Détection sans équivoque du rayonnement solaire ultraviolet 250-300nm ( UV C) à la surface de la Terre
European Journal of Applied Sciences – Vol. 11, No. 2
Publication Date: April 25, 2023
DOI:10.14738/aivp.112.14429. _
Raymond D. Hoisington
iRay SpectraMetrics,Bakersfield, Californie 93306 États-Unis
Mark Whiteside, M.D., M.P.H.
Département de la santé de Floride, Key West, Floride 33040 USA
J. Marvin Herndon, Ph.D.
Transdyne Corporation, San Diego, Californie 92131 USA
RÉSUMÉ
La toxicité du rayonnement ultraviolet dans la gamme de longueurs d'onde 100-280 nm (UV-C) est bien documentée. L'irradiation par les UV-C peut provoquer des cancers de la peau, un vieillissement prématuré, des troubles visuels et la cécité. Une exposition prolongée aux rayons UV peut tuer les plantes et les animaux, y compris des forêts entières. La littérature médicale, de santé publique et géoscientifique contient de nombreuses affirmations selon lesquelles aucun UV-C n'atteint la surface de la Terre, malgré plusieurs études qui prouvent le contraire, dont une réalisée en 2007 par la NASA. Les opposants invoquent des problèmes techniques tels que la lumière parasite. Les mesures des UV-C de faible intensité sont difficiles, voire presque impossibles, lorsque l'on utilise de faibles valeurs d'intégration dans les radiomètres spectraux à imagerie CCD. Cela est dû aux problèmes de lumière parasite atmosphérique interne et externe de l'instrument, problèmes qui se produisent même pendant les procédures d'étalonnage qui utilisent des lampes à filament chauffées ou remplies de gaz. Pour éviter ces problèmes inhérents, l'un d'entre nous (RDH) a conçu, élaboré et construit un double monochromateur utilisé en conjonction avec le radiomètre spectral ILT950UV fonctionnant en mode de données brutes. Chacune des mesures initiales de l'irradiation solaire a montré que les UV-C arrivaient à la surface de la Terre, non pas dans les montagnes, mais à seulement 176 mètres au-dessus du niveau de la mer. Ces données ont été prises en mode de données brutes, corrigées de la perte de prisme, et le bruit de l'instrument, c'est-à-dire les erreurs de la machine, a été soustrait. La valeur non nulle de l'irradiation spectrale relative montre clairement l'existence d'UV-C à la surface de la Terre, dans la gamme 250-300 nm, même lorsque les mesures sont effectuées dans des conditions atmosphériques qui ne sont pas optimales. La recherche et le développement se poursuivent. Nous devons connaître avec certitude l'état de la couche d'ozone stratosphérique qui protège la vie en surface des UV-C solaires. La pollution particulaire atmosphérique issue de la géo-ingénierie secrète, combinée à la pollution industrielle de l'atmosphère, est en train de tuer la couche d'ozone stratosphérique de la Terre. Si elle n'est pas interrompue, elle sonnera le glas d'une grande partie de la vie sur Terre.
INTRODUCTION
En raison de l'appauvrissement de l'ozone stratosphérique, des quantités de plus en plus mesurables de rayonnements solaires nocifs atteignent la surface de la Terre. Le rayonnement ultraviolet (UV) extrême sous forme d'UV-B et d'UV-C entraîne des dommages graves et irréparables. Ils provoquent des mutations de l'ADN cellulaire, qui entraînent des altérations majeures de la fonction cellulaire et la cancérogenèse. Parmi les autres effets néfastes de ce type de rayonnement, citons le vieillissement prématuré, les troubles visuels et la cécité, ainsi que les effets sur la fertilité. Une exposition prolongée aux rayons UV peut tuer les plantes et les animaux et les rendre plus vulnérables aux maladies. Outre leurs effets biologiques directs, les rayons UV ont des effets complexes sur les processus biogéochimiques [1].
La suite : pdf ci-dessous
Article en français
Article en anglais