Les ravages des tempêtes de neige artificielles dans le monde
24 décembre 2012 Dane Wigington
http://www.geoengineeringwatch.org/geoengineered-snow-storms-wreaking-havoc-around-the-globe/
Peut-on vraiment fabriquer des tempêtes de neige ?
C'est ce qu’une montagne de données, y compris des expériences enregistrées, des images satellite, des tests de laboratoire de neige, des observations sur le terrain, et les brevets existants affirment absolument. Deux brevets connus pour le processus de « nucléation artificielle de la glace pour modification du climat » sont donnés en lien au bas de cet article.
Le gouvernement chinois a ouvertement admis qu'il crée des « tempêtes de neige artificielles » mais par la suite il a fait marche arrière après avoir causé un milliard de dollars de dommages à Pékin. Si le gouvernement chinois peut régulièrement créer des tempêtes de neige à partir de ce qui aurait dû être un épisode pluvieux, combien plus avancé doit être notre gouvernement en la matière ? Lors de la surveillance des images radar de pluie pendant un orage, il est désormais courant de voir la pluie « tourner » à la neige sans raison apparente. Pas de montagnes, pas de masse d'air entrant en collision, rien. Les météorologues de Weather Channel, la chaîne météo possédée par le complexe militaro/industriel des Rothschild, l’appellent « retour à la neige ». Pourquoi la pluie « retournerait-elle » à la neige sans aucune raison?
La nucléation de la glace refroidit la masse d'air
La plupart des « épisodes neigeux » aux Etats-Unis, même à cette époque de l'année, se produisent étonnamment toujours au-dessus du point de congélation (0°C). Certains sont à des températures de 10 degrés ou plus au-dessus du seuil de congélation. Comment est-ce possible ? Les lois de la physique ont-elles changé ?
Cela se fait par divers processus de nucléation chimique de la glace. C'est comme le démarrage de la banquise chimique. Mélangez les produits chimiques et vous obtenez de la glace. Quelles que soient les températures existantes d'un orage et de la masse d'air environnant au moment où la nucléation artificielle commence, les températures baissent du fait de la nucléation artificielle. Si le processus de nucléation est lancé bien au-dessus du point de congélation, les températures peuvent tomber au point de congélation ou en-dessous à mesure que le processus se poursuit. Si la région où est réalisée la nucléation artificielle connait déjà des températures bien en dessous de zéro, elles descendront encore plus bas. Si le processus de nucléation chimique est infligé de manière assez agressive, dans des régions déjà froides, les températures peuvent descendre à des niveaux mortels bien au-dessous de zéro. L’Europe du Nord est actuellement en proie à ce qui semble être un tel événement de manipulation climatique.
Pourquoi feraient-ils cela ?
D'abord, parce qu'ils le peuvent. Pourquoi le pouvoir mondial a-t-il fait exploser plus de 1800 bombes nucléaires? Parce qu'il n'y a personne pour mettre fin à ces essais. De même il n'y a aucune réglementation sur les programmes en cours de géo-ingénierie dans le monde, même si les grandes lignes de la gouvernance existent, comme si ces programmes n’étaient pas déjà une réalité. Il y a probablement d'autres raisons plus directes. 60 ans d'expérimentation sur le climat mondial ont provoqué des dégâts terribles sur le système climatique mondial. La planète se réchauffe, ce qui semble en grande partie dû aux dommages causés par les programmes de géo-ingénierie en cours. Trous d'ozone massifs et émissions de méthane se produisent. Maintenant, il semble que les personnes à la tête des programmes mondiaux d’épandages chimiques aériens tentent d’en « cacher » les dégâts en pulvérisant encore plus, et probablement avec une liste toujours croissante d'éléments toxiques. N'est-ce pas là, la vraie définition de la folie? Faire la même chose à toujours plus grande échelle et s'attendre à un résultat différent?
Toutes les données disponibles montrent clairement que la géo-ingénierie par aérosols stratosphériques (SAG) peut refroidir temporairement de grandes régions, mais c’est au prix d'une aggravation du réchauffement global de la planète. Les données de la NASA le confirment.
Quelles en sont les conséquences?
De nombreux problèmes se posent lorsque la nucléation de la glace est imposée à l'atmosphère. Certaines conséquences ne sont pas connues avec certitude, mais pour celles que nous connaissons, le résultat est mauvais.
