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Ciel Voilé

Résultat pour “qu'est-ce qui a causé la grippe espagnole ?”

COVID et sorties d’EHPAD : la circulaire qui montre comment le ministère de la Santé obéit à reculons

8 Mars 2021, 14:32pm

COVID et sorties d’EHPAD : la circulaire qui montre comment le ministère de la Santé obéit à reculons

Éric Verhaeghe - Le 7 mars 2021 – Le courrier des stratèges

Le Conseil d'Etat a désormais autorisé les sorties d'EHPAD en annulant les dispositions circulaires émises par le ministère de la Santé qui s'y opposaient. Depuis plusieurs mois, les résidents d'EHPAD se trouvaient dans une situation proche de la détention carcérale du fait de l'interdiction de sortir des établissements d'hébergement émise par la technostructure de la Santé en dehors de toute procédure démocratique, et par le recours à une simple circulaire. Sommée de lever cette "interdiction générale et absolue", l'état-major de l'avenue de Ségur fait de la résistance et restreint au maximum la jurisprudence du Conseil d'Etat, en la violant allègrement. Le Conseil d'Etat renvoie l'autorisation de sortie à l'appréciation de chaque directeur d'établissement. Le ministère de la Santé veut garder le pouvoir et continuer à imposer des règles verticales.


 

Le Conseil d’Etat a annulé, la semaine dernière, une circulaire du ministère de la Santé  interdisant aux résidents d’EHPAD de circuler librement pendant la pandémie… Mais, chassez le naturel… le ministère s’est empressé de colmater les brèches avec une nouvelle circulaire qui montre combien la technostructure sanitaire française déteste la liberté et l’Etat de droit. 

Le Conseil d’Etat interdit la claustration des EHPAD

 


 

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Conférence sur les pyramides de Bosnie à Paris le 15/09/13

4 Septembre 2013, 15:14pm

Publié par Ciel Voilé

                    Une conférence sur les Pyramides de Bosnie par Sam Osmanagich et Klaus Dona

 

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Le Dr Sam Osmanagich a découvert le complexe de pyramides en Bosnie et le chercheur Klaus Dona travaille en étroite collaboration avec le physicien Nassim HARAMEIN.


Ils viendront nous présenter, au travers de leurs récentes découvertes, l’histoire cachée de notre humanité : les Pyramides en Bosnie pour le Dr Sam Osmanagich et les artéfacts témoignant de notre véritable histoire pour Klaus Dona.


Une conférence en anglais, traduite simultanément en français.


Klaus Dona

Klaus Dona de Vienne, Autriche, est un expert mondial en « Out of Place Artifacts ». C’est à dire des objets qui ne semblent pas appartenir au lieu ou à l’époque qui leur sont attribués. Bien souvent, ces objets mystérieux semblent liés à des civilisations disparues.


Date et heure de la conférence

Le Dimanche 15 Septembre 2013 de 14H à 18H30


Lieu

Résidence Internationale 44, rue Louis Lumière 75020 PARIS Métro Porte de Bagnolet


Coût

40 € ( 20 € pour les demandeurs d’emploi )

Pour réserver, merci de contacter Isabelle Fouchet au 06 10 79 33 84 ou par mail : ifouchet@free.fr  


http://pyramidesbosnie.com/conference-de-klaus-dona-et-dr-sam-osmanagich-a-paris/

 

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L’OMS modifie la définition de « l’immunité collective » pour éliminer le consensus pré-COVID

25 Décembre 2020, 11:31am

L’OMS modifie la définition de « l’immunité collective » pour éliminer le consensus pré-COVID

24 décembre 2020 - Anguilles sous roche

  • Et affirme que l’immunité collective peut seulement être obtenue par la vaccination.


 

L’Organisation mondiale de la santé a modifié la définition de l’« immunité collective », éliminant le consensus qui existait avant le COVID, selon lequel on pouvait y parvenir en laissant un virus se propager dans une population, et insistant sur le fait que l’immunité collective provient uniquement des vaccins.


