« Mais l'esprit est un élément mystérieux. Insaisissable et invisible comme l'air, il semble s'adapter docilement à toutes les formes et à toutes les formules. Et cela pousse sans cesse les natures despotiques à croire qu'on peut le comprimer, l'enfermer, le mettre en flacons. Pourtant toute pression provoque une contre-pression, et c'est précisément quand l'esprit est comprimé qu'il devient explosif: toute oppression mène tôt ou tard à la révolte. À la longue, et c'est là une éternelle consolation, l'indépendance morale de l'humanité reste Indestructible. Jamais jusqu'ici on n'a réussi à imposer d'une façon dictatoriale à toute la terre une seule religion, une seule philosophie, une unique conception du monde, et jamais on y réussira, car l'esprit saura toujours résister à l'asservissement, toujours il refusera de penser selon des formes prescrites, de s'abaisser, de s'aplatir, de se rapetisser et de se mettre au pas.» Stefan Zweig
climat
Richard Lindzen : quand la science se politise
Greta Thunberg et les coïncidences
Dr Simon Goddek – Tweet du 28 novembre 2024
https://x.com/goddeketal/status/1861925524928401579
Plus j'ai creusé dans l'histoire de @GretaThunberg , plus j'ai réalisé qu'il y avait quelque chose qui clochait ici. Ce n'est pas une COÏNCIDENCE si sa première apparition a eu lieu le 20 août 2018, avec un sit-in devant le Parlement suédois, suivi par COÏNCIDENCE quatre jours plus tard par la sortie d'un livre qu'elle a coécrit avec sa mère.
Mais ce n'est pas tout : la machine de relations publiques pour elle était déjà en plein essor le 20 août, grâce à un homme nommé Ingmar Rentzhog, qui a financé et mené la campagne par le biais de sa société, @WeDontHaveTime . Et devinez quoi ? Rentzhog est également par COÏNCIDENCE président du groupe de réflexion "Global Challenge" ( @ChallengesFnd), qui est désormais par COÏNCIDENCE entièrement financé par une milliardaire nommée Kristine Person, membre du Parti social-démocrate des travailleurs suédois et ancienne ministre du gouvernement de Stefan Löfven.
Et comme si cela ne suffisait pas, Rentzhog est passé par hasard devant le Parlement suédois le 20 août et a rencontré Greta lors de son sit-in de protestation, la prenant en photo. Mais attendez, il y a plus encore : Rentzhog et la mère de Greta s'étaient déjà rencontrés lors d'une conférence sur le climat le 4 mai 2018, ce qui est par coïncidence la date exacte à laquelle Rentzhog est devenu PDG du groupe de réflexion susmentionné.
Et voici quelque chose d'intéressant : Kristine Person et Stefan Löfven sont tous deux membres du @WEF de Klaus Schwab. C'est étonnant de voir comment toutes ces connexions se font, n'est-ce pas ?
Il est clair pour moi qu'il se passe quelque chose de louche dans les coulisses ici. Ces personnes manipulent le public et abusent de leur pouvoir à leur propre avantage politique. Nous devons être conscients de leurs tactiques et avertir tous ceux que nous connaissons de la Grande Réinitialisation et de la Quatrième Révolution Industrielle.
Ils veulent absolument que vous confondiez CO2 et qualité de l’air! Le CO2 c’est la vie , pas de la pollution.
Publié le 26 novembre 2024 par pgibertie
La pollution existe mais votre respiration, celle des vaches , ne nuisent pas à la qualité de l’air , pourquoi veulent ils faire croire que le co2 pollue
Les particules fines provenant de l’usure des pneus de voitures (électriques …), des centrales à charbon allemandes ( charbon suie) sont dangereuses
Les phénomènes naturels comme les éruptions volcaniques, les brumes de sable, les incendies de forêts, etc. et les activités humaines comme les industries, les transports, l’agriculture, le chauffage résidentiel, etc. sont à l’origine d’émissions de particules dans l’atmosphère.
Une fois émises dans l’air, ces substances sont transportées sous l’effet des vents, de la pluie, des gradients de température dans l’atmosphère. Elles pourront également subir des transformations par réactions chimiques, qui dépendent des conditions météorologiques. Il en résulte l’apparition d’autres polluants et un transfert des polluants pouvant aller jusqu’à des milliers de kilomètres de la source d’émission.
