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Ciel Voilé

Résultat pour “qu'est-ce qui a causé la grippe espagnole ?”

L'armée américaine dépense des millions pour étudier la manipulation des réseaux sociaux

14 Juillet 2014, 22:21pm

Publié par Ciel Voilé

 

Effort à long terme de diffusion de propagande sur internet

 

Global Research – 10 juillet 2014

 

Nombreux liens en anglais dans l'article source ( Ciel Voilé )

 

 

http://www.globalresearch.ca/us-military-spends-millions-to-study-manipulation-of-social-media/5390724

 

 

Le Guardian rapporte:

     Les activités des utilisateurs de Twitter et d'autres réseaux sociaux ont été enregistrées et analysées dans le cadre d'un grand projet financé par l'armée américaine, dans un programme similaire à l'expérience controversée de Facebook sur la façon de contrôler les émotions en manipulant le cours des informations.

     La recherche financée directement ou indirectement par le Département de recherche militaire de la Défense, connu sous le nom de Darpa, a impliqué les utilisateurs de certaines des plus grandes destinations de l'Internet, y compris Facebook, Twitter, Pinterest et Kickstarter, pour étudier les relations sur ces réseaux sociaux et la manière dont les messages sont diffusés.

     ***

     Plusieurs des études financées sont allées plus loin que la simple surveillance de ce que les utilisateurs communiquaient, en envoyant des messages à des participants involontaires pour suivre et étudier la façon dont ils y répondaient.

     ***

     La liste de projets comprend une étude sur la façon dont les militants du mouvement Occupy utilisent Twitter ainsi que d'une gamme de recherches pour contrôler les messages en ligne et comprendre comment l'influence du comportement (aimer, suivre, partager) se manifeste sur une gamme de plates-formes populaires de médias sociaux comme Pinterest, Twitter, Kickstarter, Digg et Reddit.

     ***

     Dévoilé en 2011, le programme SMISC [les réseaux sociaux dans la communication stratégique] a été considéré comme une tentative de l'armée américaine d'améliorer à la fois la détection et la réalisation de campagnes de propagande sur les médias sociaux.

     « Grâce à ce programme, la DARPA cherche à développer des outils pour soutenir les efforts des opérateurs humains pour contrer les campagnes de désinformation ou de tromperie par des informations véridiques». [« véridiques » voulant dire approuvées par le gouvernement ? ]

     ***

     Parmi les études financées par l'armée, menées par IBM, l'une qui s'intitulait « Modélisation de l'attitude de l'utilisateur à l'égard de sujets controversés dans les réseaux sociaux en ligne », analysait les opinions des utilisateurs de Twitter sur la fracturation hydraulique.

     ***

     Comme autre exemple, lorsque des messages anti-gouvernementaux sont diffusés dans les médias sociaux, le gouvernement voudrait diffuser des contre-messages pour arrêter cette propagation et donc identifier les personnes les plus susceptibles de propager ces contre-messages en fonction de leurs opinions."

     ***

     Une étude à Georgia Tech ... a conclu: « Les dépêches et les événements du monde - par exemple, le printemps arabe - sont fortement représentés dans les médias sociaux, et donc sensibles aux tentatives de tromperie ». [ Nous ne pouvons pas dire si les chercheurs étaient pro ou anti-tromperie; mais étant donné que les États-Unis et la Grande-Bretagne ont utilisé Twitter pour répandre intentionnellement des mensonges dans d'autres pays, nous pouvons supposer qu'ils étaient pour.]

     ***

     L'une des multiples études portant sur ​​la façon de diffuser des messages sur les réseaux, intitulée : « Qui va Retweeter ceci ? » a identifié automatiquement et engager des étrangers sur Twitter pour diffuser de l'information.

     Les chercheurs ont expliqué: « Puisque n'importe qui peut influencer les médias sociaux et diffuser des informations, notre travail vise à identifier et engager les bonnes personnes au bon moment sur ​​les réseaux sociaux pour aider à propager l'information en cas de besoin ».

Pour comprendre réellement cette histoire, un peu de contexte :

    * Nous avons constaté, il y a 6 ans, que le Pentagone utilisait des programmes d'intelligence artificielle pour essayer de prévoir comment les gens réagiraient à la propagande.

     * Nous avons enregistré pendant 5 ans que le ministère de la Défense utilisait la désinformation et la perturbation sur internet pour discréditer les militants et manipuler l'opinion publique, tout comme il épinglait les journalistes de la télévision et les reporters qui remettent trop en cause le gouvernement.

     * Nous avons depuis longtemps signalé que le gouvernement censure et manipule les médias sociaux. Plus de preuve ici.

     * Edward Snowden a révélé des documents de la NSA qui montrent que le gouvernement américain tente de contrôler, d'infiltrer, de manipuler et de déformer le discours en ligne, et que les agences d'espionnage manipulent et nuisent aux discussions en ligne pour promouvoir la propagande et discréditer les critiques du gouvernement.

Post-scriptum: Nous avons expliqué l'un des aspects de cette histoire - l'importance de contrôler les informations qui ont trop de succès – Février :

     Le gouvernement consacre beaucoup de main-d'œuvre et d'argent à contrôler quelles informations, quels messages et quels mouvements sociaux atteignent une diffusion telle qu'ils deviennent en fait une menace pour le statu-quo. Par exemple, la Réserve Fédérale, le Pentagone, le Département de la Sécurité intérieure, et d'autres organismes surveillent tous les réseaux sociaux pour détecter les articles qui les critiquent eux, ou le gouvernement en général. D'autres gouvernements - et des entreprises privées - font la même chose.

     Pourquoi?

     Parce qu'une information dont la diffusion explose, occupe un rang élevé sur les sites des réseaux sociaux. Donc, elle a une forte probabilité de se répandre dans la conscience populaire, de violer le secret qui permet la corruption, et de devenir un véritable défi pour les pouvoirs en place.

     Un concept proche est la « preuve sociale ». La « preuve sociale » est le principe bien connu selon lequel le public va croire quelque chose si la plupart des gens y croient. En d'autres termes, la plupart des gens ont l'instinct grégaire : si une information a du succès, davantage de gens sont enclins à la croire et à être influencés par elle.

     C'est pourquoi les pouvoirs vont très loin - en utilisant la puissance de l'informatique et des ressources humaines – pour contrôler la dynamique des réseaux sociaux. Si une information qui critique le pouvoir, gagne du terrain, ils iront très loin pour tuer sa dynamique, et détruire la preuve sociale, qui augmente beaucoup avec les votes,les appréciations favorables et les recommandations sur ces réseaux.

     Ils peuvent choisir d'inonder les réseaux sociaux de commentaires favorables au pouvoir, en utilisant des armées de marionnettes, c'est-à-dire de fausses identités dans ces médias..

 

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Des milliers de vols annulés alors que des pilotes vaccinés tombent malades ou meurent

27 Juin 2021, 14:33pm

Des milliers de vols annulés alors que des pilotes vaccinés tombent malades ou meurent
Des milliers de vols annulés alors que des pilotes vaccinés tombent malades ou meurent
Des milliers de vols annulés alors que des pilotes vaccinés tombent malades ou meurent
Des milliers de vols annulés alors que des pilotes vaccinés tombent malades ou meurent

- The Colorado Herald  - 21 juin 2021

https://thecoloradoherald.com/2021/thousands-of-flights-cancelled-as-vaccinated-pilots-fall-ill-or-die/

 

Selon une étude de 2014 publiée dans le Journal of Thrombosis and Haemostasis, les pilotes présentent un risque accru de problèmes de coagulation en raison de voyages aériens fréquents et prolongés. Les pilotes sont encouragés à être conscients des signes de thrombose veineuse profonde et des problèmes de coagulation et à prendre des mesures préventives telles que des bas de compression et l'étirement de leurs jambes pendant les longs vols.

Medical News Today a publié le 15 juin 2021 une étude montrant un risque accru de coagulation sanguine et de faibles plaquettes chez les personnes ayant reçu le vaccin AstraZeneca COVID-19. Certains scientifiques émettent l'hypothèse qu'étant donné que l'acide éthylène diamine tétraacétique (EDTA) contenu dans la piqûre provoque une réaction de tout le corps, une fois que le vaccin entre en contact avec les plaquettes à l'intérieur du corps humain, le vaccin active ces plaquettes, les amenant à changer de forme et à transmettre des signaux chimiques au système immunitaire. Ces plaquettes envoient le facteur plaquettaire 4 (PF4), qui régule la coagulation du sang.

Cependant, chez certaines personnes, après un temps indéterminé, au hasard, le PF4 s'accroche au vaccin et de grands "complexes" se forment. Comme ces complexes sont "inconnus", le corps humain interprète ces amas comme des menaces. Ainsi, les cellules immunitaires du corps attaquent par erreur les PF4, ce qui les empêche de prévenir les caillots problématiques observés chez certains receveurs du vaccin COVID-19.

Les pilotes ont un risque accru de caillots sanguins. Les personnes ayant reçu le vaccin COVID-19 ont un risque accru de caillots sanguins. Reuter's et Fact Checkers ne peuvent pas cacher le fait qu'un risque accru par-dessus un risque accru est potentiellement un désastre, mais ni l'un ni l'autre n'a de considération pour la vie humaine ou la vérité, comme le prouve la propagande qu'ils créent actuellement à chaque minute.

Delta Airlines exige désormais le vaccin COVID-19 pour tous ses nouveaux employés, ce qui les expose à un risque potentiel de caillots sanguins et de décès. American Airlines n'exige pas le vaccin mais donne à ses employés un jour de congé et 50 dollars pour se faire vacciner. Delta et American Airlines ne mentionnent jamais le risque inhérent pour les employés non aériens, et encore moins pour ceux qui passent beaucoup de temps en altitude.

Chez British Airways, au moins quatre pilotes sont décédés cette semaine, mais la compagnie aérienne tient à ce que vous sachiez que leurs décès n'ont aucun lien avec le vaccin COVID-19 ; Reuter's et Fact Checkers s'efforcent de dissiper toute rumeur selon laquelle les pilotes auraient pu mourir à cause du vaccin COVID-19. British Airways se vante que 85 % de ses employés sont vaccinés. Les compagnies aériennes sont si promptes à obéir au récit du vaccin COVID-19 qu'elles oublient que le bien-être de leurs propres employés est en jeu.

Selon flightaware.com, 120 000 annulations par an est une moyenne pour les vols mondiaux. Un jour moyen verrait 329 annulations. Une moyenne de 2 jours verrait 658 annulations. Mais entre vendredi et samedi, 3 533 annulations ont eu lieu. Cela représente une augmentation de 580 % des annulations au niveau mondial au cours des deux derniers jours.

Southwest a retardé ou annulé des centaines de vols la semaine dernière et a attribué ces annulations et ces retards à une série de problèmes tels que des difficultés techniques et la météo. American Airlines a annoncé dimanche qu'elle allait annuler des centaines de vols jusqu'à la mi-juillet. La compagnie attribue l'annulation préventive de ses vols à des problèmes météorologiques et à des pénuries de main-d'œuvre. British Airways, qui a vu au moins 4 pilotes mourir récemment, a annulé des centaines de vols mais a ensuite mis au chômage technique des milliers de ses employés avec un salaire de 85 % cette semaine.

Ne vous inquiétez pas ; les mêmes agences (médias grand public, Reuters et Fact Checkers) chargées d'étudier la sécurité et l'efficacité d'un vaccin pour le grand public et pour les pilotes qui transportent 6 millions de personnes par jour ont également exclu une fuite du laboratoire de Wuhan et toute fraude électorale concevable lors des élections de 2020. Ces agences ont changé de position sur l'une de ces questions, la fuite du laboratoire de Wuhan, seulement après qu'il soit devenu impossible de ne pas le faire. Un jour, il est concevable que les médias reviennent sur leur position concernant le vaccin COVID-19... quand il deviendra impossible de ne pas le faire...

Les pilotes sont déjà exposés à un risque accru de caillots sanguins ; les classer dans la catégorie des personnes à haut risque pour un vaccin dont l'effet secondaire connu est la formation de caillots sanguins n'est pas de la désinformation. C'est de la science.

Pour l'instant, les pilotes devraient exercer leur droit à la liberté médicale et refuser de se faire vacciner. Il est clair que la vérité n'est pas prête d'arriver.

~Darcy Schoening

 

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L'agenda caché derrière les opérations de chemtrails bien réelles du gouvernement britannique

26 Novembre 2023, 19:28pm

L'agenda caché derrière les opérations de chemtrails bien réelles du gouvernement britannique

L'EXPOSÉ - LE 24 NOVEMBRE 2023 •

 

« Les chemtrails ne sont pas nouveaux. Nous commençons tout juste à les remarquer, c'est le choc pour nous", a déclaré un pilote de ligne commerciale lors d'une récente interview.

 

« Ils le font depuis des années. Ils ont été lancés aux États-Unis. Les Rockefeller étaient impliqués dans le sponsoring. Une grande partie de ces opérations se font depuis l’arrière des avions militaires, en particulier des avions de transport militaire. »

 

Le pilote de ligne a déclaré ce qui précède lors d'un entretien avec l'animateur de Drake Michigan, Ant Critchley. Pour protéger l’anonymat du pilote, aux fins de l’entretien, il a reçu le nom de Mark.

 

Mark est pilote depuis 34 ans et a piloté pendant cette période plus de 26 types d'avions différents. Son expérience s'étend des essais en vol au vol de fret spécialisé, et il a également piloté des avions pour des compagnies aériennes militaires et commerciales.

 

"Les deux objectifs des chemtrails sont très, très clairs", a-t-il déclaré à Critchley. C’est pour nous empoisonner et bloquer le soleil. Les plantes ont besoin de la lumière du soleil pour la photosynthèse et notre corps, par exemple, a besoin de la lumière du soleil pour produire de la vitamine D. Ainsi, bloquer le soleil aura un impact néfaste et menacera la survie de toute vie sur Terre.

 

Dans la vidéo ci-dessus, Mark a expliqué qu'il y a de nombreuses années, un premier officier lui avait parlé des chemtrails. À l’époque, Mark l’avait complètement rejeté en disant que c’était « un non-sens total, ils ne feraient jamais ça ». Et il n’y a jamais réfléchi jusqu’à il y a environ trois ans.

 

Il y a environ trois ans, il rencontrait des amis dans un café à la campagne lorsqu'il a vu dans le ciel une ligne allant du nord au sud, qu'il estimait longue de 16 km, avec 13 lignes plus courtes de 3 à 5 km de long qui la traversaient. . "Ce qui est curieux, c'est qu'elles sont restées là pendant 40 minutes", a déclaré Mark.

 

Il a contacté un collègue à l'aéroport local qui disposait d'un système de surveillance dépendante automatique-diffusion (« ADS-B »). L'ADS-B est un logiciel de surveillance ou de suivi qui s'appuie sur les avions ou les véhicules aéroportuaires diffusant leur identité, leur position et d'autres informations dérivées d'un système embarqué.

 

Mark a demandé à son collègue s'il y avait un avion au-dessus de l'aéroport volant à environ 3,6 km ou 4 km « faisant des traînées ondulées ». Le collègue de Mark a répondu "Non, mais il y en a un à 3 km". Mark s'est alors souvenu de la conversation avec le premier officier des années auparavant et s'est rendu compte que les traînées qu'il avait vues étaient des chemtrails.

 

Que sont les traînées de condensation ?

 

Il y a une différence entre un contrail = une traînée de condensation, et un chemtrail = une traînée chimique. Pour comprendre la différence, nous devons comprendre comment se forment les traînées de condensation, a déclaré Mark.

 

« À mesure que nous montons, tous les 3 km environ, la température baisse d’environ 2°C. Et elle descend jusqu'à environ -63°C, parfois 65. Ces températures se situent autour de 11,3-11,6 km. Les traînées de condensation ne peuvent physiquement commencer à se former qu'à 8,5 km, soit environ - 40°C. Une traînée de condensation, c'est de la vapeur d'eau. En fait, il s’agit de milliards et de milliards de cristaux de glace », a expliqué Mark.

 

La raison pour laquelle nous ne voyons pas systématiquement le même nombre de traînées de condensation d’un jour à l’autre, en supposant que les horaires de vol des compagnies aériennes restent cohérents, est que l’humidité de l’air dans lequel l’avion vole joue également un rôle. "À mesure que la température diminue, la zone d'air est moins capable de retenir la vapeur d'eau [ou] l'humidité de l'eau", a déclaré Mark.

 

Le point de rosée est la température à laquelle l'air doit être refroidi (à pression constante) pour atteindre une humidité relative (HR) de 100 %. À ce stade, l’air ne peut plus retenir d’eau sous forme gazeuse. Si l’air devait être encore plus refroidi, la vapeur d’eau devrait sortir de l’atmosphère sous forme liquide, généralement sous forme de brouillard ou de précipitations.

 

À 9,1 km et volant dans une zone d'air sec, "Je peux regarder dans ma caméra de recul et je ne vois absolument rien sortir de l'arrière de mes moteurs", a déclaré Mark. « Mais ensuite, je peux voler… et ressentir un peu de turbulence, juste pendant une fraction de seconde, et je regarde ma jauge de température et il faisait moins 63 et il fait maintenant moins 64… Je regarde maintenant dans la caméra et je vois que l'avion laisse une traînée.

 

D’un autre côté, les chemtrails sont appliqués entre 3 km et 3,7 km.

 

Pourquoi les avions n'apparaissent-ils pas sur les radars de vol ?

 

Tous les avions sont équipés de transpondeurs. "Vous ne pouvez pas décoller sans un, c'est la loi", a déclaré Mark. Les signaux des transpondeurs sont captés par les radars de vol de la circulation aérienne afin que tout avion particulier puisse être identifié avec certitude. Avant qu'un avion ne décolle, le pilote se voit attribuer un code à quatre chiffres. Lorsque le contrôleur aérien voit le code sur son radar, il sait de quel avion il s’agit, pour qui l’avion est immatriculé, le plan de vol et aussi d’autres informations comme une lecture de l’altimètre du commandant de bord.

 

« Mais ce qui laisse perplexe les gens, c'est que lorsqu'ils allument leur Flightradar24 ou leur application ASD-B sur leur téléphone ou leur appareil intelligent, ils ne peuvent pas voir ces avions [qui pulvérisent des chemtrails]… c'est parce qu'il y a eu un correctif logiciel [pour le transpondeur] de sorte que chaque fois qu'il y a une banque de ces codes de transpondeur et qu'ils sont attribués, nous ne pouvons pas les voir », a expliqué Mark. "C'est pourquoi nous avons du mal à localiser physiquement ces avions."

 

La CAA sait ce qu’ils font

 

Le jour où il a vu la longue traînée nord-sud traversée par 13 autres, Mark a pu obtenir une immatriculation pour l'avion auprès de son collègue à l'aéroport local. Grâce à l’enregistrement, les recherches de Mark ont conduit à la société britannique 2Excel Aviation Broadsword.

 

2Excel a été lancé par deux anciens pilotes de la Royal Air Force et son PDG est Andy Offer. Offer avait auparavant un partenaire commercial qui s’est « esquivé », a déclaré Mark. Ajoutant que l’ancien partenaire commercial a depuis vu sa réputation complètement détruite par des affirmations fallacieuses.

 

2Excel fait venir des États-Unis deux Boeing 727. "C'étaient déjà des avions cargo, donc ils se prêtent bien à la conversion", a déclaré Mark. "Ces avions ont sept réservoirs latéraux d'avant en arrière... et il y a une flèche fixe à l'arrière de l'avion qui passe sous [ ] deux [des] moteurs", a déclaré Mark.

 

Selon le site Web de 2Excel, l’entreprise répond aux marées noires en pulvérisant des détergents sur le pétrole. Mais Mark ne comprenait pas pourquoi l’entreprise avait besoin de deux avions pour faire face à des marées noires. « Combien de marées noires avons-nous eu au Royaume-Uni au cours des 20 dernières années ? Pourquoi en ont-ils besoin de deux ? Pensa Mark. L’entretien et le pilotage de ces avions coûtent cher, mais il n’y avait apparemment aucun revenu. "Donc, cela m'a immédiatement rendu méfiant", a-t-il déclaré.

