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Ciel Voilé

environnement

Toujours des interrogations autour du plus grand projet de mine de lithium en France

1 Octobre 2024, 15:31pm

Toujours des interrogations autour du plus grand projet de mine de lithium en France

 Nathan Canas | EURACTIV – Le 1er octobre 2024

 

La Commission nationale du débat public (CNCP) a publié ses conclusions lundi 30 septembre sur l’ouverture du plus grand projet de mine de lithium en France, après cinq mois de débats publics. 

Annoncé en octobre 2022 par la société minière française Imerys, le projet EMILI vise à exploiter à Échassières dans l’Allier, le plus important gisement de lithium en France. Le projet, d’un coût d’un milliard d’euros, comprend une usine de concentration sur le site de la mine à Échassières, une plateforme de chargement à Saint-Bonnet-de-Rochefort et une usine de conversion en périphérie de Montluçon. Prévue pour une exploitation sur 25 ans, la mine doit produire assez de lithium pour équiper 700 000 véhicules par an.

Par son ampleur, ce chantier a suscité de nombreuses interrogations de la part de la population locale, tant au niveau de l’impact environnemental que sur ses retombées économiques.

Après cinq mois de consultations, 3 628 participants, 3 463 contributions, 42 évènements, dont 12 réunions publiques dans l’Allier, en résulte de nombreuses questions et quelques recommandations résumées dans le compte-rendu présenté lundi par la Commission nationale du débat public (CNDP).


 

La suite :

https://www.euractiv.fr/section/energie-climat/news/toujours-des-interrogations-autour-du-plus-grand-projet-de-mine-de-lithium-en-france/

 

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Les Micro-organismes Génétiquement Modifiés, avec Christophe Noisette

30 Septembre 2024, 16:44pm

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Les polluants éternels, mesurés, réglementés et cachés

26 Septembre 2024, 12:30pm

Les polluants éternels, mesurés, réglementés et cachés

France-Soir Publié le 25 septembre 2024

 

Publiée le jeudi 19 septembre, une nouvelle enquête menée par la cellule investigation de Radio France remet sur le tapis la question épineuse des polluants éternels et leur présence dans l'eau du robinet sur le territoire métropolitain. Les prélèvements réalisés font état d’une présence dans 43% des cas de ces polluants.

Ces polluants, dont les risques sur la santé sont identifiés depuis le début des années 2000, se caractérisent par leur incapacité à se dégrader dans l’environnement et se retrouvent aussi bien dans l’eau que dans l’air ou les sols. Ils sont notamment présents dans nos poêles en téflon, dernièrement mises au pilori, ou encore dans les cosmétiques et les composants d’emballages alimentaires.

L’enquête réalisée par les journalistes Anne-Laure Barral et Noémie Lair laisse apparaître en 89 « coups de sonde », réalisés sur l’ensemble de la métropole, les statistiques à un instant T de notre eau du robinet. Alors que les collectivités seront tenues, à partir de 2026, de contrôler les niveaux de ces PFAS dans l’eau potable, les données actuelles laissent apparaître une présence à des niveaux toujours inquiétants.

La méthode d’observation choisie par le média a consisté en un prélèvement fait entre le 8 avril et le 5 juin derniers par chaque radio locale de France Bleu. Cela a permis de pratiquer ces dizaines de contrôles avec comme critères de choix la proximité avec certaines usines polluantes, telles les papeteries ou les centres de tri, ainsi qu’en croisant avec les connaissances préalables de points contaminés grâce aux études de l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses).


 

La suite :

https://www.francesoir.fr/societe-environnement/les-polluants-eternels-mesures-reglementes-et-caches

 

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Pesticides : 17 ministres de l’Agriculture demandent un report des obligations de traçabilité prévues pour 2026

25 Septembre 2024, 16:37pm

 Pesticides : 17 ministres de l’Agriculture demandent un report des obligations de traçabilité prévues pour 2026

Sofia Sanchez Manzanaro | Euractiv.com |24 septembre 2024

 

 24 sept. 2024

 

Dans un nouvel effort pour réduire les formalités administratives imposées aux agriculteurs, au moins 17 ministres de l’Agriculture de l’Union européenne (UE), menés par la Pologne, appellent à retarder les nouvelles obligations de suivi électronique de l’utilisation des pesticides, une mesure visant à améliorer la collecte de données sur les produits phytopharmaceutiques au sein de l’UE.

