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Ciel Voilé

Résultat pour “qu'est-ce qui a causé la grippe espagnole ?”

Dr Zélenko : pourquoi vacciner les enfants contre moins qu'une grippe ?

5 Juin 2022, 16:52pm

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Dr Malone : annualité du vaccin contre la grippe : pour construire un marché

27 Octobre 2022, 13:02pm

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La vaccination Covid ou pour la grippe peut-elle être imposée par l'Ehpad à ses résidents ?

21 Octobre 2023, 17:32pm

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Existe-t-il un test spécifique pour covid-19 ?

2 Avril 2020, 12:50pm

Existe-t-il un test spécifique pour covid-19 ?
Pandémie fabriquée : tester les personnes pour toute souche de coronavirus, pas spécifiquement pour COVID-19

https://www.globalresearch.ca/manufactured-pandemic-testing-people-any-strain-coronavirus-not-specifically-covid-19/5707781


Julian Rose - Global Research 17 mars 2020– Traduction Ciel voilé

Ce qui suit provient d'un forum médical. L'écrivain, qui est un scientifique professionnel largement respecté aux États-Unis, préfère rester anonyme, car présenter un récit différent de celui officiel peut vous causer beaucoup de stress dans l'environnement toxique provoqué par l'arnaque qui entoure COVID-19 ces jours-ci . - Julian Rose
***
Je travaille dans le domaine de la santé. Voici le problème, nous testons les gens pour toute souche de Coronavirus. Pas spécifiquement pour COVID-19. Il n'existe aucun test fiable pour un virus COVID-19 spécifique. Il n'y a pas d'agence fiable ni de média pour signaler le nombre de cas réels de virus COVID-19. Cela doit être traité en premier lieu. Chaque action et réaction à COVID-19 est basée sur des données totalement erronées et nous ne pouvons tout simplement pas faire des évaluations précises.


C'est pourquoi vous entendez que la plupart des personnes atteintes de COVID-19 ne présentent rien de plus que des symptômes de rhume / grippe. C'est parce que la plupart des souches de coronavirus ne sont rien de plus que des symptômes de rhume / grippe. Les quelques nouveaux cas de coronavirus réels ont des troubles respiratoires aigus, mais ont toujours un taux de récupération très prometteur, en particulier pour ceux sans problèmes antérieurs.


Le «gold standard» dans les tests de COVID-19 est des particules de coronavirus isolées / purifiées en laboratoire exemptes de contaminants et de particules qui ressemblent à des virus, mais qui ne le sont pas, qui se sont avérées être la cause du syndrome connu sous le nom de COVID-19 et obtenues en utilisant des méthodes et des contrôles d'isolement viral appropriés (pas la PCR actuellement utilisée ou des tests sérologiques / anticorps qui ne détectent pas le virus en tant que tel). La PCR prend essentiellement un échantillon de vos cellules et polymérise tout ADN pour rechercher des «séquences virales», c'est-à-dire des morceaux d'ADN non humain qui semblent correspondre à des parties d'un génome viral connu.


Le problème : on sait que le test ne fonctionne pas.


Il utilise la polymérisation, ce qui signifie prendre une très très petite quantité d’ADN et la faire croître de façon exponentielle jusqu’à ce qu’elle puisse être analysée. De toute évidence, toute contamination infime dans l'échantillon sera également amplifiée, ce qui entraînera des erreurs de découverte potentiellement grossières.


De plus, il ne recherche que des séquences virales partielles, pas des génomes entiers, donc identifier un seul agent pathogène est presque impossible même si vous ignorez les autres problèmes.


Les kits de test de Mickey Mouse envoyés aux hôpitaux, au mieux, indiquent aux analystes que vous avez de l'ADN viral dans vos cellules. Ce que la plupart d'entre nous font, la plupart du temps. Cela peut vous dire que la séquence virale est liée à un type spécifique de virus - par exemple l'énorme famille de coronavirus. Mais c'est tout. L'idée que ces kits peuvent isoler un virus spécifique comme COVID-19 est absurde.


Et ce n'est même pas entrer dans l'autre problème - la charge virale.


Si vous vous souvenez, la PCR fonctionne en amplifiant des quantités infimes d'ADN. Il est donc inutile de vous dire combien de virus vous pouvez avoir. Et c'est la seule question qui compte vraiment quand il s'agit de diagnostiquer une maladie. Tout le monde porte à tout moment quelques virus dans son système et la plupart ne causeront pas de maladie car leurs quantités sont trop petites. Pour qu'un virus vous infecte, vous devez en avoir beaucoup, une énorme quantité. Mais la PCR ne teste pas la charge virale et ne peut donc pas déterminer si elle est présente en quantité suffisante pour vous rendre malade.


Si vous vous sentez malade et que vous passez un test de PCR, tout ADN viral aléatoire pourrait être identifié même s'il n'est pas du tout impliqué dans votre maladie, ce qui conduit à un faux diagnostic.


Et les coronavirus sont incroyablement courants. Un grand pourcentage de la population humaine mondiale contiendra de l'ADN coronavirus en petites quantités, même s'ils sont parfaitement bien ou malades avec un autre pathogène.


Voyez-vous où cela va encore? Si vous voulez créer une panique totalement fausse à propos d'une pandémie totalement fausse - choisissez un coronavirus.


Ils sont incroyablement communs et il y en a des tonnes. Un pourcentage très élevé de personnes qui sont tombées malades par d'autres moyens (grippe, pneumonie bactérienne, etc.) auront un Test de PCR pour covronavirus même si vous les faites correctement et excluez la contamination, tout simplement parce que les coronavirus sont si courants.


Il y a à tout moment des centaines de milliers de victimes de la grippe et de la pneumonie dans les hôpitaux du monde entier.


Tout ce que vous devez faire est de sélectionner les plus malades d'entre eux dans un seul endroit - dites Wuhan - leur administrer des tests de PCR et prétendre que toute personne montrant des séquences virales similaires à un coronavirus (qui sera inévitablement un grand nombre) souffre d'une « nouvelle » maladie.


Puisque vous avez déjà sélectionné les cas de grippe les plus graves, une proportion assez élevée de votre échantillon mourra.


Vous pouvez alors dire que ce «nouveau» virus a un taux de mortalité plus élevé que la grippe et l'utiliser pour insuffler plus d'inquiétude et faire plus de tests qui produiront bien sûr plus de «cas», ce qui étend les tests, ce qui produit encore plus de «cas» et ainsi de suite et ainsi de suite.

