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Ciel Voilé

Manipuler le temps pour manipuler les élections ?

14 Octobre 2018, 09:10am

Publié par Ciel Voilé

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Le CFR en guerre contre Trump

13 Octobre 2018, 06:48am

Publié par Ciel Voilé

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Audit des températures planétaires utilisées par le GIEC : elles ne sont pas fiables

8 Octobre 2018, 18:35pm

Audit des températures planétaires utilisées par le GIEC : elles ne sont pas fiables

Le premier audit jamais réalisé sur l’ensemble de données de température le plus important au monde a révélé qu'il est tellement rempli d’erreurs qu’en fait, il est inutile.


Le 7 octobre 2018 - Traduction Ciel voilé


HadCRUT4 est le principal ensemble de données utilisé par le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) pour lancer ses affirmations dramatiques sur le « réchauffement climatique dû à l’homme », pour justifier ses demandes visant à dépenser des milliards de dollars pour « lutter contre le changement climatique » et dont la base est l'Accord de Paris sur le climat.


Selon une analyse révolutionnaire du chercheur australien John McLean, cet ensemble relève d'un amateurisme sans soin et ne peut être pris au sérieux, même par des climatologues, et encore moins par un organisme aussi influent que le GIEC ou par les gouvernements du monde.

« C'est d'un amateurisme très négligent », dit-il. « Du niveau d'un étudiant de première année d'université ».


Parmi les nombreuses erreurs trouvées par McLean figurent :

 

  • Des lacunes importantes en l'absence de données où des moyennes ont été calculées à partir d'informations pratiquement inexistantes. Pendant deux ans, les températures au sol, dans l'hémisphère Sud, ont été estimées à partir d'un seul site en Indonésie.

  • Presque pas de contrôle de qualité, des noms de pays mal orthographiés («Venezuela», «Hawaai», «République de K» ( Corée du Sud) et des entrées imprécises, manifestement inexactes.

  • Des ajustements - « Je ne serais pas surpris de constater que plus de 50% des ajustements soient faux », dit McLean – qui font descendre artificiellement les températures du passé et monter les températures plus récentes, pour donner une impression exagérée du taux de réchauffement planétaire.

  • Une méthodologie tellement incohérente que les mesures n’avaient même pas de stratégie fiable sur des variables telles que les heures d'été.

  • Mesures en mer, supposées émaner de navires, mais relevées par erreur jusqu'à 50 miles ( 80,4 km) à l'intérieur des terres.

  • Une île des Caraïbes - Saint-Kitts - où la température enregistrée a été de 0° C pendant un mois entier, à deux reprises (un peu invraisemblable pour les tropiques).

  • Une ville de Roumanie qui, en septembre 1953, aurait connu un mois où la température moyenne serait tombée à moins 46 degrés Celsius (lorsque la moyenne typique pour ce mois est de + 10°C).

 

C’est pourtant la température à partir de laquelle le GIEC a estimé que le « réchauffement climatique » depuis le milieu du XIXe siècle est suffisamment alarmant pour que les gouvernements du monde entier soient obligés de prendre des mesures urgentes, ce qui coûte actuellement aux contribuables environ 2 000 milliards de dollars par an.


L'ensemble des données HadCRUT4 est une production conjointe du centre Hadley du Met Office britannique et de l’unité de recherche sur le climat de l’Université d’East Anglia, connue depuis le Climategate.


Selon McLean:


« Il semble qu'aucune des deux organisations n'ait correctement vérifié les données de température de la terre ou de la mer avant de les utiliser dans l'ensemble de données HadCRUT4. Si cela avait été vérifié, le CRU aurait peut-être interrogé les erreurs les plus évidentes dans les données fournies par différents pays. Le Centre Hadley aurait peut-être également constaté certaines incohérences dans les données de température de surface de la mer, ainsi que des erreurs qu'il aurait créées en copiant les données à partir des journaux de bord manuscrits de certains navires de la Royal Navy. »

Le rapport de McLean ne pouvait pas venir à un moment plus embarrassant pour le GIEC. Lundi, le GIEC publiera son résumé de 2018 pour les décideurs politiques, affirmant que la crise du réchauffement climatique est plus urgente que jamais. Mais ce que McLean nous suggère fortement, c’est que ces affirmations sont fondées sur des données auxquelles on ne peut tout simplement pas se fier.