Le règlement exige que les agriculteurs tiennent des registres électroniques de l’utilisation des pesticides à compter de janvier 2026, ce qui permettra aux États membres de transmettre les données à Eurostat, l’agence des statistiques de l’UE. Ces obligations ont été convenues dans le cadre de la révision de 2022 du règlement relatif aux statistiques sur les intrants et les produits agricoles (SAIO).

Au cours des négociations sur le SAIO, les États membres ont fait pression pour que la collecte de données commence en 2035 et ait lieu tous les cinq ans, tandis que le Parlement européen a quant à lui fait pression pour une collecte de données plus précoce et plus régulière.

« Nous avons assisté à de grandes manifestations d’agriculteurs contre les formalités administratives », a déclaré le ministre polonais de l’Agriculture, Czesław Adam Siekierski, lors du Conseil de l’Agriculture et de la Pêche (AGRIFISH) lundi 23 septembre. Il a également souligné que la mise en œuvre des nouveaux outils électroniques s’avérait plus complexe que prévu.

« Les agriculteurs doivent être correctement informés et formés, sans quoi les données seront inégales, incomplètes et inutiles », a-t-il ajouté, appelant à un report jusqu’en janvier 2028.

La position polonaise a été explicitement soutenue par la Lituanie, le Luxembourg, la Slovénie, le Portugal, l’Espagne, la Grèce, l’Italie, la Bulgarie, Chypre, Malte, la Slovaquie, la Croatie, la Roumanie, l’Irlande, l’Autriche et les Pays-Bas.

« Nous pensons qu’il [le règlement] est trop ambitieux en termes de contenu et de calendrier de mise en œuvre, et c’est pourquoi nous avons voté contre à l’époque », a indiqué l’ambassadeur adjoint de l’Espagne auprès de l’UE, Oriol Escalas.

La délégation estonienne a précisé qu’elle ne s’opposerait pas à la proposition de la Pologne, mais qu’elle poursuivrait les préparatifs en vue de respecter l’échéance initiale de 2026.

La suite :

https://www.euractiv.fr/section/agriculture-alimentation/news/pesticides-17-ministres-de-lagriculture-demandent-un-report-des-obligations-de-tracabilite-prevues-pour-2026/

 

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Promesses non tenues : les exportations de pesticides interdits continuent depuis la France

24 Septembre 2024, 18:51pm

Promesses non tenues : les exportations de pesticides interdits continuent depuis la France

 

Une nouvelle enquête de Public Eye et Unearthed, la cellule investigation de Greenpeace Royaume-Uni, montre que la France exporte toujours des milliers de tonnes de pesticides interdits, malgré les promesses, faites par le gouvernement il y a bientôt deux ans, de remédier aux lacunes flagrantes de la législation.

Laurent Gaberell et Géraldine Viret, 23 septembre 2024

Le 13 décembre 2022, Christophe Béchu, Ministre de la Transition écologique, est mis sur le grill à l’Assemblée nationale. La France fait preuve d’« indécence », martèle le député du groupe Écologiste et Social Nicolas Thierry, car elle continue d’autoriser les industriels à exporter des pesticides bannis de l’agriculture française vers des pays où les réglementations sont plus faibles.

Cette indignation dans l’hémicycle fait suite aux révélations de Public Eye et Unearthed deux semaines plus tôt : la loi Agriculture et Alimentation (loi EGalim), qui proscrit l’exportation de pesticides interdits en France, présente d’importantes lacunes. Malgré l’entrée en vigueur, le 1er janvier 2022, de ce texte historique – une première au niveau mondial –, plus de 7400 tonnes de pesticides interdits ont été exportées cette année-là vers des pays comme le Brésil, l’Ukraine ou encore l’Inde.


