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Ciel Voilé

geo-ingenierie

Refroidir la planète ne devrait être possible qu'avec l'aval de tous les gouvernements

5 Avril 2013, 21:51pm

Publié par Ciel Voilé

 

 

Les personnes les plus vulnérables du globe ont besoin de protection contre les impacts énormes et « imprévus » des projets radicaux de géo-ingénierie

Ian Sample, correspondant en sciences - The Guardian  

Dimanche 31 Mars 2013 – Traduction Ciel voilé


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Le volcan Grimsvotn entre en éruption en Islande en 2011. La gestion du rayonnement solaire consiste à pulvériser des particules dans l'atmosphère pour simuler les effets de refroidissement des éruptions volcaniques. Photo: Egill Adalsteinsson / EPA 


Les projets controversés de géo-ingénierie destinés à refroidir la planète  ne devraient pas être mis en œuvre sans recevoir l’aval des gouvernements du monde entier, pour réduire les risques d'accidents catastrophiques, ont déclaré des scientifiques britanniques.


Des chercheurs du Met Office ont réclamé une surveillance globale de ces projets « radicaux », après que des études aient montré qu'ils pouvaient avoir des répercussions énormes et « imprévues » sur certaines des personnes les plus vulnérables de la planète.


Les projets visant à refroidir la planète de manière inégale sont dangereux. Dans certains cas, ils provoqueraient des sécheresses dévastatrices en Afrique, dans d'autres ils augmenteraient les précipitations dans cette région mais provoqueraient la sécheresse sur une grande partie du Brésil
.


« La complexité des systèmes touchés par la géo-ingénierie, et les potentialités pour les gagnants et les perdants,  impliquent qu'une certaine forme de gouvernance mondiale soit essentielle », a déclaré Jim Haywood   au centre Hadley du Met Office à Exeter.


L'avertissement s'appuie sur les travaux des scientifiques et des ingénieurs pour convenir d'un cadre réglementaire qui interdirait les projets de géo-ingénierie à grande échelle, au moins temporairement, mais permettrait de poursuivre des projets de recherche à plus petite échelle.


La géo-ingénierie se présente sous bien des formes, parmi lesquelles « la gestion du rayonnement solaire» (SRM) qui consiste à pulvériser des quantités énormes de particules réfléchissantes dans la haute atmosphère pour simuler les effets de refroidissement des éruptions volcaniques.


Les volcans peuvent éjecter des  millions de tonnes de particules de sulfate dans la stratosphère, où elles restent en suspension pendant des années et refroidissent la planète en réfléchissant une partie de l'énergie du soleil vers l'espace.


En 2009, un rapport de la Royal Society avertissait que la géo-ingénierie n'était  pas une alternative à la réduction des émissions de gaz à effet de serre, mais  concédait que cette technologie pourrait être nécessaire dans le cas d'une urgence climatique.


Ecrivant dans le journal « Nature Climate Change », Haywood et d'autres montrent que les initiatives visant à refroidir le climat en pulvérisant des particules de sulfate dans l'atmosphère pourraient tourner très mal. Ils ont commencé par examiner les effets inattendus des éruptions volcaniques.


En 1912 et 1982, les éruptions d’abord à Katmai en Alaska, puis à El Chichon au Mexique ont éjecté des millions de tonnes de sulfate dans les cieux nordiques. Ces éruptions ont précédé les grandes sécheresses dans la région du Sahel en Afrique. Lorsque les scientifiques ont recréé les éruptions dans leurs modèles climatiques, les précipitations dans le Sahel cessaient pratiquement alors que les courants d'air humides étaient poussés vers le Sud.


Après avoir établi un lien entre les éruptions volcaniques dans l'hémisphère Nord et les sécheresses en Afrique, les scientifiques ont repris leurs modèles climatiques pour simuler des projets SRM.


Les scientifiques ont choisi un projet typique qui permettrait d'injecter 5 millions de tonnes de sulfate dans la stratosphère chaque année de 2020 à 2070. Cette quantité de sulfate injecté dans l'hémisphère Nord  causerait de graves sécheresses au Niger, au Mali, au Burkina Faso, au Sénégal, au Tchad et au Soudan, et la disparition presque totale de la végétation.


Le même projet aurait des conséquences radicalement différentes s’il était mis en œuvre  à partir de l'hémisphère Sud. Plutôt que d’assécher le Sahel, le refroidissement de l'hémisphère Sud  provoquerait des pluies au Sahel et le reverdissement de la région. Mais ce bénéfice pour l'Afrique se ferait au prix de l’arrêt des précipitations dans le Nord- Est du Brésil.


Les conséquences « imprévues » de projets SRM seraient probablement ressenties beaucoup plus loin. « Nous avons seulement gratté la surface en observant le Sahel. Si les fréquences des ouragans changeaient, cela pourrait avoir un impact sur les Etats-Unis », a déclaré Haywood.


Matthew Watson, qui dirige le projet Spice à l'Université de Bristol, dit que l'étude  révèle les « conséquences dramatiques » d’une géo-ingénierie mal étudiée.


« Ce document nous dit que tous nos actes, quelques qu’ils soient, entraînent des conséquences. Il n’y a pas d’échappatoire possible", a-t-il déclaré au Guardian.


« Tout ce que nous faisons est un compromis, et ce compromis implique qu'il y aura des gagnants et des perdants. Cela soulève d'incalculables questions éthiques: qui décidera comment nous déterminerons ce qui serait un « bon » résultat pour des peuples différents? »


« Comment obtenir un consensus avec plus de sept milliards de parties prenantes? Si demain la décision était prise de mettre en œuvre la géo-ingénierie, elle le serait par des hommes blancs occidentaux, et ce n'est pas bon. », a déclaré M. Watson.


 http://www.guardian.co.uk/environment/2013/mar/31/earth-cooling-schemes-global-signoff?CMP=twt_guIan

 

 

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Regardez-vous le ciel ?

1 Avril 2013, 22:01pm

Publié par Ciel Voilé

 

Le phénomène Chemtrails

 

Notre article dans Soleil Levant du mois d’avril 2013


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Regardez-vous le ciel ? Le ciel a besoin que vous le regardiez. Le ciel bleu est en danger de disparition. Observez-le régulièrement, vous verrez que les jours de ciel totalement bleu se font de plus en plus rares. Ce n’est pas rien.

 

Jamais tant que ces dernières décennies, la destruction de l’environnement sur notre planète ne s’est si dramatiquement intensifiée. Le vivant est attaqué de toutes parts. Les produits chimiques polluent les terres, les eaux et les airs, perturbent et détruisent les écosystèmes et ceux qui y vivent. Des technologies mortifères menacent la santé humaine : nucléaire, OGM, nécro-carburants, nanotechnologie, micro-ondes, puces RFID... Pour la seule victoire du profit.

Un article paru dans le magazine Science de juillet 2011, annonçait le doublement du nombre d’aérosols (ou particules fines) en haute altitude. « L’augmentation très rapide des quantités d’aérosols est surprenante » poursuit J. Daniel. « Elles ont presque doublé en 10 ans. L’augmentation des aérosols depuis 2000 n’est pas encore entièrement expliquée ».

