Armes planétaires et modification militaire du climat : chemtrails, géo-ingénierie atmosphérique et guerre contre l'environnement
Par Rady Ananda - Global Research – Le 3 Novembre 2013 – Traduction Ciel voilé
Développé en 1988 par le Programme pour l'Environnement des Nations Unies et l'Organisation Météorologique Mondiale des Nations Unies, le Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC) vient de publier son cinquième rapport d'évaluation [1] et maintient son silence sur les applications militaires de modification du climat qui continuent de fausser les données.
« Les phénomènes météorologiques et climatiques extrêmes » sont liés au changement climatique, alors qu’aucune mention n’est faite sur les programmes gouvernementaux visant délibérément à modifier les conditions météorologiques et à provoquer les tremblements de terre, la sécheresse, la pluie et les tsunamis.
Le programme actuel de modification artificielle du temps, au moins aux États-Unis, date de plus de 70 ans. Des messages d'intérêt public imprimés dans les journaux des années 1960 mettent en garde contre l'intention du gouvernement de modifier la météo.
Life Magazine, dans les années 50 et 60, donnait continuellement des informations sur les programmes de modification du temps aux États-Unis, y compris sur le projet Stormfury qui a détourné la trajectoire des ouragans et réduit leur intensité de 1962 à 1983. Le silence permanent et absolu du GIEC sur ces programmes est assourdissant.
Avec des connaissances d'initié, un chapitre du livre paru en 1968 « A moins que la Paix n’arrive : une prévision scientifique des armes à venir », prédit le développement de technologies qui utiliseront la planète elle-même comme une arme. Le chapitre « Comment détruire l'environnement» [2] a été écrit par le géophysicien et membre du Comité consultatif scientifique du Président Johnson, le Dr Gordon JF Mac Donald. Il y déclare:
« La clé de la guerre géophysique est l'identification des instabilités environnementales auxquelles l'ajout d'une petite quantité d'énergie permettrait de dégager de largement plus grandes quantités d'énergie. »
Ce chapitre envisage quatre armes planétaires dont Mac Donald prédit qu’elles seront entièrement développées au XXIème siècle, à partir de l’état de la recherche à son époque :
• modification du climat;
• génération de tremblement de terre;
• génération de tsunami et de leur direction, et
• Contrôle du comportement de masse via la manipulation électromagnétique de l'ionosphère.
L'idée est reprise dans plusieurs projets de géo-ingénierie détaillés dans le livre d’Eli Kintisch « Détruire la planète », au chapitre intitulé « La poursuite des leviers ». Il explique que « de petits changements dans le système terrestre peuvent avoir des effets globaux profonds ». [3]
En tant que conseiller scientifique du président Johnson, Mac Donald avait sûrement connaissance du programme de modification du temps de l'armée baptisé Opération Popeye, qui a duré de 1967 à 1972 au Vietnam, au Laos et au Cambodge. Par l’ensemencement des nuages, l'armée américaine a provoqué des pluies torrentielles qui ont empêché les mouvement des camions et des troupes de l'ennemi. Initialement révélée par le journaliste d'investigation Jack Anderson, l'existence du projet a ensuite été confirmée dans Les Papiers du Pentagone.
