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Ciel Voilé

Les Bruxellois mettent bas les masques et la police constate qu’il est impossible de verbaliser tous ceux qui ne respectent pas les mesures sanitaires

27 Février 2021, 20:20pm

Les Bruxellois mettent bas les masques et la police constate qu’il est impossible de verbaliser tous ceux qui ne respectent pas les mesures sanitaires

 

Le 20 février 2021 - Médias presse info


 

Le nombre ne fait pas la Vérité. Mais le nombre peut se révéler bien précieux pour faire infléchir certaines pratiques iniques. La leçon nous en a été donnée ce week-end à Bruxelles et devrait valoir pour la France et pour le reste de l’Europe soumise à l’hystérie covidienne.

Avec le beau temps, tous les espaces verts bruxellois, et notamment le Parc du Cinquantenaire et le Bois de la Cambre, ont connu une très importante fréquentation dimanche. Et une très grande proportion des promeneurs ont baissé le masque dans un mouvement spontané de libération et ce sans plus aucun respect des fameuses distances sociales.

 

 

 

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We will not be silenced

27 Février 2021, 19:51pm

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La 5G arrive à Paris, les écolos "choqués" par le "forcing" de Hidalgo

27 Février 2021, 10:56am

La 5G arrive à Paris, les écolos "choqués" par le "forcing" de Hidalgo

“Rien ne justifiait d’aller si vite”, regrettent les Verts parisiens qui, comme la Convention citoyenne pour le climat, avaient demandé un moratoire.

  • Huffingtonpost le 20 février 2021


 

POLITIQUE - Les Verts parisiens, partenaires de la maire PS Anne Hidalgo, ont regretté ce vendredi 19 février dans la soirée l’accord trouvé entre l’exécutif parisien et les opérateurs télécoms pour le déploiement de la 5G dans la capitale dans les prochaines semaines, estimant que “rien ne justifiait d’aller si vite”.

“À juste titre, la Convention citoyenne pour le climat avait demandé un moratoire, nous le demandions également. De plus, nous attendons les résultats des études commandées par le gouvernement sur cette question d’ici quelques semaines”, a réagi, sollicité par l’AFP, l’adjoint en charge de la transformation de l’espace public et des transports David Belliard.

Fatoumana Koné, présidente du groupe écologiste au conseil municipal, s’est elle dite ”étonnée voire un peu choquée” par le “forcing” de la maire socialiste et de son adjoint au budget Paul Simondon, qui a finalisé l’accord. “On a encore envoyé un courrier il y a peu de temps demandant le moratoire”, a-t-elle indiqué.

“Il y avait une consultation en cours”

 

La suite

 

 

 

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Nexus : Dr Louis Fouché : la vérité sur le Covid

26 Février 2021, 22:20pm

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Questions à Jean-Loup Izambert

26 Février 2021, 22:13pm

Questions à Jean-Loup Izambert

Le 26 février 2021

Entretien avec Jean-Loup Izambert - Le virus et le Président. Enquête sur l'une des plus grandes tromperies de l'Histoire, IS Editions, Décembre 2020


Jean-Loup Izambert & Claude Janvier,
Le Virus et le Président. Enquête sur l'une des plus grandes tromperies de l'Histoire, IS Editions, Décembre 2020, 268 p., 20 €


Parutions.com : Pouvez-vous nous dire en quelques mots quel a été votre parcours, pour que le lecteur comprenne mieux votre angle d'attaque ?

Jean-Loup Izambert : J’ai fait mes études secondaires dans l’agriculture en travaillant à la ferme ce qui m’a permis d’acquérir un savoir faire certain pour retourner les litières de la grande finance après m’être fait la main avec celles des vaches. Etudes supérieures à Paris à l’Ecole des Hautes Etudes Sociales, des Hautes Etudes Internationales et l’Ecole supérieure de journalisme. J’ai choisi le métier de journaliste car je souhaitais exercer une profession dans laquelle on doit mettre régulièrement ses connaissances à jour, apprendre toujours et faire partager au grand public les choses complexes, principalement de l’économie et de la finance qui sont au cœur de l’activité humaine. J’ai travaillé dans différents métiers de la presse, du secrétariat de rédaction à l’enquête en passant par le reportage et des rédactions en chef. Par ailleurs, j’ai également travaillé comme conseil en communication de collectivités territoriales, de PME-PMI et de grands comptes. Cet autre métier m’a permis de financer mes enquêtes au long cours. En France, les journaux avancent rarement les frais lorsque vous travaillez sur des affaires sensibles. Or, certaines enquêtes se déroulent parfois sur plusieurs mois, voire plusieurs années, et exigent parfois des déplacements et séjours à l’étranger. J’ai travaillé pour des titres très divers comme le mensuel économique et financier du groupe Les Echos, L’Humanité et son hebdomadaire, VSD du temps où, sous la direction de François Siegel, l’enquête y avait encore une place, PME Affaires. J’ai également collaboré avec des médias étrangers allemands, russes, finlandais, anglais et italiens. Les difficultés pour publier mes enquêtes dans la presse m’ont aiguillé vers le livre. Ma rencontre avec Harald Benoliel, fondateur de IS Edition, m’a permis de continuer de publier mon travail aux côtés d’auteurs très différents. Une fois les manuscrits acceptés par le comité de lecture, dans cette petite structure souple et réactive l’auteur peut devenir aussi force de proposition en étant associé aux différents moments de fabrication et de promotion du livre. Cette coopération continue depuis 2015 dans une confiance réciproque a façonné un tandem auteur-éditeur véritable «militant du Livre».