Les moteurs d’avions sont conçus pour être plus propres (32 % de pollution en moins en 20 ans) et pour consommer moins. L’augmentation du trafic aérien ne suffit pas à expliquer ce doublement.
Certains jours, les avions passent sans laisser de trace persistante. Leur traînée de condensation (vapeur d’eau) les suit et se résorbe rapidement au fur et à mesure de leur déplacement. D’autres jours, quelque soit le moment de la journée, plusieurs avions passent en même temps, dans toutes les directions, laissant des traces persistantes qui s’étalent et voilent le ciel, le rendant blanchâtre, pollué. Les conditions atmosphériques, les taux d’humidité, n’expliquent pas la différence, puisque les vols « propres » sont aussi visibles au même moment, en général et paradoxalement, à une altitude plus élevée où il fait donc plus froid.

Depuis l’an 2000, l’espace aérien militaire s’élève jusqu’à 8000 m d’altitude ( 4000 m auparavant). Or circulent dans cet espace de nombreux avions de ligne, en-dessous de leurs couloirs habituels. Ils échappent ainsi aux radars des contrôleurs aériens. Qu’y font-ils ? Quelle proportion d’avions vole sans passager ni fret ?

Pour bien distinguer traînée de condensation et traînée persistante, le mieux est de les observer au même moment dans le ciel. Les avions « traceurs » se permettent des demi-tours, des U, des cercles complets, des quadrillages parfaits. A l’évidence les économies de carburant ne les concernent pas ! Ils volent dans presque toutes les directions de l’espace, en-dessous des couloirs aériens commerciaux. Il ne se passe pas une semaine sans épandage. Mais de plus en plus, la couverture nuageuse nous les cachera.

Observation fréquente : les trajectoires discontinues. Avant de survoler une ville, un avion passe « proprement », et tout à coup lâche une traînée persistante qui s’étalera, puis reprend son trajet « propre ». Il ne s’agit pas de délestage lesquels selon la DGAC, sont exceptionnels et interdits à basse altitude.

Aux Etats-Unis où le « phénomène » est apparu dix ans plus tôt qu’en Europe, dans certains lieux, le ciel n’est plus jamais bleu. La couverture nuageuse y est telle, qu’elle a littéralement « tué » le vent. Nous avons encore la chance en région PACA d’avoir des jours sans traînées persistantes. Et le mistral pour nettoyer le ciel de ces nuages artificiels. Mais que se passerait-il si elles étaient présentes tous les jours ? Nous trouverions cela normal, et nous n’aurions plus que du ciel blanc.
Certaines opérations « coup de poing » menées par une cohorte d’avions (40 en une heure !) peuvent transformer un ciel bleu en couvercle blafard et éblouissant en moins de 3 heures. Depuis quand le trafic aérien serait-il chargé de fabriquer des nuages artificiels
La photosynthèse chez les plantes et l’absorption de la vitamine D chez l’homme sont perturbées. L’analyse des sols et de l’eau révèle des taux anormalement élevés de baryum et d’aluminium. Entre autres. Il s’agit ni plus ni moins d’un crime contre le vivant.

-  La question récurrente est « pourquoi ? ». Le sujet est complexe car il est lié à de nombreux enjeux. Pour ne citer que les principaux : contrôle climatique, répercussion des ondes électro-magnétiques (opérations militaires, projet HAARP...) et main- mise des multinationales semencières sur l’agroalimentaire (ex : gènes résistants à l’aluminium).

Les banques spéculent sur le temps : les marchés annuels représentent des dizaines de milliards de dollars. Des produits dérivés climatiques concernent aussi les capitales européennes. Fera-t-il chaud ou froid sur Paris en avril 2013 : les paris sont ouverts !

L’ETC group, organisation très active à dénoncer les dérives de l’économie verte, a publié un dossier intitulé : « Géopiraterie ». On y apprend comment, à la suite des échecs successifs des négociations sur les enjeux des changements climatiques et de la réduction des gaz à effet de serre, les lobbies verts vendent leur trouvaille : « Vous n’arrivez pas à vous mettre d’accord. Inutile de limiter vos émissions de gaz à effet de serre ! Nous avons la solution : la géo-ingénierie. » Ainsi les pilotes qui participent à ces programmes d’intervention climatique sont convaincus d’agir pour le bien de l’humanité : la lutte contre le réchauffement climatique.

Notons également que certaines structures scientifiques indépendantes se sont spécialisées dans l’étude des "Morgellons", un syndrome qui est directement lié aux substances qui sont pulvérisées par certains avions. L’Institut Carnicom est l’un des plus avancés dans ce domaine, il publie régulièrement de nouveaux travaux. On y apprend notamment que les fibres retrouvées dans le corps des malades sont vivantes et se développent lorsqu’elles sont placés en culture dans des bocaux.Un mélange de substances polymères et biologiques mais également de nanotechnologies constituent ces fibres comme l’a démontré le Dr Hildegarde Staninger. Le sujet a même été abordé à la télévision québecoise.

Il est indispensable de recouper les éléments relevant de ces différents secteurs d’activité pour évaluer pleinement la portée du phénomène. Des politiciens (Nikola Aleksic, Antonio di Pietro...), des scientifiques (Clifford Carnicom, Hildegarde Staninger, rapport Case Orange, météorologues apportant des preuves par le radar Doppler...) témoignent. Et des citoyens s’engagent partout dans le monde pour alerter et informer, comme dans le film « Bye Bye Blue Sky ».

Certains présentateurs météo n’hésitent plus à briser leur carrière professionnelle pour révéler au grand public ce qu’ils savent de ces opérations d’épandage. On a pu le constater lors de bulletins météo télévisés en direct en Allemagne et aux Etats-Unis.

Bien que cela puisse paraître difficile à croire, une complicité à de nombreux niveaux est nécessaire pour assurer la discrétion d’opérations d’une telle envergure. La télévision joue un rôle clé en habituant progressivement petits et grands à l’omniprésence d’un ciel voilé et blanchâtre à travers ses émissions et publicités. Le blog "Actu-Chemtrails" y consacre une rubrique étonnante.

Nous nous sentons comme David contre Goliath, au même titre que les activistes à leurs débuts face au nucléaire, aux pesticides ou aux OGM, mais nous avons le pouvoir de créer un véritable mouvement populaire qui révélera au grand jour ces programmes d’épandage. Il est urgent qu’ils cessent pour que notre belle planète puisse accueillir dans tous les règnes, la vie des générations futures.

http://www.soleil-levant.org/presse/article.php3?id_article=1070

 

 

26 06 2011 toulouse

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Etude norvégienne : Les effets biologiques des retombées de chemtrails sur la vie végétale

29 Mars 2013, 13:30pm

Publié par Ciel Voilé

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L’étude traduite et recopiée ci-dessous a été préparée par des chercheurs norvégiens. Elle contribue à documenter quelques-uns des effets hautement néfastes des programmes de GSA (géo-ingénierie stratosphérique par aérosols) et de GRS (gestion des radiations solaires) en cours.