En peu de temps, vous avez votre «pandémie», et tout ce que vous avez fait est d'utiliser une simple trousse de test pour convertir les pires cas de grippe et de pneumonie en quelque chose de nouveau qui n'existe pas réellement.


Maintenant, lancez la même arnaque dans d'autres pays. Assurez-vous de maintenir la peur à un haut niveau afin que les gens se sentent paniqués et moins capables de penser de manière critique.
 

Votre seul problème sera que – comme, il n'y a pas vraiment de nouveau pathogène mortel mais juste des malades réguliers, vous indiquez mal votre numéro de cas, et surtout vos décès, vont être beaucoup trop bas pour un vraie nouvelle pandémie mortelle de virus.


Mais vous pouvez empêcher les gens de le signaler de plusieurs manières.

 

1.Vous pouvez affirmer que ce n'est qu'un début et que plus de décès sont imminents. Utilisez cela comme excuse pour mettre tout le monde en quarantaine, puis prétendez que la quarantaine a empêché les millions de morts attendus.

 

2.Vous pouvez dire aux gens qu’il est irresponsable de « minimiser » les dangers et les inciter à ne pas parler de chiffres.

 

3.Vous pouvez parler de chiffres inventés dans l'espoir de rendre aveugles les personnes atteintes de pseudoscience.


4. Vous pouvez commencer à tester beaucoup de gens (qui, bien sûr, auront également probablement des lambeaux d'ADN de coronavirus) et gonfler ainsi vos « chiffres de ca s» grâce à des «porteurs asymptomatiques» (vous devrez bien sûr faire tourner cela pour qu'il semble mortel même si tout virologue sait que plus vous avez de cas sans symptômes, moins mortel est votre agent pathogène.


Suivez ces 4 étapes simples et vous pourrez avoir votre pandémie entièrement fabriquée et opérationnelle en quelques semaines.


Ils ne peuvent pas «confirmer» un virus pour lequel il n'y a pas de test précis.


Copyright © Julian Rose, Global Research, 2020

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Témoignage d'un médecin espagnol

21 Novembre 2021, 07:53am

Publié par Ciel Voilé

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Podemos : Gaza, un génocide planifié (espagnol)

17 Octobre 2023, 18:40pm

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Les experts belges de la santé accusent l'OMS de simuler une pandémie de coronavirus

9 Octobre 2020, 07:18am

Les experts belges de la santé accusent l'OMS de simuler une pandémie de coronavirus

Jeudi 8 octobre 2020 - Zoey Sky - Natural News

 

Le 5 septembre, des experts de la santé en Belgique ont présenté une lettre ouverte exhortant les autorités à enquêter sur la manière dont l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) a simulé la pandémie de coronavirus (COVID-19).

 

L'année 2020 touche à sa fin. Alors que le coronavirus continue de se propager, les stratégies appliquées par les gouvernements du monde entier ont fait plus de mal que de bien, paralysant les économies et affectant négativement le bien-être général du public.

 

Un débat ouvert sur la soit-disant « pandémie » :

 

La lettre ouverte dit :

 

« Nous, médecins et professionnels de la santé belges, souhaitons exprimer notre vive inquiétude quant à l'évolution de la situation au cours des derniers mois autour de l'apparition du virus du SRAS-CoV-2. Nous demandons aux responsables politiques d'être informés de manière indépendante et critique dans le cadre du processus décisionnel et de la mise en œuvre obligatoire des mesures de lutte contre le coronavirus. Nous demandons un débat ouvert, où tous les experts seraient représentés sans aucune forme de censure. Après la panique initiale autour du Covid-19, les faits objectifs montrent maintenant une image complètement différente - il n'y a plus de justification médicale à une quelconque politique d'urgence ».

 

Les experts ont indiqué que la gestion actuelle de la crise est désormais totalement disproportionnée, avec des effets néfastes sur la santé de nombreuses personnes et des restrictions sur nos droits publics, en particulier dans les zones où les fermetures sont prolongées.

 

Préserver la santé publique en protégeant les droits de l'homme

 

En 1948, l'OMS a défini la "santé" comme "un état de complet bien-être physique, mental et social, et pas seulement l'absence de maladie ou d'autre déficience physique".

 

Cela implique que la santé est un concept large qui affecte le bien-être physique, émotionnel et social d'une personne. Il est du devoir de la Belgique et d'autres nations de garantir les droits fondamentaux des citoyens en tenant compte de ces droits lors de la prise de décisions visant à améliorer la santé publique.

 

Dans les premiers jours de la pandémie, les mesures appliquées dans le monde entier étaient raisonnables - l'OMS avait initialement prévu que le coronavirus ferait 3,4 % de victimes ou entraînerait des millions de décès. L'organisation a également fait état de l'absence de traitement ou de vaccin contre ce virus très contagieux, ce qui aurait mis à rude épreuve la capacité des unités de soins intensifs (USI) des hôpitaux.

 

Ces annonces ont provoqué une panique mondiale, sans précédent dans l'histoire. Pour "aplatir la courbe", il a été conseillé aux pays d'imposer des mesures d'austérité qui paralysent la société, l'économie et les individus en bonne santé.

 

Comprendre le COVID-19

 

Contrairement à la menace incurable décrite par l'OMS, les experts ont affirmé que le coronavirus avait suivi le cours d'une vague d'infection normale, tout comme la saison de la grippe. Ils ont également noté que des tendances similaires ont été observées en comparant les vagues d'infection dans les pays appliquant des politiques de confinement strictes à celles des pays qui n'imposent pas de confinement, comme l'Islande et la Suède. Cela montre que les mesures de confinement imposées ne sont pas nécessaires pour maintenir le cours de l'infection.

 

Comme pour la saison de la grippe, le temps, la température et l'humidité, ainsi que l'immunité croissante, sont plus susceptibles de réduire la vague d'infection.

 

Quels sont les effets du confinement sur la santé physique et mentale ?

 

Des études suggèrent qu'au lieu de prévenir les infections, les confinements prolongés, l'isolement social et les malheurs économiques dûs à la pandémie sont liés à un plus grand nombre de cas de "dépression, d'anxiété, de suicides, de violence intrafamiliale et de maltraitance des enfants".

 

À maintes reprises, la recherche a confirmé que le maintien de relations solides est crucial pour la résistance d'une personne aux virus. Avec le onfinement obligatoire et les quarantaines, il est possible que les gens soient devenus plus sensibles aux infections.

 

Les personnes âgées sont devenues inactives en raison des mesures d'isolement. En outre, la distanciation sociale a été liée à la peur, au stress et à la solitude. Ces facteurs ont un impact négatif sur la santé psychologique et générale.

