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Ciel Voilé

Arrêtons l'écocide en Europe

19 Juin 2013, 05:11am

Publié par Ciel Voilé

 Sans-titre-copie-1.png

Notre association soutient intégralement cette initiative. Nous vous invitons à la signer et à la diffuser le plus largement possible.

http://www.endecocide.eu/

 

ItsInYourHand.png

 


 

 

Ci-dessous, quelques extraits du site :

La solution est entre vos mains

La destruction de la nature est un crime. Un crime dont les auteurs devraient être tenus responsables. Ce crime a un nom: l'écocide.

Eco-cide dérive de oikos en grec signifiant maison ou domicile et de caedere,démolir, tuer en latin. Il signifie littéralement tuer notre maison.

En tant que groupe de citoyens, nous avons proposé une loi à l'Union européenne pour faire de l'écocide un crime. Rejoignez le mouvement en votant pour que l'UE considère notre proposition de loi. Usez de votre droit de participer à l'élaboration des politiques européennes en votant pour mettre fin à l'écocide.

Cette loi contre l'écocide permettrait :

·         d'assumer notre devoir de préservation envers les générations futures 

·         de préserver et protéger la biodiversité

·         de favoriser la transition vers une économie verte

·         d'aider à restituer à l'homme sa place dans le vivant et de donner des droits à la Terre.

·         d'adopter une approche holistique de la nature (par opposition à la législation actuelle où seuls des éléments distincts de l'environnement sont protégés tels que la faune et la flore, le sol, etc, mais pas les écosystèmes dans leur ensemble)  http://www.endecocide.eu/?page_id=22&lang=fr

 

Arrêtons l’Écocide en Europe

L’Écocide est un acte causant des dommages importants à un ou plusieurs écosystèmes, ou la destruction ou la perte d’écosystèmes. Arrêtons ensemble l’Écocide en Europe !

Quel est l’objectif ?

Nous voulons que l’Écocide devienne un crime pour lequel des sociétés et des personnes peuvent être jugées responsables selon le droit pénal et le principe de la responsabilité supérieure. Nous souhaitons à travers L’Initiative Citoyenne Européenne obtenir que l’Écocide soit reconnu comme crime dans trois cas :

·         quand l’Écocide se produit sur le territoire européen (territoires maritimes y compris),

·         quand des entreprises européennes sont impliquées,

·         quand des citoyens européens (qui pourraient travailler pour des sociétés non-européennes) sont impliqués.

En outre, l’accès au marché européen de produits issus d’un Écocide ne sera plus toléré car toute personne important de tels produits sera accusée de complicité d’Écocide.

Comment cela fonctionne ?

Grâce à l’Initiative citoyenne européenne, les citoyens européens peuvent faire appel à la Commission Européenne pour proposer une législation européenne: Une loi pour criminaliser l’Écocide en Europe.

Si un million de citoyens signe notre appel, la Commission européenne aura le devoir d’étudier notre proposition de loi.  

 

 

( «  L'initiative citoyenne européenne "End ecocide in Europe" a été lancée le 21 janvier 2013. À son quatrième mois, elle en est à un faible niveau de signatures (28 500 dont 11 000 en France). Mais l'initiative sur le "droit à l'eau" avait eu aussi pendant longtemps des chiffres très faibles avant de décoller avec 800 000 signatures supplémentaires en deux semaines et rapidement près de 1,5 million de votes. Tout est donc encore possible dans les 8 mois qui nous restent, mais seulement si d'autres, beaucoup d'autres dont les comités locaux d'Attac, conjuguent leurs efforts pour le succès de cette ICE. » – G. Menahem – Le 18/06/13)

 

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Droit de réponse à "L'âge de faire" N°76

17 Juin 2013, 20:58pm

Publié par Ciel Voilé

 

« Expert » pour la Commission européenne, l’OMM*, le GIEC, le Met Office et… « L’âge de faire »


Le parcours professionnel d’Olivier Boucher est exemplaire. « L’âge de faire » s’appuie en toute confiance sur ce scientifique français qui a été l’un des principaux auteurs du « Rapport spécial sur l’aviation et l’atmosphère planétaire » (1999) du GIEC, du 3ème rapport d’évaluation du GIEC (2001), et du rapport de l’OMM sur l’ozone en 2002. Il participe aussi au rapport à venir du GIEC : Chapitre 7 : «  nuages et aérosols ».


Olivier Boucher affirme (L’âge de faire N°73) : « Nous ne cherchons pas à promouvoir la géo-ingénierie. » : VRAIMENT ?


 Pourtant l’OMM en fait la promotion auprès de ses Etats-membres. Voici un extrait de rapport de l’OMM :

« Il conviendrait d’établir dans tous les pays une climatologie des nuages, du brouillard et des précipitations car cela fournirait des éléments d’information essentiels pour les études et les travaux d’exploitation relatifs à la modification artificielle du temps et aux ressources en eau. »


La Commission européenne aussi y est favorable : elle finance le site EUTRACE  auquel participe Mr Boucher, seul représentant français. Le projet « Évaluation Européenne Transdisciplinaire d’Ingénierie Climatique" présente un objectif en 4 points. Le point 2 précise :


« 2. Engager activement le dialogue avec le public, les décideurs politiques et d'autres acteurs de la société civile pour diffuser l’information sur l’ingénierie climatique, et traiter de manière adéquate les préoccupations et les points de vue et les intégrer dans l'évaluation »


 Au point 2, les mots en gras ont été ajoutés entre le 3 et le 12 juin 2013.Le peaufinage de la stratégie de communication est brûlant d’actualité !


