« Mais l'esprit est un élément mystérieux. Insaisissable et invisible comme l'air, il semble s'adapter docilement à toutes les formes et à toutes les formules. Et cela pousse sans cesse les natures despotiques à croire qu'on peut le comprimer, l'enfermer, le mettre en flacons. Pourtant toute pression provoque une contre-pression, et c'est précisément quand l'esprit est comprimé qu'il devient explosif: toute oppression mène tôt ou tard à la révolte. À la longue, et c'est là une éternelle consolation, l'indépendance morale de l'humanité reste Indestructible. Jamais jusqu'ici on n'a réussi à imposer d'une façon dictatoriale à toute la terre une seule religion, une seule philosophie, une unique conception du monde, et jamais on y réussira, car l'esprit saura toujours résister à l'asservissement, toujours il refusera de penser selon des formes prescrites, de s'abaisser, de s'aplatir, de se rapetisser et de se mettre au pas.» Stefan Zweig
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Traitements précoces: quand randomisation rime avec escroquerie intellectuelle
Dr Gérard Maudrux Publié le 14 avril 2023 - 09:30
TRIBUNE - La crise du Covid aura montré les études et autres publications médicales sous un jour inquiétant. On croyait ces dernières sérieuses, contrôlées, relues, publiées au sein de prestigieuses revues au sérieux indiscutable : il n’en est rien. Que de mensonges et de manipulations dans tous les sens... À qui se fier ? Les laboratoires pharmaceutiques et les agences du médicament ont imposé les « essais randomisés contrôlés » (ERC), dont les normes sont censées correspondre à un haut niveau de preuves. Malheureusement, il n’en est rien : le procédé relève davantage de la manipulation que de la recherche de la vérité scientifique.
L’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) a publié le 5 avril 2023 un communiqué qui participe à la désinformation à propos des « essais randomisés contrôlés ». Que lit-on ?
« Les résultats de plusieurs essais randomisés contre placebo, de bonne qualité méthodologique, permettent aujourd’hui d’affirmer l’absence d’efficacité de l’ivermectine, quel que soit (sic) la dose utilisée en prévention ou en traitement du Covid-19. »
Personne ne l’a remarqué, mais il y a eu deux phases en ce qui concerne les publications concernant l’ivermectine (et l’hydroxychloroquine) ces dernières années.
D’abord une première vague d’études, qui étaient toutes favorables. Puis, après 18 mois, une seconde vague d’études qui, elles, ne montraient globalement aucune supériorité de l’ivermectine sur le placebo. Surprenant.
Le traitement serait-il plus efficace les années paires que les années impaires ? Les dernières études auxquelles l’ANSM fait allusion sont principalement Together et Activ-6, sans oublier la tentative Principle.
À quoi est due cette différence dans les résultats, alors qu’il s’agit du même traitement, de la même maladie, des mêmes patients et que les résultats devraient donc être les mêmes ? Avec de telles différences, il y a forcément des biais et de grosses erreurs à déceler... avec de la manipulation et des mensonges en perspective. Quelles constatations peut-on faire ?