 

N'existe-t-il pas de remède contre le coronavirus ?

 

La mortalité est nettement plus faible que prévu. Avec 1,2 %, elle est plus proche de celle de la grippe saisonnière normale. On peut affirmer sans risque que le nombre de décès dus aux coronavirus est largement surestimé.

 

Notez que le décès par le COVID-19 est différent du décès avec le COVID-19. Les humains sont souvent porteurs de plusieurs virus ainsi que de bactéries potentiellement pathogènes.

 

Dans la plupart des cas, les personnes testées positives peuvent être mortes d'autres causes, ce qui n'est pas toujours inclus dans les données présentées sur les cas confirmés et les décès.

 

Des études ont également permis d'identifier les groupes les plus vulnérables. La plupart des patients décédés avaient 80 ans ou plus.

 

Par ailleurs, 70 % des personnes décédées qui avaient moins de 70 ans souffraient également d'un trouble sous-jacent comme une maladie cardiovasculaire, le diabète sucré, une maladie pulmonaire chronique ou l'obésité. Les résultats ont montré que 98 % des personnes infectées ne sont pas tombées malades, n'ont pas souffert de symptômes légers ou se sont rétablies spontanément.

 

Les experts ont également trouvé des traitements abordables, efficaces et sûrs lorsqu'ils sont utilisés sur des patients présentant des symptômes légers. Il s'agit notamment de l'hydroxychloroquine (HCQ), de l'azithromycine et du zinc. L'application immédiate de ces traitements améliore les chances de guérison des patients et peut même éviter l'hospitalisation.

 

Mais au lieu de faire connaître ces traitements potentiels, les médias grand public tentent de censurer et même de faire taire les informations à leur sujet.

 

Des études sur la vaccination contre la grippe révèlent que des vaccins ayant un taux d'efficacité de plus de 50 % n'ont été mis au point que trois fois en dix ans.

 

Les virus mutent naturellement et, comme l'ont montré les cas annuels de grippe, les vaccins ne sont qu'une solution temporaire qui nécessite de nouveaux vaccins. Au lieu de se concentrer sur le développement d'un vaccin COVID-19 non testé qui pourrait avoir de nombreux effets secondaires négatifs, les gouvernements du monde entier devraient élaborer des stratégies pour prévenir efficacement les infections.

 

Le rôle des médias dans la pandémie

 

Au cours des derniers mois, les fonctionnaires ont utilisé les grands médias pour faire peur aux gens au lieu de les aider à se tenir informés sur le coronavirus. Au lieu d'être partiaux, les journalistes doivent présenter les nouvelles de manière objective et neutre pour aider tout le monde à rester informé et pour éviter une panique générale.

 

Plutôt que de censurer les vidéos et les articles sur les traitements alternatifs COVID-19, les politiciens et les professionnels de la santé devraient s'attacher à les tester et à vérifier leur efficacité.

 

Terrifier les citoyens avec des chiffres jour après jour sans expliquer ce que ces chiffres signifient a fait plus de mal que de bien. Au lieu de simplement présenter ces chiffres, les reportages devraient les comparer aux décès dus à la grippe d'autres années et aux décès dus à d'autres causes pour éviter une panique générale.

 

Les experts belges de la santé demandent que l'OMS réponde de son rôle dans cette "infodémie", qui consiste notamment à utiliser la censure des médias pour faire taire "toutes les opinions divergentes du discours officiel, y compris de la part d'experts ayant des points de vue différents".

 

Soutenir une discussion ouverte sur les mesures de prévention de la maladie signifie que les experts peuvent aider les patients atteints de COVID-19 à se rétablir tout en veillant à ce que le public soit informé sur la prévention efficace des infections dans le cadre de la soi-disant pandémie.

Signataires

Les sources comprennent :

GreatGameIndia.com

Docs4OpenDebate.be

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De la grippe A(H1N1) à la Covid-19 : l’OMS ne répond plus qu’aux industriels

1 Avril 2022, 13:32pm

De la grippe A(H1N1) à la Covid-19 : l’OMS ne répond plus qu’aux industriels

De la grippe A(H1N1) à la Covid-19 : l’OMS ne répond plus qu’aux industriels

 

La rédaction de l'AIMSIB | 27 Mar 2022 

 

 

C’est avec un très vif plaisir que nous accueillons ce jour Michel Cucchi en tant que nouveau membre AIMSIB . Docteur en médecine, docteur en sociologie et directeur d’hôpital, il travaille sur le risque collectif depuis une quinzaine d’années, autant dire que la gestion de la pandémie de covid par les institutions sanitaires a mis sa rigueur intellectuelle à rude épreuve car les prodromes de cette catastrophe étaient déjà perceptibles en 2009. Leurs échos nous aident à comprendre la perversité de la situation sanitaire actuelle et proposent quelques pistes pour en sortir. Voici une démonstration remarquable de la perversité de la situation sanitaire actuelle, ce coup-ci par écrit (*). Très bonne lecture.

 

 

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ARTHUR FIRSTENBERG : RÉSILIEZ VOTRE ABONNEMENT TÉLÉPHONE PORTABLE D'ICI LE 21 JUIN 2020

21 Mai 2020, 12:57pm

Publié par Ciel Voilé

ARTHUR FIRSTENBERG : RÉSILIEZ VOTRE ABONNEMENT TÉLÉPHONE PORTABLE D'ICI LE 21 JUIN 2020

Le 20 mai 2020

 

EN 1996, L'INDUSTRIE DES TÉLÉCOMMUNICATIONS a commencé à mettre en œuvre son projet d'équiper d' un téléphone portable chaque homme, femme et enfant sur Terre. Le résultat, vingt-quatre ans plus tard, est l'extinction imminente de toute vie. Pour la première fois dans l'histoire de l'humanité, chaque personne sur Terre est une source ouverte de rayonnement micro-ondes. L'abeille à miel dans la bannière ci-dessus ne peut plus y échapper.

 

ECHOEarth vous invite à vous joindre à nous, en son nom, et au nom de toutes les autres créatures, pour résilier votre abonnement de téléphone portable et devenir libre de téléphone portable. La 5G se répand comme une mauvaise herbe et les satellites de SpaceX perturbent la source même de la vie. Nous sommes presque à court de temps.

 

ECHOEarth est une organisation de personnes qui ne possèdent pas de téléphones portables et dont la mission est de mettre fin à la cause première qui étouffe tout être vivant : le réseau sans fil. Notre nouveau site internet comporte une déclaration de mission et une page de signature. Nous vous demandons seulement votre nom, votre pays et votre adresse électronique. Aucune de ces informations ne sera publiée ou partagée ; nous en avons besoin seulement pour connaître le nombre de personnes qui participent à cette campagne.