Parutions.com : Dans Crimes sans châtiment et les deux tomes de 56, vous émettez de graves accusations à l'encontre de dirigeants politiques et de grands patrons de sociétés transnationales dans la déstabilisation des pays au Moyen-Orient dont la Syrie par l'intermédiaire des Frères musulmans et d'autres organisations.  Vous mettez en cause une politique économique européenne via les Etats-Unis non seulement pour déposséder les pays de leur souveraineté, mais pour financer le terrorisme (prétendument dénoncé) afin de piller des ressources au Moyen-Orient. Pouvez-vous résumer succinctement l'objectif ?
 

 

 

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Alexandra Henrion Caude : "Ce n'est plus une crise sanitaire"

26 Février 2021, 21:59pm

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La fabrique de l’ignorance : comment les industriels instrumentalisent la science

26 Février 2021, 19:11pm

  La fabrique de l’ignorance : comment les industriels instrumentalisent la science

France-Soir - Publié le 25/02/2021 à 12:06 - Mise à jour le 26/02/2021 à 15:03

 

La fabrique de l’ignorance » est un documentaire diffusé sur Arte le 23 février dernier. Par le biais de témoignages de scientifiques, il dévoile une facette peu glorieuse de certains industriels qui instrumentalisent la science pour éviter que leur secteur ne soit impacté par les législations, quitte à ce que l’environnement ou les hommes en pâtissent.

 

Faire naitre le doute sur la nocivité des produits

Pour que leurs secteurs continuent de prospérer, certains industriels n’hésitent pas à financer de fausses études scientifiques. Le but ? Faire naitre un doute sur la nocivité de leurs produits et ainsi faire reculer la décision des politiques d'interdire la production de tel ou tel produit.

 

« [si vous me demandez de] montrer que la poudre de perlimpinpin donne des ulcères de l’estomac, je peux vous faire un protocole ou je suis absolument certain de trouver le résultat ! »

 

Le documentaire revient sur cette stratégie datant des années 50. Un des secteurs mis en cause : le tabac. Des études dévoilent la nocivité de la cigarette, notamment sur le fait qu’elle participe à la multiplication des cancers du poumon. Certains grands lobbies vont riposter et distiller le doute dans les esprits, à l’aide d’études financées dans leurs propres laboratoires : l’objectif est de détourner l’attention de la cigarette en mettant en avant d’autres facteurs à l’origine de ces cancers (pollution de l’air…). Même le jus de tomate est mis en cause. C’est ainsi que les lois le tabac sont retardées de presque quarante ans.

Le documentaire montre que ce mécanisme a été largement repris pour d’autres secteurs (insecticides, réchauffement climatique, bisphénol A…).

 

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Donner des droits à la nature : une idée qui fait son chemin

26 Février 2021, 18:44pm

Donner des droits à la nature : une idée qui fait son chemin

26 février 2021 / Justine Guitton-Boussion (Reporterre)

 

En Île-de-France, un collectif propose de reconnaître la « personnalité juridique » à des lacs régulièrement pollués. Est-il possible d’accorder des droits à la nature en France, comme le font déjà plusieurs pays ? Dernier en date, le Canada qui, le 23 février, a reconnu la qualité de personnalité juridique à une rivière. C’est le moyen de ne plus « subordonner la défense de la nature à l’existence d’intérêts humains ».

Sur les berges des lacs de Grigny et Viry-Châtillon (Essonne), on oublie les alentours marqués par une urbanisation effrénée et on peine à imaginer que Paris se trouve à une vingtaine de kilomètres. Ici, place à la tranquillité, à peine troublée par le plongeon d’un grand cormoran ou le sifflement d’un cygne blanc. Le lieu est un espace de respiration.

