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Ciel Voilé

Chemtrails : obtenir des réponses

27 Novembre 2013, 15:58pm

Publié par Ciel Voilé

 

UNE VICTIME DES CHEMTRAILS SE RÉVOLTE

 

Lettre à Pierre MOSCOVICI

 

Je, soussignée, BRISSON Françoise, gérante de la SCI … déclare mettre sous séquestre la taxe foncière de 2012, d’un montant de 2285 €. J’ai déposé 1 requête administrative le 14/12/2011 à la gendarmerie de Gignac, enregistrée par le gendarme VEZINHET (qui nous a demandé de protéger notre vie, car c’est un sujet classé SECRET DEFENSE !), suite à l’empoisonnement que je subis depuis octobre 2009, par les épandages aériens chimiques clandestins, effectués autant par des avions militaires de l’Otan que par des appareils civils. Je n’ai à ce jour reçu aucune réponse.

 

Je suis adhérente de l’association ACSEIPICA France. Cette association a participé à la

conférence au Parlement Européen, SKYGUARDS, à Bruxelles les 8 et 9 avril 2013, avec

Chypre, Allemagne, Grèce, Italie, Espagne, Suisse, Belgique, Angleterre… pour dénoncer

les épandages aériens chimiques clandestins en Europe (en pièce jointe, composition des

épandages jointe et l’affiche SKYGUARDS). J’ai porté en main propre au Maire de St André

mon dossier complet avec photos (le même que celui adressé en préfecture). L’ensemble des maires de France ont été informés par l’association ACSEIPICA. J’ai adressé des documents à tous les députés et sénateurs de l’Hérault et à divers journalistes de télévision et autres médias, ainsi qu’à un certain nombre de ministres. Quand il y a une réponse, c’est pour « botter en touche ». Quand allons-nous rencontrer des gens courageux, intègres, qui font leur travail, sans la peur de perdre leur poste ou autre petit confort.

 

Je suis personnellement touchée par un emphysème récurent depuis 2009, et à chaque

séries d’épandages, je dois subir comme des millions de Français, cet empoisonnement

permanent, ce génocide. On nous cache la dangerosité de ces produits. Les médecins

sont surpris par la progression de maladies respiratoires de plus en plus fréquentes

et dont la cause est inconnue. Ma réaction est logique, nos enfants sont concernés, nos

familles, ma démarche n’est pas égoïste, elle nous concerne tous, interrogez vos proches

et vous comprendrez la dégradation de notre santé (cancers, Alzheimer, infarctus….). De

très nombreuses associations dans le monde, Américaines, Canadiennes, Australiennes,

Anglaises… avec des journalistes libres et indépendants, travaillent avec nous, à dénoncer

ce génocide discret, cette guerre silencieuse et non conventionnelle.

 

Je suis touchée dans ma chair, Qui va m’indemniser ? Qui nous indemnisera, quand on voit

le médiator, on imagine la suite…. Mais depuis que je me bats, ce parcours du combattant se solde par un triste « circulez, y-a rien à voir ».


J’accomplis mon devoir de citoyenne en vous rappelant les articles de lois suivants :

 

L’article 223-6 : « Quiconque pouvant empêcher par son action immédiate, sans risque pour lui ou pour des tiers, soit un crime, soit un délit contre l’intégrité corporelle de la personne s’abstient volontairement de le faire est puni de cinq ans d’emprisonnement et de 75.000€ d’amende. Sera puni des mêmes peines quiconque s’abstient volontairement de porter à une personne en péril l’assistance que, sans risque pour lui ou pour les tiers, il pouvait lui prêter soit par son action personnelle, soit en provoquant un secours. »

 

L’article 223-7 : « Quiconque s’abstient volontairement de prendre ou de provoquer les mesures permettant, sans risque pour lui ou pour les tiers, de combattre un sinistre de nature à créer un danger pour la sécurité des personnes est puni de deux ans d’emprisonnement et de 30.000€ d’amende. »

 

L’article 421-2 : « Constitue également un acte de terrorisme, lorsqu’il est intentionnellement en relation avec une entreprise individuelle ou collective ayant pour but de troubler gravement l’ordre public par l’intimidation ou la terreur, le fait d’introduire dans l’atmosphère, sur le sol, dans le sous-sol, dans les aliments, ou les composants alimentaires ou dans les eaux, y compris celle de la mer territoriale, une substance de nature à mettre en péril la santé de l’homme ou des animaux ou le milieu naturel.

 

L’article 421-4 : « L’acte de terrorisme défini à l’article 421-2, est puni de 20 ans de réclusion criminelle et de 350.000€ d’amende, lorsque cet acte a entrainé la mort d’une ou plusieurs personnes, il est puni de la réclusion criminelle à perpétuité et de 750.000€ d’amende. Les deux premiers alinéas de l’article 132-23, relatif à la période de sûreté, sont applicables au crime prévu par le présent article. Il s’agit ici d’actes criminels qui portent atteinte aux droits fondamentaux des citoyens, à la santé, à la sécurité et à la vie toute entière sur notre planète. J’en ai assez d’être empoisonnée en silence, sous couvert de géo-ingénierie, et de réchauffement climatique tout à fait illusoire (voir le manifeste en pièces jointes, des 31.000 experts et climatologues qui dénoncent cette arnaque et cette imposture). Je tiens à disposition mon dossier par de nombreux éléments, photos, etc.…

 

Je prends donc, après avoir mûrement réfléchi, la décision de bloquer ma taxe foncière, tant que je n’aurai pas des éléments de réponse cohérents, précis, accompagnés de documents crédibles, de la part des autorités de mon pays. Je ne me contenterai pas d’une lettre de l’aviation civile (que j’ai déjà reçue), indiquant que tout va bien, et que je rêve…car si je rêve, alors il y a des millions de gens dans le monde qui rêvent comme moi. Ma vie a changé, ma santé est détruite, à cause de ces épandages clandestins. Je ne l’accepte plus. Dans l’attente de votre réponse, Françoise BRISSON

 

Extrait du numéro de septembre 2013 du journal Contr’infos pages 10 et 11

 

Avec l’aimable autorisation de Mr Michel Dogna : http://www.micheldogna.fr/

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Privilèges et nuisances du trafic aérien

27 Novembre 2013, 13:47pm

Publié par Ciel Voilé

Trafic aérien en Ile de France

 

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            Le 12 octobre dernier, un collectif d’associations, militant surtout contre le bruit, organisait un colloque sur le trafic aérien en Ile de France. Il s’agit d’une réussite inédite qui ouvre, on l’espère, une période d’actions collectives. Sans surprise, aucune intervention ne concernait les avions qui sillonnent notre territoire en ne transportant  ni fret, ni passagers. Ne seront rapportées ici que les déclarations ou informations qui peuvent nous éclairer sur l’étendue de la liberté du lobby aérien, c’est-à-dire le lobby du pétrole, kérosène et gazole.

 

Bilan carbone

 

            L’Ile de France concentre 20% de la population française et 60% du trafic aérien français en 2012, soit 88 millions de passagers (71 millions en 2002). Dans aucun autre pays d’Europe, on ne rencontre une telle concentration de population à proximité des aéroports. Le trafic aérien a explosé depuis les années 1990, notamment à Orly (1 mouvement toutes les 77 secondes). Lors du plan climat parisien en 2007, le trafic aérien doublait les chiffres d’émissions de CO2, il a donc été exclu  puisqu’il était le plus gros pourvoyeur !

 

Le bilan carbone du trafic aérien en Ile de France est catastrophique :

·         6.7 milliards de litres de kérosène consommé !