Comment la Commission européenne engage-t-elle le dialogue ? Par le déni. De 2003 à 2012, ses réponses à 8 parlementaires  (Hiltrud Breyer, Paul Iannoye, Erik Meijer, Jim Higgins, Claude Turmes, Nessa Childers, Oreste Rossi et Vladko Panayotov) sur les épandages aériens, la manipulation du climat et la géo-ingénierie, affichent un déni total.


Le rapport scientifique  « CASE ORANGE » écrit  par  des professionnels de l’aviation confirme pourtant la réalité de ces pratiques. Des pilotes, universitaires, militaires, médecins, météorologues  les dénoncent aussi. Le 9 avril au Parlement européen à Bruxelles, des activistes ont relancé l’alerte.


Rosalie Bertell, chercheur, épidémiologiste, physicienne nucléaire et Prix Nobel Alternatif témoigne : « Dire que les chemtrails n’existent pas et que toutes ces traînées sont des traces normales d’avions est contraire à l’observation scientifique. La réalité des chemtrails a été prouvée non seulement par l’observation, mais aussi par des mesures réelles en prélevant des échantillons ... Donc les chemtrails sont bien documentés et cela ne fait progresser personne de refuser les preuves qui sont face à nous. » ( film Bye Bye Blue Sky)

 

Association Ciel voilé

 

* OMM : Organisation Météorologique Mondiale

 

Nous ajoutons une réponse publiée sur le site de l'ACSEIPICA le 29 juin 2013

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Toxicité de l'aluminium

12 Juin 2013, 08:46am

Publié par Ciel Voilé

Reportage FR3 - 11 juin 2013

 

 

 


 

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Traînées de condensation sur la péninsule du Jutland

5 Juin 2013, 20:03pm

Publié par Ciel Voilé

Earth Snapshot


Danemark - 4 Juin 2013

 

 

20130604-denmark-full.jpg

 

 

denmark-map.gif

 

 

Les traînées de condensation créent des lignes entrecroisées sur la péninsule du Jutland (au centre), la partie nord appartient au Danemark et la partie sud à l'Allemagne. Selon la température et l'humidité en altitude, les traînées peuvent être visibles seulement quelques secondes ou minutes, ou bien persister pendant des heures et s’étaler sur des kilomètres de large. On estime que les traînées persistantes ont un effet significatif sur le climat mondial.


Les traînées de condensation, en affectant le bilan radiatif de la Terre, agissent comme un forçage radiatif. Des études ont montré que les traînées piègent le rayonnement thermique émis par la Terre et l'atmosphère (forçage radiatif positif) à un taux supérieur à celui auquel elles réfléchissent le rayonnement solaire entrant (forçage radiatif négatif).


Le forçage radiatif global a été calculé à partir des données de ré-analyse, des modèles climatologiques et des codes de transfert radiatif. Il est estimé à 0,012 W/m2 pour 2005, avec une marge d'incertitude de 0,005 à ,0026 W/m2, et avec un faible degré de compréhension scientifique. Par conséquent, l'effet net global des traînées est un forçage radiatif positif, c'est-à-dire un effet de réchauffement.


Cependant, l'effet varie chaque jour et chaque année, et surtout l'ampleur du forçage n'est pas bien connue: globalement (pour les conditions de circulation aérienne de 1992), les valeurs vont de 3,5 à 17 mW/m2. D'autres études ont établi que les vols de nuit sont les principaux responsables de l'effet de réchauffement: ils représentent seulement 25% du trafic aérien quotidien, mais ils contribuent de 60 à 80% au  forçage radiatif des traînées. De même, les vols d'hiver ne représentent que 22% du trafic aérien annuel, mais contribuent pour moitié au forçage radiatif annuel.


 

Traduction Ciel voilé

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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Nouvelle croissance de plantes malades et mourantes...

29 Mai 2013, 20:29pm

Publié par Ciel Voilé

 

Chemtrails, Fukushima…

 

Daniel J Towsey, photographe -  le 11 mai 2013 – Halifax - Canada

 

 


 

 

 


Suivez ce lien pour voir les photos prises le même jour et au même endroit : le jardin public d’Halifax. Les photos montrent des détails beaucoup plus horribles de près.


http://chemtrailsinourskies.wordpress...


Regardez les 43 vidéos de l'année dernière montrant, des arbres mourants, des abeilles, du feuillage et les chemtrails.

http://www.youtube.com/playlist?list=....


Regardez : l’abeille meurt après s’être posée sur la fleur :

http://www.youtube.com/watch?v=p79mmh...


Filmé par Daniel J Towsey, le visionnaire Folk photographe

http://thevisionaryfolkphotographer.com/
http://www.modelmayhem.com/danieltowsey
http://photobucket.com/danieltowsey 

 

 

 



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Sauvez les abeilles : signez la pétition POLLINIS

29 Mai 2013, 08:40am

Publié par Ciel Voilé

 

Madame, Monsieur,


Une gigantesque escroquerie est en train de se mettre en place à Bruxelles, aux dépens des abeilles, de la biodiversité... et de tous les citoyens qui se battent depuis des années pour faire interdire les pesticides « tueurs d'abeilles » en Europe et dans le monde !