En 1996, une scientifique de renommée mondiale, le Dr Rosalie Bertell, membre des commissions médicales de Bhopal et de Tchernobyl, qui a reçu le prix Right Livelihood a publié « Les dessous de HAARP » [4] décrivant l’idée originale du Dr Bernard Eastlund responsable du projet de recherche américain HAARP, comme suit:
« Il serait risqué de supposer que HAARP ne soit qu’une expérience isolée qui ne serait pas élargie. Elle est liée à cinquante ans de programmes intensifs et de plus en plus destructeurs pour comprendre et maîtriser la haute atmosphère. Il serait imprudent de ne pas associer HAARP à la construction du laboratoire spatial prévue séparément par les Etats- Unis. HAARP fait partie intégrante d'une longue histoire de recherche et développement dans l’Espace, de nature délibérément militaire. »
En 2000, rapporte le professeur Michel Chossudovsky, le Dr Bertell a déclaré au Times de Londres : « Les scientifiques militaires américains ... travaillent sur des systèmes météorologiques comme une arme potentielle. Les méthodes comprennent « Le déclenchement des tempêtes et le détournement de la vapeur d’eau des rivières dans l'atmosphère de la Terre pour produire des sécheresses ou des inondations ciblées ». [5]
L'utilisation de l'ionosphère par HAARP, à travers les fréquences radio, explique le Dr Nick Begich, coauteur de : « Les anges ne jouent pas de cette HAARP », déclenche également des séismes et des éruptions volcaniques. [6] Le secrétaire à la Défense de Clinton, William S. Cohen, a déclaré en 1997 lors d'une conférence sur le terrorisme, cite Begich :
« D'autres sont engagés dans un terrorisme écocide par lequel ils peuvent modifier le climat, déclencher des tremblements de terre et des éruptions volcaniques à distance grâce à l'utilisation d'ondes électromagnétiques. » [7]
Concrètement, les États-Unis ne s’inquiéteraient pas de telles armes à moins qu'ils ne sachent avec certitude qu'elles sont utilisables et qu’ils ne les aient, selon toute vraisemblance, déjà développées eux-mêmes.
Dans « Géo-ingénierie atmosphérique : Manipulations météorologiques, traînées de condensation et traînées chimiques », qui a été nommé, par Project Censored, la neuvième histoire la plus censurée en 2012, un bref historique des événements de géo-ingénierie connus a été publié. [8] A partir de ce rapport, la cofondatrice du GIEC, l'Organisation Météorologique Mondiale, s’est plainte il y a six ans, en 2007, que:
« Au cours des dernières années, il y a eu un déclin dans le soutien à la recherche sur la modification du climat, et une tendance à passer directement à des projets opérationnels ». [9]
Mais le GIEC reste muet sur ces projets, sauf à nier qu'ils existent, alors que dans le même temps, il incite, dans son Résumé, les décideurs à les poursuivre, de crainte que le réchauffement climatique n’atteigne un pic. Le rapport du GIEC de 2013 affirme :
« La théorie, les modélisations et les observations suggèrent que certaines méthodes de gestion du rayonnement solaire, si elles sont praticables, pourraient compenser sensiblement une hausse de la température mondiale et compenser partiellement certains autres effets du réchauffement climatique, mais la compensation pour le changement climatique causé par les gaz à effet serait imprécise (confiance élevée). » [Souligné dans l'original]
Prétendre que les méthodes de gestion du rayonnement solaire (qui comprennent les chemtrails et les changements induits par HAARP) « ne sont pas en cours et n’ont pas été testées » est absurde, et contredit une montagne d'éléments de preuves.
Les brevets de la géo-ingénierie
Le 26 Mars 2013, l’US Patent et Trademark Office ont accordé un brevet à Rolls-Royce PLC pour empêcher la formation de traînées de condensation des avions. [10] En utilisant un générateur d'ondes électromagnétiques, les traînées de condensation des avions ne seraient plus visibles, et les nuages artificiels ne se développeraient pas.
Ce n'est pas le premier brevet de ce genre. En 1962, l'US Air Force a voulu ajouter des produits chimiques caustiques pour cacher et éviter la formation de traînées de condensation des nuages cirrus involontaires. Le brevet n ° 3517505 a été accordé huit ans plus tard, en 1970.Le brevet n ° 5005355, accordé en 1988 à Scipar Inc, utilisait diverses espèces d'alcools , qui abaissaient de manière efficace, le point de congélation de l'eau pour éviter la formation des traînées. Le brevet 2013 montre à la fois que ces brevets antérieurs étaient inappropriés pour environnement ou à des fins commerciales.