·         17.2 millions de tonnes de CO2

·         6.7 millions de tonnes de vapeur d’eau

·         5 000 tonnes de SO2 (pluies acides, irritant)

·         4 000 tonnes de CO (toxique)

·         811 tonnes d’hydrocarbures imbrûlés (nocifs, cancérigènes)

·         1er émetteur de gaz à effet de serre de tous les transports en Ile de France

·         Plus de la moitié du total de toutes les émissions des transports en Ile de France !

·         Les plates-formes aéroportuaires polluent plus que le périphérique parisien : les déplacements au sol utilisent le diesel. La société Aéroports de Paris utilise environ 5 000 véhicules : 3.15 millions de m3 de méthane, 3.15 millions de litres de gazole !

2.7 millions de personnes souffrent de « disparité environnementale » -1.6 million sont gênées par le bruit - 570 000 ressentent mal le bruit des avions.

Les quotas de CO2 ont été mis en place pour seulement 15% des émissions, 85% sont libres !

 

 

Acteurs du secteur

 

            Le lobby aérien ne supporte aucune contrainte, juste faire ce qu’il veut. Les pouvoirs publics laissent faire.  Le trafic aérien est exonéré de traçabilité sous prétexte de secret commercial : aucune transparence des données. Le trafic aérien en Ile de France est une "zone de non-droit" ! C’est "l’omerta" sur les nuisances occasionnées. Pour la biosphère la dégradation est irréversible.

 

La société Aéroports de Paris (ADP), créée en 2005, détenue à 51% par l’Etat, est entrée en bourse en 2006. Par décret du 20 juillet 2005, ADP gère les stations de mesures sur les plates-formes aéroportuaires : ADP est ainsi juge et partie. Quelle est la fiabilité des mesures diffusées ? Airparif n’est pas autorisé à prendre des mesures sur les plates-formes aéroportuaires. Certains jours, les concentrations d’oxyde d’azote y dépassent les taux réglementaires. 

 

La Direction Générale de l’Aviation Civile (DGAC) est une émanation du Ministère des Transports. En principe, elle est au service des citoyens. Or, c’est un "Etat dans l’Etat" : les ministres passent, l’administration reste. La DGAC divise les associations entre elles, intervient en toute impunité,"sans contre-pouvoir".

Privilèges du trafic aérien

 

            Les OSP (Obligations de Services Publics) : «  Afin de maintenir des services aériens réguliers sur les liaisons vitales pour le développement économique de certaines régions de leur territoire, les États membres de l’Union européenne peuvent imposer des obligations de service public. Un règlement européen du 24 septembre 2008 établit des règles communes pour l’exploitation de ces services aériens dans la Communauté. » Sur Orly : 20 000 créneaux horaires. Une nouvelle navette Paris-Toulouse est prévue toutes les 20 minutes : 27 000 créneaux horaires ! Les OSP pour moins de 50 voyageurs devraient être supprimées.

 

L’aéroport du Bourget accueille l’aviation «  d’affaires » : il faudrait « dénoncer l’incurie de ces pratiques : en moyenne 2 passagers par avion ! » ( Les trois quarts des passagers circulent pour des entreprises).

 

Le kérozène est le plus polluant des carburants et pourtant le moins taxé : pas de taxe incluse (contre 0.61€ sur le litre d’essence), pas de TVA, la taxe de solidarité ne représente que quelques euros par billet. C’est une conséquence de la convention de Chicago de 1944 ( devenue obsolète) destinée à favoriser le trafic aérien, même s’il est polluant.

 

Les pouvoirs publics sont extrêmement généreux pour le trafic aérien :

 

·         L’Etat a fait cadeau du foncier à ADP :  extrait du rapport de la Cour des Comptes : « Le choix de transférer en pleine propriété à la société ADP les biens du domaine public de l’Etat prive ce dernier des avantages liés à la propriété de ces actifs sur le long terme. Ce qui est d’autant plus critiquable du point de vue de la préservation de son intérêt, qu’il existait la possibilité d’opter pour une solution consistant à ne céder que l’usufruit de ces biens domaniaux. »

 

·         L’Etat a participé au sauvetage d’Air France : 53 millions d’euros

·         Vatry, entièrement financé par le département pour 140 millions d’euros est sous utilisé.

·         Les compagnies à bas coûts obtiennent des subventions pour trois ans pour l’ouverture d’une ligne sur un aéroport secondaire, au bout des 3 ans, elles ferment la ligne.

·         La moitié des investissements pour l’aéroport de Beauvais a été financée par des subventions.

·         Les plates-formes aéroportuaires ne respectent pas les règles comptables. Certaines sont maintenues alors même qu’elles sont déficitaires.

·         Les coûts de sûreté des plates-formes aéroportuaires ont été multipliés par quatre depuis le 11 septembre 2001.

 

 

 

Le rapport de force entre pouvoirs publics et lobby aérien est transparent. Les compagnies aériennes depuis 2008 ont aussi été touchées par la crise, pourtant le trafic aérien ne tarit pas. Ne serait-il pas temps de s’interroger sur les conséquences de la manipulation du climat par des épandages chimiques aériens ? D’approfondir le degré de mise en œuvre de la géo-ingénierie dans les différents pays du monde ? De se pencher sur les produits dérivés climatiques qui rapportent des dizaines de milliards par an aux spéculateurs ? Parier sur le temps qu’il fera à Paris en février prochain : vérifiez : c’est possible et ça rapporte !

 

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Géo-ingénierie et chemtrails : un député interroge le Ministre de l'écologie

17 Novembre 2013, 12:36pm

Publié par Ciel Voilé

 

Un français habitant en montagne et très préoccupé par l’état du ciel qu’il observe depuis des années, a pris son bâton de pélerin et alerté ceux de sa région : les Alpes de Haute Provence et les Hautes Alpes. Après des milliers de kilomètres parcourus, des centaines d’appels téléphoniques, et une obstination à toute épreuve, il a obtenu 35 signatures de maires et 70 de médecins de ces deux départements à la pétition de l’ACSEIPICA  pour une interdiction immédiate du survol de nos territoires par des avions épandeurs de produits chimiques à but de géo-ingénierie et autres ainsi que pour une demande d'enquête parlementaire. Fort de ces résultats, il a pris contact avec un député qui a posé une question écrite au Ministre de l’écologie, publiée le 12 novembre 2013 au Journal Officiel. La persévérance gagne !

 

 

Question  écrite N° 42050 publiée au JO le : 12/11/2013 page : 11746 

 

de : Mr Giraud Joël, député (Radical, républicain et progressiste des Hautes-Alpes)

 

Ministère interrogé : Écologie, développement durable et énergie

Ministère attributaire : Écologie, développement durable et énergie

Rubrique : déchets, pollution et nuisances

Tête d'analyse : air

Analyse : substances dangereuses, informations, contrôle.