Il ne subsiste désormais plus de sources « organiques » de nourriture. Tout a été pollué avec les métaux toxiques et les produits chimiques qui sont émis par les programmes mondiaux de vaporisation d’aérosols. Certains des éléments toxiques que nous sommes contraints d’ingérer dans notre alimentation ont été identifiés, d’autres sont sans doute encore inconnus. 

[Lien vers la version PDF (en anglais) de cet article: BaSrTiO3_cell_communication.pdf  ]

Conférence « Esprit Ouvert », Oslo, 19-21 octobre 2012

Harald Kautz-Vella:

Effets néfastes théoriques et scientifiquement prouvés des nano-particules de (Ba, Srx) TiO3 sur la croissance des végétaux (premier jet)

Concernant les qualités chimiques et physiques du TiO3 (Ba, Srx) désigné comme aérosols dans les concepts d’ingénierie climatique globale.

 

Résumé:

Les implications théoriques ainsi que les preuves scientifiques indiquent que des nano-particules de <100nm [1/1O.OOOème de millimètre, ndt] de (Ba, Srx) TiO3 [titanate de baryum/strontium - baryum=Ba, strontium=Sr, le 'x' indique l'usage de plusieurs isotopes de cet élément, titane=Ti, le suffixe -ate indique un composé contenant de l'oxygène, O - ndt] telles que celles faisant l’objet de discussion, en tant que composantes de l’ensemencement du nuages dans les brevets de modification climatique globale, nuiraient aux végétaux en:

1) interrompant la communication cellulaire au seuil d’absorption de rayonnement UV de 230nm, en absorbant les faibles signaux UV intracellulaires responsables du déclenchement de la division cellulaire;

2) irradiant l’ADN de la plante avec de la lumière hautement énergétique de longueur d’onde (λ) de 230nm stockée dans un état excité dans les nucléides [les protons et les neutrons présents dans le noyau des atomes, ndt] de baryum et de strontium. Cette excitation est provoquée par l’exposition aux radiations cosmiques dans les nuages. Les photons à haute énergie stockés peuvent être relâchés par une interaction non-linéaire lorsqu’un photon longitudinal UV de faible énergie et de même λ (un bio-photon) frappe une nano-particule. L’état excité des nucléides se décharge alors en une onde en réplique inversée dans le temps qui s’écoule directement en retour vers l’ADN, l’exposant alors à un impact photonique UV de même λ mais beaucoup plus énergétique;

3) déséquilibrant le potentiel électrique de la cellule lorsque stimulées par le champ électromagnétique terrestre, des radiations radar ou des micro-ondes, en relâchant des électrons libres lors d’une altération induite dans leur géométrie cristalline selon leurs propriétés piézo-électriques, rendant les plantes vulnérables aux attaques fongiques.

L’interaction complexe de ces trois formes de nuisance théoriquement envisageables n’est pas entièrement comprise. Toutefois l’effet général sur les végétaux a pu être expérimentalement confirmé, démontrant un dosage létal pour les plantes d’approximativement 35mg de (Ba, Srx) TiO3 par kg de matière organique sèche, en fonction du type de plante et d’autres variables externes (à la fois par des analyses en laboratoire et) des études en extérieur.

Attendu que:

 - la quantité de (Ba, Srx) TiO3 évaluée, en g/ha [grammes par hectare, ndt] et par an résultant des projets de géo-ingénierie est beaucoup plus élevée que le dosage mesuré comme mortel pour les végétaux en g/ha et qu’en sus de cela,

 - l’indissolubilité de ces cristaux mènerait à une accumulation continuelle de ces particules dans la biosphère, la mise en œuvre de ces projets serait une menace pour les écosystèmes du monde qui tôt ou tard mèneraient à la destruction totale des biotopes naturels et des récoltes agricoles dans les zones de retombées.

 

1. Introduction

L’esprit humain est entraîné à penser à l’échelle macroscopique, ce qui peut mener à des erreurs de décision quand il s’agit d’exposer la nature à des nano-particules. Plus petites sont les particules, le plus grand devient le rapport de surface au volume. Nous sommes techniquement capables de produire des particules de (Ba, Srx) TiO3 offrant une surface de 2500m² au gramme. Pour les estimations qui vont suivre, cette valeur servira dans les opérations de calcul.

En théorie une quantité de 300 tonnes de ce matériau serait suffisante pour en construire une couche de l’épaisseur d’une particule à même de couvrir optiquement un pays de la taille de l’Allemagne. Assurer la dissémination par aérosols de ces particules prendrait 30 vols de Boeing 737.

Ce simple calcul est ce qui rend ces matériaux si tentants quand il s’agit de géo-ingénierie. Que ce soit pour l’ensemencement de nuages pour contrôler le changement climatique, ou pour protéger des zones industrielles des effets d’éruptions solaires en formant un écran de plasma dans les couches supérieures de l’atmosphère en utilisant les propriétés piézo-électriques de ce matériau – les bénéfices peuvent être considérables.

De plus le baryum, les isotopes non-radioactifs 85, 86, 87 et 88 du strontium et le titane ainsi que ses oxydes peuvent être considérés comme chimiquement non-toxiques.

 

Il y a des preuves irréfutables que des vaporisations non-autorisées ont été menées par le passé. Des séquences vidéo d’avions militaires en pleine opération de vaporisation, de traînées d’avions persistantes à des températures de -35° et un taux d’humidité de 40%, la langue de bois des personnes impliquées jusqu’à l’ancien directeur du FBI, et des analyses chimiques révélant les taux de titanate de baryum/strontium dans l’analyse des eaux pluviales, des sols et de spécimens de plantes dans la plupart des pays industrialisés. Nonobstant cela l’objectif de ce document n’est pas de discourir sur l’existence ou la légitimité d’actions passées, mais de présenter les effets d’activités futures alors qu’elles sont apportées dans le débat public, notamment par le service fédéral allemand de l’environnement, « Umwelt Bundesamt » dans le livret « Geo-Engeneering. Wirksamer Klimaschutz oder Grössenwahn. Methode. Rechtliche Rahmenbedingungen. Umweltpolitische Fragen. Berlin, April 2011″ [Géo-ingénierie. Protection du climat efficace ou mégalomanie. Méthode. Cadre juridique général. Questions de politique environnementale. Berlin, avril 2011 - PDF (en anglais)]

 

Ne sont pas prises en considération dans ces discussions publiques les propriétés optiques et électro-physiques de ces matériaux, qui sont remarquables, ou leur possible interaction avec les systèmes biologiques.

 

L’objectif de ce document est d’apporter ces considérations au débat.

Des échantillons de plantes mourantes dont le taux de croissance avait été ralenti de manière significative  de tout autour du monde ont révélé au cours d’analyses de laboratoire des valeurs répétitivement hautes de baryum, de strontium et de titane en une concentration molaire relative indiquant une quantité de 35mg de titanate de baryum/strontium nano-cristallin par kg de matière organique sèche au moment de la mort de la plante. Bien qu’il n’y ait pas d’explication biochimique pour quelque dommage causé à la plante, la corrélation des dommages et des concentrations de baryum, de strontium et de titane est suffisamment significative pour prendre en considération des mécanismes alternatifs d’interaction plante-particule autres que ceux qui sont connus par la chimie. Sachant que des nano-particules de la taille de celles projetées dans les brevets de géo-ingénierie peuvent être absorbées par les plantes dans leur ensemble, et connaissant les propriétés remarquables de ces matériaux, ces modes d’interaction alternatifs peuvent très bien être optiques et/ou électro-physiques dans leur nature.

