« Mais l'esprit est un élément mystérieux. Insaisissable et invisible comme l'air, il semble s'adapter docilement à toutes les formes et à toutes les formules. Et cela pousse sans cesse les natures despotiques à croire qu'on peut le comprimer, l'enfermer, le mettre en flacons. Pourtant toute pression provoque une contre-pression, et c'est précisément quand l'esprit est comprimé qu'il devient explosif: toute oppression mène tôt ou tard à la révolte. À la longue, et c'est là une éternelle consolation, l'indépendance morale de l'humanité reste Indestructible. Jamais jusqu'ici on n'a réussi à imposer d'une façon dictatoriale à toute la terre une seule religion, une seule philosophie, une unique conception du monde, et jamais on y réussira, car l'esprit saura toujours résister à l'asservissement, toujours il refusera de penser selon des formes prescrites, de s'abaisser, de s'aplatir, de se rapetisser et de se mettre au pas.» Stefan Zweig
Pétition pour la liberté vaccinale en Europe
Secretary European Forum for Vaccine Vigilance (EFVV) a lancé cette pétition adressée au Parlement européen
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La Charte des Droits fondamentaux de l’Union Européenne affirme clairement: « Le consentement libre et éclairé de la personne concernée doit être respecté dans le cadre de la médecine et de la biologie. »[1] Pas loin de 40% des citoyens européens[2] ne jouissent pourtant pas de ce droit élémentaire en ce qui concerne l’acte médical qu’est la vaccination. Il y a là une violation de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme. En 2011, la Cour Suprême des États-Unis a déclaré que les vaccins étaient « inévitablement dangereux »[3]; la vaccination obligatoire telle qu’elle est imposée à ces citoyens est de ce fait inacceptable tant d’un point de vue médical qu’éthique, tout particulièrement lorsqu’ aucune exemption médicale, religieuse ou philosophique n’est autorisée.
Le EFVV (http://www.efvv.eu), un groupe représentant une vingtaine de pays européens (aussi bien des États membres de l’UE que des non membres) réclame par conséquent:
1. Que la vaccination obligatoire soit abolie partout en Europe dès lors qu’elle constitue une violation de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme.
2. Que la vaccination obligatoire ne soit jamais introduite dans un pays où les vaccins ne sont que recommandés actuellement.
3. Que le Principe de Précaution soit appliqué en ce qui concerne la vaccination en Europe.
4. Que les citoyens européens bénéficient d’un consentement libre et pleinement éclairé en matière de vaccination.
5. Qu’un système européen efficace et indépendant d’enregistrement des effets secondaires vaccinaux (un système de « vaccino-vigilance » comme il en existe un aux États-Unis) soit établi afin de surveiller la sécurité des vaccins.
Quelle que soit la politique de votre gouvernement, merci de nous unir en signant cette pétition et la faisant circuler au maximum.
En 2016, on estime qu'environ 400 millions d’Européens dans les différents pays membres de l’Union Européenne jouissent de la liberté vaccinale et du droit à un consentement libre et éclairé, mais environ 258 autres millions de citoyens européens n’ont pas cette liberté de choix.[4] Des vaccinations sont obligatoires en Belgique, en Bulgarie, en Croatie, en France, en Grèce, en Hongrie, en Italie, en Lettonie, à Malte, en Pologne, au Portugal, en République Tchèque, en Slovaquie, en Slovénie [5] et potentiellement dans d’autres pays susceptibles d’intégrer dans le futur l’Union Européenne, tels que l’Albanie, la Macédoine, le Monténégro et la Serbie. C’est pourquoi nous appelons tous les Européens à s’unir pour exiger une politique de liberté vaccinale commune basée sur le consentement éclairé. Nous réclamons aussi que soit créée une unité de pharmacovigilance vaccinale indépendante et efficace, dont les résultats soient transparents et accessibles au public. Nous pensons que la vaccination obligatoire doit être abolie et qu’un système indépendant de pharmacovigilance vaccinale doit être mis sur pied car tout traitement non volontaire et forcé est une violation:
- De la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme des Nations Unies (1948)
- De la Charte des Droits Fondamentaux de l’Union Européenne (2000)
- De la Convention Internationale relative aux Droits de l’Enfant (CIDE) des Nations Unies (1989)
- De la Convention du Conseil de l’Europe pour la protection des Droits de l'Homme et de la dignité de l'être humain à l'égard des applications de la biologie et de la médecine: La Convention sur les Droits de l'Homme et la biomédecine (= La Convention d’Oviedo) (1997)
- De la Charte Européenne des Droits des Patients (2002)
- Du Pacte International des Nations Unies relatif aux Droits Civils et Politiques (1966)
- Et même du Code de Nuremberg (un ensemble de principes éthiques sur la recherche dans le domaine de l’expérimentation humaine en médecine, établi en 1947 après le Procès de Nuremberg à la fin de la Deuxième Guerre Mondiale) .
La Charte des Droits Fondamentaux de l’Union Européenne affirme clairement: « Toute personne a droit à son intégrité physique et mentale. »[6] Ce texte affirme aussi: « Le consentement libre et éclairé de la personne concernée doit être respecté dans le cadre de la médecine et de la biologie »[7] et enfin: « L’interdiction des pratiques eugéniques et celle consistant à faire du corps humains et de ses parties, en tant que tels, une source de profit doivent être respectées. »[8]
La Convention d’Oviedo stipule clairement: « L'intérêt et le bien de l'être humain doivent prévaloir sur le seul intérêt de la société ou de la science. »[9] L’article 5 de cette convention précise également: « Une intervention dans le domaine de la santé ne peut être effectuée qu'après que la personne concernée y a donné son consentement libre et éclairé. Cette personne reçoit préalablement une information adéquate quant au but et à la nature de l'intervention ainsi que quant à ses conséquences et ses risques. La personne concernée peut, à tout moment, librement retirer son consentement. »[10]
La Charte Européenne des Droits des Patients stipule clairement en son article 4: « Chaque personne a le droit d'accéder à toute information qui pourrait lui permettre de participer activement aux décisions concernant sa santé ; cette information est un préalable à toute procédure ou traitement, y compris la participation à la recherche scientifique. »[11] L’article 5 établit que: « Chaque personne a le droit de choisir librement parmi les différentes procédures de traitement et les différents soignants, sur la base d'informations proportionnées. »[12] L’article 9 de cette Charte précise en outre: « Chaque personne a le droit de ne pas être victime du mauvais fonctionnement des services de santé ou d’erreurs médicales ; elle a droit à des services de santé et des traitements qui répondent à des normes de sécurité élevées. »[13]
La Convention Internationale relative aux Droits de l’Enfant (CIDE) stipule quant à elle clairement: « La responsabilité d’élever l’enfant et d’assurer son développement incombe au premier chef aux parents ou, le cas échéant, à ses représentants légaux. Ceux-ci doivent être guidés avant tout par l’intérêt supérieur de l’enfant. »[14]
Le Pacte International relatif aux Droits Civils et Politiques stipule clairement en son article 18: « Toute personne a droit à la liberté de pensée, de conscience et de religion; ce droit implique la liberté d’avoir ou d’adopter une religion ou une conviction de son choix, ainsi que la liberté de manifester sa religion ou sa conviction, individuellement ou en commun, tant en public qu’en privé, par le culte et l’accomplissement des rites, les pratiques et l’enseignement. »[15]
Le Code de Nuremberg affirme clairement pour sa part: « Le consentement volontaire du sujet humain est absolument essentiel. »[16]
Les effets indésirables (EI) des médicaments, dont les effets secondaires des vaccins, sont estimés être la cinquième cause majeure de décès hospitaliers au sein de l’Union Européenne[17] mais ces chiffres pourraient même s’avérer supérieurs compte tenu de l’importante sous-notification de ces évènements, tel que l’a reconnu le Dr David Kessler, ancien directeur de la Food and Drug Administration (FDA: l’agence américaine des Médicaments) durant les années 90’.[18] Dans le cas des vaccins, le défaut de reconnaissance de tout lien de causalité constitue un problème supplémentaire.
La Cour Suprême des États-Unis a déclaré que les vaccins étaient « inévitablement dangereux. »[19]
La vaccination constitue un acte médical invasif qui est une offense pour le corps et en tant que tel, selon le Code criminel allemand[20], il exige un consentement éclairé. Il a cependant été officiellement reconnu qu’il existe encore toujours d’énormes lacunes dans la compréhension scientifique actuelle en ce qui concerne la vaccination et par conséquent, l’exigence de fournir une information complète et compréhensible au préalable n’est tout simplement pas possible. Les notices de vaccins[21] énumèrent une liste d’effets secondaires possibles, incluant parfois le décès. Tant qu’une procédure médicale entraîne un risque, si l’innocuité ne peut être garantie et si une information compréhensible ne peut pas être fournie au préalable, le Principe de Précaution doit être appliqué.
Il a été constaté que dans des régions où existe une liberté de choix en matière de vaccination, des taux élevés de couverture vaccinale tels que recommandés par l’OMS sont atteints sans recourir à l’obligation vaccinale.[22]
Les pays européens voient différemment la responsabilité légale en ce qui concerne les dommages vaccinaux, mais d’une façon générale, les autorités politiques et médicales de même que les fabricants de vaccins ne sont pas tenus responsables, laissant les victimes privées d’aide et d’indemnisation.
Aucune étude significative ou officielle comparant la santé des enfants vaccinés à celle des enfants non vaccinés n’a été menée jusqu’à présent, bien qu’il existe un nombre croissant d’études montrant que les enfants non vaccinés jouissent d’une bien meilleure santé que les enfants vaccinés.[23] Ceci constitue donc un secteur où de plus amples recherches sont absolument nécessaires.
Compte tenu de ce qui a été exposé ci-dessus, nous réclamons:
1. Que toute obligation vaccinale soit abolie dans tous les pays européens.
2. Que l'obligation vaccinale ne soit jamais introduite dans un pays où les vaccins ne sont que recommandés actuellement.
3. Que le Principe de Précaution soit appliquée dans le domaine de la vaccination en Europe.
4. Que tous les citoyens européens bénéficient de la liberté vaccinale et du droit à un consentement pleinement éclairé en matière vaccinale, ce qui est un droit humain universel.
5. Et qu’une unité indépendante de vaccino-vigilance soit établie, où pourront être rapportés les effets secondaires de vaccins ainsi que leur nombre et leur gravité, et que ces données soient facilement accessibles à tous en Europe.
