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mesures sanitaires
Le Royaume-Uni face aux nouveaux pouvoirs de l’OMS : souveraineté en jeu et implications mondiales
France-Soir Publié le 21 avril 2025 – 14:39
Le 20 avril 2025, The Telegraph publie un article intitulé « Le Royaume-Uni dans la course pour se retirer des pouvoirs de confinement conféré à l'OMS », révélant une controverse majeure au Royaume-Uni concernant les nouvelles réglementations sanitaires internationales (IHR) de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS). Ces amendements, adoptés en 2024 pour renforcer la coordination mondiale face aux pandémies, suscitent l’opposition d’un groupe de 14 parlementaires britanniques, dont Suella Braverman, ancienne ministre de l’Intérieur. Ils exhortent le gouvernement à se retirer de ces réglementations avant la date limite du 19 juillet 2025, arguant qu’elles menacent la souveraineté nationale. Un débat important qui a provoqué des réactions immédiates et des implications, notamment pour les autres pays membres comme les États-Unis et la France.
Une menace perçue pour la souveraineté britannique
Les IHR, élaborées après la pandémie de Covid-19, obligent les États membres à « soutenir les activités de réponse coordonnées par l’OMS », ce que les critiques interprètent comme une possible obligation de suivre des recommandations, telles que des confinements, en cas de future crise sanitaire. Dans une lettre adressée au Foreign Office, les parlementaires, incluant des conservateurs comme Danny Kruger, Sir Iain Duncan Smith, Esther McVey, Jack Rankin, ainsi que Graham Stringer (Labour), Sammy Wilson (DUP), Rupert Lowe (ex-Reform UK) et Lord Frost, demandent au Royaume-Uni d’exercer son droit de retrait. Ils estiment qu’accepter ces réglementations avant la fin de l’enquête publique britannique sur la gestion de la pandémie serait « prématuré » et soulignent des « doutes sérieux » sur leur légalité, suggérant une possible violation du droit international.
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La cour de justice européenne considère que les médecins seront les seuls responsables des conséquences des injections covid car ils étaient libres de refuser d’injecter
Publié le 25 février 2025 par pgibertie
Selon la décision de la Cour de justice Européenne, tous les professionnels de santé qui vous ont poussé à la vaccination contre le Covid ou vous ont vacciné, sont civilement et pénalement responsables. L’affaire portée par le professeur Frajese devant la Cour de justice de l’Union européenne a eu une issue surprenante ! Selon la Cour, une prescription médicale était nécessaire pour administrer les vaccins anti-Covid. Mais il y a plus : les médecins auraient pu choisir de les administrer ou non et même les déconseiller, à tel point que la responsabilité civile et pénale éventuelle des professionnels de santé est imputable au cas spécifique. Les motifs retenus par la Cour pourraient ainsi remettre en cause les procédures disciplinaires et pénales engagées contre les médecins qui s’opposaient aux vaccinations et attribuer au contraire de graves responsabilités aux médecins qui ont vacciné « sans si ni mais », favorisant ainsi également le risque de provoquer des événements indésirables. Lien vers article (en italien) : https://buongiornosuedtirol.it/2025/02/19/esclusivo-vaccini-covid-la-corte-ue-serviva-la-prescrizione-e-il-medico-poteva-sconsigliarli/
« La Cour a dû confirmer, même dans une brève parenthèse, que les décisions de la Commission d’autoriser la mise sur le marché « n’entraînent aucune obligation pour les médecins de prescrire et d’administrer lesdits vaccins à leurs patients ».
Elle a réaffirmé le principe fondamental du droit à la liberté de traitement et de choisir le traitement le plus approprié, le plus sûr et le plus efficace par le médecin, en toute bonne foi et en toute conscience, dans le cas spécifique et dans l’intérêt exclusif de la santé du patient.
Ce passage est d’une importance extraordinaire car il démonte définitivement les accusations qui ont été portées , tant devant les tribunaux que dans les procédures disciplinaires, contre tous les médecins qui ont déconseillé la vaccination Covid à leurs patients ou ont refusé de la promouvoir, rétablissant ainsi la pleine liberté de soins du médecin.
De plus, elle confirme qu’il existe une responsabilité spécifique des médecins vaccinateurs qui ont administré inversement le médicament sans évaluer adéquatement l’opportunité, les risques et la sécurité dans le cas concret spécifique du patient traité.
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