 

Ce changement est intervenu dans une section du site web de l’OMS intitulée « Coronavirus (COVID-19) : Sérologie, anticorps et immunité ».

La définition originale de l’OMS (archivée ici) indique que l’immunité collective « se produit lorsqu’une population est immunisée soit par la vaccination, soit par une immunité développée par une infection antérieure. Cela signifie que même les personnes qui n’ont pas été infectées, ou chez qui une infection n’a pas déclenché de réponse immunitaire, sont protégées car les personnes immunisées de leur entourage peuvent servir de tampon entre elles et une personne infectée ».

La définition originale ne parvient pas à identifier le consensus pré-Covid sur ce que l’on entend par « immunité collective », c’est-à-dire lorsqu’une population est protégée contre un virus parce qu’un nombre suffisant de personnes ont été infectées par celui-ci pour créer une immunité communautaire.

 

 

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L'Assemblée Nationale vote le retour des néonicotinoïdes

7 Octobre 2020, 07:20am

L'Assemblée Nationale vote le retour des néonicotinoïdes
L’Assemblée valide le retour des néonicotinoïdes : un record de votes contre chez les députés LREM

Le vote solennel pour l’adoption de ce projet de loi a été remporté par 313 voix pour et 158 contre, ce mardi 6 octobre, avec un record de votes contre et d’abstentions parmi les députés LREM.

Les députés ont donné mardi 6 octobre leur feu vert à la réintroduction temporaire des néonicotinoïdes afin de sauver la filière betteraves, malgré l’opposition des défenseurs de l’environnement.

L’Assemblée nationale a adopté le projet de loi relatif aux conditions de mise sur le marché de certains produits phytopharmaceutiques en cas de danger sanitaire pour les betteraves sucrières, lors d’un vote solennel par 313 voix pour, 158 contre et 56 abstentions. Dans ces votes, un nombre record de députés LREM ont voté contre, ou se sont abstenus. Ainsi, ils sont 32 députés LREM à avoir voté contre et 36 à s’être abstenus. Seuls 175 des 271 membres du groupe macroniste ont voté en faveur du texte.

En juillet 2019, lors de la ratification du controversé traité de libre-échange entre l’UE et le Canada (Ceta), neuf députés LREM avaient voté contre et 52 s’étaient abstenus, ce qui constituait le précédent record.

Sauver la filière betterave selon le gouvernement

 

 

 

 

Rappel de toxicité des néonicotinoïdes comparativement au DDT :

 

"Nos fleurs de balcon tuent les papillons et les abeilles"

Interview en français

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Covid-19: les conseillers du pouvoir face aux conflits d’intérêts

12 Avril 2020, 10:25am

Covid-19: les conseillers du pouvoir face aux conflits d’intérêts
Médiapart est en accès libre ce dimanche 12/04/20

31 mars 2020 Par Rozenn Le Saint et Antton Rouget

Plusieurs médecins des deux conseils scientifiques qui accompagnent le gouvernement sur les choix stratégiques à faire pour affronter le Covid-19 ont des liens d’intérêts avec l’industrie pharmaceutique. Certains labos ont, selon nos informations, dépensé des dizaines de milliers d’euros. Des règles de déport sont en discussion.

Plusieurs médecins du conseil scientifique qui, depuis le 10 mars, éclaire le gouvernement sur les mesures à prendre pour faire face à la pandémie ont un lien d’intérêts qui pose question avec l’industrie pharmaceutique.

Ces praticiens se sont fait inviter, souvent tous frais payés, à un colloque sponsorisé par des laboratoires, ont donné des conseils scientifiques ou des conférences pour leur compte ou réalisé des essais cliniques dans l’espoir de valider l’efficacité de leurs traitements.