Pour une liste partielle des brevets sur les programmes d'épandage aérien stratosphérique de 1917 à mi-2003, voir « Brevets : Une histoire partielle sur les aérosols et les technologies connexes » de Lori Kramer [11] « La guerre météorologique » de Jerry Smith comprend également une annexe sur les brevets liés à HAARP.[12]
Remarque sur les contrails persistants (ou traînées de condensation persistantes)
Ce que certains appellent chemtrails, le GIEC et d’autres les considèrent comme des traînées de condensation persistantes, effet normal des gaz d'échappement des avions aujourd'hui.
Dans son livre de 2006, « La guerre météorologique », Jerry Smith explique que les traînées persistantes ne sont pas nécessairement des chemtrails (traînées chimiques). A partir des années 1990, explique-t-il, tous les réacteurs ont été modifiés avec un « double flux de dérivation », qui augmente la consommation de carburant et, qui a comme effet secondaire de laisser des traînées persistantes qui se transforment en cirrus après plusieurs heures. C'est à cette période que les observations de chemtrails ont commencé.
La raison pour laquelle les avions de nos jours laissent des traînées persistantes, explique Marshall Smith, un ancien ingénieur en aéronautique de la NASA, est que les particules de suie dans les gaz d'échappement des anciens avions fournissaient un noyau autour duquel des cristaux de glace se formaient, donnant une traînée. Mais du fait de leur couleur foncée, les particules de suie absorbaient l'énergie solaire qui faisait fondre les cristaux de glace, et dissiper la traînée. Aujourd'hui, les gaz d'échappement d’un avion, plus propres et donc plus clairs, laissent l'énergie solaire les traverser, ainsi les traînées de condensation persistent et se transforment en cirrus élevés et persistants de 24 à 36 heures.
Smith admet que ce processus n’exclut pas des dispersants métalliques ou biologiques dans les rejets chimiques d’avions, et il précise également que ces dispersants peuvent être pulvérisés sans laisser de traînées, en fonction de la matière particulaire, de l'humidité et de la température atmosphérique. Mais, plus tard, en 2009, il a publié ce qui suit:
Donc la « théorie» des chemtrails est que les traînées de condensation des avions sont « normales » si elles disparaissent en quelques minutes, alors que les « chemtrails », ou traînées chimiques persistent pendant des heures, et donc ne seraient pas « normales » et devraient contenir des éléments inconnus qui les rendraient persistantes ... Les traînées d'avions persistantes peuvent être entièrement expliquées par la science sans avoir à recourir à un scénario de « théorie du complot ». Elles semblent dues à l'introduction d’un réacteur à double flux dérivés, à l'amélioration des carburéacteurs (JP- 8) et au « réchauffement climatique ». [13]
Le passage à des carburants plus efficaces et à des additifs d'écoulement à froid confirme cette explication, mais rien de tout cela ne peut expliquer l'image ci-dessous, prise en début d’année à Raglan, Nouvelle-Zélande:
Les traînées interrompues vues dans le ciel, explique Smith, seraient le résultat des gaz d’échappement d’un avion traversant des zones de l'atmosphère plus chaudes, créant une ligne brisée ou une traînée en pointillé. L'image suivante rend cette explication peu plausible. Au lieu de cela, elle montre qu’au fur et à mesure de l’avancement de l’avion, un interrupteur marche-arrêt a été actionné à plusieurs reprises. Il est peu probable que la température et l'humidité ambiantes uniformes aient varié sur une telle distance.
Le GIEC a abordé spécifiquement l'impact de l'aviation mondiale sur l'atmosphère dans un rapport datant de l’an 2000, notant que les avions étaient alors responsables de près de un demi pour cent de l'ensemble des cirrus de la couverture nuageuse de la Terre, et que les cirrus ont tendance à réchauffer la surface de la planète. [14]
Cependant, le réacteur à double flux dérivés et une meilleure qualité de carburant n'expliquent pas les figures fréquemment observées ou manifestement les avions n’empruntent pas les couloirs aériens habituels. Voici deux illustrations de ces figures. La première, un modèle générique trouvé sur le web, est l'une des nombreuses images téléchargées par les citoyens concernés qui ne peuvent pas raisonnablement admettre que ces trajectoires de vol soient normales.
