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Avant la crise sanitaire, notre association diffusait de l'information essentiellement sur le contrôle en cours du climat, sur la géo-ingénierie en cours et sur la destruction, délibérée ou non, de l'atmosphère, du sol, de l'eau et de tout le vivant sur terre. Mais devant la démesure des décisions prises par tant de gouvernements qui semblent tous suivre la même feuille de route, devant les atteintes gravissimes au droit et aux libertés individuelles et collectives, devant les dévastations économiques sans précédent, nous donnons la parole à ceux que les médias aux ordres, ignorent ou censurent. Nous sommes les témoins d'un basculement de civilisation.
Vous vouliez le nouvel ordre mondial le voilà : le traité pandémique de l’OMS en discussion
Karine Bechet-Golovko Mondialisation.ca, 30 novembre 2021
La crise du coronavirus a permis d’accélérer le mouvement de globalisation, qui la précédait. Mais les instruments politico-juridiques ne sont plus adaptés à la nouvelle situation : si les Etats, qui résistaient encore, ont failli, le défaut de base légale est flagrant et l’installation d’une gouvernance externalisée des peuples et des pays dans la durée ne peut entrer dans les cadres restreints des législations d’urgence et des traités existants. Au son de « Plus jamais ça« , comme s’il s’agissait d’une guerre sainte – qui ne soit menée justement contre nous, l’ ONU et l’OMS appellent à l’adoption rapide d’un Traité pandémique, désarmant les Etats, renforçant justement les pouvoirs et « l’indépendance » (de qui ?) de l’OMS. Il n’est plus question de droits, encore moins fondamentaux, ni d’Etats souverains, mais d’une étrange « sécurité », totale et totalitaire, réduisant les Etats à des instruments répressifs dépossédés de tout pouvoir réel et les hommes à des cellules en danger de contamination, qu’il faut sauver d’elles-mêmes. Puisque tant qu’il restera une cellule contaminée, le monde sera en danger …