Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Ciel Voilé

LancetGate : Surgisphere la société qui a fourni les données à l’étude est-elle sérieuse ?

31 Mai 2020, 12:49pm

LancetGate : Surgisphere la société qui a fourni les données à l’étude est-elle sérieuse ?

Publié le 29/05/2020


 

Surgisphere est la société responsable de la collecte des données de l’étude du Professeur Mehra qui a fait l’objet d’une attention planétaire depuis ces 7 derniers jours.  Après notre première interview avec Mr Mehra qui nous avait laissés dubitatifs sur la forme et le fond, nous nous sommes intéressés à cette entreprise. Et là quelques questions se posent et des surprises. 

La société surgisphere a :

Plusieurs adresses qui ressemblent plus à des logements peut-être lié à des déménagements ou de la domiciliation d'entreprise.
Plusieurs entreprises au même nom ont été successivement enregistrées dans divers états, puis liquidées ou en suspension.
Peu d'employés avec une date d'entrée très récente et peu de mentions sur google de ces diverses personnes et un profil questionnable.
Peu d'activité jusqu'à mars 2020 sur le site internet.

Son fondateur Sapan Desai MD annonce dans une vidéo que le Remdesivir de Gilead réduit la durée du séjour à l'hopital, et dit qu'il lui faut plus de "données de bonne qualité"

Pour une étude de la taille de celle du Lancet (96000 participants), cette société qui se dit spécialisée dans le big data et l'intelligence artificielle, ne fournit à ce jour pas vraiment d'éléments factuels de sa réalité ni de sa capacité à faire.  Au contraire des indices plutôt surprenants apparaissent quand on cherche des informations sur la société (beaucoup de déclaratif et peu voire pas de données officielles de type déclaration d'impôts...).  Des questions ne manqueront pas d'être posées par plus qualifié que nous. 

A propos de la société

La société Surgisphere aurait été créée en le 1er mars 2007 (Crunchbase) par le docteur Sapan Desai qui est un des co-auteurs de l’étude de Mr Mehra dans The Lancet.  Cette société serait spécialisée dans le big data et l’usage de l’intelligence artificielle dans l’analyse des données.  Une autre société au nom de Sapan Desai, Surgisphere Corporation a été créée le 28 juin 2012 puis dissoute en janvier 2016 (https://opencorporates.com/companies/us_tx/0801618466).  Une autre au même nom (https://opencorporates.com/companies/us_nc/1037229) créee le 8 avril 2008 et suspendue le 22 octobre 2015.

 

La suite sur France-Soir

 

 

Voir les commentaires

OMS 2020

31 Mai 2020, 12:24pm

Voir les commentaires

Pourquoi Trump quitte l'OMS ?

30 Mai 2020, 13:30pm

Voir les commentaires

France - Des OGM autorisés... bientôt interdits

30 Mai 2020, 08:33am

France - Des OGM autorisés... bientôt interdits

Eric MEUNIER - 26 mai 2020

 

Le 6 mai 2020, le gouvernement a notifié à la Commission européenne trois projets de textes réglementaires destinés à modifier la législation française sur les OGM et la liste des variétés autorisées à la commercialisation. D’ici début août, le premier de ces textes doit encore être soumis à l’avis du Haut Conseil des biotechnologies et mis en consultation publique. En l’état, le gouvernement français prévoit de déclarer que les techniques de « mutagénèse aléatoire in vitro », comme toute mutagénèse dite « dirigée », donnent des OGM réglementés. Il a identifié une centaine de variétés contenant un même caractère de tolérance aux herbicides obtenu par une technique donnant des OGM réglementés.

 

Le 7 février dernier, le Conseil d’État écrivait que « tant les techniques ou méthodes dites «  dirigées » ou «  d’édition du génome  » que les techniques de mutagénèse aléatoire in vitro soumettant des cellules de plantes à des agents mutagènes chimiques ou physiques » donnent des OGM qui doivent être soumis à la législation européenne [1]. Il donnait ainsi raison, contre le gouvernement, aux organisations de la société civile qui attendaient cette décision depuis dix ans et avaient fini par engager un recours juridique en 2016. Et il donnait six mois au gouvernement pour rendre la loi française conforme à la loi européenne.

Un contenu conforme

Pour reprendre les mots du Conseil d’État, la première étape pour le gouvernement est de fixer « par décret pris après avis du Haut Conseil des biotechnologies, la liste limitative des techniques ou méthodes de mutagénèse traditionnellement utilisées pour diverses applications et dont la sécurité est avérée depuis longtemps » [2].

