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Tucker Carlson reçoit le Dr Soon-Shiong : une interview choc sur la Covid-19, les vaccins et les cancers
Le Collectif Citoyen, France-Soir Publié le 27 mars 2025 – 01:17
Le 26 mars 2025, Tucker Carlson a accueilli dans son studio une figure hors norme : le Dr Patrick Soon-Shiong, chirurgien milliardaire, inventeur de traitements anticancéreux et propriétaire du Los Angeles Times. Dans une interview explosive diffusée sur X, visionnée des millions de fois, Soon-Shiong a lancé une bombe : la COVID-19 et les vaccins à ARN messager (ARNm) seraient à l’origine d’une épidémie mondiale de cancers agressifs, notamment chez les jeunes. Entre révélations scientifiques, anecdotes personnelles et accusations contre l’establishment, cet échange a relancé les débats sur la gestion de la pandémie.
Une interview sous haute tension avec Tucker Carlson
Dès l’ouverture, Carlson a donné le ton : « on nous a menti sur la COVID et les vaccins, et maintenant, une vague de cancers nous frappe. Docteur, dites-nous tout. » Face à lui, Soon-Shiong, calme, mais déterminé, a répondu sans détour : « la COVID-19 et les vaccins qui n’ont pas réussi à l’arrêter sont probablement à l’origine d’une épidémie mondiale de cancers extrêmement agressifs. » Pendant plus d’une heure, l’interview a mêlé science pointue et polémique, portée par le style incisif de Carlson et l’autorité clinique de son invité.
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Ces études qui démontrent depuis 2022 que la vaccination contre la COVID-19 constitue un facteur de risque majeur d’infection
Publié le 22 mars 2025 par pgibertie
Récemment, The Lancet a publié une étude sur l’efficacité des vaccins contre la COVID-19 et la diminution de l’immunité au fil du temps.
Cette étude a montré que la fonction immunitaire des personnes vaccinées 8 mois après l’administration de deux doses de vaccin contre la COVID-19 était inférieure à celle des personnes non vaccinées. Selon les recommandations de l’Agence européenne des médicaments, des rappels fréquents contre la COVID-19 pourraient nuire à la réponse immunitaire et ne pas être réalisables. La diminution de l’immunité peut être causée par plusieurs facteurs, tels que la N1-méthylpseudouridine, la protéine Spike, les nanoparticules lipidiques, l’amplification dépendante des anticorps et le stimulus antigénique initial.
Ces altérations cliniques pourraient expliquer l’association observée entre la vaccination contre la COVID-19 et le zona. Par mesure de sécurité, les rappels ultérieurs doivent être interrompus. De plus, la date de vaccination doit être consignée dans le dossier médical des patients. Plusieurs mesures pratiques visant à prévenir une diminution de l’immunité ont été décrites. Il s’agit notamment de limiter l’utilisation d’anti-inflammatoires non stéroïdiens, dont le paracétamol pour maintenir la température corporelle profonde, d’utiliser correctement les antibiotiques, d’arrêter de fumer, de contrôler le stress et de limiter l’utilisation d’émulsions lipidiques, dont le propofol, qui peuvent entraîner une immunosuppression périopératoire. En conclusion, la vaccination contre la COVID-19 constitue un facteur de risque majeur d’infection chez les patients gravement malades.
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