 

Nous demandons au plus grand nombre de personnes possible d'aider au lancement de cette campagne en résiliant leurs abonnements de téléphonie mobile au plus tard le 20-21 juin 2020, c'est-à-dire avant le solstice.

 

« Si ce n'est pas maintenant, quand ? Si ce n'est pas moi, qui ? » Cela commence par nous. Rejoignez-nous.
 

 

LA PANDÉMIE A COMMENCÉ AVEC LA 5G

 


Ironiquement, la crainte de répéter le désastre de la grippe espagnole de 1918 est bien fondée. Mais le monde a peur de la mauvaise chose. L'année 1918 a marqué l'avènement de deux choses : un nouveau virus et une nouvelle technologie. C'est la technologie (les ondes radio), et non le virus, qui a tué 50 millions de personnes. Et c'est cette même technologie (les ondes radio) qui est à la base de la pandémie actuelle. Cent ans plus tard, le monde a toujours la tête dans le sable. Les quarantaines n'ont protégé personne en 1918. Les masques, les désinfectants, la distanciation sociale et les quarantaines n'ont protégé personne en 2020 et ne protégeront personne contre ce qui est à venir.

Cette pandémie a commencé avec la 5G, quel que soit l'endroit où elle a été déployée.

« La 5G a été mise en service ici il y a deux jours », a écrit Gudrun, de Washington, le 8 décembre. « Dès qu'elle a fonctionné, j'ai commencé à entendre un bourdonnement à basse fréquence dans le crâne. Lorsque j'ai visité l'Allemagne cet été, j'ai entendu exactement le même signal et il était constant. Je pouvais le remarquer dans le silence de la nuit. J'étais soulagé de revenir à Seattle sans l'entendre, jusqu'à présent ».

« Je vis dans un immeuble très haut avec 12 antennes de téléphonie mobile actuellement sur mon toit », a écrit Lilia d'Angleterre le 14 janvier. « Au cours de l'année dernière, ma santé a commencé à être affectée, avec des douleurs dans les os, l'estomac et la poitrine, des douleurs cardiaques et des douleurs au plexus solaire. J'ai des calcifications aux ongles d'orteils, on m'a diagnostiqué des anomalies des cellules sanguines qui ont causé de l'anémie et de l'arythmie cardiaque. J'ai également beaucoup grossi sans raison ».

« AT&T vient d'installer sa 5G », a écrit Gwen depuis le Mont Shasta, en Californie, le 26 janvier. « J'ai maintenant de graves vertiges et des douleurs à la tête, des troubles auditifs et les yeux douloureux. Mon voisin a la même chose. »

« Nous vivons dans une ancienne écurie en Écosse », a écrit Lauraine d'Écosse le 11 février. « Overnight Telecom est venu installer des câbles de fibre optique dans les maisons et certains passent sur notre toit. Nos voisins sont ravis d'avoir un accès 50 fois plus rapide à l'internet, mais ils utilisent le sans fil dans toute leur maison et chacun d'eux est un émetteur du signal. Une fois les câbles de fibre optique connectés, c'était comme si nous vivions en enfer. Ma tête était comme une citrouille qui explosait, la peau des mains me démangeait et me brûlait et j'avais sans cesse des spasmes et des douleurs aux jambes. J'avais des acouphènes comme un gémissement sans fil, c'était si intense, et je souffre de maux de tête incroyables, si bien que j'ai l'impression que ma tête va éclater et que les muscles de mon cou sont raides. Je ne respire pas et c'est le truc, je dois me forcer à respirer. De plus, mes yeux picotent et brûlent".


« J'étais prête à fuir pour sauver ma vie il y a quelques jours après être allée en ville et avoir fait l'expérience de la 5G pour la première fois", a écrit Pat du Japon le 29 février. « Ce qui m'a surprise, ce n'est pas la réaction de mon propre corps à cette drogue, mais les effets neuropsychologiques que je voyais chez les gens autour de moi. C'était effrayant ».

« Nous avons un mât de 5G à 3,6 GHz à moins de 300 m de notre maison », a écrit Angela d'Australie le 1er mars. « Mauvaise santé et fatigue sont devenues la norme pour beaucoup de mes voisins ». « Nous avons des antennes avec des amplificateurs pour passer de la 4 G à la 5 G », a écrit Michelle de Montréal (Québec) le 3 mars. « Depuis novembre 2018, date à laquelle ils ont installé les antennes, il n'y a plus d'araignées, plus d'oiseaux, plus de fourmis, plus d'écureuils. Les gens sont malades et nos animaux domestiques tombent également malades ».

« La tour Telus a été activée à la mi-novembre et se trouve à environ 120 mètres de notre maison », a écrit Marcus de Gold River, en Colombie-Britannique, le 17 mars 2020, « Juste sous nos yeux, car notre maison est située sur une petite colline. Ma femme, qui se remettait bien d'une leucémie, a commencé à décliner lorsque la tour est arrivée. Elle est morte le 13 février 2020 ».

« J'ai été aux urgences deux fois au cours des 30 derniers jours pour mon cœur », a écrit Ann du Colorado le 15 avril. « Mes bras et mes mains tremblent, mes doigts frémissent indépendamment les uns des autres, et les muscles de mon dos ont récemment commencé à se contracter. J'ai l'impression que mon cœur est traversé par un courant électrique. J'ai l'impression qu'il veut exploser hors de ma poitrine. J'habite au dixième étage d'un immeuble de onze étages. Il y a cinq panneaux de tour de téléphonie cellulaire 5G à environ 11 mètres au-dessus de mon canapé. Ma vue a fortement diminué, ma mémoire a disparu et depuis janvier, j'ai des nausées par intermittence. Je souffre d'épuisement et de problèmes de sommeil ».

« J'ai 46 ans et je suis en bonne santé », a écrit Andrew de Guernesey le 5 mai. « Les autorités près de chez moi ont commencé à tester la 5G au début de cette année. Peu après, j'ai développé, avec beaucoup d'autres, une toux persistante qui a duré 3 mois et qui n'a pas complètement disparu ».

Le réseau 5G chinois a commencé à fonctionner à plein régime le 1er novembre 2019. L'épidémie de COVID-19 a débuté en Chine deux semaines plus tard.


Depuis le 17 décembre 2018, Saint-Marin dispose d'une couverture à 99 % du réseau 5G, avec les fréquences 3,5 GHz et 26 GHz en service. Aujourd'hui, Saint-Marin a de loin le taux le plus élevé de cas de COVID-19 et le plus grand nombre de décès par COVID-19 pour 1 000 habitants dans le monde.