Dans son projet de décret, rendu public par la Commission européenne [3], le gouvernement prévoit donc de déclarer que la mutagénèse aléatoire donne des OGM exemptés des requis de la loi, à l’exception de la « mutagénèse aléatoire in vitro consistant à soumettre des cellules végétales cultivées in vitro à des agents mutagènes chimiques ou physiques ». Les produits issus de mutagénèse aléatoire appliquée sur cellules cultivées in vitro, comme ceux de toute mutagénèse dite « dirigée », sont donc, pour la France, des OGM réglementés qui devraient être évalués, autorisés, étiquetés et suivis.

Dans son projet de décret, le gouvernement a pris soin de légiférer sur les semis réalisés cette année. Ainsi, les variétés qui « ont été semées ou implantées avant la date de leur inscription sur une liste fixée par arrêté du ministre chargé de l’agriculture, (...) peuvent être menées à terme ». Les cultures implantées avec des variétés non étiquetées OGM lors du semis pourront donc être récoltées bien qu’en infraction avec la décision du Conseil d’État. Rien par contre n’est encore précisé au sujet de la commercialisation de leur récolte : sera-t-elle autorisée par dérogation, interdite, étiquetée, non étiquetée ?

 

La suite sur inf'OGM

 

 

 

Voir les commentaires

Première rencontre civilienne lundi 1er juin sur zoom

30 Mai 2020, 08:12am

Première rencontre civilienne lundi 1er juin sur zoom

Première Rencontre Civilienne

Lundi 01 juin à 20:45 – 22:15

Participez à la toute première Rencontre Civilienne en direct sur le web.

Penser dès maintenant, les transformations sociétales de demain...

Animation : Stéphane Lejoly et Michel Laloux

Participation active : via l’application ZOOM (voir mode d’emploi joint)

Participation en tant que spectateur : https://www.civiliens.net/civiliens-en-direct

 

DE QUOI PARLERONS-NOUS ?

Une nouvelle ère s’ouvre. Le besoin d’une santé de la vie sociale et économique est devenu criant. Le modèle de l’État central et unitaire a fait son temps. Celui des Civiliens est venu. Ensemble, posons les bases d’une démocratie de la société civile.

L’économie est malade de la financiarisation. Comment la rendre saine ? Comment transformer la monnaie, le capital, le travail et le foncier-immobilier pour que l’économie soit au service de l’humain et de la terre ?

Pour cette première rencontre, commençons par l’État. Que devrait être son rôle dans une société équilibrée et viable ?

L’idée que nous avons de l’État est-elle encore compatible avec une véritable démocratie, celle de la société civile ?

Comment changer vraiment de modèle, sans faire une République de plus, une sixième, puis une septième, puis… ?

Et si la société civile était l’État ?

Et si la représentativité était le plus grand leurre ?

Nous sentons tous qu’un grand changement est nécessaire. Sommes-nous prêts à lâcher nos propres schémas, ceux avec lesquels nous avons grandi et que l’école et la société ont peut-être imprimés en nous, sans que nous nous en rendions compte ?

Osons traiter ces questions sur le fond. Faisons du neuf, avec du neuf.

Comment ? C’est ce dont nous parlerons lors de cette première Rencontre Civilienne animée par Stéphane Lejoly et Michel Laloux.

· Pour participer en direct en communiquant par message écrit ("chat") avec les animateurs, il est nécessaire de vous inscrire via le bouton ci-dessous. Lorsque vous serez inscrit (vous devez communiquer votre email) vous recevrez dans les minutes qui suivent le lien de connexion via le logiciel ZOOM (voir mode d’emploi joint).

· Pour participer en tant que spectateur : https://www.civiliens.net/civiliens-en-direct

La participation à cet événement est gratuite

Je m'inscris à cette rencontre

Voir les commentaires

Des ronds dans le ciel de la Meuse

30 Mai 2020, 07:46am

L'image a été saisie au vol un peu partout dans la Meuse où les habitants ont remarqué ces volutes blanches, rondes, courbes ou linéaires qui se sont dessinées ce mercredi dans le ciel bleu au passage d’avions.

la suite sur l'Est Républicain

 

Rappel :

 Conditions de formation d'une trainée de condensation :

Selon Wikipedia :

« Les traînées se produisent généralement à partir de 8 000 m d'altitude si le taux d'humidité est de plus de 68 %, et la température inférieure à −39 °C »

 

Les avions de ligne commerciaux circulent à vitesse de croisière, entre 10 000 m et 12 000 m d'altitude. En dessous, c'est l'espace aérien militaire. Les contrôleurs aériens ne s'occupent, sur écran, que de leurs couloirs. Si un couloir est traversé par un avion qu'ils n'identifient pas, ils se renseignent auprès des militaires.

