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Ciel Voilé

Résultat pour “effet secondaire en attente”

Mes chers confrères, parlons vaccins

10 Janvier 2018, 15:15pm

Mes chers confrères, parlons vaccins
Mes chers confrères, parlons vaccins
Mes chers confrères, parlons vaccins
Mes chers confrères, parlons vaccins

Mes chers confrères, parlons vaccins

C'est une petite lettre ouverte à l'ensemble de mes confrères médecins, mais dont les lecteurs d'Agoravox pourront profiter utilement, si on ne fourgue pas ce travail aux oubliettes. J'y explique comment et pourquoi les médecins croient faire du bon travail, en toute bonne foi, alors qu'en fait ils créent une longue litanie de pathologies qui vont alimenter leur clientèle de longues années durant.

Mes chers confrères. 

Vous croyez en l'efficacité des vaccins. Pourquoi ? Parce qu'on vous l'a dit. En fait, bien peu d'entre vous les ont étudiés sérieusement par eux-mêmes, et ceux-là ont généralement renoncé aux vaccins. Les autres seraient pourtant bien en peine de dire si leur patient, s'il n'a pas la polio, le doit au vaccin. C'est pourtant, aujourd'hui, bien plus un acte de foi qu'une certitude, cette maladie ayant disparu sous nos cieux, et vraisemblablement pas grâce au vaccin, mais parce que c'est le destin habituel des épidémies de disparaître spontanément.
Vous croyez aussi en l'innocuité des vaccins. Là, l'explication de votre cécité est plus complexe.

On vous confie des enfants en parfaite santé, vous les vaccinez, et vous constatez qu'ils ne sont pas plus malades que les enfants que vous avez vaccinés les années précédentes. Et vous avez tout à fait raison : les nouveaux vaccinés ne deviennent ni plus ni moins malades que les anciens.

Ainsi, considérant qu'il est normal que 10% des enfants soient asthmatiques, vous jugez que les nouveaux vaccinés ne présentent pas cette pathologie davantage que vos anciens petits patients.

Et vous avez encore raison.

Et cela vous rassure.

Et cela vous conforte.

Les laboratoires vaccinaux ne font pas autre chose. Ils comparent un nouveau vaccin à un ancien, et constatent que le nouveau ne fait pas plus de dégâts que l'ancien, sauf certains, comme l'Hexavac et le Rotatec par exemple, qu'on retire du marché en catimini peu après les avoir chaudement recommandés, quand ils ont occasionné quelques décès. D'autres, comme le Méningitec, parviennent encore à s'accrocher, malgré 240 plaintes au tribunal de Clermont-Ferrand (et peut-être 550). "Petits" problèmes liés aux nanoparticules, semble-t-il : présence de poussières d’acier inoxydable, de plomb, de zinc, de titane, et même de zirconium, un composé « légèrement radioactif », composants qui pénètrent les cellules et n'en sortiront jamais.
Pour eux comme pour vous, en dehors de ces petits détails vite étouffés par les media, tout va donc pour le mieux dans le meilleur des mondes.

Aucune raison, donc, de vous remettre en question. Les vaccins sont efficaces, puisque vous ne diagnostiquez plus ni rougeoles ni polios.

Ils sont inoffensifs, puisque vous ne constatez pas plus de pathologies qu'il y a dix ans. Sauf peut-être, peut-être, en cherchant bien, davantage de cas d'autismes régressifs, environ 300 fois plus de cas qu'il y a 50 ans, mais nous en reparlerons un jour.

Alors, pourquoi est-ce que je viens jouer les éléphants dans votre beau magasin de porcelaine ?

Tout simplement parce qu'il y a un biais cognitif dans vos observations.

Vous comparez ce qui paraît comparable, mais la comparaison n'est pas la bonne. Pourtant, vous auriez du constater que là où on voyait un enfant asthmatique sur 100 enfants il y a 30 ans, on en observe dix aujourd'hui, et comme la grenouille qu'on met dans la casserole d'eau froide et qui ne s'aperçoit pas que la température monte, et qu'elle va bouillir, parce que c'est insidieux, progressif, vous n'avez rien vu venir. Même si les plus anciens ont constaté ce quasi décuplement, ils l'attribuent commodément à la pollution.

La bonne comparaison , qui n'est plus guère facile aujourd'hui puisqu'on vaccine tout le monde à tour de bras, consiste à comparer des enfants vaccinés avec des non-vaccinés. Mais la mauvaise santé est devenue la norme, et il n'y a plus rien à comparer. Cela parait pourtant élémentaire, d'étudier cette comparaison, mais elle n'a jamais été faite sur un plan national ou mondial. 

Elle n'est pas faite parce qu'on ne veut pas la faire. Et on ne veut pas la faire parce que ses résultats seraient tout bonnement effroyables. Ils rendraient les population furieuses, et les médecins tremblants de honte.

Comme prétexte pour ne pas les faire, on avance qu'il serait criminel de priver des bienfaits de la vaccination ces pauvres enfants qui serviraient de témoins, vierges de tout vaccin, et de les mettre ainsi en danger.

C'est bien commode...

Parce que ces études, elles ont tout de même été faites, sans que vous en ayez entendu parler. Il existe des communautés où on ne vaccine pas. Et on a pu faire ces comparaisons. Toutes ces études vont dans la même direction, aboutissent aux mêmes conclusions.

Et en voici les résultas.

Sur 1000 petits patients que vous vaccinez, vous voyez, avec des taux de gravité divers, 36 épilepsies. Ca vous parait la norme. Mais chez les non-vaccinés, il n'y en aurait que trois.

Vous voyez, avec des taux de gravité divers, 53 scolioses. Ca vous parait la norme. Mais chez les non-vaccinés, il n'y en aurait que cinq. (Oui, cela paraît curieux : il semble que les toxiques vaccinaux provoquent une souffrance neurologique qui contracte anarchiquement les muscles para-vertébraux, provoquant cette déformation).

Vous voyez, avec des taux de gravité divers, 180 asthmes et bronchites récidivantes. Mais chez les non-vaccinés, il n'y en aurait que vingt-trois.

Vous voyez 80 hyperactifs. Mais chez les non-vaccinés, il n'y en aurait que vingt.

La où vous voyez 70 maladies auto-immunes, vous n'en verriez que quatre.

La où vous voyez 150 sinusites, vous n'en verriez que sept.

La où vous voyez 20 diabètes de type1, vous n'en verriez que sept.

J'arrête ici, vous verrez le reste sur le schéma qui suit.

Mais est-ce que vous vous rendez compte que par votre vaccin, sur 1000 enfants, vous avez créé de toutes pièces, 48 scolioses, 33 épilepsies, 60 hyperactivités, 157 asthmes et bronchites, 143 sinusites, 66 maladies auto-immunes, 13 diabètes de type 1, qui n'auraient jamais existé si vous n'aviez pas vacciné ?

Vous pouvez pinailler sur ces chiffres, prétendre même qu'ils sont exagérés d'un facteur 2, si ça vous fait plaisir et bien que ce soit faux : ça ne résoudra pas votre problème : vous faites du mal aux enfants en croyant les protéger, et il est urgent d'en prendre conscience.

Et Mme Buzyn, qui attend la fin de son mandat de Ministre pour aller pantoufler dans les conseils d'administration des grands laboratoires en remerciement de ses services, comme bien d'autres avant elle et bien d'autres après, qui vient dire, en pleine Assemblée Nationale, que les vaccins sont absolument sans dangers, devant une cour de députés ignorants qui applaudissent en choeur, c'est à vomir...

Vérifiez par vous-mêmes, et vous aboutirez à cette même conclusion : avec ces vaccins, pour la plupart aujourd'hui inutiles, vous abimez les enfants qu'on vous confie en bonne santé.

Vous échangez des coqueluches contre des asthmes et des rougeoles contre des autismes. Si les premières durent quelques jours et protègent à vie, les seconds perdurent toute une existence.

C'était par ignorance, ce sera, maintenant que vous savez, par entêtement ou fanatisme. On peut même trouver bien pire comme qualificatif. 

Vous savez qu'il meurt chaque année en France 250 enfants de Mort Subite du Nourrisson. Inexplicables, vous dit-on. L'expérience japonaise de 1975 à 1980, où le Japon reculé à deux ans l'âge des premières vaccinations, a montré un recul de 90% des cas.

 En France, cela ferait 225 MSN en moins. Alignés, ça fait environ 150 mètres. Représentez-les vous visuellement. Puisse mon cynisme délibéré vous déchirer les tripes et ouvrir vos yeux.

N'attendez pas d'être responsable de la prochaine MSN, on en relève tout de même près d'une par jour en France, et ça pourrait tomber sur vous (si j'ose dire).

Ne soyez plus complices.

https://web.archive.org/web/20150323123915im_/http://www.vaccineinjury.info/images/stories/comparison%20vaccinated-unvaccinated.jpg

J'en profite pour ajouter un article précédemment refusé, qui complète utilement celui-ci :

La dernière étude publiée est tout à fait éloquente et date de cette année.

http://www.cmsri.org/wp-content/uploads/2017/05/MawsonStudyHealthOutcomes5.8.2017.pdf

L'étude pilote du Dr Mawson concerne environ 700 enfants scolarisés à la maison. C'est un reproche qui est souvent fait par les vaccinalistes, ce qui est d'un cynisme rare, quand on sait qu'on ne peut plus mettre un enfant à l'école s'il n'est pas vacciné : dès lors, où trouverait-on des sujets d'étude ? Seulement chez les opposants à la vaccination qui sont contraints d'éduquer leurs enfants chez eux pour leur éviter les vaccins, non sans de bonnes raisons, comme on va le voir.

De la page 5 à 8, on trouve des colonnes de chiffres, que j'ai partiellement résumés ici :

 

C'est vrai, il y a du positif :  

  Vaccinés Non vaccinés

Varicelle 7,9%  25,3%

Coqueluche 2,5% 8,4%

Rubéole 0,3% 1,9% 


 

La belle affaire....


 

Car côté négatif :


 

Otites 19,8% 5,8% (x 3,41)

Pneumonies 6,4% 1,2% (x 5,33)

Rhinites allergiques. 10,4% 0,4% (x 26)

Allergies 22,2% 6,9% (x 3,22)

Hyperactivité 4,7% 1% (x 4,7)

ASD(autisme et spectre) 4,7% 1,0% (x 4,7)

Eczema 9,5% 3,6% (x 2,64)

Difficultés. Apprent. lecture 5,7% 1,2% (x 4,75)

Desordres. Devel. Neuro : 10,5% 3,1% (x 3,39)

Toutes affections chroniques. 44% 24,9% (x 1,77)


 

On pourrait s'arrêter là, et conclure à l'évidence.

D'autant que cette étude ne parle ni d'épilepsie (x 11), ni de diabète (x3), ni de troubles de la fonction thyroïdienne (x17), ni de nombreuses autres pathologies comme je vous le montrerai dans un graphique en fin d'article.

Maintenant, cette étude est-elle isolée ? Pas du tout. On en trouve quelques dizaines, qui aboutissent toutes aux mêmes conclusions. 