Références:
[1] http://www.europarl.europa.eu/charter/pdf/text_fr.pdf, Article 3, page 9
[2] Calculé utilsant http://en.wikipedia.org/wiki/List_of_European_countries_by_population et http://www.eurosurveillance.org/images/dynamic/EE/V17N22/DAncona_tab1.jpg
[3] Bruesewitz v. Wyeth LLC, 131 S. Ct. 1068, 179 L.Ed.2d 1 (2011), http://www.supremecourt.gov/opinions/10pdf/09-152.pdf
[4] Calculé utilisant http://en.wikipedia.org/wiki/List_of_European_countries_by_population et http://www.eurosurveillance.org/images/dynamic/EE/V17N22/DAncona_tab1.jpg
[5] http://www.eurosurveillance.org/images/dynamic/EE/V17N22/DAncona_tab1.jpg
[6] http://www.europarl.europa.eu/charter/pdf/text_fr.pdf, Article 3, page 9
[7] http://www.europarl.europa.eu/charter/pdf/text_fr.pdf, Article 3, page 9
[8] http://www.europarl.europa.eu/charter/pdf/text_fr.pdf, Article 3, page 9
[9] http://conventions.coe.int/Treaty/FR/Treaties/Html/164.htm, Article 2 – Primauté de l’être humain
[10] http://conventions.coe.int/Treaty/FR/Treaties/Html/164.htm, Article 5 – Règle Générale
[11] http://www.sante.gouv.fr/IMG/pdf/poster.pdf, Article 4 – Droit au Consentement Eclairé
[12] http://www.sante.gouv.fr/IMG/pdf/poster.pdf, Article 5 – Droit à la Liberté de Choix
[13] http://www.sante.gouv.fr/IMG/pdf/poster.pdf, Article 9 – Droit à la Sécurité
[14] http://www.ohchr.org/FR/ProfessionalInterest/Pages/CRC.aspx, Article 18
[15] http://ec.europa.eu/justice/policies/privacy/docs/un-art17_fr.pdf, Article 18.1.
[16] http://descobayesetdeshommes.fr/Docs/NurembergTrad, Principe 1
[17] Arlett, Dr. Peter, Setting the Scene: New European Union Pharmacovigilance Legislation, November 2012, slide 6 - (http://www.ema.europa.eu/docs/en_GB/document_library/Presentation/2013/01/WC500137839.pdf) et également https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC4412588/
[18] http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/16689555
[19] Bruesewitz v. Wyeth LLC, 131 S. Ct. 1068, 179 L.Ed.2d 1 (2011), http://www.supremecourt.gov/opinions/10pdf/09-152.pdf
[20] http://dejure.org/gesetze/StGB, §§20 et 223 - 231
[21] http://www.vaccinesafety.edu/package_inserts.htm
[22] Par exemple, en Ecosse la couverture atteint 97% : http://www.isdscotland.org/Health-Topics/Child-Health/publications/index.asp
[23] http://www.vaxchoicevt.com/science/studies-comparing-vaccinated-to-unvaccinated-populations/, http://www.efi-online.de/wp-content/uploads/2014/10/VaccineFreeChildrenHealthier.pdf , http://www.rescuepost.com/files/mawson-et-al-2017-vax-unvax-jnl-translational-science.pdf et http://vaccineinjury.info/survey/comparison-of-the-state-of-health-of-unvaccinated-and-vaccinated-children.html
Confinement : y a-t-il des gens qui protestent ?
Emmanuel Macron déclare la guerre à la transition écologique
Communiqué de presse FNAB
Paris, 23/04/20. Pour son premier déplacement dans le monde agricole depuis le début de la crise du COVID-19, le Président de la République a choisi de valoriser le modèle agricole le plus déconnecté du monde vivant ; un modèle aseptisé, artificialisé, où il y a plus de béton que de terre, où les fruits et les légumes sont chauffés toute l’année. Un modèle qui pourtant devrait aujourd’hui se remettre en question, à l’aune de ce que l’on comprend des pandémies, mais aussi du rôle que l’agriculture a joué et jouera encore dans les crises sanitaires et écologiques, passées et à venir.
Arrogance, mépris et méconnaissance des sujets
Depuis plus de trois ans, l’agriculture biologique est victime de l’absence totale de vision écologique de l’Elysée : retards de paiement, suppression des aides au maintien, objectifs de développement mensongers.
Dans ses déclarations publiques d’hier, le Président de la République dénigre les circuits courts, qui sont pourtant en ce moment un véritable refuge pour les consommateurs. Avec le drive, ils sont le mode de consommation le plus plébiscité pendant la crise avec + 73% de vente sur les semaines 12 et 13[1].Ce sera sûrement la plus grande leçon de cette crise : les territoires qui ont les circuits de proximité les plus développés sont aussi les plus autonomes et agiles pour assurer la sécurité alimentaire de leur population.
« Ce qui est plus inquiétant encore, dénonce Guillaume Riou, c’est d’affirmer, à ce niveau de responsabilités, que l’agriculture biologique se limite aux circuits de proximité. C’est une méconnaissance totale de nos pratiques, qui prônent la diversification y compris des modes de commercialisation pour sécuriser nos systèmes. Nous n’avons pas attendu Emmanuel Macron pour nous organiser aussi en filières longues ».
Les citoyen-nes eux ne s’y trompent pas, puisque la crise sanitaire creuse encore l’écart de croissance entre les produits bio et les produits conventionnels (étude Nielsen).
En 2018, l’IDDRI démontrait[2] qu’il était possible de nourrir l’Europe avec un système 100% biologique, mais pour ça il faut une véritable volonté politique et un projet de société qui mettrait l’écologie au cœur des enjeux de demain.
La FNAB réitère sa demande que l’Etat ne laisse pas seul le marché donner le cap de la transition agro-écologique. Il serait inacceptable que les plans de relance ne soient pas conçus comme des accélérateurs de transition écologique et sociale.
Contact presse : William Lambert – 06 03 90 11 19
[1] Nielsen ScanTrack HMSM, proximité et drive, Total PGCFLS. Evolution vs même semaine l’an passé.
[2]https://www.iddri.org/sites/default/files/PDF/Publications/Catalogue%20Iddri/Etude/201809-ST0918-tyfa_1.pdf
L'Etat donne 20 milliards aux pollueurs
La colère de Laura
L'association Next-up perquisitionnée
L'organisation environnementale , antinucléaire et sanitaire Next-Up perquisitionnée ce mardi matin
Le mercredi 22 avril 2020
Next-Up, organisation nationale environnementale dont le siège est situé en Drôme, et qui milite et informe depuis près de 20 ans contre le nucléaire, les radiations, le compteur espion Linky et la 5G, a été perquisitionnée ce mardi 21 avril 2020. Le président a été menotté et emmené en garde à vue, le domicile du vice-président a fait également l'objet d'une visite gendarmesque. Les locaux ont été mis sans dessus-dessous et du matériel a été saisi. Très en pointe dans l'aide à la protection des personnels soignants face au covid19 et à la pénurie institutionnelle de matériel, Next-Up est victime de l'incompétence et de la violence du pouvoir. Le CAN84 lui apporte son soutien.
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"Next-Up" qui délivre gratuitement aux hôpitaux et Ehpad des masques FFP2 et FFP3 qu'elle a en stock s'est fait perquisitionner au petit matin ce mardi 21 avril 2020. Tout son stock, ses ordinateurs ainsi que les tenues et masques de protection ont été saisis. Le domicile du vice-président, médecin de 77 ans, est aussi perquisitionné. Tout comme l'aurait été le cabinet comptable de Next-Up afin de saisir la comptabilité et les relevés bancaires de l'association. Placé en garde à vue, menotté et interrogé pendant de très longues heures de 8h 45 à 20heures, le Président a retrouvé ses locaux sans dessus-dessous. Gendarmes de Crest et OPJ de Valence ont refusé sa demande de rencontrer le Procureur.
Ce qui est reproché à l’organisation est de ne pas avoir respecté, dans ses actions en faveur de ses soutiens, un énième et nouvel arrêté de réquisition qui concerne cette fois-ci non pas les masques FFP2 (1) mais les masques FFP3 ! Un nouveau décret pris en catimini : même les médias n’en ont pas fait état, par contre il a été publié au Journal Officiel. Or l’organisation comme 99,9 % de la population ne lit évidemment pas le Journal Officiel ! Navigant à vue le gouvernement modifie ou annule le lendemain les dispositions qu'il a prises la veille plaçant tous les citoyens et les entreprises dans une situation intenable (cf : information du Medef à ses adhérents)
Dès le début de l'opération quasi militaire, les gendarmes se sont octroyé tous les droits, même celui de bousculer pour passer, sans aucune précaution de distance du fait du Covid-19, ni pas plus de gants ni, pour certains, de masque. La seule chose que le Président pouvait faire était de rester assis sur un tabouret, menotté et prié fermement de la boucler.
Les OPJ en civil comme les gendarmes prenaient tout ce qu'ils voulaient, fouillaient de partout sans aucune gêne, à tel point qu'ils avaient recours sans arrêt à de nombreux cartons et sacs pour emporter leur butin. Pas loin d'une tonne de marchandise qu'ils ne savaient plus où placer dans leurs véhicules, fourgon inclus. Ils vidaient des cartons d'autres matériels pour les remplir de ce qu'ils prélevaient des quatre coins des locaux. Cela a duré plus de deux heures.
Avaient-ils un mandat? ou pas? "Je ne sais car je devais fermer ma gueule. Ils ont même perquisitionné notre appartement à l'étage. A leur sortie de l'ascenseur ma belle-mère malade et sénile presque grabataire et centenaire c'est approchée d'eux. Ils ne savaient que faire car ils ne s'y attendaient pas ! Ils se croyaient dans un film américain sans nul doute. Un expert informaticien de la PJ a voulu saisir le portable de ma femme qui est doté d'une webcam et qui lui sert tous les jours pour être en contact avec tous ses petits-enfants". Le gendarme-informaticien s'est assis et a analysé l'ordinateur sans rien dire puis a finalement abandonné sa saisie. Ses compères sont eux allés subitement aussi vers une armoire à dossiers suspendus, ont regardé toutes les étiquettes. Manque de chance il s'agissait de dossiers et papiers personnels comme chacun-e peut en avoir chez soi. Puis ils sont allés inspecter les chambres à coucher sans précaution aucune. "Ils étaient tellement nombreux, 7 ou 8 dans tous les coins, qu'il était évidemment impossible de les surveiller, par exemple n'importe qui aurait pu y mettre de la drogue ou je ne sais quoi d'autre et sa parole aurait été la vérité, la mienne mensonge évidemment. " La violence est bien présente. "Nous avons tous subi un viol, c'est comme cela que nous le ressentons tous, moi, ma femme, ma belle-mère et les amis." précise Serge Sargentini.
Et on en rajoute...
A cours d'arguments et d'arguties, les gendarmes on tenté, au cours de l'audition d'affubler ensuite Next-Up d'infractions complémentaires tel du travail dissimulé ou l'absence d'agrément pour la fabrication de gel hydroalcoolique. Comme s'il fallait un agrément pour fabriquer son gel comme le conseille l'OMS! Et comme l'organisation travaille avec ses militants bénévoles, les enquêteurs ont fait chou blanc. A midi ces infractions étaient abandonnées. Mais la pression psychologique, la violence mentale et la tension exercée laissent des empreintes indélébiles. Encore plus marquantes que le fer des menottes, pendant plusieurs heures, autour des poignets d'un responsable associatif.