L'Iran n'a pas de 5G. Mais elle a annoncé le 13 février 2020 que la 4G - qui est en fait la 4G-LTE - était entrée en service dans « presque toutes les villes et villages, dans tout le pays ». L'épidémie de coronavirus a commencé en Iran moins de deux semaines plus tard.

 

Les médecins se grattent la tête avec le COVID-19 parce qu'ils voient deux épidémies en même temps chez les mêmes personnes : un virus respiratoire, comme ils l'ont appris à l'école de médecine, et une agression électromagnétique, qu'ils n'ont pas apprise et qu'ils ne comprennent pas.

DES PATIENTS PROCHES DE LA MORT PARLENT AU TÉLÉPHONE

 

 

Des médecins « décrivent des patients avec des niveaux d'oxygène étonnamment bas - si bas qu'ils seraient normalement inconscients ou proches de la mort - qui parlent au téléphone et font défiler l'écran », a rapporté le Washington Post le 22 avril. Ce que les médecins ne réalisent pas, c'est que ces patients sont privés d'oxygène et proches de la mort parce qu'ils parlent au téléphone et font défiler l'écran, et pas seulement à cause du virus. Une expérience menée sur des animaux en 1977 a révélé que l'exposition à des ondes millimétriques de faible intensité rend leurs cellules incapables d'utiliser l'oxygène qu'elles respirent : les cellules des animaux exposés utilisaient jusqu'à 64 % moins d'oxygène que celles des animaux non exposés.

 

Et il n'y a pas que leurs téléphones. L'environnement hospitalier transforme les malades en mourants parce qu'il est rempli de sources d'énergie électromagnétique. Lorsque j'ai écrit mon premier article sur ce sujet en 1981, « Les effets de l'énergie radiante sur les organismes vivants  :  une revue de la littérature scientifique », j'ai été choqué de constater, déjà à l'époque, que les hôpitaux étaient l'un des environnements les plus pollués par l'électromagnétisme dans la société moderne.

 

J'étais en troisième année de médecine. Les tomo-densitogrammes et les IRM n'étaient pas encore disponibles et les dossiers étaient conservés sur papier et non sur ordinateur, pourtant la pratique de la médecine impliquait déjà des milliers d'appareils électriques et électroniques différents. Il y avait des appareils à rayons X, des appareils de diathermie, des minuteries, des thermostats, des interrupteurs à pédale, des stimulateurs neurochirurgicaux, des appareils à ultrasons, des intensificateurs d'image et des éclairages fluorescents. Les chirurgiens étaient exposés par les appareils électro-chirurgicaux à des niveaux de rayonnement de radiofréquence plus élevés que ceux autorisés dans toute autre profession : jusqu'à un champ électrique de 1000 V/m.

 

Aujourd'hui, en outre, les radiofréquences envahissent les étages des services médicaux à partir d'ordinateurs et de points d'accès sans fil, de téléphones portables dans les mains de chaque médecin et patient, d'antennes de télécommunication sur le toit, d'appareils de télémétrie sans fil reliés aux patients et une foule d'autres appareils et procédures de diagnostic qui n'existaient pas encore lorsque j'étais à l'école. C'est un miracle que les malades en sortent vivants, et dans le cas du COVID-19, souvent, ils n'en sortent pas vivants.

 

 

 

ET LES CHEVAUX AUSSI

 

 

Dans mon dernier bulletin d'information («  Les preuves s'accumulent »), j'ai parlé de la mort de dizaines de milliers de mésanges bleues et d'autres petits oiseaux immédiatement après le passage du service sans fil de la 2G à la 4G-LTE dans certaines régions d'Allemagne.

 

Paul Doyon, qui se trouve actuellement en Thaïlande, vient de m'alerter d'une épizootie chez les chevaux qui a suivi immédiatement le passage à la 5G dans ce pays. L'opérateur de télécommunications AIS a officiellement lancé le service 5G en Thaïlande le 21 février 2020, et la première mort de cheval est survenue le 24 février. L'épizootie a été déclarée le 27 mars après la mort de 73 chevaux dans la province de Nakhon Ratachasima, juste à l'ouest de la ville de Nakhon Ratachasima. Nakhon Ratachasima est l'une des villes qui a fait partie du déploiement initial de la 5G. La maladie, qui est entièrement imputable à un virus appelé peste équine, a tué 539 chevaux en Thaïlande au 18 mai. Elle tue également des zèbres, des chameaux, des ânes et des mules. Les symptômes chez les animaux infectés sont une forte fièvre, un écoulement nasal, un manque d'appétit, des difficultés respiratoires et une mort soudaine. La peste équine n'est jamais apparue en Thaïlande auparavant.

TROUBLES DE LA COAGULATION DUS À LA 5G

 

L'article du Washington Post mentionné ci-dessus était intitulé « Une mystérieuse complication de la coagulation du sang tue les patients atteints de coronavirus ». Bien qu'ils soient mis sous anticoagulants, les patients développent des caillots sanguins et font des attaques cérébrales. Aux États-Unis, jusqu'à 40 % des patients atteints de COVID-19 développent des caillots. En Chine, 71% des patients COVID-19 décédés avaient développé des caillots. Les autopsies montrent des poumons remplis de caillots.

 

Les jeunes de 30 à 40 ans sont victimes d'un nombre record d'accidents vasculaires cérébraux. Au 21 avril, Spectrum Health à Grand Rapids, Michigan, avait traité plus du double de patients victimes d'AVC par rapport à la même période l'année dernière. Le 22 avril, un médecin de New York a déclaré à CNN qu'il avait vu le nombre de jeunes victimes d'AVC multiplié par sept au cours des deux semaines précédentes. À l'hôpital Beth Israël du Mont Sinaï, un médecin qui enlevait un caillot du cerveau d'un patient « a vu de nouveaux caillots se former en temps réel autour de ce caillot » alors qu'il l'enlevait.

 

Et tout cela est attribué à un virus. Mais tous ces patients, dans ces endroits, étaient également bombardés par la 5G, qui baigne ces communautés d'ondes millimétriques 24 heures sur 24. La ville de New York est équipée de la 5G depuis le 26 septembre. Grand Rapids a été bombardée par la 5G depuis le 20 décembre. Et nous savons, grâce à la littérature scientifique, que les ondes millimétriques provoquent une coagulation.