Cette situation interpelle plusieurs spécialistes du secteur. Bruno Toussaint, directeur éditorial de la revue médicale indépendante Prescrire, s’en inquiète : « Le contexte de crise met en lumière que les nominations sans conflit d’intérêts ne vont pas encore de soi dans le monde de la santé… Il y a beaucoup de travail devant nous, pendant longtemps. » « L’indépendance de l’expertise n’a pas du tout été respectée », dénonce également François Pesty, représentant du Formindep, association pour une formation et une information médicales indépendantes.


La suite sur Médiapart

 

 

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New-York le 18 octobre 2019 : exercice préparatoire à une pandémie

8 Février 2020, 18:45pm

Publié par Boulevard Voltaire

New-York le 18 octobre 2019 : exercice préparatoire à une pandémie
Quand le Forum de Davos se préparait à une pandémie de coronavirus
 
+
 

L’épidémie de coronavirus qui a débuté début décembre 2019 à Wuhan (Chine) a été précédée moins de deux mois auparavant par un exercice du Forum de Davos avec l’aide du Johns Hopkins Center for Health Security et de la Bill & Melinda Gates Foundation.

Cet exercice s’est tenu à New York, le 18 octobre 2019. Il s’agissait explicitement de planifier la réaction de sociétés transnationales et de gouvernements à une épidémie de coronavirus.

15 leaders mondiaux participaient à cet exercice, dont les deux responsables officiels chinois et états-unien de lutte contre les épidémies.

- Latoya Abbott, responsable des risque du groupe hôtelier états-unien Marriott International.
- Sofia Borges, vice présidente de la Fondation des Nations Unies
- Brad Connett, president du groupe Henry Schein (premier producteur de matériel médical au monde)
- Christopher Elias, responsable du développement global à la Bill & Melinda Gates Foundation

 

La suite sur Boulevard Voltaire

 

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Comment mettre fin au paradis fiscal dont bénéficie le transport aérien ?

20 Mai 2019, 19:32pm

Publié par Ciel Voilé

Comment mettre fin au paradis fiscal dont bénéficie le transport aérien ?

Selon une étude réalisée en 2018 pour la Commission européenne mais qu'elle n'a pas rendu publique à ce jour, l’Europe demeure un « paradis fiscal » pour le transport aérien. L'état des lieux met en lumière une fiscalité particulièrement avantageuse pour le transport aérien en Europe et notamment en France, au détriment du climat.


 

https://reseauactionclimat.org/comment-mettre-fin-au-paradis-fiscal-dont-beneficie-le-transport-aerien/


 

En bref

Selon une étude réalisée en 2018 pour la Commission européenne mais qu’elle n’a pas rendu publique à ce jour, l’Europe demeure un « paradis fiscal » pour le transport aérien. L’état des lieux met en lumière une fiscalité particulièrement avantageuse pour le transport aérien en Europe et notamment en France, au détriment du climat. Démontrant les avantages de la taxation environnementale pour diminuer les émissions de gaz à effet de serre, les nuisances sonores et ce, avec un impact négligeable sur l’emploi, elle appelle à des réponses politiques immédiates.

En complément de la nécessaire taxation du kérosène, le Réseau Action climat et ses associations membres proposent, dans le cadre de la Loi Mobilité examinée dès cette semaine en commission Développement durable à l’Assemblée nationale, une « contribution climat » dont devraient s’acquitter les compagnies aériennes pour tous les billets achetés pour un décollage en France.

En France, le transport aérien hors des radars de la politique climatique et du projet de loi mobilité

Le transport aérien est le mode de transport le plus émetteur de gaz à effet de serre par personne et kilomètre parcouru : il est au moins deux fois plus émetteur de CO2 que la voiture et 14 à 40 fois plus que le train. Ses impacts dépassent le seul CO2 puisque ses trainées de condensation et les oxydes d’azote qu’il génère réchauffent aussi l’atmosphère (1). Dépourvu d’objectif contraignant sur ses émissions, le trafic aérien français poursuit sa hausse en métropole et à l’international (2), à un rythme insoutenable pour le climat. La consommation de kérosène a même cru en France en 2018 (UFIP).

