« Mais l'esprit est un élément mystérieux. Insaisissable et invisible comme l'air, il semble s'adapter docilement à toutes les formes et à toutes les formules. Et cela pousse sans cesse les natures despotiques à croire qu'on peut le comprimer, l'enfermer, le mettre en flacons. Pourtant toute pression provoque une contre-pression, et c'est précisément quand l'esprit est comprimé qu'il devient explosif: toute oppression mène tôt ou tard à la révolte. À la longue, et c'est là une éternelle consolation, l'indépendance morale de l'humanité reste Indestructible. Jamais jusqu'ici on n'a réussi à imposer d'une façon dictatoriale à toute la terre une seule religion, une seule philosophie, une unique conception du monde, et jamais on y réussira, car l'esprit saura toujours résister à l'asservissement, toujours il refusera de penser selon des formes prescrites, de s'abaisser, de s'aplatir, de se rapetisser et de se mettre au pas.» Stefan Zweig
Le contrôle de la monnaie - Valérie Bugault
Justice sociale en Europe
L'urgence d'une réforme : placements abusifs d'enfants
En complément à cette interview de Maître Amas : lettre de l'association de la ligue des droits de l'enfant :
NOTRE LETTRE OUVERTE AU PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE
Fontenay aux roses, le 27 septembre 2017
Monsieur le Président,
Parmi les nombreuses et complexes difficultés auxquelles notre pays est confronté, la question des droits de l’enfant est l’une des plus cruciales, si ce n’est, finalement, la plus importante de toutes. D’elle découle l’évolution et l’avenir de la France. Comme l’écrivit le général de Gaulle, en préambule de l’ordonnance de 1945 :
« Il est peu de problèmes aussi graves que ceux qui concernent la protection de l’enfance, et parmi eux, ceux qui ont trait au sort de l’enfance traduite en justice. La France n’est pas assez riche d’enfants pour qu’elle ait le droit de négliger tout ce qui peut en faire des êtres sains. »
La Ligue française des droits de l’enfant a pour objet de veiller au respect et à l’application de la Convention internationale des droits de l’enfant sur le territoire national. À ce titre, il est de son devoir de vous alerter sur le scandale des placements abusifs et les graves atteintes à la CIDE qu’il nous est donné de constater depuis de nombreuses années. De partout à travers le pays, des dossiers nous parviennent, démontrant que nous sommes confrontés à un problème majeur : profitant de leur place au sein des institutions qu’ils dévoient, des personnels dévolus à leur mission de service public font placer des enfants qui ne sont pas en danger afin d’encaisser les subsides de l’État et des conseils départementaux.
Si le coût financier de ce système organisé en réseau au détriment de la cohésion sociale et des deniers publics est absolument considérable, il n’est rien en comparaison de la destruction individuelle et familiale qu’il engendre. En effet, ces sont des dizaines de milliers de familles et d’enfants qui sont ainsi laminés, terrorisés, et finalement exclus de tout système de droits sociaux et juridiques, lorsque la machine des placements abusifs se met en place.
La violence criminelle de l’assistance éducative, lorsqu’elle est détournée de l’esprit de la loi, crée des enfants maltraités au sein des institutions, ou volontairement laissés à l’abandon aux mains de leurs parents bourreaux. Elle participe ainsi au meurtre quotidien de deux enfants chaque jour, tandis que d’autres, bien plus nombreux, sont illégalement arrachés à une famille aimante en l’absence totale de danger. Un récent article du parisien relatait justement qu’un bébé de deux mois et demi avait été placé suite une fausse expertise affublant sa mère d’une grave pathologie mentale inexistante. Bien que ce rapport mensonger fût démenti par une véritable contre-expertise, l’enfant, à la date de parution de l’article, n’était toujours pas rendu à sa famille. Ce cas de figure, loin d’être un cas isolé, est malheureusement le quotidien de trop nombreuses associations dans la protection de l’enfance.
Autre conséquence, les parents victimes de ces crimes impunis et odieux finissent par perdre tout repère, toute confiance en la justice et en l’État, pourtant censé faire respecter le droit et la loi, et protéger les plus faibles. Plus choquant encore est-il de constater que tous les terroristes ayant agi au cours de ces dernières années sur le territoire national étaient d’anciens enfants passés par l’ASE. C’est un constat d’échec cinglant, qui doit poser question sur le devenir de cette institution et son inadaptation à notre société.