 

2Excel possède deux certificats d’exploitant aérien (« AOC ») délivrés par l’autorité de l’aviation civile (« CAA »). La première consiste à voler à basse altitude au-dessus de la mer, car cela leur permettrait de pulvériser des détergents sur les marées noires. Mais l’autre consiste à survoler des zones forestières. Mais ils ne survolaient pas des zones forestières, 2Excel survolait Londres, Birmingham, Glasgow ou Manchester. "C'est donc une violation flagrante [de son AOC]", a déclaré Mark.

 

Des gens se sont plaints auprès de la CAA du fait que 2Excel violait ses AOC, mais la réponse a été les habituelles accusations de « théorie du complot ». "Cela… pour moi, met en cause la CAA… La bonne nouvelle est que si nous regardons les avantages, et il y a un avantage à cela, cela met en cause toutes les personnes dont nous ne savions probablement pas auparavant qu'elles étaient impliquées dans le narratif ", a-t-il déclaré.

 

Mark a ensuite expliqué plus en détail le processus à la CAA pour obtenir diverses licences et les inspections de la CAA que 2Excel devrait réussir pour pouvoir fonctionner. Par souci de brièveté, nous n’avons pas décrit ces processus ici.

 

« 2Excel Aviation est très bien organisé. Ils étaient à Doncaster, qui était leur base principale pour les 727. Et ils disposent d’une flotte d’autres avions plus petits qui participent au travail des garde-côtes – contrôle, surveillance. Qu'est ce qu'ils regardent? Nous ne savons pas.

 

2Excel possède également un hangar pour avions à l'aéroport de Lasham, juste à l'ouest de Londres, qui est un site privilégié pour le vol à voile. Les autres aéroports où il y a eu « une certaine action » sont ceux de Newquay, Bournemouth et Prestwick. "Ce sont des endroits idéaux pour opérer, presque furtivement, car il n'y a pas d'observateurs [d'avions] là-bas", a expliqué Mark.

 

Il existe une autre société appelée RVL Aviation basée à l'aéroport d'East Midlands. Il s'agit d'une société enregistrée au Danemark qui possède des avions légers bimoteurs. L'entreprise effectue des travaux de surveillance, de garde-côte, de surveillance et d'échantillonnage de l'air. «Ces [avions] ne font pas la pulvérisation, mais ce sont ceux que vous pouvez occasionnellement voir sur les radars de vol qui effectuent ces motifs de traînées – tous ces motifs où ils montent et descendent, montent et descendent, montent et descendent et ils finissent par couvrir une vaste zone. Ce qu’ils regardent, ce qu’ils surveillent, je n’en ai aucune idée », a déclaré Mark. Leur activité est en augmentation, notamment au cours des 18 derniers mois.

 

RVL est une opération plus petite que 2 Excel. RVL a acheté au moins deux Boeing 737 à l'opérateur cargo Western Atlantic. Ces 737 font partie d'un groupe d'avions peints entièrement en blanc et sont donc appelés « queues blanches » et ont été repérés en train de pulvériser des chemtrails au-dessus de Cornwall. Les avions de RVL opèrent à partir des aéroports de Newquay, Southampton, Stansted, Teesside, Prestwick et Liverpool.

 

Il existe d'autres sociétés – comme Delta Airlines enregistrée à Atlanta, en Géorgie – mais 2Excel et RVL sont également enregistrées.

2Excel et RVL effectuent la plupart des chemtrails dans le ciel britannique.

 

Les pilotes savent ce qu’ils font

 

Une fois que vous commencez à poser une question, cela ouvre la porte à d’autres questions. L’avion décolle de Teesside, où va-t-il ? Qui a dit au pilote où aller ?

 

Mark a vu jusqu'à cinq avions à la fois dans le ciel qui volaient en parallèle les uns avec les autres, puis « allaient dans des directions différentes, se reformaient et revenaient ». Donc, quelqu'un coordonne les vols. Le plan de vol de l’avion sera dans l’ordinateur de bord mais ce sera aux pilotes de décider du début ou de l’arrêt de l’épandage de produits chimiques.

 

« Ce qu’ils font est très artificiel, très volontaire et les gens disent : ‘Eh bien, je ne peux pas croire que les pilotes sachent qu’ils le font’. Eh bien, laissez-moi vous assurer qu'ils le font", a déclaré Mark.

 

L'équipage doit être agréé par la CAA pour piloter cet avion particulier. Pratiquement tous ces pilotes sont d'anciens membres de la RAF, a déclaré Mark. « C'est essentiel parce que les gars de la RAF sont habitués à mener, disons, des opérations clandestines – des opérations inhabituelles… et ils ont aussi, et surtout, signé la loi sur les secrets officiels, ce qui signifie qu'ils ne parlent pas… Chose intéressante, presque exclusivement, les ingénieurs qui entretiennent les deux 727 [de 2Excel] sont également d'anciens RAF.

 

Si les pilotes embarquent des marchandises dangereuses à bord de l'avion, qu'il s'agisse de liquides ou de radio-isotopes pour appareils à rayons X, le commandant de bord doit être en possession d'un document appelé Avis au commandant de bord (« NOTOC »). Le NOTOC détaille toutes les marchandises dangereuses à bord de l'avion et où elles se trouvent. C'est pour des raisons de sécurité en cas d'atterrissage d'urgence.

 

Mark a déclaré : « Après avoir parlé aux chefs des pompiers de plusieurs aéroports, les deux avions qu'ils sont très nerveux à l'idée de voir arriver avec un Mayday( Ndt : procédure d'urgence) des avions militaires – parce qu'ils ne savent pas si les missiles sous l'aile sont sous tension ou armés – [et] l'autre est un avion cargo parce qu'ils n'ont aucune idée de ce qu'il a à bord… Donc, la première chose qu'un commandant de bord devrait faire lorsqu'il manque d'avion est de prendre son carnet de vol et son NOTOC car il pourra alors le remettre au chef des pompiers… Ainsi, ces capitaines recevront un [NOTOC], ou devraient le recevoir.

 

«Malheureusement, quand je vous parle des statistiques sur le nombre de pilotes [non-chemtrail] qui sont au courant des événements actuels [c'est faible], je pense qu'ils sont beaucoup plus nombreux à le savoir maintenant. Mais c’est aussi la même chose avec les ingénieurs. Je connais de très bons ingénieurs éveillés, mais ils sont minoritaires. Et quand ils vont au travail, ils disent « Eh bien, il y a encore cette manivelle », vous savez, et ils sont attaqués. Et ce sont les ingénieurs qui réparent les avions. Les [ingénieurs] qui fabriquent les cargos conçus pour pulvériser, ont évidemment des accords de non-divulgation, ils ont probablement signé la loi sur les secrets officiels, qui sait.

 

Pourquoi le font-ils ?

 

C’est vraiment difficile de comprendre la mentalité des gens impliqués dans les chemtrails. "Cela s'appelle la normalisation de la déviance", a déclaré Mark.

 

Le concept de normalisation de la déviance a été identifié pour la première fois au sein de la National Aeronautics and Space Administration (« NASA »). La sociologue américaine Diane Vaughan définit la « normalisation de la déviance » comme « le processus graduel par lequel des pratiques ou des normes inacceptables deviennent acceptables. À mesure que le comportement déviant se répète sans conséquences catastrophiques, il devient la norme sociale de l’organisation.

Mark a également expliqué qu'en ce qui concerne les personnes impliquées dans les programmes de chemtrails, il existe une « malhonnêteté intellectuelle ». La malhonnêteté intellectuelle est un terme utilisé pour décrire des erreurs intentionnellement commises dans les débats et les raisonnements. Il fait référence à la défense d’une position connue pour être fausse, qui est utilisée à mauvais escient pour faire avancer un programme ou renforcer des convictions profondément ancrées face à des preuves accablantes du contraire.

 

La malhonnêteté intellectuelle, c’est par exemple le fait qu’un député vous réponde en disant : « Vous êtes un imbécile, vous vous trompez. Ces chemtrails ne sont pas des chemtrails, ce sont des traînées de condensation.

 

Mark pense que les chemtrails ont été inventés aux États-Unis. « [Le Royaume-Uni] s'en occupe sous différentes formes, pas vraiment aéroportées, mais nous le faisons depuis longtemps… Beaucoup d'expériences que le gouvernement britannique faisait, il y a longtemps, [étaient] juste au sol. En règle générale, ils pulvérisaient des produits chimiques sur un train qui passait dans un tunnel… Donc, malheureusement, ce n’est pas nouveau », a-t-il déclaré.

 

Les deux objectifs principaux des chemtrails sont clairs, a-t-il déclaré. "C'est pour nous empoisonner et bloquer le soleil."

 

Aux États-Unis, des gens ont réussi à obtenir des échantillons de chemtrails et à utiliser un spectromètre de masse pour en déterminer le contenu. « Si vous regardez le contenu des chemtrails… les trois principaux ingrédients ont tendance à être le baryum, le strontium et l’oxyde d’aluminium – qui sont tous cancérigènes. Et l’aluminium provoque l’autisme et la maladie d’Alzheimer », a déclaré Mark.

 

Mark n'a pas de chiffres financiers pour RVL, mais l'année dernière, 2Excel a réalisé un chiffre d'affaires de 41 millions de livres sterling. « Sur ce montant, 25 millions de livres sterling représentaient un bénéfice », a-t-il déclaré. "Et les dividendes, les bénéfices des actionnaires, s'élevaient à 10,9 millions de livres sterling." Tout cet argent provient de l’argent que les résidents britanniques paient en impôts. « Donc, nous payons pour être empoisonnés. »

 

Le directeur financier de 2Excel, Harant Singh, crée des sociétés écran chaque semaine. Selon Mark, 2Excel compte des milliers de sociétés écrans.

« Certaines d’entre elles ferment assez rapidement. Ainsi, le gouvernement, quelles que soient les agences qu’il paie, verse à la société écran [et ensuite] la société écran est fermée. Je ne peux que supposer que RVL fait quelque chose de similaire », a-t-il déclaré.

 

On prétend que les chemtrails visent à bloquer le soleil afin de maintenir les températures mondiales dans les limites dictées par l’Accord de Paris sur le climat. Si tel était le cas, les paiements seraient alors honnêtes et aucun système élaboré ne serait conçu pour cacher les paiements aux entreprises engagées dans le chemtrailing.

 

Chemtrails et HAARP

 

Critchley a mentionné que les chemtrails peuvent prendre des apparences inhabituelles, telles que des lignes transversales ou des formes étranges. Tout a une fréquence et en fonction de la quantité de particules métalliques pulvérisées et des activités du programme de recherche aurorale active à haute fréquence (« HAARP ») à ce moment-là, ces ondes et lignes apparaîtront dans les chemtrails, a expliqué Mark.

 

Il a dit qu’il existe une installation HAARP au Royaume-Uni, située à mi-chemin de la côte galloise. Les documents de permis de construire indiquent que le but de l’installation est la communication. « Mais nous sommes allés là-bas, nous en avons des photographies… les antennes forment ce qu’on appelle un réseau multiéléments… et produisent quelque chose qu’on appelle des lobes latéraux. Ainsi, à part le faisceau d’énergie allant directement vers l’avant et vers le haut, les lobes latéraux sortent du côté et irradient tout ce qui s’y trouve.

 

Connexe : HAARP est une préoccupation mondiale en raison de son impact considérable

 

Il a expliqué le fonctionnement de HAARP et a ensuite déclaré : « Ils peuvent modifier la météo avec précision. Ils font ça depuis longtemps. Il a utilisé le tremblement de terre au Japon il y a quelques années comme exemple de la façon dont HAARP est utilisé comme une arme pour obliger les gouvernements à obéir aux exigences de la cabale mondiale – HAARP a été utilisé pour amener le Japon à « céder au système bancaire Rothschild », a déclaré Mark.

 

Il y a de nombreuses années, l'auteur Elana Freeland et l'ancien ingénieur HAARP Billy Hayes ont commencé à discuter des relations de fréquence entre le CERN, HAARP, les chemtrails, la fracturation hydraulique et même les éoliennes. Pour commencer votre recherche, vous pouvez trouver des informations utiles sur leurs recherches ICI, ICI ou sur le site Web de Freeland ICI.

 

Lectures complémentaires :

 

Les expériences de guerre biologique du Dorset, NR23

 

Test du ministère de la Défense de pulvérisation aérienne sur Norwich, NR23

 

Les familles sont convaincues que les expériences ont conduit leurs enfants à souffrir de malformations congénitales, de handicaps physiques et de difficultés d'apprentissage, Stop the War Coalition, 19 juillet 2015.

 

Comment le gouvernement britannique a effectué des tests secrets de guerre biologique sur les passagers du métro de Londres dans les années 1960 pendant la guerre froide, Daily Mail, 9 juillet 2015.

 

Que pouvons-nous faire ?

 

Ce sont des crimes contre l’humanité, nous devons riposter, a déclaré Mark. "Tout le monde peut apporter sa contribution."

 

Les gens qui regardent le podcast de Drake Michigan diront : « Eh bien, je ne suis pas un passionné d’aviation, alors que puis-je faire ? Semez des graines, dit-il. « Commencez à parler aux gens, sensibilisez-les, exprimez vos préoccupations », a-t-il déclaré.

 

« Découvrez si quelqu’un habite près de l’aéroport ou si vous avez un ami qui habite près de l’aéroport et qu’il voit quelque chose. Les clubs de spotters, les spotters d’avions, tous ces gens, ils verront des choses.

 

"J'implore quiconque travaille dans un aéroport ou vit à proximité d'un aéroport d'être plus attentif", a déclaré Mark. "Continuez à poser des questions."

 

En ce moment, tout est attaqué, par exemple la nourriture, le bétail et le poisson. L’une des astuces psychologiques utilisées est qu’ils accélèrent leur programme, nous le ressentons tous, puis ils reculent et nous poussons un soupir de soulagement. Ils accélèrent ensuite à nouveau le programme, a déclaré Mark. Alors, lorsque nous avons ce moment de soulagement, ne vous arrêtez pas mais continuez à repousser.

 

Sur le site Web Do Not Consent sont disponibles un modèle de lettre que les gens peuvent télécharger et envoyer à leur député (« MP ») ainsi qu'un deuxième modèle de lettre qui peut être utilisé pour envoyer une lettre au Premier ministre britannique. Pour le moment, les députés sont en vacances d’été, vous devrez donc soit remettre la lettre en main propre, soit l’envoyer par courrier recommandé. Il existe également une campagne d’autocollants jaunes qui a été lancée sur les profils de réseaux sociaux, indiquant que nous n’acceptons pas d’être gouvernés par un régime tyrannique.

 

Article en anglais ( avec liens ) :

 

https://expose-news.com/2023/11/24/hidden-agenda-behind-uk-gov-chemtrail-operations/

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Une nouvelle étude met en lumière le culte apocalyptique des vaccins

5 Mai 2021, 19:59pm

Mike Whitney - May 3, 2021 - UNZ

 

 

"Le calcul bénéfice-risque est donc clair : les vaccins expérimentaux sont inutiles, inefficaces et dangereux. Les acteurs qui autorisent, contraignent ou administrent la vaccination expérimentale COVID-19 exposent les populations et les patients à des risques médicaux graves, inutiles et injustifiés." Médecins pour l'éthique du Covid, 29 avril 2021

 

 

Une nouvelle étude explosive réalisée par des chercheurs du prestigieux Salk Institute jette le doute sur la série actuelle de vaccins à base de gènes, qui pourraient présenter un risque grave pour la santé publique. L'article, intitulé "The novel coronavirus' spike protein plays additional key role in illness", montre que la "protéine 'spike' distinctive" du SRAS-CoV-2... "endommage les cellules, confirmant que le COVID-19 est une maladie essentiellement vasculaire". Bien que l'article se concentre strictement sur les problèmes liés au COVID-19, il soulève inévitablement des questions sur les nouveaux vaccins qui contiennent des milliards de protéines spike qui pourraient augmenter considérablement les risques de maladie grave ou de décès. Voici un extrait de l'article daté du 30 avril 2021 :

 

"Dans la nouvelle étude, les chercheurs ont créé un "pseudovirus" qui était entouré de la couronne classique de protéines de pointe du SRAS-CoV-2, mais qui ne contenait aucun virus réel. L'exposition à ce pseudovirus a entraîné des lésions des poumons et des artères chez l'animal, ce qui prouve que la protéine de pointe seule suffit à provoquer la maladie. Les échantillons de tissus ont révélé une inflammation des cellules endothéliales qui tapissent les parois des artères pulmonaires. (Note : "Les cellules endothéliales vasculaires tapissent l'ensemble du système circulatoire, du cœur aux plus petits capillaires").

 

L'équipe a ensuite reproduit ce processus en laboratoire, en exposant des cellules endothéliales saines (qui tapissent les artères) à la protéine spike. Ils ont montré que la protéine spike endommageait les cellules en se liant à l'ACE2. Cette liaison a perturbé la signalisation moléculaire de l'ACE2 aux mitochondries (organites qui produisent de l'énergie pour les cellules), ce qui a endommagé et fragmenté les mitochondries.

 

Des études antérieures ont montré un effet similaire lorsque les cellules étaient exposées au virus SRAS-CoV-2, mais il s'agit de la première étude à montrer que les dommages se produisent lorsque les cellules sont exposées à la protéine spike seule." ("The novel coronavirus' spike protein plays additional key role in illness", Salk.edu)

 

Ce nouveau document de recherche est l'équivalent d'une bombe à hydrogène. Il change tout en confirmant ce que les détracteurs des vaccins ont théorisé pendant des mois sans pouvoir le prouver.

 

Il existe maintenant des preuves solides que :

 

1. Le Covid-19 est principalement une maladie du système vasculaire (Le système vasculaire, également appelé système circulatoire, est constitué des vaisseaux qui transportent le sang et la lymphe dans le corps) et non du système respiratoire.

2.Le principal coupable est la protéine spike. (Protéine spike-"une glycoprotéine qui fait saillie de l'enveloppe de certains virus" Merriam-Webster "Comme une clé dans une serrure, ces protéines spike fusionnent avec des récepteurs à la surface des cellules, permettant au code génétique du virus d'envahir la cellule hôte, de prendre le contrôle de ses mécanismes et de se répliquer." Bruce Lieberman)

 

En d'autres termes, si le Covid-19 est avant tout une maladie vasculaire et si le principal instrument des dommages physiques est la protéine spike, alors pourquoi injectons-nous aux gens des milliards de protéines spike ?

 

Voici comment l'architecte et auteur, Robin Monotti Graziadei, a résumé ces développements sur You Tube :

 

"Donc, on nous a dit l'année dernière que le seul rôle que la protéine spike était censée jouer était d'entrer dans les cellules humaines. (Mais) il est clair que ce n'est pas ce qu'ils font, (puisqu') ils vous donnent la maladie, la maladie vasculaire. La maladie vasculaire peut avoir de nombreuses manifestations. Il peut s'agir de thromboses des veines sinusales, de caillots sanguins, d'hématomes et d'affections à plus long terme. Pensez-vous que c'est une bonne idée de contourner les premières (défenses) de votre système immunitaire, ...et d'injecter... des trillions de protéines de pointe dans vos cellules compte tenu des informations qui viennent d'être publiées par le Salk Institute ? Réfléchissez...