Malgré ces impacts et ces tendances inquiétantes, aucune mesure de réduction du trafic aérien et des émissions de gaz à effet de serre du transport aérien n’a été prise à ce jour en France et le transport aérien est absent du projet de loi Mobilité.

A l’étranger, des démarches s’avèrent concluantes. En Suède par exemple, le nombre de passagers a diminué de près de 4,4 % sur un an, dont – 5,6 % sur les vols intérieurs, depuis la mise en place d’une nouvelle taxe climat sur les billets d’avion et la relance des trains (de nuit notamment).

La pollution du transport aérien largement subventionnée en France

La France n’a pour l’instant aucune fiscalité environnementale sur les trajets en avion. Au contraire, certaines compagnies et certains aéroports sont lourdement subventionnés pour garantir le fonctionnement des lignes régionales comme l’a démontré la FNAUT (3), le kérosène est complètement exonéré de TICPE et de TVA contrairement aux autres modes de transports -hormis le fioul maritime. De plus, le taux de TVA est réduit (10%) sur les billets acheté pour des vols nationaux tandis qu’un taux zéro de TVA est appliqué sur les billets internationaux. La taxe de solidarité est faible en comparaison d’autres taxes appliquées aux billets à l’étranger selon l’état des lieux produit par la commission européenne. La seule exonération de taxe sur le kérosène en France représente un manque à gagner de 3,6 milliards d’euros, un montant qui serait deux fois plus élevé si le kérosène était taxé comme l’essence (4).

Selon l’étude de la commission européenne, la mise en place d’une taxation du kérosène à hauteur de 33 centimes par litre permettrait de réduire de 9% les émissions de GES du secteur,  équivalant au retrait de 850 000 véhicules sur les routes de France, de 7% le nombre de personnes exposées à de fortes nuisances sonores, et aurait des « impacts négligeables » en termes d’emplois. Les arguments des opposants à la taxation environnementale du transport aérien sont donc mis à mal par l’étude de la commission européenne. De plus, le maintien des avantages fiscaux créé une injustice sociale, moins d’un quart les des ménages dont le niveau de vie est le plus faible ayant pris l’avion en 2015, contre 49% des ménages dont le niveau de vie est le plus élevé (5).

Des attentes fortes pour mettre le transport aérien à contribution et investir dans les solutions comme le train

L’étude de la Commission européenne confirme qu’il est juridiquement possible, dans le cadre de la convention internationale de Chicago, de taxer le kérosène sur les vols intérieurs et les vols internationaux, à condition que les pays s’entendent bilatéralement sur son application. La France peut donc agir sans plus attendre avec les pays volontaires pour taxer le kérosène au national et à l’international, d’autres pays taxant déjà le kérosène.

La suite de l'article :

https://reseauactionclimat.org/comment-mettre-fin-au-paradis-fiscal-dont-beneficie-le-transport-aerien/


 

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Appel à la non-prorogation de l’état d’urgence sanitaire

20 Janvier 2021, 14:34pm

Appel à la non-prorogation de l’état d’urgence sanitaire

Résumé des faits

 

Cela fait maintenant près d’1 an que nous sommes sous Etat d’Urgence Sanitaire. Ce dernier devait prendre fin le 16 Février 2021. Petit à petit, nous devions retrouver une VRAIE démocratie dans laquelle tous les pouvoirs devaient s’équilibrer…

Pourtant le gouvernement, avec l’appui du Conseil Scientifique qualifiant le contexte sanitaire de « fragile », a décidé de proposer la prolongation de cet Etat d’Urgence Sanitaire jusqu’au 1er Juin 2021 (et renouvelable jusqu’au 31 décembre 2021).