Nous observons, dans les dossiers qui nous parviennent, toujours les mêmes ressorts à l’œuvre : des magistrats qui violent impunément les lois et les procédures, des services sociaux qui mettent en place, autour des parents ciblés, les méthodes bien connues de harcèlement en réseau afin de les détruire socialement et les empêcher ainsi de pouvoir récupérer leurs enfants. Car tel est bien l’objectif final : placer les enfants et ne jamais les rendre. Selon les chiffres avancés par l’ONED, 80 % des enfants placés le restent jusqu’à leurs 18 ans. En tout état de cause, il n’est plus acceptable de laisser faire, sachant qu’un placement coûte, en moyenne, entre 6 et 7000 euros par mois à la collectivité.
En 2016, une réforme a été engagée afin de pallier, au moins en partie, à ces abus. Force est de constater qu’en dépit de quelques avancées législatives, rien n’a changé ni dans l’esprit ni dans les pratiques : la même barbarie est toujours à l’œuvre dans les tribunaux pour enfants et au sein des service sociaux. Les nouvelles dispositions législatives, pas plus que les précédentes, ne sont appliquées ou respectées.
À cela, la raison est simple : une impunité totale sévit dans les services de justice et parmi les travailleurs sociaux, qui n’hésitent d’ailleurs pas à faire appel, le cas échéant, à des professionnels de santé complices et tout autre auxiliaire ou fonctionnaire en capacité de fournir un faux en écriture afin de valider un placement injustifié, et dans 80% des cas injustifiable. Lesquels seront tout autant protégés. Des procédures judiciaires fabriquées de toutes pièces sont ensuite mise en œuvre, diffamation, outrage à magistrats, violences imaginaires, afin de faire taire les parents récalcitrants ou les associations qui travaillent à la défense de leurs droits. Fréquents sont les cas où les victimes se retrouvent condamnées par les coupables avec la complicité du tribunal.
Le crime de forfaiture a disparu du code pénal. C’est une grave erreur, car la loi et nos institutions sont aujourd’hui détournées avec cynisme pour faire continuer à tourner la machine à cash du placement abusif.
Des sanctions doivent pouvoir être prises, rapides, exemplaires et effectives, contre tous les intervenants impliqués dans le placement abusif, des travailleurs sociaux aux magistrats, des professionnels de santé aux directeurs d’école complices, car il y en a parfois. Aujourd’hui, il est impossible de poursuivre et moins encore de sanctionner un magistrat, quelle que soit la gravité des actes qu’il commet dans l’exercice de sa fonction.
Des années de travail sur les dossiers de placements abusifs, d’analyse et de compilation, ont permis d’entériner ce chiffre effarant : 100 % des plaintes des parents contre les services sociaux et/ou les magistrats sont classées sans suite, ou, pire encore, disparaissent dans la nature, certaines n’étant même jamais enregistrées par les bureaux d’ordre pénal.
Nous demandons la création d’un tribunal arbitral indépendant afin de rendre justice sur ces affaires, passées, en cours, et à venir, dont vous, Monsieur le Président, en tant que premier magistrat de France, ne pouvez que connaître de la gravité.
Il nous apparaît également qu’une refonte en profondeur de la protection de l’enfance est nécessaire, puisque deux réformes successives, en 2007 et 2016, n’ont absolument rien changé. Deux choses sont très sérieusement à envisager d’urgence : la suppression de l’ASE, inefficace, coûteuse et archaïque, dangereuse, même, pour la jeunesse de notre pays. Et la démonétisation de la protection de l’enfance en danger. J’écrivais il y a quelques temps dans un article :
« Nous disons :
« Si vous avez des enfants en danger, nous vous donnerons de l’argent pour les protéger. »
En conséquence de quoi nous trouvons des gens pour nous répondre :
« J’ai des enfants en danger, donnez-moi l’argent, je les protègerai. »
Quand ces enfants n’existent pas, ou quand il n’y en a pas assez pour assurer des revenus conséquents permettant de nourrir tous les réseaux participants à cette forfaiture, ils sont créés de toute pièce… »
Enfin, les conséquences du harcèlement criminel en réseau mis en place autour des parents et de leurs accompagnants laissent présager de nombreuses failles dans notre système sécuritaire. Il est évidemment intolérable que les forces vives du pays soient détruites par de telles pratiques, sournoises et sophistiquées, destinées à l’assassinat social des personnes ciblées. Mais il est également très inquiétant de savoir que ce type d’agents actifs, à la solde d’intérêts privés, soient capables de bloquer tous les moyens de communications entre les citoyens et les fonctionnaires de l’État ou les administrations.