Avec la permission de ma très récente et pourtant très chère amie Françoise Berthoud et des Editions Jouvence, je vais citer quelques pages de son livre "La Bonne santé des enfants non vaccinés", qui concerne ces études.

 

Angleterre

Michel Odent s’est intéressé au devenir des enfants non vaccinés contre la coqueluche. Dans le JAMA en 1994, il étudie 450 enfants allaités longtemps au sein dans le cadre de La Leche Ligue (groupe de soutien à l’allaitement animé par des femmes ayant elles-mêmes allaité leur bébé). 10,69 % des enfants vaccinés contre la coqueluche souffrent d’asthme contre 1,97 % chez les enfants non vaccinés.

Le même auteur étudia en 1997 des enfants d’une école Steiner : sur 125 enfants vaccinés contre la coqueluche, 18,4 % sont sujets à de l’asthme, contre 4,02 % chez 149 enfants non vaccinés. Dans les deux études, le risque de souffrir d’asthme est donc environ cinq fois plus élevé chez les vaccinés.

Hollande

En Hollande, le groupe NPKV a étudié en 2004 un groupe de 635 enfants non vaccinés. Ils étaient globalement nettement moins malades que les enfants vaccinés et présentaient cinq fois moins d’asthme et trois fois moins de troubles du comportement que les sujets contrôles vaccinés.

Europe centrale 

Un groupe de pédiatres12 a étudié 14 893 enfants d’écoles Steiner de cinq pays (Autriche, Allemagne, Hollande, Suède et Suisse) en comparant la santé des enfants élevés dans le style de vie des anthroposophes avec un groupe témoin. Ces enfants sont moins vaccinés que la population générale et ont donc encore l’occasion de « faire leurs maladies d’enfance ». Les auteurs signalent que ces enfants sont globalement en très bonne santé et moins souvent malades que les enfants des populations vaccinées.

Allemagne

Avant la chute du mur de Berlin en 1989, une des pédiatres de l’étude précédente, Erika von Mutius, avait comparé les deux populations séparées à l’époque par le mur.

À l’Est, on décrit des familles plus nombreuses, une plus grande promiscuité, davantage de chats et de chiens... et une faible couverture vaccinale.

Cette population souffrait alors de moins d’allergies qu’à l’Ouest.

La différence s’est effacée à la chute du mur.

Trop protéger les petits contre tout type d’infections les empêche de créer une immunité solide. Une étude montre que les enfants placés tôt en collectivité sont moins malades plus tard dans l’enfance. Ce type d’observation a fait dire à David Strachan, épidémiologiste fameux : « Donnez-nous aujourd’hui nos germes quotidiens...13 »

Espagne

Xavier Uriarte et J. Manuel Marín ont publié à Barcelone en 1999 une étude portant sur 314 enfants non vaccinés suivis pendant 25 ans (1975-2000). On observe dans ce groupe :

- une majorité d’accouchements naturels à la maison ou en maison de naissance,

- un allaitement prolongé,


-  pas de vaccinations,


-  l’utilisation de thérapies douces en cas 
de maladies,

- un apprentissage d’autogestion de la santé.
Les quelques maladies observées 
(7 coqueluches, 4 diphtéries, 8 rougeoles, 10 oreillons, 2 rubéoles, 1 hépatite A) n’ont laissé aucune séquelle. Les parents trouvent que leurs enfants vont très bien.

D’après les chiffres officiels des épidémiologistes, 20 % des enfants de la population générale souffrent d’allergies et d’asthme, ce pourcentage ne cessant de croître chaque année. Dans ce groupe des 314 enfants, on n’en retrouve que 3,33 %.

Nous avons donc là six à sept fois moins d’allergies chez les enfants non vaccinés.

Ces chiffres sont donc encore plus probants que ceux de Michel Odent (ce dernier n’avait étudié que des enfants avec ou sans vaccin coqueluche). Ici, il n’y a eu aucune vaccination dans le groupe étudié.

On observe en outre que les frais de santé sont réduits : pas de vaccinations (coût du vaccin et de la consultation) peu de maladies et hospitalisations courtes (le plus souvent pour des traumatismes).

États-Unis

Je cite deux observations : les Amish et l’expérience de Homefirst.

Les Amish

L’histoire de ce groupe humain remonte à l’an 1693, lors d’un schisme de l’église anabaptiste, en Suisse centrale. Beaucoup d’entre eux traversèrent l’Atlantique au début du XVIIIe siècle et s’appelèrent alors les Mennonites. Ils sont connus pour leur mode de vie simple, agricole, leur manière antique de se vêtir et leur réticence 

quant aux « bienfaits technologiques » du monde moderne.

Ils parlent des dialectes allemands ou suisses allemands.

En 2000, on en comptait 165 000 au Canada et aux États-Unis, puis 227 000 en 2008. C’est le groupe humain américain du Nord ayant le plus fort taux de natalité (6,8 enfants par famille)... ils refusent en effet en bloc avortement et contraception. Les Amish pratiquent la non-violence et refusent toute intégration à l’armée. Ils subissent parfois des pressions du monde extérieur dans les domaines du travail des enfants et de l’âge où se termine la scolarité obligatoire (ils ont leurs propres écoles, primaires seulement). Au niveau des obligations vaccinales, très sévères aux États-Unis, ils parviennent à passer entre les gouttes.

Depuis 2005, le journaliste d’investigation Dan Olmsted étudie l’épidémie d’autisme14 et ses liens avec des facteurs environnementaux, en particulier le mercure contenu dans les vaccins. En 2007, il écrit The Age of Autism, ouvrage bien sûr largement controversé par la médecine conventionnelle et vaccinatrice. Lors de son enquête chez les Amish de Pennsylvanie, il trouve quatre enfants autistes alors que, dans une population standard aux États-Unis, de même importance numérique, on aurait dû statistiquement en trouver 140. L’un de ces quatre enfants avait été exposé à un environnement chargé de métaux lourds, et les trois autres avaient été vaccinés avant d’être adoptés dans la communauté.

Dr Frank Noonan, médecin de famille dans le comté de Lancaster, Pennsylvanie, qui a travaillé dans la communauté Amish pendant un quart de siècle déclare : « Je n’ai pas vu d’autisme chez les Amish. »

HomeFirst

À Chicago, depuis les années 1970, les services médicaux HomeFirst pra- tiquent des accouchements à domicile et suivent beaucoup d’enfants non vac- cinés, l’état d’Illinois étant relativement permissif quand aux obligations vaccinales. Son directeur médical, le Dr Mayer Eisenstein15, n’a pas connaissance de cas d’autisme dans sa clientèle. Nous le citons : « Nous avons une assez grande pratique. Nous suivons au fil des ans 30 000 à 35 000 enfants (dont 15 000 nés à domicile par nos soins) et je ne pense pas que nous ayons un seul cas d’autisme chez les enfants qui n’ont jamais reçu de vaccins. Ce diagnostic est évident, il est difficile à manquer. »

Dans la clientèle de Homefirst, on ne trouve pratiquement pas non plus d’enfants asthmatiques. Le Dr Eisenstein et ses confrères pensaient d’abord que c’était grâce à l’allaitement maternel, mais ils réalisèrent plus tard que ce sont surtout les vaccinations qui entrent en jeu.

Australie

« Les enfants de Hopewood, les gosses en meilleure santé d’Australie16. »

En 1942, 85 enfants dont les mères ne pouvaient s’occuper correctement furent reçus dans une grande demeure à la campagne. Les bébés recevaient du lait de chèvre et les plus grands du lait de vache au début, remplacés plus tard par des jus de légumes et de fruits frais, qui produisaient moins de mucus. Leur alimentation était constituée de fruits, de légumes racines et de légumes verts, d’œufs, de noix, de riz, de porridge, de pain et de biscuits complets, de fruits secs, de beurre non salé, de lentilles et de soja. L’eau qu’ils buvaient était pure, exempte de chlore. Les « bonbons de Hopewood » se composaient de caroube, noix de coco, fruits secs et miel.

Le Service de Santé officiel, inquiet, exigea un jour qu’on leur donnât de la viande, mais les enfants la refusèrent. Les nutritionnistes qui analysèrent alors leur régime le trouvèrent adéquat et même supérieur au régime orthodoxe quant à la richesse en protéines, en hydrates de carbone, graisses et minéraux. On oublia la viande...

Dans ce groupe d’enfants, on ne signala aucune hospitalisation pour maladie ou opération. Aucun médicament ni aucun vaccin n’avait été administré.

Un dentiste les contrôla et trouva vingt fois moins de caries que chez les enfants de la ville. L’oto-rhino-laryngologiste n’avait jamais vu d’amygdales et de végétations aussi tranquilles, et le psychologue parla d’enfants remarquablement heureux et autonomes, malgré le fait que beaucoup d’entre eux n’avaient pas été nourris au sein ni maternés par leur mère.

Nouvelle-Zélande

Dans un livre publié par la société néo- zélandaise de réflexion sur les vaccins17 sont rapportées deux études, faites en 1992 et 1999. La bonne santé des enfants non vaccinés est claire : moins d’allergies, mais aussi moins d’otites, d’angines, de rhumes persistants, d’amygdalectomies, d’épilepsie et de troubles du comportement, l’hyperactivité en particulier.

Japon, et l’âge où l’enfant est vacciné

En 1975, le Japon décida de retarder l’âge des vaccinations à 2 ans plutôt que 2 mois, en relation avec les risques de mort subite des nourrissons attribués au vaccin de la coqueluche par des auteurs de plus en plus nombreux.

L’étude, publiée dans Pediatrics montre que les taux de mortalité infantile devinrent alors les plus bas au monde.

- de 1970 à janvier 1975, on avait indemnisé au Japon 57 cas de séquelles permanentes dont 37 morts.

Il n’existe malheureusement pas d’étude sur le suivi de ces enfants.

- de février 1975 à août 1981, alors que le vaccin était donné à 24 mois : 8 cas de séquelles permanentes dont 3 morts.

Ces chiffres nous démontrent clairement que la maturation du système immunitaire de l’enfant (qui n’est à son maximum qu’à l’âge de 5 ans), joue un grand rôle dans la possibilité de l’enfant de se défendre contre les agressions vaccinales.

Actuellement, et depuis les années 1990, le calendrier vaccinal japonais s’est « normalisé ». Nous pouvons imaginer sous quelles pressions cette décision a été prise.

Une étude à propos de l’âge où le vaccin est injecté, parue dans le Journal of Allergy and Clinical Immunology, arrive aux mêmes conclusions18. Sur 11 531 enfants, on observe les résultats suivants : À l’âge de 7 ans, le nombre d’enfants asthmatiques est de moitié moins important si la première injection du vaccin contenant la valence coqueluche est retardée. Parmi les enfants vaccinés à l’âge de 2 mois, 13,8 % ont développé un asthme, chez les enfants vaccinés entre 2 et 4 mois 10,3 % et chez les enfants vaccinés après 4 mois 5,9 %.