Nous devons la stopper net, avant qu'elle n'ait des conséquences dramatiques sur nos cultures et notre alimentation à l'avenir. Je vous demande de signer de toute urgence la pétition européenne ci-jointe et de la faire circuler autour de vous autant que vous le pourrez.


Il n'y a pas un instant à perdre.


Après des années de lutte acharnée des citoyens et des apiculteurs, la Commission européenne s'est officiellement décidé à interdire 3 pesticides néonicotinoïdes extrêmement dangereux pour les abeilles (1).


Les associations ont crié victoire et baissé la garde. Pourtant...


Le compromis que devrait adopter Bruxelles est en réalité un plan désastreux imposé par les multinationales agrochimiques comme Bayer, Syngenta et compagnie, qui mènent depuis des mois un lobbying effréné et extrêmement agressif pour arriver à ce résultat (2).


Objectif : Contrer la volonté des citoyens européens et empêcher l'interdiction REELLE des pesticides tueurs-d'abeilles – malgré les recommandations expresses des autorités sanitaires françaises et européennes (3)... Pour sécuriser les centaines de millions d'euros de profit annuel que ces produits rapportent aux grosses firmes qui les produisent !

Officiellement, les 3 pesticides les plus dangereux seront interdits pour une durée-test de deux ans à l'issue de laquelle les autorités sanitaires contrôleront si l'interdiction a mis un terme au massacre des abeilles, et s'il faut ou non interdire définitivement les néonicotinoides.


Or, cette soi-disant interdiction n'aura aucun effet sur la santé des abeilles !

En fait, les 3 pesticides tueurs-d'abeilles seront interdits seulement quelques mois par an... et largement utilisés tout le reste de l'année – sur près de 85% des céréales, et sur une grande partie des cultures de fruits, légumes et herbes aromatiques – empoisonnant largement les sols et l'eau absorbés ensuite par les cultures soi-disant « non-traitées ».

De nombreuses études ont montré que ces substances ultra-toxiques peuvent rester présentes dans le sol jusqu'à trois ans après le traitement (4), et que les cultures non-traitées replantées sur le même terrain révèlent des traces de néonicotinoïdes jusque dans leur pollen... que viennent ensuite butiner les abeilles ! (5)


A la fin de la période-test de deux ans, les multinationales pourront prouver que les abeilles continuent d'être décimées malgré la soi-disant interdiction de leurs produits, et qu'ils n'y sont pour rien. Ils auront réussi à blanchir leurs pesticides et à maintenir leurs profits – et pour longtemps !


C'est un plan diabolique, qui nous promet un désastre environnemental sans précédent.

Nous pouvons encore empêcher ça. MAIS IL FAUT AGIR VITE : d'ici quelques jours, la Commission européenne se prononcera sur sa version définitive du règlement européen concernant ces 3 pesticides tueurs d'abeilles.


Nous devons agir avant, pour exiger l'interdiction REELLE de ces pesticides ! Signez dès maintenant la pétition européenne pour contrer les lobbys en cliquant ici !


Si nous ne faisons rien, voici ce qui va se passer dans les 2 prochaines années :

- les pesticides néonicotinoïdes continueront à être utilisés pour les cultures d'hiver, imprégnant ainsi durablement les sols et l'eau...

- les cultures de printemps et d'été "non traitées" seront infectées par les résidus de ces pesticides, et empoisonneront les abeilles...

- la mortalité massive des abeilles ne déclinera pas, malgré la soi-disant "interdiction" des néonicotinoïdes

- Syngenta, Monsanto, Bayer et tous les laboratoires agrochimiques pourront à loisir clamer que leurs produits n'ont rien à voir avec la mortalité des abeilles, et obtenir leur réhabilitation totale sur le marché.

Et là, il ne nous restera plus que nos yeux pour pleurer…


Il faut tuer dans l'œuf ce plan démoniaque, et exiger de la Commission européenne qu'elle interdise purement et simplement ces pesticides tueurs d'abeilles, comme elle prétend le faire d'ailleurs !


Pas de compromissions, pas de petits arrangements... Si l'on doit faire un test de 2 ans pour évaluer réellement l'impact de ces pesticides sur les pollinisateurs, alors allons-y franchement !


Les agriculteurs eux-mêmes n'auraient pas à y perdre :

d'après l'INRA, on pourrait réduire rapidement la consommation de pesticides en France de 30 à 40 % – sans aucune perte de revenus pour les agriculteurs – en revenant simplement à un système de rotation des cultures qui permettrait de combattre efficacement les parasites en réduisant durablement l'usage des traitements chimiques (6).


Ca représente tout de même, pour la France uniquement, plus de 20 000 tonnes de substances ultra-toxiques déversés chaque année en pure perte dans nos campagnes !

En fait, les seuls qui seraient ébranlés, ce seraient les chiffres d'affaires des géants de l'agrochimie... Mais la Nature n'a que faire de leurs profits !


Alors s'il vous plaît, aidez Pollinis à créer une véritable onde de choc à travers le pays et l'Europe toute entière, pour que notre pression sur la Commission européenne soit plus forte que celle des lobbys agrochimistes qui sacrifieraient sans vergogne votre santé, votre alimentation et l'avenir même de la Nature pour satisfaire à leurs profits immédiats.


Signez la pétition, et transmettez autour de vous.


D'avance, merci !