On distingue ainsi :
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les polluants dits primaires, qui sont émis directement : monoxyde d’azote, dioxyde de soufre, monoxyde de carbone (co et non co2), poussières, métaux lourds, composés organiques volatils, hydrocarbures aromatiques polycycliques ;
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les polluants dits secondaires, issus de transformations physico-chimiques de gaz sous l’effet de conditions météorologiques particulières : ozone, dioxyde d’azote, certaines particules, etc.
Ces gaz et particules ont des conséquences néfastes :
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sur la santé humaine : maladies cardiovasculaires, cancers, troubles respiratoires etc. ;
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sur l’environnement : dégradation des bâtiments, baisse des rendements agricoles (blé par exemple).
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Madame Irma est escrologiste, leurs prévisions se sont toutes révélées fausses mais ils veulent instaurer un malus sur les véhicules d’occasion
Publié le 26 novembre 2024 par pgibertie
il y a 13 ans l’Immonde annonçait la disparition de la banquise l’été
La banquise arctique a un peu fondu depuis 1850, cependant elle était quasiment absente il y a 10000 ans et a augmenté tout au long de l’holocène. La plupart du temps bien inférieure à la banquise actuelle.
Même tromperie sur catastrophes et cyclones en net recul
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Captage du CO2 : le fantasme de la géo-ingénierie face à la dure réalité scientifique
Florence Santrot - Le 26 novembre 2024 -wedemain
Présentée comme une solution miracle contre le réchauffement climatique, la capture directe de CO2 dans l’air est mise à mal par une étude du MIT qui révèle les limites techniques et économiques de cette technologie prometteuse mais encore loin d’être viable à grande échelle.
Trop beau pour être vrai ? Depuis quelques années, afin de lutter contre le réchauffement climatique sans remettre vraiment en cause nos modes de vie dispendieux, des initiatives visent à créer des technologies de captage du CO2. Le DAC (Direct Air Capture) consiste à retirer du dioxyde de carbone de l’air puis de le stocker sous terre en le cristallisant dans la roche. Une solution clé en main pour réduire les niveaux de gaz à effet de serre dans l’atmosphère et espérer ainsi rester dans les limites de l’Accord de Paris, sous les +1,5 °C de réchauffement.
Une des sociétés les plus avancées en la matière est Climeworks, une entreprise suisse qui a déjà créé plusieurs DAC, notamment en Islande. Mais des chercheurs du MIT (Massachusetts Institute of Technology), spécialisés dans les énergies, ont étudié cette géo-ingénierie et ne sont pas aussi enthousiastes que les entreprises de ce nouveau marché. Une étude du MIT Energy Initiative (MITEI) s’est penchée sur les effets d’annonce de ces stratégies et en conclut que les capacités de captage du CO2 par les DAC reposent sur des hypothèses trop optimistes, voire irréalistes.
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Les médias et le réchauffement climatique
Station HAARP mobile
Les ouragans : pas de simples phénomènes naturels ?
La géo-ingénierie : une stratégie pour sauver le capitalisme, pas le climat
Le 12 novembre 2024
Contrôler le climat plutôt qu’arrêter nos activités destructrices : telle est l’ambition de la géoingénierie. Elle pénètre les discours politiques, jusqu’à apparaître comme la solution à la crise climatique.
La géoingénierie : le terme aux contours flous désigne l’ensemble des projets de modification volontaire du climat. Qu’il s’agisse de se prémunir du réchauffement global par la modification du rayonnement solaire ou en capturant massivement le carbone de l’atmosphère, ou que l’on tente de réparer localement ses effets catastrophiques en prétendant par exemple modeler les glaciers à notre guise, ces variantes ont en commun l’ambition démiurgique de leurs promoteurs. Il s’agit de contrôler nous-mêmes le climat plutôt que d’arrêter de le dérégler.
Ces remèdes d’apprentis sorciers suscitent beaucoup de critiques tant ils pourraient s’avérer pires que le mal, en déclenchant des phénomènes imprévisibles et incontrôlables. Ils s’immiscent pourtant avec de plus en plus d’insistance dans les discours politiques, scientifiques et dans les conférences climatiques, au risque de bientôt paraître incontournables.
La dynamique est puissante, car guidée par les intérêts impératifs du capitalisme. La géoingénierie lui offre une porte de sortie pour perdurer malgré l’urgence climatique : on peut changer le climat plutôt que le système ! Cette stratégie dangereusement efficace est brillamment mise en lumière par Marine de Guglielmo Weber, chercheuse sur la géoingénierie à l’Institut de recherche stratégique de l’école militaire (Irsem), et Rémi Noyon, journaliste au Nouvel Obs, dans leur ouvrage Le Grand retournement (éd. Les Liens qui libèrent, 2024).
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