 

2. Affirmations

 

2.1 Interruption optique de la communication cellulaire

Dans la conception des bio-photons les molécules d’ADN d’une plante envoient des modèles qui s’interfèrent de faibles émissions bidirectionnelles dans la gamme des UV, qui toutes ensemble forment une image holographique servant de schéma directeur pour la plante, amenant à des divisions cellulaires là où il n’y a pas d’onde-réplique renvoyée par une molécule ADN receveuse pour cause d’une cellule « manquante ». L’onde mono-directionnelle et donc visible déclenchera la division cellulaire dans une cellule avoisinante pour refermer l’espace.

Des plantes entières auraient leurs échanges luminiques intracellulaires dans un état entièrement annihilé par les ondes UV et leurs répliques inversées dans le temps, les plantes blessées ou les zones de croissance active comme le cambium devraient montrer un excès d’ondes UV mono-directionnelles, déclenchant la division cellulaire.

Une forme simplifiée de ce concept est utilisée dans des technologies de projection holographique se servant de lasers comme « ADN transmetteur » et du même type de nano-cristaux piézo-électriques comme « ADN récepteur » et capables de projeter des hologrammes en 3D de haute définition.

Le seuil d’absorption des nano-particules de titanate de baryum/strontium a son maximum à une longueur d’onde de 250nm, absorbant 90% de la lumière passant par le cristal.

La communication intracellulaire qui est responsable du déclenchement est accomplie par des photons de faible énergie d’une longueur d’onde de 260nm.

Adjoindre ces deux découvertes ensemble démontre que l’insertion de particules piézo-électriques de cette qualité devrait interférer lourdement avec la communication cellulaire – ainsi l’ADN et les particules se servent de la même longueur d’onde et de la même forme d’onde électromagnétique pour communiquer.

Afin de comprendre la relation quantitative entre ce type particulier d’opacité suscité par les nano-particules et les dommages causés aux plantes il est utile de calculer la densité optique des particules dans la plante au moment de la mort.

Estimant qu’une concentration de 35mg/kg de matière organique sèche ainsi que mesurée dans l’herbe norvégienne comme dans l’écorce d’arbres californiens mourants l’on peut affirmer que

35mg ≈ 87,5m² de surface particulaire ≈ 21.875 de surface optique

Estimant que 1kg de matière organique sèche équivaut à 3l = 0,003m3 de matière organique vivante, l’opacité sera atteinte à une distance optique de 0,1311mm ce qui est dans l’ordre de la taille d’une cellule.

Au moment de la mort d’une plante, contenant 35mg (Ba, Srx) TiO2, la densité optique des nano-particules est suffisamment élevée pour aller jusqu’à interrompre les communications de cellules directement avoisinantes!

 

2.2 Irradiation de l’ADN des plantes avec du rayonnement UV de haute énergie

Comprendre le concept de bio-photons comme un modèle d’ondes bi-directionnelles avec leurs ondes-répliques inversées dans le temps envoyées et reçues par des molécules d’ADN, incluant des éléments photo-actifs étrangers pourrait induire le changement de la force des photons impliqués de faibles à pas si faibles.

Il est connu que des particules dans les nuages peuvent être excitées par la radiation cosmique incidente et relâcher cette radiation plus tard sous la forme de rayons gamma. Cette émission de rayons gamma peut subvenir spontanément ou être déclenchée par l’arrivée d’un photon.

En visualisant cette possibilité, il devient évident que l’implication de nucléides en état d’excitation dans un échange de bio-photons pourrait mener à l’émission de quanta de rayons gamma stockés sous la forme d’ondes de réplique inversées dans le temps étant dirigées directement en retour vers l’ADN qui avait émis le photon déclencheur.

Ce processus non-entropique redirigeant de grandes quantités d’énergie de retour vers une source faible déclencheuse est en fait la caractéristique principale des systèmes optiques non-linéaires. Pour une compréhension plus complète veuillez vous rapporter aux articles référencés.

Le rayonnement UV de haute énergie est connu pour être la source principale de dommages aux végétaux. Par conséquent un dépôt d’aérosols optiquement excités pourrait mener à des dommages à l’ADN par l’émission de quanta UV.

 

2.3 Déséquilibrage du potentiel cellulaire

Le système immunitaire de toutes les cellules suit une courbe hautement raffinée de potentiels électromagnétiques cellulaires, avec des différences de potentiel définies entre le cœur de la cellule et la membrane cellulaire interne, ainsi qu’entre la membrane cellulaire interne et la membrane cellulaire externe. Toute altération de ces potentiels cellulaires affaiblit le « système immunitaire » en dérangeant l’équilibre des processus oxydants et anti-oxydants.

Le titanate de baryum/strontium, en tant que substance piézo-électrique change sa géométrie cristalline quand elle est exposée à des champs électromagnétiques externes. Tout changement dans la structure cristallographique est accompagné de l’émission d’électrons.

En tant qu’aérosol dans l’atmosphère cet effet peut être utilisé pour « allumer ou éteindre » des nuages en appliquant des champs électromagnétiques tels qu’utilisés par les appareils HAARP et ICECAT ou d’autres systèmes d’antennes de radiations de micro-ondes en altérant la structure cristallographique, ce qui mène à changer par du courant libre la particule en ion, provoquant instantanément la formation d’une gouttelette dans le nuage.

Le même effet provoqué par des téléphones cellulaires terrestres, des transmissions radar ou des micro-ondes mèneraient à l’émission spontanée d’électrons libres par la particule, ce qui altérerait le potentiel cellulaire de la plante et donc détruirait ou affaiblirait le système immunitaire de la plante.

Comme cause indirecte la plante pourrait mourir d’infections fongiques dissimulant la cause première de sa souffrance.

 

3. Preuves expérimentales

 

Des expériences de germination avec du titanate de baryum/strontium du domaine industriel, ajouté en concentrations différentes pré-définies au processus de germination, ont besoin d’être menées afin de déterminer de manière expérimentale le dosage létal de titanate de baryum/strontium pour les plantes. J’estimerais une concentration de 35mg/kg de graines imbibées comme zone ciblée d’expérimentation, ajoutant le titanate de baryum/strontium à l’eau pour être sûr qu’il soit complètement absorbé par les graines.

Je suggérerais de travailler sur des semences céréalières telles que le maïs, le soja et le blé, et des plantes à croissance rapide comme le cresson pour des résultats rapides afin de pouvoir publier une première version.

Il devrait être possible d’acheter du (Ba, Srx) TiO3 via Internet, j’ai vu des offres. S’il est impossible de mettre la main sur de petites quantités je suggère de contacter en privé des personnes travaillant dans des laboratoires où cette substance est utilisée.

 

4. Conclusion

Bien que les mécanismes présentés en postulat avec leurs interactions n’aient pas fait l’objet de recherches complètes il y a assez de preuves et de logique autour du sujet pour NE PAS utiliser les nano-particules décrites à moins que la chose ait été convenablement étudiée, et que les dommages à la nature et aux végétaux aient pu être exclus.