Pourtant, cet endroit si cher aux pêcheurs, cyclistes et promeneurs du dimanche subit fréquemment des épisodes de pollutions. En 2020, il en a connu trois en seulement cinq mois : rejets d’eaux savonneuses aux mois d’août et septembre, puis déversement de sable et boue en décembre. Quelques années plus tôt, les lacs avaient même connu des épisodes de pollution aux hydrocarbures.

Lassés de cette situation récurrente, des habitants et élus d’opposition de Grigny et Viry-Châtillon ont décidé de se réunir et former une association, baptisée L’Alliance des lacs. Entre autres doléances, elle réclame la reconnaissance de la « personnalité juridique » des lacs — soit l’aptitude à être titulaire de droits et devoirs. « Ils seraient enfin dotés de droits, dit Aurélien Péroumal, cofondateur de l’association. Nous n’en avons pas l’habitude en France, mais cet outil existe dans d’autres pays. »


 

 


 


 


 


 

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Vaccin en Israël : des chiffres troublants !

26 Février 2021, 18:34pm

Vaccin en Israël : des chiffres troublants !

Publié le 25/02/2021 à 09:29 – Xavier Bazin – France Soir


 

TRIBUNE Depuis quelques semaines, les grands médias annoncent monts et merveilles avec la vaccination en Israël.

Le 15 février dernier, par exemple : 

Ou encore plus récemment, le 20 février :


 

Dans cette dernière « étude », on annonce même « un vaccin efficace à 98,9 % pour prévenir la mort ». Si c’était vrai, ce serait formidable.

Mais il ne faut pas s’arrêter à ces grands titres. Car ils reposent sur des études réalisées par des organisations en flagrant conflits d’intérêts : les autorités israéliennes et Pfizer. Pour Pfizer, si l’expérience israélienne se montre décevante, c’est un manque à gagner d’au moins 15 milliards d’euros (son chiffre d’affaires vaccinal prévu pour 2021) !Pour les autorités israéliennes, à quelques semaines des élections, il est crucial de montrer que le plan de vaccination est un succès éclatant, plutôt qu’un échec.

Ils ont donc tout intérêt à manipuler les statistiques pour les présenter sous leur meilleur jour. N’oublions jamais cette vérité du démographe Alfred Sauvy : « Les chiffres sont des êtres fragiles qui, à force d'être torturés, finissent par avouer tout ce qu'on veut leur faire dire ».

Donc il est urgent de regarder les faits sous un autre angle.

Regardez ces graphiques – voyez-vous un succès éclatant ? Si le vaccin avait vraiment une efficacité aussi spectaculaire, cela devrait se voir comme le nez au milieu de la figure. Je rappelle que Israël est le pays qui a le plus largement vacciné, de très loin. La vaccination généralisée a commencé mi-décembre, il y a plus de 2 mois. Aujourd’hui, environ 90 % des plus de 70 ans ont été pleinement vaccinés, avec deux doses. Donc, la quasi-totalité des plus de 70 ans sont censés être « protégés » (depuis plus d’un mois pour la plupart). C’est important, car je rappelle que 90 % des morts de la Covid-19 ont plus de 70 ans.

Donc si 90 % des plus de 70 ans sont vaccinés ; et si les plus de 70 ans représentent 90 % des décès... eh bien on devrait assister à une chute drastique du nombre de morts !

Si le vaccin était efficace, on ne devrait quasiment plus avoir de morts en Israël.

C’est mathématique : avec un vaccin soi-disant efficace à 98 % contre la mortalité, il devrait y avoir environ 80 % de moins de morts (98 % x 90 % x 90 %).
Le problème est qu’on ne constate pas cette chute drastique du nombre de décès en Israël.

Voici la courbe des morts de la Covid-19 en Israël, depuis le 1er décembre (je rappelle que la vaccination a commencé le 19 décembre) :


 

 


 

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La vaccination mondiale : le véritable objectif de l’opération COVID-19

26 Février 2021, 18:24pm

La vaccination mondiale : le véritable objectif de l’opération COVID-19
« Entre dépeuplement planifié et cynisme financier, l’humanité doit se réveiller »

 

Dr Pascal Sacré Mondialisation.ca, 22 février 2021

 

Nous sommes-nous trompés ?

La vaccination contre le SARS-CoV-2, le virus responsable de la maladie COVID-19, a été lancée dans le monde alors que les essais cliniques ne sont ni complets ni terminés.

Pour la première fois dans l’histoire de la médecine, des produits qui sont toujours en phase d’évaluation des effets secondaires et de l’efficacité sont injectés à des êtres humains sans que ceux-ci ne soient correctement informés et sans obtenir leur consentement éclairé, sous couvert d’urgence et de déclarations des autorités sanitaires influencées par des firmes pharmaceutiques comme en témoigne ce document de l’Agence Européenne du Médicament (EMA-AEM) [1].

