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L'association Ciel voilé a pour but de diffuser de l'information sur la géo-ingénierie, les atteintes à l'environnement et à la santé humaine.
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L’aide médicale à mourir signe la fin de la fonction soignante des médecins
Commençons par une histoire : mon ami P. souffrait d’un cancer depuis longtemps, brusquement aggravé ; suivi dans un des deux meilleurs centres parisiens, il a bénéficié de toutes les thérapeutiques disponibles : radiothérapie, hormonothérapie et chimiothérapies. Les deux dernières années de sa vie ont consisté en une succession de périodes de soins douloureux et invasifs, empêchant presque toute vie sociale, amicale et d’examens d’imagerie, de dosage de marqueurs, de plus en plus négatifs. Les consultations clôturant une séquence thérapeutique se terminaient immanquablement par une nouvelle proposition thérapeutique. La lutte contre le Mal ne connaissait aucune trêve. Intensité du combat contre la tumeur occultant le soin de la personne. Ainsi ce ne fut que grâce à un ami attentionné et lui-même souffrant des reins qu’il fut envoyé d’urgence en urologie, un rein avait été nécrosé à la suite d’une radiothérapie trop invasive et il fallut l’opérer d’urgence. Mais l’oncologue n’était pas urologue et n’avait rien conclu des analyses médicales pourtant compréhensibles même pour un profane.
Enfin, clopin-clopant la maladie progressait. Heureusement accompagné, soutenu, aimé par sa femme et son fils, mon ami put profiter malgré tout de ces années de vie amoindrie. Bientôt j’allai le voir chez lui plutôt que de déjeuner avec lui au restaurant, dans son jardin d’abord, puis sur le canapé de son salon, puis dans la chambre qu’il ne pouvait plus quitter, enfin dans un lit médicalisé avec un service de soins palliatifs à domicile. Je pense qu’il se déplaçait encore de sa chambre à son salon et de celui-ci à son jardin quand il m’apprit que désormais c’était terminé, l’oncologue (je ne sais pas le combientième oncologue de ce service prestigieux où se succédaient de jeunes chefs de clinique avant de partir exercer ailleurs) lui dit, « je vous adresse au médecin chargé des soins de soutien. » Le soutien fut à la hauteur : « Bonjour Monsieur, j’ai reçu votre dossier. Alors qu’avez-vous prévu pour votre fin de vie ? » -
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Une commission d'enquête accuse l'État de "dissimulation », dans le scandale des eaux minérales
France-Soir avec AFP Publié le 19 mai 2025 - 13:29
Le scandale du traitement illégal des eaux minérales en France, touchant notamment le géant agroalimentaire Nestlé Waters, a fait l'objet d'une "dissimulation par l'État" relevant "d'une stratégie délibérée", indique le rapport d'une commission d'enquête sénatoriale diffusé lundi.
"Outre le manque de transparence de Nestlé Waters, il faut souligner celui de l’État, à la fois vis-à-vis des autorités locales et européennes ainsi que vis à vis des Français" et "près de quatre ans après, la transparence n’est toujours pas faite", souligne le rapport, rendu public après six mois de travaux et plus de 70 auditions.
La commission d'enquête sénatoriale sur les pratiques des industriels de l'eau en bouteille avait été mise sur pied en novembre 2024, près d'un an après des révélations par des journalistes de plusieurs médias (Le Monde, Radio France et Mediapart) concernant le recours à traitements illégaux de l'eau par des minéraliers.
Nestlé Waters, dont la direction assure avoir découvert fin 2020 sur ses sites Perrier, Hépar et Contrex l'usage de traitements interdits pour de l'eau minérale, avait sollicité à ce sujet mi-2021 le gouvernement et la présidence française.
Dix-huit mois plus tard, un plan de transformation des sites était approuvé par les pouvoirs publics, remplaçant les traitements interdits (UV, charbon actif) par une microfiltration fine par ailleurs controversée, car à même de priver l'eau minérale de ses caractéristiques.
Le droit européen stipule en effet qu'une eau minérale naturelle ne peut faire l'objet d'aucune désinfection ou traitement de nature à modifier ses caractéristiques.
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Projet de loi euthanasie : Philippe Juvin - François Bustillo
Annie Chapelier du Gard
Spiritualité & religions : quelle relation au sacré aujourd'hui en Occident ?
Vaccins Covid : le choc de la réforme Trump secoue la santé publique
Vaccins Covid : le choc de la réforme Trump secoue la santé publique
France-Soir Publié le 17 mai 2025 – 12:10
Sous la nouvelle administration de Donald Trump, le Département américain de la Santé et des Services sociaux (HHS), dirigé par Robert F. Kennedy Jr., envisagerait de modifier les recommandations vaccinales contre le Covid-19, marquant un tournant significatif dans la politique de santé publique du pays. Selon un article du Daily Mail publié le 15 mai 2025, "les vaccins contre le Covid-19 ne seraient plus systématiquement recommandés pour les femmes enceintes, les adolescents et les enfants aux États-Unis. Cette décision s’inscrit dans un contexte de scepticisme vaccinal croissant et de réformes controversées portées par des figures clés de l’administration Trump". Cet article explore les détails de cette réforme, ses implications, et les réactions qu’elle suscite, en s’appuyant sur plusieurs sources, tout en examinant la perception des vaccins en France à la lumière de sondages récents.
Une révision des recommandations vaccinales
Actuellement, le Centre de contrôle et de prévention des maladies (CDC) recommande que toutes les personnes âgées de 6 mois et plus reçoivent un vaccin actualisé contre le Covid-19, indépendamment de leur statut vaccinal précédent. Cependant, selon le Daily Mail et un rapport du Wall Street Journal cité par Fox News (16 mai 2025), "le HHS, sous la direction de Robert F. Kennedy Jr., prévoirait de limiter ces recommandations aux groupes les plus vulnérables, notamment les personnes âgées et celles présentant des comorbidités à risque". Cette approche s’aligne sur les politiques de plusieurs pays, comme le Royaume-Uni, où les vaccins contre le Covid-19 sont principalement recommandés aux personnes de plus de 75 ans, aux résidents de maisons de retraite et aux individus immunodéprimés.
Le Daily Mail rapporte que cette réforme reflète une perte de confiance dans les directives vaccinales fédérales, exacerbée par les déclarations de Kennedy, qui a accusé les responsables publics de « mentir année après année » sur les vaccins lors d’une audition au Congrès. Kennedy, connu pour ses positions sceptiques envers les vaccins, notamment le vaccin contre la rougeole, les oreillons et la rubéole (ROR), a suscité des inquiétudes parmi les experts en santé publique quant à l’impact de ses décisions sur la couverture vaccinale.
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