Voilà, chers confrères, où je voulais en venir. Ne croyez pas que je veuille détruire la médecine : j'ai au contraire le sentiment de la servir. Puisse ce petit texte vous aider à réfléchir et à remettre votre pratique en question, et en particulier à retarder le plus possible l'âge des premiers vaccins, si je n'ai pas réussi à vous y faire renoncer. Il y faudra sans doute un peu de temps, mais vous y viendrez un jour. Il vaudrait mieux que cela vienne de vous, et non de la colère du peuple, si vous m'en croyez.

 

Je ne remercierai jamais assez François Berthoud pour m'avoir autorisé à recopier ses écrits. Elle dit du reste de nombreuses autres choses dans son livre, que je recommande chaudement, et présente par exemple ces schémas qui démontrent sans aucun doute possible que l'introduction des vaccins n'a nullement changé le cours des épidémies, et qu'il s'agit-là d'un terrible mensonge :

 

 

 


 


 

 

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Le laboratoire de Wuhan a supprimé des fichiers montrant que Fauci avait autorisé le financement d'expériences risquées sur le coronavirus

31 Mai 2021, 17:16pm

Le laboratoire de Wuhan a supprimé des fichiers montrant que Fauci avait autorisé le financement d'expériences risquées sur le coronavirus

 

En mars, le Wuhan Institute of Virology a supprimé les mentions de sa collaboration avec le National Institute of Allergy and Infectious Diseases, dirigé par le Dr Anthony Fauci. Il a également supprimé les descriptions de la recherche par gain de fonction sur le virus du SRAS.

 

Dr. Joseph Mercola le 28 mai 2021

 

 

L'histoire en un coup d'œil :

 

L'Institut national des allergies et des maladies infectieuses (NIAID) - une division de l'Institut national de la santé (NIH) dirigée par le Dr Anthony Fauci depuis 1984 - a, pendant des années, accordé des subventions à l'Alliance EcoHealth et à d'autres pour mener des recherches sur le gain de fonction (GOF) sur les coronavirus.

 

Lors d'une audition au Sénat le 11 mai 2021, Fauci a nié avoir jamais financé des recherches sur les GOF à l'Institut de virologie de Wuhan (WIV). Ceci malgré une documentation claire prouvant le contraire.

 

En mars 2021, le WIV a supprimé de son site Internet les mentions de sa collaboration avec le NIAID/NIH et d'autres partenaires de recherche américains. Il a également supprimé les descriptions du GOF sur le virus du SRAS.

 

Le NIH/NIAID a financé les recherches de GOF à hauteur d'au moins 41,7 millions de dollars. Jusqu'en 2014, ces recherches étaient menées par Ralph Baric à l'Université de Caroline du Nord. Après 2014, lorsque le financement fédéral de GOF a été interdit, ces recherches ont été acheminées vers le WIV via l'Alliance EcoHealth.

 

En août 2020, le NIAID a annoncé un investissement de 82 millions de dollars sur cinq ans dans un nouveau réseau mondial de centres de recherche sur les maladies infectieuses émergentes qui mèneront des expériences de GOF pour "déterminer quels changements génétiques ou autres rendent les agents pathogènes [animaux] capables d'infecter les humains".

 

Le NIH/NIAID a financé la recherche sur le gain de fonction

 

Comme le rapporte Swann, le NIH/NIAID a financé la recherche sur les GOF à hauteur d'au moins 41,7 millions de dollars. Jusqu'en 2014, ces recherches étaient menées par Baric à l'Université de Caroline du Nord (UNC). En 2014, le gouvernement américain a émis un moratoire sur le financement fédéral de la recherche sur le gain de fonction en raison des préoccupations de sécurité, d'éthique et de morale soulevées au sein de la communauté scientifique.

 

C'est à ce moment-là, en 2014, que le financement de la recherche sur les GOF a commencé à être acheminé par l'Alliance EcoHealth vers le WIV. Swann passe en revue les documents prouvant que Fauci a menti au Congrès, notamment un article intitulé "SARS-Like WIV1-CoV Poised for Human Emergence", soumis à PNAS en 2015 et publié par la suite en 2016. Dans cet article, les auteurs déclarent que :

 

" Dans l'ensemble, les résultats de ces études soulignent l'utilité d'une plateforme qui tire parti des résultats de la métagénomique et de la génétique inverse pour identifier les menaces prépandémiques ".

" Pour le WIV1-CoV de type SRAS, les données peuvent informer les programmes de surveillance, améliorer les réactifs de diagnostic et faciliter les traitements efficaces pour atténuer les événements d'émergence futurs. Cependant, la mise au point de réactifs nouveaux et chimériques doit être soigneusement évaluée par rapport aux problèmes potentiels de gain de fonction (GOF)."

 

A la fin de cet article, les auteurs remercient "le Dr Zhengli-Li Shi du Wuhan Institute of Virology pour l'accès aux séquences de bat CoV et au plasmide de la protéine de pointe du WIV1-CoV". Ils précisent également que la recherche a été soutenue par le NIAID dans le cadre des subventions U19AI109761 et U19AI107810, qui totalisent ensemble 41,7 millions de dollars.

 

Comme l'a noté Swann, ce document indique clairement que le NIAID a dépensé 41,7 millions de dollars pour la recherche sur le GOF, dans le but de déterminer comment les coronavirus des chauves-souris peuvent être rendus plus pathogènes pour les humains, et que cette recherche s'est poursuivie après la mise en œuvre du moratoire de 2014 sur ce type de financement.

 

Le NIAID considérait les recherches de Baric comme des GOF

 

Qui plus est, une lettre du Département de la santé et des services sociaux au directeur des propositions de l'UNC Chapel Hill, discutant de la subvention U19AI107810, l'explique également noir sur blanc. La lettre du 21 octobre 2014 déclare, en partie :

 

"Le NIAID a déterminé que la subvention référencée ci-dessus peut inclure des recherches sur le gain de fonction (GOF) qui sont soumises à la pause de financement du gouvernement américain récemment annoncée ... Les objectifs spécifiques suivants semblent impliquer des recherches couvertes par la pause : Projet 1 : Rôle des gènes non caractérisés dans l'infection par le coronavirus humain hautement pathogène - Ralph S. Baric, Ph.D. - Chef de projet.

 

"Objectif spécifique 1. Fonctions nouvelles dans la réplication du virus in vitro. But spécifique 3. Nouvelles fonctions dans la pathogenèse du virus in vivo ... Comme votre subvention est actuellement financée, cette pause est volontaire."

 

En d'autres termes, le NIAID a autorisé la poursuite de ce qu'il a admis être une recherche de type gain-of-function - simplement parce que la subvention avait déjà été financée - et il l'a fait après la mise en place de l'interdiction de ce type de financement.

 

Le NIAID a autorisé la recherche sur le gain de fonction, en contournant la commission d'examen

 

Mais ce n'est pas tout. Après la levée du moratoire en 2017, un comité d'examen spécial, le Potential Pandemic Pathogens Control and Oversight (le cadre d'examen P3CO), a été créé au sein du DHHS pour évaluer si les subventions impliquant des agents pathogènes dangereux valent les risques. Le comité d'examen est également chargé de veiller à ce que des mesures de protection adéquates soient mises en place pour les recherches approuvées.

 

Selon Richard Ebright, professeur à l'université Rutgers, une subvention du NIH pour une recherche impliquant la modification de coronavirus de chauve-souris au WIV a été accordée en douce parce que le NIAID ne l'a pas signalée pour examen. En d'autres termes, le WIV a reçu un financement fédéral du NIAID sans que la recherche ait reçu le feu vert du comité d'examen du HHS.

 

Le NIAID a apparemment utilisé une faille pratique dans le cadre de l'examen. Il s'avère qu'il incombe à l'organisme de financement de signaler les recherches susceptibles d'entraîner un gain de fonction pour examen. S'il ne le fait pas, le comité d'examen n'en a pas connaissance.

Selon Ebright, le NIAID et les NIH ont "systématiquement contrecarré - voire systématiquement annulé - le cadre P3CO du HHS en refusant de signaler et de transmettre les propositions pour examen".

 

Le NIAID s'engage également à poursuivre la recherche sur le GOF

 

Enfin, M. Fauci s'est clairement engagé à poursuivre la recherche sur les GOF, puisque le NIAID a annoncé, en août 2020, un investissement de 82 millions de dollars sur cinq ans dans un nouveau réseau mondial de centres de recherche sur les maladies infectieuses émergentes.

 

L'EcoHealth Alliance de Peter Daszak recevra 7,5 millions de dollars de cette subvention, et les recherches prévues comprendront des expériences de type GOF qui, selon le NIAID, permettront de "déterminer quels changements génétiques ou autres rendent les agents pathogènes [animaux] capables d'infecter les humains".

 

Le laboratoire de Wuhan a supprimé des documents montrant le financement de Fauci par le NIAID

 

Tout cela sert essentiellement de toile de fond au dernier développement. Il a été découvert que le WIV a discrètement supprimé de son site Web toute mention de sa collaboration avec le NIAID de Fauci, les NIH et d'autres partenaires de recherche américains, peu après que Fauci ait témoigné lors d'une audition au Sénat en mars 2021, où il s'est opposé au sénateur Rand Paul sur le port du masque. Comme rapporté le 15 mai 2021 par The National Pulse :

 

"Le 21 mars 2021, le site web du laboratoire a répertorié six partenaires de recherche basés aux États-Unis : L'université d'Alabama, l'université de North Texas, EcoHealth Alliance, l'université de Harvard, les National Institutes of Health (NIH), les États-Unis et la National Wildlife Federation.

"Un jour plus tard, la page a été révisée pour ne contenir que deux partenaires de recherche - EcoHealth Alliance et l'Université d'Alabama. Le 23 mars, EcoHealth Alliance était le seul partenaire restant.

 

EcoHealth Alliance est dirigée par un partenaire de longue date du Parti communiste chinois, le Dr Peter Daszak, dont le rédacteur en chef de National Pulse, Raheem Kassam, a affirmé à plusieurs reprises qu'il serait le premier " bouc émissaire " de la débâcle du laboratoire de Wuhan...

 

"Au-delà de l'établissement d'une relation de travail entre le NIH et l'Institut de virologie de Wuhan, des messages du site, aujourd'hui supprimés, détaillent également des études portant la marque de la recherche sur le gain de fonction menée par le laboratoire de Wuhan."

 

Une page modifiée du WIV admet des recherches sur le gain de fonction avec des partenaires américains

 

En effet, une page Web du WIV, aujourd'hui supprimée, intitulée "Le SRAS reviendra-t-il ?", indiquait que :

 

"Zhengli Shi et Xingyi Ge du WIV, en coopération avec des chercheurs de l'Université de Caroline du Nord, de la Harvard Medical School et de l'Institut de microbiologie de Bellinzona ... examinent le potentiel pathogène d'un virus semblable au SRAS, le SHC014-CoV, qui circule actuellement dans les populations de chauves-souris chinoises.

 

" En utilisant le système de génétique inverse du SARS-CoV, les scientifiques ont généré et caractérisé un virus chimérique exprimant le pic du coronavirus SHC014 de la chauve-souris dans un squelette SARS-CoV adapté à la souris.