Tout d'abord, l'ensemble du cycle hydrologique est perturbé, et, en général, fortement réduit. Cela signifie moins de précipitations, sous quelque forme, pluie ou neige. Bien que le Weather Channel fasse de son mieux pour parler de toute la neige qui tombe en divers endroits, le fait est qu'il y a un manque de neige aux Etats-Unis. Oui, il y a moins de neige, mais il n'y a pas que ça, et ce n'est généralement pas que le froid qui manque compte tenu de la période de l'année. Les tempêtes de neige artificielles créent l'illusion d'un hiver normal, alors que toutes les statistiques disponibles donnent une image très différente. Plus nous nous rapprochons du printemps, plus les épisodes neigeux artificiels deviendront évidents. Les chutes de neige « au-dessus du gel » deviendront de plus en plus fréquentes. Pourtant, il est important de se rappeler que les tempêtes de neige de la géo-ingénierie peuvent également être effectuées dans des conditions extrêmes de froid. Quelles que soient les températures initiales des masses d'air, le mélange chimique de nucléation artificielle semble abaisser les températures ambiantes toujours plus bas. La neige issue de la nucléation artificielle de la glace à des températures plus élevées est presque toujours de la neige « mouillée ». Il s'agit d'un terme nouvellement introduit par Weather Channel et les autres principaux médias.
La neige qui tombe est toxique. Il existe de nombreux tests de laboratoire pour confirmer que les mêmes métaux lourds hautement toxiques désignés comme éléments de base en matière de brevets de géo-ingénierie se retrouvent dans cette neige artificielle. Cela empoisonne l'air, les sols et les eaux. Les effets sur les forêts boréales du Nord sont déjà horribles. Les arbres meurent en masse et les valeurs de pH du sol sont en pleine mutation. La neige artificielle peut être incroyablement dense et lourde, ce qui provoque souvent des dommages importants aux arbres et aux constructions. Les vents et les courants océaniques sont également perturbés par la pulvérisation continue et la manipulation de courants d'air naturels. (Les installations HAARP de chauffage de l’ionosphère tout autour du monde semblent aussi systématiquement manipuler les courants). Ce qui à son tour provoque la libération des dépôts d'hydrates de méthane qui menace toute vie sur terre. (Recherche : « géo-ingénierie / dégagement du méthane»)
La photosynthèse est aussi radicalement réduite. Une couverture nuageuse artificielle de plus en plus étendue résulte de la dispersion de particules par la géo-ingénierie. Ce type de couverture nuageuse prend souvent la forme d'un ciel couvert en grande partie sans relief.
Tempête de neige artificielle : témoignage direct
Le 21/12/12, l’auteur a eu encore à souffrir d’une nouvelle tempête de neige artificielle dans les bois du nord de la Californie. Dans les jours qui ont précédé la tempête, il était comique sinon tout à fait tragique de regarder les « météorologues » de la télévision locale essayer d'expliquer qu’il allait beaucoup neiger alors que quelques jours plus tôt, la température à Redding en Californie était proche de 25°C. Ils ont essayé d'expliquer comment des vents atteignant 48 à 64 km/h allaient s'éteindre mystérieusement, seulement sur la haute vallée de Sacramento et c'est alors que la neige tomberait, même avec des températures de -2°C à 8°C. (La faiblesse du vent est aussi une conséquence connue de la pulvérisation d’aérosols atmosphériques.)
Comme c'est désormais la règle, l'orage qui approchait, s’accompagnait dans le ciel de traînées persistantes d’avions de la géo-ingénierie couvrant tout l'horizon. Une lumière blafarde pénétrait cet auvent toxique dès les premières heures du matin le 20 décembre. Des nuages naturels dérivaient en dessous de la couverture nuageuse artificielle, mais ils n'avaient pas leur majestueuse apparence habituelle, mélangés qu’ils étaient, à la longue, à cette couverture nuageuse fabriquée par la géo-ingénierie. Le bord d'attaque de presque toutes les tempêtes est massivement pulvérisé. Il s'agit de la « RA» de la tempête : la « rivière atmosphérique", zone préférée de pulvérisation selon les déclarations des géo-ingénieurs eux-mêmes. L'effet habituel de cela est donc de retarder la tempête d’un jour et ce cas n'est pas différent. Le 20 décembre, les météorologues locaux faisaient de leur mieux pour expliquer pourquoi l'orage n'était pas venu la veille comme prévu à l'origine. Il avait « ralenti » disaient-ils.