Next-Up exige la restitution du matériel (masques, gels, gants, tenues) qui ne relève pas de la réquisition gouvernementale décidée par un décret et qui ne fait pas partie de l'infraction reprochée avec notamment les masques spécifiques à la protection contre les particules radioactives (PRO FFP3 type R ) qui font partie des outils d'action des militants.
Le CAN84 apporte son soutien à l'organisation Next-Up et s'interroge sur cette perquisition d'une association qui œuvre pour le bien commun et contre les atteintes répétées à la santé des habitants. Cet acte des autorités s'inscrit de toute évidence dans la stratégie répressive d’État contre les mouvements sociaux, environnementaux, antinucléaires, populaires. Il démontre que le pouvoir affolé, incapable d'assurer la protection sanitaire des citoyens, s'englue un peu plus dans l'allégeance aux puissances économiques oppressives et n'a comme seule volonté de poursuivre la guerre contre le peuple et ceux-celles qui se redressent et résistent.
Point de situation à 20h
Ce qui vient de se passer - la descente gendarmesque et l'intrusion dans la vie associative de militants, la violence psychologique exercée par les détenteurs de l'autorité d’État et les subtilisations de biens et matériels - préfigure que face une situation d'extrême urgence tel un accident nucléaire et une catastrophe atomique, le siège social de l'organisation serait donc immédiatement perquisitionnée avec saisie de tout le matériel de protection NBC contre les radiations nucléaires radioactives. Les autres organisations antinucléaires et leurs militants seraient aussi, sans nul doute, la cible de cette violence d’État.
Vers 18h le procureur de Valence a pris connaissance du dossier. A 18h30 il a donné ses conclusions, que les intéressés ne connaissent pas encore. Mais tout a alors changé à la gendarmerie. Tout gentils les uniformes sont revenus à la cellule où se trouvait le responsable de Next-Up qui a eu droit alors à un "Bonjour Monsieur" avant que de l'extraire de la cellule. Autrement dit le dossier ne tient pas la route et il ne peut y avoir de jugement. C'est pourtant ce que souhaitait Serge Sargentini : un tribunal comme tremplin et confrontation avec le Procureur. Mais pour ce dernier il s'agit de sauver les meubles de ces actes démesurés et perquisitions délirantes.
A qui le hold-up est-il destiné? aux personnels soignants et des hôpitaux et ehpad ou bien aux hauts fonctionnaires ministériels et préfectoraux? Voire au gradés de la gendarmerie et de la police ?
Le trésorier de l'organisation est venu chercher son président vers 20h, accompagné à la porte de la gendarmerie par deux gendarmes devenus subitement et extrêmement bienveillants. 12 heures de chaos et de déstabilisation, c'est toujours ça de pris pour un pouvoir et ses sbires aux abois.
Témoignage de Serge Sargentini :
Nous sommes ce matin abattus et sidérés après avoir visité les locaux en partie dévastés et fait l'inventaire de tout ce qui a été saisi. De très nombreux rayonnages sont totalement vides.. Il a été saisi aussi - ce qui n'a absolument rien à voir avec l'infraction reprochée - d'autres matériels, ordinateur de travail studio TV, cartes mémoire appareils photos, des centaines de cartons de 6 flacons pompes de 300 ml de gels hydroalcoolique, ainsi que tous les flacons pleins ou vides, le stock complet de flacons de conditionnements, des flacons pompes inox vide inclus, des dizaines de bouteilles d'1 litre d'alcool naturel 90°, des sur-lunetttes, des combinaisons NBC, un ordinateur de studio TV/Photos, les cartes mémoires d'appareils photos, etc ... !
Via notre avocat nous allons demander la restitution de tout ce qui a été saisi qui ne fait pas partie de l'infraction reprochée, notamment les masques PRO FFP3 type R spécifiques à la protection contre les particules radioactives qui font partie de l'outil de travail des militants.
Il n'en reste pas moins que pendant presque toute la perquisition j'étais menotté, éjecté dans la rue toujours menotté et aux yeux de tous, puis mis plusieurs heures en cellule.
Ceci dit en réalité il y a simultanément eu une autre perquisition domiciliaire chez un Docteur Radiologue Vice-Président de l'organisation. Bien évidemment cette perquisition s'est avérée totalement négative, néanmoins elle s'est très mal passée, sic.
Témoignage du Vice-Président de l'organisation Next-Up et Docteur Radiologue
" Cher Serge, j'apprends la cessation de ta garde à vue, ce qui me donne l'occasion de te faire part du déroulement de la perquisition domiciliaire effectuée à mon propre domicile ainsi que les conditions de mon audition en cette « affaire »:
Ce mardi 21, vers 8h30, alors que je m'apprêtais à sortir, à l'ouverture du portail je constate un véhicule avec logo « gendarmerie » bloquant ma sortie. Sans y avoir été invitées trois personnes, deux hommes et une femme, se sont introduites dans la cour, se présentant comme gendarmes, mais sans uniforme ni justificatif d'identité. Elles m'informent oralement venir effectuer une perquisition domiciliaire, sans me présenter de justificatif légal. Le motif ? Je crois comprendre que ton organisation serait mise en cause dans un trafic de masque de protection. Je note que ces trois personnes, s'immisçant, encore une fois sans y avoir été invitées, chez moi, ne portaient aucun masque ni ne respectaient la distance de sécurité, alors même que, comme tu le sais, vu mon âge de 77 ans et mes problèmes cardiaques, je fais partie des « gens à risque » imposant un respect strict des règles de confinement. M'informant que je serais mis en cause en tant que vice-président de Next-Up elles me renvoyèrent à toi si je contestais le fait en « oubliant » de me signaler, qu'étant en garde à vue » tu ne risquais pas de pouvoir me répondre au téléphone pour éclaircir le malentendu éventuel.
Pris par surprise, je n'ai pas eu le réflexe de faire le « 19 » pour appeler la police car il aurait aussi bien pu s'agir de voleurs, avec autocollant « gendarmerie » sur leur véhicule, venant piller une maison au prétexte d'une perquisition bidon. Je note qu'un gendarme a cru bon de faire une remarque déplacée sur la tenue de ma femme, prise au pied du lit, chez elle.
Quoi qu'il en soit, n'ayant –et pour cause- rien trouvé, y compris dans le garage de mon locataire, ces gendarmes en repartant m'ont remis un PV de convocation pour le même jour, à la gendarmerie de Crest. J'apprends ainsi, a posteriori, les motifs de mon prétendu délit justifiant la perquisition : « refus de déférer.... à une réquisition..» qui ne m'a jamais été signifié ! A mon audition à la gendarmerie je fus informé que je n'étais pas poursuivi (plus poursuivi ?) pour ce délit, mais simplement entendu comme témoin. J'avais apporté une déclaration préliminaire, ayant fait l'objet d'un courriel, et dont je reproduis le texte ci-dessous".
" Je ne mets aucun obstacle à audition, mais je demande qu'elle soit faite selon des critères stricts d'hygiène (distanciation, port de masque par l'interrogateur, me fournir un masque car le mien n'est plus opérationnel) au motif de mon âge (77ans) et de ma chirurgie cardiaque. En l'absence de quoi je me réserve le droit d'ester pour un motif qui, lui, n'est pas imaginaire, de "mise en danger de la vie d'autrui". Je constate qu'aucun des trois gendarmes perquisitionnaires ne portait de masque de protection, me postillonnant au visage à moins d'un mètre. Me convoquer le jour même de la perquisition pour une audition m'empêche, de fait, d'être assisté d'un avocat. On peut s'interroger sur le fait qu'un État dans le but de pallier à son imprévoyance et ayant laissé "disparaître" ses stocks stratégiques de masques de protection, s'octroie le pouvoir de spolier des organisations et des gens prévoyants ."
Les tous derniers développements font apparaitre notamment
Que dans le cas présent ces perquisitions saisies n'auraient pas dû avoir lieu :
. Soit : l'organisation aurait dû être avisée par les autorités de la publication de ce nouveau énième Décret, puisqu'il était connu que l'organisation diffusait des masques et avait en stock des masques FFP3. Situation que les autorités comme tout le monde connaissaient.
. Soit les autorités auraient dû signifier à l'organisation dès la publication du Décret une demande de mise en conformité, comme cela se fait pour toute nouvelle loi, même en urgence.
Évidemment si suite à ces significations l'organisation ne s'était pas mise en conformité, dans ce cas une perquisition pour saisie aurait été dans la normalité de la procédure.
DH: un directeur de clinique vient d'écrire à Next-Up : "On verra bien si le personnel soignant récupère ces masques. On se demande si la raison première est de faire ch... ou de récupérer ces masques FFP3 pour les hauts fonctionnaires car les livraisons n'arrivent pas..."
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(1) https://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000041721820&categorieLien=id
Le traité ENMOD et l'attaque autorisée de l'agriculture de l'environnement et de la santé humaine
1Transdyne Corporation, 11044 Red Rock Drive, San Diego, CA 92131, États-Unis ; 2Florida Department of Health in Monroe County, 1100 Simonton Street, Key West, FL 33040, États-Unis ; Chelsea Green Publishing Company, 85 North Main Street, White River Junction, VT 05001, États-Unis
* Correspondance : J Marvin Herndon, Ph.D, Transdyne Corporation, 11044 Red Rock Drive San Diego, CA 92131, USA, Tél : 1-858-232-1177 ; E-mail : mherndon@san.rr.com
Reçu : 20 février 2020; Accepté : 27 mars 2020 Publié : 03 avril 2020
Citation : Herndon JM, Whiteside M, Baldwin I (2020) The ENMOD Treaty and the Sanctioned Assault on Agriculture and Human and Environmental Health. Agrotechnologie 9:191. doi : 10.35248/2168-9881.20.9.191.
Copyright : © 2020 Herndon JM, et al. Il s'agit d'un article en libre accès distribué selon les termes de la licence d'attribution Creative Commons, qui autorise une utilisation, une distribution et une reproduction sans restriction sur tout support, à condition que l'auteur et la source d'origine soient mentionnés.
