« Mais l'esprit est un élément mystérieux. Insaisissable et invisible comme l'air, il semble s'adapter docilement à toutes les formes et à toutes les formules. Et cela pousse sans cesse les natures despotiques à croire qu'on peut le comprimer, l'enfermer, le mettre en flacons. Pourtant toute pression provoque une contre-pression, et c'est précisément quand l'esprit est comprimé qu'il devient explosif: toute oppression mène tôt ou tard à la révolte. À la longue, et c'est là une éternelle consolation, l'indépendance morale de l'humanité reste Indestructible. Jamais jusqu'ici on n'a réussi à imposer d'une façon dictatoriale à toute la terre une seule religion, une seule philosophie, une unique conception du monde, et jamais on y réussira, car l'esprit saura toujours résister à l'asservissement, toujours il refusera de penser selon des formes prescrites, de s'abaisser, de s'aplatir, de se rapetisser et de se mettre au pas.» Stefan Zweig
Résultat pour “rivotril”
Le scandale du Rivotril
Le Dr Nicole Delépine s'exprime sur le rivotril
Archive : Rivotril le 29 mars 2020
Archives : Pierre Chaillot - le rivotril en EHPAD
Commission d'enquête Covid-19 : protocole Rivotril et GIR
Démission de Dominique Martin, Directeur Général de l’ANSM. Scandale de trop, Remdesivir, hydroxychloroquine ou Rivotril?
France Soir - le 6 décembre 2020
L’Agence Nationale de Sécurité du Médicament et des Produits de Santé (ANSM) annonce la démission de son directeur général Mr Dominique Martin « à sa demande ». La publication au journal officiel fait état que Mme Ratignier-Carbonneil est chargée d’exercer cette position par intérim. Cela fait suite à une proposition de l’Elysée du 9 novembre 2020 de la nommer au poste de directeur général
Guerre de pouvoir ou ce scandale de trop
Le directeur général de l’ANSM, censé être autonome, est sous tutelle ministérielle. Après les scandales de la Dépakine, de l’essai mortel Biotrial, l' Uvestérol D et du Levothyrox voilà que l' hydroxychloroquine aurait des effets graves et mortels. D’un côté l’hydroxychloroquine qui a fait l’objet d’un surprenant refus de règlement temporaire d’utilisation à la demande de l’IHU de Marseille ou le remdesivir, traitement dont nous avions alerté de la toxicité et des problèmes dès le mois d’avril feront surement partie du scandale de trop, pour ne pas parler du Rivotril administré comme traitement compassionnel à nos ainés. Serait-ce les diverses enquêtes et instructions en cours qui auraient poussé Mr Martin à démissionner ou bien tout simplement une guerre de pouvoir au sein de l’ANSM ?
Lors de la commission d'enquête sénatoriale le 22 octobre 2020, Dominique Martin avait déclaré en justifiant la ATU (autorisation temporaire d'utilisation) de cohorte accordée au Remdesivir (traitement aujourd'hui déconseillé par l'OMS) « cette grande étude extrêmement solide qui a montré cette réduction d'hospitalisation »
Non à la légalisation de l'euthanasie pour les seniors atteints par le covid 19
Pétition lancée par Bruno Lafontaine
M. Le Premier ministre EDOUARD PHILIPPE, M. Le ministre des solidarités et de la santé, OLIVIER VÉRAN,
Votre décret en date du 28 mars 2020 autorise la délivrance de Rivotril© hors AMM (Autorisation de Mise sur le Marché). Il rend accessible à tout médecin dans sa forme injectable (à la différence de la forme orale), la prescription de Rivotril© .
Ce médicament est un anticonvulsivant non barbiturique qui appartient à la famille des benzodiazépines. Selon vos préconisations, ce traitement a pour objectif la prise en charge palliative des patients confrontés à un état asphyxique et ne pouvant être admis en réanimation ou pour lesquels une décision de limitation de traitements actifs a été prise.
Cette décision d'administration de Rivotril pouvant être prise hors de toute collégialité présente un risque de perversion de la législation française interdisant l'euthanasie active.
L'euthanasie demeure interdite, selon la loi Leonetti de 2005, cette loi autorise, après avis collégial et autorisation des proches ou du patient, à appliquer un traitement anti-douleur «qui peut avoir pour effet secondaire d’abréger sa vie», mais non de provoquer la mort.
Il serait utile au demeurant de revenir sur les raisons qui interdisent l'accès en réanimation pour les personnes plus âgées dont plusieurs cas de guérison sont connus après avoir contracté le COVID-19.
La défaillance de l'état dans la gestion des capacités de soin doit-il se traduire par le sacrifice de nos parents ?
Tenant à vous alerter sur les risques de nombreuses dérives éthiques que votre décret comporte, je reste attentif aux précisions du cadre légal que vous voudrez bien lui apporter.
Mise à jour du 09/04/2020
Merci à chacun de vous pour sa mobilisation !
Plus de 35 700 signatures de soutien rassemblées en une semaine. Il s’agit d’un signe fort, du trouble jeté par le décret promulgué par M. Edouard PHILIPPE (Premier Ministre) et M. Olivier VERAN (Ministre des Solidarités et de la Santé) en date du 28 mars 2020.
De nombreuses dénégations ont été publiées dans la presse, notamment par le biais de la Société Française de Gériatrie et Gérontologie (que vous pouvez interpeller) https://sfgg.org/nous-contacter/ qui est à l’initiative de ce décret et affirme que le Rivotril ne sert pas à précipiter les décès, qu’il est prescrit dans des cas spécifiques et encadrés.
