/http%3A%2F%2Fi.ytimg.com%2Fvi%2FBaAsf5pkpBU%2Fhqdefault.jpg)
Avant la crise sanitaire, notre association diffusait de l'information essentiellement sur le contrôle en cours du climat, sur la géo-ingénierie en cours et sur la destruction, délibérée ou non, de l'atmosphère, du sol, de l'eau et de tout le vivant sur terre. Mais devant la démesure des décisions prises par tant de gouvernements qui semblent tous suivre la même feuille de route, devant les atteintes gravissimes au droit et aux libertés individuelles et collectives, devant les dévastations économiques sans précédent, nous donnons la parole à ceux que les médias aux ordres, ignorent ou censurent. Nous sommes les témoins d'un basculement de civilisation.
Patrick Moore : le climat
5G et Sénat américain
Criminalisation mondiale du journalisme
Notre Dame et Macron
Sauvons 1300 arbres centenaires

Pétition adressée à Groupama
Les arbres vieux de plus de cent ans font partis de notre patrimoine au même titre que les bâtiments. Notre-Dame peut être reconstruite avec du bois plus jeune ou bien en métal.
Nous demandons à Groupama de ne pas sacrifier la forêt qui est sous leur protection.
Libérez Julian Assange
INCENDIE DE NOTRE-DAME : UN INSTRUMENT POUR L'UNION NATIONALE AU SERVICE DU POUVOIR
Notre Dame : interview d'un ex-responsable expert, Benjamin Mouton
Alors que le ministre de la Culture Franck Riester affirmait ce matin que la structure de la cathédrale Notre-Dame de Paris était « sauvée », « rien n’est fini », selon l’ancien architecte en chef des Monuments historiques Benjamin Mouton, en charge de l’édifice religieux jusqu’en 2013.
[...]
En tant qu’architecte en chef des Monuments historiques, Benjamin Mouton a été en charge de la cathédrale Notre-Dame de 2000 à 2013, pour laquelle il a piloté le lourd chantier de la détection incendie. Ce dernier n’a pas encore pu se rendre à l’intérieur de l’édifice, mais redoute déjà l’impact de l’incendie et de l’effondrement des charpentes sur la stabilité globale de l’édifice.
Reprenant les propos de son successeur Philippe Villeneuve, avec qui il est en contact, Benjamin Mouton affirme auprès de Batiactu que ce dernier était « totalement incrédule » face à cet incendie qui aurait pu partir du chantier de rénovation, et que les soupçons pourraient se porter sur la « noue », où se croisent la nef et le transept de la cathédrale.
[...]
« La protection incendie mise en place dans la cathédrale était à son plus haut niveau »
[...]
Un important dispositif de détection et protection des incendies
« En 40 ans d’expérience, je n’ai jamais connu un incendie de la sorte », affirme celui qui estime que la protection incendie mise en place dans la cathédrale était à son plus haut niveau.
« Lorsque je me suis occupé de la détection incendie, qui a été un dispositif très onéreux, il fallait très peu de minutes pour qu’un agent aille faire la levée de doute, nous avons fait remplacer de nombreuses portes en bois par des portes coupe-feu, nous avons limité tous les appareils électriques, qui étaient interdits dans les combles », affirme-t-il auprès de Batiactu.
Le mystère sur les causes de l’incendie reste donc entier. Un expert du secteur de la construction, confie également son incompréhension auprès de Batiactu :
« L’incendie n’a pas pu partir d’un court-circuit, d’un simple incident ponctuel. Il faut une vraie charge calorifique au départ pour lancer un tel sinistre. Le chêne est un bois particulièrement résistant. »
Lire l’article entier sur batiactu.com
Mardi 16 avril 2019, David Pujadas fait dans son émission sur LCI « le point sur l’incendie qui a ravagé Notre-Dame de Paris ». Il se demande et demande à ses invités « pourquoi cette catastrophe a autant touché la France et le Monde ? » mais un témoignage important vient recentrer le débat sur l’essentiel et semer le doute, et il ne sort pas de la bouche d’un complotiste : il s’agit de Benjamin Mouton, ancien architecte en chef de la cathédrale de 2000 à 2013.
Voir la vidéo de 2' de LCI :