 

"Les résultats indiquent que les virus du groupe 2b codant pour la pointe SHC014 dans un squelette de type sauvage peuvent utiliser efficacement plusieurs orthologues ( NDT : le terme orthologue est utilisé pour décrire des gènes similaires présents chez deux espèces différentes) de l'enzyme de conversion de l'angiotensine II (ACE2) humaine, un récepteur du SRAS, se répliquer efficacement dans les cellules primaires des voies respiratoires humaines et atteindre des titres in vitro équivalents à ceux des souches épidémiques de SRAS-CoV.

 

"L'évaluation des modalités immunothérapeutiques et prophylactiques disponibles pour le SRAS a révélé une faible efficacité ; les anticorps monoclonaux et les vaccins n'ont pas réussi à neutraliser et à protéger de l'infection par les CoV utilisant la nouvelle protéine spike.

 

"Sur la base de ces résultats, ils ont synthétiquement redérivé un virus recombinant SHC014 infectieux de pleine longueur et ont démontré une réplication virale robuste à la fois in vitro et in vivo...".

 

Encore une fois, alors que Fauci insiste sur le fait que Baric "ne fait aucune sorte de recherche sur le GOF" et que "s'il le fait", c'est à l'UNC et non en Chine, la page web du WIV réfute clairement cette affirmation. La recherche sur le GOF a été effectuée au WIV, en partenariat avec des chercheurs de l'UNC, dont Baric est l'un des principaux.

 

La suppression par le WIV des partenaires de recherche américains sur son site web (à l'exception d'EcoHealth Alliance) et la suppression de l'article traitant de la recherche génétique sur le virus du SRAS soulèvent de nombreuses questions et semblent constituer une nouvelle tentative de dissimulation. Ce qui est surprenant, c'est qu'ils couvrent maintenant l'implication des Américains et pas seulement la leur.

 

Exemple de recherche sino-américaine du GOF

 

Le WIV et l'école de santé publique de l'université de Wuhan figurent tous deux sur la liste des sous-traitants d'EcoHealth Alliance dans le cadre d'une subvention du NIH de 3,7 millions de dollars intitulée "Comprendre le risque d'émergence du coronavirus de la chauve-souris".

 

Les deux institutions ont également collaboré dans le cadre d'une autre subvention de 2,6 millions de dollars pour la recherche sur le "risque d'émergence de virus par les chauves-souris", ainsi que dans le cadre de la plus importante source de financement d'EcoHealth Alliance, une sous-subvention de 44,2 millions de dollars de l'Université de Californie à Davis pour le projet PREDICT (2015-2020).

 

Une partie de la subvention PREDICT a servi à financer les expériences de GOF menées par Zhengli, scientifique du WIV, et Baric avec l'UNC. Dans cette expérience, Zhengli et Baric ont utilisé le génie génétique et la biologie synthétique pour créer un "nouveau virus de type SRAS de chauve-souris ... qui peut sauter directement de ses hôtes chauves-souris aux humains." La demande de Zhengli et Baric de poursuivre leurs recherches pendant le moratoire sur le GOF a été approuvée par les NIH. Daszak a décrit le travail de Zhengli et Baric dans une interview de 2019 :

 

"Vous pouvez les manipuler [les coronavirus] en laboratoire assez facilement. La protéine spike conduit une grande partie de ce qui se passe avec le coronavirus, le risque zoonotique. Vous pouvez donc obtenir la séquence, construire la protéine, et nous travaillons avec Ralph Baric à l'UNC pour le faire. On l'insère dans la colonne vertébrale d'un autre virus, et on fait du travail en laboratoire."

Les recherches ont été publiées dans la revue Nature en 2015.

 

Comme condition de publication, Nature, comme la plupart des revues scientifiques, exige que les auteurs soumettent les nouvelles séquences d'ADN et d'ARN à GenBank, la base de données du Centre national d'information sur la biotechnologie des États-Unis. Curieusement, le nouveau virus semblable au SRAS que Zhengli et Baric ont publié en 2015 n'a pas été déposé dans GenBank avant mai 2020.

 

Fauci a fait beaucoup de mal

 

Il reste à savoir si Daszak est en fait en train d'être préparé à devenir le bouc émissaire de cette saga. Il est clair qu'il est innocent dans la dissimulation des origines du laboratoire. Il s'est retrouvé, pour une raison ou une autre, dans deux commissions distinctes chargées d'enquêter sur l'origine du SRAS-CoV-2 - l'une par l'OMS et l'autre par The Lancet - après avoir déjà joué un rôle central dans le complot visant à dissimuler l'origine en laboratoire du SRAS-CoV-2 en rédigeant une déclaration scientifique condamnant ces enquêtes comme une "théorie du complot".

 

Cependant, il n'est pas question de laisser Fauci s'en tirer à bon compte. Comme Daszak, Fauci a passé l'année dernière à dénoncer la possibilité que le COVID-19 puisse être le résultat d'une fuite de laboratoire, tout en connaissant le type de recherche que son agence a financé dans ce laboratoire.

 

Il a longtemps été un défenseur et un promoteur de la recherche GOF sur les virus animaux en général, affirmant, alors qu'il travaillait sur GOF avec des virus de la grippe aviaire, que cette recherche valait la peine de prendre des risques car elle permet aux scientifiques de se préparer aux pandémies. Cependant, ce type de recherche n'a manifestement pas amélioré d'un iota les réponses des gouvernements aux pandémies.

 

Fauci a également fait d'interminables volte-face lorsqu'il s'agit de recommander des masques, et a contribué à supprimer l'un des remèdes les plus efficaces, les plus sûrs et les moins coûteux contre le COVID-19, l'hydroxychloroquine, bien qu'il ait eu connaissance d'une étude de 2005 montrant qu'il s'agit d'un remède efficace contre le coronavirus du SRAS.

 

L'étude a été publiée dans le Virology Journal, qui est la publication officielle du NIH, il est donc difficile de croire qu'il ne l'ait pas connue. Mais au lieu de protéger la santé publique et de sauver des vies en utilisant l'hydroxychloroquine, Fauci a fait la promotion du remdesivir, un médicament inefficace, dangereux et coûteux, et des thérapies géniques COVID-19.

 

Fauci savait également (et a admis) que l'utilisation d'un test PCR avec un seuil de cycle (CT) supérieur à 35 le rendait inutile, car à ce stade, vous ne détectez que des nucléotides morts. Aucun virus vivant ne peut être détecté à des CT aussi élevés. Dès mars 2020, il savait que jusqu'à 90 % des tests PCR positifs étaient des faux positifs et que ces personnes n'étaient pas vraiment malades, mais il n'a rien dit ni fait.

 

Aujourd'hui, alors que les vaccins COVID-19 font des ravages, avec des déclarations d'accidents vaccinaux qui montrent qu'ils peuvent rendre invalides et tuer des dizaines de milliers de personnes dans le monde, Fauci défend l'utilisation universelle des vaccins et minimise leur létalité.

 

Selon Fauci, les décès dus aux vaccins doivent être "replacés dans le contexte de la population dans laquelle ils sont survenus". Il fait référence à des cas où des personnes âgées sont mortes peu après avoir reçu leur injection de COVID. Les personnes âgées meurent, donc il ne faut pas accuser le vaccin.

 

C'est l'hypocrisie dans toute sa splendeur. Lorsque des personnes âgées meurent avant d'être vaccinées, c'est à cause du COVID-19 et il faut faire quelque chose pour le prévenir, mais lorsqu'elles meurent après avoir été vaccinées, elles meurent de causes naturelles et aucune action préventive n'est nécessaire. Le rejet par Fauci des décès dus aux vaccins ne tient pas compte non plus du fait que de nombreuses personnes jeunes et en bonne santé ont signalé des réactions indésirables graves, voire sont décédées dans les heures ou les jours qui ont suivi leur vaccination.

 

La recherche sur le gain de fonction est la vraie menace

 

Je pense que la coopération et le partage des recherches du GOF entre les nations sont tels que la responsabilité sera finalement partagée par plusieurs parties. En réalité, si le SRAS-CoV-2 provenait effectivement d'un laboratoire, la question clé est de savoir comment empêcher une autre fuite de laboratoire ? Et, s'il s'avère qu'il s'agissait d'un virus génétiquement manipulé, autorisons-nous la poursuite de la recherche sur le gain de fonction ?

 

Je pense que la réponse est d'interdire la recherche qui consiste à rendre les agents pathogènes plus mortels pour les humains. À l'heure actuelle, le même establishment qui sème la panique en mettant en garde contre l'émergence de nouveaux variants plus infectieux et plus dangereux est également occupé à les créer. C'est juste qu'ils ne vous en parlent jamais.

 

Les scientifiques ont déjà trouvé un moyen de faire muter le SRAS-CoV-2 de manière à ce qu'il échappe aux anticorps humains. Si ce virus muté venait à se répandre, nous aurions de sérieux problèmes. Alors que l'homme a créé plusieurs épidémies, la nature semble avoir un moyen de ne PAS faire muter les virus animaux en tueurs mondiaux. L'hypocrisie doit donc cesser.

 

Les dirigeants du monde entier doivent réaliser que le financement et la défense de la recherche sur les gains de fonction constituent la véritable menace. Je crois que les mensonges de Fauci sont une tentative pathétique de cacher l'implication de son agence dans la recherche sur les GOF qui aurait pu entraîner une crise mondiale.

 

Publié à l'origine par Mercola.

 

https://childrenshealthdefense.org/defender/wuhan-lab-deleted-files-fauci-authorized-funding-coronavirus-experiments/

 

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Victoire ! David Noakes est libéré aujourd'hui !

14 Décembre 2021, 21:30pm

Publié par Ciel Voilé

David Noakes

David Noakes

Le 13 décembre 2021 - Scott C. Tips, Président du NHF

https://thenhf.com/victory-david-noakes-released-today/

 

LA COUR D'APPEL FRANÇAISE REND SA DÉCISION SUR L'EMPRISONNEMENT DE DAVID NOAKES


"Il est dangereux d'avoir raison dans les affaires sur lesquelles les autorités établies ont tort." Voltaire

Alors que l'année 2021 s'achève rapidement, nous constatons que le président du NHF, David Noakes - qui a subi de fausses accusations et un emprisonnement pur et dur en France depuis des années maintenant, tout cela en raison de ses nobles efforts pour aider les patients mourants à se rétablir - est toujours en prison après 18 mois. Aux dernières nouvelles, David Noakes avait aidé quelques 10 000 patients à survivre alors qu'ils avaient très peu d'espoir. Aucune plainte n'ayant été déposée par les patients, l'industrie pharmaceutique elle-même a porté plainte contre David, d'abord au Royaume-Uni, puis en France, lorsque cela n'a pas semblé être une sanction suffisante. Même les Suisses veulent retirer un morceau de chair de David.


Après leur procès de quatre jours à Paris, fin mars 2021, David Noakes et Lynda Thyer ont été condamnés à quatre et trois ans de prison, respectivement. Lynda Thyer ayant déjà purgé la moitié de sa peine, elle a été libérée immédiatement pour rentrer chez elle en Angleterre, où elle demeure à ce jour. David est retourné à la prison de Fleury-Mérogis, dans la banlieue sud de Paris, où il est enfermé dans une cellule de neuf mètres carrés 22 heures sur 24.