RÉSUMÉ
La « Convention sur l'interdiction d'utiliser des techniques de modification de l'environnement à des fins militaires ou toutes autres fins hostiles » [ENMOD] de 1978 oblige les nations signataires à compromettre fondamentalement leur propre souveraineté et à provoquer une dévastation agricole généralisée et permanente. Au lieu d'interdire « l'utilisation hostile de techniques de modification de l'environnement », comme le suggère son titre, le traité ENMOD oblige les nations signataires à participer à des activités « pacifiques » de modification de l'environnement non spécifiées, menées par des entités non spécifiées, dans des circonstances non spécifiées, sans limitation des dommages, qu'elles soient infligées à l'agriculture d'une nation ou d'une région, à son environnement ou à la santé de sa population, c'est-à-dire à ses citoyens. La modification de l'environnement à grande échelle ne peut être considérée comme « pacifique » ; elle est au contraire fondamentalement hostile. La géo-ingénierie en cours, non divulguée, de pulvérisations de particules d'aérosols dans la troposphère a déjà commencé à avoir des conséquences dévastatrices sur l'agriculture, ainsi que des effets étendus, durables et graves sur la santé humaine et l'environnement. Ces effets comprennent le cancer du poumon, les maladies cardiaques, neurodégénératives, respiratoires et autres ; la perturbation de régimes climatiques autrefois stables ; la décimation des populations d'insectes, de chauves-souris et d'oiseaux ; l'exacerbation des feux de forêt et la mort des forêts ; la propagation d'algues nuisibles dans nos eaux ; et la destruction de la couche d'ozone qui protège la vie des rayons ultraviolets mortels du soleil. Les activités secrètes autorisées en cours de modification de l'environnement constituent une guerre de facto contre des nations souveraines. De plus, ces activités sont en contradiction flagrante avec les missions d'autres entités des Nations Unies, y compris, mais sans s'y limiter, l'Organisation mondiale de la santé, la Déclaration de Rio sur l'environnement et le développement, et l'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture. L'effondrement de l'agriculture et la famine en masse sont l'une des conséquences potentielles de la modification de l'environnement « à des fins pacifiques ». Les activités secrètes et mondiales de modification de l'environnement doivent être arrêtées immédiatement et de façon permanente si nous voulons survivre, nous et notre progéniture. L'opération doit être soumise à l'examen du public. Lorsque la mise en place de particules aériennes dans la troposphère cessera, les dernières particules de géo-ingénierie tomberont sur la Terre en quelques jours ou semaines et le réchauffement climatique sera réduit. La production agricole et la santé publique s'amélioreront dans le monde entier.
Mots-clés : Pesticides agricoles ; Diminution du rendement des cultures ; ENMOD ; Famine ; Géo-ingénierie ; Réchauffement climatique ; Pollution aux particules fines ; Fléau
INTRODUCTION
En 1968, Gordon J. F. MacDonald (1929-2002), géophysicien de renom et conseiller du gouvernement américain [1], a écrit un chapitre de son livre intitulé « Comment détruire l'environnement » dans lequel il a décrit les façons dont une nation peut modifier l'environnement pour infliger subrepticement des dommages à une nation ennemie [2]. En particulier, il écrit « La clé de la guerre géophysique est l'identification des instabilités environnementales auxquelles l'ajout d'une petite quantité d'énergie libérerait des quantités d'énergie bien plus importantes ». MacDonald [2] a décrit des méthodes de guerre environnementale potentielles qui déclenchent délibérément des instabilités dans des systèmes naturels à grande échelle tels que les conditions météorologiques et le climat, les ouragans, les tremblements de terre, les volcans, les tsunamis et le cerveau humain.
De nombreuses prédictions et hypothèses de MacDonald se sont réalisées, non pas avec les technologies de son temps, mais avec des technologies plus efficaces et potentiellement plus dévastatrices qui ont été développées par la suite et ont été discutées publiquement par de hauts responsables militaires depuis les années 1990 [3,4]. Du titre de son chapitre [2] on peut déduire que MacDonald considérait la guerre environnementale non seulement comme extrêmement destructrice, mais aussi à la portée d'une technologie de guerre militaire en évolution rapide. À la fin de la guerre du Vietnam, au cours de laquelle les premières armes environnementales ont été déployées avec des effets terribles, il n'est pas surprenant que les gens et les gouvernements du monde entier aient voulu interdire la guerre environnementale.
En conséquence, les Nations Unies [ONU] ont recueilli le soutien nécessaire et ont produit un document de traité, initialement classé comme désarmement, intitulé « Convention sur l'interdiction d'utiliser des techniques de modification de l'environnement à des fins militaires ou toutes autres fins hostiles » [ci-après ENMOD] qui a été ouvert à la signature à Genève le 18 mai 1977 et est entré en vigueur le 5 octobre 1978 [5]. La figure 1 montre le statut ENMOD des nations souveraines.
En fait, cependant, ENMOD n'interdit pas « l'utilisation militaire ou toute autre utilisation hostile de techniques de modification de l'environnement ». ENMOD, selon nous, était et reste un cheval de Troie. Non seulement cette convention n'interdit pas expressément l'utilisation de techniques de modification de l'environnement hostiles, comme son titre pourrait sembler l'indiquer, mais elle ratifie l'utilisation de techniques de modification de l'environnement à des « fins pacifiques » et, en outre, elle oblige chaque « État partie » signataire à coopérer à des opérations d' « amélioration » de l'environnement non spécifiées par une organisation internationale non spécifiée à des fins non spécifiées.
Pour les raisons exposées ci-dessous, le document ENMOD ainsi que les preuves d'activités internationales et secrètes de modification de l'environnement [6-10] constituent une violation de l'agriculture et de l'environnement à l'échelle mondiale. ENMOD fournit les moyens de coopter les institutions militaires et autres institutions de sécurité nationale des nations souveraines pour qu'elles s'engagent dans des « techniques de modification de l'environnement à des fins pacifiques » non divulguées qui ont pour conséquence d'être hautement destructrices pour l'agriculture, ainsi que plus généralement pour la santé humaine et environnementale. Bien que les activités de modification de l'environnement actuellement entreprises sans débat public soient vraisemblablement à « des fins pacifiques » , elles n'en sont pas moins très destructrices : elles endommagent l'agriculture et la production alimentaire, elles provoquent le chaos climatique et météorologique et elles compromettent radicalement la santé humaine et l'environnement. Qu'elles soient intentionnelles ou non, ces activités équivalent à une guerre de facto menée contre des nations souveraines et leurs citoyens.
En effet, les Nations Unies ont persuadé de nombreux gouvernements du monde de signer un traité qui a obligé chaque partie signataire à devenir un pion involontaire de l'abrogation de sa propre souveraineté et a entraîné la dégradation de l'environnement de chaque nation, dont la source ENMOD n'est pas officiellement reconnue. Une lecture juridique attentive de ce traité [5], la Convention sur l'interdiction d'utiliser des techniques de modification de l'environnement à des fins militaires ou toutes autres fins hostiles [ENMOD], ne devrait laisser aucun doute quant à la justesse de notre qualification de cheval de Troie.
CRITIQUE DU CHEVAL DE TROIE
ENMOD [5] L'article I stipule :
« 1. Chaque État partie à la présente Convention s'engage à ne pas utiliser à des fins militaires ou à toute autre fin hostile des techniques de modification de l'environnement ayant des effets étendus, durables ou graves, en tant que moyens de destruction, de dommage ou de préjudice à tout autre État partie ».
« 2) Chaque État partie à la présente Convention s'engage à ne pas aider, encourager ou inciter un État, un groupe d'États ou une organisation internationale à se livrer à des activités contraires aux dispositions du paragraphe 1 du présent article ».
Alors qu'une lecture superficielle du traité ENMOD pourrait sembler interdire les utilisations hostiles de la modification de l'environnement, un examen attentif conduit à une compréhension tout à fait différente. L'expression « s'engage à ne pas » semble prohibitive, mais c'est un « tigre édenté » au sens juridique du terme. Si l'intention était d'interdire, l'expression « shall not » plutôt que « s'engage à ne pas », aurait eu force de loi.
Le traité ENMOD, selon nous, et nous l'expliquons ci-dessous, a un objectif différent. Il s'agit d'un cheval de Troie qui oblige les pays signataires indépendants, c'est-à-dire les « États parties », à coopérer involontairement à la future modification hostile de l'environnement - une guerre de fait - à des « fins pacifiques », sans limitation des dommages causés aux populations humaines et autres populations biogènes dans les circonstances les plus larges possibles. Et elle le fait sans définir les « fins pacifiques ».
L'intention réelle du traité ENMOD, selon nous, est décrite de manière concise en termes juridiquement contraignants à l'article III. Dans chacune des deux sections de l'article III, le terme juridiquement contraignant « shall » est utilisé.
L'article III du traité ENMOD stipule :
« 1. Les dispositions de la présente Convention n'empêchent pas l'utilisation de techniques de modification de l'environnement à des fins pacifiques et sont sans préjudice des principes généralement reconnus et des règles applicables du droit international concernant cette utilisation ».
2 « Les États parties à la présente convention s'engagent à faciliter et ont le droit de participer à un échange aussi large que possible d'informations scientifiques et techniques sur l'utilisation des techniques de modification de l'environnement à des fins pacifiques. Les États parties qui sont en mesure de le faire contribueront, seuls ou avec d'autres États ou organisations internationales, à la coopération économique et scientifique internationale en vue de la préservation, de l'amélioration et de l'utilisation pacifique de l'environnement, compte dûment tenu des besoins des régions du monde en développement ».
L'article III, section 1, indique clairement que rien dans l'ENMOD n'entraverait l'utilisation de techniques de modification de l'environnement à des fins pacifiques. Une lecture superficielle de l'article III pourrait laisser supposer que sa seule intention est de permettre aux États parties de s'engager dans la modification de l'environnement, mais ce n'est pas le cas.
La dernière phrase de la section 2 de l'article III, telle qu'elle est rédigée, semble obscurcir son véritable objectif, qui devient tout à fait clair et incontestable lorsqu'on enlève une partie du désordre : « Les États parties ... contribueront, seuls ou avec d'autres États ou des organisations internationales, à ... la coopération pour la préservation, l'amélioration et l'utilisation pacifique de l'environnement. »
Dans la jurisprudence américaine, l'utilisation du futur impose la conformité. La Constitution des États-Unis d'Amérique utilise fréquemment le futur dans des cas importants et clairement obligatoires, comme par exemple la création du pouvoir judiciaire : Article III, section 1. - Pouvoirs judiciaires / « Le pouvoir judiciaire des États-Unis sera confié à une Cour suprême... ».
Le terme contraignant « shall » est largement utilisé dans les articles V à X et l'annexe de la directive ENMOD. L'article VII d'ENMOD est le plus révélateur de l'utilisation prévue de « shall », car il stipule dans son intégralité « La présente Convention sera d'une durée illimitée. »
L'ENMOD, selon nous, est un cheval de Troie. Le sujet de son titre, « Convention sur l'interdiction d'utiliser des techniques de modification de l'environnement à des fins militaires ou toutes autres fins hostiles », n'est pas interdit, ce qui aurait été le cas si le « shall » contraignant avait été utilisé. Au lieu de cela, la véritable intention de l'ENMOD est de rendre obligatoire la coopération internationale pour « ...l'amélioration... de l'environnement. » Parmi les exemples de cette « amélioration » environnementale, on peut citer l'ingénierie climatique pour contrôler le réchauffement climatique, ou pour apporter les pluies ou les retarder, ou pour faire fondre la glace arctique pour des opérations commerciales, entre autres exemples. Ces projets d'ingénierie mondiale sont-ils « pacifiques » ?
Nous ne le pensons pas, pour les raisons que nous décrivons ci-dessous.