Nicolas Laarman
Délégué général Pollinis
Conservatoire des Fermes et de la Nature


Pour en savoir plus :


1- Le texte de la Commission européenne interdisant 3 néonicotinoïdes :

http://www.pollinis.org/IMG/doc/regulation_commission_europeenne_interdiction_3_neonicotinoides.doc

2- L'excellent rapport de Corporate Union Observatory sur le sujet (en anglais) :

http://corporateeurope.org/publications/pesticides-against-pollinators

Ou ici en français, le bon petit résumé publié en ligne dans le Journal de l'environnement :

http://www.journaldelenvironnement.net/article/comment-le-lobby-des-pesticides-se-bat-pour-les-neonicotinoides,34147

3- Début 2013, l'Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA) a publié un rapport confirmant que les néonicotinoides présentent un risque important pour les abeilles et les pollinisateurs :

http://www.efsa.europa.eu/en/press/news/130116.htm?utm_source=homepage&utm_medium=infocus&utm_campai gn=beehealth

4 -Les néonicotinoides persistent dans l'environnement, la demi-vie de la clothianidine dans le sol a été mesurée à 148 à 6900 jours par l'Agence de protection de la santé américaine :

http://www.epa.gov/pesticides/chem_search/cleared_reviews/csr_PC-044309_2-Nov-10_b.pdf

Voir aussi l'étude de J. DeCant et M. Barrett publiée en 2010 dans la revue Environmental Protection (pp. 1-99) : Environmental Fate and Ecological Risk Assessment for the Registration of CLOTHIANIDIN for Use as a Seed Treatment on Mustard Seed (Oilseed and Condiment) and Cotton.

5- La persistance des néonicotinoïdes contamine l'environnement au sens large, notamment le pollen.

L'imidaclopride par exemple peut être absorbée par des cultures non-traitées, jusqu'à deux ans après la première utilisation, et peut se retrouver dans le pollen et le nectar des fleurs non traitées à des niveaux toxiques pour les abeilles :

Bonmatin, J. M., et al . (2003) A sensitive LC/APCI/MS/MS method for analysis of imidacloprid in soils, in plants and in pollens. Anal. Chem. 75 (9), 2027-2033.

En 2002 et 2003, 69,1% du pollen récolté par les abeilles de 25 ruchers dans cinq départements français, sur des plantes traitées et non traitées étaient contaminés par de l’imidacloprid, bien que cette neurotoxine ait été interdite à l'utilisation sur le tournesol en janvier 1999 :

Chauzat M.P. et al (2006). A survey pesticides residues in pollen loads collected by honey bees in France. Journal of Economic Entomology, 99:253-262

6- Rapport Ecophyto R&D de l'INRA : « Réduire l'usage des pesticides » :

http://institut.inra.fr/Missions/Eclairer-decisions/Etudes/Toutes-les-actualites/Ecophyto-R-D

Pollinis – Réseau des Conservatoires Abeilles et Pollinisateurs
Association Loi 1901 Conservatoire des Fermes et de la Nature
143 avenue Parmentier – 75010 Paris www.pollinis.org

Soutenez le réseau Pollinis ! 

 

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Les chemtrails ne seraient que du brouillage radar !

29 Mai 2013, 06:54am

Publié par Ciel Voilé

 

 

Les services météo de chaines américaines reconnaissent des épandages militaires de particules métalliques (chaff) : mais ce n’est que du brouillage radar ! "Les militaires nous vaporisent, mais tout va bien". C’est le message envoyé aux américains.

 

 

 


 

 

 

 


Liste des brevets HAARP : http://www.fourwinds10.net/siterun_da...
Documents de l’UE sur l’utilisation de HAARP comme arme : http://www.europarl.europa.eu/sides/g...

Résonnance de Schumann et HAARP :http://aircrap.org/european-parliamen..., http://rezn8d.com/

Agenda « vert » : http://www.green-agenda.com/globalrev...,.

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Chemtrails et "dépopulation" : une approche historique

25 Mai 2013, 06:53am

Publié par Ciel Voilé

Nicolai Melnik 23 mai 2013

 

Communément dénommés par l'appellation anglophone « chemtrails », les épandages aériens réalisés dans l'atmosphère de nombreux pays sont la cible de toutes les spéculations. Bien que leur existence soit historiquement bel et bien avérée, l'immense majorité de la population n'a pas même connaissance de cette théorie classée par la doxa médiatique dans la catégorie des élucubrations conspirationnistes. 

 

Réalité des épandages

 

Les épandages aériens de produits chimiques dans l’atmosphère ont une histoire relativement ancienne, remontant au moins au début du siècle dernier : déjà en 1927, Donald Bradner et Nicholas Oglesby déposèrent un brevet pour un système de diffusion de produits chimiques à partir d’avions. [2] Des centaines d’autres brevets en lien avec la modification du climat, qu’ils concernent de nouveaux moyens d’épandage ou de nouveaux produits chimiques, seront officiellement déposés de 1927 à nos jours, [3] les produits chimiques étant dès lors stockés au sein d’importants containers à bord des avions. En ce qui concerne les dispositifs extérieurs de vaporisation, de nombreux brevets militaires, publics et privés expliquent comment il est possible d’éjecter différents agents chimiques dans la stratosphère ou la troposphère par le biais de mécanismes complexes encastrés sur le réacteur d’avion ou intégrés directement à l’intérieur du réacteur.