Cependant, le nouveau procès en appel de son affaire française ayant eu lieu du 6 au 8 décembre 2021 au Palais de Justice au cœur de Paris sur l'Île de la Cité, la cour d'appel composée de trois juges a lancé une bouée de sauvetage à David en indiquant qu'elle examinerait les plaidoyers des avocats de David pour sa libération. Ce qui suit est le récit jour par jour de ce qui s'est passé.


Premier jour du procès en appel (6 décembre)


C'est aujourd'hui, lundi 6 décembre, qu'a débuté le procès en appel de David Noakes, Lynda Thyer et d'autres coaccusés impliqués dans un prétendu projet de "gangstérisme criminel" en France visant à vendre et distribuer la glycoprotéine humaine naturelle GcMAF et à rendre la santé aux patients.


Le procès initial, qui s'est tenu en mars dernier, s'est soldé par un verdict de culpabilité très prévisible pour les cinq accusés, David Noakes ayant reçu la peine la plus lourde (quatre ans de prison). La décision, annoncée le 14 avril 2021, a immédiatement fait l'objet d'un appel de la part de la plupart des coaccusés, mais aussi du Syndicat des pharmaciens français, qui a eu l'incroyable culot de dire qu'il n'avait pas reçu suffisamment d'argent de la part des accusés pour leur "crime" d'avoir retiré des affaires aux pharmaciens fous de médicaments !


Le procès d'aujourd'hui n'a donc été qu'une répétition des événements passés, tels que lus dans la salle d'audience par la juge qui présidait. À sa droite se trouvait une autre juge, tandis qu'à sa gauche se trouvait un juge. La juge qui présidait a fait la plupart des interventions et a demandé à David Noakes - le seul défendeur présent - pourquoi il avait fait appel (réponse : ses avocats ont fait appel) et s'il avait l'intention d'aller jusqu'au bout du procès (oui, il l'avait fait). Elle lui a ensuite demandé pourquoi, ce à quoi il a répondu fermement et bruyamment : "PARCE QUE JE SUIS INNOCENT !".


Il y avait 16 personnes dans la salle d'audience aujourd'hui : les trois juges, un procureur, deux greffiers, deux gendarmes pour nous protéger d'un "grand criminel" et pour faire taire les bruyants, deux interprètes, un avocat des pharmaciens pour s'assurer que le prix du sang a été payé à leur syndicat, trois avocats de la défense et un membre du public, Daniel Hofnung, un ami de la famille pour ainsi dire.


La juge a ensuite lu les charges, à travers son masque, et est sortie dans la grande salle d'audience sans assistance électronique, même s'il y avait un microphone à proximité qui ne demandait qu'à être utilisé pour une personne "peu bavarde" comme la juge. Tenue dans une vieille salle d'audience aux murs lambrissés et aux plafonds de 6 mètres de haut, l'acoustique était terrible. Si l'on ajoute à cette mauvaise acoustique les masques, le fait de parler bas et dans une langue qui n'est pas la mienne, il m'était difficile de comprendre ce qu'elle disait, même si mon français est correct. Le fait que je n'aie eu que cinq heures de sommeil la nuit précédente n'a pas aidé non plus. Néanmoins, j'ai compris le sens général de ce qui s'est passé.


David a eu l'occasion de s'adresser à la Cour, ce qu'il a fait, expliquant aux juges qu'il avait abandonné le modèle commercial du GcMAF à partir de mai 2015 parce que la MHRA au Royaume-Uni les avait poursuivis 33 fois, avec 14 raids distincts, et avait saisi tous les comptes bancaires et l'argent qu'ils contenaient. Des gens sont morts à cause des actions de la MHRA, a-t-il poursuivi.


La présidente du tribunal a ensuite lu le rapport, qui était un rapport destiné à la cour d'appel et qui tentait de présenter une vue équilibrée des déclarations et des revendications des parties. Cela a duré un certain temps, et elle a mentionné le site web du GcMAF en Suède.
 

La présidente du tribunal a demandé à David s'il n'était pas d'accord avec le rapport. David a répondu que le rapport serait correct si le nom de Peter Dawson-Ball était substitué à son propre nom. Il a également souligné un certain nombre d'endroits dans le rapport où l'accusation a fait une déclaration de fait qu'ils ont maintenant pris une position opposée. Enfin, il a réaffirmé que Lynda Thyer et lui n'avaient eu aucune activité commerciale avec le GcMAF en France.


Mais environ deux heures après le début du nouveau procès, une altercation verbale a soudainement éclaté et l'avocat de David, Philippe OHAYON, s'est levé pour se plaindre que le gendarme assis à côté de David avait pris des mains de David le rapport que son avocat venait de lui remettre !

 

Maître Ohayon s'est plaint très fermement que cela n'était pas autorisé et violait la relation avocat-client. Après un certain temps, la dispute a pris fin, mais Maître Ohayon avait fait valoir son point de vue.


La présidente du tribunal a alors commencé son interrogatoire général de David. À l'accusation selon laquelle il aurait fait la promotion du GcMAF en tant que "remède universel" pour toutes les maladies, David a répondu : "Non, le GcMAF n'aide que pour 86 maladies, alors qu'il en existe 6 000, on ne peut donc pas dire que le GcMAF soit un "remède universel".


David a ensuite souligné que le Journal of Clinical Oncology, dans l'un de ses numéros de 2004, a publié un rapport montrant que 71 000 cas de chimiothérapie ont été examinés et que dans seulement 2,2 % des cas, les personnes traitées étaient encore en vie au bout de cinq ans !

 

Il a également souligné que les personnes généralement enclines à suivre une chimiothérapie ne sont pas celles qui opteraient pour un traitement au GcMAF. Cette dernière remarque a été faite pour répondre à l'accusation selon laquelle il portait préjudice aux patients en les détournant de l'adorable chimiothérapie au profit des injections de GcMAF.


L'interrogatoire de David s'est poursuivi pendant près de trois heures, et son propre avocat a eu l'occasion de poser des questions. Le procès a été ajourné pour la journée vers 19 h 45, pour reprendre le lendemain, mardi, à 13 h 30.


Je dois adresser d'énormes remerciements à tous les membres de la Fédération nationale de la santé et aux autres donateurs qui ont contribué (dans certains cas de manière importante) aux campagnes de collecte de fonds visant à assurer la défense juridique de David Noakes (et de Lynda Thyer).

 

Nous remercions tout particulièrement Andrew Noakes (son fils), Jessica (sa fille), Peter Noakes (son frère), la colonne britannique et Brian Gerrish (qui ont été extraordinaires), le Dr Judy Mikovits (qui a travaillé sur sa déclaration alors même que son mari bien-aimé était en train de mourir à l'hôpital), les combattants français pour la liberté en matière de santé Daniel Hofnung et Sylvie Rulekowski, Kat Carroll de la NHF, qui ont tous fait en sorte que cette question de financement soit très visible, ce qui a permis à David et Lynda de bénéficier d'une excellente équipe de défense juridique ! 


Deuxième jour du procès en appel (7 décembre) 


Aujourd'hui a été une journée étrange pour ce procès. Tout d'abord, après être entré dans le Palais de Justice par la porte spéciale réservée aux avocats et aux juges (puisque je suis avocat), j'ai reçu la triste nouvelle que l'avocat de Lynda Thyer, Maître Paul Sin Chan, avait été testé positif au Covid-19 et ne pourrait pas continuer dans ce procès. Ainsi, les trois juges, après avoir été informés de ce changement de situation, ont tout à fait correctement séparé le cas de Lynda Thyer de celui de David Noakes et ont reporté son procès à avril 2022, pour l'entendre en même temps que le cas de la sœur de Lyn, qui avait été reporté hier seulement à une nouvelle date en avril 2022. Donc, maintenant, le procès de cette semaine ne concerne que David Noakes.


David Noakes n'était pas dans la salle d'audience ce jour, mais il sera présent mercredi pour les arguments finaux. Cependant, en raison de l'exposition de l'avocat de David à Maître Sin Chan, il a dû passer un test Covid-19 et heureusement, il a été testé négatif, car la dernière chose que nous voulions, c'est que le procès de David soit également reporté à avril 2022, avec David pourrissant en prison pendant ce temps.


Après la décision du procès de Lynda Thyer, Philippe Ohayon (l'avocat français de David) a présenté sa motion pour que David sorte de prison le plus rapidement possible. La juge présidente a lu un rapport de probation et a fait plusieurs commentaires, comme le fait que David était membre de l'UKIP et était d'extrême droite (plus tard, faux). Elle a également rappelé que David avait résisté à l'ordre d'extradition vers la France, puis s'était enfui en disant que "si nous le libérons, il partira".

 

Elle a également mentionné qu'il avait quelques partisans sur Internet de "Lumiére de Gaia", quoi que ce soit. En fait, pourquoi ses liens ont-ils de l'importance ? Les commentaires et l'esprit de la juge semblaient indiquer qu'elle était contre la libération de David.


Elle a ensuite demandé à Maître Ohayon de présenter son cas et pendant les 40 minutes qui ont suivi, il l'a fait - de but en blanc et d'une manière fantastique et si persuasive que l'on pouvait littéralement voir la progression des juges, qui passaient d'un désintérêt presque total à un intérêt certain, puis prenaient des notes assidues de ce que disait Ohayon et le regardaient avec respect et approbation. Entre autres choses, Ohayon a fait valoir que la santé de David s'était fortement détériorée pendant les 18 mois passés dans une cellule de prison froide de 9 m2 et qu'il avait déjà purgé beaucoup plus de temps de prison qu'il n'aurait dû.

 

Ohayon a également contesté l'argument selon lequel David risquait de s'enfuir - en disant à la Cour que si David ne s'était pas enfui du procès au Royaume-Uni alors qu'il risquait une peine de 15 ans de prison, il ne le ferait pas ici. "Il n'y a rien dans la prison, la bibliothèque est complètement fermée à cause du COVID-19 et il reste assis dans sa petite cellule froide", a déclaré Ohayon. C'est inhumain, surtout pour avoir prétendument fait quelque chose que la loi punit de sanctions financières et non d'emprisonnement !

 

Ensuite, le procureur a eu l'occasion de parler et pendant les neuf minutes qui ont suivi, il a déclaré à la Cour que David risquait de s'enfuir, qu'il avait déjà eu ces problèmes de santé auparavant et que le mandat d'arrêt européen était le seul moyen de forcer David Noakes à se rendre en France. [Exact ! Quelle personne saine d'esprit résisterait à une chance de passer 18 mois de vacances dans une froide cellule de prison française ?]. Je suis heureux de dire que les juges ont semblé relativement désintéressés par ce que le procureur avait à dire, la présidente du tribunal ayant même fermé les yeux une partie du temps. Et qui pourrait blâmer la juge ? Les fonctionnaires sont souvent ennuyeux et pédants.