Le 20 et 21 Janvier, les députés de l’Assemblée Nationale devront donc débattre de cette proposition de loi.

L’Etat d’Urgence Sanitaire, qu’est-ce que c’est ?

En temps normal, le gouvernement détient seulement le pouvoir exécutif, c’est-à-dire celui de faire exécuter les lois. C’est au Parlement que revient le pouvoir législatif, permettant le vote des lois, le CONTRÔLE de l’action du gouvernement et la REPRESENTATION du peuple (il est élu).

Mais pendant l’état d’urgence sanitaire, les rôles sont inversés. Le Parlement est privé de tout pouvoir, toute parole. Et, à l’inverse, le gouvernement devient dominant, et son action n’est plus contrôlée. Le gouvernement a donc la possibilité de prendre des mesures de protection contraignantes, sans aucun contrôle du Parlement législateur (c’est-à-dire de l’organe représentant le peuple).

 

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RIVASI en direct : comment agir contre la 5G ?

25 Mai 2020, 16:46pm

 
Michèle Rivasi, députée européenne EELV : Derrière la polémique... Comment agir contre la 5G ?

Je vous donne rendez-vous lundi 25 mai à 17h30 sur Youtube pour une vidéo conférence avec Stephen Kerckhove, délégué général d'Agir pour l'environnement, Sophie Pelletier, porte-parole de PRIARTEM et Arnaud Durand, avocat engagé contre la 5G et le compteur LINKY.

Les appels au moratoire et les actions en justice contre le déploiement de la 5G
se multiplient en Europe. En France, l'installation des antennes relais bénéficie de lois d’exception en raison de l'état d'urgence sanitaire. Les opérateurs en profitent pour imposer leur tempo, passant outre les maires et les habitants, alors qu'aucune consultation du public n'a eu lieu !

Comment agir contre la 5G ? Les intervenant.e.s présenteront les recours juridiques engagés en France et reviendront sur les procédures « allégées » destinées à faciliter le déploiement de la 5G, au détriment des règles légales existantes et de l'intérêt général.

Le passage en force des opérateurs n’est pas une solution. Cette politique du fait accompli est anti démocratique et accroît en réponse le risque de voir se multiplier les violences et les incendies anti antennes relais 5G, comme cela a déjà lieu désormais en Angleterre, aux Pays-Bas, et aussi maintenant en France.

 
 

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L'Arcep dévoile son cahier des charges de la 5G

16 Juillet 2019, 15:03pm

L'Arcep dévoile son cahier des charges de la 5G
Stéphane Moussie |

La 5G commence à prendre forme en France. L’Arcep a publié hier son projet de modalités et conditions d’attribution du « cœur » des fréquences 5G. La procédure d’attribution aura lieu cet automne et l’ouverture commerciale par les opérateurs démarrera l’année prochaine.

Ce cahier des charges porte seulement sur les fréquences 3,4 à 3,8 GHz, la « bande cœur » de la 5G qui offre un compromis entre couverture et débit. Les ondes millimétriques, dans la bande des 26 GHz, beaucoup plus rapides mais beaucoup moins porteuses, feront l’objet d’une attribution ultérieure.

Graphique Arcep.

L’Arcep a identifié quatre objectifs autour de la 5G. Le premier, c’est bien évidemment l’aménagement du territoire, avec un réseau de 5e génération qui devra non seulement désaturer les réseaux existants dans les zones les plus denses, mais aussi bénéficier à l’ensemble du territoire.

Sur ce volet, le régulateur propose d’imposer l’ouverture de la 5G dans au moins deux grandes villes par opérateur avant la fin 2020 (les opérateurs seront libres de choisir les villes qu’ils veulent couvrir en priorité). Autre proposition, le déploiement suivant en 3,4 - 3,8 GHz :

  • 3 000 sites en 2022 ;
  • 8 000 sites en 2024 ;
  • 12 000 sites en 2025.

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