 

Des motifs inhabituels dus aux trajectoires excentriques prises par certains avions épandeurs peuvent d’ailleurs régulièrement être observés : courbes, zig-zags, boucles, cercles... Dans le ciel de New-York, un avion alla même jusqu’à tracer le message « LAST CHANCE » (littéralement, « DERNIÈRE CHANCE ») en allumant et en coupant alternativement son système d’épandage. [4] Que ces tracés surprenants soient le fait de pilotes téméraires n’appréciant guère de déverser des produits dont ils ne connaissent sûrement pas la nature dans l’atmosphère, au risque de heurter leur hiérarchie, ne serait que peu surprenant. La question n’est donc pas tant de savoir si ces épandages existent, mais bel et bien à quoi ils sont destinés. L’une des explications les plus couramment avancées est la modification du climat : en 1946, le Dr. Schaeffer de General Electric fit en effet la découverte que le déversement d’iodure d’argent au sein des nuages favorisait les précipitations, [5] à la suite de quoi furent lancés par l’armée des États-Unis les projets Cirrus (1947-1952), Storm fury (1961-1983) et Popeye (1967-1972), qui prévoyaient notamment le contrôle des précipitations ou de la trajectoire des ouragans. [6,7,8] Historiquement, toutefois, certains de ces épandages avaient des objectifs bien différents.

 

En 2002, un rapport gouvernemental apporte la preuve que l’armée britannique a mené des opérations d’épandage de substances toxiques à grande échelle sur sa propre population entre 1940 et 1979. [9] De 1955 à 1963, notamment, de très importantes quantités de sulfate de cadmium zinc sont déversées le long des côtes britanniques. Il était affirmé aux militaires en charge de ces programmes que les épandages concernaient uniquement des expériences climatiques. Les États-Unis effectueront des tests identiques sur l’ensemble de leur territoire [10] : dénommés par l’acronyme « LAC » (Large Area Coverage – littéralement, Couverture de Larges Surfaces), ces programmes avaient deux objectifs principaux : tester l’effet d’une substance nocive sur une large part des populations de ces pays, et comprendre comment conduire les épandages afin d’optimiser les surfaces touchées en fonction des conditions météorologiques. Les propriétés fluorescentes du zinc permettaient à l’armée de repérer la dispersion des produits répandus depuis des bases terrestres : des particules de sulfate de cadmium zinc seront ainsi repérées à des distances supérieures à 2 000 km du point de largage. Concrètement, cela signifie que les habitants de Paris seraient concernés par d’éventuels épandages à la frontière occidentale de la Russie. Un vol de 600 km permettait ainsi le relâchement d’environ 2 tonnes de sulfate de cadmium zinc. [11] Bien que les gouvernements britannique et états-uniens aient affirmé l’innocuité des substances répandues, le cadmium était déjà considéré lors de la Seconde guerre mondiale comme arme chimique par les Alliés eux-mêmes. Il est actuellement considéré comme un métal extrêmement toxique, dont les effets sur la santé vont des problèmes respiratoires au cancer en passant par l’insuffisance rénale ou les dommages au foie. [12] De 1961 à 1968, ce sont des bactéries telles que le bacille globigii, simulant le comportement de l’anthrax, et Escherichia Coli qui sont déversées sur les îles britanniques. Des tests similaires seront de nouveau reproduits de 1971 à 1975, les armées britanniques et états-unienne travaillant cette fois-ci en collaboration. La sociologue Lisa Martino-Taylor, ayant eu accès à des documents militaires déclassifiés, a quant à elle révélé que l'armée des États-Unis ajoutait des particules radioactives au sulfate de cadmium zinc, notamment au-dessus des quartiers populaires [13a,13b] : aucun homme politique ne fut averti de ces épandages et il était répondu aux plus curieux que l’armée testait des écrans chimiques pour se protéger contre une éventuelle attaque soviétique.


En réalité, le Département de la Défense des États-Unis effectuait également de nombreux tests d’armes biologiques sur sa population en des endroits localisés – sans épandages aériens donc : le Dr. Hanley Stanson, ancien scientifique au sein de l’armée, révélera en 2010 qu’il existait bien plus de programmes que les huit officiellement reconnus en 1976 par le Pentagone. Pour la seule région de la Nouvelle-Angleterre, plus d’une vingtaine de programmes existaient dans les années 50 et 60. [14] Ce n’était pourtant qu’un début au sein des recherches sur les armes biologiques : à partir des années 70, une mini-révolution s’opéra avec, notamment, les Defense Appropriations for 1970, autorisant le déblocage de fonds colossaux pour les recherches sur les armes biologiques. Lors d’une audience devant le Congrès, le Dr. MacArthur dressa un état des lieux de la discipline qui allait selon lui passait de l’étude des microorganismes existants à la création par bio-ingénierie de tous nouveaux agents pathogènes. [15] D’après d’anciens scientifiques ayant travaillé à l’obscur Fort Detrick, le nombre de projets sur la conception de nouveaux agents pathogènes en tous genres explosa dès lors. [16] Si la vaporisation de produits toxiques dans l’atmosphère afin d’y exposer volontairement les populations civiles est un fait historique avéré et que les arguments utilisés pour justifier ces épandages aux yeux des effecteurs de ces programmes et des civils indiscrets étaient systématiquement la protection des populations contre l’éventuelle attaque d’un état tiers ou la modification du climat, il ne semble plus possible de considérer que cela puisse être le cas aujourd’hui. Aucune raison ne justifie pourtant que les épandages aériens furent abandonnés à la fin des années 70, au contraire.