L’image suivante est une vue satellite de la mer de Célèbes, montrant des chemtrails et leurs ombres. (NASA)
Enfin, les fils qui ressemblent à des toiles d’araignées dénommées « chemwebs » peuvent s'expliquer par un phénomène naturel connu sous le nom de fils de la Vierge. Les araignées sont connues pour « gonfler », couvrant de leurs toiles les terres sur des kilomètres. Documentée tout au long de l’Histoire, le naturaliste Henry Christopher McCook a écrit à leur sujet dans son livre de 1890 : « Les araignées américaines et leur tissage. » [ 15 ]
Sauf si les résultats de laboratoire prouvent le contraire, ces toiles sont naturelles et doivent rester en dehors du débat sur les traînées chimiques d’avions.
Impossible de réglementer ?
Le livre « La guerre météorologique » consacre aussi beaucoup de temps aux accords internationaux contre la modification de l'environnement (ENMOD). Le premier problème majeur est survenu en 1978, après qu’on ait découvert que les Etats-Unis utilisaient des armes climatiques durant la guerre du Vietnam. Smith fait remarquer qu'aucun de ces accords ne concerne la « Défense Nationale », moyen utilisé par les gouvernements pour éviter l'interdiction.
Cet accord de 1978 s'est opposé spécifiquement aux modifications climatiques à des fins hostiles des ENMOD. En 2010, l'ONU a aussi interdit les modifications à des fins non-hostiles. [16] La Convention des 193 états membres sur la diversité biologique a adopté par consensus un moratoire sur les projets de géo-ingénierie et leurs expérimentations, que les gouvernements se sont empressés d’ignorer. Ce moratoire étant non-contraignant, rien de très surprenant à ce que ces programmes se poursuivent sans relâche.
Moins de deux mois plus tard, à Cancun, au Mexique, à la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques, le GIEC a ouvert la conférence 2010, en promouvant les options de géo-ingénierie.[17]
Dans la pratique, note le Conseil de Gouvernance Internationale du risque (IRGC) :
« Les pays et les entreprises envoient régulièrement des vols dans la stratosphère, ou des fusées, de la stratosphère vers l'espace. Ces activités libèrent des quantités importantes de particules et de gaz. Exiger une autorisation expresse et préalable d’expérimentation à petite échelle, sur le terrain, parce qu'elle vise à l'apprentissage de la gestion du rayonnement solaire et de ses limites, est probablement inapplicable : juger de l’intention est souvent impossible ». [18]
Dans « Détruire la planète », Kintisch s'oppose à une interdiction mondiale absolue sur la géo-ingénierie, craignant qu’elle incite les gouvernements, tout simplement, à la pratiquer clandestinement. « C’est déconseillé, insiste-t-il, car cela aggraverait la perception que la géo-ingénierie est une stratégie quasi-militaire ou un moyen technocratique de contrôle.» Allant plus loin, il déclare:
« Une communauté dynamique de théoriciens de la conspiration est convaincue que la géo-ingénierie est déjà en cours de déploiement par les gouvernements en libérant de soit-disants chemtrails dans le ciel ».
Mais de facto un moratoire existe déjà pour de tels projets, comme mentionné ci-dessus, et Kintisch EN énumère quelques autres, y compris le protocole de Londres, la Convention de Londres et une restriction allemande limitant l’ensemencement en fer, aux eaux côtières.
Le seul élément manquant dans le raisonnement de Kintisch est son refus d’admettre que les gouvernements ont déjà agi dans l’ombre et que la géo-ingénierie est déjà en cours.
