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« Mais l'esprit est un élément mystérieux. Insaisissable et invisible comme l'air, il semble s'adapter docilement à toutes les formes et à toutes les formules. Et cela pousse sans cesse les natures despotiques à croire qu'on peut le comprimer, l'enfermer, le mettre en flacons. Pourtant toute pression provoque une contre-pression, et c'est précisément quand l'esprit est comprimé qu'il devient explosif: toute oppression mène tôt ou tard à la révolte. À la longue, et c'est là une éternelle consolation, l'indépendance morale de l'humanité reste Indestructible. Jamais jusqu'ici on n'a réussi à imposer d'une façon dictatoriale à toute la terre une seule religion, une seule philosophie, une unique conception du monde, et jamais on y réussira, car l'esprit saura toujours résister à l'asservissement, toujours il refusera de penser selon des formes prescrites, de s'abaisser, de s'aplatir, de se rapetisser et de se mettre au pas.» Stefan Zweig
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Vaccins ARNm, dévoiement de la science, Covid... : "J'ai le devoir d'informer mes concitoyens", Jean-Paul Bourdineaud, toxicologue
France-Soir Publié le 16 juin 2023 – 16:00
L'ENTRETIEN ESSENTIEL - Jean-Paul Bourdineaud est toxicologue. Professeur de biochimie et de microbiologie à l’Université de Bordeaux, il est aussi l’auteur de l'ouvrage "La Science Outragée", publié aux éditions Marco Pietteur, en janvier 2023. Ce livre aborde notamment les questions relatives à la gestion du Covid, la faillite du journalisme scientifique, les conflits d'intérêts ou encore les effets secondaires vaccinaux.
À propos de ces deux dernières questions, dans le cadre de cet entretien, Jean-Paul Bourdineaud constate que les citoyens sont "très inquiets du devenir du vaccin (anti-Covid-19, ndlr) dans leur corps". Et que ceux-ci ne peuvent "plus faire confiance au corps médical". Pourquoi ? Parce que "la grande majorité des épidémiologistes ont des conflits d'intérêts et sont à la solde des industriels".
Il apparaît alors une vraie "perte de confiance en la science qui ne fait que s'aggraver", symbole de la rupture "d'un contrat social" qui faisait jadis rimer "progrès" avec "bien-être". Aujourd'hui on assiste au "dévoiement de la science", selon le professeur qui donne des exemples de cette dérive et conclut que "la science n'est pas forcément associée au progrès".
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