 

L'avocat de David a ensuite eu l'occasion de s'exprimer, et il a mis en pièces les arguments du procureur. Ohayon a souligné que la Cour de cassation (la plus haute juridiction française) avait déjà statué que les conditions de détention peuvent être prises en compte dans les décisions de libération des prisonniers, et qu'il n'y a pas de risque de fuite car David portera un bracelet électronique à sa libération si la décision est prise de le laisser en France pendant un certain temps.

 

Il a également souligné que tant que David est en prison, il court un risque puisqu'il n'est pas vacciné. De plus, depuis le décès de la mère de David le 28 novembre 2021, il était cruel de le priver des funérailles qui avaient été fixées au 17 décembre en Angleterre.

 

Plus prometteur encore, après que Maître Ohayon ait terminé ses derniers arguments pour la libération de David, et après une brève discussion entre les trois juges, la juge présidente a demandé à Ohayon de fournir une copie du certificat de décès de la mère de David. Il a dit qu'il le ferait, et la famille de David a obtenu ce document pour la Cour peu après.

 

C'était un très bon signe. En effet, si les juges ne sont pas enclins à libérer David de prison, pourquoi se donneraient-ils la peine de demander un certificat de décès ?

 

Les juges ont terminé la journée en disant que le jour suivant - le troisième jour du procès - serait consacré aux plaidoiries finales et qu'ils feraient connaître leur décision le lundi 13 décembre. Nous avons donc tous espéré, prié et travaillé pour obtenir une décision juste et équitable qui permettrait à David d'être libéré très bientôt.

 

Une fois de plus, David m'a demandé de vous adresser à tous ses remerciements les plus sincères pour votre soutien, tant financier que moral, qui l'a soutenu pendant tous ces mois injustes passés seul en prison.

 

Troisième jour du procès en appel (8 décembre)

 

C'est le troisième jour de ce qui s'est résumé au simple procès de David Noakes, les procès des autres coaccusés ayant été reportés à avril 2022. David Noakes était présent aujourd'hui au tribunal, flanqué de deux gendarmes armés dans leurs uniformes noirs pour s'assurer que David ne tente pas de " coup fourré " (comme s'il le ferait jamais).

 

Les trois juges ont commencé cette séance en posant à David un certain nombre de questions dont les réponses détermineraient s'il serait libéré ou non la semaine prochaine par décision de justice. On l'interroge sur son passeport ("volé par la MHRA"), sur la raison pour laquelle les funérailles de sa mère ont lieu si longtemps après sa mort ("pour que je puisse éventuellement y assister"), sur ce qu'il compte faire une fois cette affaire terminée ("prendre soin de mon père âgé, épouser Lyn Thyer et vivre une vie tranquille"), ses conditions de détention ("cellule froide et petite", "pas de contacts ou d'amis là-bas", "rien à lire en anglais", "bibliothèque fermée de toute façon à cause de COVID-19", "cour d'exercice déprimante qui me rappelle que je suis en prison" et "je ne suis pas sorti de ma cellule de tout le mois dernier"). ") Les juges l'ont interrogé, mais ont semblé satisfaits de ses réponses.

 

Après environ 45 minutes de ces questions, la juge présidente s'est tournée vers l'avocat du syndicat des pharmaciens et lui a demandé de faire sa déclaration finale. Ce type est une fouine si j'en ai jamais vu une et les premiers mots qui sont sortis de sa bouche ont confirmé que "les ventes de GcMAF par M. Noakes étaient en rapport avec le trafic international de médicaments. Ce trafic a été multiplié par 2 au cours des dix dernières années." Quel genre d'être humain essaierait d'accrocher les ventes présumées de GcMAF salvateur de David au wagon du trafic international de médicaments ? !

 

Il a parlé des "victimes" (bien sûr, jamais des victimes de ses clients) et du fait que Noakes était un "prédateur". C'était dégoûtant qu'ils aient même permis à cet avocat grippe-sous de parler au tribunal. À la fin, il a demandé que ses clients soient remboursés des quelques 20 500 euros qu'ils avaient perdus en ventes (à cause de la concurrence du GcMAF) et en frais de justice. Ensuite, il s'est assis, et c'était au tour du procureur de brosser un faux portrait de l'accusé.

 

Mais d'abord, David a demandé s'il pouvait s'adresser à la Cour au sujet de ce qui venait d'être dit. La présidente de la Cour lui a répondu à juste titre "pas maintenant" en raison de la procédure en cours, mais elle lui a assuré qu'il aurait le dernier mot. Elle a ensuite très gentiment offert à David du papier et un crayon pour qu'il écrive ses pensées afin qu'il ne les oublie pas. Il a accepté, les a écrit et le procès a continué.

 

La Procureure s'est levée et s'est tenue debout dans toute la fureur vertueuse qu'elle et sa petite taille pouvaient faussement rassembler, et a alors entrepris de dépeindre David comme le "Patron" d'un gang criminel qui avait transféré ses activités du Royaume-Uni vers la France, qui avait fait 2-9 millions d'euros ( !), et qui avait fait des affaires à Guernesey parce qu'il n'y avait pas d'impôts. Elle l'a accusé d'avoir pour but de gagner de l'argent, beaucoup d'argent, et de ne pas vouloir guérir les gens. Évidemment, elle n'a jamais prêté attention aux nombreuses déclarations de patients du GcMAF guéris grâce aux efforts de David. Et manifestement, tout comme le juge d'instruction français Gadaud dans le mandat d'arrêt européen initial, elle s'est trompée de plusieurs décimales sur les sommes gagnées !

 

La Procureur avait raison sur une chose, cependant, lorsqu'elle a accusé David Noakes de ne pas accorder d'importance à la chimiothérapie. Aucun d'entre nous qui connaît le bilan pathétique et misérable de la chimiothérapie n'accorde de crédit à cette dernière.

 

Elle a également dit une chose curieuse : que David Noakes vendait des médicaments qui n'en étaient pas, juste pour gagner de l'argent. Eh bien, si ce n'était pas des médicaments, alors pourquoi David était-il accusé de vendre des médicaments ?

 

Finalement, cette méchante sorcière de l'Est a demandé au tribunal d'augmenter la peine de David de 4 à 7 ans, de garder tous ses biens (et ceux des autres) qui avaient été saisis, de le garder en prison, et de publier le verdict du tribunal dans Le Monde (journal français) pour protéger " le peuple ", lui dire que le GcMAF est " dangereux ", et que le GcMAF ne guérit pas 86 maladies. Elle s'est ensuite assise avec un air suffisant sur le visage.

 

Malheureusement, j'ai remarqué que les trois juges avaient tous pris des notes pendant les 18 minutes où elle a parlé - ce qui n'est pas bon signe. Après une courte pause, c'est au tour de l'avocat de David de prendre la parole. Il a commencé, et continué, avec force et puissance, tout au long de son temps de parole, de sorte qu'il était en fait beaucoup plus facile pour moi de comprendre et de suivre son français. Une fois encore, Maître Ohayon a parlé de mémoire et à partir de notes. Il a dit que tout ce que David Noakes a gagné grâce à ce commerce n'était rien comparé aux milliards gagnés par l'industrie de la chimiothérapie et du cancer, que les utilisateurs français du GcMAF avaient refusé la chimiothérapie, et que le choix n'était pas entre le GcMAF et la chimiothérapie, mais entre le GcMAF et "rien" ! (Il s'agit d'un point important car l'accusation prétendait que David avait "volé" des patients pour qu'ils renoncent à une chimiothérapie salvatrice et utilisent le faux GcMAF à la place).

 

Maître Ohayon a ensuite précisé que David ne s'était pas lancé dans cette activité pour gagner de l'argent, mais que c'était devenu une "cause" pour lui ! Il croyait au GcMAF et voulait sauver la vie des gens. Qu'il se soit trompé ou non, cela n'avait aucune importance car de nombreux médecins soutenaient la position de David.

 

Maître Ohayon a ajouté qu'à l'avenir, nous regarderons la chimiothérapie de la même manière que nous regardons aujourd'hui l'utilisation des sangsues au XVIe siècle. C'est juste, a-t-il poursuivi, que beaucoup de gens ne connaissent pas encore le GcMAF.

 

Maître Ohayon a fait remarquer que même le juge britannique, lors du précédent procès de David au Royaume-Uni pour avoir distribué du GcMAF au Royaume-Uni, était d'avis que le GcMAF avait une valeur. Le produit n'est pas dangereux, a souligné Maître Ohayon devant la Cour.

 

Maître Ohayon a cité le professeur Deforce, qui avait fait une méta-analyse des publications médicales sur le GcMAF et qui avait commenté que le GcMAF n'est pas dangereux, et qu'il est indiscutable que le GcMAF peut fonctionner, même si des recherches supplémentaires sur ce sujet seraient nécessaires. "Dans certains pays, la pensée libertaire est forte, mais pas en France", a observé Maître Ohayon devant la Cour.

 

A la fin, Maître Ohayon a réitéré les points soulevés hier en faveur de la libération de David Noakes. La Cour a écouté attentivement les 48 minutes de plaidoirie de Maître Ohayon, mais je ne les ai pas vus prendre des notes. Le juge président s'est alors tourné vers David Noakes et lui a dit que c'était maintenant son tour de parler.

 

Ainsi, quelques minutes avant 17h00, David Noakes a déclaré à la Cour que "Je vais de plus en plus mal chaque jour. Je ne peux même pas former mes pensées pour une conversation. Je veux juste être libre de vivre une vie tranquille". Il s'est ensuite assis. Je pense que les juges l'ont écouté avec sympathie. Du moins, c'est ce que je me dis.

 

La juge présidente a ensuite répété ce qu'elle avait dit hier, à savoir qu'une décision sur la libération de David serait prise le lundi 13 décembre 2021, David ayant le droit de se présenter au tribunal en personne ou par liaison Zoom. La juge et l'avocat de David ont persuadé ce dernier que le meilleur choix était de rester en prison et de recevoir la décision par liaison Zoom. (N'oubliez pas qu'il faut à David au moins 4 heures aller-retour pour se rendre au tribunal). De plus, franchement, si la décision est de le libérer, alors ils peuvent traiter David hors de la prison beaucoup plus rapidement s'il est déjà là, que s'il est à des heures de route de la cour vers la prison.

 

Le juge président a également annoncé que la décision finale sur l'appel lui-même serait rendue le 28 février 2022. Cette décision portera sur les questions suivantes : la durée de la peine d'emprisonnement, la saisie des biens et la demande de l'accusation concernant la publication du verdict dans un journal français de grande diffusion.

 

Quatrième jour du procès en appel (13 décembre)

 

Ce lundi après-midi, le juge président a annoncé solennellement la décision de la Cour à trois juges concernant la libération de David Noakes de prison, après y avoir été détenu pendant 18 mois. David a assisté à l'audience par liaison Zoom avec l'un des avocats associés de la défense Ohayon et un traducteur dans la salle d'audience. Daniel Hofnung et moi-même étions présents dans la salle d'audience pour entendre la décision, qui a été annoncée à 13 h 46, heure locale.