 

La suite :

https://www.publiceye.ch/fr/thematiques/pesticides/promesses-non-tenues-les-exportations-de-pesticides-interdits-continuent-depuis-la-france

 

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​​​​​​​Substances chimiques : l’audition de la future commissaire à l’Environnement s’annonce difficile

23 Septembre 2024, 18:33pm

​​​​​​​Substances chimiques : l’audition de la future commissaire à l’Environnement s’annonce difficile

Nikolaus Kurmeyer – Le 23 septembre 2024 -euractiv.com

 

Ursula von der Leyen a chargé Jessika Roswall, la commissaire désignée à l’Environnement, de « simplifier » le règlement de l’Union européenne (UE) sur l’Enregistrement, l’évaluation, l’autorisation et la restriction des substances chimiques (REACH). Ce qui ne devrait pas manquer d’interroger les membres de la commission Environnement du Parlement européen (ENVI).

Les députés européens auditionneront début novembre tous les commissaires, avant d’approuver ou non le nouveau Collège d’Ursula von der Leyen.

Afin de garantir la « compétitivité durable » de l’industrie chimique européenne, la lettre de mission adressée à Jessika Roswall demande à cette dernière de « simplifier le REACH et d’apporter des éclaircissements sur les PFAS ».

Les eurodéputés de la commission ENVI, qui ont exhorté l’actuel commissaire en charge du Pacte vert pour l’Europe (Green Deal), Maroš Šefčovič, à réviser le règlement REACH lors de son audition de confirmation en 2023, auront donc quelques questions à poser à Jessika Roswall.

Le règlement REACH est un texte historique adopté en 2006 et mis en oeuvre en 2009. Il concerne l’enregistrement, l’évaluation et l’autorisation des substances chimiques, ainsi que les restrictions applicables à ces substances. Il institue une agence européenne des produits chimiques, et vise à contrôler la mise sur le marché d’objets contenant des composants dangereux.

Une révision de ce règlement avait été promise dans le cadre de la stratégie de la Commission en matière de produits chimiques pour le développement durable, qui vise un « environnement exempt de substances toxiques ». Cependant, cette dernière a sans cesse été repoussée.


La suite :

https://www.euractiv.fr/section/energie-climat/news/substances-chimiques-laudition-de-la-future-commissaire-a-lenvironnement-sannonce-difficile/

 

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Malaga : des panneaux solaires remplacent les oliviers

20 Septembre 2024, 16:35pm

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Nestlé : vente d'eau contaminée

13 Septembre 2024, 19:03pm

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Autorisation d’utiliser le glyphosate pendant 10 ans : Des ONG saisissent la justice européenne pour annuler la décision de la Commission

10 Septembre 2024, 18:00pm

Autorisation d’utiliser le glyphosate pendant 10 ans : Des ONG saisissent la justice européenne pour annuler la décision de la Commission

France-Soir Publié le 10 septembre 2024 – 06:12


 

Des organisations non gouvernementales (ONG) françaises et européennes ont annoncé vendredi dernier avoir saisi la justice européenne contre la décision de la Commission de renouveler, en novembre 2023 et pour une durée de 10 ans, l’autorisation d’utiliser du glyphosate. La saisine a été déposée le 1er août dernier pour faire annuler cette décision, qui avait déjà fait couler beaucoup d’encre et sur laquelle les États membres de l’UE n’étaient pas tombés d’accord.  

Le glyphosate, un herbicide controversé et commercialisé par la société américaine Monsanto, a divisé la communauté européenne durant l’été 2023. Les États membres n’étaient pas parvenus à un accord en octobre, avec le “non” de l’Autriche et du Luxembourg ainsi que l’abstention de la France. Lors d’un second vote qui s’est tenu un mois plus tard, la Commission européenne a tranché en dépit du désaccord des 27. "La CE, en collaboration avec les États membres de l'UE, va maintenant procéder au renouvellement de l'approbation du glyphosate pour une période de dix ans, sous réserve de certaines nouvelles conditions et restrictions", avait-on indiqué dans un communiqué. 