 

Les chercheurs du Salk Institute nous ont dit -sans aucune ambiguïté- que la protéine spike est un élément fondamental de la maladie de Covid-19. Oui, il est vrai que la protéine spike avec la protéine N, ne se réplique pas. Cependant, des trillions (de ces protéines) induites par l'injection du vaccin ont la capacité de créer des dommages dans votre système vasculaire. C'est ce que dit l'étude et ce qui a été publié par un centre d'études biologiques extrêmement important. Il ne s'agit pas d'une théorie de la conspiration. Je pense qu'à ce stade, il y a suffisamment d'informations pour se demander si l'on nous dira la vérité dans les prochains jours, car ces informations devraient faire la couverture de tous les journaux et être à la une de toutes les chaînes d'information. Et ce qu'ils devraient dire est ceci : "La base fondamentale et technologique - sur laquelle reposent tous les vaccins qui ont été distribués en Occident - est défectueuse. Nous pensions que la protéine de pointe n'entrerait dans les cellules que pour créer des anticorps, de sorte que si vous étiez confronté au virus sauvage, il ne s'accrocherait pas à vos cellules, mais nous avions tort. Nous avions tort car la protéine spike en elle-même, crée la maladie, et si vous en injectez des trillions dans un corps humain, il y aura des manifestations de la maladie dans de nombreux cas." Il n'est pas sûr d'injecter des trillions de protéines spike dans un muscle, car cela contourne les couches de votre système immunitaire qui auraient pu potentiellement neutraliser le virus...En franchissant le seuil du corps humain par l'injection de ces composés, vous ne donnez pas à votre système immunitaire la possibilité d'organiser une réponse suffisamment forte à la protéine spike pour la neutraliser. Si vous acceptez (de prendre) l'un de ces vaccins, (le vaccin) contiendra cette protéine de pointe génératrice de maladie. ....C'est maintenant à nous d'essayer de réparer l'erreur qu'ils ont commise." (Robin Monotti Graziadei sur le nouveau document de recherche du Salk Institute, You Tube, -Voir avant suppression)

 

Parfaitement énoncé et en plein dans le mille. Graziadei extrapole le sens caché du rapport Salk et clarifie sa signification. Comment les responsables de la santé publique, les politiciens, les médias et le reste du camp pro-Covid Vaxx vont-ils réagir à ces révélations, surtout avec l'imprimatur du Salk Institute apposé au recto du rapport ? Vont-ils essayer de balayer l'affaire sous le tapis ou de détourner l'attention du public vers le hobgobelin de la "variante" ? Ou bien tenteront-ils quelque chose d'entièrement différent, comme prétendre qu'une catégorie de protéines de pointe est bonne pour la santé alors que d'autres entraînent des maladies prolongées et la mort ? Que vont-ils faire ?

 

Le docteur Vladimir Zelenko, qui a été proposé pour le prix Nobel de la paix pour son utilisation de l'hydroxychloroquine dans le traitement des patients atteints du COVID-19, a déclaré ceci : "Comprenez-vous ce que cela signifie ? Nous injectons le code génétique viral de la protéine spike à des personnes innocentes et elle s'introduit dans presque toutes les cellules du corps." (Candidat au prix Nobel, Zelenko a également été banni de Twitter).

 

En effet, c'est précisément ce qu'ils ont fait. Et, n'oublions pas, les fabricants de vaccins bénéficient d'une immunité juridique totale pour les blessures qu'ils produisent. L'immunité légale signifie l'impunité morale.

 

Alors, quel effet ces protéines de pointe auront-elles sur les personnes qui se sont fait vacciner ?

Voici ce que les Médecins pour l'éthique de la vaccination ont à dire dans leur dernier article publié cette semaine :

 

"Les vaccins sont dangereux tant pour les personnes en bonne santé que pour celles souffrant de maladies chroniques préexistantes, pour les raisons suivantes : risque de perturbations létales et non létales de la coagulation sanguine, y compris les troubles de la coagulation, la thrombose cérébrale, les accidents vasculaires cérébraux et les crises cardiaques ; réactions auto-immunes et allergiques ; renforcement de la maladie par les anticorps ; et impuretés des vaccins dues à une fabrication précipitée et à des normes de production non réglementées.....

...on peut s'attendre à ce que tous les vaccins à base de gènes provoquent des troubles de la coagulation du sang et des saignements..... Les vaccins ne sont pas sûrs". ("COVID Vaccines : Necessity, Efficacy and Safety", Doctors for Covid Ethics)

 

C'est écrit noir sur blanc : "Les vaccins ne sont pas sûrs". Voici un autre extrait d'un article de Children's Health Defense sur le professeur Yehuda Shoenfeld, l'immunologiste clinique israélien qui est largement considéré comme le "père de l'auto-immunité". Shoenfeld aborde la question sous un angle entièrement différent. Jetez-y un coup d'œil :

 

"La principale préoccupation de Shoenfeld se résume à ce que l'on appelle le mimétisme moléculaire. Il y a un certain nombre de séquences génétiques qui sont identiques dans le génome humain et dans celui du SRAS-CoV-2 ?

 

Les immunologistes attirent particulièrement l'attention sur les séquences identiques dans un groupe spécifique de protéines que l'on trouve dans les poumons (le site du SDRA et de la pneumonie covarienne).

 

C'est la raison pour laquelle Shoenfeld et ses collègues ont alerté pendant la phase de développement du vaccin l'année dernière, en faisant valoir que les séquences peptidiques utilisées dans les nouveaux vaccins devraient être uniques et ne pas être communes à celles que l'on trouve dans l'organisme.

 

Selon Shoenfeld et ses collègues, une réaction indésirable au vaccin pourrait suffire à faire basculer une personne prédisposée dans une maladie auto-immune. L'un des signes les plus évidents de prédisposition est d'être déjà atteint de l'une des plus de 100 maladies auto-immunes qui sévissent dans les sociétés industrialisées. Pourtant, alors que le père de l'auto-immunité tire la sonnette d'alarme sur les risques auto-immuns, les gouvernements qui lancent les programmes de vaccination de masse n'émettent pratiquement aucun mot d'avertissement. Honte à eux !" ("Are We on the Verge of a 'Super-Epidemic' of Autoimmune Diseases ?") Children's Health Defense)

 

Ma compréhension limitée du "mimétisme moléculaire" est la suivante : En injectant dans l'organisme des protéines si semblables aux protéines Covid qui font des ravages dans le système vasculaire, nous pourrions déclencher une situation dans laquelle le système immunitaire de l'organisme attaque ses propres organes ou son système vasculaire. C'est pourquoi l'auteur s'interroge : Sommes-nous à la veille d'une "super-épidémie" de maladies auto-immunes ?

 

Dans des articles précédents, nous avons présenté les points de vue de scientifiques et de professionnels de la santé qui ont anticipé les questions qui se posent actuellement à propos de la protéine spike. Par exemple, voici un extrait d'un article du rhumatologue pédiatrique, le Dr J. Patrick Whelan, qui a déclaré ce qui suit dans une lettre adressée à la FDA :

 

"Je suis préoccupé par la possibilité que les nouveaux vaccins visant à créer une immunité contre la protéine spike du SRAS-CoV-2 puissent causer des lésions microvasculaires au cerveau, au cœur, au foie et aux reins d'une manière qui ne semble pas avoir été évaluée actuellement dans les essais de sécurité de ces médicaments potentiels.....

"Avant que l'un de ces vaccins ne soit approuvé pour une utilisation généralisée chez l'homme, il est important d'évaluer chez les sujets vaccinés les effets de la vaccination sur le cœur. Aussi important qu'il soit d'arrêter rapidement la propagation du virus en immunisant la population, il serait bien pire que des centaines de millions de personnes subissent des dommages durables, voire permanents, à la microvasculature de leur cerveau ou de leur cœur, parce qu'on n'a pas su apprécier à court terme un effet involontaire à long terme des vaccins à base de protéine de pointe sur ces autres organes." ("Scientists Challenge Health Officials on Vaccinating People Who Already Had COVID", Global Research)

Nous avons également souligné que "les vaccins à base de gènes libèrent une protéine spike qui se répand dans tout le corps, se retrouve piégée dans la circulation sanguine et s'accumule dans la couche de cellules (cellules endothéliales) qui recouvre les vaisseaux sanguins." Nous pensons que les nouvelles recherches du Salk Institute confirment cette théorie générale.

En outre, selon le Dr Hyung Chun, cardiologue à Yale, les cellules "libèrent des cytokines inflammatoires qui exacerbent encore la réponse inflammatoire de l'organisme et conduisent à la formation de caillots sanguins". Chun a déclaré : "L'endothélium 'enflammé' contribue probablement non seulement à l'aggravation de l'issue de la COVID-19, mais est également considéré comme un facteur important contribuant au risque de crise cardiaque et d'accident vasculaire cérébral."

Cela semble suggérer que la protéine de pointe du vaccin peut avoir le même effet que la protéine de pointe de l'infection. Voici d'autres informations :

"Les personnes atteintes de COVID-19 présentent un grand nombre de symptômes neurologiques, tels que des maux de tête, une ataxie, des troubles de la conscience, des hallucinations, des accidents vasculaires cérébraux et des hémorragies cérébrales. Mais les études d'autopsie n'ont pas encore trouvé de preuves claires d'une invasion virale destructrice dans le cerveau des patients, ce qui pousse les chercheurs à envisager d'autres explications de la manière dont le SRAS-CoV-2 provoque des symptômes neurologiques.....

Si ce n'est pas une infection virale, qu'est-ce qui pourrait causer des lésions aux organes distants associées à la COVID-19 ?

Le coupable le plus probable qui a été identifié est la protéine de pointe COVID-19 libérée par l'enveloppe externe du virus dans la circulation. Les recherches citées ci-dessous ont montré que la protéine de pointe virale est capable d'initier une cascade d'événements qui déclenchent des lésions d'organes distants chez les patients atteints de COVID-19.

Il est inquiétant de constater que plusieurs études ont montré que les protéines spike ont à elles seules la capacité de provoquer des lésions étendues dans tout le corps, sans aucune trace de virus.

Ce qui rend cette découverte si inquiétante, c'est que les vaccins à ARNm COVID-19 fabriqués par Moderna et Pfizer et actuellement administrés dans tous les États-Unis programment nos cellules pour qu'elles fabriquent cette même protéine en pointe du coronavirus afin d'inciter notre corps à produire des anticorps contre le virus". ("La protéine de pointe des vaccins Moderna et Pfizer pourrait-elle provoquer des caillots sanguins, une inflammation cérébrale et des crises cardiaques ? Global Research)

La citation ci-dessus est essentielle pour comprendre ce qu'est réellement le Covid et pourquoi les nouveaux vaccins menacent d'exacerber considérablement le problème. Comme le dit Chun :

"...les études d'autopsie n'ont pas encore trouvé de preuves claires d'une invasion virale destructrice dans le cerveau des patients, ce qui pousse les chercheurs à envisager d'autres explications sur la façon dont le SRAS-CoV-2 provoque des symptômes neurologiques...."

Cette observation est correcte. Les recherches n'indiquent pas une "invasion virale dans le cerveau des patients".

Pourquoi ? Parce que - comme l'indique le rapport Salk - ce n'est pas l'infection virale qui pénètre dans le cerveau, mais la protéine de pointe qui a franchi la barrière hémato-encéphalique via le système vasculaire.

Voici encore le Dr Chun : "Quoi d'autre pourrait causer des lésions aux organes distants associés au COVID-19 ?"

Une fois de plus, ce n'est pas le virus mais la protéine spike et la réponse auto-immune.

Enfin, Chun reconnaît que les nouveaux vaccins "programment nos cellules pour qu'elles fabriquent cette même protéine de pointe du coronavirus, afin de déclencher la production d'anticorps contre le virus par notre organisme".

La production et la distribution de ces injections potentiellement mortelles vont bien au-delà de la simple imprudence. Il s'agit d'une catastrophe mondiale sans précédent qui pourrait entraîner la mort de millions de personnes. Combien de temps cette folie va-t-elle durer ?

https://www.unz.com/mwhitney/new-report-sheds-light-on-vaccine-doomsday-cult/#new_comments


 


 

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Nouveau paradigme : Les cendres volantes de charbon comme cause principale de l'appauvrissement de l'ozone stratosphérique

26 Octobre 2022, 17:23pm

Publié par Ciel Voilé

Nouveau paradigme : Les cendres volantes de charbon comme cause principale de l'appauvrissement de l'ozone stratosphérique

European Journal of Applied Sciences – Vol. 10, No. 5

Publication Date: October 25, 2022

DOI:10.14738/aivp.105.13208.

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Nouveau paradigme : Les cendres volantes de charbon comme cause principale de l'appauvrissement de l'ozone stratosphérique

 

Mark Whiteside, M.D., M.P.H.

Florida Department of Health, Key West, FL 33040 USA

 

J. Marvin Herndon, Ph.D.

Transdyne Corporation, San Diego, CA 92131 USA

 

RÉSUMÉ

Nous apportons de nouvelles preuves irréfutables que les cendres volantes de charbon en aérosol et leurs divers composants, en particulier le fer, sont la cause principale de l'appauvrissement de l'ozone stratosphérique, et non les gaz chlorofluorocarbones (CFC), comme le " décrète " le Protocole de Montréal de 1989. Les cendres volantes de charbon en aérosol sont une "potion de sorcière" toxique composée de nombreux éléments et substances qui détruisent l'ozone directement et indirectement par de nombreuses réactions chimiques, dont on ne connaît pas encore toute l'ampleur. La théorie dominante de l'appauvrissement de l'ozone par les CFC est tout simplement fausse et ne tient pas compte des multiples réactions chimiques et photochimiques qui détruisent l'ozone stratosphérique. Nous discutons du rôle principal des particules de cendres volantes de charbon dans la nucléation de la glace et la formation de nuages dans la troposphère supérieure et la stratosphère, et nous réfutons l'idée que les matières météoriques ou extraterrestres seraient responsables des nuages stratosphériques polaires. Nous fournissons de nombreux documents montrant que le fer et plusieurs autres éléments présents dans les cendres volantes de charbon sont piégés dans les nuages stratosphériques polaires et détruisent l'ozone par divers moyens, notamment lorsqu'ils sont libérés au printemps. Les récentes découvertes scientifiques corroborent pour soutenir fortement le nouveau paradigme de l'appauvrissement de l'ozone stratosphérique par les cendres volantes de charbon. Le "monde non évité" par le protocole de Montréal est déjà là : La biosphère est en train de s'effondrer en raison d'un réchauffement planétaire incontrôlé et de la pénétration de rayons ultraviolets mortels à la surface de la Terre. Ce nouveau changement de paradigme doit être mis en œuvre. Le temps presse pour sauver ce que nous pouvons des systèmes vitaux de la Terre, y compris la couche d'ozone stratosphérique. Nous réaffirmons que toutes les sources de cendres volantes de charbon en aérosol doivent être réduites et/ou éliminées. Toutes les formes de géo-ingénierie doivent cesser immédiatement si nous voulons survivre en tant qu'espèce. L'attaque délibérée contre les processus naturels de la Terre constitue, selon nous, rien de moins qu'un acte de trahison planétaire.

 

INTRODUCTION

 

Nous avons précédemment fourni des preuves irréfutables que les particules de cendres volantes de charbon, et non les chlorofluorocarbones (CFC), sont la cause principale de l'appauvrissement de l'ozone stratosphérique, par le biais de nombreuses réactions qui détruisent l'ozone, illustrées graphiquement sur la figure 1 de [1].

Figure 1. Graphique illustrant les principales sources de cendres volantes de charbon aérosolisées dans un nuage stratosphérique polaire chargé de particules, et certains des nombreux composants des cendres volantes de charbon qui détruisent directement l'ozone, tiré de [2]

Figure 1. Graphique illustrant les principales sources de cendres volantes de charbon aérosolisées dans un nuage stratosphérique polaire chargé de particules, et certains des nombreux composants des cendres volantes de charbon qui détruisent directement l'ozone, tiré de [2]

Les cendres volantes de charbon peuvent elles-mêmes détruire l'ozone de diverses manières [1, 3-8]. L'ozone stratosphérique peut être détruit par des halogènes réactifs, comme le chlore, le brome, le fluor et l'iode, que l'on trouve dans les cendres volantes de charbon [9]. Ironiquement, la combustion du charbon produit même certains chlorofluorocarbones que l'on retrouve dans les cendres volantes de charbon [10]. Les données expérimentales montrent que les différents composants des cendres volantes de charbon peuvent absorber ou détruire l'ozone. Par exemple, il existe une absorption réactive de l'ozone sur les oxydes minéraux, notamment ceux d'aluminium, de silicium et de fer, qui sont tous des composants majeurs des cendres volantes de charbon [11]. Les surfaces du carbone des cendres volantes de charbon sont oxydées par l'ozone [5], et l'ozone réagit avec les nanoparticules de carbone [6-8]. Les particules d'aérosol de carbone et de fer submicroniques détruisent efficacement l'ozone, ce qui implique que ces particules dans la stratosphère peuvent représenter une cause importante de l'appauvrissement de l'ozone [12].

Nous avons examiné le rôle central du fer des cendres volantes de charbon dans l'appauvrissement de l'ozone stratosphérique [2]. Les particules de fer présentes dans les aérosols primaires et secondaires de cendres volantes de charbon entraînent la formation de cristaux de glace dans les cirrus et dans les nuages stratosphériques polaires dont les constituants de cendres volantes de charbon sont principalement responsables de la création de trous dans la couche d'ozone [1, 2].

 

Le fer des cendres volantes de charbon est associé à des espèces réactives et actives de l'oxygène, dont le radical hydroxyle, qui détruit l'ozone dans la stratosphère. L'ozone peut être à la fois adsorbé sur les particules contenant du fer et appauvri par des réactions photochimiques avec le fer et d'autres constituants des cendres volantes de charbon. Le fer est connu pour activer les halogènes, notamment le chlore, le brome, le fluor et l'iode. Nous explorons et élucidons ici l'origine et la spéciation des particules de fer dans les aérosols primaires et secondaires, la formation accrue de nuages de glace par le fer, la chimie du fer dans l'eau des nuages et les interactions du fer avec des halogènes dans la glace. En outre, nous discutons de l'erreur des métaux "météoriques" qui nucléent les nuages polaires. Enfin, nous présentons une compréhension unifiée qui explique l'appauvrissement de l'ozone stratosphérique par les cendres volantes de charbon, en particulier par

son composant ferreux.
 

LE FER DES CENDRES VOLANTES DE CHARBON

Comparées aux gaz, les particules d'aérosols sont des composants mineurs de l'atmosphère, mais elles sont omniprésentes et jouent un rôle majeur dans les réactions chimiques, les effets du rayonnement, la formation des nuages et, de manière significative, l'appauvrissement de l'ozone stratosphérique. Le fer est l'un des éléments les plus réactifs de l'atmosphère. Les oxydes de fer absorbent le dioxyde de soufre, le transformant en sulfates à l'interface gaz-solide. Le revêtement de surface des particules de fer insolubles par des matériaux solubles augmente leur capacité à former des nuages [13]. Le fer et les aluminosilicates sont les deux principaux constituants des cendres volantes de charbon, l'abondant déchet de la combustion du charbon. Le fer contenu dans les phases aluminosilicates est continuellement libéré dans une solution aqueuse lorsque les particules de cendres volantes se brisent en fragments plus petits [14]. Le fer soluble (Fe2) dans les aérosols contribue aux espèces réactives de l'oxygène et catalyse l'oxydation des gaz atmosphériques.

 

La plupart des particules de fer ultrafines et nanométriques issues de la combustion du charbon sont mélangées à des sulfates et des nitrates, et sont associées à un pourcentage accru de fer soluble [15]. La solubilité du fer provenant des sources de combustion est beaucoup plus importante que celle de la poussière minérale. De nouvelles estimations du dépôt total de fer soluble dans les océans indiquent une contribution plus importante du fer de combustion anthropique que de la poussière minérale ou de la combustion de la biomasse [16].

 

Les particules d'aérosols anthropiques, notamment les cendres volantes de charbon, les métaux et les particules de suie, sont transportées sur de longues distances et affectent les écosystèmes, la santé humaine et les changements climatiques [17]. Les cendres volantes de charbon et d'autres particules d'aérosol dans la troposphère provoquent un réchauffement régional et/ou mondial en absorbant le rayonnement, en transférant cette chaleur aux gaz atmosphériques, ce qui réduit le gradient de température défavorable par rapport à l'air de surface, ce qui réduit en même temps la perte de chaleur par convection depuis la surface [18-20].

