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Denis Rancourt à la conférence " Back to the future " le 25 octobre 2025
Seulement 14 % des tests PCR positifs correspondaient à de vraies infections : une étude allemande remet en question les chiffres du Covid-19
Le Collectif citoyen, France-Soir Publié le 08 novembre 2025 - 08:30
Une nouvelle étude publiée dans la revue Frontiers in Epidemiology jette un éclairage inédit sur la fiabilité des tests PCR pour évaluer la propagation du SARS-CoV-2 en Allemagne. Menée par une équipe de chercheurs allemands et suisses, dont Michael Günther de l'Université de Stuttgart et Harald Walach de l'Institut Change Health Science à Bâle, cette analyse révèle que seuls 14 % des résultats PCR positifs se traduisaient par de réelles infections confirmées par des anticorps IgG. Ces résultats, basés sur des données massives de tests, soulèvent des questions sur la gestion de la pandémie et pourraient avoir des répercussions au-delà des frontières allemandes, y compris en France.
Des tests PCR surévalués : les chiffres clés de l'étude
L'étude, intitulée Calibrage des acides nucléiques (PCR) par des tests d'anticorps (IgG) en Allemagne : estimation de l'évolution des infections par le SARS-CoV-2, s'appuie sur les données d'un consortium de laboratoires accrédités (ALM), qui a réalisé environ 90 % des tests PCR en Allemagne entre mars 2020 et janvier 2023, ainsi que des tests sérologiques IgG jusqu'en mai 2021. Les chercheurs ont croisé les courbes temporelles hebdomadaires des positivité PCR et IgG pour calibrer l'une par rapport à l'autre.
Le résultat principal ? Un facteur de calibration de 0,14 : cela signifie que pour sept personnes testées positives au PCR, seule une avait développé des anticorps IgG indiquant une infection réelle. Selon les auteurs, cela sous-entend que « seulement un Allemand sur sept avec un test PCR positif a été véritablement infecté ». L'analyse estime par ailleurs que, fin 2020, un quart de la population allemande (environ 25 %) portait déjà des anticorps issus d'infections naturelles – bien avant le début massif de la vaccination en 2021.
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UrsulaGate et le Cartel Mondial du Covid : scandale, étouffé par les mainstream, sous le scalpel de Weltwoche
Xavier Azalbert, France-Soir Publié le 08 novembre 2025 - 10:15
Dans un écosystème médiatique dominé par les géants de l'information mainstream – BBC, New York Times, Le Monde ou The Guardian –, l'affaire UrsulaGate, ou PfizerGate, reste un fantôme : évoquée du bout des lèvres, diluée en brèves factuelles, mais jamais disséquée avec la profondeur qu'elle mérite. À la date d'aujourd'hui, novembre 2025, ces médias ont bien rapporté des événements périphériques, comme la décision de la Cour de justice de l'UE en mai 2025 annulant le refus de la Commission européenne de divulguer les SMS entre Ursula von der Leyen et le PDG de Pfizer, Albert Bourla, ou la survie aisée de von der Leyen à un vote de confiance en juillet 2025 au Parlement européen. Pourtant, ces articles se contentent d'une surface lisse : une « erreur administrative » ici, une « victoire pour la transparence » là, sans jamais plonger dans les abysses de la corruption présumée, des destructions de preuves ou des liens tentaculaires avec un cartel globaliste. L'absence de ces termes incendiaires comme « UrsulaGate » ou « PfizerGate » dans leurs colonnes n'est pas fortuite ; elle opacifie délibérément l'ampleur du scandale, le reléguant au rang d'anecdote judiciaire plutôt que de crise démocratique. Pourquoi ce voile ? Les lobbies pharmaceutiques et les élites bruxelloises, bien implantés dans les rédactions, préfèrent-ils une amnésie collective à une enquête qui pourrait ébranler les fondations de l'UE ?
C'est dans ce vide informationnel que s'inscrit l'article de Urs Gehriger pour Weltwoche, une rare perle d'investigation exhaustive, signée via une interview exclusive avec Frédéric Baldan, l'ancien lobbyiste belge devenu paria pour avoir osé briser le silence. Ce texte n'est pas seulement complet : il est un antidote à l'opacification médiatique, reliant le contrat vaccinal opaque de 35 milliards d'euros à un réseau de pouvoir occulte, tout en exposant les représailles féroces contre son auteur. Une lecture indispensable pour qui refuse que l'histoire soit réécrite en blanc-seing.
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Réponse française à la pandémie Didier Raoult
L'EMA ordonne l'effacement des données vaccins covid par pays
Live demain mardi 14/10/2025 à partir de 20h30 avec Vincent Pavan :
Nous avons reçu une lettre officielle de l’Agence européenne du médicament (EMA) datée du 9 octobre 2025. Elle nous intime de supprimer toutes les données extraites du système EudraVigilance, notamment le pays d’occurrence des effets indésirables liés aux vaccins Covid. Autrement dit, il devient impossible d’analyser les signalements par pays, pourtant essentiels pour comprendre les différences de profil et de fréquence des effets selon les contextes nationaux.
L’EMA justifie cette demande par des arguments de protection des données personnelles, estimant que la mention du pays d’occurrence pourrait constituer un identifiant indirect. Avec Vincent, nous avons donc reçu l’ordre officiel de supprimer ces informations, sous peine de violation du règlement européen sur la protection des données.
Un courrier qui pose une question simple : pourquoi empêcher toute lecture différenciée des données selon les pays ? Pourquoi le rédacteur de cette lettre ne fait-il pas partie de l'organigramme de l'EMA, lettre pourtant signée par l'un des dirigeants de l'EMA ? Pourquoi cette demande intervient-elle 3 ans après ? Autant de zones d'ombre que nous avons choisi de dénoncer. Avec Vincent Pavan, demain mardi 14/10/2025 à partir de 20h30.
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