Ne laissez pas l’État perdre davantage le contrôle de ses institutions, dont certaines fonctionnent aujourd’hui en roue libre à ses propres dépens.
Au nom des dizaines de milliers d’enfants et de familles concernées, nous espérons, Monsieur le Président, que vous agirez dans les plus brefs délais afin de mettre un terme à ces agissements indignes de notre grande nation. Vous rétablirez ainsi la confiance et la justice dans notre République rudement mise à l'épreuve. .
Veuillez agréer, Monsieur le président, l’expression de notre plus haute considération.
Le Président,
Et au Royaume-Uni, notre sous-titrage de juillet 2016 :
Black blocks en France en 2019
Sauvez Lynda Thyer
Libérez l'innocente Lynda Thyer d'une prison française
L'innocente Lynda Thyer est maintenant dans une prison française, Fleury-Mérogis. C’est la plus grande prison d’Europe construite pour 2 855 prisonniers, elle en contient 4 500. Les prisons françaises sont parmi les pires de l'UE.
Lynda Thyer, scientifique biomédicale travaillant avec le professeur Marco Ruggiero, sauvait des vies avec GcMAF, une protéine humaine naturelle et sûre, donc un droit humain, qui traite avec succès 75% des patients atteints d'un cancer en phase terminale 4.
Utilisée dans le NHS, elle sauverait 120 000 vies par an. Elle a des effets secondaires négligeables ou nuls et représente 1% du coût de la chimiothérapie.
La GcMAF a été découverte dans le corps humain dans les années 1980 et dissimulée pendant 25 ans. Elle compte désormais 300 scientifiques, 150 articles de recherche scientifiques revus par des pairs, dont la moitié a été republiée à la bibliothèque nationale américaine de médecine, 350 médecins, 9 000 patients guéris.
La MHRA (The Medicines and Healthcare products Regulatory Agency), et l'OCLAESP (Office Central de Lutte contre les Atteintes à l'Environnement et la Santé Publique), qui sont contrôlées par les laboratoires pharmaceutiques, sont déterminées à continuer d'en stopper l'utilisation. Ils protègent les super profits de médicaments tels que la chimiothérapie, vendus 100 fois plus cher.
Bien que la MHRA admette que Lynda soit innocente, ils ont contacté l’OCLAESP en France et leur ont illégalement demandé de lancer un mandat d’arrêt européen contre Lynda et David Noakes, ce qui aurait pour effet de doubler le nombre de peines prononcées, de manière à dissimuler la GcMAF pendant encore 25 ans.
Dans un abus du mandat d'arrêt européen, le juge français Jean-Luc Gadaud a inventé 9 fausses accusations contre David Noakes, puis les a copiées pour Lynda Thyer, mot pour mot, y compris e le numéro de dossier de David. David était le PDG. Lynda traitait des patients. Leurs rôles n'auraient pas pu être plus différents. Ni Lynda ni David n’ont jamais rien eu à voir avec GcMAF en France.
Lynda a rencontré trois juges anglais corrompus, la juge Rebecca Crane, le juge Sir Michael Supperstone et le juge Michal Cox, qui l'ont forcée à être extradée en vertu d'un mandat d'arrêt européen, même s'ils savaient qu'elle était innocente.
L'histoire complète : chercher sur YouTube "Teri Davis Newman", et également "Ian R Crane".
Les entreprises pharmaceutiques gagnent 200 milliards de dollars du poison de la chimiothérapie (40 000 £ par tour), et la MHRA et l'OCLAESP protègent ces super profits au détriment de 120 000 vies anglaises et françaises par an. Ce n’est pas seulement un abus du mandat d’arrêt européen, c’est un abus du droit anglais et français.