 

Un détour par le néomalthusianisme


La question du contrôle de la population mondiale sur la scène publique étant actuellement un sujet non seulement non-abordé mais, plus que cela, tabou, cela ne fut pourtant pas toujours le cas : au cours de la seconde moitié du vingtième siècle, les néomalthusiens n’étaient pas aussi timides qu’ils le sont aujourd’hui. Avec la création en 1961 de la première mégastructure écologique, le World Wildlife Fund par, entre autres, le Prince Bernhard, Julian Huxley (le frère de l’auteur du Meilleur des mondes) ainsi que Godfrey Rockefeller, le mouvement environnementaliste contemporain révèle ses accointances plus que troublantes avec les idéologies néomalthusienne et eugéniste. [17a,17b] Le premier était membre du NSDAP, le parti nazi, et a toujours été suspecté par les services de renseignement britannique d’être un agent double nazi même après qu’il eut rendu sa carte du parti en 1936. [18a,18b] Inventeur du concept de transhumanisme, le second était un ardent défenseur de l’eugénisme et membre proéminent de la British Eugenics Society dont il fut vice-président puis président. [19] Le dernier appartient quant à lui à la sulfureuse famille Rockefeller dont les liens avec le contrôle de la population sont non seulement multiples mais assumés.

Il existe essentiellement deux moyens de réduire le nombre d’individus d’une population dans le temps : faire baisser le taux de natalité et augmenter le taux de mortalité. Que de nombreux organismes se soient activement employés à trouver des solutions pour le premier est loin d’être un secret, et au premier chef desquels la Fondation Rockefeller qui explique très clairement dans son rapport officiel de 1968 s’intéresser à l’élaboration de vaccins stérilisants [20]. Le célèbre rapport du Club de Rome de 1972, The Limits to Growth (littéralement, Limites à la croissance), popularisera l’idée selon laquelle l’augmentation constante de la population, étant donnée la finitude des ressources naturelles, représente un danger pour l’humanité dans son ensemble. En 1980, le rapport confidentiel National Security Study Memorandum, rédigé sous la direction de Henry Kissinger en 1974, fut déclassifié. [21] Il appelait notamment à une réduction massive de la population dans l’ensemble des pays du tiers-monde : plus particulièrement visés étaient l’Inde, le Bangladesh, le Pakistan, le Nigéria, le Mexique, l’Indonésie, le Brésil, les Philippines, la Thaïlande, l’Égypte, la Turquie, l’Éthiopie et la Colombie. Établissant que les meilleurs moyens d’arriver à des résultats probants sont les famines, les guerres et les programmes de stérilisation, le rapport contient des directives à mettre en place explicitement via le financement de l’organisation non-gouvernementale US Aid au sein de sections dont les titres parlent d’eux-mêmes : Action pour créer les conditions du déclin de la fertilité : population et stratégie d’assistance du développement, par exemple.

 

La même année, John D. Rockefeller III fut l’orateur principal à la conférence réservée aux organisations non-gouvernementales lors de la première Conférence sur la population des Nations unies à Bucarest. [22] Il y plaidera toujours plus la « réduction de la population » dans les pays du tiers-monde ainsi que le contrôle des technologies à la disposition de ces derniers afin d’empêcher un développement trop rapide. Seulement, le contrôle de la fertilité n’a apparemment pas paru suffisamment efficace pour une stabilisation rapide de la population. Les moyens envisagés par les aspirants à une moindre population mondiale évolueront alors de la réduction de la fertilité dans les années 70 à des scénarios plus radicaux dans les années 80 et 90 concernant l’augmentation du taux de mortalité, voire l’effondrement civilisationnel. Ami du Prince Bernhard et troisième président du WWF, le Prince Philip déclarait par exemple en1988 [23] :

 

« Dans l’éventualité où je serais réincarné, j’aimerais l’être en tant que virus mortel, afin de contribuer à résoudre le problème de la surpopulation. »

 

En 1991, quelques temps avant de devenir consultant pour les Nations unies et la Banque mondiale, Jacques Cousteau s’exprimait quant à lui dans une entrevue avec le journal Unesco Courier [24] :

 

« La population mondiale doit être stabilisée, et pour cela nous devons éliminer 350 000 personnes par jour. C’est si terrible à contempler que nous ne devrions même pas dire cela. Mais la situation générale dans laquelle nous nous trouvons est lamentable. »

 

En septembre 1991, un document issu du groupe de réflexion britannique Cobden Clubs aurait circulé dans certains milieux chargés de l’organisation du Sommet de la Terre de Rio de Janeiro de 1992. Il y aurait été noté [25] :

 

« Étant données les instabilités globales, dont celles du bloc de l’ex-Union soviétique, le besoin d’un contrôle ferme de la technologie, de l’armement et des ressources naturelles à travers le monde est désormais absolument essentiel. La réduction immédiate de la population mondiale, d’après les recommandations du Fonds Draper des années 1970, doit être mise en place immédiatement. L’importante surpopulation actuelle, désormais bien au-delà de la capacité de support du monde, ne peut plus être résolue par des réductions futures dans le taux de natalité via la contraception, la stérilisation ou l’avortement, mais doit être  dans le présent par la réduction du nombre d’individus existants. Cela doit être fait par n’importe quel moyen nécessaire. »