 

Texte de la question

 

M. Joël Giraud attire l'attention de M. le ministre de l'écologie, du développement durable et de l'énergie sur les phénomènes de « chemtrails » et la géo-ingénierie. Un certain nombre d'articles sont parus dans des revues scientifiques spécialisées ayant trait aux "mystérieuses traînées dans le ciel" plus connues sous le nom de « chemtrails ». Plus récemment, la Conférence du collectif « Skyguards » qui s'est tenue à Bruxelles le 9 avril 2013 a rendu ses

conclusions et a présenté au Parlement européen une pétition afin de faire cesser les épandages aériens clandestins dans le ciel. La géo-ingénierie qui comprend les interventions délibérées à large échelle visant à modifier le climat pour limiter le réchauffement climatique a des effets dévastateurs. Des milliers de témoins peuvent dénoncer des trainées d'avions dans le ciel qui se développent d'un horizon à l'autre, s'élargissent et fusionnent jusqu'à couvrir le ciel d'un nuage artificiel. En effet officiellement ces trainées sont considérées comme des traces de condensation laissées par les avions mais les scientifiques qui ont étudié la question mettent en avant le fait que les traces de condensation sont identifiables à des altitudes élevées de l'ordre de 10 000 mètres et que celles-ci se résorbent rapidement alors que les chemtrails apparaissent à des altitudes plus basses entre 2 000 et 5 000 mètres et s'estompent très lentement. Certains émettent l'hypothèse qu'il s'agirait là d'épandage de produits chimiques provoquant d'ailleurs des maladies respiratoires chez les populations survolées et que les appareils concernés sont des avions militaires sans aucune identification possible, écartant ainsi la piste des appareils civils qui ne seraient donc pas concernés par ces traces. Aussi, il lui

demande de bien vouloir lui faire savoir si des études ont été diligentées par le Gouvernement afin d'apporter des réponses précises aux questions légitimement posées.

 

http://recherche.assemblee-nationale.fr/questions/out/S46/BEMFDKHROYVOKUR1Y84.pdf

 

 

Article d’un participant à la conférence de Skyguards à Bruxelles le 9 avril 2013 :

 

https://blogs.attac.org/paix-et-mutations/article/geo-ingenierie-un-projet-ou-une

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Géo-ingénierie, données falsifiées et réchauffement climatique

17 Novembre 2013, 10:56am

Publié par Ciel Voilé


Dane Wigington geoengineeringwatch.org - 15 novembre 2013

 

http://www.geoengineeringwatch.org/geoengineering-falsified-data-and-global-warming/

 

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La falsification des données, qui a permis de cacher le véritable état du climat, est enfin reconnue. Beaucoup ont cru que les données étaient falsifiées à la hausse, pourtant, un examen objectif indique clairement que c’est l’inverse.

Cette étude vient de sortir. Même si la falsification vers le bas de toutes les données météorologiques commence à être mise en lumière, cette étude n'indique pas encore l'immense gravité du problème en question. La planète est en crise totale, nous sommes beaucoup plus loin dans la courbe de réchauffement que ce que l’on nous a dit.

 

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The Guardian - Les données du Met Office au Royaume-Uni sous-estiment de moitié le réchauffement climatique selon une nouvelle recherche


Le  pouvoir mondial veut faire savoir au public que la planète se réchauffe pour mettre en œuvre des arnaques comme les crédits carbone et les quotas, les personnes au pouvoir ne veulent pas alerter les populations en avouant à quel point critique nous en sommes déjà. La falsification des données a également aidé les orchestrateurs de programmes mondiaux secrets de géo-ingénierie à vendre leur fonds de commerce à des politiciens et leaders du monde entier comme « la solution », alors qu'en réalité rien n’est plus éloigné de la vérité. Bien que la géo-ingénierie puisse créer des anomalies de refroidissement temporaires à grande échelle, c’est au prix d'un climat global considérablement détérioré. Les programmes de pulvérisation mondiaux, en envoyant des nuages vers le sol : des métaux lourds mortels et d’autres retombées chimiques, ont  littéralement empoisonné la vie sur terre.


Maintenant, ajoutons les dangereuses libérations de méthane dans l'atmosphère, également dissimulées par la structure du pouvoir et les principaux médias qu'elle contrôle.


Méthane, manque de banquise, bouclier brisé  


Jusqu'à présent, la banquise arctique a agi comme un bouclier, de différentes manières, notamment en:


• Empêchant le soleil de réchauffer l'eau sous la banquise
• Facilitant les courants qui refroidissent actuellement le fond des mers
• Empêchant l’arrivée dans l’atmosphère d’une quantité de méthane, comme indiqué dans un précédent article, la banquise  retient et conserve le méthane dans des endroits assez proches de la surface où il est consommé par oxydation photochimique et biochimique.


Cependant, comme la banquise diminue, ce bouclier tombe en panne. Par conséquent, davantage de lumière solaire atteint l'eau, ce qui contribue au réchauffement de l'eau dans l'océan Arctique.


• La diminution de la banquise entraîne le risque d’affaiblissement des courants refroidissant les fonds marins
• Davantage de méthane s’échappe par les fissures et les ouvertures dans la banquise de plus en plus mince
• De l'eau tiède voyage le long du Gulf Stream


Dans le même temps, le réchauffement climatique est à l'origine d’événements météorologiques extrêmes comme le record de chaleur observé en Juillet 2013 dans une partie du nord-est de l'océan Atlantique au large des côtes de l'Amérique du Nord. Comme indiqué dans un article récent, cette eau chaude a parcouru le Gulf Stream et atteint l'océan Arctique.


Libération du méthane des fonds marins


Par conséquent, l'eau chaude est maintenant facteur de déstabilisation pour les sédiments des fonds marins qui contiennent d'énormes quantités de méthane sous forme de gaz et d'hydrates. Le méthane s’échappe à présent des fonds marins de l'océan Arctique, entraîné par le déclin de la banquise et «  par le chauffage du Gulf Stream, les tremblements de terre et les éruptions pyroclastiques profondes », comme l’explique Malcolm Light dans un commentaire récent et comme décrit dans un précédent article.


L'image ci-dessous montre le résultat : libération de quantités massives de méthane des fonds marins, traversant la banquise et s’échappant dans l'atmosphère sur l'océan Arctique.

 

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En Californie du Nord, et dans un certain nombre d'autres endroits du pays (Etats-Unis) où nous avons procédé à des mesures, les hautes températures quotidiennes « officielles » sont systématiquement signalées avec  plusieurs degrés de moins que les températures réelles sur le terrain, avec les mêmes méthodes de mesure. Nous croyons que cette falsification se déroule sur toute la ligne. Nous savons que les mesures d’ UV sont également falsifiées, de façon exponentielle, à la baisse.


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Notre climat et notre biosphère ont depuis longtemps été endommagés au-delà de tout retour possible à ce que nous avons connu, au moins pour un laps de temps important. Ce à quoi nous sommes maintenant confrontés, c’est stopper la géo-ingénierie globale avant qu’elle ne rende la planète incapable de préserver la vie de tous. Ce n'est pas de l'alarmisme, mais c’est une réalité presque inéluctable si nous continuons comme actuellement.


 

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«  La géo-ingénierie globale alimente le « Syndrome de Vénus »

 


Que chacun fasse connaître la géo-ingénierie, il n'y a aucune excuse pour ne pas le faire.


Le temps n'est pas de notre côté, s’il vous plait, informez-vous, munissez-vous de données crédibles pour les diffuser, envoyer des informations crédibles aux personnes / groupes intéressés en ligne, et aidez-nous à faire la lumière sur le plus grand crime jamais commis par la structure du pouvoir mondial. 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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Armes planétaires et modification militaire du climat : chemtrails, géo-ingénierie atmosphérique et guerre contre l'environnement

9 Novembre 2013, 20:59pm

Publié par Ciel Voilé

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http://www.globalresearch.ca/military-weather-modification-chemtrails-atmospheric-geoengineering-and-environmental-warfare


Par Rady Ananda - Global Research – Le 3 Novembre 2013 – Traduction Ciel voilé


Développé en 1988 par le Programme pour l'Environnement des Nations Unies et l'Organisation Météorologique Mondiale des Nations Unies, le Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC) vient de publier son cinquième rapport d'évaluation [1] et maintient son silence sur les applications militaires de modification du climat qui continuent de fausser les données.


« Les phénomènes météorologiques et climatiques extrêmes » sont liés au changement climatique, alors qu’aucune mention n’est faite sur les programmes gouvernementaux visant délibérément à modifier les conditions météorologiques et à provoquer les tremblements de terre, la sécheresse, la pluie et les tsunamis.