 

Les aérosols organiques secondaires se forment dans l'atmosphère lorsque des composés organiques volatils émis par des sources anthropiques ou biogéniques sont oxydés par des réactions avec des radicaux OH, O3 (ozone), des radicaux NO3 ou des atomes de chlore pour former des produits moins volatils qui entrent dans les particules d'aérosol [21]. Les aérosols organiques secondaires représentent une grande partie de la masse d'aérosols atmosphériques et ont des effets importants sur la chimie atmosphérique, la visibilité, la santé humaine et le climat.

 

Les aérosols organiques secondaires produits par l'oxydation atmosphérique des précurseurs primaires émis contribuent largement aux aérosols de pollution par les particules fines (PM2,5) dans le monde entier. L'étude des épisodes de brume sèche (pollution) hivernale en Chine indique que la plupart des aérosols organiques secondaires proviennent de la combustion de combustibles fossiles et que les aérosols organiques primaires de cette source se transforment en aérosols organiques secondaires en phase aqueuse ou dans des environnements très humides [22].

 

La transformation dans les nuages est la principale voie menant à la formation d'aérosols organiques secondaires. L'acide oxalique est le composé organique hydrosoluble le plus abondant identifié dans les aérosols ambiants, et il est étroitement associé aux sulfates des aérosols [23]. La transformation des nuages en présence d'eau joue un rôle essentiel dans la formation d'espèces secondaires, notamment le sulfate, le nitrate, le chlorure, l'ammonium et l'oxalate, par le biais de la séparation du gaz en phases aqueuses ou de réactions hétérogènes/multiphases. Dans une étude des espèces secondaires dans les résidus de nuages (gouttelettes de nuages séchées) au sommet d'une montagne en Chine, le fer provenant de sources de combustion, par opposition à la poussière minérale, a contribué à la plupart des particules résiduelles contenant du fer. Ces mêmes particules étaient associées à des sulfates, des nitrates, des chlorures et des oxalates. Il a notamment été démontré qu'elles augmentaient la biodisponibilité et la réactivité du fer [24].

 

L'ozone est détruit par réaction avec les halogènes [25, 26]. La combustion du charbon en Chine a conduit à une composante atmosphérique importante et inattendue de brome et de chlore réactifs dans l'atmosphère [27]. Les cendres volantes de charbon contiennent des éléments halogènes dans les gammes indiquées dans le tableau 1 de [1].

Tableau 1. Gamme des teneurs en éléments halogènes dans les cendres volantes de charbon [9].

Chlore µg/g

Brome µg/g

Fluor µg/g

Iode µg/g 13

13 - 25 000

0,3 - 670

0,4 - 624

0,1 - 200

 

Les composés organiques halogénés volatils (COHV) jouent un rôle important dans les processus chimiques de l'atmosphère et contribuent potentiellement à l'appauvrissement de l'ozone stratosphérique. Les COHV naturels et anthropiques contribuent tous deux à la libération de ces composés dans l'atmosphère. Les sources naturelles de COHV comprennent les champignons qui font pourrir le bois, la combustion de la biomasse et les émissions volcaniques. Dans les sols et les sédiments, les ions halogénures peuvent être alkylés pendant l'oxydation de la matière organique par un accepteur d'électrons comme le Fe (III) : la lumière du soleil ou la médiation microbienne ne sont pas nécessaires. Lorsque l'ion halogénure est du chlore, les produits de la réaction sont CH3Cl, C2H5Cl, C3H7Cl et C4H9Cl (les bromures et iodures d'alkyle correspondants sont produits lorsque ces halogènes sont présents). Ces processus abiotiques peuvent contribuer de manière significative à la formation de composés atmosphériques importants tels que CH3Cl, CH3Br et Ch3I [28, 29]. Ces processus d'halogénation sont possibles car les minéraux contenant du fer peuvent catalyser le

clivage des liaisons C-H des composés organiques [30].

 

L'oxydation induite et catalysée par le fer de substrats organiques dans la nature conduit à des alcanes et des alcènes ainsi qu'à des hydrocarbures oxygénés et halogénés [31]. Inversement, les composés organiques halogénés peuvent être dégradés par les particules contenant du fer dans l'eau [32]. Ironiquement, les chlorofluorocarbones (CFC), précédemment accusés de détruire l'ozone stratosphérique en partie parce qu'on pensait qu'ils ne pouvaient pas être décomposés dans la troposphère, peuvent également être dégradés par des processus biotiques et abiotiques. Par exemple, la dégradation des CFC peut être accomplie en utilisant du fer granulaire et du fer

bimétallique (par exemple, NiFe) [33].

 

FORMATION DE GLACE À L'AIDE DE CENDRES VOLANTES DE CHARBON

Il est connu et observé depuis longtemps que les émissions des centrales électriques au charbon "font des nuages". Après un temps très court, la plupart des noyaux potentiels de condensation des nuages dans les panaches des centrales électriques ont été produits par la conversion des gaz en particules plutôt qu'émis directement par la cheminée [34]. Ce processus recouvre la surface des particules de cendres volantes insolubles, de matériaux solubles dans l'eau, ce qui multiplie les noyaux de condensation des nuages par rapport aux concentrations de fond [35, 36].

 

Les données sur l'abondance réelle des cendres volantes de charbon dans l'atmosphère manquent car il est difficile de les distinguer des poussières minérales et, par conséquent, elles sont souvent comptées avec ces dernières. Cependant, on sait maintenant que les cendres de combustion jouent un rôle primordial dans la formation de glace dans les nuages de phase mixte, en particulier dans les nuages qui se forment à proximité de la source d'émission de ces particules d'aérosol [37]. En outre, il est devenu évident que les particules poreuses formant des noyaux de glace (comme beaucoup de cendres volantes de charbon) à la température du niveau cirrus initient la formation de glace via la phase liquide dans un processus en deux parties impliquant la condensation et la congélation de l'eau surfondue dans les pores ou les défauts de surface. Ce mécanisme, appelé condensation et congélation des pores (PCF), permet la stabilisation des germes de glace dans la particule sans la formation de glace macroscopique. Le mécanisme PCF pourrait jouer un rôle important dans les nuages à phases mixtes où les particules de cendres volantes de charbon sont injectées depuis des altitudes plus élevées et descendent ensuite vers des altitudes plus basses après avoir été initialement exposées à des températures plus basses [38]. La transformation des nuages est importante pour la capacité de nucléation de la glace des aérosols organiques et des particules de cendres volantes de charbon. Les particules de cendres volantes de charbon non traitées présentent une forte activité de nucléation hétérogène de la glace à des températures inférieures à 235 °K en mode dépôt et/ou condensation et congélation des pores. Dans le cas des aérosols organiques, le traitement des nuages peut faire passer les particules de l'état aqueux à un état vitreux très visqueux, de type solide, favorisant la nucléation de la glace [39].

 

L'influence du fer dans l'atmosphère est très large et dépend de sa concentration, de son environnement chimique et de sa solubilité. Dans une analyse sophistiquée du fer dans des échantillons d'aérosols urbains, la teneur globale en fer a été déterminée comme étant d'environ 7 %, principalement sous forme d'oxydes, la goethite (FeOOH) étant la phase principale. Seuls 2 % de la teneur totale en fer étaient solubles dans la phase aqueuse [40]. Parmi les nombreux éléments présents dans les cendres volantes de charbon, les oxydes de fer sont connus pour leur forte activité de nucléation de la glace. Lors d'expériences de congélation par immersion réalisées à l'aide d'une chambre environnementale, les oxydes de fer, notamment la wustite (FeO), l'hématite (Fe2O3), la magnétite (Fe3O4) et la goethite (FeOOH), ont montré une nucléation de la glace variable mais efficace, en partie liée au degré de décalage de leur réseau par rapport à la glace hexagonale [41].

 

Dans une simulation d'eau trouble utilisant des échantillons d'aérosols ambiants en suspension dans une solution aqueuse, des espèces importantes (c'est-à-dire H2O2, Fe total, Fe(II) soluble et pH) ont été mesurées dans différentes conditions expérimentales, notamment lorsque la solution était irradiée par des rayons ultraviolets ou lorsque des donneurs d'électrons comme l'oxalate étaient ajoutés. La photoproduction de peroxyde d'hydrogène (H2O2) a été observée dans l'eau nuageuse simulée avec ajout d'oxalate. La production de Fe(II) 212 a montré que le Fe des aérosols ambiants était disponible pour des réactions photochimiques d'oxydoréduction. Dans tous les cas, la production de H2O2 et de Fe(II) était plus importante sous irradiation UV que dans les échantillons témoins non irradiés [42].

 

Les aérosols de cendres volantes de charbon sont une source importante de OH en présence d'un donneur d'électrons ajouté (par exemple l'ozone) ou de H2O2 [43]. Dans la phase aqueuse de l'atmosphère (aérosols, nuages et brouillard) où le fer, les acides et l'ozone sont simultanément présents, l'oxydation du Fe(II) par l'ozone (O3) est un puits d'ozone très important [44]. Dans les suspensions aqueuses, l'ozone peut remplacer les groupes hydroxyle de surface sur les sites acides de Lewis des oxydes de fer (y compris Fe2O3, FeOOH et Fe3O4), interagir avec les ions métalliques de surface, se décomposer en espèces réactives de l'oxygène (ROS) et initier l'oxydoréduction des métaux de surface [45].

 

RELATIONS ENTRE LA GLACE ET LES CIRRUS

 

La majorité des cirrus gèlent ou se nucléent autour de "poussières minérales" ou d'"aérosols métalliques", avec probablement d'importantes contributions des cendres volantes de charbon dans les deux catégories [46]. Les particules aérosolisées de cendres volantes de charbon, projetées dans la stratosphère, servent non seulement d'agents de nucléation de la glace, mais sont également piégées par les nuages, y compris les nuages stratosphériques polaires. Au printemps, les nuages stratosphériques glacés fondent ou s'évaporent, libérant les particules de cendres volantes de charbon qu'ils ont piégées et rendant ces particules consommatrices d'ozone facilement disponibles pour réagir avec l'ozone stratosphérique ambiant et le détruire [1]. Cette activité est principalement à l'origine des trous d'ozone observés en Antarctique [47], en Arctique [48] et sous les tropiques [49].

 

En outre, les grosses particules d'aérosol présentes dans les cirrus peuvent se déposer vers le bas pour surfusionner les nuages à un niveau inférieur. On pense que ce type d'ensemencement de cirrus organise des champs de convection chaotiques de niveau moyen en orages de pluie complets [50]. Dans l'atmosphère, les gouttes liquides ne sont presque jamais de l'eau pure, mais contiennent des matières organiques et inorganiques solubles et insolubles. Dans la haute troposphère et la basse stratosphère, les gouttes aqueuses peuvent contenir de l'acide sulfurique (H2SO4), de l'acide nitrique (HNO3) et des mélanges de sulfates, de métaux et de matières organiques.

La glace ne tolère pas les impuretés car le réseau de la glace se développe par une liaison hydrogène forte et directionnelle entre les molécules d'eau. Comme la taille et la charge des molécules de soluté et des ions diffèrent de celles de l'eau, ils sont expulsés du réseau de glace pendant la formation/cristallisation de la glace. Ainsi, une séparation de phase induite par la congélation en glace pure et en une solution concentrée par la congélation se produit pendant la congélation des solutions aqueuses. Ce revêtement de solution concentrée en glace autour des cristaux de glace détermine la réactivité de surface, les propriétés radiatives et l'absorption de vapeur d'eau pendant le développement du nuage de glace [51].

 

La nucléation dite par dépôt ne peut pas expliquer la forte augmentation de l'efficacité de la nucléation de la glace des particules poreuses par rapport aux particules non poreuses à des températures inférieures à -40 °C et l'absence de nucléation de la glace en dessous de la saturation de l'eau à -35 °C. Il s'ensuit que la condensation et la congélation des pores constituent la voie dominante de la nucléation de la glace atmosphérique au-dessous de la saturation en eau, et que les activités de nucléation de la glace des particules dans les cirrus sont en partie déterminées par leur structure et leur porosité [52].

 

 

LES CENDRES VOLANTES DE CHARBON EN AÉROSOL : PAS LES CHLOROFLUOROCARBONES

Dans les années 1970, les gaz chlorofluorocarbonés (CFC) produits par l'homme ont été identifiés comme une source potentielle de chlore stratosphérique. On pensait que les CFC ne se décomposaient pas dans la troposphère, mais que, lorsqu'ils étaient transportés dans la stratosphère, ils pouvaient être photolysés par les rayons ultraviolets et créer des radicaux libres qui détruisaient l'ozone. Cependant, les halogènes libérés par des gaz sources comme les CFC forment généralement des molécules inorganiques comme le HCl [53]. La théorie de l'appauvrissement de l'ozone par les CFC exige qu'une fraction significative du chlore total libéré par les halocarbures (Clx) soit présente sous des formes actives (ClO, Cl2O2 et HOCl) plutôt que dans des réservoirs plus passifs sur le plan photochimique (HCl, ClONO2). En l'absence de traitement hétérogène, le chlore inorganique dans la basse stratosphère est présent presque entièrement sous forme de HCl et ClONO2 [54].

 

Malgré les restrictions imposées à la production de chlorofluorocarbones depuis les protocoles de Montréal de 1989, la destruction de l'ozone stratosphérique n'a pas diminué [47]. Récemment, nous avons apporté la preuve qu'une substance totalement différente, les cendres volantes de charbon en aérosol, est le principal destructeur d'ozone stratosphérique [1, 2].

LES CENDRES VOLANTES DE CHARBON EN AÉROSOL : PAS PRINCIPALEMENT DES MATIÈRES MÉTÉORIQUES

 

Les particules responsables de la formation des nuages polaires étaient auparavant attribuées à des matières météoriques. On pensait que le fer provenant de l'ablation présumée de météoroïdes était absorbé par les nuages polaires mésosphériques (noctilucides) [55]. Des analogues de particules " météoriques " réfractaires composées de fer, de magnésium et de silicium se sont avérés capables de nucléer les hydrates d'acide nitrique dans les nuages stratosphériques polaires [56]. De même, il a été démontré que des particules météoriques de taille nanométrique contenant du fer, du magnésium et des silicates pouvaient éliminer l'acide sulfurique de la phase gazeuse au-dessus de 40 km et affecter la composition et le comportement des gouttelettes de H2SO4-H2O surfondues dans la couche d'aérosol stratosphérique (Junge) [57].

 

Depuis des décennies, il est reconnu que les cendres volantes de charbon en aérosol ressemblent beaucoup à la poussière météoritique [58]. Dès les années 1960, il a été déterminé que les plus petites particules (< 5 mm) présentes dans la stratosphère étaient très probablement d'origine terrestre et non météorique [59]. Les polluants peuvent atteindre la stratosphère de deux façons : 1) Par injection directe, comme par les avions et les fusées [60, 61], et 2) Par injection atmosphérique depuis la troposphère [62-68], ce qui est plus probable pour les particules réfractaires plus petites (souvent de taille nanométrique) [67].

 

Des éléments typiques des cendres volantes de charbon, notamment le fer, le magnésium, l'aluminium, le chrome et le nickel, se révèlent, par microscopie électronique à transmission, être contenus dans les particules de sulfate troposphériques [69]. Le transport de l'air de la troposphère vers la stratosphère se produit principalement dans les tropiques, ce qui est associé à la branche ascendante de la circulation de Brewer-Dobson. L'infusion d'aérosols troposphériques dans la stratosphère pendant les sursauts convectifs peut hydrater la basse stratosphère et supprimer la sublimation [70].

 

Les études de traceurs d'aéronefs montrent que le transport depuis la basse stratosphère tropicale amène de l'air pauvre en ozone aux latitudes moyennes et dans la région du sous-vortex. Ce mode de transport augmente la teneur en vapeur d'eau aux hautes latitudes, renforçant potentiellement la destruction de l'ozone par traitement hétérogène dans le vortex polaire [71].

 

Les microparticules recueillies dans la stratosphère à haute altitude par des ballons et analysées par microscopie électronique à balayage (MEB) et par émission de rayons X induite par des protons (PIXE) ont révélé la présence de chlore, de soufre, de titane, de fer, de brome, de nickel, de zinc, de strontium et de cuivre par ordre décroissant de concentration [72]. Il est à noter que ces éléments sont tous présents dans les cendres volantes de charbon.

 

En 2000, les mesures lidar d'une couche d'aérosol inhabituelle dans la stratosphère moyenne de l'Arctique ont révélé la présence de suie, d'oxydes d'aluminium et de silicium et de fer, tous des composants primaires des cendres volantes de charbon [73]. Nous avons récemment montré que la taille, la morphologie et la composition en éléments des particules recueillies dans les nuages stratosphériques polaires correspondent à celles trouvées dans les cendres volantes de charbon [1].

 

Collectivement, ces résultats impliquent que la plupart des particules les plus petites de la stratosphère proviennent de sources terrestres et anthropiques, principalement des cendres volantes de charbon.

 

Une autre hypothèse erronée est que les "sphérules magnétiques noires" proviendraient principalement de sources "extra-terrestres". Des particules d'aérosol insolubles dans l'eau d'un diamètre > 2 mm dans des cirrus ont été étudiées et divisées en particules non magnétiques, non sphériques et sphériques magnétiques. La concentration des particules diminuait avec l'augmentation de leur taille. Les particules magnétiques non sphériques étaient riches en calcium, ce qui indique une source terrestre. Il a été noté que les particules magnétiques sphériques de cette taille ont été éliminées par précipitation [74].

De grandes quantités de sphérules magnétiques noires tombant en pluie dans l'est du Golfe du Mexique ont été liées à la pollution industrielle provenant d'installations de combustion de charbon et de coke dans la région [75]. L'analyse des cendres volantes des centrales électriques indique que les particules sphériques fortement magnétiques se trouvent principalement dans la fraction fine (< 60 mm) des cendres [76]. En effet, des études récentes confirment que les sphérules magnétiques anthropiques contenant de la magnétite et de l'hématite dans les sédiments reflètent l'activité industrielle [77]. Des mesures magnétiques dans des profils datés de tourbe finlandaise révèlent une accélération des quantités de sphérules de magnétite depuis le début de la révolution industrielle (vers 1860), résultant des retombées de particules issues des processus industriels et domestiques de combustion du charbon [78].

 

Les grandes extinctions comme celles du Permien et du K/T ont été liées à une activité volcanique généralisée associée à des mélanges charbon-basalte enflammés et à des panaches de cendres volantes de charbon pyroclastiques montant vers la haute atmosphère pour détruire l'ozone stratosphérique [79]. À cet égard, il est significatif que les argiles marines de la limite K/T soient fortement magnétiques, avec des coercivités rémanentes correspondant à celles des sphéroïdes. Les morphologies, la minéralogie et les propriétés magnétiques des sphéroïdes magnétiques K/T sont analogues aux sphérules magnétiques de cendres volantes [80].

 

La distribution verticale stratosphérique des particules submicroniques présente un maximum entre 15 et 23 km, ce que l'on appelle "aérosol stratosphérique" ou couche de Junge. Des mesures de la composition de ces particules stratosphériques à l'aide de ballons et d'avions U2 ont établi qu'elles étaient principalement soufrées et hydrosolubles [81].

 

L'analyse des particules stratosphériques par spectrométrie de masse laser (PALMS) recueillies jusqu'à 19 km a montré que la plupart des particules appartenaient à l'une des trois catégories suivantes : 1) acide sulfurique avec des métaux, 2) acide sulfurique presque pur avec de l'eau, et 3) particules organo-sulfatées provenant de la troposphère. Les spectres de masse des ions positifs de la première catégorie ont montré des pics de fer dans plusieurs Fe(OH)2 et Fe-H2SO4, ainsi que des pics de magnésium, aluminium, nickel, potassium et sodium. De manière significative, la troisième catégorie (organo-sulfate) a montré des pics de brome, d'iode et de mercure [82].