 

Ce document ayant été mis en ligne de façon anonyme, sa crédibilité reste toutefois relative. Il est néanmoins certain que les véritables enjeux de l’organisation du Sommet de la Terre de Rio de Janeiro étaient plus complexes que ceux présentés par les médias dominants, d’importantes tensions se faisant jour entre les Nations unies et les pays en développement. À propos de la confiscation des ressources naturelles et refusant de céder la souveraineté de son pays aux Nations unies, le général brésilien Sotero Vaz en charge du commandement militaire amazonien, menacera peu avant la conférence de s'opposer militairement aux Nations unies si celles-ci attentaient à la souveraineté brésilienne. [26] L’Inde, la Chine, les Philippines, le Chili, le Vénézuéla, l’Éthiopie, le Ghana et la Malaisie enverront également leurs négociateurs faire comprendre aux experts occidentaux des Nations unies qu’ils savaient de quoi il retournait. Maurice Strong, le sous-secrétaire général et organisateur principal du Sommet de Rio, s'était fait quant à lui depuis longtemps l'avocat de l'effondrement du monde civilisé. [27] En 2002, lors du second Sommet de la Terre à Johannesburg, les luttes d’influence s’exerçant dans les coulisses du pouvoir furent au moins aussi importantes. L’ex-général russe Konstantin Petrov accusa publiquement les dirigeants des banques et des multinationales de poser un ultimatum aux dirigeants mondiaux en exigeant la réquisition de l’ensemble des infrastructures essentielles au développement humain telles que l’eau, l’énergie et les matières premières, de s’approprier d’immenses réserves naturelles en Russie ainsi de réduire drastiquement la population mondiale, d’un facteur deux ou trois. [29] Un chiffre corroboré par le réalisateur Aaron Russo dans l’entrevue qu’il donnera à propos de ses discussions avec Nicholas Rockefeller. [30] 

 

Retour aux épandages aériens

 

C’est dans ce contexte de radicalisation des idées néomalthusiennes qu’à partir de l’extrême fin des années 1990, les épandages aériens atteignent une envergure jusque-là inégalée dans certaines régions du monde, à commencer par les États-Unis, et attirèrent de ce fait l’attention du public vigilant. De nombreux échantillons de l’air ambiant seront prélevés par des organismes et laboratoires indépendants, révélant des quantités anormalement élevées de métaux lourds tels que l’aluminium, le baryum ou le strontium dont les effets toxiques sur la santé sont dévastateurs. Des échantillons de l’air de Phoenix montraient par exemple des taux d’aluminium et de baryum respectivement 6 400 et 278 fois plus élevés que la limite toxique fixée par le gouvernement des États-Unis. [31] Dans son film « Bye bye blue sky », Patrick Pasin révèle que l’armée française a quant à elle déjà passé commande pour l’achat de 10 tonnes de baryum, un métal n’ayant aucune utilité militaire conventionnelle en ces quantités. [32]

 

Vers le milieu des années 2000, de nombreuses personnes, d’abord aux États-Unis, principalement en Californie, au Texas et en Floride, puis au Canada, en Afrique du sud, en Australie et en Nouvelle-Zélande prétendront être atteintes d’une pathologie inconnue (improprement désignée par le terme Morgellons) comprenant de multiples symptômes tels que lésions de la peau, douleurs osseuses et articulaires, fatigue chronique, anxiété. Les malades prétendaient ressentir la présence d’organismes étrangers et que des fibres de très petite taille étaient expulsées de leur peau. Des laboratoires indépendants conduisirent des analyses des échantillons dermatologiques envoyés par les malades de différents pays et mirent en évidence l’existence de fibres constitués de différents matériaux tels que du polyéthylène, du silicium ou d’autres matières inorganiques. [33] Une classification des différentes fibres découvertes a été effectuée par Jan Smith. [34] Étudiées en laboratoires, ces fibres ne correspondent à aucune fibre industrielle ou vestimentaire répertoriée et ne brûlent pas lorsqu’elles sont soumises à des températures supérieures à 950°C. Très probablement issues de la nano-ingénierie militaire, elles seraient capables d’interagir avec les éléments constitutifs du corps humain afin de se développer au sein-même des organismes des malades.

 

 

Parmi les premiers à s’être intéressés à la question et à avoir proposé des moyens de soulager les symptômes expérimentés par les malades, Cliff Carnicom et le Dr. Gwen Scott mirent en évidence le lien entre les fibres extraites des lésions cutanées des malades et les épandages aériens. Ils prétendirent également avoir été contactés en 2009 par l’une des personnes en charge du développement de certaines de ces fibres, ayant travaillé pour l’armée des États-Unis et ayant été persuadée que ces fibres seraient utilisées dans des conflits extérieurs afin d’affaiblir la condition des combattants ennemis, sauvant ainsi la vie des soldats états-uniens. [35a,35b] En réalité, un réseau complexe d’agents pathogènes, aussi bien organiques qu’inorganiques et pouvant interagir, serait répandu dans l’atmosphère : fibres, métaux lourds, bactéries, champignons, virus. Des informations identiques seront confiées à Hank P. Albarelli Jr. par des scientifiques de Fort Detrick : le développement de nano-robots y commença après les Defense Appropriations for 1970, lorsque le Pentagone s’engagea dans une multitude de projets de bio-ingénierie. [36]

