à plusieurs centaines de milliers d’euros.
C'est justement pour justifier un contrat 496 800 euros que deux directeurs associés du cabinet américain McKinsey ont dû répondre aux questions des sénateurs. La présidente du groupe communiste, ici rapporteure de la commission Éliane Assassi, a ainsi interrogé Karim Tadjeddine, responsable du pôle Secteur public de McKinsey France sur un contrat d’un montant de 496 800 euros pour « évaluer les évolutions du métier d’enseignant ».
Pour justifier la somme perçue par son cabinet, Karim Tadjeddine a déclaré qu’elle avait servi à organiser un « séminaire » pour « réfléchir aux grandes tendances des évolutions du secteur de l’enseignement ». « Nous avons accompagné la DITP [Direction Interministérielle de la Transformation Publique, ndlr] dans cette réflexion. », a-t-il ajouté.
Parlement européen : un député s'adresse à Emmanuel Macron
Nous, non-vaccinés, ce groupe témoin que Big Pharma doit éliminer coûte-que-coûte
Eric Verhaeghe – Le courrier des stratèges – le 14 janvier 2022
L’émergence mondiale d’une réaction haineuse contre les non-vaccinés, quasiment accusés d’être à l’origine du COVID, désormais, soulève la question du groupe témoin que nous constituons. La coordination multilatérale de cette opération est très efficace, et souligne le poids réel de l’influence exercée par les laboratoires pharmaceutiques sur les décisions des Etats. Mais pourquoi les producteurs d’un vaccin qui ne marche pas, surtout face aux nouveaux variants, sont-ils si pressés d’en finir avec la résistance à ce vaccin ? Serait-ce parce que les non-vaccinés vont bientôt constituer le groupe-témoin gênant sur les effets secondaires durables de leur produit ?
Dans tous les essais pharmaceutiques, on choisit un groupe témoin : il sert d’étalon de comparaison entre ceux qui servent de cobaye et les autres. Le groupe témoin est celui qui n’est pas “expérimenté”. Il ne suit aucun traitement. Et si, statistiquement, tel ou tel phénomène se produit dans le groupe des cobayes, alors on peut suspecter qu’il s’agit d’effets secondaires produits par le traitement, puisque le groupe-témoin n’en souffre pas.
Les non-vaccinés, cet inquiétant groupe-témoin
Transposée à l’échelle d’un pays, cette technique du groupe témoin correspond assez bien à la situation que nous connaissons entre vaccinés et non-vaccinés.
Officiellement, une très grosse majorité de la population a reçu le traitement magique, qui nous était présenté comme “la seule façon de retrouver une vie normale”. Toujours très officiellement, une infime minorité qui représente tout de même 5 millions de personnes, en France, vit encore à l’état de nature, c’est-à-dire sans vaccin.
Il y a donc bien un groupe sous traitement et un autre groupe qui ne l’est pas.
Vaccins Covid-19 : tout ce que je sais, c’est que personne ne sait rien
Publié le 18/10/2021 à 18:35
Christine Cotton, biostatisticienne pour FranceSoir
Les vaccins Covid-19 sont actuellement le centre de discussions opposant la « doxa» - pensée unique dont le leitmotiv est le « tous vaccinés » - et les réfractaires qui ont une interprétation divergente.
Après des mois de discours sur l’efficacité, l’immunité, la tolérance des vaccins Covid-19, les visions des deux camps convergent sur le fait que le vaccin n’empêche ni la contamination, ni la transmission. Pourtant, les premiers s’accrochent encore au passe sanitaire pour des raisons qui vont apparaître plus qu’incompréhensibles au terme de la lecture de ce court papier.
Les partisans du « vaccin à tout prix » seraient éclairés de se pencher sur les documents des laboratoires qui comportent tous les résultats et preuves nécessaires pour se forger un avis éclairé sur ces questions.
Examinons donc le document suivant concernant le vaccin du laboratoire Pfizer-BioNTech : « Modification de l'autorisation d'utilisation en urgence (EUA) pour un produit non approuvé Mémorandum de révision du 9 avril 2021 » accessible sur le site de la FDA (Food and Drug Administration, agence américaine des produits alimentaires et médicamenteux) qui a mandat d'autoriser la commercialisation des médicaments sur le territoire des États-Unis.
Voici une copie d’écran de la section 5.2 (page 38) ainsi que sa traduction.