 

L'analyse des particules recueillies au-dessus de la Chine a montré que 20 à 30 % des particules de la basse stratosphère qui contenaient du soufre contenaient également du fer [83]. En raison de l'énorme quantité d'émissions organiques et de soufre dans cette région, l'anticyclone de la mousson d'été asiatique sert de "cheminée" efficace, évacuant les aérosols vers la haute troposphère et la basse stratosphère [65]. Parmi les trois principales causes d'aérosols sulfatés troposphériques/stratosphériques, à savoir l'augmentation des remontées d'eau tropicales, les émissions volcaniques et la combustion anthropique, la combustion du charbon est probablement la plus importante source de dioxyde de soufre qui finit par constituer l'aérosol sulfaté responsable de l'augmentation de la rétrodiffusion de la couche d'aérosols stratosphériques au XXIe siècle [84].

 

Les aérosols de cendres volantes de charbon, en particulier ceux qui sont déposés dans la troposphère par des avions à réaction dans le cadre d'opérations de géo-ingénierie "secrètes", expliqueraient non seulement la composition chimique des particules stratosphériques, mais fourniraient également de nombreuses réactions, vérifiées expérimentalement, qui détruisent l'ozone stratosphérique [2].

CENDRES DE CHARBON : LE PRINCIPAL DESTRUCTEUR D'OZONE STRATOSPHÉRIQUE

Les premières idées théoriques sur la nature des destructeurs d'ozone stratosphérique supposaient un seul coupable, comme les chlorofluorocarbones. En revanche, les cendres volantes de charbon en aérosol sont un cauchemar toxique composé de nombreuses substances qui peuvent détruire l'ozone directement et indirectement par de nombreuses réactions chimiques, dont on ne connaît pas encore toute l'étendue [1].

 

Diverses expériences ont été menées pour rendre les cendres volantes de charbon plus sûres et plus faciles à utiliser à des fins commerciales, par exemple comme composant du ciment. Les expériences sur les cendres volantes de charbon qui utilisent l'ozone fournissent des informations importantes sur la capacité des cendres volantes de charbon à détruire l'ozone stratosphérique [1].

 

Les surfaces des particules de carbone des cendres volantes de charbon sont oxydées par l'ozone [5], ce qui démontre que les particules de carbone des cendres volantes de charbon détruisent l'ozone. Les cendres volantes de charbon contiennent du brome, du chlore, du fluor et de l'iode [9], qui détruisent tous l'ozone. Les cendres volantes de charbon contiennent même des composés chlorofluorocarbonés [10]. D'autres études indiquent également que les cendres volantes de charbon détruisent l'ozone [3, 4].

 

Le mercure, un composant omniprésent des cendres volantes de charbon [85], réagit avec l'ozone et le consomme [86-88]. Les déductions concernant la destruction de l'ozone par les composants des cendres volantes de charbon peuvent être faites à partir de la destruction de l'ozone par des composés similaires : L'ozone est consommé par réaction avec le carbone [89, 90]. L'ozone est également consommé par des réactions avec des oxydes minéraux [45, 91-94]. De plus, l'ozone est consommé par des réactions avec les oxydes de fer et de manganèse [95, 96]. De plus, l'ozone est consommé par des réactions avec des métaux [97, 98] et des métaux nobles [96, 99]. Toutes ces substances sont présentes dans les nanoparticules de cendres volantes de charbon.

 

Les cendres volantes de charbon en aérosol ne servent pas seulement à nucléer la glace, elles sont aussi balayées et concentrées dans les nuages troposphériques et stratosphériques. Au printemps, les nuages stratosphériques, y compris et surtout les nuages stratosphériques polaires, fondent ou s'évaporent, libérant leurs particules occluses de cendres volantes de charbon. Par une variété de réactions chimiques directes et indirectes, comme décrit ci-dessus, ces particules de cendres volantes de charbon nouvellement libérées détruisent l'ozone stratosphérique.

 

CONCLUSIONS

Nous avons fourni d'autres preuves irréfutables que les cendres volantes de charbon en aérosol, et leurs divers composants, en particulier le fer, sont la cause principale de l'appauvrissement de l'ozone stratosphérique, et non les gaz chlorofluorocarbonés, comme " décrété " par le Protocole de Montréal de 1989. Ce diagnostic erroné de la véritable cause de la destruction de l'ozone stratosphérique est une erreur potentiellement fatale pour l'humanité, à moins qu'une communauté scientifique par ailleurs peu réceptive ne se réveille et ne s'attaque à la véritable cause : les cendres volantes de charbon, qui sont également responsables du réchauffement planétaire galopant, des rayonnements ultraviolets B et C mortels qui pénètrent dans la terre, de l'effondrement du climat et de l'effondrement systémique de la biosphère. La théorie de l'appauvrissement de l'ozone par les CFC, aujourd'hui disparue, était non seulement trop simpliste, mais elle ne tenait pas compte de la myriade de réactions chimiques et photochimiques provoquées par les aérosols biotiques et abiotiques dans l'atmosphère. La communauté scientifique a été induite en erreur par l'hypothèse fausse selon laquelle les métaux "météoriques" étaient responsables de la formation des nuages mésosphériques et stratosphériques. Le rôle principal des cendres volantes de charbon dans la formation des cirrus a été expliqué par la "poussière minérale".

 

Compte tenu de la révélation, au cours des deux dernières décennies, que les cendres volantes de charbon ont joué un rôle central dans l'appauvrissement de l'ozone stratosphérique lors de précédentes grandes extinctions, comme celle du Permien ("The Great Dying"), il est difficile de comprendre pourquoi la combustion de cendres volantes de charbon ne ferait pas l'objet d'une enquête urgente sur la cause de l'appauvrissement de l'ozone. Il est encore plus difficile de comprendre pourquoi les scientifiques universitaires, y compris les spécialistes de l'atmosphère et du climat, ferment les yeux sur la pulvérisation délibérée et généralisée de particules dans la troposphère. Pourquoi certains de ces mêmes scientifiques sont-ils obsédés par la nécessité de projets de géo-ingénierie "futurs", en dépit de leur silence mortel et inexcusable concernant les opérations de géo-ingénierie des aérosols troposphériques à long terme, en cours, quasi-mondiales et non divulguées, dont il est prouvé qu'elles utilisent des cendres volantes de charbon ? Aucune discussion légitime sur notre "catastrophe climatique" actuelle ne peut avoir lieu sans la reconnaissance de ce type de manipulation technologique de l'atmosphère terrestre.

 

Les récentes découvertes scientifiques citées ici s'accordent toutes pour soutenir notre nouveau paradigme de l'appauvrissement de l'ozone stratosphérique par les cendres volantes de charbon et leurs nombreux composants réactifs, dont le fer. Bien qu'il reste des questions sans réponse, il est grand temps d'agir. Il suffit de lever les yeux vers les atrocités commises dans nos cieux et de se mettre à l'écoute des terribles souffrances du monde naturel pour comprendre la gravité de la situation. Le temps nous est compté ; nous sommes bien engagés dans la sixième grande extinction anthropique, qui se déroule à la "vitesse de la lumière". Nos enfants sont déjà confrontés à un avenir épouvantable, potentiellement au cours de la présente décennie. Comme nous l'avons soutenu à plusieurs reprises dans nos articles scientifiques au cours des dernières années, toutes les sources d'aérosols de cendres volantes de charbon doivent être réduites ou éliminées. La technologie domestique de combustion du charbon et la gestion technologique concomitante doivent être radicalement améliorées dans le monde entier. Mais avant tout, il faut cesser de projeter des cendres volantes de charbon et d'autres particules dans la troposphère, qui se mélangent à l'air que nous respirons. Lorsque cette pulvérisation de particules cessera, la plupart de ces particules de pollution retomberont sur Terre en quelques jours ou semaines, le réchauffement climatique sera réduit et notre planète aura au moins une chance de se soigner. Ces mesures sont nécessaires pour sauver ce que nous pouvons des systèmes vitaux de soutien de la vie sur Terre, y compris la couche d'ozone stratosphérique, qui a protégé toute la vie supérieure sur Terre des rayons ultraviolets nocifs.L' assaut délibéré sur les processus naturels de la Terre, nous alléguons, ne constitue rien de moins que des actes de trahison planétaire[100].
 

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Les participants à l'essai de la "phase 3" du vaccin COVID-19 font état de migraines et de fièvre d'une journée

4 Octobre 2020, 09:52am

LUKE HUTCHISON PARTICIPANT AUX ESSAIS

LUKE HUTCHISON PARTICIPANT AUX ESSAIS

Tyler Durden - Jeudi 1er octobre 2020 - Zerohedge
 

La presse européenne a indiqué précédemment que l'autorité de régulation pharmaceutique de l'UE se prépare à accélérer l'approbation du vaccin Astra Zeneca-Oxford, alors même que la FDA étend son enquête sur les essais de phase 3 du vaccin COVID-19 (après qu'un patient aurait été gravement malade au Royaume-Uni, bien que l'AZ insiste sur le fait que la maladie n'a rien à voir avec l'essai).


Alors que l'OMS, Bill Gates, le Dr Fauci et l'establishment mondial des soins de santé travaillent avec leurs alliés dans la presse pour essayer de convaincre le plus grand nombre possible de personnes d'accepter de prendre un vaccin COVID-19 une fois qu'il aura été approuvé, des rapports plus alarmants apparaissent dans la presse grand public sur les problèmes liés aux essais de "phase 3".


CNBC a rapporté jeudi matin que plusieurs patients impliqués dans les essais du candidat vaccin de Moderna et du candidat vaccin de Pfizer-BioNTech ont subi de graves effets secondaires, notamment "une secousse si forte qu'il s'est cassé une dent après avoir pris la deuxième dose".


Aussi graves soient-ils, les symptômes se sont généralement dissipés en un jour ou deux, et quatre des cinq sujets interrogés par CNBC ont déclaré que la lutte pour obtenir une protection contre COVID-19 "en valait la peine". Mais là encore, les symptômes semblent sérieux.


Luke Hutchison s'est réveillé au milieu de la nuit avec des frissons et de la fièvre après avoir reçu le rappel de Covid-19 dans le cadre de l'essai de vaccin de Moderna. Un autre participant à l'essai du vaccin contre le coronavirus, qui teste le candidat de Pfizer, s'est lui aussi réveillé avec des frissons, tremblant si fort qu'il s'est cassé une dent après avoir pris la deuxième dose.


Une forte fièvre, des douleurs corporelles, de gros maux de tête et de l'épuisement ne sont que quelques-uns des symptômes que cinq participants à deux des principaux essais de vaccins contre les coronavirus ont déclaré avoir ressentis après avoir reçu les vaccins.


Lors d'entretiens, les cinq participants - trois dans l'étude de Moderna et deux dans les essais de Pfizer en phase finale - ont déclaré qu'ils pensaient que la gêne valait la peine de se protéger contre le coronavirus. Quatre d'entre eux ont demandé à ne pas être identifiés, mais la CNBC a examiné les documents qui vérifiaient leur participation aux essais.


Si les symptômes étaient inconfortables, et parfois intenses, ils disparaissaient souvent après une journée, parfois plus tôt, selon trois participants à l'essai de Moderna et un de Pfizer ainsi qu'une personne proche d'un autre participant à l'essai de Moderna.


Au moins 41 candidats vaccins sont en cours d'essais sur l'homme dans le monde, mais seuls quatre candidats vaccins soutenus par les États-Unis sont en phase 3 : Moderna, Pfizer, AstraZeneca et Johnson & Johnson. Au moins un vaccin soutenu par le Royaume-Uni entre également en phase 3. Bien qu'il soit possible que certains des symptômes décrits aient pu être causés par une maladie sans rapport avec le vaccin, Moderna et Pfizer ont déjà déclaré que certains participants à leurs essais de phase 1 avaient ressenti des symptômes légers. Pfizer a souligné que de telles complications n'ont été observées que dans un petit nombre de cas.
 

Hutchison, un biologiste informaticien de l'Utah, a partagé son expérience avec CNBC :


"J'avais une grande confiance dans le fait que cela fonctionnerait et je voulais contribuer à la solution", a déclaré M. Hutchinson.


Après avoir reçu la première injection le 18 août, il a déclaré qu'il s'était senti un peu mal pendant plusieurs jours, avec une légère fièvre. Il a reçu sa deuxième injection dans une clinique le 15 septembre. Huit heures plus tard, il a dit qu'il était alité avec une fièvre de plus de 101, des tremblements, des frissons, un mal de tête intense et un essoufflement. Il a dit que la douleur dans le bras, où il a reçu la piqûre, ressemblait à "un œuf d'oie sur mon épaule". Il a à peine dormi cette nuit-là, enregistrant que sa température était supérieure à 100 degrés pendant cinq heures.


Après 12 heures, Hutchison a dit qu'il se sentait de retour à la normale et que son niveau d'énergie était revenu. Ayant signé un long formulaire de consentement, Hutchison était conscient qu'il pourrait ressentir des symptômes. Mais il a quand même été frappé par la gravité et la durée, tweetant le 16 septembre qu'il avait "plein de symptômes de type Covidien".


Deux autres participants à l'essai Moderna, qui ont demandé à rester anonymes parce qu'ils craignaient une réaction de rejet de la part des entreprises, ont fait état d'effets secondaires similaires. De même, un participant à l'essai de Pfizer a déclaré qu'il avait ressenti des symptômes plus graves que ce à quoi il s'attendait.


Un autre participant a estimé que Moderna pourrait devoir dire aux gens de prendre un jour de congé après leur deuxième dose.


Une femme de Caroline du Nord, âgée d'une cinquantaine d'années et participant à l'étude Moderna, a déclaré qu'elle n'avait pas fait de fièvre mais qu'elle avait souffert d'une mauvaise migraine qui l'avait laissée épuisée pendant une journée et incapable de se concentrer. Elle a dit qu'elle s'était réveillée le lendemain en se sentant mieux après avoir pris l'Excedrin, mais a ajouté que Moderna pourrait devoir dire aux gens de prendre un jour de congé après une deuxième dose. Elle a ajouté que d'autres personnes participant à l'essai ont rejoint quelques groupes privés sur Facebook et ont partagé des expériences similaires. Elle a ajouté que des membres de ces groupes ont également signalé une fièvre et des douleurs dans le bras, similaires à celles ressenties lors d'une injection de tétanos, ajoutant que "vous n'allez pas soulever des poids ou faire de l'exercice".


"Si cela fonctionne, les gens vont devoir s'endurcir", a-t-elle déclaré. "La première dose n'est pas un problème. Et puis la deuxième dose vous fera certainement perdre du poids pour la journée... Vous devrez prendre un jour de congé après la deuxième dose".


Moderna et Pfizer ont répondu en faisant remarquer que certains vaccins sont plus durs pour l'organisme que d'autres, et que les réactions négatives chez une minorité de patients étaient un compromis malheureux, mais pas une raison suffisante pour renoncer à prendre le vaccin.


Moderna et Pfizer ont reconnu que leurs vaccins pouvaient induire des effets secondaires similaires aux symptômes associés à un léger Covid-19, tels que des douleurs musculaires, des frissons et des maux de tête. Au fur et à mesure que les entreprises ont progressé dans les essais cliniques, plusieurs fabricants de vaccins ont abandonné leurs doses les plus élevées suite à des rapports faisant état de réactions plus graves.


Le spécialiste des maladies infectieuses Florian Krammer, de Mount Sinai à New York, a déclaré sur Twitter que les effets secondaires signalés lors de la première phase de l'essai de Moderna sont "désagréables mais pas dangereux". Il reste à voir si les enfants et les femmes enceintes connaîtront des symptômes similaires.


Nous nous demandons à quel point de tels témoignages figureront dans la décision accélérée de la FDA d'accorder ou non une autorisation d'urgence à ces deux entreprises.

https://www.zerohedge.com/geopolitical/covid-19-vaccine-trial-participants-report-day-long-migraines-fever



 

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Effets biologiques des ondes électromagnétiques : plus de 2000 publications avant 1972

11 Octobre 2017, 09:12am

Publié par Ciel Voilé

Effets biologiques des ondes électromagnétiques : plus de 2000 publications avant 1972

 

Plus de 2000 documents antérieurs à 1972 sur les effets biologiques des ondes électromagnétiques


http://www.magdahavas.com/pick-of-the-week-1-more-than-2000-documents-prior-to-1972-on-bioeffects-of-radio-frequency-radiation/
 

5 juillet 2010. Glaser, Z.R. 1972. Traduction Ciel voilé

 

Bibliographie sur les phénomènes biologiques rapportés (« effets ») et les manifestations cliniques attribuées aux ondes électromagnétiques. Institut de recherche médicale navale MF12.54.015-004B, rapport n ° 2, révisé. 106 pp. [NOTE: ce document a été réduit à 25 pages afin que nous puissions le publier ici et ne contient pas toutes les 2311 références.]


RESUME

 

Plus de 2000 références sur les réponses biologiques aux ondes électromagnétiques et au micro-ondes, publiées jusqu'en juin 1971, sont incluses dans la bibliographie. * Une attention particulière a été accordée aux effets sur l'homme des rayonnements non ionisants à ces fréquences. Les citations sont classées par ordre alphabétique d'auteurs et contiennent autant d'informations que possible afin de permettre un repérage efficace des documents originaux. Un aperçu des effets attribués aux ondes électromagnétiques et aux micro-ondes fait également partie du rapport.

 

Trois listes supplémentaires portent le nombre de citations à plus de 2.300.


Note : Ce document n'est pas classifié et "a été approuvé pour la publication et la vente publique ; sa distribution est illimitée ".


SIGNIFICATION. . .


La valeur du document de Glaser de 1972 est de contrer les affirmations selon lesquelles aucune recherche "crédible" n'existerait qui mettrait en évidence des effets non thermiques. Il s'agit d'une déclaration inexacte promue par ceux qui ne connaissent pas les publications ou qui ne veulent pas admettre que ces ondes, aux niveaux d'exposition actuels, peuvent être nuisibles.


Des recherches crédibles existent depuis des décennies, largement ignorées par les responsables de santé publique et les professionnels de santé.


COMMENTAIRES . . .


C'est l'une des premières compilations à grande échelle de la littérature sur les effets biologiques des ondes électromagnétiques, apparue pour la première fois en 1971. L'auteur a classé les effets biologiques en 17 catégories (voir ci-dessous). Ces catégories comprennent la chaleur (effets thermiques); des changements dans les fonctions physiologiques; l'altération des systèmes nerveux central, autonome et périphérique; des désordres psychologiques; des changements comportementaux (études animales); des troubles sanguins et vasculaires; des modifications enzymatique et biochimique; des troubles métaboliques, gastro-intestinaux et hormonaux; des changements histologiques; des effets génétiques et chromosomiques; des modifications de l'orientation des bactéries et des animaux; et un groupe de symptômes divers qui ne correspondaient pas aux catégories ci-dessus.


Même s'il est clair que les rayonnements qui provoquent des effets thermiques, peuvent également causer des effets secondaires, tous les effets mentionnés ci-dessus ne sont pas liés à la chaleur. En effet, une grande partie des publications montrent qu'à des niveaux d'exposition bas, ces effets ne sont pas thermiques. C'est le type de recherche qui a aidé les régulateurs à formuler leurs lignes directrices sur les micro-ondes. Les études non thermiques ont été ignorées par l'Organisation Mondiale de la Santé, organisation auprès de laquelle de nombreux pays recherchent de l'aide et, par conséquent, les lignes directrices diffèrent selon les ordres de grandeur du plus bas à Salzbourg, en Autriche (0,1 micro-ondes / cm2) au plus haut (5 000 micro-ondes / cm2 pour exposition professionnelle) établi par ICNIRP (Commission Internationale de Radiation Non ionisante). C'est une différence de 50 000 fois !


Une façon d'interpréter cela est que nous avons deux lignes directrices, l'une pour empêcher l'effet thermique et, l'autre plus restreinte, pour prévenir les effets biologiques, dont certains peuvent avoir de graves conséquences sur la santé.


Ce qui est frappant, c'est que la maladie des micro-ondes (groupe de symptômes ressentis par les personnels travaillant sur des radars) s'appelait auparavant neuroasthénie (se sentir mal) et s'appelle maintenant électrosensibilité. Dans tous les cas, les symptômes sont associés à l'exposition aux ondes électromagnétiques initialement ondes radar; puis ordinateurs; et plus récemment, diverses sources de technologie sans fil, y compris le téléphone mobile, la diffusion TV et radio et les antennes WiFi ou WiMax, les routeurs sans fil, les compteurs intelligents, etc.