Bien que le GIEC utilise trois principaux ensembles de données de température de surface - les autres sont compilés aux États-Unis par la NASA et la NOAA - le HadCRUT basé au Royaume-Uni est son préféré pour des raisons historiques : le fondateur du Hadley Center (où HadCRUT est partiellement produit) était Sir John Houghton, qui a également coprésidé le groupe de travail 1 du GIEC et a été l'éditeur de son premier rapport.


Ainsi, le fait que le jeu de données principal du GIEC ait été présenté comme étant de mauvaise qualité, peu fiable et de l'amateurisme, ne contribue pas à la crédibilité du GIEC.


Comme le dit McLean :


« Les gouvernements ont eu 25 ans pour vérifier les données sur lesquelles ils ont dépensé des milliards de dollars. Et ils ne l’ont pas fait une seule fois.


McLean est l'analyste informatique australien qui a lancé un autre scandale à propos de l'alarmisme au réchauffement climatique : il s'agissait en réalité de la création de 53 personnes.


Il a atteint ce chiffre en analysant le rapport d'évaluation 2007 du GIEC, qui, selon le GIEC, représentait un « consensus » des points de vue de « 2 500 climatologues ».


Mais en fait, le nombre de scientifiques impliqués dans le chapitre clé N°9 - celui qui a abouti à la conclusion principale que le réchauffement induit par l'homme était détectable sur tous les continents sauf l'Antarctique et que cela provoquait toutes sortes de catastrophes du fait de la fonte des glaciers et de la banquise, de la modification des précipitations et d'une activité cyclonique plus intense - n’était que de 53.


En outre - comme le mentionnait Christopher Booker dans son ouvrage intitulé « Le désastre climatique mondial », ces 53 auteurs appartenaient pour la plupart à un réseau professionnel proche, intimement lié à la « crosse de hockey » de Michael Mann. Pas tellement un «consensus» donc.

En outre, comme l’a confirmé le scandale ultérieur du Climategate, une cabale d'intérêts acquis.

.
L’audit de McLean sur les défaillances de HadCRUT est disponible ici à partir du site Web Robert Boyle Publishing. Il en coûte 8 dollars américains, ce qui peut constituer une récompense pour son travail non rémunéré, réalisé dans le prolongement de sa thèse de doctorat, supervisé par Peter Ridd à l'Université James Cook.


Ridd est le professeur qui a été chassé de son travail après avoir dit la vérité sur la Grande barrière de corail: elle ne serait pas détruite par le « réchauffement climatique ». En effet, cela ne correspondait pas au récit promu par son institution alarmiste,il a été licencié sous le prétexte que sa conduite « déforme la nature et la conduite du processus disciplinaire par le biais de publications en ligne et dans les médias».


Selon McLean, les inexactitudes dans l'enregistrement des données sont telles qu'il est impossible de savoir à quel point les températures mondiales ont réellement augmenté.


Mais il estime que sur les 0,6°C d'augmentation de la température planétaire depuis 1950, peut-être un tiers a été exagéré.


Le chiffre réel, estime-t-il, serait un réchauffement de 0,4°C au cours des sept dernières décennies.


« La plupart des gens ne peuvent même pas remarquer un changement de température de 1°C d’un instant à l’autre. Donc, l'idée que les gouvernements dépensent autant d'argent pour une augmentation de la température d'une fraction de celle répartie sur près de 70 ans est tout simplement idiote. »


Le Centre Hadley et le Met Office auront du mal à accuser McLean de manque de sérieux. En mars 2016, il les a informés de certaines erreurs qu'ils ont rapidement corrigées. Il est donc une autorité qu’ils prennent au sérieux.

 

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Un universitaire français, lanceur d'alerte, sanctionné

7 Octobre 2018, 19:11pm

https://www.youtube.com/watch?v=jLotXmYNvdE&feature=em-uploademail

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Ondes : Projet de loi en faveur des opérateurs ?

7 Octobre 2018, 18:43pm

Publié par priartem

Ondes : Projet de loi en faveur des opérateurs ?