 

Si vous êtes au sol et que vous observez au-dessus de vous un avion de ligne, si vous distinguez à l'oeil nu, ses ailes et sa queue, c'est la preuve qu'il n'est pas à 10 000 m ou 8000 m d'altitude. Donc il ne circule pas dans un couloir commercial mais dans l'espace militaire.

 

Si au sol la température est de 20°C, à 3 000 mètres elle descend à 0° et à 6 000 mètres elle atteint -20°C. On est encore loin des -39°C donnés par Wikipedia pour que se forme une traînée de condensation.

 

Donc si vous voyez voler un avion de ligne en distinguant ses ailes et sa queue, il n'est pas à une altitude suffisante pour que se forme une traînée de condensation. Et pourtant ceux-là laissent très souvent des traînées.

 

« Ces traînées ne se forment qu'à certaines conditions, qui ne se rencontrent pratiquement que dans la haute troposphère et un peu plus souvent en hiver4 : où l'air est à environ −40 °C ».  Wikipedia

Voir les commentaires

Effets du rayonnement de la 5G

28 Mai 2020, 21:05pm

Voir les commentaires

PokecoviD attrapez les tous...

28 Mai 2020, 11:49am

Voir les commentaires

Option traçage d'un téléphone portable

28 Mai 2020, 10:38am

Option traçage d'un téléphone portable

Mise à jour 1er juin 2020 :

 

L'application Covid19 n' est pas la même que l'application Stopcovid : elles n'ont pas la même provenance.

L'application déjà installée sur nos smartphones ou Iphones provient de Google ou d'Apple. Elle peut être installée d'office par les fabricants de téléphone au même titre que Google play par exemple. Elle ne peut pas être désinstallée, mais désactivée, en prenant soin de ne pas avoir les données mobiles et Bluetooth enclenchées.

Le gouvernement français aurait voulu faire annuler la décision de Google et Apple de créer l'application Covid19. Sans succès, il aurait pris la décision de créer sa propre application qui est StopCovid et qui serait bien plus dangereuse!

Il est possible que l'application Covid19 ne soit jamais active en Europe.

Mais pour Stopcovid, rien de moins sûr, même si cela parait difficilement réalisable. 

 

 

Option traçage d'un téléphone portable

Voir les commentaires

La Commission européenne muselée par les lobbies de la téléphonie mobile

28 Mai 2020, 08:53am

La Commission européenne muselée par les lobbies de la téléphonie mobile
Phonegate – Le 25 mai 2020
En France, chaque année, ce sont plus de 500 modèles de téléphones portables qui sont mis sur le marché (source : 01net). Pendant cette même période, seule une soixantaine, en moyenne, est contrôlée par l’Agence nationale des Fréquences (ANFR). 85% des smartphones échappent donc à tout contrôle sur le niveau d’exposition réel des utilisateurs aux radiofréquences. Bien plus préoccupant, dans tous les autres pays de l’Union européenne, ainsi qu’en Suisse et au Royaume-Uni, ce sont 100% des téléphones mobiles qui sont vendus sans contrôle d’un régultaueur. Bien qu’informée, la Commission européenne s’avère totalement défaillante pour protéger la santé de centaines de millions d’utilisateurs. Un tel laxisme réglementaire vis-à-vis des industriels et des distributeurs de la téléphonie mobile doit cesser !

Sous pression, l’ANFR obligé d’agir

Jamais aucun téléphone portable n’avait fait l’objet de la moindre sanction administrative avant que nous lancions l’alerte en juillet 2016, et que nous obligions par voie légale l’ANFR à publier l’ensemble de ses rapports de tests en mars 2018.

Depuis lors, en deux ans, grâce à notre action, ce sont 23 modèles différents de smartphones dont les contrôles de l’ANFR ont permis de révéler des niveaux de DAS tête ou corps supérieurs à la limite réglementaire de 2 W/kg. Quatre d’entre eux ont été retirés du marché français. Les autres ont seulement dû réduire par mise à jour, leur niveau de DAS.

Le premier retrait du marché remonte à avril 2018, avec les 100 000 exemplaires du Hapi 30 commercialisé par Orange. Ont suivi le Neffos X1 TP902 (mai 2018), puis le Echo Horizon Lite (octobre 2019), et l’annonce ce 20 mai dernier, du retrait des appareils Razer Phone 2.

Ce smartphone haut de gamme, vendu en 2018, entre 800 et 900 euros a été commercialisé, dans le monde entier, par la firme californienne Razer. Son niveau de DAS tronc atteignait, lors des contrôles, 3,29 W/kg (près du double de la limite légale), la mesure ayant été réalisée, en laboratoire agréé, à 5 mm de la peau.

 

La suite sur Phonegatealert

Voir les commentaires

1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 > >>