En tant qu'instrument de droit international, l'ENMOD est délibérément trompeur. Il signifie une interdiction édulcorée, et est dépourvu de mandats d'interdiction juridiquement exécutoires (article I). Pourtant, à l'article III, l'ENMOD impose clairement une action qui n'est pas du tout liée au titre de la Convention, « Interdiction de l'utilisation de techniques de modification de l'environnement à des fins militaires ou toutes autres fins hostiles ». En outre, l'action obligatoire (article III, section 2) n'a pas la spécificité appropriée pour les actions obligatoires. Par exemple, « les États parties qui sont en mesure de le faire contribueront, seuls ou avec d'autres États ou organisations internationales » manque de spécificité quant à la signification des « organisations internationales » ou à la nature, l'objectif, l'étendue et le coût, tant humain qu'environnemental, des « contributions » obligatoires.
Ce manque de spécificité est injustifié et délibéré. En revanche, l'article II d'ENMOD est très spécifique et très large dans sa définition du terme « techniques de modification de l'environnement ». L'article II stipule : « Telle qu'elle est utilisée à l'article premier, l'expression « techniques de modification de l'environnement » désigne toute technique visant à modifier - par la manipulation délibérée de processus naturels - la dynamique, la composition ou la structure de la Terre, y compris son biote, sa lithosphère, son hydrosphère et son atmosphère, ou de l'espace au-delà de l'atmosphère ».
Dans sa totalité, ENMOD ne prévoit aucune interdiction, limitation, exigence, spécificité ou définition de son article III - qui prévoit « l'amélioration et l'utilisation pacifique de l'environnement ». Cette formulation impose spécifiquement la non-exclusion de « l'utilisation de techniques de modification de l'environnement à des fins pacifiques ». L'ENMOD ne définit pas non plus les fins pacifiques. Néanmoins, l'article I d'ENMOD définit « l'utilisation hostile » par les mots suivants : « l'utilisation hostile de techniques de modification de l'environnement ayant des effets étendus, durables ou graves comme moyen de destruction, de dommage ou de préjudice à tout autre État partie ».
Toute modification à grande échelle de l'environnement naturel aura inévitablement des « effets étendus, durables ou graves » sur les humains et les autres biotes et, selon nous, ne peut être qu'extrêmement hostile, et non « pacifique » comme nous le documentons et le justifions dans cette étude.
L'ENMOD, selon nous, fournit un accord mondial juridiquement contraignant pour mener une guerre de géo-ingénierie « à des fins pacifiques » contre les citoyens de nations souveraines par des « organisations internationales » - avant tout, il faut le supposer, les Nations Unies et ses diverses agences, dont les objectifs, selon nous, comprennent la subordination de la souveraineté de toutes les nations à celle des Nations Unies elles-mêmes.
Depuis trente ans, l'ONU, par l'intermédiaire du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat [GIEC] [11], s'est engagée à endoctriner les dirigeants politiques et à faire de la propagande auprès des citoyens du monde entier pour qu'ils acceptent la théorie du réchauffement climatique dû aux émissions anthropiques de dioxyde de carbone, un « ennemi » commun et planétaire contre lequel la guerre devrait être finalement - et à juste titre - menée. L'objectif de cette campagne mondiale implique l'abandon de la souveraineté de chaque nation signataire et son adhésion en tant qu'entité subordonnée à un système de gouvernance mondiale unique qui contrôle les systèmes énergétiques du monde, l'énergie étant fondamentale pour la civilisation contemporaine.
PREUVES DES ACTIVITÉS DE MODIFICATION DE L'ENVIRONNEMENT DE L'ENMOD
Les traînées de particules pulvérisées par avion dans la troposphère ont été observées par des citoyens inquiets depuis des décennies [12-15]. Depuis 2010 au moins, voire plus tôt, les pulvérisations aériennes sont devenues une activité quasi quotidienne et quasi mondiale qui a suscité une inquiétude considérable parmi les citoyens [15]. La figure 2 montre quelques exemples de traînées de particules troposphériques. Immédiatement après les pulvérisations, les traînées se sont étendues, ressemblant brièvement à des cirrus, avant de devenir une brume blanche dans le ciel [9]. Les particules ainsi déposées dans la troposphère sont chauffées par le rayonnement solaire à ondes courtes et longues et par le rayonnement à ondes longues provenant de la surface de la Terre, transférant cette chaleur à l'atmosphère environnante par le biais de collisions moléculaires, ce qui à son tour réduit le gradient de température défavorable relatif à l'air proche de la surface, réduisant ainsi les pertes de chaleur par convection et provoquant un réchauffement local et/ou global [16].
Figure 2 : Modification de l'environnement par des traînées de particules troposphériques. Dans le sens des aiguilles d'une montre, à partir du coin supérieur gauche : San Diego, Californie, États-Unis ; Karnak, Égypte ; Londres, Angleterre ; Jaipur, Inde.
Dans l'application des techniques de modification environnementale à des fins pacifiques ratifiées par l'ENMOD [5], non seulement leur existence et les détails opérationnels ne sont pas divulgués au public, mais celui-ci est également systématiquement trompé [17-19].
Des efforts concertés sont déployés pour tromper la communauté scientifique [18,19] (ainsi que le public) en lui faisant croire que les traînées de particules, comme le montre la figure 2, seraient des « traînées de condensation » de cristaux de glace qui sont parfois produites par la vapeur d'eau dans les gaz d'échappement des avions dans des conditions de forte humidité et de basse température [20].
Les citoyens concernés ont pris de nombreuses photographies montrant que les traînées de particules observées ne correspondent pas physiquement à des traînées de condensation de cristaux de glace [9,15,21]. La figure 3 montre à la fois les traînées blanches typiques, comme celles de la figure 2, qui correspondent à des cendres volantes de charbon [7-9,21] et montrent beaucoup de lumière dispersée, et les traînées noires, probablement produites par du noir de carbone, qui absorbe la lumière beaucoup plus efficacement avec beaucoup moins de dispersion que les autres aérosols. Les traînées de condensation de cristaux de glace ne sont jamais noires. La réflectivité quasi-totale de la neige met en évidence l'absorption spectrale extrêmement faible de la glace [22]. L'un d'entre nous (JMH) a vu des traînées blanches sous la couverture nuageuse au-dessus de Francfort, en Allemagne, et des traînées noires au-dessus des nuages, vraisemblablement dispersées là pour être difficiles à observer.
Quelles « amélioration et utilisation pacifique de l'environnement » [5] pourraient être obtenues en chauffant la troposphère à une échelle quasi quotidienne, quasi mondiale ? Les preuves suggèrent que l'une des « améliorations environnementales » d'ENMOD consiste à faire fondre la glace polaire pour ouvrir un passage du nord-est ou du nord-ouest aux voies de navigation mondiales ainsi que pour permettre l'accès aux ressources pétrolières et minérales sous-jacentes. Mais ne vous y trompez pas : Une telle « amélioration » n'est ni « pacifique », ni non préjudiciable à la santé humaine et biotique en général. Elle est en fait catégoriquement hostile. Elle représente une attaque directe contre la production agricole mondiale ainsi que contre la santé humaine et environnementale, comme décrit ci-dessous. En outre, elle n'est pas divulguée au public par d'autres moyens, par exemple dans les avertissements de sécurité publique. En outre, elle fait le jeu ou s'adapte à l'idéologie politique « scientifique » des Nations Unies selon laquelle les gaz à effet de serre seraient la seule ou la « principale » cause du réchauffement climatique, ce qui nécessiterait des activités d' « intervention » sur le climat.
Figure 3 : à partir de [74]. Les traînées de particules blanches et noires au-dessus de Danby, Vermont, États-Unis - une combinaison impossible pour de prétendues « traînées de condensation » de cristaux de glace, preuve contraire à la désinformation persistante selon laquelle les traînées de particules seraient des cristaux de glace inoffensifs provenant des gaz d'échappement des avions [18,75].
Le 14 février 2016 ou vers cette date, une substance huileuse et sale est tombée sur sept résidences et véhicules dans le canton de Harrison, Michigan (USA). Soupçonnant qu'il s'agissait d'un rejet accidentel provenant d'une activité de géo-ingénierie non divulguée, l'un d'entre nous (JMH) « a obtenu des échantillons de cette substance d'un des résidents dont la propriété a été éclaboussée par le haut et a fait analyser la substance » ... et a rapporté [6] « Les résultats de ces analyses fournissent la preuve d'une opération délibérée pour faire fondre la glace et la neige. ...des motifs de trous quasi-circulaires, parfois appelés « trous de cryoconite », sont observés sur les surfaces des glaciers d'ablation dans le monde entier ; ces trous ressemblent à la distribution d'un matériau dispersé dans l'air....le matériau dispersé dans l'air est de la cryoconite synthétique, ou protocryoconite, dont le but est de faire fondre la banquise. Cette explication correspond aux pulvérisations quasi quotidiennes et quasi mondiales, d'une substance particulaire, sous forme de cendres volantes de charbon, dans la troposphère, ce qui a pour effet de provoquer un réchauffement climatique... ». La similitude entre le matériau dispersé dans l'air et la cryoconite est illustrée à la figure 4, adaptée de [6].
Figure 4 : En haut à gauche : distribution des gouttes d'air ; en haut à droite : Distribution des trous de cryoconite dans le glacier ; en bas à gauche : Goutte d'air synthétique ou protoCryoconite ; en bas à droite : Cryoconite naturelle. Herndon JM et al.
DÉVASTATIONS NON-PACIFIQUES DE L'AGRICULTURE ET DE LA SANTÉ
Les humains ont besoin de nourriture pour manger, d'eau pour boire et d'air pour respirer. La géo-ingénierie mondiale qui pollue chacune de ces trois ressources fondamentales a également pour effet de réduire la souveraineté des États-nations.
L'introduction de particules de pollution atmosphérique dans la troposphère, la région où se forment les nuages, ou dans la stratosphère où, avec le temps, les aérosols de la géo-ingénierie précipitent dans la troposphère, a des conséquences néfastes sur l'agriculture qui lui nuisent déjà gravement :
Les particules de pollution en aérosols provoquent un réchauffement local, régional ou mondial [23-26], ce qui entraîne une diminution des rendements des cultures [27,28].
Les particules de pollution en aérosols empêchent les pluies, provoquant la sécheresse à un endroit et des déluges et des inondations à un autre [3,9].
Le réchauffement planétaire ainsi produit entraîne une augmentation de l'évaporation et des précipitations [7].
Lorsqu'elles se déposent sur le sol ou dans l'eau, les particules de pollution absorbent le rayonnement solaire et réchauffent la surface ; sur la neige et la glace, elles provoquent leur fonte et réduisent également l'albédo, ce qui entraîne un nouveau réchauffement climatique [16].
Les particules en aérosols provoquent le chaos climatique, perturbant les conditions météorologiques plus ou moins stables qui ont rendu l'agriculture possible [9,28-31].
La perturbation des conditions météorologiques par la géo-ingénierie peut aggraver la décimation des cultures agricoles, par exemple par les criquets (32).
Les particules aériennes déciment les populations d'animaux sauvages utiles, comme les abeilles (33), les chauves-souris (34) et les oiseaux (35).
Les particules utilisées dans les pulvérisations aériennes, comme les cendres volantes de charbon, empoisonnent le sol et l'eau avec de multiples éléments toxiques, dont le mercure (8), l'arsenic et le thallium (36), et une toxine pour les végétaux : l'aluminium chimiquement libre (10, 37, 38).
