« Mais l'esprit est un élément mystérieux. Insaisissable et invisible comme l'air, il semble s'adapter docilement à toutes les formes et à toutes les formules. Et cela pousse sans cesse les natures despotiques à croire qu'on peut le comprimer, l'enfermer, le mettre en flacons. Pourtant toute pression provoque une contre-pression, et c'est précisément quand l'esprit est comprimé qu'il devient explosif: toute oppression mène tôt ou tard à la révolte. À la longue, et c'est là une éternelle consolation, l'indépendance morale de l'humanité reste Indestructible. Jamais jusqu'ici on n'a réussi à imposer d'une façon dictatoriale à toute la terre une seule religion, une seule philosophie, une unique conception du monde, et jamais on y réussira, car l'esprit saura toujours résister à l'asservissement, toujours il refusera de penser selon des formes prescrites, de s'abaisser, de s'aplatir, de se rapetisser et de se mettre au pas.» Stefan Zweig
Philippe Geluck : " Ce livre démontre comment l'enquête Dutroux a été sabotée "
Covid 3 ans après
Histoire du mur des lamentations
Non aux guerres
Plus de 1 600 avions sont touchés par un mystérieux brouillage GPS à travers l'Europe
Les avions ont subi des dysfonctionnements du GPS dans les espaces aériens occidentaux
Plus de 1.600 avions ont été touchés depuis dimanche
La Russie est un acteur majeur de la guerre électronique
PERKIN AMALARAJ 26 Mars 2024
Plus de 1 600 avions ont été touchés par une mystérieuse interférence dont beaucoup craignent que la Russie soit à l'origine.
Les avions survolant et autour de la mer Baltique, dans le nord de l'Europe, connaissent des problèmes techniques causés par le brouillage depuis dimanche, avec 1 614 avions, pour la plupart civils, signalant des problèmes depuis lors.
Alors que la plupart d'entre eux semblent se dérouler dans l'espace aérien polonais, les blogs de l'OSINT ont rapporté que des avions volant dans l'espace aérien allemand, danois, suédois, letton et lituanien ont subi des problèmes d'interférence.
Notamment, peu ou pas d’interférences semblent avoir lieu en Biélorussie, un fidèle allié de la Russie, ou à Kaliningrad, la province russe séparée du continent par la mer et la terre.
Les avions semblent souffrir d'un brouillage GPS, ce qui peut dérouter les pilotes car cela peut leur faire croire qu'ils se trouvent dans un endroit différent de celui où ils se trouvent en réalité.
Newsweek a rapporté que la hausse des interférences peut en grande partie être attribuée à la région de Kaliningrad, où la Russie disposerait d’importantes ressources pour l’utilisation de la guerre électronique.
Une source lituanienne de la défense a déclaré au média : "Les forces armées de Ruian disposent d'un large éventail d'équipements militaires dédiés aux interférences GNSS (Global Navigation Satellite Systems), y compris le brouillage et l'usurpation d'identité, à différentes distances, durées et intensités."
Un éminent expert militaire a déclaré que la domination de la Russie dans la guerre électronique devrait être un « signal d'alarme » pour l'armée britannique.
Le Dr Melanie Garson, professeure agrégée de sécurité internationale à l'University College de Londres, a déclaré à Forces.net : « La Russie en particulier a déjà eu un avantage dans ce domaine et elle en a la nécessité.
« Au cours des deux dernières années de guerre, les créateurs de l'invention ont activement renforcé leurs capacités dans ce domaine.
"Ils ont eu l'occasion de l'utiliser de manière plus concrète et il existe une réelle préoccupation quant au fait que, notamment l'OTAN, ne soit pas à la hauteur de cette capacité."
Albert Bourla, un vétérinaire auprès de Von der Leyen
France-Soir Publié le 30 mars 2024 – 09:51
PORTRAIT CRACHE - De l’anonymat à la coqueluche des médias, l’ascension d’Albert Bourla pour devenir, en quelques mois, le “porte-étendard” de la lutte contre la COVID-19, est fulgurante. Mais derrière cette ascension se dessine un portrait plus que nuancé, voire celui d'un opportuniste dont les méthodes flirtent parfois avec les limites de l'éthique et de la morale, borderline comme on dit chez les anglo-saxons. Alors que la pandémie s'éloigne, il ne reste à ce PDG que des procès en perspective, des revenus en déclin, et une Von der Leyen dont le fard à paupières fond comme ses chances d’être renouvelée grand vizir.
Bon élève et passionné par les animaux, il en faut dans les labos, Albert Bourla, né Alvertos et issu d’une famille juive en Grèce, obtient un diplôme de vétérinaire puis un doctorat à l’université Aristote de Thessalonique en 1985. Il ne rejoint le groupe Pfizer qu’en 1993, comme docteur vétérinaire et directeur technique de la division animale, située à Athènes. Son ascension est fulgurante. Il est d’abord chargé de l’Europe et de l’Afrique, puis de l’Asie et de l’Océanie. Il tient quelques rôles exécutifs dans plusieurs divisions du groupe pharmaceutique et devient membre de plusieurs conseils. Après un tour dans cinq pays et une huitaine de villes, il se rend à New York pour rejoindre le siège social de Pfizer.
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