Bien qu’il soit tentant de contrôler la météo pour le bénéfice de l’agriculture, bien qu’il puisse paraître sans alternative, pour protéger nos technologies pendant les éruptions solaires pouvant nous frapper jusqu’à l’équateur pendant un possible basculement magnétique – surtout, pris en considération le déplacement s’accélérant de façon exponentielle du pôle nord magnétique au cours des cinq dernières années, indiquant la période de novembre 2012 à mars 2013 comme moment de transition possible – le prix pourrait être trop élevé et la nature pourrait simplement ne pas se réveiller après un hiver de vaporisation d’aérosols – étant totalement aveuglés par notre tentative de protection.

 

Madame, Monsieur,

Je demande respectueusement à tous et à toutes qui ont accès à des conditions de laboratoire ou à des serres disposant de conditions contrôlées de se livrer aux expériences manquantes au chapitre 4 et de rapporter les résultats, comprenant des photos à:

kautzvella@gmail.com

Tél. 0049 179 2661123

Si je ne devais pas réagir à des résultats arrivant dans la semaine ce texte peut être utilisé dans le domaine public et complété avec vos résultats chiffrant les doses létales de titanate de baryum/strontium, ensemble avec les preuves expérimentales. Tant qu’un e-mail ou contact téléphonique m’a été donné je souhaite évaluer les résultants entrants moi-même et les publierai dès qu’il y aura un schéma visible dans ces résultats.

Merci pour votre attention et possibles contributions.

Dieu vous garde

 

Harald Kautz-Vella

 

Source: geoengineeringwatch; chemtrailsplanet

Lien vers l’article d’où est tirée la traduction: http://www.unhealthyearth.com/2012/10/norwegian-study-biological-effects-of.html#more

Traduit depuis le web par willsummer

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Vue d'un hublot !

27 Mars 2013, 10:02am

Publié par Ciel Voilé

 


 

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Pourquoi la géo-ingénierie attire-t-elle la Chine ?

23 Mars 2013, 14:29pm

Publié par Ciel Voilé

 

Pékin veut réduire ses émissions sans nuire à sa croissance mais aussi éviter la révolte d'une population soumise à des évènements météorologiques extrêmes


Clive Hamilton - The Guardian - Le  22 Mars 2013 - Traduction Ciel voilé

 

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L'une des solutions de la géo-ingénierie au changement climatique consiste à blanchir les nuages au-dessus de la mer en y  pulvérisant des gouttelettes d'eau de mer pour qu’ils réfléchissent davantage les rayons du soleil. Photo: NASA


Le dilemme politique de la géo-ingénierie entre une intervention délibérée et à grande échelle  sur le système climatique pour lutter contre le réchauffement global et l’atténuation de certains de ses effets,  sera peut-être plus aigu en Chine.


En décembre dernier, le pays a listé  parmi ses priorités de recherche en géosciences, la géo-ingénierie, un revirement remarqué dans le paysage international du changement climatique, par deux spécialistes de la Chine, Edney Kingsley et Jonathan Symons.


D'une part, la rapide croissance économique chinoise a provoqué une escalade massive de ses émissions de gaz à effet de serre, lesquelles ont dépassé, il y a 5 ans ( 2007) celles des États-Unis. La croissance soutenue du PIB fournit au parti communiste chinois sa seule justification de légitimité, son « mandat du ciel ». Les efforts déployés par la Chine pour limiter la croissance de ses émissions ont été considérables, et dépassent de loin ceux de nombreux pays développés.


Pourtant, les efforts de la Chine, et ceux des autres pays au cours des deux ou trois prochaines décennies  risquent de ne pas suffire à ralentir le réchauffement de la planète, ni à arrêter le dérèglement climatique qui s’en suivra. Les émissions mondiales n'ont ni baissé ni même ralenti. En fait, elles s'accélèrent. Même la Banque Mondiale, critiquée pendant des années pour sa promotion du développement intensif du marché carbone, avertit maintenant que nous sommes en bonne voie pour 4°C de réchauffement, ce qui changerait tout.


La Chine est très vulnérable aux pénuries d'eau dans le nord, à la baisse des rendements et à la flambée des prix agricoles, aux tempêtes et aux inondations dans l'est et le sud. Les catastrophes liées aux intempéries en Chine sont déjà une source majeure d'instabilité sociale, et Pékin craint à juste titre que les impacts du changement climatique dans les provinces ne renversent le gouvernement dans la capitale. Les catastrophes naturelles mettent en péril son mandat.


Alors, que peut faire le gouvernement chinois? Poursuivre la croissance des émissions de gaz à effet de serre est une condition de son maintien au pouvoir, mais le dérèglement climatique qui en résultera, menacera de le déstabiliser.


La géo-ingénierie séduit immédiatement comme un moyen de sortir de ce dilemme. Une variété de technologies pour capturer le carbone de l'air ou de « gérer » le rayonnement solaire sont à l'étude, pourtant, à l'heure actuelle, l'intervention de loin la plus probable consisterait à couvrir  la planète Terre d’une couche de particules de sulfate pour renvoyer une partie du rayonnement solaire incident.


La pulvérisation d’aérosols sulfatés pourrait masquer le réchauffement et le refroidissement de la planète en quelques semaines, mais ne résoudrait pas le problème de base : l’excès de dioxyde de carbone dans l'atmosphère et les océans.


Les scientifiques et les décideurs politiques en Chine ont suivi de près le débat sur la géo-ingénierie qui se déroule aux États-Unis et en Europe où il y a eu un boom dans la discussion et la recherche depuis la levée du tabou en 2006, par le prix Nobel Paul Crutzen appelant à la recherche d’un  « plan B ».


Aux États-Unis, plusieurs rapports de haut niveau plaident pour davantage de recherche sur la géo-ingénierie - le Conseil National de la Recherche, le comité pour la science et la technologie de la Chambre des Représentants et la «  Cour des comptes » américaine. D’influents groupes de réflexion Beltway, et le Bipartisan Policy Center, ont rejoint la mêlée. Le Plan B est en cours de discussion à la Maison Blanche ( John Holdren, 2009), et l'armée garde un droit de regard, et peut-être plus.


La décision de la Chine de lancer un programme de recherche pourrait être motivée par rien d'autre qu'une volonté de développer une capacité nationale à se tenir au courant de ce qui se passe dans le reste du monde. Certes, il y a une bonne dose de scepticisme à l’égard de la géo-ingénierie au sein de la communauté scientifique chinoise.


Pourtant, alors que le monde reste paralysé par l'ampleur de la crise du réchauffement, et attend des solutions, la capacité à mettre en œuvre une intervention d'urgence sera de plus en plus attrayante. Et dans une situation d'urgence mondiale - une sécheresse paralysante, l'Amazonie en feu, l’effondrement du Groenland, le regard se focalise sur l’urgence à l'exclusion de tout le reste, y compris les intérêts de nations moins puissantes dont la situation s’aggraverait si une grande puissance décidait de réglementer le système climatique terrestre.