Les particules de cendres volantes de charbon, lorsqu'elles sont rejetées dans la stratosphère (39-41), détruisent l'ozone atmosphérique protectrice et permettent aux rayons ultraviolets du soleil d'endommager les plantes, les rendant plus sensibles aux agents pathogènes (10,42).
Les particules atmosphériques réduisent la lumière solaire disponible au détriment des cultures [43], tout comme elles réduisent la production d'énergie des cellules solaires [44].
Les particules qui se déposent sur les feuilles réduisent la transpiration et entravent la croissance [45].
Les éléments extraits des particules en aérosols par l'eau de pluie, y compris les toxines telles que l'aluminium chimiquement libre, en mouillant les feuilles, se concentrent par évaporation et dégoulinent pour empoisonner les racines (10).
Les particules en aérosols, en particulier les cendres volantes de charbon, qui tombent dans les piscicultures et autres plans d'eau, modifient l'équilibre du phytoplancton en faveur des algues et des cyanobactéries nocives [46].
L'introduction dans la troposphère de particules de pollution atmosphérique, y compris, mais sans s'y limiter, les cendres volantes de charbon, a également des conséquences néfastes connues sur la santé humaine :
Les particules de pollution atmosphérique sont la principale cause environnementale de morbidité et de mortalité dans le monde (47,48).
Les particules sphériques de magnétite de la pollution atmosphérique sont présentes dans le cerveau des personnes atteintes de démence (49,50).
Des particules de fer magnétiques réactives ont récemment été trouvées en abondance dans le cœur de personnes originaires de régions très polluées (51).
La pollution de l'air est un facteur important d'accidents vasculaires cérébraux et de maladies neurodégénératives [49,52,53].
Les particules de pollution atmosphérique pénètrent profondément dans les poumons et la circulation systémique et contribuent aux accidents vasculaires cérébraux (AVC) [54], aux maladies cardiaques [51,54], au cancer du poumon [55], à la BPCO ( la bronchopneumopathie chronique obstructive) [56], aux infections respiratoires [57] et à l'asthme [58].
Les particules de pollution atmosphérique sont un facteur de risque de fausse couche [59,60], de déclin cognitif à tout âge [61], de démence d'Alzheimer plus tard dans la vie [61], d'enfants ayant des problèmes cognitifs [62,63], et de déclin cognitif chez les femmes âgées [64].
CONFLITS INSTITUTIONNELS DES NATIONS UNIES CONCERNANT LA MODIFICATION DE L'ENVIRONNEMENT OBLIGATOIRE
Les activités de modification de l'environnement nuisibles, mondiales et obligatoires, menées actuellement sous l'égide de l'ENMOD des Nations Unies [5] sont contraires aux objectifs et aux missions d'autres lois et organisations des Nations Unies.
Les climatologues, y compris ceux qui sont associés au GIEC, ont évité de mentionner, et encore moins de discuter, des conséquences environnementales potentielles des pulvérisations aériennes de particules polluantes dans l'atmosphère. Ils ne reconnaissent pas ces conséquences évidentes sur les conditions météorologiques, le climat, la production agricole ou la santé humaine et environnementale [11].
Les Nations Unies ne peuvent pas, de bonne foi, prétendre que le réchauffement de la planète serait dû au piégeage de la chaleur par les gaz à effet de serre [11], et ignorer simultanément les effets climatologiques, environnementaux et sanitaires mondiaux des pulvérisations aériennes troposphériques en cours. Sous les auspices de l'ENMOD, elles ne peuvent pas s'engager dans une modification de l'environnement par pulvérisations de particules dans la région où se forment les nuages, contribuant ainsi au réchauffement climatique [16,23-26], et ensuite prétendre sans hésitation que le réchauffement climatique anthropique involontaire dû à la combustion de combustibles fossiles serait la seule cause du changement climatique.
Le directeur général de l'Organisation Mondiale de la Santé des Nations Unies a récemment fait remarquer [65] que le simple fait de respirer tue sept millions de personnes par an et en blesse des milliards d'autres. « Personne, riche ou pauvre, ne peut échapper à la pollution de l'air », reconnaît-il, « malgré cette épidémie de décès et de handicaps inutiles et évitables, un brouillard de complaisance envahit la planète ». Conformément au principe de précaution en matière de santé publique [66,67], deux d'entre nous (JMH et MW) ont soumis au Bulletin de l'Organisation mondiale de la santé, en tant que professionnels agréés, une mise en garde sur les risques sanitaires mondiaux liés à la modification de l'environnement par la pollution aux particules en aérosols des avions à réaction. Cette perspective a été rejetée sans examen [68].
La Déclaration de Rio sur l'environnement et le développement (69), un des piliers de la Convention sur la diversité biologique des Nations unies, déclare : « Les États coopèrent dans un esprit de partenariat mondial pour conserver, protéger et rétablir la santé et l'intégrité de l'écosystème de la Terre ». La décimation des populations d'insectes [33], de chauves-souris [34] et d'oiseaux [35] et la perturbation de l'équilibre écologique dans la nature [8,10,46] causée par les pulvérisations de particules dans la troposphère sont toutes en contradiction flagrante avec l'obligation susmentionnée de la Déclaration de Rio des Nations Unies [69].
LES BÉNÉFICIAIRES DE LA MODIFICATION AUTORISÉE DE L'ENVIRONNEMENT PAR LE TRAITÉ ENMOD
Comme l'a déclaré le vice-président américain Lyndon B. Johnson dans un discours prononcé le 27 mai 1962 à l'université du sud-ouest de l'État du Texas [70], « Celui qui contrôle le temps contrôlera le monde ». Le contrôle mondial, c'est-à-dire le pouvoir d'exercer une autorité mondiale, est l'intention de l'ONU dans sa mise en œuvre de l'ENMOD [5], de son obligation à l'amélioration de l'environnement, à laquelle sont subordonnées toutes les autres organisations de l'ONU, y compris son Organisation pour l'alimentation et l'agriculture.
Il y a d'autres bénéficiaires de l'ENMOD. Les organisations militaires, leurs entreprises contractantes et leurs multiples sous-traitants, ainsi que les organisations gouvernementales associées, de soutien et administratives, tirent tous des revenus importants des activités mondiales de modification de l'environnement rendues obligatoires par l'ENMOD. Et ce n'est pas tout.
Les activités « pacifiques » de modification de l'environnement rendues obligatoires par l'ENMOD peuvent masquer ou servir de couverture à des opérations hostiles de guerre environnementale de facto, presque impossibles à décrypter en tant que telles, comme l'a expliqué il y a longtemps le géo-scientifique et conseiller stratégique présidentiel Gordon J. F. MacDonald [2].
En 1968, MacDonald [2] a écrit : « ...éliminer l'humidité de l'atmosphère afin qu'une nation qui dépend de l'eau ... puisse être soumise à des années de sécheresse. L'opération pourrait être dissimulée par l'irrégularité statistique de l'atmosphère. Une nation possédant une technologie supérieure dans la manipulation de l'environnement pourrait endommager un adversaire sans révéler ses intentions. » En 2016, l'un d'entre nous (JMH) a écrit [21] : « Le développement d'une méthodologie pour réduire les pluies en pulvérisant des particules de pollution dans la troposphère a maintenant atteint un niveau opérationnel. L'utilisation potentielle de cette méthode peut constituer une menace pour l'agriculture de toute nation ainsi ciblée ».
La figure 5 est une image satellite Worldview de la NASA du 4 février 2016 qui montre des traînées de particules recouvrant la République de Chypre, mais presque absentes dans les régions environnantes. Les citoyens chypriotes, jusqu'à présent en vain, ont demandé une explication à leur gouvernement pour l'obscurcissement délibéré de leur ciel et les « conditions météorologiques extrêmes » [71]. Suite aux présentations faites en février 2016 devant la commission parlementaire de l'environnement, le département des services de l'environnement a promis une enquête sur les pulvérisations aériennes, mais à ce jour, aucune réponse n'a été reçue.
L'un des objectifs militaires des épandages aériens de particules dans les régions où se forment les nuages est d'empêcher les précipitations.
Un objectif militaire des pulvérisations aériennes de particules dans les régions où se forment les nuages est d'empêcher les précipitations et de provoquer une sécheresse agricole dévastatrice dans un pays hostile [21]. L'ancien président iranien Mahmoud Ahmadinejad a accusé les pays occidentaux de s'engager subrepticement dans des activités génératrices de sécheresse [72].
Figure 5 : Image satellite Worldview de la NASA du 4 février 2016 montrant des traînées de particules pulvérisées par avion, couvrant l'air au-dessus de la République de Chypre mais presque absentes dans les régions environnantes.
L'hiver 2006/2007 a marqué le début d'une sécheresse extrêmement sévère qui a dévasté l'agriculture en Syrie et a conduit à une guerre civile, dont certains pensent qu'elle est liée à des causes anthropiques [73]. Des facteurs anthropiques étaient-ils en jeu et les activités de géo-ingénierie étaient-elles un facteur, y avait-il une intention malveillante ? Nous ne le saurons peut-être jamais, mais les conséquences subies par les millions de vies humaines touchées peuvent être considérées comme un avertissement de ce qui pourrait se produire lorsque des entités étatiques ou non étatiques utilisent des techniques de modification de l'environnement pour provoquer l'effondrement de l'agriculture ou entraîner d'autres résultats malveillants.
CONCLUSIONS
Les Nations Unies ont trompé de nombreux gouvernements en les faisant signer un traité qui les oblige à devenir des pions involontaires de l'abandon de leur souveraineté nationale et de leur propre destruction lente et involontaire. Au lieu d'interdire « l'utilisation hostile de techniques de modification de l'environnement », comme son titre le suggère, l'ENMOD oblige les nations signataires à consentir et même à participer ou à acquiescer à des activités « pacifiques » de modification de l'environnement non spécifiées, menées par des entités non spécifiées, dans des circonstances non spécifiées, sans limitation des dommages infligés à l'agriculture, à l'environnement ou à la santé humaine.
La modification de l'environnement à grande échelle n'est pas pacifique, mais extrêmement hostile. La géo-ingénierie des aérosols troposphériques et d'autres activités de géo-ingénierie non divulguées en cours ont déjà commencé à avoir des conséquences dévastatrices sur l'agriculture, ainsi que des effets étendus, durables et graves sur la santé humaine et l'environnement.
Personne n'a le droit d'empoisonner l'air que nous respirons, ni de perturber l'agriculture et d'empoisonner le sol, ni de provoquer le chaos météorologique et climatique, ni de provoquer lentement et insidieusement le cancer du poumon, des maladies cardiaques, neurodégénératives, respiratoires ou autres qui résulteront inévitablement des pulvérisations aériennes, ou de nuire aux créatures de Dieu de la même manière - notamment en perturbant des conditions météorologiques autrefois stables, en décimant les populations d'insectes, de chauves-souris et d'oiseaux, en exacerbant les feux de forêt et en détruisant les forêts, en permettant la présence d'algues nocives dans nos eaux et en détruisant la couche d'ozone qui protège la vie des rayons ultraviolets mortels du soleil. Pourtant, ce sont toutes des conséquences de la modification de l'environnement en cours, autorisée par l'ENMOD.
