« Mais l'esprit est un élément mystérieux. Insaisissable et invisible comme l'air, il semble s'adapter docilement à toutes les formes et à toutes les formules. Et cela pousse sans cesse les natures despotiques à croire qu'on peut le comprimer, l'enfermer, le mettre en flacons. Pourtant toute pression provoque une contre-pression, et c'est précisément quand l'esprit est comprimé qu'il devient explosif: toute oppression mène tôt ou tard à la révolte. À la longue, et c'est là une éternelle consolation, l'indépendance morale de l'humanité reste Indestructible. Jamais jusqu'ici on n'a réussi à imposer d'une façon dictatoriale à toute la terre une seule religion, une seule philosophie, une unique conception du monde, et jamais on y réussira, car l'esprit saura toujours résister à l'asservissement, toujours il refusera de penser selon des formes prescrites, de s'abaisser, de s'aplatir, de se rapetisser et de se mettre au pas.» Stefan Zweig
actualite
Dr Nicole Delépine : autopsie d'un confinement aveugle
Vidéo en anglais de Kary Mullis sur le test PCR
Ecole : masque obligatoire pour les élèves à partir de 6 ans
Commentaire reçu :
"Pour info, il y a 15.390.040 enfants en France de moins de 19 ans ; au 29 octobre 2020 (source santé publique France), il y a 21160 personnes hospitalisées pour le Covid-19 dans tout le pays, dont seulement 93 âgées de moins de 9 ans et 72 entre 10 et 19 ans (=165 enfants de moins de 19 ans hospitalisées Covid-19).
Concernant les réanimations Covid-19, il n'y a que 13 enfants de moins de 9 ans et 8 enfants entre 10 et 19 ans ; il n'y a eu que 7 décès Covid-19 pour cette tranche d'âge de 0 à 19 ans depuis mars ( et encore, sous réserve que ce soit la vraie cause...) ; donc le risque pour les enfants de moins de 19ans d'être hospitalisés Covid-19 est de 165 sur 15.390.040, soit 1 risque sur 93.273 enfants, ce qui reste infime; le risque d'être en service de réanimation Covid-19 pour eux, est de 1 cas sur 732.859 enfants.
Donc pourquoi leur imposer la muselière 9h/jour au risque d'étouffement et jouer la carte manipulatoire de l'alarmisme? Ils ont plus de risques de mourir étouffés par asphyxie et perte d'oxygène que de contracter le Covid-19.
Leur but ? Eugénisme ? Port de la muselière de l'esclave pour les soumettre à une vaccination de masse comprenant des agents stérilisateurs ?"
Didier Raoult porte plainte contre l'ANSM
Le gouvernement continue de supprimer des lits d’hospitalisation : la carte des hôpitaux concernés
Bastamag - Le 29 octobre 2020
Gouvernement et autorités sanitaires continuent de fermer des centaines de lits dans les hôpitaux, malgré la pandémie. Voici la carte des suppressions de lits à venir que nous publions en exclusivité.
On aurait pu penser qu’avec la première vague du Covid qui a déferlé au printemps, les autorités sanitaires, les Agences régionales de santé (ARS), les directions des hôpitaux auraient remis en question la politique de suppression de lits d’hôpitaux qui prime depuis des années. Il n’en est rien. Au moins treize hôpitaux vont continuer de perdre des places d’hospitalisation.
En septembre 2020, la direction du CHU de Besançon a annoncé la suppression d’un service entier de soins de suite et de réadaptation, soit 28 places d’hospitalisation en moins [1]. À l’hôpital psychiatrique du Rouvray, près de Rouen, il a été annoncé début octobre qu’au moins 80 lits seraient supprimés d’ici à 2022 « soit 20 % de la capacité d’hospitalisation », relève l’Union syndicale de la psychiatrie. C’est là, au Rouvray, que des soignants avaient fait une grève de la faim de deux semaines en 2018 pour demander des moyens afin de prendre en charge les patients. Ils avaient obtenu la promesse de créations de postes et de deux nouvelles unités. Ces engagements n’ont pas été tenus (lire notre article).
Au CHU de Nancy, comme Basta ! vous le racontait en avril, le Covid n’a pas non plus remis en cause le plan de suppression de 174 lits d’ici à 2024. Au CHU de Nantes, ce sont environ 100 lits qui ont été fermés depuis le début de la crise sanitaire, a comptabilisé Mediapart. En mai, des parlementaires alsaciens alertaient aussi sur un projet de leur agence régionale de santé de supprimer 20 lits de réanimation, surtout à Strasbourg, alors même que la région Grand Est sortait d’une phase très dure de Covid… [2] Partout, depuis des années, les hôpitaux français suppriment des places d’hospitalisations. Cette tendance se poursuit depuis mars 2020 comme en atteste la carte que nous publions ci-dessous.