Communiqué de presse de Priartem

Ondes et santé : qui a peur de la recherche indépendante ?

La suppression de la taxe parafiscale dédiée au financement des mesures des niveaux d’expositions et à celui des recherches sur les radiofréquences, serait selon nos informations, inscrite dans le projet de loi de Finances qui doit être débattu à l’Assemblée Nationale dans les semaines qui viennent. Si cette suppression est actée, il s’agira d’un cadeau de plus fait aux opérateurs après celui lié au renouvellement de leur licence (accord Gouvernement/ARCEP/Opérateurs) et il s’agira « en même temps » d’un très mauvais coup porté au dossier « ondes et santé ».

 

Cette taxe parafiscale a été créée en 2010, suite au Grenelle des ondes qui avait conclu qu’il fallait instituer un sas vertueux entre le pilotage des mesures d’exposition, d’une part, des orientations de recherche, d’autre part, et leur financement par les opérateurs. C’est ainsi que la gestion d’une partie du fond perçu, celle dédiée aux mesures, a été attribuée à l’ANFR, l’ANSES récupérant la partie dédiée à la recherche.

 

Il faut ajouter que les montants fixés, - 7 millions d’euros à la création de la taxe - constituaient, pour les opérateurs une contribution très modique mais ils répondaient, fort justement, au principe du « pollueur/payeur » auquel PRIARTEM est très attachée.

 

Malgré ce caractère modique au regard des chiffres d’affaires des opérateurs, cette taxe a permis, depuis sa création, que ni les campagnes de mesures, ni les appels à projets de recherche ne soient freinés par des limites financières trop drastiques.

 

Et bien c’est ce processus vertueux que le gouvernement veut supprimer.

 

« Alors, bien sûr, comme c’est souvent le cas, il va nous être proposé, dans un premier temps des mesures compensatoires prises sur le budget de l’Etat, souligne Janine LE CALVEZ, Vice-Présidente de PRIARTEM. Mais cette option ne peut nous satisfaire. D’abord elle dédouanerait les opérateurs-pollueurs d’être les contributeurs à l’effort de connaissance et de recherche en faisant porter l’effort sur les contribuables. »

 

" En outre, poursuit Sophie PELLETIER, Présidente de PRIARTEM rien ne nous garantit d'une pérennité au-delà de la première année car cet effort budgétaire sera nécessairement soumis aux aléas des arbitrages politiques. Vu le contexte, cela serait la mort annoncée, à petit feu, de la recherche publique française sur l'impact des ondes sur la santé. Au moment où les usages explosent, notamment chez les jeunes, et où la reconnaissance des effets progresse à grands pas, c'est d'un cynisme sidérant ».

 

PRIARTEM va saisir les députés afin qu’une correction puisse être apportée à la loi de finances et que soit rétablie la taxe visée et même que son assiette soit élargie. Seule une stabilité des financements de la recherche peut permettre un développement des équipes de recherche indépendantes sur ce domaine d'intérêt majeur pour la santé publique.

 

Contact presse :

PRIARTEM : 01 42 47 81 54

 

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Preuve en image que l'aviation ne veut pas être verte

7 Octobre 2018, 18:23pm

Publié par Ciel Voilé

Les 2 et 3 octobre 2018, s'est tenu à Genève le sommet de l'aviation durable ! Photo prise à Genève

Les 2 et 3 octobre 2018, s'est tenu à Genève le sommet de l'aviation durable ! Photo prise à Genève

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Pollution intensive de l'air par des traînées d'avion, au lever du jour

7 Octobre 2018, 18:14pm

Publié par Ciel Voilé

Vallée de la Durance, le 2 octobre au petit matin
Vallée de la Durance, le 2 octobre au petit matin
Vallée de la Durance, le 2 octobre au petit matin
Vallée de la Durance, le 2 octobre au petit matin
Vallée de la Durance, le 2 octobre au petit matin
Vallée de la Durance, le 2 octobre au petit matin
Vallée de la Durance, le 2 octobre au petit matin
Vallée de la Durance, le 2 octobre au petit matin

Vallée de la Durance, le 2 octobre au petit matin

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Filaments aéroportés : encore les araignées !?