Le programme actuel de modification artificielle du temps, au moins aux États-Unis, date de plus de 70 ans. Des messages d'intérêt public imprimés dans les journaux des années 1960 mettent en garde contre l'intention du gouvernement de modifier la météo.

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Life Magazine, dans les années 50 et 60, donnait continuellement des informations sur les programmes de modification du temps aux États-Unis, y compris sur le projet Stormfury qui a détourné la trajectoire des ouragans et réduit leur intensité de 1962 à 1983. Le silence permanent et absolu du GIEC sur ces programmes est assourdissant.


Avec des connaissances d'initié, un chapitre du livre paru en 1968 « A moins que la Paix n’arrive : une prévision scientifique des armes à venir »,  prédit le développement de technologies qui utiliseront la planète elle-même comme une arme. Le chapitre « Comment détruire l'environnement» [2] a été écrit par le géophysicien et membre du Comité consultatif scientifique du Président Johnson, le Dr Gordon JF Mac Donald. Il y déclare:

«  La clé de la guerre géophysique est l'identification des instabilités environnementales auxquelles l'ajout d'une petite quantité d'énergie permettrait de dégager de largement plus grandes quantités d'énergie. »


Ce chapitre envisage quatre armes planétaires dont Mac Donald prédit qu’elles seront entièrement développées au XXIème  siècle, à partir de l’état de la recherche à son époque :


• modification du climat;
• génération de tremblement de terre;
• génération de tsunami et de leur direction, et
• Contrôle du comportement de masse via la manipulation électromagnétique de l'ionosphère.


L'idée est reprise dans plusieurs projets de géo-ingénierie détaillés dans le livre d’Eli Kintisch « Détruire la planète », au chapitre intitulé « La poursuite des leviers ». Il explique que 
« de petits changements dans le système terrestre peuvent avoir des effets globaux profonds ». [3]


En tant que conseiller scientifique du président Johnson, Mac Donald avait sûrement connaissance du programme de modification du temps de l'armée baptisé Opération Popeye, qui a duré de 1967 à 1972 au Vietnam, au Laos et au Cambodge. Par l’ensemencement des nuages​​, l'armée américaine a provoqué des pluies torrentielles qui ont empêché les mouvement des camions et des troupes de l'ennemi. Initialement révélée par le journaliste d'investigation Jack Anderson, l'existence du projet a ensuite été confirmée dans Les Papiers du Pentagone.


En 1996, une scientifique de renommée mondiale, le Dr Rosalie Bertell, membre des commissions médicales de Bhopal et de Tchernobyl, qui a reçu le prix Right Livelihood  a publié « Les dessous de HAARP » [4] décrivant l’idée originale du Dr Bernard Eastlund  responsable du projet de recherche américain HAARP, comme suit:


«  Il serait risqué de supposer que HAARP ne soit qu’une expérience isolée qui ne serait pas élargie. Elle est liée à cinquante ans de programmes intensifs et de plus en plus destructeurs pour comprendre et maîtriser la haute atmosphère. Il serait imprudent de ne pas associer HAARP à la construction du laboratoire spatial prévue séparément par les Etats- Unis. HAARP fait partie intégrante d'une longue histoire de recherche et développement dans l’Espace, de nature délibérément militaire. »


En 2000, rapporte le professeur Michel Chossudovsky, le Dr Bertell a déclaré au Times de Londres : « Les scientifiques militaires américains ... travaillent sur des systèmes météorologiques comme une arme potentielle. Les méthodes comprennent « Le déclenchement  des tempêtes et le détournement de la vapeur d’eau des rivières dans l'atmosphère de la Terre pour produire des sécheresses ou des inondations ciblées ». [5]


L'utilisation de l'ionosphère par HAARP, à travers les fréquences radio, explique le Dr Nick Begich, coauteur de : «  Les anges ne jouent pas de cette HAARP », déclenche également des séismes et des éruptions volcaniques. [6] Le secrétaire à la Défense de Clinton, William S. Cohen, a déclaré en 1997 lors d'une conférence sur le terrorisme, cite Begich :

 

« D'autres sont engagés dans un  terrorisme écocide par lequel ils peuvent modifier le climat, déclencher des tremblements de terre et des éruptions volcaniques à distance grâce à l'utilisation d'ondes électromagnétiques. » [7]


Concrètement, les États-Unis ne s’inquiéteraient pas de telles armes à moins qu'ils ne sachent avec certitude qu'elles sont utilisables et qu’ils ne les aient, selon toute vraisemblance, déjà développées eux-mêmes.


Dans « Géo-ingénierie atmosphérique : Manipulations météorologiques, traînées de condensation et traînées chimiques », qui a été nommé, par Project Censored, la neuvième histoire la plus censurée en 2012, un bref historique des événements de géo-ingénierie connus a été publié. [8] A partir de ce rapport, la cofondatrice du GIEC, l'Organisation Météorologique Mondiale, s’est plainte il y a six ans, en 2007, que:


« Au cours des dernières années, il y a eu un déclin dans le soutien à la recherche sur la modification du climat, et une tendance à passer directement à des projets opérationnels ». [9]


Mais le GIEC reste muet sur ces projets, sauf à nier qu'ils existent, alors que dans le même temps, il incite, dans son Résumé, les décideurs à les poursuivre, de crainte que le réchauffement climatique n’atteigne un pic. Le  rapport du GIEC de 2013 affirme :


« La théorie, les modélisations et les observations suggèrent que certaines méthodes de gestion du rayonnement solaire, si elles sont praticables, pourraient compenser sensiblement une hausse de la température mondiale et compenser partiellement certains autres effets du réchauffement climatique, mais la compensation pour le changement climatique causé par les gaz à effet serait imprécise (confiance élevée). » [Souligné dans l'original]


Prétendre que les méthodes de gestion du rayonnement solaire (qui comprennent les chemtrails et les changements induits par HAARP) «  ne sont pas en cours et n’ont pas été testées » est absurde, et contredit une montagne d'éléments de preuves.


Les brevets de la géo-ingénierie


Le 26 Mars 2013, l’US Patent et Trademark Office ont accordé un brevet à Rolls-Royce PLC pour empêcher la formation de traînées de condensation des avions. [10] En utilisant un générateur d'ondes électromagnétiques, les traînées de condensation des avions ne seraient plus visibles, et les nuages ​​artificiels ne se développeraient pas.


Ce n'est pas le premier brevet de ce genre. En 1962, l'US Air Force a voulu ajouter des produits chimiques caustiques pour cacher et éviter la formation de traînées de condensation des nuages ​​cirrus involontaires. Le brevet n ° 3517505 a été accordé huit ans plus tard, en 1970.Le brevet n ° 5005355, accordé en 1988 à Scipar Inc, utilisait diverses espèces d'alcools , qui abaissaient de manière efficace, le point de congélation de l'eau pour éviter la formation des traînées. Le brevet 2013 montre à la fois que ces brevets antérieurs étaient inappropriés pour environnement ou à des fins commerciales.


Pour une liste partielle des brevets sur les programmes d'épandage aérien stratosphérique de 1917 à  mi-2003, voir « Brevets : Une histoire partielle sur les aérosols et les technologies connexes » de Lori Kramer [11]  « La guerre météorologique » de Jerry Smith comprend également une annexe sur les brevets liés à HAARP.[12]


Remarque sur les contrails persistants (ou traînées de condensation persistantes)


Ce que certains appellent chemtrails, le GIEC et d’autres les considèrent comme des traînées de condensation persistantes, effet normal des gaz d'échappement des avions aujourd'hui.