Les activités de modification de l'environnement en cours constituent, selon nous, une guerre de facto contre des nations souveraines, une guerre qui dégrade l'agriculture, endommage la biosphère et conduit à la souffrance humaine et à la mort. En outre, ces activités sont en contradiction flagrante avec les missions d'autres entités des Nations unies, y compris, mais sans s'y limiter, l'Organisation mondiale de la santé, la Déclaration de Rio sur l'environnement et le développement et l'Organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture.
L'absence de divulgation publique et la désinformation concertée sur les activités de modification de l'environnement en cours, autorisées par l'ENMOD, sont la preuve supplémentaire d'une intention trompeuse. De plus, les techniques développées peuvent être appliquées subrepticement par des États sans loi pour infliger des sécheresses agricoles dévastatrices aux nations ennemies.
La vie sur Terre est possible grâce à un équilibre délicat entre une myriade de biotes et leur environnement. Les conséquences néfastes des activités de modification de l'environnement autorisées par l'ENMOD constituent la plus grande menace anthropique pour la vie sur Terre. L'effondrement de l'agriculture et la famine massive sont des conséquences potentielles. Les activités de modification de l'environnement doivent être interrompues immédiatement et de façon permanente si nous voulons que notre progéniture et nous-mêmes vivions en bonne santé.
L'opération mondiale secrète doit être exposée à l'examen du public.
Lorsque le dépôt de particules dans la troposphère cessera, les particules polluantes tomberont sur la Terre en quelques jours ou semaines, le réchauffement climatique sera réduit, ce qui entraînera des améliorations de la production agricole, de la santé publique et environnementale, et le retour tant attendu du ciel bleu naturel, une aubaine pour l'esprit des gens partout sur Terre.
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Trou dans la couche d'ozone au pôle Nord
Un trou d'ozone trois fois plus grand que le Groenland s'ouvre au-dessus du pôle Nord
Par Brandon Specktor – le 11 avril 2020 – Live science
Des trous d'ozone s'ouvrent chaque année au-dessus du pôle Sud. Les trous au pôle Nord sont beaucoup, beaucoup plus rares.
Les scientifiques ont détecté ce qui pourrait être le plus grand trou dans la couche d'ozone jamais enregistré au-dessus du pôle Nord.
Le trou d'ozone couvre une zone environ trois fois plus grande que le Groenland, ont déclaré des scientifiques de l'Agence spatiale européenne (ESA) dans un communiqué, et pourrait exposer les personnes vivant à des latitudes très septentrionales à des niveaux élevés de rayonnement ultraviolet s'il s'agrandit beaucoup. Heureusement, le trou semble pouvoir se refermer de lui-même dans les prochaines semaines, ont déclaré les chercheurs de l'ESA.
Des trous se forment dans la couche d'ozone - une couche de gaz dans l'atmosphère terrestre qui absorbe une grande partie des rayons ultraviolets nocifs émis par le soleil - chaque année au-dessus de l'Antarctique en raison des changements saisonniers de la couverture nuageuse. Les trous d'ozone au-dessus de l'Arctique sont cependant plus rares. La dernière fois qu'un trou d'ozone s'est ouvert dans l'Arctique, c'était en 2011, et il était beaucoup plus petit que celui que l'on observe actuellement, ont déclaré les chercheurs.
« De mon point de vue, c'est la première fois que l'on peut parler d'un véritable trou d'ozone dans l'Arctique », a déclaré Martin Dameris, un scientifique atmosphérique du Centre aérospatial allemand, à la revue Nature.
Le trou d'ozone de l'Antarctique s'ouvre chaque année en raison de la combinaison de températures glaciales et de la pollution causée par l'homme. Lorsque les températures chutent au début de l'hiver antarctique, des nuages de haute altitude se forment au-dessus du pôle Sud. Les polluants chimiques industriels, notamment le chlore et le brome, déclenchent dans ces nuages des réactions qui rongent le gaz d'ozone environnant.
L'Arctique, dont les températures sont plus variables, ne connaît généralement pas les mêmes conditions d'appauvrissement de l'ozone, ont déclaré les chercheurs. Mais cette année, des vents puissants ont emprisonné l'air froid dans un « vortex polaire » au-dessus de l'Arctique. Cela a entraîné des températures plus froides et plus de nuages en haute altitude que la normale. C'est ainsi que l'appauvrissement de l'ozone au pôle Nord a commencé.
Heureusement, avec le soleil qui s'élève lentement au-dessus de l'Arctique, les températures atmosphériques commencent déjà à augmenter, ce qui signifie que les conditions à l'origine du trou d'ozone devraient bientôt changer, ont déclaré les chercheurs. Cependant, si le trou continue à s'étendre vers le sud, les habitants de l'Arctique - comme ceux qui vivent dans le sud du Groenland - pourraient devoir appliquer un écran solaire pour prévenir les dommages causés par les UV.
Le trou d'ozone beaucoup plus grand de l'Antarctique restera une caractéristique saisonnière, comme il l'a été pendant environ quatre décennies, bien que ce trou ait commencé à se rétrécir. Selon une évaluation réalisée en 2018 par l'Organisation météorologique mondiale, le trou d'ozone méridional a diminué d'environ 1 à 3 % par décennie depuis l'an 2000, le trou de 2019 étant plus petit qu'il ne l'a jamais été depuis 1982. La réduction du trou d'ozone méridional est en grande partie due à l'interdiction mondiale des produits chimiques qui appauvrissent la couche d'ozone lancée en 1987, bien que certains pays clés ne semblent toujours pas y participer. Selon une enquête menée en 2018, les usines chinoises semblent encore rejeter de grandes quantités de produits chimiques appauvrissant la couche d'ozone dans l'atmosphère.
Arthur Firstenberg : choisir la vie
CHOISIR LA VIE
Depuis plusieurs mois, le monde est distrait de la question existentielle qui se profile à l'horizon : accueillons-nous la vie, dans tous ses mystères, ses plaisirs et ses tempêtes, ou l'enterrons-nous ? Joignons-nous nos mains autour de la Terre ou les lavons-nous vingt fois par jour ? Nous côtoyons-nous dans la maladie et dans la santé, ou nous cachons-nous la tête dans le sable de nos masques et de notre distanciation sociale, et prétendons-nous que notre vie et notre avenir ne dépendent pas de nos liens physiques avec les gens, les oiseaux, les chauves-souris, les fleurs et les poissons qui se soutiennent mutuellement et font tourner le monde ?
Nous avons des décisions à prendre.
Alors que nous avons tous été préoccupés par le coronavirus, un trou d'ozone géant s'est formé ce printemps au-dessus de l'Arctique, d'une taille et d'une durée sans précédent. Ce trou laisse passer des niveaux élevés de rayonnement ultraviolet du soleil vers la surface de la Terre. L'indice UV est plus élevé que la normale sur une grande partie de l'hémisphère nord. Cela peut être dû en partie aux émissions des centaines de lancements de fusées qui ont eu lieu ces dernières années, en grande partie dans l'hémisphère nord. Environ 225 lancements de fusées sont prévus pour 2020. Allons-nous continuer à autoriser cela ? Ou, une fois que nous sortirons de chez nous et que les quarantaines seront levées, arrêterons-nous ?
Au lieu de nous côtoyer dans les écoles, les marchés, les restaurants, les parcs et les églises, nous nous sommes repliés sur nos téléphones portables et nos ordinateurs sans fil, remplaçant la vie par des radiations, tandis que la toile sans fil, sur Terre et dans l'espace, continue à se tisser. Allons-nous continuer à le permettre ? Ou, une fois que nous sortirons de nos maisons et que les quarantaines seront levées, arrêterons-nous ?
JOURNÉE INTERNATIONALE D'ACTION, 20-21 JUIN 2020
« Ne pousser pas la rivière, elle coule toute seule » , a écrit Barry Stevens dans son livre de 1970 portant ce nom. Eh bien, parfois même la rivière a besoin d'être un peu poussée. Une nouvelle organisation vient d'être créée, appelée End Cellphones Here On Earth (ECHOEarth), dont les membres ne possèdent pas de téléphones portables et dont la mission est de mettre fin à la cause première du réseau sans fil qui fait des trous dans notre atmosphère et nous baigne tous dans les radiations.
ECHOEarth a fixé le solstice, les 20 et 21 juin 2020, comme jour d'annulation de votre compte de téléphone, le jour où nous vous invitons à descendre de ce train et à changer de direction. Des détails suivront dans la prochaine lettre d'information.
LE POINT SUR LES SATELLITES
SpaceX, qui avait déjà 360 satellites en orbite, avait prévu d'en lancer 60 autres le 2 avril mais a retardé le lancement en raison de la situation des coronavirus. Ce lancement de 60 satellites a eu lieu hier, le 22 avril, ce qui porte à 420 le nombre de satellites en orbite.
Vendredi dernier, le 17 avril, SpaceX a soumis une nouvelle demande à la Commission fédérale des communications, demandant l'autorisation d'abaisser l'altitude de certains de ses satellites prévus. La société allait auparavant mettre en orbite ce qu'elle appelle ses satellites de « première génération » en deux niveaux : un premier niveau à 550 kilomètres d'altitude, et un second niveau à 1200 kilomètres d'altitude. Aujourd'hui, SpaceX veut placer ses 4 408 satellites de première génération à une altitude plus basse. L'une des raisons invoquées est de rendre moins de satellites visibles à partir de n'importe quel point de la terre à un moment donné. Cependant, plus les satellites seront bas, plus ils seront brillants. Et plus ils sont nombreux dans l'ionosphère (qui s'étend jusqu'à environ 1000 kilomètres), plus l'impact sur la vie en dessous est important.
OneWeb, qui a lancé 74 satellites, a déclaré faillite et licencié la plupart de ses employés après n'avoir pas pu obtenir le financement escompté en raison du ralentissement de l'économie provoqué par le confinement à cause du coronavirus.
CORONAVIRUS : SCIENCE, POLITIQUE ET POLITIQUES
Beaucoup de gens ont peur de demander si la 5G joue un rôle dans la maladie COVID-19 qui a fermé une grande partie du monde. Cette peur est similaire à celle qui a empêché les gens de remettre en question les ordres de confinement, de porter des masques et de se tenir à deux mètres les uns des autres.
Je parle de la vérité, où que je la trouve, où qu'elle mène, parce que notre monde est en jeu et que la vie elle-même - physique, mentale, émotionnelle et spirituelle - est en train d'être détruite. Les conspirations n'ont pas leur place dans ce mouvement. La peur non plus.
Voici mon opinion, fondée sur ma lecture de la littérature scientifique et médicale, pour autant que je puisse en juger :
La 5G a-t-elle causé le coronavirus ? Non.