Les effets biologiques spécifiques sur la santé, fournis par Glaser en 1972, sont énumérés ci-dessous:


     A. Effet thermique sur les organes * (Applications: Diathermie, Electrochirurgie, Electrocoagulation, Electrodessication, Electrotomie)
 

Cela comprend l'augmentation de la température de tout le corps ou d'une partie du corps comme la peau, l'os et la moelle osseuse, la lentille de l'œil avec des cataractes et des dommages à la cornée; aux organes génitaux provoquant une dégénérescence tubulaire des testicules; au cerveau et aux sinus; aux implants métalliques provoquant des brûlures près des broches de hanche, etc. Ces effets sont réversibles sauf les dommages causés à l'œil.
 

     B. Changements dans la fonction physiologique
 

Ceci inclut la contraction des muscles striés; la modification du diamètre des vaisseaux sanguins (augmentation de l'élasticité vasculaire), leur dilatation; des modifications des processus oxydatifs dans les tissus et les organes; l'élargissement du foie; la sensibilité aux médicaments; la diminution de la spermatogenèse conduisant à une diminution de la fertilité et à la stérilité; l'augmentation du nombre des naissances de filles par rapport à celui des garçons; une altération de l'activité menstruelle; une altération de l'évolution du fœtus; une réduction de la lactation chez les mères allaitantes; une réduction de la diurèse entraînant une excrétion de sodium par voie urinaire; une altération de la fonction rénale; des changements dans les réflexes conditionnés; la diminution de la résistance électrique de la peau; des changements dans la structure des récepteurs de la peau; une altération du flux sanguin; une modification des courants dans le cortex cérébral chez les animaux; des changements dans le taux d'élimination des ions marqués des tissus; changements structurels réversibles dans le cortex cérébral et le diencéphale; changements dans les électrocardiographes; sensibilité altérée aux stimuli lumineux, sonores et olfactifs; changements fonctionnels et pathologiques des yeux; nécrose myocardique; hémorragie des poumons, du foie, de l'intestin et du cerveau et dégénérescence généralisée du tissu corporel à des niveaux de rayonnement mortels; perte de parties anatomiques; décès; déshydratation; taux de calcification tissulaire altéré.

 

  1. Effets sur le système nerveux central


Cela comprend maux de tête; insomnie; agitation (journée et sommeil); changements dans l'activité des ondes cérébrales (EEG); troubles du nerf crânien; lésions pyramidales; troubles des réflexes conditionnés; action vagomimétique et sympathomimétique du cœur; attaques et convulsions.

 

  1. Effets sur le système nerveux autonome


Rythme cardiaque altéré; fatigue, altérations structurelles dans les synapses du nerf vague; stimulation du système nerveux parasympathique conduisant à la bradycardie et à l'inhibition du système nerveux sympathique.


      E. Effets sur le système nerveux périphérique


Effets sur les nerfs locomoteurs.


     F. Troubles psychologiques


Les symptômes comprennent neurasthénie (malaise général); dépression; impuissance; anxiété; manque de concentration; hypocondrie; vertiges; hallucinations; somnolence ou insomnie; irritabilité; diminution de l'appétit; perte de mémoire; sensations du cuir chevelu; fatigue; douleurs thoraciques, tremblements.


    G. Changements de comportements chez les animaux


Les effets incluent des changements dans les comportements de réflexion, d'action, d'évitement et de discrimination.


    H. Troubles du sang


Les effets incluent des modifications du sang et de la moelle osseuse; fonctions phagocytaires et bactéricides accrues; taux d'hémolyse accru (durée de vie plus courte des cellules); taux de sédimentation sanguine accru; diminution des érythrocytes; augmentation des concentrations de glucose dans le sang; teneur en histamine sanguine altérée; changements dans les lipides et le cholestérol; modifications des anticorps et de la concentration totale en protéines; changements du nombre d'éosinophiles; diminution du taux d'albumine / globuline; Hémopoïèse altérée (taux de formation de globules sanguins); leucopénie (augmentation du nombre de globules blancs et leucocytose, réticulocytose (augmentation des globules rouges immatures).

 

  1. Troubles vasculaires


Cela inclut la thrombose et l'hypertension.


      J. Modifications enzymatiques et biochimiques (in vitro)


Changements dans l'activité de la cholinestérase (également in vivo), de la phosphatase, des transaminases; des amylases, des carboxydismutases; dénaturation des protéines; inactivation des champignons, des virus et des bactéries; mort de tissus en culture; taux de division cellulaire altéré; augmentation de la concentration d'ARN dans les lymphocytes et diminution de la concentration d'ARN dans le cerveau, le foie et la rate; changements dans les excrétions d'acide pyruvique, d'acide lactique et de créatinine; changements de concentration de glycogène dans le foie (hyperglycémie); concentrations altérées de 17-cétostéroïdes dans les urines.


     K. Troubles métaboliques


Les effets incluent la glycosurie (sucre dans l'urne); l'augmentation des phénols urinaires; le traitement modifié des enzymes métaboliques; métabolisme modifié des glucides.

 

  1. Troubles gastro-intestinaux


Les effets incluent l'anorexie; trouble épigastrique; constipation; sécrétion altérée des sucs gastriques.

 

  1. Modifications des glandes endocrines


Les effets comprennent la modification du fonctionnement de la glande pituitaire, de la glande thyroïde (hyper-thyroïdisme et hypertrophie de la thyroïde, augmentation de l'absorption de l'iode radioactif) et de l'adrénaline; diminution des corticostéroïdes dans le sang; diminution de l'activité glucocorticoïde; hypogonadisme (avec diminution de la production de testostérone).


    N. Modifications histologiques


Changements dans l'épithélium tubulaire des testicules et changements de volume.


    O. Modifications génétiques et chromosomiques


Les effets incluent les aberrations chromosomiques (raccourcissement, pseudoschiasme, structures diploïdes, divisions amitotiques, pontage, "adhérence", irrégularités dans l'enveloppe chromosomique); mutations; mongolisme; altérations somatiques (ne comportant pas de noyau ou de chromosome); maladies néoplasiques (tumeurs).


    P. Alignement en chaînes de perles


Cela se réfère à l'orientation intracellulaire des particules subcellulaires et à l'orientation des particules cellulaires et autres (particules non biologiques, par exemple magnétiques) affectant l'orientation des animaux, des oiseaux et des poissons dans les champs électromagnétiques.
 

   Q. Effets divers


Ceux-ci comprennent étincelles entre les obturations dentaires; goût métallique dans la bouche; changements dans l'activité optique des solutions colloïdales; dans le traitement de la syphilis, de la poliomyélite, des maladies de la peau; perte et fragilité des cheveux; sensations de bourdonnement, vibrations, pulsations et chatouilles sur la tête et les oreilles; transpiration abondante, salivation et protrusion (avancée) de la langue; modifications dans le fonctionnement des stimulateurs cardiaques implantés; changements dans les rythmes circadiens.

 

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Le traité ENMOD et l'attaque autorisée de l'agriculture de l'environnement et de la santé humaine

24 Avril 2020, 12:25pm

Article paru dans le journal  Agrotechnology, Vol 9 Iss1N°191

Article paru dans le journal Agrotechnology, Vol 9 Iss1N°191

J. Marvin Herndon1*, Mark Whiteside2, Ian Baldwin3

 

1Transdyne Corporation, 11044 Red Rock Drive, San Diego, CA 92131, États-Unis ; 2Florida Department of Health in Monroe County, 1100 Simonton Street, Key West, FL 33040, États-Unis ; Chelsea Green Publishing Company, 85 North Main Street, White River Junction, VT 05001, États-Unis

 

* Correspondance : J Marvin Herndon, Ph.D, Transdyne Corporation, 11044 Red Rock Drive San Diego, CA 92131, USA, Tél : 1-858-232-1177 ; E-mail : mherndon@san.rr.com

 

Reçu : 20 février 2020; Accepté : 27 mars 2020 Publié : 03 avril 2020

 

Citation : Herndon JM, Whiteside M, Baldwin I (2020) The ENMOD Treaty and the Sanctioned Assault on Agriculture and Human and Environmental Health. Agrotechnologie 9:191. doi : 10.35248/2168-9881.20.9.191.

 

Copyright : © 2020 Herndon JM, et al. Il s'agit d'un article en libre accès distribué selon les termes de la licence d'attribution Creative Commons, qui autorise une utilisation, une distribution et une reproduction sans restriction sur tout support, à condition que l'auteur et la source d'origine soient mentionnés.

 

RÉSUMÉ

 

La « Convention sur l'interdiction d'utiliser des techniques de modification de l'environnement à des fins militaires ou toutes autres fins hostiles » [ENMOD] de 1978 oblige les nations signataires à compromettre fondamentalement leur propre souveraineté et à provoquer une dévastation agricole généralisée et permanente. Au lieu d'interdire « l'utilisation hostile de techniques de modification de l'environnement », comme le suggère son titre, le traité ENMOD oblige les nations signataires à participer à des activités « pacifiques » de modification de l'environnement non spécifiées, menées par des entités non spécifiées, dans des circonstances non spécifiées, sans limitation des dommages, qu'elles soient infligées à l'agriculture d'une nation ou d'une région, à son environnement ou à la santé de sa population, c'est-à-dire à ses citoyens. La modification de l'environnement à grande échelle ne peut être considérée comme « pacifique » ; elle est au contraire fondamentalement hostile. La géo-ingénierie en cours, non divulguée, de pulvérisations de particules d'aérosols dans la troposphère a déjà commencé à avoir des conséquences dévastatrices sur l'agriculture, ainsi que des effets étendus, durables et graves sur la santé humaine et l'environnement. Ces effets comprennent le cancer du poumon, les maladies cardiaques, neurodégénératives, respiratoires et autres ; la perturbation de régimes climatiques autrefois stables ; la décimation des populations d'insectes, de chauves-souris et d'oiseaux ; l'exacerbation des feux de forêt et la mort des forêts ; la propagation d'algues nuisibles dans nos eaux ; et la destruction de la couche d'ozone qui protège la vie des rayons ultraviolets mortels du soleil. Les activités secrètes autorisées en cours de modification de l'environnement constituent une guerre de facto contre des nations souveraines. De plus, ces activités sont en contradiction flagrante avec les missions d'autres entités des Nations Unies, y compris, mais sans s'y limiter, l'Organisation mondiale de la santé, la Déclaration de Rio sur l'environnement et le développement, et l'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture. L'effondrement de l'agriculture et la famine en masse sont l'une des conséquences potentielles de la modification de l'environnement « à des fins pacifiques ». Les activités secrètes et mondiales de modification de l'environnement doivent être arrêtées immédiatement et de façon permanente si nous voulons survivre, nous et notre progéniture. L'opération doit être soumise à l'examen du public. Lorsque la mise en place de particules aériennes dans la troposphère cessera, les dernières particules de géo-ingénierie tomberont sur la Terre en quelques jours ou semaines et le réchauffement climatique sera réduit. La production agricole et la santé publique s'amélioreront dans le monde entier.

 

Mots-clés : Pesticides agricoles ; Diminution du rendement des cultures ; ENMOD ; Famine ; Géo-ingénierie ; Réchauffement climatique ; Pollution aux particules fines ; Fléau

 

INTRODUCTION

 

En 1968, Gordon J. F. MacDonald (1929-2002), géophysicien de renom et conseiller du gouvernement américain [1], a écrit un chapitre de son livre intitulé «  Comment détruire l'environnement » dans lequel il a décrit les façons dont une nation peut modifier l'environnement pour infliger subrepticement des dommages à une nation ennemie [2]. En particulier, il écrit « La clé de la guerre géophysique est l'identification des instabilités environnementales auxquelles l'ajout d'une petite quantité d'énergie libérerait des quantités d'énergie bien plus importantes ». MacDonald [2] a décrit des méthodes de guerre environnementale potentielles qui déclenchent délibérément des instabilités dans des systèmes naturels à grande échelle tels que les conditions météorologiques et le climat, les ouragans, les tremblements de terre, les volcans, les tsunamis et le cerveau humain.

 

De nombreuses prédictions et hypothèses de MacDonald se sont réalisées, non pas avec les technologies de son temps, mais avec des technologies plus efficaces et potentiellement plus dévastatrices qui ont été développées par la suite et ont été discutées publiquement par de hauts responsables militaires depuis les années 1990 [3,4]. Du titre de son chapitre [2] on peut déduire que MacDonald considérait la guerre environnementale non seulement comme extrêmement destructrice, mais aussi à la portée d'une technologie de guerre militaire en évolution rapide. À la fin de la guerre du Vietnam, au cours de laquelle les premières armes environnementales ont été déployées avec des effets terribles, il n'est pas surprenant que les gens et les gouvernements du monde entier aient voulu interdire la guerre environnementale.

 

En conséquence, les Nations Unies [ONU] ont recueilli le soutien nécessaire et ont produit un document de traité, initialement classé comme désarmement, intitulé « Convention sur l'interdiction d'utiliser des techniques de modification de l'environnement à des fins militaires ou toutes autres fins hostiles » [ci-après ENMOD] qui a été ouvert à la signature à Genève le 18 mai 1977 et est entré en vigueur le 5 octobre 1978 [5]. La figure 1 montre le statut ENMOD des nations souveraines.

Figure 1 : Statut ENMOD des nations souveraines au 3 janvier 2018.

Figure 1 : Statut ENMOD des nations souveraines au 3 janvier 2018.


En fait, cependant, ENMOD n'interdit pas « l'utilisation militaire ou toute autre utilisation hostile de techniques de modification de l'environnement ». ENMOD, selon nous, était et reste un cheval de Troie. Non seulement cette convention n'interdit pas expressément l'utilisation de techniques de modification de l'environnement hostiles, comme son titre pourrait sembler l'indiquer, mais elle ratifie l'utilisation de techniques de modification de l'environnement à des « fins pacifiques » et, en outre, elle oblige chaque « État partie » signataire à coopérer à des opérations d' « amélioration » de l'environnement non spécifiées par une organisation internationale non spécifiée à des fins non spécifiées.

 

Pour les raisons exposées ci-dessous, le document ENMOD ainsi que les preuves d'activités internationales et secrètes de modification de l'environnement [6-10] constituent une violation de l'agriculture et de l'environnement à l'échelle mondiale. ENMOD fournit les moyens de coopter les institutions militaires et autres institutions de sécurité nationale des nations souveraines pour qu'elles s'engagent dans des « techniques de modification de l'environnement à des fins pacifiques » non divulguées qui ont pour conséquence d'être hautement destructrices pour l'agriculture, ainsi que plus généralement pour la santé humaine et environnementale. Bien que les activités de modification de l'environnement actuellement entreprises sans débat public soient vraisemblablement à « des fins pacifiques » , elles n'en sont pas moins très destructrices : elles endommagent l'agriculture et la production alimentaire, elles provoquent le chaos climatique et météorologique et elles compromettent radicalement la santé humaine et l'environnement. Qu'elles soient intentionnelles ou non, ces activités équivalent à une guerre de facto menée contre des nations souveraines et leurs citoyens.

 

En effet, les Nations Unies ont persuadé de nombreux gouvernements du monde de signer un traité qui a obligé chaque partie signataire à devenir un pion involontaire de l'abrogation de sa propre souveraineté et a entraîné la dégradation de l'environnement de chaque nation, dont la source ENMOD n'est pas officiellement reconnue. Une lecture juridique attentive de ce traité [5], la Convention sur l'interdiction d'utiliser des techniques de modification de l'environnement à des fins militaires ou toutes autres fins hostiles [ENMOD], ne devrait laisser aucun doute quant à la justesse de notre qualification de cheval de Troie.


CRITIQUE DU CHEVAL DE TROIE

 

ENMOD [5] L'article I stipule :

 

« 1. Chaque État partie à la présente Convention s'engage à ne pas utiliser à des fins militaires ou à toute autre fin hostile des techniques de modification de l'environnement ayant des effets étendus, durables ou graves, en tant que moyens de destruction, de dommage ou de préjudice à tout autre État partie ».

 

« 2) Chaque État partie à la présente Convention s'engage à ne pas aider, encourager ou inciter un État, un groupe d'États ou une organisation internationale à se livrer à des activités contraires aux dispositions du paragraphe 1 du présent article ».

 

Alors qu'une lecture superficielle du traité ENMOD pourrait sembler interdire les utilisations hostiles de la modification de l'environnement, un examen attentif conduit à une compréhension tout à fait différente. L'expression « s'engage à ne pas » semble prohibitive, mais c'est un « tigre édenté » au sens juridique du terme. Si l'intention était d'interdire, l'expression « shall not » plutôt que « s'engage à ne pas », aurait eu force de loi.

 

Le traité ENMOD, selon nous, et nous l'expliquons ci-dessous, a un objectif différent. Il s'agit d'un cheval de Troie qui oblige les pays signataires indépendants, c'est-à-dire les « États parties », à coopérer involontairement à la future modification hostile de l'environnement - une guerre de fait - à des « fins pacifiques », sans limitation des dommages causés aux populations humaines et autres populations biogènes dans les circonstances les plus larges possibles. Et elle le fait sans définir les « fins pacifiques ».

 

L'intention réelle du traité ENMOD, selon nous, est décrite de manière concise en termes juridiquement contraignants à l'article III. Dans chacune des deux sections de l'article III, le terme juridiquement contraignant « shall » est utilisé.

 

L'article III du traité ENMOD stipule :

 

« 1. Les dispositions de la présente Convention n'empêchent pas l'utilisation de techniques de modification de l'environnement à des fins pacifiques et sont sans préjudice des principes généralement reconnus et des règles applicables du droit international concernant cette utilisation ».

 

2 « Les États parties à la présente convention s'engagent à faciliter et ont le droit de participer à un échange aussi large que possible d'informations scientifiques et techniques sur l'utilisation des techniques de modification de l'environnement à des fins pacifiques. Les États parties qui sont en mesure de le faire contribueront, seuls ou avec d'autres États ou organisations internationales, à la coopération économique et scientifique internationale en vue de la préservation, de l'amélioration et de l'utilisation pacifique de l'environnement, compte dûment tenu des besoins des régions du monde en développement ».

 

L'article III, section 1, indique clairement que rien dans l'ENMOD n'entraverait l'utilisation de techniques de modification de l'environnement à des fins pacifiques. Une lecture superficielle de l'article III pourrait laisser supposer que sa seule intention est de permettre aux États parties de s'engager dans la modification de l'environnement, mais ce n'est pas le cas.

 

La dernière phrase de la section 2 de l'article III, telle qu'elle est rédigée, semble obscurcir son véritable objectif, qui devient tout à fait clair et incontestable lorsqu'on enlève une partie du désordre : « Les États parties ... contribueront, seuls ou avec d'autres États ou des organisations internationales, à ... la coopération pour la préservation, l'amélioration et l'utilisation pacifique de l'environnement. »

 

Dans la jurisprudence américaine, l'utilisation du futur impose la conformité. La Constitution des États-Unis d'Amérique utilise fréquemment le futur dans des cas importants et clairement obligatoires, comme par exemple la création du pouvoir judiciaire : Article III, section 1. - Pouvoirs judiciaires / « Le pouvoir judiciaire des États-Unis sera confié à une Cour suprême... ».

 

Le terme contraignant « shall » est largement utilisé dans les articles V à X et l'annexe de la directive ENMOD. L'article VII d'ENMOD est le plus révélateur de l'utilisation prévue de « shall », car il stipule dans son intégralité « La présente Convention sera d'une durée illimitée. »

 

L'ENMOD, selon nous, est un cheval de Troie. Le sujet de son titre, « Convention sur l'interdiction d'utiliser des techniques de modification de l'environnement à des fins militaires ou toutes autres fins hostiles », n'est pas interdit, ce qui aurait été le cas si le « shall » contraignant avait été utilisé. Au lieu de cela, la véritable intention de l'ENMOD est de rendre obligatoire la coopération internationale pour « ...l'amélioration... de l'environnement. » Parmi les exemples de cette « amélioration » environnementale, on peut citer l'ingénierie climatique pour contrôler le réchauffement climatique, ou pour apporter les pluies ou les retarder, ou pour faire fondre la glace arctique pour des opérations commerciales, entre autres exemples. Ces projets d'ingénierie mondiale sont-ils « pacifiques » ?