Dans son livre de 2006, « La guerre météorologique », Jerry Smith explique que les traînées persistantes ne sont pas nécessairement des chemtrails (traînées chimiques). A partir des années 1990, explique-t-il, tous les réacteurs ont été modifiés avec un « double flux de dérivation », qui augmente la consommation de carburant et, qui a comme effet secondaire de laisser des traînées persistantes qui se transforment en cirrus après plusieurs heures. C'est à cette période que les observations de chemtrails ont commencé.


La raison pour laquelle les avions de nos jours laissent des traînées persistantes, explique Marshall Smith, un ancien ingénieur en aéronautique de la NASA, est que les particules de suie dans les gaz d'échappement des anciens avions fournissaient un noyau autour duquel des cristaux de glace se formaient, donnant une traînée. Mais du fait de leur couleur foncée, les particules de suie absorbaient l'énergie solaire qui faisait fondre les cristaux de glace, et dissiper la traînée. Aujourd'hui, les gaz d'échappement d’un avion, plus propres et donc  plus clairs, laissent l'énergie solaire les traverser, ainsi les traînées de condensation persistent et se transforment en ​​cirrus élevés et persistants de  24 à 36 heures.


Smith admet que ce processus n’exclut pas des dispersants métalliques ou biologiques dans les rejets  chimiques d’avions, et il précise également que ces dispersants peuvent être pulvérisés sans laisser de traînées, en fonction de la matière particulaire, de l'humidité et de la température atmosphérique. Mais, plus tard, en 2009, il a publié ce qui suit:


 Donc la « théorie» des chemtrails est que les traînées de condensation des avions sont « normales » si elles disparaissent en quelques minutes, alors que les « chemtrails », ou traînées chimiques persistent pendant des heures, et donc ne seraient pas « normales » et devraient contenir des éléments inconnus qui les rendraient persistantes ... Les traînées d'avions persistantes peuvent être entièrement expliquées par la science sans avoir à recourir à un scénario de « théorie du complot ». Elles semblent dues à  l'introduction d’un réacteur à double flux dérivés, à l'amélioration des carburéacteurs (JP- 8) et au « réchauffement climatique ». [13]


Le passage à des carburants plus efficaces et à des additifs d'écoulement à froid confirme cette explication, mais rien de tout cela ne peut expliquer l'image ci-dessous, prise en début d’année à Raglan, Nouvelle-Zélande:
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Les traînées interrompues vues dans le ciel, explique Smith, seraient le résultat des gaz d’échappement d’un avion traversant des zones de l'atmosphère plus chaudes, créant une ligne brisée ou une traînée en pointillé. L'image suivante rend cette explication peu plausible. Au lieu de cela, elle montre qu’au fur et à mesure de l’avancement de l’avion, un interrupteur marche-arrêt a été actionné à plusieurs reprises. Il est peu probable que la température et l'humidité ambiantes uniformes aient varié sur une telle distance.


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Le GIEC a abordé spécifiquement l'impact de l'aviation mondiale sur l'atmosphère dans un rapport datant de l’an 2000, notant que les avions étaient alors responsables de près de un demi pour cent de l'ensemble des cirrus de la couverture nuageuse de la Terre, et que les cirrus ont tendance à réchauffer la surface de la planète. [14]

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Cependant, le réacteur à double flux dérivés et une meilleure qualité de carburant n'expliquent pas les figures fréquemment observées ou manifestement les avions n’empruntent pas les couloirs aériens habituels. Voici deux illustrations de ces figures. La première, un modèle générique trouvé sur le web, est l'une des nombreuses images téléchargées par les citoyens concernés qui ne peuvent pas raisonnablement admettre que ces trajectoires de vol soient normales.
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L’image suivante est une vue satellite de la mer de Célèbes, montrant des chemtrails et leurs ombres. (NASA)
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Enfin, les fils qui ressemblent à des toiles d’araignées dénommées « chemwebs » peuvent s'expliquer par un phénomène naturel connu sous le nom  de fils de la Vierge. Les araignées sont connues pour « gonfler », couvrant de leurs toiles les terres sur des kilomètres. Documentée tout au long de l’Histoire, le naturaliste Henry Christopher McCook a écrit à leur sujet dans son livre de 1890 : « Les araignées américaines et leur tissage. » [ 15 ]


Sauf si les résultats de laboratoire prouvent le contraire, ces toiles sont naturelles et doivent rester en dehors du débat sur les traînées chimiques d’avions.


Impossible de réglementer ?


Le livre «  La guerre météorologique » consacre aussi beaucoup de temps aux accords internationaux contre la modification de l'environnement (ENMOD). Le premier problème majeur est survenu en 1978, après qu’on ait découvert que les Etats-Unis utilisaient des armes climatiques durant la guerre du Vietnam. Smith fait remarquer qu'aucun de ces accords ne concerne la « Défense Nationale », moyen utilisé par les gouvernements pour éviter l'interdiction.


Cet accord de 1978 s'est opposé spécifiquement aux modifications climatiques à des fins hostiles des ENMOD. En 2010, l'ONU a aussi interdit les modifications à des fins non-hostiles. [16] La Convention des 193 états membres sur la diversité biologique a adopté par consensus un moratoire sur les projets de géo-ingénierie et leurs expérimentations, que les gouvernements se sont empressés d’ignorer. Ce moratoire étant non-contraignant, rien de très surprenant  à ce que ces programmes se poursuivent sans relâche.


Moins de deux mois plus tard, à Cancun, au Mexique, à la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques, le GIEC a ouvert la conférence 2010, en promouvant les options de géo-ingénierie.[17]


Dans la pratique, note le Conseil de Gouvernance Internationale du risque (IRGC) :


« Les pays et les entreprises envoient régulièrement des vols dans la stratosphère, ou des fusées, de la stratosphère vers l'espace. Ces activités libèrent des quantités importantes de particules et de gaz. Exiger une autorisation expresse et préalable d’expérimentation à petite échelle, sur le terrain, parce qu'elle vise à l'apprentissage de la gestion du rayonnement solaire et de ses limites, est probablement inapplicable : juger de l’intention est souvent impossible ». [18]


Dans « Détruire la planète », Kintisch s'oppose à une interdiction mondiale absolue sur la géo-ingénierie, craignant qu’elle incite les gouvernements, tout simplement, à la pratiquer clandestinement.  « C’est déconseillé, insiste-t-il, car cela aggraverait la perception que  la géo-ingénierie est  une stratégie quasi-militaire ou un moyen technocratique de contrôle.» Allant plus loin, il déclare:


« Une communauté dynamique de théoriciens de la conspiration est convaincue que la géo-ingénierie est déjà en cours de déploiement par les gouvernements en libérant de soit-disants chemtrails dans le ciel ».


Mais de facto un moratoire existe déjà pour de tels projets, comme mentionné ci-dessus, et Kintisch EN énumère quelques autres, y compris le protocole de Londres, la Convention de Londres et une restriction allemande limitant l’ensemencement en fer, aux eaux côtières.

 Le seul élément manquant dans le raisonnement de Kintisch est son refus d’admettre que les gouvernements ont déjà agi dans l’ombre et que la géo-ingénierie est déjà en cours.


Kintisch , comme tous les porte-paroles du gouvernement, brandit le label « théoricien du complot» comme un bâton, sans jamais offrir de contre-argument logique pour expliquer ce que des milliers d' observateurs du ciel ont observé et documenté par des photos, des vidéos, et des analyses de sols et d'eau.