Alors que la soirée du 20 décembre avançait, le niveau de 150 m de neige qui avait été prévu pour l’après-midi ne s'était pas produit. Les températures étaient tellement chaudes que le produit chimique « grand refroidissement » semblait avoir du mal à agir, et donc il y a eu plus de pulvérisation. Les géo-ingénieurs ne semblaient pas parvenir à les faire diminuer car jusqu’à 23 heures, il pleuvait encore à 600 m et plus sur le sommet de la montagne où ma famille et moi vivons. La température ambiante était encore bien au-dessus du point de congélation.
Levé à 5 heures du matin, je pouvais déjà voir des arbres cassés par la neige massive et lourde comme du béton, qui avait apparemment commencé quelques heures plus tôt dans la nuit quand les températures étaient encore légèrement au-dessus du point de congélation. Je me suis vite emmitouflé et je suis allé dehors pour battre la « neige » sur les branches de nombreux arbres. C’est plus facile à dire qu'à faire dans le cas d'une telle neige « mouillée ». Elle adhère comme de la colle à tout ce qu'elle touche, comme dans le processus de fusion même quand il diminue. Ce n'est pas comme la neige de ma jeunesse, moelleuse et poudreuse qui tombait facilement des arbres. Comme prévu, il n’y avait plus de vent. Dans le silence de la forêt, j’entendais le vol lent et bas des avions au-dessus des nuages. La neige n'arrêtait pas de tomber. Dans la nuit du 21 décembre, bien que trempé jusqu'aux os par cette neige molle, j'ai voulu continuer à sauver les arbres sur notre montagne. Comme la nuit avançait, j’entendais un bruit qui m’est très pénible, sa fréquence augmentait sur les crêtes lointaines et dans les canyons profonds, quelque part dans l'obscurité : le bruit des arbres qui craquent et se cassent, écrasés qu’ils étaient par le poids de la lourde neige « mouillée ».
Ce sont des arbres indigènes. Des arbres qui se sont adaptés de longue date aux conditions climatiques de la région. J’ai déjà assisté ici à des chutes de neige deux fois plus importantes, sans dommage, mais cette neige est différente. Même le chêne de la Rivière Vivante, le chêne le plus robuste de toute la région, ployait sous le poids et l'adhérence de cette neige. Elle ne se décollait pas des arbres, mais seulement des bâtons et des constructions.
Plus tard dans la nuit, la fréquence de l'effondrement des arbres, quelque part dans l'obscurité lointaine était presque écrasante. Le seul autre bruit qui rompait le silence était le défilé continuel des avions dans les nuages, si proche et faible pendant la tempête.
Au matin, la moitié des 50 cm de cette neige « béton » avait déjà fondu. Les températures étaient encore supérieures – 2°C et la neige ne tombait plus. De nombreux arbres cassés et déracinés gisaient sur le sol de la forêt. Pourquoi?
Pour le moment, pratiquement aucun avion ne se fait entendre. Aucun. Assez rapidement, ils seront sans aucun doute de retour.
Que pouvons-nous faire ?
Nous sommes dans un combat pour la vie, littéralement. Notre climat et notre atmosphère sont déchirés. Chaque souffle que nous prenons est empli des métaux et des produits chimiques toxiques qu’ils pulvérisent. De même pour chaque bouchée de nourriture que nous mangeons. Il n'y a plus de « bio » comme des chercheurs d'Europe et d'autres parties de la planète l’ont récemment montré. Ces éléments toxiques et d'autres facteurs sont absorbés par tout ce qui vit.
Informez-vous sur cette question des plus désastreuses. Armez-vous d’outils essentiels pour informer les autres. Il est beaucoup plus productif de fournir aux gens des informations crédibles qu'ils puissent vérifier à loisir que de leur asséner des vérités qui les mettent sur la défensive. On peut trouver des exemplaires de dépliants d'information sur le site : "geoengineeringwatch.org / annonces". Un outil extrêmement important à utiliser est le nouveau documentaire de Michael Murphy « Pourquoi pulvérisent-ils ? » qui se trouve au "whyintheworldarethespraying.com".
Une fois que vous disposez d’une copie, vous pouvez dupliquer tout ce que vous voulez à un
coût très faible.
Levez-vous, faites entendre votre voix en partageant des données crédibles sur tout ce que vous savez. C'est maintenant ou jamais.
http://www.ptodirect.com/Results/Patents?query=PN/3613992
http://www.geoengineeringwatch.org/documents/artificial-snow-creation-method.pdf
http://www.ecologyandsociety.org/vol17/iss1/art24/
http://www.politicsforum.org/forum/viewtopic.php?f=50&t=122657