Commercialisé sous la marque Roundup, le glyphosate est utilisé pour éliminer les mauvaises herbes dans les cultures agricoles et les espaces publics. Le produit est depuis de nombreuses années au cœur de procès, de controverses et de débats en raison de ses impacts sur la santé humaine. Aux États-Unis, la Cour suprême a débouté Monsanto, filiale du groupe allemand Bayer, condamnée à verser 25 millions de dollars à un retraité atteint d’un cancer du sang après avoir utilisé le fameux désherbant. 

Pour les ONG, la CE ignore les risques cancérigènes du glyphosate 


 

La suite :


 

https://www.francesoir.fr/societe-environnement/autorisation-d-utiliser-le-glyphosate-pendant-10-ans-des-ong-saisissent-la

 

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Le ciel n'est pas une poubelle !

5 Septembre 2024, 17:34pm

Satellite Starlink désintégré au-dessus de la France : les scientifiques inquiets

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En levant le nez vers le ciel, de nombreux habitants du nord et de l’est de la France ont été interloqués d’y apercevoir une longue trainée lumineuse, mardi 27 août. Il s’agissait en réalité de la désintégration dans l’atmosphère d’un satellite de la constellation Starlink, le réseau de télécommunication développé par SpaceX.

C’est plus précisément le satellite Starlink-2382, mis en orbite le 11 mars 2021, qui est entré dans l’atmosphère vers 21 h 26 le 27 août, pour s’y désintégrer à quelques 8 km/s, précise le site de sciences participatives Vigie-Ciel. Ce phénomène est en réalité assez commun : des satellites Starlink retombent régulièrement dans l’atmosphère lorsqu’ils cessent de fonctionner, leur durée de vie étant limitée officiellement à cinq ans, selon l’industriel, et empiriquement plutôt à trois ans, selon l’astrophysicien Éric Lagadec.

Les choses pourraient même empirer à l’avenir, le nombre de ces mégaconstellations privées de satellites destinées à fournir un service commercial d’internet à haut débit ayant littéralement explosé depuis 2020. SpaceX à lui seul compte 6 100 engins en orbite actuellement et ambitionne d’en déployer plus de 40 000. Plus de 580 d’entre eux seraient déjà hors service.

Au-delà de la pollution visuelle, ces désintégrations atmosphériques inquiètent les scientifiques en raison de la pollution chimique qu’ils génèrent. Les satellites libèrent de l’oxyde d’aluminium en brûlant, sous forme de nanoparticules qui contribuent à détruire la couche d’ozone. C’est l’alerte qu’avaient lancée des chercheurs dans une étude publiée en juin dans la revue Geophysical Research Letters. En 2022, les rentrées atmosphériques de satellites avaient fait monter le taux d’aluminium de 29,5 % par rapport à son niveau naturel dans l’atmosphère. Lorsque toutes les constellations de satellites seront déployées, ces retombées annuelles pourraient faire monter ce taux de 646 %, préviennent les auteurs.

Alerte rouge pour la couche d’ozone : les satellites Starlink en ligne de mire
https://www.frandroid.com/culture-tech/environnement/2058144_alerte-rouge-pour-la-couche-dozone-les-satellites-starlink-en-ligne-de-mire


Pourquoi la justice brésilienne suspend X sur son territoire ?
https://www.radiofrance.fr/franceculture/podcasts/un-monde-connecte/pourquoi-la-justice-bresilienne-suspend-x-sur-son-territoire-9301296  

De nouvelles règles proposées par la FAA pour limiter la quantité de débris spatiaux
https://www.fredzone.org/nouvelles-regles-limiter-debris-spatiaux-proposees-faa-ard267/  

Aux États-Unis, la première amende jamais infligée pour des débris spatiaux
https://siecledigital.fr/2023/10/06/aux-etats-unis-la-premiere-amende-jamais-infligee-pour-des-debris-spatiaux/  

Nous vous proposons d'interpeller la FAA ou Federal Aviation Administration des Etats-Unis et la présidente de l'UE


 

Signer la pétition :


 

https://www.cyberacteurs.org/cyberactions/lecielnestpasunepoubelle-7012.html

 

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