Même la revue Prescrire, après son article partial et critique en défaveur de l’ivermectine [2] -voir la réponse du docteur Gérard Maudrux [3], sur le vaccin ADN d’Astra Zeneca et Oxford le souligne :

-Le niveau de preuves des données est globalement faible, entre autres parce que les essais ne se sont pas déroulés comme prévu, et que les données d’efficacité clinique rendues publiques ne portent que sur environ la moitié des participants aux essais.

 

-Dans les essais, la diminution relative du risque d’être atteint d’une maladie covid-19 a été d’environ 70 % dans les groupes vaccin ChAdOx1 nCoV19, avec une incertitude autour de l’ampleur de l’efficacité plus grande qu’avec les deux vaccins à ARNm déjà autorisés. Une réduction de la fréquence de covid-19 grave est vraisemblable mais non démontrée.

 

-36 % des participants avaient au moins un facteur de risque de covid-19 grave autre que l’âge, mais l’incertitude autour de l’ampleur de l’efficacité chez eux est encore plus grande que pour l’ensemble des participants. Seulement 6 % environ des participants étaient âgés de 65 ans ou plus.


 

-Les effets indésirables connus du vaccin ChAdOx1 nCoV19 sont surtout des réactions locales et systémiques très fréquentes. Il existe encore de nombreuses inconnues inhérentes au faible recul d’utilisation, notamment de ce vecteur viral chez les êtres humains.

Des niveaux de preuve globalement faibles, de nombreuses inconnues inhérentes au faible recul d’utilisation.

Toute mise sur le marché d’un produit, d’un médicament, à fortiori d’un vaccin destiné à des personnes non malades, nécessite plusieurs phases d’évaluation, étalées sur plusieurs années, principe de précaution court-circuité dans cette crise avec tous les dangers que cette précipitation peut engendrer.

Le principe de précaution violé

Quoi qu’en disent, sans preuves, les firmes productrices des vaccins nouvelle génération (ARNm ou ADN avec vecteur viral modifié génétiquement), l’introduction d’ARNm ou d’ADN avec vecteur viral dans nos cellules comporte le risque potentiel de modifier notre ADN. La sécurité génétique de cette technique n’a pas pu être évaluée puisque plusieurs décennies seraient nécessaires pour le faire.

Ces « vaccins géniques » au mécanisme d’action très particulier exposent l’humanité à des risques inconnus, non maîtrisés, en opposition totale avec le principe de précaution pourtant si cher à nos autorités sanitaires.

Le principe de précaution est à la base de la plupart des mesures liberticides imposées par nos gouvernements : port du masque obligatoire même en rue, distances sociales, fermeture des lieux publics tels que restaurants ou bars, interdiction de se rassembler ou de manifester, fermeture des cinémas, des piscines et des parcs de loisirs.

Pour les vaccins, le principe de précaution est violé, bafoué.

Délai normal de mise sur le marché d’un vaccin

Ce qui suit est encore plus vrai avec les coronavirus comme le SARS-CoV-2.

La journaliste Céline Deluzarche, dans un article sur Futura Sciences (Futura Santé) du 19 mars 2020 revu le 15 juin, le dit :

« Coronavirus : les dangers d’un vaccin élaboré à la hâte.
Face à l’urgence, les scientifiques appellent à accélérer les procédures de tests et à se passer des habituels essais sur les animaux. Une stratégie louable mais qui pourrait s’avérer au mieux, contre-productive, au pire causer des morts.
Normalement, obtenir un vaccin efficace, non toxique et utilisable prend entre 15 et 20 ans. Il faut d’abord mettre au point une formule possédant les prérequis chimiques et pharmaceutiques, mener des études d’immunogénicité chez l’animal, évaluer la toxicité du vaccin  chez l’animal, puis chez l’Homme, et enfin, tester son efficacité à grande échelle. » [4]
« Jusqu’à la crise COVID-19, un essai vaccinal suivait un parcours long nécessitant de nombreuses années, (de 9 à 12 ans, en moyenne 10) pour arriver à la commercialisation. Il comprenait de multiples phases aux objectifs précis avant de passer à la suivante, chaque étape apportant des informations complémentaires. Beaucoup de candidats-vaccins étaient abandonnés (comme pour le SIDA où deux candidats ont été éliminés car ils augmentaient paradoxalement le risque d’attraper la maladie). » [5]

Pour avoir l’autorisation de mise sur le marché d’un médicament ou d’un vaccin, les essais doivent franchir plusieurs étapes ou phases. 

Ces étapes et ce délai sont la clé de la sécurité du produit.

 

 

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