Lynda Thyer est emprisonnée en France depuis le 8 août 2019; elle fait une grève de la faim et elle est très amaigrie. Les prisonniers subissent des mauvais traitements et crient, des cris d'angoisse et de larmes. Son adresse est Thyer Lynda 452710 3R08, Prison de Fleury Merogis, 9 avenue des Peupliers, 91705 Saint Geneviève de Bois, France.
Pouvez-vous s'il vous plaît aider à libérer Lynda Thyer pour qu'elle puisse revenir à sa passion, qui est de sauver des vies? S'il vous plaît, donnez ceci à un ministre du gouvernement et demandez-lui de libérer Lynda Thyer.
Merci. David Noakes
Dominic Raab à fcocorrespondence@fco.gov.uk, dominic.raab.mp@parliament.uk, boris.johnson.mp@parliament.uk Priti Patel Secrétaire d'Etat à l'Intérieur withammp@Parliament.uk
Espagne : fraude électorale massive
Wifi : expérience à reproduire
Le lithium, une ressource stratégique: voici pourquoi les Etats-Unis veulent briser la Bolivie par une guerre hybride
Par Andrew Korybko Global Research, 26 octobre 2019
https://www.globalresearch.ca/heres-why-the-us-wants-to-break-bolivia-to-bits-with-hybrid-war/5542595?fbclid=IwAR21q7Q8q
En lien avec la crise politique en Bolivie, première publication par Global Research : août 2016
J’étais donc en train de parcourir le site Web de Telesur l’autre jour, et une histoire bien intéressante a attiré mon attention. La Bolivie a commencé à exporter 10 tonnes de lithium vers la Chine, ce qui représente le début de ce que le pays espère devenir un partenariat de plusieurs millions de dollars dans un avenir proche.
La raison pour laquelle c'est un si gros problème et dont je parle avec vous tous, c'est que le lithium fait partie intégrante de la plupart de nos téléphones portables et de nos batteries de voiture électrique, et que les estimations varient en fonction de la taille des gisements en Bolivie. en affirmant que le gouvernement déclare détenir 70% du total mondial, alors que les États-Unis rétorquent qu'il ne s'agirait que de 7%, soit 10 fois moins. Quoi qu’il en soit, le fait que la Chine - l’usine du monde entier - soit en mesure de diversifier ses importations de ce minerai de terre rare renforce la sécurité des contraintes d’approvisionnement de Pékin grâce à ce produit stratégique, et colle bien avec le milliard de dollars d'investissement en coltan ( Ndt :un métal) fait au Congo il y a quelques mois et que j'ai également couvert à l'époque sur Context Countdown. Dans l'ensemble, la Chine se positionne pour dominer les industries du téléphone cellulaire et de la voiture électrique, ce qui en fera un futur leader dans ces industries.
Ce que fait la Bolivie est donc très utile pour l’ordre mondial multipolaire émergent en général, et puisque nous parlons de la contribution du pays à la géopolitique, il vaut la peine d’inclure quelques autres projets tout aussi utiles. La Russie renforce sa coopération avec l’État andin dans les secteurs du pétrole, du gaz et de l’énergie nucléaire, et des représentants russes ont déclaré qu’ils étaient intéressés par les exportations militaires dans le pays et par le renforcement des échanges commerciaux bilatéraux. En outre, la Chine et la Bolivie ont également signé des accords de coopération militaire, en particulier pour que Pékin lui envoie de nouveaux véhicules blindés de transport de troupes, ce qui avait déjà été fait il y a quelques semaines.
Il semble que partout où nous nous tournons, la Bolivie devienne de plus en plus le dernier projet conjoint du partenariat stratégique russo-chinois visant à aider à la construction d'un monde multipolaire, mais c'est précisément pour cette raison que nous devons faire attention aux menaces de guerres hybrides contre l’État plurinational, comme l’appelle officiellement la Bolivie. Celles-ci incluent notamment la menace d'un conflit provoqué par l'étranger entre les 38 groupes ethniques du pays, des troubles dans le travail militarisé tels que les grèves minières en cours, des cartels de la drogue transnationaux opérant aux frontières brésilienne et paraguayenne, une révolution de couleur traditionnelle et la possibilité d'une campagne de «redémarrage du régime» pour promouvoir la division de la Bolivie en une fédération de petits états quasi indépendants que les États-Unis pourraient plus facilement diviser pour régner. La Bolivie a intérêt à faire attention, car plus elle se tient courageusement face aux États-Unis en embrassant les dirigeants multipolaires de la Russie et de la Chine, plus elle est en danger.