La 5G provoque-t-elle une maladie similaire à celle du coronavirus ? Oui.
Le COVID-19 est-il apparu chez les chauves-souris ? Non.
Le COVID-19 est-il un virus à ARN recombinant, créé en laboratoire, intentionnellement ou non, dans le cadre d'un programme de recherche dont le but était de protéger la population ? S'est-il échappé accidentellement d'un laboratoire de virologie à Wuhan, en Chine ? Probablement.
Les mesures qui ont été mises en place, et acceptées sans conteste, sont inefficaces, destructrices et anti-vie.
Les masques ne protègent pas celui qui les porte. Les masques médicaux sont inefficaces contre les virus, et les masques en tissu leur fournissent un terrain de reproduction. Une étude publiée en 2015 dans le British Medical Journal a montré que les travailleurs de la santé attrapaient des virus de leurs patients 13 fois plus souvent s'ils portaient un masque en tissu que s'ils portaient un masque médical, et une étude chinoise a montré qu'un masque médical ne protégeait pas plus contre les virus que le fait de ne pas porter de masque du tout.
L'Organisation mondiale de la santé avertit que le port d'un masque médical « peut créer un faux sentiment de sécurité » contre le COVID-19 et qu' « aucune preuve n'est disponible quant à son utilité pour protéger les personnes non malades ».
Le masque respiratoire N95, recommandé pour le personnel médical, nécessite une formation pour l'utiliser correctement et "sans formation, les masques pourraient non seulement exposer les travailleurs au virus mais aussi leur faire croire qu'ils sont protégés", selon les médecins de la Harvard School of Public Health. En pratique, même le masque N95 s'est avéré inefficace pour prévenir la transmission des virus. Une revue de six études cliniques, publiée dans le Journal de l'Association médicale canadienne, a révélé que les travailleurs médicaux attrapaient des virus de leurs patients aussi souvent lorsqu'ils utilisaient des respirateurs N95 que lorsqu'ils utilisaient des masques médicaux ordinaires.
Les masques sont préjudiciables à celui qui les porte. Le COVID-19 tue en provoquant une hypoxie sévère (faible taux d'oxygène dans le sang). Les personnes qui portent un masque respirent une partie de l'air expiré, ce qui réduit la quantité d'oxygène qu'elles respirent. « Le port d'un masque respiratoire entraîne toute une série de charges physiologiques et psychologiques. Celles-ci peuvent interférer avec l'exécution des tâches et réduire l'efficacité du travail. Ces charges peuvent même être suffisamment graves pour causer des conditions mortelles si elles ne sont pas améliorées », a écrit l'auteur d'un article paru en 2016 dans le Journal of Biological Engineering. Lorsque le respirateur N95 a été testé en service en 2010, « les niveaux d'oxygène et de dioxyde de carbone dans l'espace mort n'étaient pas conformes aux normes de l'Occupational Safety and Health Administration sur le lieu de travail ambiant ».
Les ventilateurs ne fonctionnent pas et sont nocifs. Le Dr Cameron Kyle-Sidell a quitté son emploi à l'unité de soins intensifs du centre médical Maimonides à Brooklyn parce qu'il devait mettre ses patients COVID-19 sous respirateur qui, selon lui, les tuait parce que la pression de l'air endommageait leurs poumons. Ses patients atteints de coronavirus souffraient tous d'une grave hypoxie mais leurs muscles respiratoires étaient sains : ils avaient besoin d'oxygène, a-t-il dit, mais pas de pression.
« La maladie pulmonaire COVID-19, d'après ce que je peux voir, n'est pas une pneumonie », a-t-il dit, mais semble être « une sorte de maladie induite par un virus qui ressemble le plus au mal des montagnes... Ces patients sont lentement privés d'oxygène ... et bien qu'ils ressemblent à des patients absolument sur le point de mourir, ils ne ressemblent pas à des patients mourant de pneumonie ». Les médecins italiens sont d'accord : « Les patients sous respirateur se détériorent de toute façon, de façon inexpliquée... La plupart de ces patients sont tout simplement hypoxiques ».
Les tests PCR ne sont pas précis. Un document du 25 mars 2020 de Carver et Jones a indiqué qu'il n'est pas possible d'évaluer l'exactitude des tests PCR parce que « Il existe peu de données publiques sur les taux de faux positifs et de faux négatifs des différents tests basés sur la RT-PCR ». Un faux positif signifie que vous êtes diagnostiqué avec le COVID-19 alors que vous ne l'avez pas réellement. L'une des seules études à ce jour qui a tenté d'estimer la fréquence des faux positifs est celle de Zhuang et al, « Taux possible de faux positifs parmi les individus infectés asymptomatiques au contact de patients Covid 19 », se Journal chinois d'épidémiologie, 2020, 41(4) : 485-488 (en chinois). Ils ont conclu que jusqu'à 80 % des personnes non symptomatiques dont le test de dépistage du coronavirus s'est révélé positif pourraient ne pas en être porteuses.
Les confinements n'ont aucun effet. Le Japon, qui n'a pas fermé avant le 6 avril et qui n'a pris que des mesures volontaires, compte 2 décès dûs au COVID-19 par million d'habitants. La Chine, qui a fermé en décembre, a 3 décès par million d'habitants. La Biélorussie, qui n'a jamais fermé, en a 4 par million. La Corée du Sud, qui n'a pris que des mesures volontaires, a 5 décès par million d'habitants. L'Iran, qui a fermé début mars, a 62 décès par million d'habitants. La Suède, qui n'a pas fermé, a 156 par million. La Suisse, qui a fermé ses portes, a un taux de 165 par million. La Belgique, qui a fermé, a 503 décès par million d'habitants. Le Vietnam, le Laos et le Cambodge, tous proches de la Chine, n'ont aucun décès par COVID-19. Le Vietnam a fermé début février, le Laos fin mars, et le Cambodge n'a jamais fermé. Aux États-Unis, le Dakota du Sud, qui n'a pas fermé ses portes, compte quatre fois plus de cas, mais moins de décès, que le Montana voisin, qui est complètement fermé.
Le taux de mortalité aux États-Unis est en baisse, et non en hausse, depuis le début de l'année. Si vous prêtez attention aux nouvelles, vous pouvez supposer qu'un nombre record de personnes meurent. C'est le contraire qui est vrai. Non seulement la mortalité globale aux États-Unis est en baisse constante depuis janvier, mais la mortalité a été sensiblement plus faible cette année que l'année dernière. Ce sont les statistiques hebdomadaires de mortalité pour les États-Unis fournies par les Centres de Contrôle de la maladie (CDC) :
1 58,291 59,087
2 58,351 59,151
3 58,194 57,616
4 57,837 57,000
5 58,128 56,426
6 58,492 56,962
7 57,917 55,981
8 57,858 55,494
9 57,920 54,834
10 58,490 54,157
11 57,872 52,198
12 57,087 51,602
13 56,672 52,285
14 56,595 49,292
15 55,477 47,574
TOTAL 865,181 819,659
On dit que 37 308 personnes sont mortes cette année à la suite du COVID-19 jusqu'au 18 avril, mais en réalité 45 522 personnes de moins que l'année dernière à la même période.
Les radiofréquences et le COVID-19 provoquent des maladies similaires. Dans mon dernier bulletin d'information (« Le ciel nous tomberait-il sur la tête ? »), j'ai noté certains effets du COVID-19 qui sont similaires aux effets des radiofréquences. La liste des effets communs s'est allongée et comprend les maux de tête, les vertiges, les nausées, les problèmes digestifs, les douleurs musculaires, la tachycardie, l'hypotension, les arythmies cardiaques, les accidents vasculaires cérébraux et les crises d'épilepsie. Jusqu'à deux tiers des personnes dont le test COVID-19 est positif ont perdu leur odorat, souvent sans autres symptômes. Les patients se présentent avec une confusion mentale, sans aucun symptôme respiratoire. Les patients présentent des diarrhées, des vomissements et des douleurs abdominales. Lorsque les patients présentant l'un de ces symptômes sont positifs pour le coronavirus, leur maladie est attribuée à ce virus. Mais ce sont tous des symptômes classiques du mal des ondes radio. Lorsque le virus et les radiofréquences sont tous deux présents, la maladie doit être attribuée aux deux.
Et les radiofréquences et le COVID-19 provoquent tous deux une hypoxie. Le COVID-19 entrave l'absorption d'oxygène par le sang, et les ondes électromagnétiques entravent l'utilisation de l'oxygène par les cellules. Le COVID-19 ne serait pas aussi grave sans les ondes.
Récemment, un nouveau symptôme a été attribué au virus, qui est exactement ce que l'on s'attendrait à voir avec des ondes millimétriques : une sensation de « pétillement » dans tout le corps. Il est décrit comme une « sensation de bourdonnement », une « sensation de brûlure » et une « sensation électrique dans la peau ». Il est probablement attribué à tort au virus, et est plutôt dû à la 5G.
C'est un fait que la 5G a été activée à Wuhan, en Chine, le 1er novembre 2019, et que le premier patient COVID-19 connu y est tombé malade le 17 novembre. C'est un fait qu'il y a un laboratoire de recherche en virologie à Wuhan, et que des chercheurs y ont rédigé un article en 2015 avec des chercheurs américains de Chapel Hill, en Caroline du Nord, décrivant un coronavirus hybride qu'ils avaient créé en attachant une protéine "de pointe" de la chauve-souris à un coronavirus du SRAS. Zheng-Li Shi, la chercheuse principale de Wuhan, a déclaré dans une interview accordée à Scientific American qu'elle s'était inquiétée du fait que COVID-19 était un virus qui s'était échappé de son laboratoire, mais elle a rassuré le monde en disant qu'elle avait vérifié et que ce virus ne ressemblait à aucun des virus qu'elle avait collectés dans les grottes de chauves-souris. Pourtant, dans la phrase suivante, elle a justifié son affirmation selon laquelle COVID-19 provenait de chauves-souris en disant qu'il était presque identique à un virus qu'elle avait recueilli dans une grotte de chauves-souris dans le Yunnan.
Le virus du SRAS s'est échappé à plusieurs reprises de laboratoires de haute sécurité en Chine. Comme l'a révélé le Washington Post le 14 avril 2020, les responsables de l'ambassade américaine avaient averti en 2018 que des protocoles de sécurité peu rigoureux pour la manipulation des virus contagieux dans le laboratoire de Wuhan « représentaient un risque de nouvelle pandémie de type SRAS ».
Il est également prouvé que le marché des animaux de Wuhan ne vend pas de chauves-souris. Une vidéo de YouTube qui a été diffusée sur les réseaux sociaux et qui montre des chauves-souris vendues pour leur viande sur un marché a en fait été filmée à Langowan, en Indonésie, et pas du tout en Chine.
En bref, la 5G fait partie de l'équation du coronavirus, et tout ce que nous avons fait pour faire face à la pandémie a plus à voir avec la politique et la peur qu'avec la réalité. Il est temps de rouvrir la société, d'enlever nos masques et d'ouvrir les yeux sur ce qui se passe réellement dans notre monde.
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