Les pays occidentaux ne sont pas gouvernés par un parti étatique déterminé à se maintenir au pouvoir à tout prix, mais, la tyrannie du système économique n'est pas moins absolue. La crise financière de 2008 et ses suites ont montré que les structures de pouvoir qui sous-tendent le système - les banques, les marchés, les grandes entreprises et leurs liens avec le système politique - sont extrêmement résistants, peut-être tout aussi résistants au changement que le parti communiste chinois.


Après tout, quand il s'agit de répondre à tous les bouleversements climatiques, chaque rapport ou recommandation, le rapport Stern ou le GIEC, - suppose que les mesures visant à réduire les émissions de gaz à effet de serre tiennent compte de l'impératif premier : le maintien de la croissance économique, même si c’est elle qui intensifie les émissions de gaz à effet de serre.


Voici donc un scénario plausible pour 2035. Face à la révolte d'une population soumise à des intempéries extrêmes, le gouvernement chinois rechercherait le consentement du gouvernement des États-Unis pour refroidir la planète en pulvérisant des aérosols sulfatés dans la stratosphère. Les protestations populaires empêcheraient Washington d’approuver ce plan, mais accepteraient tacitement de ne pas abattre les avions de la Chine. Ce serait suffisant, le point de non- retour serait atteint.


Clive Hamilton, professeur d'éthique publique, Université Charles Sturt à Canberra et auteur de : «  Les maîtres de la Terre : L'aube de l'ère du génie climatique », publié par Yale University Press.


http://www.guardian.co.uk/environment/2013/mar/22/geoengineering-china-climate-change 

 

 

 

 

 

 

 

 

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La télévision chilienne diffuse un reportage sur les Chemtrails

18 Mars 2013, 12:58pm

Publié par Ciel Voilé

 

Le Chili vient s'ajouter à la liste des états où le sujet est traité à la télévision. Une nouvelle occasion de se poser de sérieuses questions sur les médias dominants de notre pays qui se vantent d'être un modèle de démocratie et de liberté d'expression... 

 

 

Merci à "TheNowayTogo" pour sa traduction !

 

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Géo-ingénierie : la vraie menace pour le climat

21 Février 2013, 12:35pm

Publié par Ciel Voilé

 

 

                                                       

James Corbett, le 13 février 2013

 

http://www.corbettreport.com/geoengineering-the-real-climate-change-threat/ 


Depuis des décennies, on nous dit de craindre les effets à long terme sur le climat du dioxyde de carbone émis par l'homme. Apparemment tous les jours une nouvelle tempête, sécheresse, vague de chaleur ou de froid est annoncée aux informations. Et des scientifiques financés par notre gouvernement, nous avertissent que ce genre de choses se produira à l’avenir si notre production de CO2 ne diminue pas.


Le problème, bien sûr, c'est que ce canular scientifique se propage parce que le public est ignorant de la science qu’il implique, ou plutôt de son inconsistance scientifique. Les modèles et les prévisions utilisées pour effrayer le public en lui faisant croire que le CO2 est le moteur du climat et continuera de l’être d’une façon de plus en plus dangereuse, ont en commun d'être universellement faux, leurs prévisions de tendances sur les 15 dernières années sont fausses, pourtant, on nous demande toujours de croire à la validité à long terme de ces mêmes modèles falsifiés.


Comme Robinson et al. le remarquent dans leur étude de 2007, « Les effets environnementaux d’une hausse du dioxyde de carbone dans l’atmosphère », publié par l'Institut de sciences et de médecine de l’Oregon, « Les prédictions d’effets climatiques nuisibles dûs aux utilisations futures en hausse des hydrocarbures et des gaz à effet de serre comme le CO2 ne sont pas conformes à la connaissance expérimentale actuelle. »


Toujours en 2007, J. Scott Armstrong, chercheur à l'Université de Pennsylvanie et auteur de « Prévision à longue échéance », un manuel de référence sur les principes de la prévision, co-auteur d'un audit des procédures utilisées par le GIEC pour prédire le réchauffement planétaire, estime que ces procédures violent 72 des 89 principes pertinents de la prévision scientifique


L'an dernier, le Journal de la recherche en géophysique de l’atmosphère, a publié une étude montrant que l'examen des modèles de prévision climatique des périodes de moins de 30 ans à l'échelle géographique des continents sont truffés d'inexactitudes.


Plus tôt cette année, le bureau Met du Royaume-Uni a été contraint de revoir à la baisse les prévisions de hausse de la température pour les quatre prochaines années après avoir constaté  que les températures mondiales annuelles n’avaient pas augmenté depuis 15 ans. Ironiquement, cet écart par rapport aux augmentations de température en continu qui avaient été prédites par les alarmistes du CO2 est désormais attribué à la «variabilité naturelle», y compris « les cycles de variations de l'activité solaire», qui se sont échappés des ébauches du rapport du GIEC AR5 pour l’année prochaine, car ils ont été largement sous-estimés. »


Malheureusement, les prédictions alarmistes, le battage médiatique trompeur sur cette question sont devenus tellement intériorisés qu’une partie de la population  est maintenant prête à se demander si chaque événement dans notre galaxie n’est pas le résultat du dioxyde de carbone, même le passage d’astéroïdes près de la Terre.

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Que tant de gens focalisent autant de temps et d'attention sur ce problème du dioxyde de carbone, un gaz trace dans l'atmosphère, dont la présence n’est que très partiellement due à l'homme, est dans l’ordre des choses. Des scientifiques, des experts, des écrivains et des hommes d'affaires ne font que répondre aux incitations du marché qui sont en jeu. Les gouvernements et les universités du monde entier déversent désormais des milliards de dollars par an en subventions pour financer la recherche liée à la menace supposée de CO2, et des industries entières telles que le commerce du carbone et la séquestration du carbone, se développent en réponse à cet intérêt. Tout simplement, trop d'argent et de pouvoir politique potentiel sont en jeu face à la menace du réchauffement climatique pour que l’on révèle que ce n’est qu’une fausse alerte.


Cependant, une des possibilités les plus inquiétantes qui ressort de cette tendance, est la légitimation politique d'un concept qui, ironiquement, peut devenir une véritable menace pour notre environnement: la géo-ingénierie.


La pratique de la géo-ingénierie date maintenant de plus d'un demi-siècle. Dès les années 1940, le mathématicien américain John Von Neumann faisait des recherches sur la modification du climat et ses utilisations potentielles dans la guerre climatique pour le ministère américain de la Défense. Dans les années 1950 les premières expériences pour faire tomber la pluie ont été réalisées par Wilhelm Reich et, en 1956, le Dr Walter Russell écrivait sur la possibilité de contrôle total de la météo.


Dans les années 1960, le docteur Bernard Vonnegut, frère du célèbre écrivain, a considérablement amélioré les techniques alors en usage en employant des cristaux d'iodure d'argent dans le mélange de l'ensemencement de nuages. Les qualités hygroscopiques de l’ iodure d'argent et sa structure cristalline assurent la liaison rapide des particules d'eau ( Il devient agent de nucléation). Comme le souligne le récent documentaire Skywatcher, le processus d'ensemencement des nuages ​​est désormais si largement et couramment employé qu'il a des effets profonds sur notre climat.