 

Dans une étude réalisée en 1978 par Zalyubovskaya et Kiselev, « Effet des ondes radio d'une gamme de fréquences millimétriques sur le corps de l'homme et des animaux » (JPRS 72956, 1979, pp. 9-15 ; traduit de Gigiyena i Sanitariya 1978, no. 8, pp. 35-39), les auteurs ont surveillé la santé de 72 ingénieurs et techniciens âgés de 20 à 50 ans qui entretenaient des générateurs d'ondes millimétriques. Ils ont observé « une tendance à l'hyper-coagulation » chez ces travailleurs.

 

 

UNE PAPAYE, UNE CHÈVRE ET UNE CAILLE

 

 

Le 3 mai, le président tanzanien John Magufuli, doutant de la précision du test PCR pour COVID-19, a annoncé les résultats d'un certain nombre d'échantillons de sang qu'il avait envoyés à un laboratoire. Le sang d'une chèvre,celui d'un mouton et celui d'une caille ont été envoyés, ainsi que le liquide d'une papaye et d'un fruit de jacquier. La chèvre et la caille ont été testées positives pour le coronavirus. La papaye aussi, dont l'échantillon avait été soumis au laboratoire avec l'étiquette « Elizabeth Anne, 26 ans ». La brebis et le jacquier (étiqueté « Sara Samweli, 45 ans ») ont été testés négatifs.

 

LE NIGERIA SUSPEND LE DÉPLOIEMENT DE LA 5G

 

 

Le 5 mai, le Sénat nigérian a demandé à sa commission des communications, de la science, de la technologie et des TIC, et à sa commission de la santé, de mener une enquête approfondie sur la technologie 5G, et a demandé à l'agence fédérale responsable des télécommunications de suspendre le déploiement de la 5G « jusqu'à ce qu'une enquête approfondie ait été menée pour déterminer son adéquation à la santé humaine ».

 

« Le sénateur Opeyemi Bamidele a déclaré qu'il serait irresponsable de la part de tout gouvernement de souscrire à une technologie qui ne sera pas sûre pour ses citoyens », a rapporté le quotidien Punch.

 

Le Nigeria rejoint la Slovénie et la Papouasie-Nouvelle-Guinée parmi les pays qui ont suspendu le déploiement de la 5G pour des raisons de santé.

 

 

LE PROCHAIN LANCEMENT DE SATELLITES EST RETARDÉ

 

Le prochain lancement de 60 satellites de Space X, initialement prévu pour le 17 mai, a été reporté par la tempête tropicale Arthur et n'aura lieu qu'après le 27 mai.

 

J'ai reçu de nombreux témoignages du monde entier de personnes qui ont eu des palpitations cardiaques sans raison depuis le dernier lancement de 60 satellites, qui a eu lieu le 22 avril. J'ai vécu la même chose. Veuillez me contacter si vous avez eu des palpitations cardiaques sans raison apparente depuis cette date.

 

Arthur Firstenberg

P.O. Box 6216

Santa Fe, NM 87502

USA

phone : +1 505-471-0129

 
May 20, 2020

 

 

Les 6 dernières lettres d'information, dont celle-ci, sont maintenant disponibles pour téléchargement et partage sur la page des lettres d'information de la Task Force Téléphonie Cellulaire. La dernière lettre d'information y est également disponible en allemand et en espagnol.

 

 

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Pourquoi l'OMS est-elle une organisation corrompue et malsaine ?

4 Septembre 2021, 07:28am

Pourquoi l'OMS est-elle une organisation corrompue et malsaine ?

Analyse par le Dr Joseph Mercola 4 septembre 2021

 

https://articles.mercola.com/sites/articles/archive/2021/09/04/why-the-who-is-a-corrupt-unhealthy-organization.aspx

 

L'histoire en un coup d'œil

 

"TrustWHO", un documentaire produit par Lilian Franck, révèle les influences clandestines qui contrôlent l'Organisation Mondiale de la Santé, au péril de la santé publique.

 

Bill Gates est le premier bailleur de fonds de l'OMS, contribuant davantage au budget biennal de 4,84 milliards de dollars de l'OMS que n'importe quel gouvernement d'un État membre.

 

Les entreprises pharmaceutiques ont déjà influencé la déclaration de pandémie de l'OMS en 2009 ; les experts ont ensuite qualifié la grippe porcine de "fausse pandémie" provoquée par les grandes entreprises pharmaceutiques, qui ont ensuite profité de cette alerte sanitaire.

 

L'OMS a une forte allégeance à la Chine, et son enquête sur l'origine du COVID-19 était une "fausse" enquête dès le départ.

 

Avant même la pandémie de COVID-19, l'OMS a publié une déclaration indiquant qu'elle était en discussion avec Facebook pour "veiller à ce que les gens puissent accéder à des informations fiables sur les vaccins et réduire la diffusion d'inexactitudes".

 

L'histoire de l'OMS illustre clairement son allégeance à Big Pharma et à d'autres industries, notamment en minimisant les effets sur la santé de la catastrophe nucléaire de Tchernobyl en 1986 et en collaborant avec le géant des opiacés Purdue.

 

Étant donné les preuves solides et constantes que l'OMS est fortement en conflit et contrôlée par l'industrie, son utilité en tant que gardienne de la santé publique doit être sérieusement réévaluée.

 

"TrustWHO", un film documentaire produit par Lilian Franck, révèle les influences clandestines qui contrôlent l'Organisation mondiale de la santé (OMS) - et ce, depuis le tout début. Fondée en 1948 par 61 États membres dont les contributions ont initialement financé l'organisation, l'OMS a rapidement été infiltrée par l'industrie.

 

De Big Tobacco à l'industrie nucléaire et aux produits pharmaceutiques, l'industrie a historiquement dicté l'agenda mondial de l'OMS et continue de le faire aujourd'hui, faisant passer les profits et le pouvoir avant la santé publique.1

 

Bill Gates est le premier bailleur de fonds de l'OMS

 

En avril 2020, Donald Trump a suspendu le financement américain de l'OMS pendant que l'administration examinait son "rôle dans la mauvaise gestion et la dissimulation de la propagation du coronavirus".2 Cette décision a clairement propulsé la Fondation Bill et Melinda Gates au rang de premier bailleur de fonds de l'OMS. Dès son élection, le président Joe Biden est revenu sur la décision de l'administration Trump, rétablissant le financement américain à l'OMS3.