Kintisch , comme tous les porte-paroles du gouvernement, brandit le label « théoricien du complot» comme un bâton, sans jamais offrir de contre-argument logique pour expliquer ce que des milliers d' observateurs du ciel ont observé et documenté par des photos, des vidéos, et des analyses de sols et d'eau.
Les complots sont débattus et jugés par milliers devant les tribunaux du monde entier, chaque jour. La plupart des crimes ne sont pas commis par des acteurs isolés, mais condamner ceux qui reconnaissent un motif de conspiration est devenu un moyen simple et paresseux d’étouffer une enquête sur les incohérences dans les déclarations de position du gouvernement. Bradley Manning, Edward Snowden et Wikileaks, Daniel Ellsberg, Karen Hudes et W. Mark prouvent certainement que les gouvernements sont les conspirateurs les plus dangereux auxquels l'humanité doit faire face aujourd'hui.
Bien qu'il offre des dizaines de raisons de trouver mauvaise l’idée d’une géo-ingénierie mondiale, Kintisch soutient que notre planète est un terrarium, « un jardin fermé et contrôlé », laissant au lecteur le sentiment que le piratage de la Terre serait un mal nécessaire qui devrait être réglementé.
Modifier le temps pour le profit
Parmi les nouvelles, le géant écocide, Monsanto, vient de donner près d'un milliard de dollars pour entrer dans le jeu de l'assurance-météo, en achetant Climate Corporation. Forbes rapporte : « L'idée est de vendre davantage de données et de services pour les agriculteurs qui achètent déjà les semences et les produits chimiques de Monsanto ». [19]
Déjà étroitement liée à l'armée, comme il serait facile pour Monsanto de prévoir à l'avance une sécheresse ou un déluge « provoqué » ! Monsanto prévoit que ses activités d'assurance climatique généreront 20 milliards de dollars de revenus en plus de ses graines et ses entreprises de produits chimiques.
De même, comme il serait facile pour une nation riche de décennies d'expérience dans la modification du temps et dans le déclenchement d’événements géophysiques de créer le problème du changement climatique (ou d’exagérer son importance) pour inciter le reste du monde à approuver, même exiger, la géo-ingénierie ? Avec des décennies de brevets lui assurant un long passé de savoir faire, tout ce drame, y compris les « événements météorologiques extrêmes » pourrait être orchestré pour la simple recherche du profit ?
N'est-ce pas précisément le fonctionnement de la dialectique hégélienne ? Problème ? Réaction? Solution (Thèse ? Antithèse ? Synthèse ?). En d'autres termes, ceux qui sont en position de pouvoir inventent un problème, anticipent la réaction du public à ce problème, et utilisent cette réaction pour générer une demande de « solution » prévue et programmée à l’origine par eux, qui voulaient la mettre en œuvre dès le départ.
Au moins, alors que le voile pourrait être levé sur les pratiques de géo-ingénierie, il y a encore un effort apparent pour dissimuler l'ampleur actuelle de la manipulation du climat de la planète.
Remarques:
[1] Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du «Changement climatique 2013: The Physical Science Basis ", septembre 2013 à http://www.climatechange2013.org/report/ . Le lien qui suit est le résumé, téléchargé le 2 novembre 2013 (dans le cas où le résumé original serait modifié dans le futur) : http://abact.files.wordpress.com/2013/11/ipcc-policy-summary-2013 . pdf
[2] Nigel Calder, Ed. Sauf paix vient : Une prévision scientifique de nouvelles armes, Allen Lane Publishers, Londres, 1968. Cité chapitre par Gordon JF MacDonald, «Comment faire échouer l'environnement», disponible à http://coto2.files.wordpress.com/2013/11/1968-macdonald-how-to-wreck-the-planet.pdf
[3] Eli Kintisch , Hack the Planet : le meilleur espoir de la science ou pire cauchemar pour Prévenir la catastrophe climatique . John Wiley & Sons. 2010.