Comme le CO2 n'est pas le problème, on l’associe à  l'avènement des technologies modernes de modification artificielle du temps dans les programmes de recherche du Département de la Défense. Il est impossible de ne pas enquêter sur les liens possibles entre l’emballement actuel pour la géo-ingénierie et le complexe militaro-industriel. L'année dernière, j'ai eu la chance de parler au professeur Michel Chossudovsky du Centre de recherche sur la mondialisation, sur le passé, le présent et l'avenir de la technologie de guerre climatique.


Les avantages militaires potentiels en temps de guerre du déploiement de technologies de modification du climat sont évidents. En fait, ils vont tellement de soi que, comme le note le professeur Chossudovsky, l'ONU a été contrainte d'introduire une convention en 1977, interdisant l'utilisation de la technologie de modification de l'environnement en temps de guerre. Les Etats-Unis ont ratifié cette convention en 1980.


D'autres avantages potentiels du déploiement de cette technologie semblent s'imposer dans la sphère monétaire. Tant d'événements dans le cadre de l'activité humaine peuvent être prévus à  court terme sur les phénomènes météorologiques et à long terme sur les phénomènes climatiques que la capacité à les déterminer (ou même à les influencer) pourrait s’avérer extrêmement précieuse. Les compagnies d'assurance, par exemple, risquent de perdre des milliards (et le secteur de la reconstruction risque de les gagner) à chaque fois qu’une forte tempête touche des zones peuplées.

 

Donc, il n’est pas surprenant qu’un marché des « produits dérivés climatiques» se soit développé, permettant effectivement à de grandes institutions financières de spéculer sur la météo. Et ce n’est pas une surprise que ce marché ait été en grande partie lancé par cette entreprise frauduleuse que fut Enron.


L'année dernière, j'ai eu l’opportunité de discuter avec un chercheur, Peter Kirby, de la participation d'Enron aux « produits dérivés climatiques » et des sommes énormes investies dans des projets de géo-ingénierie sans que le public en soit informé.


Même en supposant que les technologies de modification du climat ne soient pas actuellement utilisées aux fins de guerre climatiques ou à des manipulations du marché, les risques potentiels de tels abus, à eux seuls, devraient être amplement suffisants pour nous dissuader de poursuivre ces technologies. Plus inquiétantes encore, peut-être, sont les véritables  répercussions inconnues à ce jour des effets à long terme de ces technologies sur notre environnement.


Ironie du sort, ceux qui nous avertissent des conséquences potentiellement désastreuses du changement climatique d'origine humaine pourraient avoir raison dans leur évaluation après tout. Mais au final, il se pourrait bien que le vrai coupable du réchauffement climatique ne soit pas le CO2 d'origine humaine dont ils s’inquiètent, mais la géo-ingénierie proposée comme « solution » à ce problème.

 

 

 

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Du génie génétique à la géo-ingénierie

16 Février 2013, 16:10pm

Publié par Ciel Voilé

 

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Jim Thomas, ETC Group, janvier 2013

 

 

Même pour ceux qui sont habitués à la démesure de la manipulation génétique, les projets de modifications des équilibres des systèmes biologiques entiers de la Planète peuvent sembler fous, effrayants et somme toute, incroyables. Bienvenue dans le nouveau monde de la géo-ingénierie – un ensemble de technologies expérimentales en cours de développement, qui visent à modifier intentionnellement le climat à l’échelle globale et régionale – censée être la solution miracle au changement climatique.

 

D’abord rejetée comme à la limite de la science-fiction, la géo-ingénierie se place maintenant au cœur des débats politiques internationaux sur la façon de s’attaquer au réchauffement planétaire. Soutenus par des think tanks financés par l’industrie tels que le Newt Gingrich’s American Enterprise Institute ou Bjorn Lomborg’s Copenhagen Consensus Centre, un certain nombre de gouvernements - y compris les Etats-Unis, le Royaume-Uni, le Canada, la Chine et la Russie – financent actuellement des recherches sur la géo-ingénierie. C’est aussi le cas d’une poignée de sociétés privées et de particuliers fortunés, comme Bill Gates et Richard Branson. Quelques expérimentations en milieu ouvert ont déjà eu lieu [1] et le nombre d’articles scientifiques et de brevets d’ingénierie du climat est en expansion.


La géo-ingénierie pour refroidir la planète

Les exemples les mieux connus des propositions de géo-ingénierie vont de l’envoi de nanoparticules réfléchissantes dans la haute atmosphère (pour refléter la lumière du soleil loin de la Planète et ainsi la refroidir) au largage de particules de fer dans les océans (pour stimuler artificiellement le plancton qui ainsi pourrait absorber plus de dioxyde de carbone). Cependant, alors que de plus en plus de propositions de géo-ingénierie sont programmées (et financées), les techniques de génie génétique et de la biologie synthétique sont en train d’apparaître comme un élément potentiellement important de la trousse à outils du géo-ingénieur. Comme les biotechnologies ont été vendues avec les promesses, non tenues à ce jour, de guérir les maladies et de nourrir les affamés, les géants du gène ajoutent actuellement une nouvelle prétention spéculative à leur boniment de relations publiques, à savoir que la biotechnologie pourrait aussi refroidir la Planète.
Il y a actuellement deux approches principales à la géo-ingénierie climatique. La plus controversée, et la plus évidemment risquée, est connue sous le nom de « gestion du rayonnement solaire » (en anglais, solar radiation management ou SRM). Il s’agit de procédés qui tentent de limiter le réchauffement climatique en réduisant la quantité de lumière du soleil qui atteint la Planète - soit en bloquant physiquement cette lumière (par exemple en plaçant des objets réflectifs dans le ciel pour imiter l’effet de refroidissement des nuages issus des éruptions volcaniques), soit en rendant la surface de la Planète plus brillante, afin qu’elle reflète plus de lumière solaire vers l’espace, c’est-à-dire en augmentant son albédo. Parmi les idées de gestion des rayonnements solaires, il y en a au moins une qui semble dépendre du génie génétique. Une équipe de géo-ingénieurs à l’Université de Bristol (Royaume-Uni) étudie la possibilité de modifier la blancheur et la réflectivité des feuilles des cultures de telle sorte que les champs agricoles puissent refléter plus de lumière du soleil loin de la Terre. Alors que le professeur Andy Ridgewell et ses collègues de la Bristol Bio-géo-ingénierie Initiative (BRISBI) ont d’abord exploré des approches classiques de sélection pour augmenter l’albédo des cultures, ils croient aussi que « en fin de compte, la modification génétique des cires se trouvant sur les feuilles ou des structures du couvert végétal permettrait d’obtenir des réductions de température supérieures ».
Une autre approche de SRM, défendue par le géo-ingénieur Russel Seitz de Harvard, est d’introduire des grandes quantités de petites microbulles à la surface des océans et des lacs afin de les rendre plus réfléchissants - ce procédé a été baptisé « l’initiative eau brillante ». Alors que Seitz se concentre actuellement sur l’utilisation de moyens mécaniques pour produire ces petites bulles, il reconnaît que d’autres peuvent en fin de compte essayer des approches biologiques telles que la modification de bactéries marines pour obtenir le même résultat.