 

Cependant, Bill Gates reste le premier bailleur de fonds, contribuant davantage au budget biennal de l'OMS de 4,84 milliards de dollars4 que tout autre gouvernement d'un État membre. Comme le révèle un exemplaire que j'ai reçu en avant-première de "Vax-Unvax "5, le nouveau livre de Robert F. Kennedy Jr. qui sortira en novembre 2021, "Gates a utilisé son argent de manière stratégique pour infiltrer ses priorités déformées et intéressées dans les agences d'aide internationale. Les États-Unis ont historiquement été le plus grand donateur direct de l'OMS."

 

Cependant, Bill Gates contribue à l'OMS par de multiples voies, notamment la Fondation Bill et Melinda Gates ainsi que GAVI, qui a été fondée par la Fondation Gates en partenariat avec l'OMS, la Banque mondiale et divers fabricants de vaccins.

 

En 2018, les contributions cumulées de la Fondation Gates et de GAVI faisaient de Gates le premier sponsor officieux de l'OMS, avant même la décision de l'administration Trump en 2020 de couper tout son soutien à l'organisation. Et en fait, Gates donne tellement que Politico a écrit un article très critique6 sur son influence financière indue sur les opérations de l'OMS en 2017, qui, selon Politico, faisait dépenser à l'agence :

 

"... une quantité disproportionnée de ses ressources à des projets ayant les résultats mesurables que Gates préfère... Son influence inquiète les ONG et les universitaires. Certains défenseurs de la santé craignent que, l'argent de la Fondation Gates provenant d'investissements dans les grandes entreprises, ne serve de cheval de Troie aux intérêts des entreprises pour saper le rôle de l'OMS dans la définition des normes et l'élaboration des politiques de santé."

 

De plus, Gates "achemine également des fonds à l'OMS par l'intermédiaire de SAGE [Strategic Advisory Group of Experts], de l'UNICEF et du Rotary International, ce qui porte le total de ses contributions à plus d'un milliard de dollars", explique Kennedy dans le livre, ajoutant que ces dons déductibles des impôts donnent à Gates à la fois un pouvoir et un contrôle sur la politique internationale en matière de santé, "qu'il oriente largement pour servir les intérêts lucratifs de ses partenaires pharmaceutiques".

 

Comme le souligne le film, lors de sa création, l'OMS pouvait décider de la répartition de ses contributions. Aujourd'hui, 70 % de son budget est lié à des projets, des pays ou des régions spécifiques, qui sont dictés par les bailleurs de fonds.7 Ainsi, les priorités de Gates constituent l'épine dorsale de l'OMS, et ce n'est pas une coïncidence s'il a dit de l'OMS : "Nos priorités sont vos priorités. "8

 

"L'obsession de Gates pour les vaccins a détourné les dons de l'OMS de la lutte contre la pauvreté, de la nutrition et de l'eau potable pour faire de l'utilisation des vaccins sa principale mesure de santé publique. Et Gates n'a pas peur de jeter son poids dans la balance", selon le livre de Kennedy. "... L'ampleur même des contributions financières de sa fondation a fait de Bill Gates un dirigeant officieux - bien que non élu - de l'OMS."

 

L'industrie pharmaceutique et l'OMS encaissent des chèques lors des précédentes pandémies

 

Lors de la pandémie de grippe H1N1 (grippe porcine) de 2009, des accords secrets ont été conclus entre l'Allemagne, la Grande-Bretagne, l'Italie et la France avec l'industrie pharmaceutique avant le début de la pandémie de grippe H1N1. Ces accords stipulaient qu'ils achèteraient les vaccins contre la grippe H1N1, mais uniquement si l'OMS déclarait une pandémie de niveau 6.

 

Le documentaire "TrustWHO" montre comment, six semaines avant la déclaration de la pandémie, personne à l'OMS ne s'inquiétait du virus, mais les médias en exagéraient néanmoins les dangers. Puis, dans le mois qui a précédé la pandémie de H1N1 2009, l'OMS a modifié la définition officielle de la pandémie, en supprimant les critères de gravité et de mortalité élevée et en définissant la pandémie comme "une épidémie mondiale d'une maladie "9.

 

Ce changement de définition a permis à l'OMS de déclarer la grippe porcine pandémique alors que seulement 144 personnes étaient mortes de l'infection dans le monde. En 2010, le Dr Wolfgang Wodarg, alors responsable de la santé au Conseil de l'Europe, a accusé les entreprises pharmaceutiques d'avoir influencé la déclaration de pandémie de l'OMS, qualifiant la grippe porcine de "fausse pandémie" impulsée par Big Pharma, qui a profité de l'alerte sanitaire10.

 

Selon Wodarg, la pandémie de grippe porcine a été "l'un des plus grands scandales médicaux du siècle".11 Dans l'enquête sur la falsification d'une pandémie par l'OMS et Big Pharma, une enquête a déclaré:12

 

"... afin de promouvoir leurs médicaments et vaccins brevetés contre la grippe, les sociétés pharmaceutiques ont influencé les scientifiques et les organismes officiels responsables des normes de santé publique pour alarmer les gouvernements du monde entier et les inciter à gaspiller des ressources sanitaires limitées pour des stratégies vaccinales inefficaces, et exposer inutilement des millions de personnes en bonne santé au risque d'une quantité inconnue d'effets secondaires de vaccins insuffisamment testés."

 

Alors que les gouvernements se sont retrouvés avec des stocks de vaccins qu'ils n'utiliseraient jamais, de nombreuses personnes ayant reçu le vaccin contre la grippe porcine H1N1 ont souffert d'effets indésirables, notamment du syndrome de Guillain-Barré, de narcolepsie, de cataplexie et d'autres formes de lésions cérébrales.13

 

Le camouflage des origines

 

L'enquête de l'OMS sur l'origine du COVID-19 était également une enquête "bidon" dès le départ. La Chine a été autorisée à choisir elle-même les membres de l'équipe d'enquête de l'OMS, qui comprenait Peter Daszak, Ph.D., lequel a des liens professionnels étroits avec l'Institut de virologie de Wuhan (WIV).

 

L'inclusion de Daszak dans cette équipe a pratiquement garanti le rejet de la théorie de l'origine laboratoire, et en février 2021, l'OMS a blanchi le WIV et deux autres laboratoires de niveau de biosécurité 4 à Wuhan, en Chine, en affirmant que ces laboratoires n'avaient rien à voir avec l'épidémie de COVID-19.14

 

Ce n'est qu'après une réaction brutale, notamment une lettre ouverte signée par 26 scientifiques exigeant une enquête médico-légale complète et sans restriction sur les origines de la pandémie15, que l'OMS a commencé à limiter les dégâts, son directeur général Tedros Adhanom Ghebreyesus et 13 autres dirigeants mondiaux se joignant au gouvernement américain pour exprimer leur "frustration quant au niveau d'accès accordé par la Chine à une mission internationale à Wuhan "16.