S’il est parfois suggéré que les épandages puissent avoir un lien avec le contrôle du climat, la présence de telles armes biologiques parmi les substances relâchées plaident plutôt en faveur d’un programme de dépopulation : comme cela fut le cas au cours des opérations Large Area Coverage au Royaume-Uni et aux États-Unis, la modification du climat n’est-elle pas plutôt le prétexte donné aux effecteurs des épandages que l’objectif ? Il est d’ailleurs remarquable que la menace du réchauffement climatique, plus que controversée au sein du monde scientifique, soit apparue à la fin des années 1980 (la création du GIEC datant de 1988) simultanément à la radicalisation idéologique des néomalthusiens : sans elle, la justification d’un programme de grande ampleur d’épandages aériens eut été certainement plus délicate. Les avancées des dernières décennies en nano-ingénierie ouvrent par ailleurs malheureusement la voie à des possibilités infinies en matière d’affaiblissement du système immunitaire. Des problèmes qui ne seront sérieusement adressés que lorsqu’un débat public sera autorisé, si jamais cela est même envisageable...

 http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/chemtrails-et-depopulation-une-136230

 

Références

 

[1] http://www.google.com/patents/US133...

[2] http://www.google.com/patents/US161...

[3] http://www.geoengineeringwatch.org/...

[4] https://www.youtube.com/watch?v=lfW...

[5] http://books.google.ru/books?id=xH4...

[6] http://cecom.army.mil/historian/pub...

[7] http://docs.lib.noaa.gov/rescue/jou...

[8] http://www.vietnam.ttu.edu/virtuala...

[9] http://www.guardian.co.uk/politics/...

[10] http://books.google.ru/books?id=cr8...

[11] http://books.google.ru/books?id=TL0...

[12] http://www.hse.gov.uk/pubns/indg391.pdf

[13a] http://www.dailymail.co.uk/news/art...

[13b] http://gradworks.umi.com/3515886.pdf

[14] http://www.eutimes.net/2010/06/us-t...

[15] http://www.scribd.com/doc/20578136/...

[16] http://www.voltairenet.org/article1...

[17a] http://worldwildlife.org/about/history

[17b] http://worldwildlife.org/press-rele...

[18a] http://www.telegraph.co.uk/news/wor...

[18b] http://www.liberation.fr/monde/0101...

[19] https://en.wikipedia.org/wiki/Julia...

[20] http://www.rockefellerfoundation.or...

[21] http://www.larouchepub.com/eiw/publ...

[22] http://pdf.usaid.gov/pdf_docs/PCAAB...

[23] http://www.guardian.co.uk/lifeandst...

[24] http://www.accessmylibrary.com/coms...

[25] http://archive.org/stream/GeorgeHun...

[26] http://www.larouchepub.com/eiw/publ...

[27] http://www.guardian.co.uk/environme...

[28] http://www.afn.org/ govern/strong.html

[29] http://www.youtube.com/watch?v=xnSY...

[30] http://www.youtube.com/watch?v=YGAa...

[31] http://www.arizonaskywatch.com/char...

[32] http://rutube.ru/video/cf58781fa4ce...

[33] https://www.youtube.com/watch?v=3UM...

[34] http://www.morgellonsexposed.com/Mo...

[35a] http://www.carnicominstitute.org/ar...

[35b] http://www.carnicominstitute.org/ar...

[36] http://www.voltairenet.org/article1...

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La tornade d'Oklahoma

23 Mai 2013, 11:25am

Publié par Ciel Voilé

 

 

Pour l'instant en anglais : Scott Stevens

 

 

 


 

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Déclin des insectes et des poissons au Mont Shasta Californie

19 Mai 2013, 19:36pm

Publié par Ciel Voilé

 

Le 15 mai 2013


Francis Mangels – biologiste retraité- Mont Shasta Californie - témoin du déclin des populations d'insectes et de poissons


Salut à tous de Francis:

francisimages.jpg

Nous avons utilisé des filets de balayage pour compter les insectes locaux, car nous n'avons pas pu voir ce que nous voyions d’habitude. Ces trois dernières années, les  insectes terrestres ne représentent que 20% de la population normale. Cette année, les populations semblent être d'environ 10% de la normale. Les plus nombreux sont les vrais insectes et les pucerons, les suceurs, tandis que les orthoptères sont presque absents à l'exception de quelques rares criquets volants.


Depuis cinq ans, les poissons ne sont qu’à environ 10% de la normale, sauf dans les zones d’eau de source. Les espèces qui vivent dans la boue sont particulièrement absentes. Les truites sont en mauvais état, et la taille des poissons sauvages a généralement diminué dans les ruisseaux locaux. Je vais à la pêche comme d'habitude, mais quand je prends quelque chose, c’est généralement  un poisson d'élevage qui n’a que quelques insectes terrestres comme des fourmis dans le ventre.

 

Je ne fais que rapporter ce que mon échantillonnage a trouvé. J'espère très sincèrement que ce n’est qu’une anomalie à long terme, mais je commence à soupçonner que ce n'est pas le cas, parce que les effets sont si répandus. Une pollution ponctuelle affecte un seul flux. La pollution atmosphérique les affecte tous, et je soupçonne ces éléments Welsbach ( brevet de géo-ingénierie).


O Seigneur, si tout ceci pouvait être faux !


BF

http://aircrap.org/update-report-frances-mangels/337278/

 

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