Absorber plus de carbone avec des plantes transgéniques

Cependant, c’est dans la deuxième grande catégorie des approches de géo-ingénierie - connue sous le nom de techniques de stockage de dioxyde de carbone (en anglais Carbon Dioxide Removal techniques, CDR) - que le génie génétique est vraiment en train d’être mobilisé. Les techniques CDR tentent d’éliminer le CO2 et les autres gaz à effet de serre de l’atmosphère, par exemple, en construisant des machines chimiques de « capture de l’air » (chemical « air capture » machine) ou en modifiant la chimie des océans afin qu’ils puissent absorber plus de CO2. Bien sûr, le moyen le plus efficace, prouvé et largement déployé, d’éliminer les gaz atmosphériques est de planter des arbres, des prairies, des algues et d’autres plantes. La plupart des activités dans ce domaine se concentrent donc sur l’augmentation de la quantité de carbone qui peut être absorbée par la vie végétale.
Le controversé scientifique militaire Freeman Dyson s’est intéressé à la « bio-géo-ingénierie » quand il a proposé que les scientifiques développent des arbres « capteurs de carbone » qui seraient génétiquement modifiés pour absorber plus de carbone que les arbres normaux. Alors que les arbres magiques de Dyson ne sont même pas encore sur la planche à dessin, il y a une grande quantité de travail par des généticiens des plantes qui visent à accroître la biomasse (et donc la séquestration du carbone) d’une gamme de plantes – faisant ainsi exactement ce que Dyson a proposé [
2].
Les approches génétique de maximisation de la biomasse vont du travail payé par la Fondation Gates sous les hospices du Groupe Consultatif pour la Recherche Agricole Internationale (GCRAI) et d’autres structures pour « améliorer » la photosynthèse dans le riz et dans d’autres cultures, au développement de ce qu’on appelle des cultures « adaptées au climat » (climate ready crops) qui permettront la production de biomasse sur ce qui était autrefois considéré comme des terres marginales (par exemple, les marécages, les zones arides, les sols salins). Ce faisant, les généticiens des plantes ont affirmé que de nombreuses astuces pourraient stimuler la biomasse (et donc la séquestration du carbone ) - y compris en utilisant les technologies de type Terminator (qui rendent les plantes stériles) afin que la plante ne gaspille plus son énergie dans les fonctions de reproduction !


Des algues modifiées pour capter le CO2 et produire du carburant

Le plus grand domaine du développement de la bio-géo-ingénierie est probablement le travail sur les algues génétiquement modifiées- la plupart du temps en utilisant les outils de la biologie synthétique. Dans son autobiographie, « Une vie décodée » [3], le pionnier de la biologie synthétique, Craig Venter, a écrit sur la possibilité de modifier les communautés de microbes marins présents en haute mer afin de réguler le climat de la Planète mais ses intérêts commerciaux restent sur la terre ferme. Ainsi, en travaillant main dans la main avec la compagnie pétrolière Exxon, l’équipe de Venter a mis au point des souches à croissance rapide d’algues qui, selon lui, seraient plus efficaces pour séquestrer le CO2 atmosphérique. Il travaille également à des algues permettant de produire des biocarburants. Sa société, Synthetic Genomics Inc, fait partie d’une liste croissante d’entreprises impliquées dans la modification d’algues synthétiques telles que Sapphire, Joule et Algenol qui prétendent utiliser la biologie synthétique pour séquestrer du CO2. En effet une de ces sociétés, Sapphire, connue pour être en partie la propriété de Monsanto, aurait conclu un accord avec l’entreprise privée de géo-ingénierie Energy Kilimanjaro qui a déployé des machines chimiques de « capture de l’air » pour extraire le CO2 de l’atmosphère et qui pourrait éventuellement alimenter directement les algues synthétiques de Sapphire. Deux des concurrents directs de Kilimanjaro, Thermostat Global Inc. et Carbon Engineering Inc. sont aussi supposés avoir conclu des accords avec des sociétés impliquées dans les algues. Des équipes universitaires, financées par des fonds publics aux États-Unis, au Canada et ailleurs, travaillent également sur les algues modifiées dans une approche de géo-ingénierie.
En bout de course, alors que l’activité de géo-ingénierie est aujourd’hui axée sur le changement climatique et essaye d’assujettir le cycle global du carbone, des travaux visant à modifier d’autres systèmes biologiques de la Planète comme le cycle de l’azote ou le cycle de l’eau pourraient émerger puisque génie génétique (fixation de l’azote par des plantes) et bactéries génétiquement modifiées pour nettoyer les eaux pourraient prendre une part de plus en plus importante dans la modification galopante de notre Planète.


-En savoir plus : ETC Group, « Géo-piraterie : argumentaire Contre la géo-ingénierie », 2011,

http://www.etcgroup.org/fr/content/g%C3%A9opiraterie-argumentaire-contre-la-g%C3%A9oing%C3%A9nierie 

 [1http://www.etcgroup.org/content/wor... 

[2]  En France, l’Inra d’Orléans travaille sur des peupliers transgéniques avec cet objectif (NDLR), cf. Inf'OGM, « FRANCE - Peupliers GM, agro-énergie, biodiversité : l’Inra s’explique », Christophe Noisette, juillet 2007

[3] Venter, C., « A life decoded », ed. Viking, 2007, 390 pages

 


http://www.infogm.org/spip.php?article5325

 




 

 

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Ondes pulsées réfractées HAARP

7 Février 2013, 21:54pm

Publié par Ciel Voilé

 


 

Otterwalks - le 27 janvier 2013 - Infowars

 

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Voici des photos de phénomènes artificiels. Certaines montrent la saturation de l’atmosphère par les épandages de particules métalliques combinée à une énergie pulsée ou dirigée du type HAARP, de la recherche militaire sur le climat ... La concentration des particules dans l'atmosphère, aux rayons du soleil, sous l'angle correct, permet au photographe de capturer la densité. C’est enregistré sous forme de nuage multicolore ou d’irisation. Les différentes  photos en saisissent  des valeurs différentes, révélant aux chercheurs les types de particules et leurs changements de densité lors de la dispersion des traînées dans l’atmosphère ...

 

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Voici des photos à mettre au crédit de "l’alchimie mentale" et qui pourraient être, compte tenu de leur emplacement, le résultat de la création de nuages artificiels. Je vous laisse le soin d’en juger...
Quant à  moi, j'ai observé ces phénomènes de plus en plus souvent au fil du temps. Après avoir vu la dispersion des traînées chimiques et l'injection d'énergie de plasma pulsée dans l'atmosphère saturée.
Ces  photos de nuages-arc-en-ciel sont parmi les plus dramatiques. Dans la nature, de tels phénomènes, documentés par écrit et photographiés, se produisent en raison de la topographie, de l'humidité, de l'altitude, etc ... Pour ma part, je vois la fin du déversement de traînées chimiques au-dessus et à gauche. Encore une fois, je vous laisse libre d’en juger ...

 

Merci à tous ceux qui ont été au bon endroit au bon moment ...


http://planet.infowars.com/activism/haarp-refracted-pulse-wave-post-chemtrail-saturation 

 

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Londres : épandage à basse altitude

25 Janvier 2013, 05:49am

Publié par Ciel Voilé

 


 

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