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Sanofi, conseiller scientifique du président français ?
France-Soir le 26 octobre 2020
Dans une vidéo parue ce 26 octobre, le professeur Raoult explique qu’avec l’ancien directeur de l’ANSM (agence nationale de la santé et du médicament) « ils ont demandé une RTU (règlement temporaire d’utilisation) pour l’hydroxychloroquine. » Dans cette même vidéo il rajoute que « Quelques mois plus tard, l’IHU reçoit une réponse négative à sa demande de RTU au motif que l’on ne savait pas» et déclare « ceci ne peut pas être une position scientifique consensuelle car il y a des tas d’études qui rapportent que l’hydroxychloroquine est efficace ». De plus il y rapporte que « Sanofi nous dit que le ministère de la Santé, et j’en attends confirmation, mets des freins sur les commandes faites à partir de l’IHU. Cela nous empêche de soigner avec ce que nous pensons être le meilleur traitement possible. J’espère que nous aurons rapidement un courrier du ministère de la Santé nous disant qu’il ne mette pas d’opposition. Actuellement nous ne pouvons pas traiter les patients ».
Sanofi, ministère de la Santé, ANSM qui refuse une RTU pour un médicament qui pendant 70 ans n’a pas connu de problème majeur. Revenons un peu sur le classement de l’hydroxychloroquine comme substance devant être prescrite par les médecins après avoir été en vente libre pendant des décennies.
Des liens d’intérêt et des croyances
En pleine crise sanitaire mondiale majeure et sans précédent, le président Emmanuel Macron choisit d’être conseillé par Bertrand Thirion, mari de la collègue de sa belle-fille, Christelle Lorenzato Auzière qui mène des essais cliniques chez SANOFI, entreprise pharmaceutique en première ligne depuis le début de la crise du COVID 19.
A travers de ses actes et décisions, le président aurait-il favorisé ainsi l’émergence d’un traitement 200 fois plus cher que celui du professeur Didier Raoult et laisser notre destin en d’autres mains que ceux des experts reconnus mondialement ?
Un petit rappel des faits rétrospectifs sur les liens avec Bertrand Thirion et Sanofi
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Le 12 mai 2001, Bertrand Thirion épouse Marie Frappé sous les yeux du christ cosmique et vivent dans une petit village de l’Essonne. Bien intégrés dans cette paroisse et sa vie religieuse, madame chante dans la chorale et monsieur cultive le mélange des genres entre science et religion. Voici ce qu’il déclare concernant le projet qu’il est en train de mettre en place : « Le Centre Teilhard de Chardin pourra être le lieu d’un dialogue exigeant entre foi et science, si nécessaire alors que prospèrent les approximations, fake news et 'vérités alternatives' : une maison pour des chercheurs ! ». Son mentor, Pierre Teilhard de Chardin, prêtre jésuite et scientifique disait ceci : « Le point Ω représente le pôle de convergence de l'évolution. Le Christ cosmique manifeste l'avènement d'une ère d'harmonisation des consciences fondée sur le principe de la coalescence des centres ».
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Le 1er octobre 2007, Marie Thirion Frappé est embauchée chez SANOFI, comme manager d’essais cliniques tout comme Jérôme Msihid dont elle est collègue et amie sur les réseaux sociaux.
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27 mai 2004, le Plaquenil® (hydroxychloroquine) obtient une autorisation de mise sur le marché par SANOFI-AVENTIS France au prix de 4.17€.
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Le 16 décembre 2015, ENSAI Alumni propose aux anciens élèves de l’ENSAI de se retrouver à l’occasion d’une conférence suivie d’une discussion autour de la création d’un médicament, dans les locaux du cabinet de conseil Acceniom, 43-45 Avenue Kléber, 75016 PARIS. Jérôme Msihid (Promotion 2001) et sa collègue Christelle Lorenzato Auzière (Promotion 1999) animent cette conférence.
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Le Dr Fouché : les conséquences du confinement
André Bercoff chez Pujadas le 26 octobre 2020
Adresse d'un anthropologue expert en santé publique au président français
Vidéo mise en ligne le 27 octobre 2020