 

La juge présidente - avec David Noakes qui écoutait et regardait depuis deux grands écrans fixés au mur de la salle d'audience - a annoncé que David Noakes devait être libéré immédiatement, pour rester chez moi en France, avec le droit de se rendre immédiatement au Royaume-Uni pour les funérailles de sa mère le 17 décembre, mais avec l'obligation de revenir en France au plus tard le 23 décembre. Une fois installé chez moi, David doit se présenter au poste de police local une fois par semaine, le jeudi. Et, ensuite, le 28 février 2022, il devra à nouveau se présenter devant le tribunal français pour recevoir le verdict final.

 

C'est une excellente nouvelle et la cour d'appel a fait preuve d'une véritable compassion envers David, qui faisait totalement défaut au niveau du tribunal de première instance. La juge présidente et ses deux collègues juges méritent une énorme gratitude pour avoir gardé un esprit ouvert, prêt à écouter les faits et le droit, pendant le procès en appel. Ils m'ont impressionné.

 

Maintenant, je vais aller à la prison et attendre dehors que David sorte et que je puisse l'emmener loin de là. Enfin. Mais, par-dessus tout, merci à vous tous qui avez soutenu David et Lynda pendant ces moments horribles par vos prières, votre travail, et vos nombreux dons. Vous êtes tous de vrais héros !

 

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Le confinement constitue un remède pire que le mal pour la société française

31 Octobre 2020, 18:23pm

Le confinement constitue un remède pire que le mal pour la société française

Laurent Mucchielli - Jeudi 29 octobre 2020 11h57


TRIBUNE : le confinement constitue un remède pire que le mal pour la société française
 

Près de 300 universitaires, scientifiques, professionnels de la santé (dont votre serviteur), du droit, de l’éducation et du social, ainsi que des artistes, se déclarent « atterrés » par des discours officiels qui dramatisent indûment la réalité afin de justifier des mesures de confinement.

Le président Macron, hier soir, a proféré une somme saisissante de mensonges et de données fausses (comme le nombre de décès quotidiens et les "projections" de mortalité, aussi délirantes que celles du printemps).

Cette tribune remet les pendules à l'heure en insistant sur la nécessité de penser intelligemment et raisonnablement les choses.

Nous ne pouvons simplement pas nous permettre un second épisode de panique collective destructrice, sauf à souhaiter l'effondrement de nos sociétés.


Le confinement constitue un remède pire que le mal pour la société française

C’est un secret de polichinelle : le reconfinement était envisagé depuis l’été dernier. La stratégie de communication du ministère de la Santé s’est déployée autour de cette perspective depuis plus de deux mois, de façon à le faire accepter par la majorité de la population le jour J. Les médias mainstream lui ont fourni une aide décisive. Ils sont le relais et l’instrument privilégiés de cette communication. Et, force est hélas de constater qu’ils jouent très bien le rôle qui leur a été assigné. S’appuyant mécaniquement sur les chiffres, cette communication consiste à ne s’intéresser qu’aux indicateurs les plus alarmants, en les changeant au fil du temps si celui qu’on utilisait ne permet plus d’envoyer le message espéré. Et si un indicateur a une évolution en dents de scie, la communication se fait uniquement les jours où les chiffres augmentent. Il n’y a qu’un seul message possible.

Avant-hier, 27 octobre, la manipulation a encore opéré. La totalité des médias a titré sur les prétendus 523 morts : « du jamais vu depuis le confinement ». Or ce chiffre était faux. Selon Santé Publique France, il y a eu 292 morts à l’hôpital le 27 octobre, contre 257 la veille (le 26) et 244 (en baisse donc) le 28. Mais l’on ajoute les morts en EHPAD qu’une fois tous les quatre jours en les cumulant. Prétendre compter les morts quotidien ce jour-là revient donc à gonfler artificiellement les chiffres. Et c’est étonnamment ce qui s’est passé la veille de l’allocution annoncée du président de la République, qui a repris à son compte ce chiffre faux. Est-ce un détail ? Non, ce n’est hélas qu’un exemple parmi beaucoup d’autres.



Une deuxième vague prétendue « plus terrible encore que la première »

C’est le président du « Conseil scientifique » (M. Delfraissy) qui le disait il y a quelques jours : arriverait une deuxième vague « plus forte encore que la première » et nous serions déjà dans « une situation critique ». Ce genre de prédiction catastrophiste constitue une manipulation d’un Conseil qui n’est pas scientifique mais politique. Rien ne permet non plus d’affirmer que, sauf confinement, « d’ici quelques mois, c’est au moins 400.000 morts supplémentaires à déplorer », comme l’a pourtant prétendu hier soir le président de la République. Enfin, il est également faux de dire que nous ferions simplement comme tous nos voisins européens. A ce jour, seuls l’Irlande et le Pays de Galles ont reconfiné la totalité de leur population.
Il serait urgent de revenir à la raison. Selon les chiffres de Santé Publique France, sur les près de 15 millions de tests effectués à ce jour, 93 % sont négatifs. Et parmi les 7% restant de la population testée positive, plus de 85 % ont moins de 60 ans ; il s’agit donc essentiellement de personnes qui ne risquent pas de faire une forme grave de la maladie. Au final, moins de 1% de la population est donc « à risque » et c’est uniquement elle qu’il faut protéger.

Autre façon de le dire : au cours de la période récente (entre le 1er septembre et le 20 octobre, jour où nous avons fait ce calcul), 7.621.098 personnes ont été testées. Sur cette même période, 38.100 individus ont été hospitalisés (0,5 %) et 6.593 ont été admis en réanimation (0,09 %) avec un test positif au Covid. En d’autres termes, depuis le 1er septembre, sur cet énorme échantillon de la population de 7,6 millions, la probabilité moyenne pour un individu lambda (sans distinction d’âge ou de comorbidité) de ne pas être hospitalisé est de 99,5% et celle de ne pas être admis en réanimation est de 99,91%. Justifier le reconfinement de 67 millions de Français sur cette base s’appelle un délire.

On dit alors : « oui, mais l’hôpital est submergé par le Covid ». Manipulation encore, pour trois raisons. D’abord, les tests ayant été généralisés depuis juillet, toute personne entrant à l’hôpital porteuse d’une trace du Covid est comptée comme un « hospitalisé Covid » même si elle vient en réalité pour son cancer ou son hypertension. Et c’est la même chose si elle entre en réanimation ou si elle décède. Ensuite, si les chiffres de l’hospitalisation et de la réanimation augmentent bel et bien, cela n’a rien d’exceptionnel : c’est au contraire ce qui se produit chaque année à la même époque (automne-hiver) mais que l’on fait semblant d’avoir oublié. Un Alzheimer généralisé s’est-il emparé de nos politiques et des journalistes ? Faut-il rappeler qu’en janvier 2020, à la veille de la crise du Covid, 1.000 médecins dont 600 chefs de service des hôpitaux avaient menacé de démissionner pour dénoncer « un hôpital public qui se meurt » ? Enfin, il y avait hier, le 28 octobre, 3.045 personnes en réanimation. Comment parler de saturation lorsque l’on se souvient que, fin août, le ministre de la Santé annonçait 12.000 lits disponibles si besoin (quatre fois plus donc). Où donc sont ces lits ?

La vérité est que les gouvernements ne veulent pas investir dans l’hôpital public où l’on maltraite les professionnels et où l’on a perdu près de 70.000 lits en 15 ans lors même que la médecine de ville est saturée et que les services d’urgence voient leur fréquentation augmenter d’année en année. Oui, l’hôpital est en tension mais ce n’est pas fondamentalement à cause du Covid ! C’est essentiellement à cause de la maltraitance politique dont ce service public est l’objet de manière générale depuis plus de 20 ans, et tout particulièrement depuis que les politiques y ont introduit comme partout une politique du chiffre et de la rentabilité inspirée du management des grandes entreprises.



La vie sociale amputée, la démocratie en péril

La vérité est que le confinement (qui sera peut-être prolongé au-delà du 1er décembre) crée bien plus de problèmes qu’il n’en résout. Son bilan mondial n’est associé à aucune réduction mesurable de la mortalité tandis que son principal résultat observable est d’abord de mettre au chômage des centaines de milliers et peut-être demain des millions de personnes, surtout évidemment parmi les plus fragiles (emplois précaires, CDD, Intérim, personnes payées à la prestation, saisonniers, etc.), et de menacer de disparition la plupart des petites entreprises, souvent familiales, autres que les commerces de bouche, dont l’activité quotidienne est la seule source de revenu. Gageons que les très grands groupes s’en satisferont car ils les rachèteront sans doute demain.

Ces mesures de confinement ont ensuite pour effet d’amputer la vie sociale de la plupart des liens sociaux autres que familiaux. Un certain style de vie et de pensée embourgeoisé s’en satisfaisait certes au printemps dernier, chaque enfant ayant sa chambre pour vivre son intimité, son ordinateur pour rester en contact avec l’école et son smartphone avec forfait illimité pour échanger en permanence avec ses amis, les parents faisant du télétravail, sortant chaque jour faire leur footing dans des rues et des espaces verts « où on entendait de nouveau les oiseaux », et se faisant livrer des repas à domicile s’ils avaient la flemme de faire à manger ou la peur d’aller se mêler à la populace dans un supermarché. Mais de quelle proportion de la population cette vie est-elle le quotidien en confinement ? Qui ne voit que le confinement fait exploser les inégalités sociales, les échecs scolaires, les violences intra-familiales, les troubles psychologiques et les renoncements au soin ? Qui ne sait qu’il entraine déjà dans d’autres pays des soulèvements et des émeutes de la faim ? Et qui comprend que les oiseaux ont bon dos et que ces petits moments de répit procurés par la panique des humains ne sont rien au regard de leur lente extinction ?

Quant à la démocratie, elle est mise sous cloche par l’état d’urgence permanent et le confinement. Qu’est-ce qu’une démocratie sans liberté d’aller et venir, de se réunir et de manifester ? Qu’est-ce qu’une démocratie où il n’y a quasiment plus personne dans les hémicycles des assemblées parlementaires ? Qu’est-ce qu’une démocratie où la justice est paralysée faute de pouvoir audiencer ? Qu’est-ce qu’une démocratie où, finalement, il n’y a plus qu’un pouvoir exécutif ? Qu’est-ce qu’une démocratie où tout ceci s’impose par la peur et la culpabilisation, voire la censure et la mise en accusation de quiconque refuse d’y céder ?

Chacun, en conscience, tirera les conséquences qu’il veut de tous ces dramatiques constats. Nous n’appelons pas à la révolution et nous ne faisons pas de politique partisane. Mais nous voulons dire que nous en avons plus qu’assez qu’on nous demande de nous comporter comme les moutons de Panurge au nom d’un principe de précaution totalement dénaturé et d’interprétations statistiques relevant de la manipulation. Nous réclamons qu’on en finisse avec cette panique sanitaire, qu’on donne aux soignants les moyens de remplir leurs missions de santé publique, qu’on cesse de violenter des pans entiers de la société et qu’on sorte de cet état d’urgence permanent pour bâtir démocratiquement une politique sanitaire consensuelle.