7 Octobre 2018, 17:56pm

Publié par Ciel Voilé

Filaments aéroportés : encore les araignées !?
Filaments aéroportés : encore les araignées !?

 

L'époque étant aux mensonges et à la criminalisation de ceux qui les dénoncent, vigoureusement soutenue par des décisions législatives au niveau national et européen, les quotidiens, cette fois la Voix du Nord, n'hésitent pas à inventer plutôt que d'enquêter.

http://www.lavoixdunord.fr/457523/article/2018-09-27/des-filaments-d-araignees-qui-tombent-du-ciel-dans-la-marne-et-la-somme

Des filaments aéroportés sont tombés sur la Somme et la Marne le 27 septembre. Et il en tombait encore le vendredi 5 octobre 2018. Observez les photos ci-dessus.

La CRIIRAD ne peut se prononcer que sur le fait que ces filaments sont radioactifs ou non. La CRIIRAD n'est pas spécialiste des araignées. Lors d'un épisode similaire sur 4 départements autour de Valence en novembre 2013, beaucoup (65000 vues en quelques heures) s'étaient alarmés, mais le journal avait rapidement jugulé en ligne cet emballement : le nombre de vues initial a disparu, et le Dauphiné Libéré avait fait appel à la spécialiste des araignées de l'Université de Lyon. Sans suite puisque la seule caution scientifique reste la CRIIRAD, qui ne s'occupe que de radioactivité.

https://www.ledauphine.com/drome/2013/11/12/valence-la-criirad-analyse-les-filaments-tombes-du-ciel

Ces chutes de filaments sont rapportées un peu partout dans les pays soumis au contrôle du temps et du climat. Leur longueur peut atteindre 6 mètres et plus.

Le laboratoire ANALYTICA a analysé ces filaments au spectromètre de masse : ils contiennent des phtalates. Ecoutez à 13'06 :

D'autres analyses aux Etats-Unis : ces filaments ne sont PAS produits par des araignées. Vidéo en anglais :


 


 

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La pollution de l'air est la principale cause du réchauffement climatique, pas les gaz à effet de serre

3 Octobre 2018, 21:01pm

Publié par Ciel Voilé

La pollution de l'air est la principale cause du réchauffement climatique, pas les gaz à effet de serre : Communiqué de presse

 

Traduction Béatrice Wright et Association Ciel voilé

SAN DIEGO, le 3 octobre 2018 - Dans un article récent du Journal of Geography, Environment and Earth Science International, le géoscientifique de Transdyne Corporation, J. Marvin Herndon, déclare de manière alarmante que les climatologues, y compris le Groupe intergouvernemental d’experts sur l'évolution du climat (GIEC) des Nations Unies, ont poursuivi le faux coupable du réchauffement planétaire et du changement climatique.

 

L’article de Herndon explique : « Les séries chronologiques de présentations de température de surface mondiale montrent souvent un pic coïncidant à la Seconde Guerre mondiale comme l'a illustré la une du New York Times du 19 janvier 2017». Intrigué par le graphique en première page du New York Times, « Bernie Gottschalk de l’Université d'Harvard a appliqué des techniques sophistiquées d’ajustement des courbes et a démontré que la courbe qui exprime un pic mondial de la température de la Terre pendant la Seconde Guerre mondiale « est une caractéristique persistante qui apparait dans huit bases de données indépendantes de l’Agence américaine d’observation océanique et atmosphérique, quatre pour les terres et quatre pour les océans. »

 

Inspiré par les données de Gottschalk, Herndon a examiné « les activités plus vastes de la seconde guerre mondiale », en particulier celles capables de « modifier le fragile équilibre énergétique de la Terre par des aérosols de particules ». Herndon a ensuite « calqué ces activités sur le réchauffement planétaire après la seconde guerre mondiale ». Le géoscientifique a utilisé des valeurs relatives indiquant les causes de pollution pour démontrer « le caractère raisonnable de la proposition selon laquelle l'augmentation des particules aérosolisées au fil du temps est principalement responsable de l'augmentation consécutive du réchauffement de la planète».