[4 ] Sœur Rosalie Bertell , " Background sur HAARP », 1996. Disponible à http://www.globalpolicy.org/component/content/article/212/45492.html
[5] Michel Chossudovsky, "NOUVEL ORDRE MONDIAL armes de Washington ont la capacité de déclencher le changement climatique », 4 janvier 2002. Disponible à http://www.globalresearch.ca/articles/CHO201A.html
[6] Nick Begich . Interview réalisée par Russell Scott, Côte Ouest vérité. " Les anges ne jouent pas cette HAARP et Tesla Technology w / Dr Nick Begich , " 22 septembre 2012 . Disponible à http://www.youtube.com/watch?v=33XGrXK6jnI
[7 ] William S. Cohen, «Le terrorisme , les armes de destruction massive , et la stratégie américaine", Sam Nunn Forum Politique , Conférence sur le terrorisme. University of Georgia , Athens, Géorgie. 28 Avril 1997. Discours disponible à
http://www.fas.org/news/usa/1997/04/bmd970429d.htm
[8] Rady Ananda, " géoingénierie atmosphérique: Manipulation météorologiques, les traînées et les chemtrails ", Global Research , Juillet 30 2010. Disponible à l'adresse
[9] Organisation météorologique mondiale, " Résumé de la Déclaration de l'OMM sur Weather Modification », Documents de l'OMM sur la modification météorologique Approuvé par la Commission pour les sciences atmosphériques Management Group, deuxième session , Oslo, Norvège , 24-26 Septembre 2007. CAS-MG2/Doc 4.4.1 , Annexe C. Disponible à http://www.wmo.int/pages/prog/arep/wwrp/new/documents/WM_statement_guidelines_approved.pdf
[10] Frank G Noppel , et al. , (Attribué à Rolls- Royce PLC). " Méthode et appareil pour supprimer les traînées de moteurs d'avions. " Patent No. 8,402,736. 26 Mars 2013. Disponible à l'adresse
[11] Lori Kramer, « patent : Une histoire partielle des aérosols et Météo technologies connexes, sd Disponible à http://www.seektress.com/patlist.htm
[12] Jerry Smith, Météo Warfare : Le plan du militaire au projet de Mère Nature, Adventures Unlimited Press : 2006.
[13] Jerry Smith, " La douloureuse vérité sur la " Chemtrails ", magazine d'esprit souverain : Mai / Juin 2009 . Disponible à http://www.jerryesmith.com/index.php/156
[14] Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat, «L'aviation et l'atmosphère planétaire, " Novembre 2000. Disponible à http://www.ipcc.ch/ipccreports/sres/aviation/
[15] Henry Christopher McCook, araignées américains et leurs Spinningwork , Vol. II . Self-published, 1890. Disponible sur Biodiversity Heritage Library , http://www.biodiversitylibrary.org/search?searchTerm=mccook+spiders # / titres
[16] Groupe ETC, " BREAKING : Chemtrails Bannes l'ONU", le 28 octobre 2010 . Disponible à http://foodfreedom.wordpress.com/2010/10/28/un-votes-to-ban-chemtrails/
[17] Rady Ananda, " Morphes de l'ONU sur le climat de Concern en Chemtrail Glee Club », le 6 décembre 2010. Disponible à http://foodfreedom.wordpress.com/2010/12/06/un-climate-concern-morphs-into-chemtrail-glee-club/
[18] M. Granger Morgan et Katharine Ricke , " Le refroidissement de la Terre à travers la gestion du rayonnement solaire: La nécessité d'une recherche et une approche de la gouvernance , « Gouvernance Conseil International Risk , 2010. Disponible à http://www.irgc.org/IMG/pdf/SRM_Opinion_Piece_web.pdf
[19] Bruce Upbin « Monsanto achète climate Corp pour 930 millions de dollars », le 2 octobre 2013. Disponible à http://www.forbes.com/sites/bruceupbin/2013/10/02/monsanto-buys-climate-corp-for-930-million/