"La Chine est-elle derrière le confinement de l'Occident ?!" La lettre d'avocats et d'un général au FBI
Jean-Dominique Michel – Jeudi 25 février 2021
Le texte que je vous propose aujourd’hui m’a fait un drôle d’effet !
Cela faisait en effet quelque temps que je voyais passer des informations troublantes et de toute évidence solides pour certaines d’entre elles sur une possible implication délibérée de la Chine dans la gestion désastreuse du Covid en Occident, mais dans un domaine qui est trop éloigné de ma propre expertise pour que je sache vraiment quoi en faire, à titre personnel, dans le cours de ma propre compréhension ou en ce qui concerne ce blog.
Je restais cependant avec un dilemme, tenant à l’anormalité extrême de la situation que nous vivons. J’ai conscience de me répéter, mais tout de même : tous les connaisseurs du domaine savent ou devraient savoir qu’il y a quelque chose de profondément pourri dans cette crise sanitaire.
Nous avions des plans pandémie soigneusement élaborés, prévus pour pouvoir faire face (vous le lirez dans la lettre qui suit) à une ou à des épidémies bien plus destructrices que ne l’a été en réalité le Covid-19.
Or au lieu d’appliquer les trains de mesures sensées et efficaces qui avaient été prévues, on a mis en échec tout ce qui pouvait fonctionner pour imposer des mesures absurdes qu'on savait être inutiles pour y avoir renoncé (comme le Dr Gérard Delépine l’a rappelé hier su ce blog) depuis plus de deux siècles.
Le confinement en particulier est non seulement une absurdité, mais une arme de destruction massive ! A nouveau, ceci est connu depuis deux siècles et demi : cette mesure extrême ne permet pas de ralentir une épidémie tout en causant des dommages collatéraux au moins dix fois pires que ce qu’elle cherche en vain à éviter.
Comment diable a-t-on pu, wordwide, adopter une politique sanitaire basée sur cette absurdité anachronique et barbare ? Comment et pourquoi les gouvernements ont-ils renoncé non seulement à des réponses médicales et sanitaires protectrices de la santé de la population, mais se sont-elles encore entêtées dans l’erreur en combattant férocement tout ce qui aurait pu être utile et efficace ? Pourquoi ont-ils renoncé à évaluer scientifiquement les stratégies mises en œuvre ? Et pourquoi, maintenant que l’on a la confirmation évidente (si besoin était !) qu’il ne faut surtout pas confiner, maintenant que les meilleures universités le démontrent, que l’OMS l’a publiquement reconnu, que les pays qui l’ont évité témoignent de résultats qui ne sont en rien pires que les autres, pourquoi continue-t-on envers et contre tout -comme le fait actuellement le Conseil fédéral- à martyriser la population ?
Certes, il est difficile (et dans doute encore plus pour un politicien actuel) de reconnaître ses erreurs. Certes, la stupidité (selon la formule de Michel Rocard) peut beaucoup expliquer. Certes, la peur des poursuites pénales peut-elle avoir mis nos autorités en mode « cover your ass » maximal et principe de précaution totalitaire.
Certes (et j’en suis un des bons experts contemporains) il y a une corruption systémique qui fait rage dans le domaine de la santé comme (mais encore plus que) dans d’autres. Le précédent de H1N1 a montré par exemple comment l’industrie pharmaco-vaccinale pouvait profiter d'une crise pour prendre la main sur les gouvernements et réaliser des profits crapuleux et obscènes au détriment du bien public.
Certes, l’évolution techno-numérique met certaines entreprises archi-dominantes (comme les GAFAM) dans des positions abusives et dangereuses pour la démocratie, a fortiori quand elles s’arrogent un pouvoir de police de la pensée et de censure.
(A ce sujet, petit aparté personnel, je viens de choper trente jours de cachot supplémentaires sur Facebook pour avoir re-publié l’article d’un médecin publié sur le blog d’un chercheur au CNRS ! Il suffit que le contenu, légal et intellectuellement irréprochable, déplaise aux sbires de Mark Z. pour que la liberté d’expression soit violentée dans l’indifférence générale des soi-disant « progressistes ». Dormez, braves gens !)
Mais malgré ce faisceau d’intérêts surpuissants, il manque toujours quelque chose à l’équation !