Les complots sont débattus et jugés par milliers devant  les tribunaux du monde entier, chaque jour. La plupart des crimes ne sont pas commis par des acteurs isolés, mais condamner ceux qui reconnaissent un motif de conspiration est devenu un moyen simple et paresseux d’étouffer une enquête sur les incohérences dans les déclarations de position du gouvernement. Bradley Manning, Edward Snowden et Wikileaks, Daniel Ellsberg, Karen Hudes et W. Mark prouvent certainement que les gouvernements sont les conspirateurs les plus dangereux auxquels l'humanité doit faire face aujourd'hui.


Bien qu'il offre des dizaines de raisons de trouver mauvaise l’idée d’une géo-ingénierie mondiale, Kintisch soutient que notre planète est un terrarium, « un jardin fermé et contrôlé », laissant au lecteur le sentiment que le piratage de la Terre serait un mal nécessaire qui devrait être réglementé.


Modifier  le temps pour le profit


Parmi les nouvelles, le géant écocide, Monsanto, vient de donner  près d'un milliard de dollars pour entrer dans le jeu de l'assurance-météo, en achetant Climate Corporation. Forbes rapporte : « L'idée est de vendre davantage de données et de services pour les agriculteurs qui achètent déjà les semences et les produits chimiques de Monsanto ». [19]


Déjà étroitement liée à l'armée, comme il serait facile pour Monsanto de prévoir à l'avance une sécheresse ou un déluge « provoqué » ! Monsanto prévoit que ses activités d'assurance climatique  généreront 20 milliards de dollars de revenus en plus de ses graines et ses entreprises de produits chimiques.


De même, comme il serait facile pour une nation riche de décennies d'expérience dans la modification du temps et dans le déclenchement d’événements géophysiques de créer le problème du changement climatique (ou d’exagérer son importance) pour inciter le reste du  monde à approuver, même exiger, la géo-ingénierie ? Avec des décennies de brevets lui assurant un long passé de savoir faire, tout ce drame, y compris les « événements météorologiques extrêmes »  pourrait être orchestré pour la simple recherche du profit ?


N'est-ce pas précisément le fonctionnement de la dialectique hégélienne ? Problème ? Réaction? Solution (Thèse ? Antithèse ? Synthèse ?). En d'autres termes, ceux qui sont en position de pouvoir inventent un problème, anticipent la réaction du public à ce problème, et utilisent cette réaction pour générer une demande de « solution » prévue et programmée à l’origine par eux, qui voulaient  la mettre en œuvre dès le départ.


Au moins, alors que le voile pourrait être levé sur les pratiques de géo-ingénierie, il y a encore un effort apparent pour dissimuler l'ampleur actuelle de la manipulation du climat de la planète.



 

 

 

 

Remarques:


[1] Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du «Changement climatique 2013: The Physical Science Basis ", septembre 2013 à http://www.climatechange2013.org/report/ . Le lien qui suit est le résumé, téléchargé le 2 novembre 2013 (dans le cas où le résumé original serait modifié dans le futur) : http://abact.files.wordpress.com/2013/11/ipcc-policy-summary-2013 . pdf


[2] Nigel Calder, Ed. Sauf paix vient : Une prévision scientifique de nouvelles armes, Allen Lane Publishers, Londres, 1968. Cité chapitre par Gordon JF MacDonald, «Comment faire échouer l'environnement», disponible à http://coto2.files.wordpress.com/2013/11/1968-macdonald-how-to-wreck-the-planet.pdf


[3] Eli Kintisch , Hack the Planet : le meilleur espoir de la science ou pire cauchemar pour Prévenir la catastrophe climatique . John Wiley & Sons. 2010.

 

[4 ] Sœur Rosalie Bertell , " Background sur HAARP », 1996. Disponible à http://www.globalpolicy.org/component/content/article/212/45492.html

 

[5] Michel Chossudovsky, "NOUVEL ORDRE MONDIAL armes de Washington ont la capacité de déclencher le changement climatique », 4 janvier 2002. Disponible à http://www.globalresearch.ca/articles/CHO201A.html


[6] Nick Begich . Interview réalisée par Russell Scott, Côte Ouest vérité. " Les anges ne jouent pas cette HAARP et Tesla Technology w / Dr Nick Begich , " 22 septembre 2012 . Disponible à http://www.youtube.com/watch?v=33XGrXK6jnI

 

[7 ] William S. Cohen, «Le terrorisme , les armes de destruction massive , et la stratégie américaine", Sam Nunn Forum Politique , Conférence sur le terrorisme. University of Georgia , Athens, Géorgie. 28 Avril 1997. Discours disponible à

http://www.fas.org/news/usa/1997/04/bmd970429d.htm


[8] Rady Ananda, " géoingénierie atmosphérique: Manipulation météorologiques, les traînées et les chemtrails ", Global Research , Juillet 30 2010. Disponible à l'adresse


[9] Organisation météorologique mondiale, " Résumé de la Déclaration de l'OMM sur Weather Modification », Documents de l'OMM sur la modification météorologique Approuvé par la Commission pour les sciences atmosphériques Management Group, deuxième session , Oslo, Norvège , 24-26 Septembre 2007. CAS-MG2/Doc 4.4.1 , Annexe C. Disponible à http://www.wmo.int/pages/prog/arep/wwrp/new/documents/WM_statement_guidelines_approved.pdf


[10] Frank G Noppel , et al. , (Attribué à Rolls- Royce PLC). " Méthode et appareil pour supprimer les traînées de moteurs d'avions. " Patent No. 8,402,736. 26 Mars 2013. Disponible à l'adresse


[11] Lori Kramer, « patent : Une histoire partielle des aérosols et Météo technologies connexes, sd Disponible à http://www.seektress.com/patlist.htm

 

[12] Jerry Smith, Météo Warfare : Le plan du militaire au projet de Mère Nature, Adventures Unlimited Press : 2006.


[13] Jerry Smith, " La douloureuse vérité sur la " Chemtrails ", magazine d'esprit souverain : Mai / Juin 2009 . Disponible à http://www.jerryesmith.com/index.php/156

[14] Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat, «L'aviation et l'atmosphère planétaire, " Novembre 2000. Disponible à http://www.ipcc.ch/ipccreports/sres/aviation/


[15] Henry Christopher McCook, araignées américains et leurs Spinningwork , Vol. II . Self-published, 1890. Disponible sur Biodiversity Heritage Library , http://www.biodiversitylibrary.org/search?searchTerm=mccook+spiders # / titres


[16] Groupe ETC, " BREAKING : Chemtrails Bannes l'ONU", le 28 octobre 2010 . Disponible à http://foodfreedom.wordpress.com/2010/10/28/un-votes-to-ban-chemtrails/


[17] Rady Ananda, " Morphes de l'ONU sur le climat de Concern en Chemtrail Glee Club », le 6 décembre 2010. Disponible à http://foodfreedom.wordpress.com/2010/12/06/un-climate-concern-morphs-into-chemtrail-glee-club/


[18] M. Granger Morgan et Katharine Ricke , " Le refroidissement de la Terre à travers la gestion du rayonnement solaire: La nécessité d'une recherche et une approche de la gouvernance , « Gouvernance Conseil International Risk , 2010. Disponible à http://www.irgc.org/IMG/pdf/SRM_Opinion_Piece_web.pdf


[19] Bruce Upbin « Monsanto achète climate Corp pour 930 millions de dollars », le 2 octobre 2013. Disponible à http://www.forbes.com/sites/bruceupbin/2013/10/02/monsanto-buys-climate-corp-for-930-million/

 

 

 

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Le secteur privé prend le contrôle sur la COP19 et le climat

7 Novembre 2013, 12:16pm

Publié par Ciel Voilé

http://www.france.attac.org/articles/le-secteur-prive-prend-le-controle-sur-la-cop19-et-le-climat

Publié le 7 novembre 2013  

A l'occasion de la nouvelle conférence internationale sur le climat de Varsovie (Pologne - COP19 - 11-22 novembre), près de 140 organisations et réseaux du monde entier, dont près de trente français, publient une déclaration intitulée "Le secteur privé prend le contrôle sur la COP19 et le climat". Extension des marchés carbone défaillants et dangereux, plus de pouvoirs et de profits pour les pollueurs et lobbies de l'énergie fossile, moins de régulations contraignantes et à la hauteur des enjeux, tel semble être l'unique réponse de l'Union européenne et des pollueurs alors que la crise climatique s'accélère au détriment de la survie des populations et des écosystèmes.