 

Quelques points dignes d'intérêt : Gates a choisi Ghebreyesus comme directeur général de l'OMS, non pas en raison de ses qualifications - Tedros n'a pas de diplôme de médecine et son passé inclut des accusations de violations des droits de l'homme - mais en raison de sa loyauté envers Gates, toujours selon le livre de Kennedy.

 

En outre, l'allégeance de l'OMS à la Chine a été assurée des années auparavant, lorsque la Chine a obtenu les votes de l'OMS pour s'assurer que ses candidats deviendraient directeurs généraux. Une enquête du Sunday Times a également révélé que l'indépendance de l'OMS était gravement compromise et que ses liens étroits avec la Chine ont permis au COVID-19 de se répandre dans les premiers jours de la pandémie tout en occultant l'enquête sur ses origines. Selon le Sunday Times :17

 

"La direction de l'OMS a donné la priorité aux intérêts économiques de la Chine plutôt qu'à l'arrêt de la propagation du virus lorsque le Covid-19 est apparu. La Chine a exercé un contrôle ultime sur l'enquête de l'OMS sur les origines du Covid-19, en nommant les experts de son choix et en négociant un accord en coulisse pour diluer le mandat."

 

Les liens de l'OMS avec la Chine ont joué un "rôle décisif" dans la pandémie

 

Le 28 janvier 2020, quatre semaines après que Taïwan eut alerté l'OMS qu'une mystérieuse maladie respiratoire se propageait en Chine, l'OMS n'avait pas encore pris de mesures et continuait à faire l'éloge de la Chine.

 

Tedros a même félicité la Chine pour sa transparence et a déclaré que le président chinois avait "fait preuve d'un 'leadership rare' et méritait 'gratitude et respect' pour avoir agi afin de contenir l'épidémie à l'épicentre", rapporte le Sunday Times. Ces "mesures extraordinaires" ont empêché la propagation du virus et c'est pourquoi, a-t-il ajouté, il n'y a eu que "quelques cas de transmission interhumaine en dehors de la Chine, que nous surveillons de très près".18

 

S'exprimant dans le Sunday Times, le professeur Richard Ebright, de l'Institut de microbiologie Waksman de l'université Rutgers, dans le New Jersey, a déclaré que c'est ce lien étroit qui a finalement orienté le cours de la pandémie19 .

 

"Non seulement elle a eu un rôle, mais elle a eu un rôle décisif. C'était la seule motivation. Il n'y avait aucune justification scientifique, médicale ou politique à la position que l'OMS a adoptée en janvier et février 2020. C'était entièrement fondé sur le maintien de liens satisfaisants avec le gouvernement chinois.

 

Ainsi, à chaque étape, l'OMS a promu la position recherchée par le gouvernement chinois ... l'OMS a activement résisté et fait obstacle aux efforts des autres nations pour mettre en œuvre des contrôles frontaliers efficaces qui auraient pu limiter la propagation ou même contenir la propagation de l'épidémie.

 

Il m'est impossible de croire que les fonctionnaires de Genève, qui ont fait ces déclarations, pensaient que ces déclarations correspondaient aux faits dont ils disposaient au moment où ils les ont faites. Il est difficile de ne pas voir que l'origine directe de cela est le soutien du gouvernement chinois à l'élection de Tedros au poste de directeur général …

 

Le retour sur investissement [de la Chine] a été remarquablement élevé, compte tenu des sommes relativement faibles investies pour soutenir son élection. Cela a été payant à grande échelle pour le gouvernement chinois."

 

La corruption de l'OMS est profonde

 

Avant même la pandémie, l'OMS avait publié une déclaration indiquant qu'elle était en discussion avec Facebook pour "veiller à ce que les gens puissent accéder à des informations faisant autorité sur les vaccins et réduire la diffusion d'inexactitudes "20

 

Lors du premier Sommet mondial sur la vaccination de l'OMS, qui s'est tenu à Bruxelles en septembre 2019, Jason Hirsch, responsable de la politique publique de Facebook, a fait allusion à la censure et à la manipulation des médias à venir21.

 

"La première chose que nous faisons est de réduire la distribution de fausses informations sur les vaccinations et la deuxième chose que nous faisons est d'augmenter l'exposition à du contenu crédible et faisant autorité sur les vaccinations."

 

Plutôt que de faire passer la santé publique en premier, en poussant par exemple à la réalisation d'études de sécurité sur la vaccination, l'histoire de l'OMS illustre clairement son allégeance à Big Pharma et à d'autres industries. L'OMS, par exemple, a minimisé les effets sur la santé de la catastrophe nucléaire de Tchernobyl en 1986, déclarant que seuls 50 décès avaient été directement causés par l'incident et que "jusqu'à 4 000 personnes au total pourraient finalement mourir de l'exposition aux radiations" de la catastrophe22.

 

L'OMS a signé en 1959 un accord avec l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), qui a pour mission de "promouvoir l'utilisation pacifique de l'énergie atomique", ce qui la rend subordonnée à cette agence en ce qui concerne les rayonnements ionisants.

 

La réponse de l'OMS à la catastrophe radiologique de Fukushima en 2011 a également été critiquée, avec des preuves d'une dissimulation de haut niveau.23 L'OMS a une fois de plus minimisé les risques, déclarant que "les risques prévus sont faibles et aucune augmentation observable des taux de cancer au-dessus des taux de base n'est prévue. "24

 

L'OMS a également reçu plus de 1,6 million de dollars du géant des opioïdes Purdue entre 1999 et 2010 et a utilisé des données sur les opioïdes soutenues par l'industrie pour les intégrer dans ses directives officielles pro-opioïdes. Selon l'Alliance of Human Research Protection, la collaboration de l'OMS avec Purdue a conduit à une utilisation accrue des opioïdes et à une dépendance mondiale.25

 

En raison de son acceptation de l'argent privé, une étude publiée dans le Journal of Integrative Medicine & Therapy est allée jusqu'à dire que la corruption de l'OMS est la "plus grande menace pour la santé publique mondiale de notre époque", notamment en ce qui concerne les recommandations de l'OMS en matière de médicaments - y compris sa "liste de médicaments essentiels" - qui, selon elle, est biaisée et non fiable26.

 

Étant donné les preuves solides et constantes que l'OMS a d'énormes conflits d'intérêts et est fortement contrôlée par l'industrie, son utilité en tant que gardienne de la santé publique doit être sérieusement réévaluée.

 

Sources et références

 

 

 

 

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