Bonne et sainte année 2023 – Les vœux de la-verite-vous-rendra-libres.org
Le 1er janvier 2023
En ce premier jour de 2023, nous pensons à tous ceux qui ressortent bien cabossés de ces bientôt trois ans de « plandémie ».
Nous pensons, bien sûr, à ceux qui sont seuls. Seuls parce qu’ils ont perdu celui ou celle, ou ceux, qu’ils aimaient. Ou seuls parce qu’ils ne s’entendent plus avec leurs proches. À ceux, également, qui semblent bien entourés, mais qui, au fond, se sentent seuls, parce qu’un fossé trop grand s’est creusé entre eux et leur famille et amis. Nous pensons également aux malades et leurs proches, et aux personnes en deuil, pour qui ces temps de fêtes résonnent nécessairement comme en décalage avec la triste réalité qu’ils vivent.
Nous pensons, évidemment, aux suspendus : soignants, pompiers, et autres travailleurs des secteurs sanitaire et médico-social, qui depuis 473 jours se sont vu privés du droit d’exercer leur métier et ont été, dans l’indifférence de tant de nos compatriotes, laissés sans aucune ressource, sans salaire, sans aide financière et sans possibilité de chercher un nouveau gagne-pain. Ce scandale ne restera pas impuni. Et nous formulons le vœux que 2023 vienne enfin réparer cette odieuse injustice !
Nous pensons aux victimes des effets secondaires et à leurs familles. À tous ceux qui ont perdu un proche suite à cette injection. Ceux qui sont malades, handicapés ou qui cumulent les ennuis de santé depuis la piqûre. Tous ces gens paient bien trop cher d’avoir cru aux mensonges du gouvernement et des médias corrompus, ou d’avoir cédé à la pression sociale ou à l’odieux chantage vaccinal pour conserver leur travail. Là encore, nous formulons pour 2023, le vœux que la vérité éclate sur la réalité des effets secondaires et que la justice soit faite. Même si cela ne ramènera pas les disparus, cette phase de reconnaissance du préjudice subi est indispensable pour que les victimes puissent se reconstruire, pour arrêter ce massacre vaccinal et pour que plus jamais une telle maltraitance des peuples par leurs dirigeants ne puisse avoir lieu.