Mettons fin à l'emprise du secteur privé sur le climat et à l'expansion des marchés carbone !

Depuis presque 20 ans, les politiques multilatérales sur le climat ont servi à créer des mécanismes financiers rentables qui font perdurer des systèmes dépendants des combustibles fossiles responsables de la crise climatique. Du 11 au 22 novembre à Varsovie, en Pologne, la 19e Conférence des Parties (COP19) de la Convention cadre des Nations-unies sur les changements climatiques (CCNUCC) ne fera pas exception. L'agenda de l'Union européenne (UE) pour cette COP19 vise à la fois à étendre les mécanismes de marché carbone et trouver d'autres moyens de soutenir un système industriel et financier dépendant du charbon, du pétrole et du gaz, qui est confronté à une crise multidimensionnelle.

Le programme de l'UE pour la COP19 : plus de marchés carbone

Afin d'accroître la portée des marchés carbone, l'UE fera part de son soutien continu à un ensemble de politiques qui ont échoué et qui ont été rejetées par plus de 140 organisations et mouvements sociaux du monde entier1. L'UE, la Norvège, l'Australie, les Etats-Unis, et une foule d'alliés du secteur privé veulent créer plus de marchés de l'environnement dans le cadre de la Convention sur le climat afin de compléter le marché carbone européen, qui est un désastre2. Les négociations autour de Nouveaux Mécanismes de Marché (NMM) permettraient d'élargir la portée des mécanismes de compensation tels que le Mécanisme de Développement Propre (MDP). En outre, les négociations intitulées Framework for Various Approaches (FVA) impliqueraient un accord avalisant le commerce international de titres provenant des différents marchés du carbone régionaux, nationaux et locaux existants afin de respecter les engagements découlant de la Convention.

Les décisions de 2012 de l'ONU, qui prévoient des principes directeurs pour les NMM, soulèvent un certain nombre de problèmes. Ainsi en est-il de l'extension des marchés du carbone visant à inclure les dispositifs portant sur les émissions liées aux usages de la forêt et du sol, tels que le problématique mécanisme REDD + (Réduction des émissions dues à la déforestation et à la dégradation des forêts)3. La structure du dispositif NMM reste indécis. Cependant, l'UE promeut un NMM qui couvre de larges secteurs des économies4 des pays du Sud. Cela reviendrait à multiplier les sévères effets que le MDP a déjà engendré sur les populations concernées, l'environnement et le climat.

En outre, le FVA permettrait que des droits à polluer provenant de divers marchés nationaux, régionaux ou locaux puissent être échangés dans le cadre de la Convention climat. Des permis à polluer créés par des systèmes fonctionnant selon des règles très différentes deviendraient ainsi négociables à une plus grande échelle dans l'optique d'un « marché mondial du carbone ». En conséquence, l'UE poursuit un objectif visant à étendre des marchés qui ont non seulement échoué à apporter une solution à la crise climatique, mais qui en plus bénéficient aux industries qui sont responsables de l'aggravation des dérèglements climatiques.

Les pollueurs amplifient leur emprise sur la convention climat

Non seulement, la COP19 risque d'en rajouter au catastrophique marché carbone de l'UE, mais elle étend également l'emprise du secteur privé sur les négociations climat, en lui fournissant une place à l'intérieur même du cœur des négociations. Le ministre de l'Environnement polonais, Marcin Korolec, chargé d'organiser ces négociations, a ainsi affirmer que « pour la première fois en 19 ans, depuis que les négociations sur le climat existent, les représentants du secteur privé mondial en feront partie »5. Cette capitulation face à l'emprise du secteur privé favorise une tendance dangereuse positionnant ouvertement les entreprises au coeur du processus de prise de décision et elle garantit en outre que les décisions politiques, orientées par le secteur privé, bénéficieront aux pollueurs plutôt que de les forcer à prendre des mesures efficaces.

Pour aggraver les choses, les entreprises sélectionnées sont celles qui ont quelques-uns des antécédents les plus préjudiciables6. Quelques exemples : ArcelorMittal, le géant de l'acier qui a massivement profité des marchés du carbone tout en causant des dommages aux populations vulnérables7 ; Alstom qui prévoit de construire la plus grande centrale au charbon en Pologne ; PGE, la plus grande entreprise d'énergie de Pologne, avec des investissements dans le charbon, le gaz de schiste et nucléaire ; la compagnie pétrolière LOTOS SA, qui est impliquée dans le gaz de schiste et mène un groupe de pression en la matière8 ; et des géants de l'industrie automobile tels que BMW, qui ont activement fait du lobbying contre les réductions d'émissions de CO2 pour les voitures9.

Forte présence du lobby du charbon à la COP19

L'industrie du charbon, une des sources d'énergie les plus polluantes contribuant à la crise climatique, sera fortement présente à la COP19. Le ministère polonais de l'Economie et l'Association mondiale du charbon (comprenant des membres tels que Rio Tinto, Katowice et BHP Billiton) ont publié un communiqué appelant l'ONU et les banques de développement à s'engager vers une utilisation accrue du charbon et des technologies utilisant le charbon10. En plus d'inviter les banques de développement à soutenir les pays du Sud pour accéder aux nouvelles technologies charbon, ils organisent un « Sommet mondial sur le charbon et le climat » pendant les négociations11.

La COP19 s'annonce comme un moment culminant de l'emprise du secteur privé sur les négociations de l'ONU. Avec des gouvernements tissant des partenariats avec certains des plus grands responsables de la crise climatique, la COP19 va accroître la capacité des pollueurs à tirer profit de la situation au détriment du climat. Les marchés du carbone ont démontré leur absolue incapacité à réduire les émissions de gaz à effets de serre à la source et à promouvoir une transition juste délaissant les combustibles fossiles, tous deux pourtant nécessaires pour réduire les impacts du changement climatique.

Nous, les organisations signataires, dénonçons les gouvernements, les Nations Unies et leurs alliés financiers qui cèdent au pouvoir des entreprises et de leurs groupes de pression au lieu de se lever face à eux et de rendre possible une transition juste vers une société post-fossile. Il est temps de mettre fin au marché carbone européen et aux autres tentatives visant à marchandiser la nature. Il est temps de laisser les combustibles fossiles et les minerais dans le sol. Il est temps d'entamer une véritable transition vers des solutions alternatives justes et menées par les populations.

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Gestion du rayonnement solaire, géo-ingénierie et chemtrails

6 Novembre 2013, 23:27pm

Publié par Ciel Voilé

 

http://www.globalresearch.ca/solar-radiation-management-geoengineering-and-chemtrails/5356632?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=solar-radiation-management-geoengineering-and-chemtrails 


Par Rady Ananda - Global Research - 5 Novembre 2013 - Traduction Ciel voilé


Le cinquième rapport d'évaluation du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC ) prévient que, malgré leurs effets secondaires dans le monde entier et leurs conséquences à long terme, les techniques de géo-ingénierie impliquant la gestion du rayonnement solaire (SRM) doivent être maintenues :


«Si les programmes de gestion du rayonnement solaire sont interrompus, pour une raison quelconque, il est fort probable que les températures de surface sur tout le globe augmenteraient très rapidement vers des valeurs correspondants au forçage des gaz à effet serre ». [Souligné dans l'original]


« Changement climatique 2013: base physique de la science » (dénommée « AR5 ») remplace l'ancien rapport publié en 2007. [1] Le premier rapport d'évaluation du GIEC a été publié en 1990.