 

Ces indicateurs de la pollution mondiale aux particules - hausse de la production mondiale de charbon et de pétrole brut, ainsi que de la consommation de carburant pour l'aviation - augmentent de manière frappante parallèlement à la hausse de la température mondiale, comme le montre la figure ci-jointe.

 

L'article de Herndon affirme que « la pollution aux particules due à la seconde guerre mondiale » a eu les mêmes conséquences sur le réchauffement de la planète que la pollution croissante due aux aérosols dans le monde, résultant de (1) l'augmentation du trafic aérien et du trafic routier, et de l'industrialisation de la Chine et de l’Inde dont les cheminées d'usines rejettent de la fumée et des cendres volantes de charbon », ainsi que d’après des études récemment documentées qui montrent que «(2) des cendres volantes de charbon [sont] pulvérisées clandestinement par des avions dans la région où des nuages se forment, presque quotidiennement et quasi-globalement. "

 

L'article de Herndon souligne en outre que « l'intégrité des modèles et des évaluations [du GIEC] est compromise », parce qu'ils omettent de manière systématique, de prendre en compte les particules de pollution pulvérisées intentionnellement et secrètement dans l'atmosphère depuis des décennies dans la région où les nuages se forment ... »

 

 

" La figure 3 de l’article est une copie de la fig. 2 de [Gottschalk], à laquelle ont été ajoutées trois approximations de valeur relative représentant les principales activités génératrices de pollution aux particules."

 

Au lieu de refroidir la Terre, comme le croient encore de nombreux scientifiques, l’activité militaire secrète de géo-ingénierie augmente le réchauffement planétaire et provoque un chaos climatique, comme le fait la pollution atmosphérique industrielle en général, tel que l'indique le graphique ci-joint.

 

Les conséquences de la pollution de l'air et des aérosols militaires tels que les cendres volantes de charbon sont graves pour la santé humaine et l’environnement.

 

« Actuellement, la pollution atmosphérique est la principale cause environnementale de maladies et de décès dans le monde et… elle augmente à un rythme alarmant », selon Herndon qui cite une étude de 2016 de l'Organisation Mondiale de la Santé. Le fait de pulvériser des aérosols dans l'atmosphère pour altérer le temps et le climat ou pour améliorer les systèmes de communication militaires a des effets négatifs énormes sur l'économie, notamment sur la santé, les assurances, l'énergie solaire, la consommation d'énergie, l'agriculture et l'industrie forestière.

 

Comme cela a été souligné : « La pulvérisation de cendres volantes de charbon dans l'atmosphère provoque non seulement le réchauffement planétaire en altérant le fragile équilibre thermique de la planète, mais elle constitue également un facteur de risque majeur pour les maladies pulmonaires obstructives chroniques, le cancer du poumon et les maladies neurodégénératives. Elle est également impliquée dans la disparition catastrophique des abeilles et des insectes dans le monde, des forêts, en empoisonnant la biosphère au mercure et en détruisant la couche d'ozone atmosphérique qui nous protège du rayonnement ultraviolet mortel du soleil. "

 

L'article contient de nombreuses références scientifiques relatives aux déclarations ci-dessus.

 

Herndon conclut son article en avertissant que « la pollution continue délibérée de notre atmosphère par des cendres volantes de charbon pulvérisées empêchera inévitablement la production de cultures vivrières et pourrait provoquer des mortalités et des destructions incalculables, par exemple, en modifiant les conditions météorologiques de la mousson et en intensifiant les incendies de forêts. A moins qu'elle ne soit arrêtée, nous nous dirigeons inexorablement vers une première extinction de masse, d'origine anthropique, de la vie sur Terre. »  

 

Téléchargez gratuitement le pdf: http://nuclearplanet.com/apmh.pdf

 

Référence: Air Pollution, Not Greenhouse Gases: The Principal Cause of Global Warming. J. Geography Environ. Earth Sci. Int. 17(2) 1-8; Article no. JGEESI.44290

 

Source:  J. Marvin Herndon, Ph.D.  Transdyne Corporation  

 

Related references: http://www.nuclearplanet.com/Geoengineering_Scientific_Articles.html 

Email: mherndon@san.rr.com  

Website: http://www.NuclearPlanet.com 

 

Bientôt l'article traduit en français

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