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Avant la crise sanitaire, notre association diffusait de l'information essentiellement sur le contrôle en cours du climat, sur la géo-ingénierie en cours et sur la destruction, délibérée ou non, de l'atmosphère, du sol, de l'eau et de tout le vivant sur terre. Mais devant la démesure des décisions prises par tant de gouvernements qui semblent tous suivre la même feuille de route, devant les atteintes gravissimes au droit et aux libertés individuelles et collectives, devant les dévastations économiques sans précédent, nous donnons la parole à ceux que les médias aux ordres, ignorent ou censurent. Nous sommes les témoins d'un basculement de civilisation.
Déclaration d'Illia Kiva, membre du parlement ukrainien
Robert Kennedy : 500 milliardaires de plus depuis le covid
Dr David Nixon : contenus des injections
Mike Yeadon : "Faites connaître les mensonges concernant le covid"
David Icke : expulsé de tous les pays de l'UE !
Un ado vaxccc sur 30 fait une myocardite !
Les complications cardiaques ne viennent pas des complications post covids mais des injections! Télétoubibs, journalistes, politiques cessez de mentir, vous avez toutes les preuves!
Publié le 28 décembre 2022 par pgibertie
Une fois de plus je fournis les preuves vérifiables et elle s’accumulent Face à l’explosion des problèmes cardiaques ils accusent la covid: ILS MENTENT
Lorsque j’ai entendu sur les plateaux TV que vaccins faisaient moins de myopéricardites que la maladie covid-19, je me suis pincé à plusieurs reprises; ignares ou menteurs ou corrompus
François Braun : Il n’y a pas d’effets secondaires des vaccins COVID 19 pic.twitter.com/kWbusxiv0w
— ?ンメᄊ?ンメᄊ? (@SarahHRakM) December 22, 2022
1 DEPUIS PLUS D UN AN ELUS ET JOURNALISTES ONT TOUTES LES PREUVES
En 2021 plusieurs études démontraient l’existence de problèmes cardiaques post vaccinaux
Une enquête de l'Associated Press met la lumière sur l’usage des technologies anti-Covid à des fins de surveillance
Dans une enquête publiée le 21 décembre, l'Associated Press (AP) dévoile la manière par laquelle des gouvernements à travers le monde exploitent les technologies créées pour lutter contre l'épidémie de Covid-19 à des fins de surveillance de leurs populations. L'AP s’intéresse aux procédés utilisés par des pays des cinq continents, considérés comme dictatoriaux ou démocratiques, pour prévenir ou réprimer toute forme de contestation, “harceler des communautés” minoritaires ou exploiter les informations sur la santé à des fins d’espionnage.
Cette enquête, menée pendant plus d’un an, fait partie d'une série intitulée "Tracked", qui s’intéresse “au pouvoir” et aux “conséquences des décisions prises par des algorithmes sur la vie quotidienne des gens”. Dans cette partie, publiée par les journalistes de l'AP après avoir interviewé une multitude de “sources et consulté des milliers de documents”, il est expliqué “comment les technologies utilisées pour ‘aplanir la courbe’ des contaminations ont été utilisées à d'autres fins”.
“Tout comme l'équilibre entre la vie privée et la sécurité nationale a changé après les attentats terroristes du 11 septembre, le Covid-19 a donné aux autorités un argument pour intégrer des outils de surveillance de la société qui ont duré longtemps après les confinements”, résume l’AP, qui consacre également dans son enquête un encadré au projet "big data de la tranquillité publique" à Marseille, en France.
Facebook accepte de payer 725 millions de dollars dans le cadre du scandale de Cambridge Analytica
La firme Meta, maison mère de Facebook, a accepté de verser 725 millions de dollars afin de mettre un terme au procès lancé contre elle en 2018 dans le cadre du scandale de Cambridge Analytica. Le réseau social est accusé d'avoir laissé des tiers, dont la société Cambridge Analytica, avoir accès aux données privées des utilisateurs.
« Les 725 millions proposés par l'accord constituent le montant le plus élevé jamais atteint dans un procès en nom collectif sur les données privées et jamais payé par Facebook pour mettre fin » à ce type de poursuites, ont affirmé les avocats de la défense dans un document judiciaire déposé auprès d'un tribunal de San Francisco, publié dans la soirée du 22 décembre.
Facebook n'a reconnu aucune infraction, selon les termes de cet accord qui doit encore être approuvé par un juge de ce tribunal. « Nous avons cherché un accord car cela allait dans notre intérêt et celles des parties prenantes. Ces trois dernières années, nous avons totalement revu notre approche concernant la vie privée et mis en place un programme pour en améliorer la protection », a déclaré Dina El Kassaby Luce, porte-parole de Meta.