Nous l’avons tous compris, ce décret, au regard des drames qui se déroulent actuellement en France et de la gestion gouvernementale chaotique de cette crise, présente un risque de perversion de la législation française qui encadre avec précision les soins palliatifs et interdit l'euthanasie active. Ce décret mis en cause, y compris par de nombreux médecins comme le Dr Nicole Delépine (ancien chef de service d’oncologie pédiatrique de l’hôpital de Garches) https://www.youtube.com/watch?v=QDLNScOavf4 comporte un risque de dérive éthique ainsi que de possible déviances. Ces interrogations ont d’ailleurs été portées par plusieurs députés lors de la dernière séance de questions au Gouvernement - Mardi 7 avril 2020.http://videos.assemblee-nationale.fr/video.8931812_5e8c9193c6f28.questions-au-gouvernement---mardi-7-avril-2020-7-avril-2020
Nous devons rester vigilants et mobilisés en vue d’introduire une requête auprès du Conseil d’Etat pour faire abroger ce décret, ceux et celles parmi vous ayant des compétences juridiques sont les bienvenus.
Crise sanitaire : Euthanasie des personnes âgées ?
Décret n° 2020-360 du 28 mars 2020 complétant le décret n° 2020-293 du 23 mars 2020 prescrivant les mesures générales nécessaires pour faire face à l'épidémie de covid-19 dans le cadre de l'état d'urgence sanitaire
Extrait :
*Le rivotril, sédatif * puissant, prescrit en gouttes pour l'épilepsie, devient prescriptible par tout médecin, jusqu'au 15 avril 2020, en intraveineuse aux patients atteints ou susceptibles d'être atteints du Covid-19.
* Wikipedia : « Un sédatif est une substance qui a une action dépressive sur le système nerveux central (c'est donc un psychotrope, et plus particulièrement un psycholeptique) et qui entraîne un apaisement, une relaxation, une réduction de l'anxiété, une somnolence, un ralentissement de la respiration et une diminution des réflexes. Un sédatif peut être aussi désigné comme tranquillisant1, dépresseur, anxiolytique, soporifique, somnifère ou sédatif-hypnotique. À forte dose, la plupart des sédatifs peuvent entraîner des altérations de la conscience, le coma, voire la mort. »
Vidal :
Contre-indications du médicament RIVOTRIL
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insuffisance respiratoire grave,
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syndrome d'apnée du sommeil,
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insuffisance hépatique grave,
Témoignage :
C'est la légalisation de l'euthanasie pour les patients en détresse respiratoire, déjà triés comme du bétail au profit d'autres plus jeunes, plus beaux, ou plus rentables, ou un VIP qui lui, aura le privilège d'être intubé. Ce poison rivotril qui est disponible en pharmacie de ville et dans les EHPAD pourra être délivré sur simple ordonnance avec mention covid jusqu'au 15 avril 2020.
Il est manifeste que ces politiciens criminels avec la complicité du corps médical veulent profiter de l'état d'urgence pour s'octroyer les pleins pouvoirs et autoriser par décret mortifère contraire à l'esprit de la déclaration des droits de l'homme qui édicte le droit à la vie, à exterminer les personnes âgées dans les EHPAD ; c'est un plan d'abattage massif d'une catégorie de population, soit un génocide relevant des crimes contre l'humanité.
Nos parents et grands parents qui nous ont donné la vie, la génération des baby boomers, mourront dans des conditions atroces, avec suffocations, convulsions et arrêt cardiaque, tués sur ordre de leurs descendants de la génération X sans âme. Précisément, ce produit est règlementairement interdit en cas d'insuffisance respiratoire alors que c'est la pathologie des hospitalisés covid souffrant d'une pneumonie sévère; si ce produit est prescrit en cas d'insuffisance respiratoire, c'est la mort assurée.
On ne peut non plus exclure l'abus qui pourrait en être fait pour donner la mort à tout opposant au système étiqueté covid 19 qui pourrait être éliminé par ce biais avec la complicité de quelque médecin appartenant à quelque loge, ou des crimes déguisés.
On ne peut rester passif face à une telle situation ; tuer les vieillards, c'est leur projet, digne de l'aktionT4 des nazis. C'est le plan de génocide conçu pour libérer les EHPAD et économiser le versement des pensions des bouches inutiles, ou le plan de retraite n°2 de la macronie. Attali qui soutenait l'euthanasie des anciens et les mérites d'une bonne pandémie doit tirer une grande fierté de sa créature qui passe à la pratique.
Encore beaucoup de morts en EPHAD à prévoir jusqu'au 11 mai 2020 ?
La date d'effet du décret du 28 mars 2020 (complétant celui du 23 mars 2020) autorisant la prescription du Rivotril injectable en médecine de ville (et par voie de conséquence autorisant la pratique de l'euthanasie active sur nos personnes âgées atteintes du Covid ou simplement suspectées de Covid) initialement fixée au 15 avril 2020 vient de se voir prorogée par un nouveau décret du 14 avril 2020 jusqu'au 11 mai prochain.
Les diverses réactions de médecins, pétition, protestations semblent n'avoir pas atteint le grand public.
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- Au I de l'article 3, aux I, II et III de l'article 4, au I de l'article 5, au premier alinéa de l'article 7, au I des articles 8 et 9 et au premier alinéa des I et II de l'article 12-3 du décret du 23 mars 2020 susvisé, la date : « 15 avril 2020 » est remplacée par la date : « 11 mai 2020 ».
II. - Le I est applicable aux collectivités de l'article 74 de la Constitution et à la Nouvelle-Calédonie dans les mêmes conditions que les articles qu'il modifie.