Pseudomonas Syringae : la bactérie des pluies artificielles
Image au microscope de Pseudomonas Syringae
Tanker Enemy le 11 novembre 2010 - Traduction Ciel voilé
http://www.tankerenemy.com/2010/11/pseudomonas-syringae-il-batterio-dei.html#.UyCZrM4hLkc
Pseudomonas Syringae est une bactérie en forme de bâtonnet appartenant au genre Pseudomonas. Elle est à Gram négatif ( propriétés de la membrane) et aérobie ( Elle ne peut vivre qu’en présence d’oxygène.), elle possède un flagelle polaire pour se déplacer. Elle vit dans les sols, sur les plantes et dans l'atmosphère. C'est un micro-organisme pathogène des plantes : en fait, elle attaque les arbres, elle endommage leur épithélium, et rend les nutriments des tissus de la plante disponibles aux parasites.
Parce qu'elle est liée à la formation de noyaux de condensation à l’origine de la pluie et de la neige, on l’utilise depuis quelques années, à la place de l'iodure d'argent pour faire tomber la pluie et la neige. Des études récentes laissent supposer que cette bactérie joue un rôle plus important qu'on ne le pensait dans la production de pluie et de neige naturelle.
Parce qu’elle contient une protéine qui permet d'augmenter la température de congélation, on l’utilise à la fois pour la neige artificielle, qui peut ainsi tomber à des températures supérieures à 0°C, et à la fois dans la chaîne du froid pour économiser l'énergie utilisée dans les systèmes de chauffage lors de la surgélation des aliments.
Feuilles de cerisier attaqué par Pseudomonas Syringae
Avec les pluies, à la fois naturelles et provoquées, Pseudomonas Syringae se propage dans les écosystèmes et, outre qu’elle attaque la flore, elle rend le sol mou et malléable comme de la gelée.
Le scientifique Jay Hardy a écrit à propos de Pseudomonas Syringae : « Les minéraux peuvent orienter seulement quelques molécules d'eau, tandis que les protéines des bactéries sont plus grandes et peuvent orienter de nombreuses molécules à la fois.[...] De nombreuses études montrent la capacité de Pseudomonas syringae à créer des noyaux d'agrégation, à la base de la formation des cristaux de glace ».
On est également intervenu génétiquement sur cette bactérie pour exploiter sa capacité à augmenter la température de congélation.
À la lumière de ces remarques, on comprend mieux pourquoi les pluies provoquées par les militaires sont aujourd'hui violentes et abondantes, pourquoi les sols sont soumis à des coulées de boue et à des glissements de terrain de plus en plus destructeurs. Il est également raisonnable de penser que de nombreux cas de produits laitiers et d'autres aliments contaminés soient dûs à des bactéries du genre Pseudomonas qui ont également attaqué la culture du kiwi en Italie centrale. Posons– nous la question : à qui tout cela profite-t-il ? Provoquer des tempêtes et des inondations, détruire la culture du kiwi et d'autres cultures ? Nous pouvons imputer ces catastrophes à la providence : mais dès lors que l'utilisation de Pseudomonas syringae devient une pratique courante pour la neige artificielle, la bactérie envahit les écosystèmes d’où elle était absente ou peu présente et se propage de manière incontrôlée.
Ces fléaux sont liés à un objectif spécifique : imaginez quel commerce lucratif dépend d’une bonne crue et de ses conséquences. La Protection civile, diverses organisations, des administrateurs, rusés et avides ... commencent immédiatement après une catastrophe, à appeler à l’aide et à mendier de droite et de gauche, pour obtenir des fonds du gouvernement (le « trésor » des contribuables) et de l'argent des citoyens crédules, convaincus par la vague de campagnes d'émotion et par les médias. Si Bertolaso est officiellement le deuxième plus riche contribuable d’Italie, il y a une raison. A la fin, les victimes des inondations auront peut-être reçu un pour cent des fonds collectés qui leur étaient destinés, le reste remplira les larges poches des profiteurs et des politiciens corrompus.
Pour que chaque inondation devienne une bénédiction .