 

Nous ne le pensons pas, pour les raisons que nous décrivons ci-dessous.

 

En tant qu'instrument de droit international, l'ENMOD est délibérément trompeur. Il signifie une interdiction édulcorée, et est dépourvu de mandats d'interdiction juridiquement exécutoires (article I). Pourtant, à l'article III, l'ENMOD impose clairement une action qui n'est pas du tout liée au titre de la Convention, « Interdiction de l'utilisation de techniques de modification de l'environnement à des fins militaires ou toutes autres fins hostiles ». En outre, l'action obligatoire (article III, section 2) n'a pas la spécificité appropriée pour les actions obligatoires. Par exemple, « les États parties qui sont en mesure de le faire contribueront, seuls ou avec d'autres États ou organisations internationales » manque de spécificité quant à la signification des « organisations internationales » ou à la nature, l'objectif, l'étendue et le coût, tant humain qu'environnemental, des « contributions » obligatoires.

 

Ce manque de spécificité est injustifié et délibéré. En revanche, l'article II d'ENMOD est très spécifique et très large dans sa définition du terme « techniques de modification de l'environnement ». L'article II stipule : « Telle qu'elle est utilisée à l'article premier, l'expression « techniques de modification de l'environnement » désigne toute technique visant à modifier - par la manipulation délibérée de processus naturels - la dynamique, la composition ou la structure de la Terre, y compris son biote, sa lithosphère, son hydrosphère et son atmosphère, ou de l'espace au-delà de l'atmosphère ».

 

Dans sa totalité, ENMOD ne prévoit aucune interdiction, limitation, exigence, spécificité ou définition de son article III - qui prévoit « l'amélioration et l'utilisation pacifique de l'environnement ». Cette formulation impose spécifiquement la non-exclusion de « l'utilisation de techniques de modification de l'environnement à des fins pacifiques ». L'ENMOD ne définit pas non plus les fins pacifiques. Néanmoins, l'article I d'ENMOD définit « l'utilisation hostile » par les mots suivants : « l'utilisation hostile de techniques de modification de l'environnement ayant des effets étendus, durables ou graves comme moyen de destruction, de dommage ou de préjudice à tout autre État partie ».

 

Toute modification à grande échelle de l'environnement naturel aura inévitablement des « effets étendus, durables ou graves » sur les humains et les autres biotes et, selon nous, ne peut être qu'extrêmement hostile, et non « pacifique » comme nous le documentons et le justifions dans cette étude.

 

L'ENMOD, selon nous, fournit un accord mondial juridiquement contraignant pour mener une guerre de géo-ingénierie « à des fins pacifiques » contre les citoyens de nations souveraines par des « organisations internationales » - avant tout, il faut le supposer, les Nations Unies et ses diverses agences, dont les objectifs, selon nous, comprennent la subordination de la souveraineté de toutes les nations à celle des Nations Unies elles-mêmes.

 

Depuis trente ans, l'ONU, par l'intermédiaire du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat [GIEC] [11], s'est engagée à endoctriner les dirigeants politiques et à faire de la propagande auprès des citoyens du monde entier pour qu'ils acceptent la théorie du réchauffement climatique dû aux émissions anthropiques de dioxyde de carbone, un « ennemi » commun et planétaire contre lequel la guerre devrait être finalement - et à juste titre - menée. L'objectif de cette campagne mondiale implique l'abandon de la souveraineté de chaque nation signataire et son adhésion en tant qu'entité subordonnée à un système de gouvernance mondiale unique qui contrôle les systèmes énergétiques du monde, l'énergie étant fondamentale pour la civilisation contemporaine.

 

 

PREUVES DES ACTIVITÉS DE MODIFICATION DE L'ENVIRONNEMENT DE L'ENMOD

 

 

Les traînées de particules pulvérisées par avion dans la troposphère ont été observées par des citoyens inquiets depuis des décennies [12-15]. Depuis 2010 au moins, voire plus tôt, les pulvérisations aériennes sont devenues une activité quasi quotidienne et quasi mondiale qui a suscité une inquiétude considérable parmi les citoyens [15]. La figure 2 montre quelques exemples de traînées de particules troposphériques. Immédiatement après les pulvérisations, les traînées se sont étendues, ressemblant brièvement à des cirrus, avant de devenir une brume blanche dans le ciel [9]. Les particules ainsi déposées dans la troposphère sont chauffées par le rayonnement solaire à ondes courtes et longues et par le rayonnement à ondes longues provenant de la surface de la Terre, transférant cette chaleur à l'atmosphère environnante par le biais de collisions moléculaires, ce qui à son tour réduit le gradient de température défavorable relatif à l'air proche de la surface, réduisant ainsi les pertes de chaleur par convection et provoquant un réchauffement local et/ou global [16].

Figure 2 : Modification de l'environnement par des traînées de particules troposphériques. Dans le sens des aiguilles d'une montre, à partir du coin supérieur gauche : San Diego, Californie, États-Unis ; Karnak, Égypte ; Londres, Angleterre ; Jaipur, Inde.

Figure 2 : Modification de l'environnement par des traînées de particules troposphériques. Dans le sens des aiguilles d'une montre, à partir du coin supérieur gauche : San Diego, Californie, États-Unis ; Karnak, Égypte ; Londres, Angleterre ; Jaipur, Inde.

Dans l'application des techniques de modification environnementale à des fins pacifiques ratifiées par l'ENMOD [5], non seulement leur existence et les détails opérationnels ne sont pas divulgués au public, mais celui-ci est également systématiquement trompé [17-19].

 

Des efforts concertés sont déployés pour tromper la communauté scientifique [18,19] (ainsi que le public) en lui faisant croire que les traînées de particules, comme le montre la figure 2, seraient des « traînées de condensation » de cristaux de glace qui sont parfois produites par la vapeur d'eau dans les gaz d'échappement des avions dans des conditions de forte humidité et de basse température [20].

 

Les citoyens concernés ont pris de nombreuses photographies montrant que les traînées de particules observées ne correspondent pas physiquement à des traînées de condensation de cristaux de glace [9,15,21]. La figure 3 montre à la fois les traînées blanches typiques, comme celles de la figure 2, qui correspondent à des cendres volantes de charbon [7-9,21] et montrent beaucoup de lumière dispersée, et les traînées noires, probablement produites par du noir de carbone, qui absorbe la lumière beaucoup plus efficacement avec beaucoup moins de dispersion que les autres aérosols. Les traînées de condensation de cristaux de glace ne sont jamais noires. La réflectivité quasi-totale de la neige met en évidence l'absorption spectrale extrêmement faible de la glace [22]. L'un d'entre nous (JMH) a vu des traînées blanches sous la couverture nuageuse au-dessus de Francfort, en Allemagne, et des traînées noires au-dessus des nuages, vraisemblablement dispersées là pour être difficiles à observer.

 

Quelles « amélioration et utilisation pacifique de l'environnement » [5] pourraient être obtenues en chauffant la troposphère à une échelle quasi quotidienne, quasi mondiale ? Les preuves suggèrent que l'une des « améliorations environnementales » d'ENMOD consiste à faire fondre la glace polaire pour ouvrir un passage du nord-est ou du nord-ouest aux voies de navigation mondiales ainsi que pour permettre l'accès aux ressources pétrolières et minérales sous-jacentes. Mais ne vous y trompez pas : Une telle « amélioration » n'est ni « pacifique », ni non préjudiciable à la santé humaine et biotique en général. Elle est en fait catégoriquement hostile. Elle représente une attaque directe contre la production agricole mondiale ainsi que contre la santé humaine et environnementale, comme décrit ci-dessous. En outre, elle n'est pas divulguée au public par d'autres moyens, par exemple dans les avertissements de sécurité publique. En outre, elle fait le jeu ou s'adapte à l'idéologie politique « scientifique » des Nations Unies selon laquelle les gaz à effet de serre seraient la seule ou la « principale » cause du réchauffement climatique, ce qui nécessiterait des activités d' « intervention » sur le climat.

 

Figure 3 : à partir de [74]. Les traînées de particules blanches et noires au-dessus de Danby, Vermont, États-Unis - une combinaison impossible pour de prétendues « traînées de condensation » de cristaux de glace, preuve contraire à la désinformation persistante selon laquelle les traînées de particules seraient des cristaux de glace inoffensifs provenant des gaz d'échappement des avions [18,75].

Figure 3 : à partir de [74]. Les traînées de particules blanches et noires au-dessus de Danby, Vermont, États-Unis - une combinaison impossible pour de prétendues « traînées de condensation » de cristaux de glace, preuve contraire à la désinformation persistante selon laquelle les traînées de particules seraient des cristaux de glace inoffensifs provenant des gaz d'échappement des avions [18,75].

Le 14 février 2016 ou vers cette date, une substance huileuse et sale est tombée sur sept résidences et véhicules dans le canton de Harrison, Michigan (USA). Soupçonnant qu'il s'agissait d'un rejet accidentel provenant d'une activité de géo-ingénierie non divulguée, l'un d'entre nous (JMH) « a obtenu des échantillons de cette substance d'un des résidents dont la propriété a été éclaboussée par le haut et a fait analyser la substance » ... et a rapporté [6] « Les résultats de ces analyses fournissent la preuve d'une opération délibérée pour faire fondre la glace et la neige. ...des motifs de trous quasi-circulaires, parfois appelés « trous de cryoconite », sont observés sur les surfaces des glaciers d'ablation dans le monde entier ; ces trous ressemblent à la distribution d'un matériau dispersé dans l'air....le matériau dispersé dans l'air est de la cryoconite synthétique, ou protocryoconite, dont le but est de faire fondre la banquise. Cette explication correspond aux pulvérisations quasi quotidiennes et quasi mondiales, d'une substance particulaire, sous forme de cendres volantes de charbon, dans la troposphère, ce qui a pour effet de provoquer un réchauffement climatique... ». La similitude entre le matériau dispersé dans l'air et la cryoconite est illustrée à la figure 4, adaptée de [6].

Figure 4 : En haut à gauche : distribution des gouttes d'air ; en haut à droite : Distribution des trous de cryoconite dans le glacier ; en bas à gauche : Goutte d'air synthétique ou protoCryoconite ; en bas à droite : Cryoconite naturelle. Herndon JM et al.

Figure 4 : En haut à gauche : distribution des gouttes d'air ; en haut à droite : Distribution des trous de cryoconite dans le glacier ; en bas à gauche : Goutte d'air synthétique ou protoCryoconite ; en bas à droite : Cryoconite naturelle. Herndon JM et al.

DÉVASTATIONS NON-PACIFIQUES DE L'AGRICULTURE ET DE LA SANTÉ

 

 

Les humains ont besoin de nourriture pour manger, d'eau pour boire et d'air pour respirer. La géo-ingénierie mondiale qui pollue chacune de ces trois ressources fondamentales a également pour effet de réduire la souveraineté des États-nations.

 

L'introduction de particules de pollution atmosphérique dans la troposphère, la région où se forment les nuages, ou dans la stratosphère où, avec le temps, les aérosols de la géo-ingénierie précipitent dans la troposphère, a des conséquences néfastes sur l'agriculture qui lui nuisent déjà gravement :

 

Les particules de pollution en aérosols provoquent un réchauffement local, régional ou mondial [23-26], ce qui entraîne une diminution des rendements des cultures [27,28].

 

Les particules de pollution en aérosols empêchent les pluies, provoquant la sécheresse à un endroit et des déluges et des inondations à un autre [3,9].

 

Le réchauffement planétaire ainsi produit entraîne une augmentation de l'évaporation et des précipitations [7].

 

Lorsqu'elles se déposent sur le sol ou dans l'eau, les particules de pollution absorbent le rayonnement solaire et réchauffent la surface ; sur la neige et la glace, elles provoquent leur fonte et réduisent également l'albédo, ce qui entraîne un nouveau réchauffement climatique [16].

 

Les particules en aérosols provoquent le chaos climatique, perturbant les conditions météorologiques plus ou moins stables qui ont rendu l'agriculture possible [9,28-31].

 

La perturbation des conditions météorologiques par la géo-ingénierie peut aggraver la décimation des cultures agricoles, par exemple par les criquets (32).

 

Les particules aériennes déciment les populations d'animaux sauvages utiles, comme les abeilles (33), les chauves-souris (34) et les oiseaux (35).

 

Les particules utilisées dans les pulvérisations aériennes, comme les cendres volantes de charbon, empoisonnent le sol et l'eau avec de multiples éléments toxiques, dont le mercure (8), l'arsenic et le thallium (36), et une toxine pour les végétaux : l'aluminium chimiquement libre (10, 37, 38).

 

Les particules de cendres volantes de charbon, lorsqu'elles sont rejetées dans la stratosphère (39-41), détruisent l'ozone atmosphérique protectrice et permettent aux rayons ultraviolets du soleil d'endommager les plantes, les rendant plus sensibles aux agents pathogènes (10,42).

 

Les particules atmosphériques réduisent la lumière solaire disponible au détriment des cultures [43], tout comme elles réduisent la production d'énergie des cellules solaires [44].

 

Les particules qui se déposent sur les feuilles réduisent la transpiration et entravent la croissance [45].

 

Les éléments extraits des particules en aérosols par l'eau de pluie, y compris les toxines telles que l'aluminium chimiquement libre, en mouillant les feuilles, se concentrent par évaporation et dégoulinent pour empoisonner les racines (10).

 

Les particules en aérosols, en particulier les cendres volantes de charbon, qui tombent dans les piscicultures et autres plans d'eau, modifient l'équilibre du phytoplancton en faveur des algues et des cyanobactéries nocives [46].

 

L'introduction dans la troposphère de particules de pollution atmosphérique, y compris, mais sans s'y limiter, les cendres volantes de charbon, a également des conséquences néfastes connues sur la santé humaine :

 

Les particules de pollution atmosphérique sont la principale cause environnementale de morbidité et de mortalité dans le monde (47,48).

 

Les particules sphériques de magnétite de la pollution atmosphérique sont présentes dans le cerveau des personnes atteintes de démence (49,50).

 

Des particules de fer magnétiques réactives ont récemment été trouvées en abondance dans le cœur de personnes originaires de régions très polluées (51).

 

La pollution de l'air est un facteur important d'accidents vasculaires cérébraux et de maladies neurodégénératives [49,52,53].

 

Les particules de pollution atmosphérique pénètrent profondément dans les poumons et la circulation systémique et contribuent aux accidents vasculaires cérébraux (AVC) [54], aux maladies cardiaques [51,54], au cancer du poumon [55], à la BPCO ( la bronchopneumopathie chronique obstructive) [56], aux infections respiratoires [57] et à l'asthme [58].

 

Les particules de pollution atmosphérique sont un facteur de risque de fausse couche [59,60], de déclin cognitif à tout âge [61], de démence d'Alzheimer plus tard dans la vie [61], d'enfants ayant des problèmes cognitifs [62,63], et de déclin cognitif chez les femmes âgées [64].

 

 

CONFLITS INSTITUTIONNELS DES NATIONS UNIES CONCERNANT LA MODIFICATION DE L'ENVIRONNEMENT OBLIGATOIRE

 

 

Les activités de modification de l'environnement nuisibles, mondiales et obligatoires, menées actuellement sous l'égide de l'ENMOD des Nations Unies [5] sont contraires aux objectifs et aux missions d'autres lois et organisations des Nations Unies.

 

Les climatologues, y compris ceux qui sont associés au GIEC, ont évité de mentionner, et encore moins de discuter, des conséquences environnementales potentielles des pulvérisations aériennes de particules polluantes dans l'atmosphère. Ils ne reconnaissent pas ces conséquences évidentes sur les conditions météorologiques, le climat, la production agricole ou la santé humaine et environnementale [11].

 

Les Nations Unies ne peuvent pas, de bonne foi, prétendre que le réchauffement de la planète serait dû au piégeage de la chaleur par les gaz à effet de serre [11], et ignorer simultanément les effets climatologiques, environnementaux et sanitaires mondiaux des pulvérisations aériennes troposphériques en cours. Sous les auspices de l'ENMOD, elles ne peuvent pas s'engager dans une modification de l'environnement par pulvérisations de particules dans la région où se forment les nuages, contribuant ainsi au réchauffement climatique [16,23-26], et ensuite prétendre sans hésitation que le réchauffement climatique anthropique involontaire dû à la combustion de combustibles fossiles serait la seule cause du changement climatique.

 

Le directeur général de l'Organisation Mondiale de la Santé des Nations Unies a récemment fait remarquer [65] que le simple fait de respirer tue sept millions de personnes par an et en blesse des milliards d'autres. « Personne, riche ou pauvre, ne peut échapper à la pollution de l'air », reconnaît-il, « malgré cette épidémie de décès et de handicaps inutiles et évitables, un brouillard de complaisance envahit la planète ». Conformément au principe de précaution en matière de santé publique [66,67], deux d'entre nous (JMH et MW) ont soumis au Bulletin de l'Organisation mondiale de la santé, en tant que professionnels agréés, une mise en garde sur les risques sanitaires mondiaux liés à la modification de l'environnement par la pollution aux particules en aérosols des avions à réaction. Cette perspective a été rejetée sans examen [68].

 

La Déclaration de Rio sur l'environnement et le développement (69), un des piliers de la Convention sur la diversité biologique des Nations unies, déclare : « Les États coopèrent dans un esprit de partenariat mondial pour conserver, protéger et rétablir la santé et l'intégrité de l'écosystème de la Terre ». La décimation des populations d'insectes [33], de chauves-souris [34] et d'oiseaux [35] et la perturbation de l'équilibre écologique dans la nature [8,10,46] causée par les pulvérisations de particules dans la troposphère sont toutes en contradiction flagrante avec l'obligation susmentionnée de la Déclaration de Rio des Nations Unies [69].

 

 

LES BÉNÉFICIAIRES DE LA MODIFICATION AUTORISÉE DE L'ENVIRONNEMENT PAR LE TRAITÉ ENMOD

 

Comme l'a déclaré le vice-président américain Lyndon B. Johnson dans un discours prononcé le 27 mai 1962 à l'université du sud-ouest de l'État du Texas [70], « Celui qui contrôle le temps contrôlera le monde ». Le contrôle mondial, c'est-à-dire le pouvoir d'exercer une autorité mondiale, est l'intention de l'ONU dans sa mise en œuvre de l'ENMOD [5], de son obligation à l'amélioration de l'environnement, à laquelle sont subordonnées toutes les autres organisations de l'ONU, y compris son Organisation pour l'alimentation et l'agriculture.

 

Il y a d'autres bénéficiaires de l'ENMOD. Les organisations militaires, leurs entreprises contractantes et leurs multiples sous-traitants, ainsi que les organisations gouvernementales associées, de soutien et administratives, tirent tous des revenus importants des activités mondiales de modification de l'environnement rendues obligatoires par l'ENMOD. Et ce n'est pas tout.

 

Les activités « pacifiques » de modification de l'environnement rendues obligatoires par l'ENMOD peuvent masquer ou servir de couverture à des opérations hostiles de guerre environnementale de facto, presque impossibles à décrypter en tant que telles, comme l'a expliqué il y a longtemps le géo-scientifique et conseiller stratégique présidentiel Gordon J. F. MacDonald [2].

 

En 1968, MacDonald [2] a écrit : «  ...éliminer l'humidité de l'atmosphère afin qu'une nation qui dépend de l'eau ... puisse être soumise à des années de sécheresse. L'opération pourrait être dissimulée par l'irrégularité statistique de l'atmosphère. Une nation possédant une technologie supérieure dans la manipulation de l'environnement pourrait endommager un adversaire sans révéler ses intentions. » En 2016, l'un d'entre nous (JMH) a écrit [21] : « Le développement d'une méthodologie pour réduire les pluies en pulvérisant des particules de pollution dans la troposphère a maintenant atteint un niveau opérationnel. L'utilisation potentielle de cette méthode peut constituer une menace pour l'agriculture de toute nation ainsi ciblée ».

