Pass sanitaire ou pass suicidaire ? "Nous venons de déposer des plaintes pour des faits criminels dans plusieurs coins de France."
Publié le 01/08/2021 à 16:47 FranceSoir
ENTRETIEN - Me Jean-Pierre Joseph, avocat, doyen du Barreau de Grenoble.
France Soir : le 23 septembre 2020, vous avez publié dans "Profession Gendarme", un article intitulé "Quand cesserons nous d'être des moutons ?" dans lequel vous écriviez que ni le masque, ni le confinement n'empêcheraient la deuxième vague. L'Histoire ne vous a-t-elle pas donné raison ?
Jean-Pierre Joseph : Non seulement l'Histoire m'a donné raison, mais cela a continué, car j'avais annoncé à mon entourage que si nous ne réagissions pas, il y aurait une deuxième, puis une troisième, puis une quatrième vague, etc. Et des mesures de plus en plus liberticides, qui n'auraient aucun effet sur le freinage de l'épidémie. En fait à l'époque, les gens croyaient qu'en obéissant cela s'arrêterait, et je leur disais "C'est justement parce que vous obéissez que cela ne s'arrêtera jamais..."
En réalité, les contradictions dans les mesures étaient tellement évidentes, qu'il m'est difficile d'accepter qu'une grande partie de la population, glacée de terreur face à un virus que personne n'a jamais vu, soit aussi obéissante, et que les grands médias n'aient pas d'avantage dénoncé ces contradictions :
- Le masque était inutile, puis un mois plus tard devenait indispensable,
- Le confinement "allait faire accélérer l'épidémie", puis un mois plus tard, "allait la freiner"
- Au premier confinement, seules les activités essentielles étaient autorisées. Mais parallèlement, des milliers d'antennes 5G étaient installées. Pourquoi était-ce si essentiel ?
- Plus récemment "les enfants n'attrapent pas la maladie et ne sont pas contagieux" puis "Ils doivent se vacciner".
- Dans les restaurants, dès que l'on se levait, il fallait mettre le masque, comme si le virus ne frappait qu'en hauteur. Fallait-il marcher à quatre pattes pour aller aux toilettes ?
- Lors des couvre-feux, les gens faisaient leurs courses en catastrophe, entassés dans les magasins, mais dès 18h. le virus allait frapper, comme s'il travaillait de nuit comme les infirmières..."
Vous avez dénoncé ce que vous appelez la "Scientocratie". Comment définissez vous cela ?