La discussion dans le résumé pour les décideurs et dans le corps de l’AR5 conseille la gestion du rayonnement solaire plutôt que les méthodes d'élimination du dioxyde de carbone, qui sont limitées dans leur efficacité à l'échelle de la planète, mais admet qu’elle n’est pas idéale, et que les deux types de techniques de géo-ingénierie auront des conséquences à long terme.


« Bien que l'ensemble de la communauté des universitaires prétend toujours ne pas connaître la réalité en cours de la géo-ingénierie globale », commente Dane Wigington sur son site geoengineeringwatch.org , « le simple fait qu'ils discutent de géo-ingénierie dans le dernier rapport du GIEC indique que le voile commence à être levé ».[2]


La gestion du rayonnement solaire comprend diverses techniques visant à refléter ou renvoyer le rayonnement solaire vers l'espace, ce qui augmente surtout l’albédo de la planète (réflectivité). Beaucoup de géo-ingénieurs, et aussi le GIEC, préfèrent les méthodes de gestion du rayonnement solaire à l'élimination du dioxyde de carbone comme solution au changement climatique, compte tenu des boucles de rétroaction complexes du carbone de la planète, et c’est bon marché et plus rapide  de pulvériser des particules dopant l’albédo, dans le ciel.


« Bloquer le soleil, mais continuer à déverser des milliards de tonnes de dioxyde de carbone dans l'atmosphère », c’est ainsi qu’Eli Kintisch caractérise la gestion du rayonnement solaire dans son livre de  2010 : « Massacrer la planète ».[3] Dans un monde guidé par la raison, nous renoncerions aux combustibles fossiles pour l'énergie solaire gratuite et abondante , couplée à l’électricité libre telle que l’a développée Tesla, afin de répondre aux besoins énergétiques de la planète, sans détruire notre nid par l'extraction et la combustion d’énergies fossiles.


La gestion du rayonnement solaire a « trois caractéristiques essentielles », remarque le Conseil International de Gouvernance du Risque (IRGC). « C’est bon marché, rapide et imparfait » [4] citant un promoteur de la géo-ingénierie, David Keith, le IRGC explique que l'injection de 13.000 tonnes d’aérosols sulfatés dans la stratosphère chaque jour, pourrait compenser les effets radiatifs du doublement des concentrations de CO2 dans l'atmosphère. Cela équivaut à enlever « 225 millions de tonnes par jour de CO2 de l'atmosphère pendant 25 ans ».


Si la raison devait  l'emporter, nous capturerions l'énergie solaire, nous ne la bloquerions pas ; nous fuirions les énergies fossiles, et nous ne provoquerions pas des guerres écocides pour nous emparer des stocks restants. Pourtant, dans le monde d'aujourd'hui, les responsables politiques ont détourné des milliards de dollars pour bloquer le soleil. Le coût de ces systèmes efficaces est d’environ 10 milliards de dollars par an, « abordable pour les budgets de la plupart des pays », remarque l'IRGC.


Non seulement le GIEC dans son résumé pour les décideurs, les avertit-il que les chemtrails doivent se poursuivre, mais aussi, il nie l'existence de ces programmes. Dans le chapitre 7, le GIEC indique simplement : « Les méthodes de gestion du rayonnement solaire ne sont ni appliquées ni testées. »


Il s'agit d'une déclaration étrange, après avoir averti qu’arrêter la gestion du rayonnement solaire aggraverait le réchauffement de la planète. En plus, le GIEC admet dans AR5 :


«  Des ensembles de données, nouveaux et améliorés, pour l’observation des aérosols ont été mis en place depuis AR4. Un certain nombre d’expériences sur le terrain ont eu lieu ». L'un des programmes cités, l'Expérience de Transport Chimique Intercontinental, a couvert l'hémisphère Nord, et a  mesuré les aérosols en provenance d'Asie et traversant le Pacifique et l’Amérique du Nord, puis continuant à travers le continent, à travers l'océan Atlantique et l’Europe. Dirigés par le Projet International sur ​​la Chimie Atmosphérique Mondiale, ces vols programmés en 2004 et 2006, n’auraient pas dépassé le nombre de 48.

 

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Un autre « expérience», le climat européen sous l’effet des aérosols et le projet Interactions qualité de l'air, a commencé en janvier 2007 et a pris fin en décembre 2010 - déployée pendant quatre années, notamment en Afrique.


En plus des projets régionaux communs, plusieurs nations effectuent également des essais analogues, sur le terrain, à l'intérieur de leurs propres frontières. L’Inde admet mener des programmes de gestion du rayonnement solaire depuis plus de dix ans.

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Mesures d’aérosols au niveau de la mer par des instruments embarqués sur un navire indien


Certes, les essais sur le terrain se déplacent bien au-delà du cadre des « expériences » quand ils couvrent les continents, traversent les océans et sont menés pendant des années.

Une autre incohérence dans AR5 est sa discussion sur les traînées persistantes. Malgré le terrible avertissement dans le résumé pour les décideurs exhortant les responsables politiques à poursuivre leurs programmes de gestion du rayonnement solaire de peur que la surface de la planète ne se réchauffe encore, l’AR5 ne considère les traînées d’avions persistantes que responsables d'une très légère augmentation du forçage radiatif (où l'énergie solaire est réfléchie dans l'espace.)


Globalement, le GIEC a « une confiance moyenne » dans le fait que les traînées d’avions persistantes et  les ​​cirrus qu’elles créent ne changent pas les températures de surface de la planète. Cela contredit ce que les scientifiques ont constaté lors de l’arrêt du trafic aérien au-dessus du sol américain pendant 3 jours après le 11 septembre 2001 (sauf pour les vols laissant se sauver des  saoudiens à l'étranger). Les températures au sol ont augmenté de 2 à 3 º Celsius pendant l'absence des traînées d’avion, persistantes ou non.

 

 

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Réchauffement climatique : pourquoi ça s'aggrave ?

2 Novembre 2013, 15:23pm

Publié par Ciel Voilé

       

Que tous ceux conscients des épandages chimiques aériens en cours, qui habitent la région de Toulouse aillent faire entendre leurs voix à cette soirée! Association Ciel voilé

 


Soirée-débat : mercredi 6 novembre 2013 à 20h30 à Toulouse


Suite à la parution, dans la quasi-indifférence générale, du 5e rapport du GIEC,il est urgent de réinstaller dans le débat public les enjeux du réchauffement climatique et analyser les nombreux blocages qui empêchent nos sociétés d'avancer significativement sur ce sujet crucial pour l'avenir de l'humanité.


Avec les interventions de : Geneviève Azam (enseignante-chercheuse en économie), Hubert Cros (électronicien - expert indépendant), Frédéric Durand (enseignant-chercheur en géographie), soirée organisée par les Amis de la Terre Midi-Pyrénées avec le soutien d'ATTAC Toulouse, le collectif « Urgence Climatique et Justice Sociale », les Amis du Monde Diplomatique et la fondation Sciences Citoyennes


Source : http://amisdelaterremp.free.fr/


Source : message reçu le 21 octobre 20h :   http://toulouse.demosphere.eu/rv/6860

 

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