La source originale de cet article est Gpolit.com ( Ndt : le lien n'existe plus)
Avez-vous des yeux pour voir ?
Anna Von Reitz - N°2101 http://annavonreitz.com/doyouhaveeyes.pdf
Voici le blason Belcher, également appelé Belle Cher, dont la devise française est « Loyal jusqu'à la mort ».
C’est là, historiquement, incontestablement et factuellement, le fondement des Grands Sceaux et Emblèmes des États-Unis d’Amérique, ainsi que des Grands Sceaux dépendants des «États-Unis d’Amérique» et des «États-Unis». Les armoiries de base généralement utilisées pendant la période comprise entre le début de la Réforme protestante et une bonne partie du XIXe siècle étaient simplement "modifiées" en un jeu de couleurs rouge, blanc et bleu, afin de permettre un nouvel objectif et utiliser comme emblèmes et sceaux nationaux pour les États-Unis d'Amérique.
L'Amérique a été fondée par les Armoricains - les Celtes franco-normands qui ont également peuplé une grande partie de l'Angleterre. Tous les soi-disant royaux et nobles «britanniques» depuis la conquête normande de 1066 sont en fait français. Même les descendants du roi Jean, les soi-disant «rois du Commonwealth» - sont français. Cela devrait être une évidence pour tout le monde et enseigné dans les écoles du monde entier, mais au lieu de cela, on nous raconte des histoires de grands chevaliers, comme George Washington et le cerisier, ou que l'Amérique aurait été « découverte » par Christophe Colomb et que le mot Amérique viendrait du prénom du cartographe italien Amerigo Vespucci - au lieu du fait évident que « l'Amérique » a pris le nom de ceux qui l'ont peuplée au début, les « Armoricains » normands français.
Voici ce que Wikipedia a à dire: Armorica ou Aremorica est le nom donné jadis à la partie de la Gaule située entre la Seine et la Loire qui comprend la péninsule bretonne, s'étendant à l'intérieur des terres jusqu'à un point indéterminé et le long de la côte atlantique. [1] Le toponyme est basé sur la phrase gauloise are-mori « sur / à [la] mer », transformée en nom de lieu gaulois Aremorica (* are-mor-ika) « Place au bord de la mer ». Le suffixe -ika a d'abord été utilisé pour créer des formes adjectivales, puis des noms (voir des régions telles que le Pays d'Ouche d'Utica et le Perche de Pertica). La désignation d'origine était vague, englobant une grande partie de ce qui allait devenir la Normandie au Xème siècle et, selon certaines interprétations, l'ensemble de la côte jusqu'à la Garonne. Plus tard, le terme a été utilisé seulement pour la Bretagne.
En breton, lequel appartient à la branche brittonique des langues celtiques insulaires, aux côtés du gallois et du cornique, « on [the] sea » est war vor (gallois ar fôr, « f » étant exprimé et prononcé comme l'anglais « v »), mais l'arvor plus ancien est utilisé pour désigner les régions côtières de la Bretagne, contrairement à argoad (ar « on / at », coad « forêt » [arbres gallois ou mixte]] pour les régions intérieures. [2 ] Les usages modernes apparentés suggèrent que les Romains ont d’abord contacté les habitants de la côte de la région intérieure et ont supposé que le nom régional Aremorica faisait référence à l’ensemble de la région, côtière et continentale.
La côte de mer qui fait face à l’autre côté de la Manche, dont les habitants sont directement liés aux Gallois, aux Cornouailles et aux familles irlandaises au pouvoir, fait partie des plus grandes nations du monde depuis le temps des Romains.
Réveillez-vous. Sachez que ce qu'on vous a « enseigné », ne colle pas.Et je n'y suis pour rien.