 

La figure 5 est une image satellite Worldview de la NASA du 4 février 2016 qui montre des traînées de particules recouvrant la République de Chypre, mais presque absentes dans les régions environnantes. Les citoyens chypriotes, jusqu'à présent en vain, ont demandé une explication à leur gouvernement pour l'obscurcissement délibéré de leur ciel et les « conditions météorologiques extrêmes » [71]. Suite aux présentations faites en février 2016 devant la commission parlementaire de l'environnement, le département des services de l'environnement a promis une enquête sur les pulvérisations aériennes, mais à ce jour, aucune réponse n'a été reçue.

 

L'un des objectifs militaires des épandages aériens de particules dans les régions où se forment les nuages est d'empêcher les précipitations.

 

Un objectif militaire des pulvérisations aériennes de particules dans les régions où se forment les nuages est d'empêcher les précipitations et de provoquer une sécheresse agricole dévastatrice dans un pays hostile [21]. L'ancien président iranien Mahmoud Ahmadinejad a accusé les pays occidentaux de s'engager subrepticement dans des activités génératrices de sécheresse [72].

 

Figure 5 : Image satellite Worldview de la NASA du 4 février 2016 montrant des traînées de particules pulvérisées par avion, couvrant l'air au-dessus de la République de Chypre mais presque absentes dans les régions environnantes.

Figure 5 : Image satellite Worldview de la NASA du 4 février 2016 montrant des traînées de particules pulvérisées par avion, couvrant l'air au-dessus de la République de Chypre mais presque absentes dans les régions environnantes.

L'hiver 2006/2007 a marqué le début d'une sécheresse extrêmement sévère qui a dévasté l'agriculture en Syrie et a conduit à une guerre civile, dont certains pensent qu'elle est liée à des causes anthropiques [73]. Des facteurs anthropiques étaient-ils en jeu et les activités de géo-ingénierie étaient-elles un facteur, y avait-il une intention malveillante ? Nous ne le saurons peut-être jamais, mais les conséquences subies par les millions de vies humaines touchées peuvent être considérées comme un avertissement de ce qui pourrait se produire lorsque des entités étatiques ou non étatiques utilisent des techniques de modification de l'environnement pour provoquer l'effondrement de l'agriculture ou entraîner d'autres résultats malveillants.

 

CONCLUSIONS

 

Les Nations Unies ont trompé de nombreux gouvernements en les faisant signer un traité qui les oblige à devenir des pions involontaires de l'abandon de leur souveraineté nationale et de leur propre destruction lente et involontaire. Au lieu d'interdire « l'utilisation hostile de techniques de modification de l'environnement », comme son titre le suggère, l'ENMOD oblige les nations signataires à consentir et même à participer ou à acquiescer à des activités « pacifiques » de modification de l'environnement non spécifiées, menées par des entités non spécifiées, dans des circonstances non spécifiées, sans limitation des dommages infligés à l'agriculture, à l'environnement ou à la santé humaine.

 

La modification de l'environnement à grande échelle n'est pas pacifique, mais extrêmement hostile. La géo-ingénierie des aérosols troposphériques et d'autres activités de géo-ingénierie non divulguées en cours ont déjà commencé à avoir des conséquences dévastatrices sur l'agriculture, ainsi que des effets étendus, durables et graves sur la santé humaine et l'environnement.

 

Personne n'a le droit d'empoisonner l'air que nous respirons, ni de perturber l'agriculture et d'empoisonner le sol, ni de provoquer le chaos météorologique et climatique, ni de provoquer lentement et insidieusement le cancer du poumon, des maladies cardiaques, neurodégénératives, respiratoires ou autres qui résulteront inévitablement des pulvérisations aériennes, ou de nuire aux créatures de Dieu de la même manière - notamment en perturbant des conditions météorologiques autrefois stables, en décimant les populations d'insectes, de chauves-souris et d'oiseaux, en exacerbant les feux de forêt et en détruisant les forêts, en permettant la présence d'algues nocives dans nos eaux et en détruisant la couche d'ozone qui protège la vie des rayons ultraviolets mortels du soleil. Pourtant, ce sont toutes des conséquences de la modification de l'environnement en cours, autorisée par l'ENMOD.

 

Les activités de modification de l'environnement en cours constituent, selon nous, une guerre de facto contre des nations souveraines, une guerre qui dégrade l'agriculture, endommage la biosphère et conduit à la souffrance humaine et à la mort. En outre, ces activités sont en contradiction flagrante avec les missions d'autres entités des Nations unies, y compris, mais sans s'y limiter, l'Organisation mondiale de la santé, la Déclaration de Rio sur l'environnement et le développement et l'Organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture.

 

L'absence de divulgation publique et la désinformation concertée sur les activités de modification de l'environnement en cours, autorisées par l'ENMOD, sont la preuve supplémentaire d'une intention trompeuse. De plus, les techniques développées peuvent être appliquées subrepticement par des États sans loi pour infliger des sécheresses agricoles dévastatrices aux nations ennemies.

 

La vie sur Terre est possible grâce à un équilibre délicat entre une myriade de biotes et leur environnement. Les conséquences néfastes des activités de modification de l'environnement autorisées par l'ENMOD constituent la plus grande menace anthropique pour la vie sur Terre. L'effondrement de l'agriculture et la famine massive sont des conséquences potentielles. Les activités de modification de l'environnement doivent être interrompues immédiatement et de façon permanente si nous voulons que notre progéniture et nous-mêmes vivions en bonne santé.

 

L'opération mondiale secrète doit être exposée à l'examen du public.

 

Lorsque le dépôt de particules dans la troposphère cessera, les particules polluantes tomberont sur la Terre en quelques jours ou semaines, le réchauffement climatique sera réduit, ce qui entraînera des améliorations de la production agricole, de la santé publique et environnementale, et le retour tant attendu du ciel bleu naturel, une aubaine pour l'esprit des gens partout sur Terre.

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Zéro indemnité : Les grandes entreprises pharmaceutiques ne seront PAS tenues responsables des effets secondaires du vaccin Covid

4 Août 2020, 06:45am

Zéro indemnité : Les grandes entreprises pharmaceutiques ne seront PAS tenues responsables des effets secondaires du vaccin Covid

Zéro indemnité : Les grandes entreprises pharmaceutiques ne seront PAS tenues responsables des effets secondaires du vaccin Covid


31 juil. 2020 - https://on.rt.com/anc1



Par Peter Andrews, journaliste scientifique et écrivain irlandais basé à Londres. Il a une formation en sciences de la vie et est diplômé de l'université de Glasgow en génétique.


Un cadre supérieur du géant pharmaceutique AstraZeneca a confirmé que sa société ne peut faire l'objet d'une action en justice pour tout effet secondaire potentiel causé par son vaccin Covid. Les personnes concernées n'auront aucun recours juridique.


AstraZeneca est l'une des 25 sociétés pharmaceutiques dans le monde qui testent déjà leurs vaccins Covid sur des humains, en vue de les injecter à des centaines de millions de personnes. Il s'agit d'une période de grande affluence pour la plus grande société pharmaceutique britannique, qui vaut quelque chose comme 70 millions de livres sterling. Elle vient d'annoncer des bénéfices exceptionnels de 12,6 milliards de dollars pour les six derniers mois seulement.


Mais malgré son bilan sain, AstraZeneca ne veut pas être tenue responsable des effets secondaires potentiels de son "prometteur" candidat vaccin. En d'autres termes, la société est entièrement protégée, ou indemnisée, contre les poursuites judiciaires intentées par des personnes qui se sont fait injecter leur vaccin et qui en subissent les effets négatifs, quelle que soit leur gravité ou leur durée.


Les avocats de la société ont exigé que des clauses à cet effet soient insérées dans leurs contrats avec les pays où AstraZeneca a accepté de fournir son vaccin Covid. La société affirme que, sans ces garanties d'indemnisation, elle ne serait pas incitée à produire le médicament. Et il semble que la plupart des pays aient cédé à cette demande.


Fait dans l'intérêt national ?


Ruud Dobber, un cadre supérieur d'AstraZeneca, a déclaré à Reuters : "Dans les contrats que nous avons mis en place, nous demandons une indemnisation. Pour la plupart des pays, il est acceptable de prendre ce risque sur leurs épaules parce que c'est dans leur intérêt national". Pour "intérêt national", lire "intérêt du gouvernement". La question de savoir si ce qui se passe est bon pour les populations des pays vaccinés reste, pour ne pas dire plus, une question ouverte.


Dobber a refusé de nommer les pays qui ont passé commande pour le vaccin de la firme, bien que de nombreuses grandes démocraties occidentales soient susceptibles de figurer sur la liste. Le gouvernement britannique s'est lancé dans une course aux dépenses de vaccins, en achetant 250 millions de doses auprès de diverses grandes entreprises pharmaceutiques. Les États-Unis, quant à eux, ont une longueur d'avance dans ce domaine : ils disposent d'un cadre juridique spécial dans lequel aucune entreprise pharmaceutique ne peut être poursuivie pour les effets secondaires des vaccins en cas d'"urgence de santé publique". Cette législation, connue sous le nom de PREP Act, est le fruit d'un effort de lobbying massif de la part de l'industrie pharmaceutique américaine, et a été introduite malgré la vigoureuse opposition des groupes de consommateurs. À moins que le fabricant de vaccins ne vous tue ou ne vous blesse intentionnellement - faute intentionnelle - vous ne pouvez pas le poursuivre en justice.


Comme de hauts fonctionnaires de l'Union européenne l'ont déclaré à Reuters cette semaine, ils s'engueulent avec les fabricants de vaccins sur les prix, les délais de paiement et, surtout, la responsabilité. Il n'est guère surprenant que personne ne veuille être tenu responsable. Remplir une population d'un vaccin expérimental pour l'"immuniser" contre une maladie qui est inoffensive pour la plupart des gens, et être ensuite tenu responsable des conséquences ? Je ne pense pas qu'il en soit ainsi. Les dirigeants des grandes entreprises pharmaceutiques ne gagnent pas les salaires à sept chiffres qu'ils touchent pour être tombés dans de tels pièges.

 

Dobber a également ajouté : "C'est une situation unique dans laquelle nous, en tant qu'entreprise, ne pouvons tout simplement pas prendre le risque si dans ... quatre ans, le vaccin présente des effets secondaires". Oh... d'accord alors. Alors, qui prend la responsabilité ? L'OMS ? Non. Les politiciens ? Ne me faites pas rire. Personne ? Je t'ai eu.


Qui paie ?


Parce qu'il existe une garantie virtuelle selon laquelle, dans le cadre d'un programme de vaccination important, certaines personnes seront lésées, voire tuées, par le vaccin, certains pays ont mis en place des fonds publics spéciaux pour indemniser les personnes touchées. L'OMS soutient ce modèle de dédommagement financé par le contribuable pour les demandeurs de vaccins.


Les États-Unis disposent d'un tel fonds, tout comme de nombreux pays européens, dont le Royaume-Uni, l'Allemagne, la Suède et l'Italie. Il peut être utile de consulter le système en vigueur dans votre pays si vous êtes inquiet au sujet du vaccin. Une chose est sûre cependant : en ce qui concerne le Covid-19, les capitaux privés ont décidé qu'ils ne voulaient rien avoir à faire avec les conséquences à long terme de leurs vaccinations.
 

 

https://www.rt.com/news/496801-pharma-not-accountable-vaccine-effect/

 

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Les armes à énergie dirigée de Wayne Hall

29 Octobre 2015, 06:34am

Publié par Wayne Hall

Les armes à énergie dirigée

W. Hall Journées d’Études, Toulouse, 19 juin 2011

Étant donné que je n’ai qu’un temps limité pour parler, j’aimerais noter que je perçois la discussion sur les armes à énergie dirigée comme une occasion de renforcer le mouvement antinucléaire en générale.

Des accusations affreuses ont été portées sur le rôle des armes à énergie dirigée - c’est à dire les armes qui utilisent des fortes impulsions électromagnétiques ciblées - dans la catastrophe qui a eu lieu au Japon et qui maintenant irradie la planète entière. S’il s’avère que le désastre de Fukushima est le résultat d’une telle action criminelle délibérée, cela devrait mobiliser à la fois le mouvement antinucléaire et toute la société. S’il s’avère simplement que les actions criminelles de ce genre se sont déjà passées en certaines occasions récentes et pourraient ainsi avoir lieu aujourd’hui, à n’importe quel moment et n’importe où, c’est quelque chose aussi que le mouvement anti-nucléaire ne devrait pas ignorer.

Cela fait maintenant 20 ans que les armes à énergie dirigée ont été un sujet discuté au sein du mouvement anti-nucléaire. La discussion sur le programme de Guerre des Étoiles, également connu comme l’Initiative de Défense Stratégique, a attiré l’attention de tout le mouvement anti-nucléaire. On a conclu que les propositions de Guerre des Étoiles étaient extrêmement coûteuses et vraisemblablement difficiles à mettre en œuvre techniquement, si leur but était d’abattre des missiles balistiques. Certains commentateurs soviétiques ont posé la question à l’époque si le programme de Guerre des Étoiles a été réellement conçu pour servir un autre but, étant donné qu’il était si peu pratique et peu plausible en tant que programme antimissile.

A Reykjavik le président Ronald Reagan a tenté d’assurer, à l’aide d’une proposition étrange et contradictoire orientée vers le désarmement nucléaire total, le consentement soviétique à l’Initiative de Défense Stratégique, mais il a échoué. Après cela, la “Guerre des Étoiles” a disparu des médias et de la conscience des mouvements anti-nucléaires.

Le sujet d’un système d’armes à énergie dirigée sur le terrain connu comme HAARP (Programme de Recherche Boréale Active à Haute Fréquence) a été introduit dans un rapport remarquable en 1999 au Parlement Européen. Il portait “sur l’environnement, la sécurité et la politique étrangère” et a été réalisé sous la direction de la député européenne suédoise Maj Britt Theorin. Il a été cependant peu remarqué par le mouvement anti-nucléaire, et il n’a pas été accepté par la Commission Européenne qui a affirmé que de tels sujets sont l’affaire de l’OTAN et non pas de la Commission Européenne. Cette décision de la Commission est par elle-même une confirmation du système HAARP comme étant un système d’armement et non pas simplement un programme de recherche, comme l’affirmait le gouvernement américain.

Le livre sur “La Stratégie du choc” de Naomi Klein a porté à la conscience du monde le fait que les catastrophes naturelles, ou prétendues naturelles, peuvent ouvrir des nouvelles perspectives étonnantes au profit des entreprises et peuvent rendre possibles des changements politiques favorables aux entreprises multinationales. Si Naomi Klein n’est pas allée jusqu’à porter des allégations spécifiques de production délibérée de catastrophes, d’autres cependant l’ont fait. Le jeune chercheur Américain Dutchsinse qui dirige une enquête sur le fonctionnement de HAARP, a non seulement porté de telles allégations mais a aussi prédit avec précision les catastrophes dites naturelles comme le terrible cyclone qui a détruit Joplin dans le Missouri le 22 mai 2011.

La scientifique Américaine Leuren Moret a caracterisé la catastrophe de Fukushima comme une “guerre nucléaire tectonique”. Sa déclaration est contestée par d’autres chercheurs tels que le major Douglas Rokke, qui a milité avec Mme Moret contre l’uranium appauvri. Le major Rokke affirme que l’épicentre du tremblement de terre du 11 mars est située en trop grande profondeur pour que le désastre ait pu être provoqué par une arme.

Ce qui est le plus inacceptable dans cette discussion et dans d’autres comme celle-ci, c’est qu’elles ont eu lieu in vitro, dans un ghetto, dans un milieu stigmatisé par les médias internationaux et par le monde de la politique comme le milieu de la théorie du complot.

Les débats sur les armes à l’énergie dirigée à l’époque des discussions au sujet de la Guerres des Étoiles étaient inscrits dans les débats du courant politique dominant. Aujourd’hui ils sont la spécialité d’une partie de la société appelée les “théoriciens du complot”. Ces “théoriciens du complot” incluent les militants “chemtrails” (trainées chimiques) qui essaient depuis longtemps de persuader l’opinion publique et le système politique qu’une campagne planétaire est en marche pour répandre des aérosols par avion dans le but d’atteindre un certain nombre d’objectifs : pas seulement la réduction des niveaux d’ensoleillement afin de réagir au réchauffement global mais aussi l’augmentation de la conductivité de l’atmosphère, précisément pour faciliter le fonctionnement des armes à énergie dirigée. (Ceci sans compter de nombreuses autres accusations faites en relation avec les trainées chimiques.)

Malheureusement, le débat a été rendu plus compliqué et confus par l'introduction d’un autre débat qui est venu à la mode dans le début des années 1990 en même temps que le débat nucléaire, et plus encore le débat sur les armes nucléaires, devenaient démodés. C’est le débat sur le changement climatique. Les militants du changement climatique ont pris l’habitude de citer les catastrophes de toutes sortes, des cyclones aux séismes et aux tsunamis, comme preuve des effets catastrophiques d’un changement climatique d’origine anthropique, et dont la réalité est niée par les soi-disant sceptiques du changement climatique. Le débat tel qu’il est reproduit dans les médias brouille une distinction importante: la distinction entre les conservateurs

sceptiques du changement climatique qui se moquent des militants du changement climatique, les traitant de prophètes de malheur, et de l’autre côté, les radicaux sceptiques du changement climatique, dont la critique vient de l’autre direction et qui accusent les militants du changement climatique d’ignorer le facteur de guerre délibérée de l'environnement.

Dans le débat, les deux types de sceptiques sont confondus, avec pour résultat que les discussions sur les centrales nucléaires ou les catastrophes environnementales peuvent très facilement être transformées en arguments pour ou contre l’origine anthropique du changement climatique.

Ce qui a été construit est un scénario très efficace permettant de “diviser pour régner”. D’une part les mouvements anti-nucléaires ignorent les discussions des “théoriciens du complot” pour savoir si les catastrophes “naturelles” successives d’aujourd'hui, sont produites délibérément. D’autre part, les soi-disant théoriciens du complot sont de plus en plus préoccupés par la question de savoir si les catastrophes dites naturelles ont été causées par les Américains, les Chinois, les Russes, les Européens, ou quelqu’un d'autre. Cette préoccupation est renforcée par des interventions des nationalistes comme le politique russe Vladimir Jirinovski, qui prétend à la télévision russe que les Russes possèdent des “armes météorologiques secrètes” qui peuvent détruire une partie de la planète et “tuer des millions de personnes”.

Heureusement, certains ont réussi à échapper à ces scénarios de division. Les Verts de Chypre, qui sont membres des Verts européens et représentés au parlement de Chypre, mènent activement et au niveau du leadership une campagne à la fois contre HAARP, qui selon eux opère également à Chypre, et d’autre part contre les trainées chimiques. Ils sont une exception remarquable parmi les partis verts de l’Europe et même du monde, et leur exemple devrait être suivi par les autres partis verts.

D’autre part, au sein de la société civile, et dans les mouvements anti-nucléaires, devront être réactivés le mouvement pour une Europe libérée d’armes nucléaires et de centrales nucléaires qui a été si puissant en Europe avant l'effondrement de l’Union Soviétique. La dénucléarisation de notre région ne doit pas être l’otage des évènements politiques à l’échelle mondiale ou des scénarios de “division pour mieux régner” de la politique américaine. L’appel de Saintes “pour une Europe sans armes ni centrales nucléaires” doit être soutenue par tout le monde. Le rapport de 1999 de Maj Britt Theorin au Parlement européen “sur l’environnement, la sécurité et la politique étrangère” doit devenir la base d’un nouveau mouvement anti-nucléaire européen, et même d’une nouvelle Europe des citoyens.

Massimo Greco au sujet des traînées chimiques (video) http://www.youtube.com/watch?v=2f6emAvUtag&feature=channel_video_title

Jean-Marie Matagne au sujet des traînées chimiques (video) http://www.youtube.com/watch?v=oCedLpEQJ8A&feature=relmfu

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