 

Signataires

Laurent Mucchielli, sociologue, directeur de recherche au CNRS
Laurent Toubiana, chercheur épidémiologiste à l’INSERM, directeur de l’IRSAN
Jean Roudier, professeur de médecine, rhumatologue, directeur de l’unité INSERM UMRs 1097
Paul Touboul, Professeur de cardiologie à l’université Lyon 1
Pierre-Yves Collombat, ancien sénateur du Var, ancien vice-président de la commission des lois
Emmanuel Krivine, chef d’orchestre, directeur honoraire de l’orchestre national de France
Jean-François Toussaint, professeur de physiologie à l’Université de Paris, ancien président des Etats Généraux de la Prévention
Marc Rozenblat, président du syndicat National des médecins du sport-santé
Christian Celdran, Directeur Régional des Affaires Sanitaires et sociales (DRASS) honoraire
Chantal Brichet-Nivoit, médecin et correspondante de l’Académie d’Ethique à l’Université de Paris
Dominique Eraud, médecin, présidente de la coordination nationale médicale santé environnement
Louis Fouché, médecin anesthésiste, réanimateur hospitalier
Bernard Marsigny, médecin anesthésiste réanimateur hospitalier
Gilles Perrin, médecin anesthésiste réanimateur
Bernard Swynghedauw, biologiste, directeur de recherche émérite à l’INSERM
Gilles Guglielmi, professeur de droit à l’Université Paris II Panthéon-Assas, Directeur du Centre de Droit public comparé
Éric Desmons, professeur de droit public, université Sorbonne Paris Nord
Alain Wurtz, professeur émérite de Chirurgie Thoracique, Université de Lille
Bernard Dugué, ingénieur des Mines, docteur en pharmacologie, docteur en philosophie
Elizabeth Oster, avocat à la Cour, ancien membre du Conseil National des Barreaux
Arnaud Rey, chercheur en psychologie au CNRS
Mathias Delori, politiste, chargé de recherche CNRS
Alexandra Menant, docteur en biologie, chercheuse au CNRS
Alain Deville, physicien, professeur émérite à l’Université Aix-Marseille
Thierry Oblet, Maître de Conférences en Sociologie, Université de Bordeaux
Éric Plaisance, professeur de sociologie à l’Université Paris Descartes
Thierry Flaget, Conseiller principal d’éducation
Marc Cognard, professeur de biologie et physique-chimie en lycée
Malick Abubakr Hamid Diallo, journaliste
Virginie Bauer, journaliste-enseignante
Cesare Mattina, enseignant/chercheur à Aix-Marseille Université
Nathalie Chapon, Enseignante et Chercheure à Aix-Marseille Université
Elise Carpentier, professeur de droit public à l’Université d’Aix-Marseille
Marc Roux, professeur Honoraire de Zootechnie
Pascale Gillot, Maître de conférences en philosophie, Université de Tours
Charalambos Apostolidis, Professeur de droit international à l’Université de Bourgogne
Didier Blanc, Professeur de droit public à l’Université de Toulouse
Christophe Leroy, Biologiste, Docteur en Biologie Moléculaire et Cellulaire
Dominique Domergue Anguis, gynécologue
Evelyne Fargin, professeur de chimie à l’Université de Bordeaux
David Lepoutre, professeur de sociologie, Université de Paris Nanterre
Isabelle Vinatier, professeur émérite de sciences de l’éducation à l’Université de Nantes
Marie Touzet Cortina, Maître de Conférences à l’Université de Bordeaux
Rose-Marie Castello, médecin du Travail
Sroussi Hubert, médecin généraliste (Montbéliard)
Cécile Bourdais, maîtresse de Conférences en Psychologie à l’Université Paris 8 Vincennes à Saint-Denis
Marie Estripeaut-Bourjac, professeur Émérite à l’Université de Bordeaux
Rémy Marchal, professeur des universités à l’École Nationale Supérieure d’Arts et Métiers
Marie-Laure Cadart, médecin et anthropologue
Jean-Jacques Vallotton, médecin généraliste (39)
Florence Lair, radiologue libérale, Blois
Nassim Moussi, Architecte
Jean-Christophe Besset, Réalisateur
Luc Petitnicolas, Responsable R&D - Chargé de cours
Murielle Dellemotte, Médecin du Travail
Monique Lamizet, médecin
Bernard Lamizet, ancien professeur d’université à Sciences Po Lyon
Monique Romagny-Vial, professeur des universités
Jean-Jacques Robin, Juriste ancien directeur d’établissements médico-sociaux
Sébastien Aubert, professeur agrégé de Génie Mécanique, Ecole Nationale Supérieure d’Arts et Métiers
Laurence Maury, psychologue (psychologie sociale et cognitive)
Isabelle Aubert, Maitre de conférences HDR à l’Université de Bordeaux
Thierry Gourvénec, pédopsychiatre
Michèle Leclerc-Olive, chercheure retraitée CNRS-EHESS
Hélène Banoun, pharmacien biologiste, Docteur ès-sciences pharmaceutiques
Pierre Grenet, écrivain
André Cayol, enseignant chercheur retraité de l’Université de Compiègne Sorbonne
Shanti Rouvier, Docteure en Psychologie Clinique et Psychopathologie
Jean-Michel de Chaisemartin, psychiatre des Hôpitaux Honoraire
Gilles Mottet, enseignant artistique compositeur
Marta Barreda, Médecin généraliste, spécialiste en Santé Publique
Camille Allaria, Sociologue, chercheuse associée au CNRS
Pierre Duchesne, Psychanalyste
Michel Angles, médecin généraliste (12)
Daniel Robinson, médecin généraliste (Ecully)
Jean-Pierre Eudier, Chirurgien-Dentiste
Christian Perronne, médecin infectiologue
Christine Claude-Maysonnade, avocate (Tarbes)
Eugenia Lamas, chercheuse en éthique, INSERM
Hervé Joly, directeur de recherche CNRS, Lyon
Sylvie Laval, psychiatre
Daniel Chollet, médecin pneumologue
Brigitte Agostini, infirmière libérale, Propriano
David Esfandi, psychiatre-addictologue, Bordeaux
Thiou Sandrine, médecin généraliste à Besançon
Ariane Bourgeois, Avocat au Barreau des Hauts-de-Seine
Emmanuelle Lemonnier, médecin généraliste, Villenave d’Ornon
Jean-Jacques Coulon, médecin généraliste Bourges
Frédéric Monier, Professeur d’histoire contemporaine, Avignon Université
Marc Richevaux, magistrat, maître de conférences à l’Université du Littoral Côte d’Opale
Jean-François Lesgards, biochimiste, chercheur au CNRS
Brigitte Weiss, Médecin généraliste
Laura Giusti, Médecin psychiatre
Mylène Weill, biologiste, directrice de recherche au CNRS
Eric Bouvier, pharmacien
Bernard Cornut, polytechnicien
Sophie Tasker, Traducteur et Expert Judiciaire
Mohamed Zelmat, biologiste médical
Dominique Jaulmes, médecin retraitée, ancien PHTP AP-HP
Anne Marie Begue-Simon, ancien maître de conférences des Universités en sciences humaines, ancien médecin et expert honoraire près des Tribunaux
Tanguy Martinelli, médecin généraliste à Issigeac (Dordogne)
Frédéric Hasselmann, professeur de musique, chef d’entreprise, responsable d’association
Jean-Pierre Grouzard, retraité des Industries Electriques et Gazières
Caroline Mecary, Avocate aux barreaux de Paris et du Québec, Ancien Membre du Conseil de l’Ordre
Bernard Banoun, Professeur de littérature allemande, Sorbonne Université, Faculté des Lettres
Hugues Debotte, Conseiller en droit
Sendegul Aras, avocat au barreau de Strasbourg, Membre du Conseil de l’Ordre
Amandine Thomasset, psychiatre, praticien hospitalier
Lisbeth Girard Claudon, Médecin généraliste
Benoît Rousseau, juge des libertés et de la détention (Cayenne)
Cécile Fortanier, docteur en Économie de la Santé, Cadre Hospitalier
Delphine Rive, médecin généraliste (Rezé)
Claude Gautier, professeur de philosophie, École Normale Supérieure de Lyon
Nathalie Caradot, médecin généraliste
Michel Soussaline, chirurgien AIHP- ACCAHP
Nicolas Sembel, professeur de sociologie à Aix-Marseille Université
Roland Pfefferkorn, professeur émérite de sociologie à l’Université de Strasbourg
Maryse Esterle, sociologue, enseignante-chercheure honoraire de l’université d’Artois
Lucie Jouvet Legrand, Maîtresse de Conférences en Socio-Anthropologie
Caroline Petit, chercheuse au CNRS, USR 3608
Pascal Lardellier, Professeur de sciences de la communication à l’Université de Bourgogne
Aurélia Vessière, Chercheur en maladies infectieuses
Nathalie Bauer, écrivain, traductrice littéraire
Marie-José Minassian, philosophe
Fausto Lanzeroti, Ostéopathe D.O.
Jean-Marc Le Gars, Avocat au Barreau de Nice
Michel Deshaies, Professeur de Géographie, Université de Lorraine
Thierry Orsiere, Ph D HDR, Ingénieur de Recherche en Toxicologie Génétique à Aix Marseille Université
Jean-Luc Viaux, professeur émérite de psychologie à l’Université de Rouen
Jacques Bouaud, chercheur en informatique médicale
Jean-Michel Crabbé, médecin généraliste (Besançon)
Patrick Bellier, Pneumologue
Isabell Erhardt, médecin généraliste
Franklin Joulie, Chirurgie Gynéco-Obst (Nantes)
Pascal Sacré, Anesthésiste-réanimateur
Pierre-Olivier Weiss, Attache temporaire d’enseignement et de recherche à l’Université des Antilles
Aurélien Dyjak, docteur en sociologie, formateur
Pascal Pannetier, Chef d’entreprise
Jean-Luc Stanek, Santé Navale et chirurgien-dentiste
Jeanine Jemet, médecin généraliste
Rosa Gutierrez Silva-Lenud, infirmière, diplômée en Santé publique
Claude Amzallag, musicien
Bénédicte Helfer, Expert Science de Régulation
Nicole Foulquier, Avocat (Beziers)
Claude Murtaza, médecin généraliste
François Gastaud, Chirurgien orthopédiste
Amélie Castellanet, historienne de l’art
Sara Melki, Ouvrière agricole
Léna Barbancey, infirmière
Vincent Pavan, maître de conférences en mathématiques, Aix-Marseille Université
Eve Martin, psychologue de l’Education nationale
Nicolas Védrines, kinésithérapeute diplômé en ingénierie
Gérard Ostermann, Professeur de Thérapeutique, Médecine Interne, Psychothérapeute
Michel Boudet, Médecin généraliste
Anne-Elisabeth Migeon, Diététicienne/Nutritionniste
félix giloux, critique d’art
Béatrice Adam, Kinésithérapeute
Maylis Ferry, post-doctorante en science politique au Centre Émile Durkheim
Justine Schaal, infirmière diplômée d’Etat
Idriss Abiola, infirmier anesthésiste, Paris
Pierre Sonigo, directeur de recherche et développement
Rik Verhellen, médecin généraliste
Paul Rocchietta, directeur financier
Pierre Concialdi, chercheur en science sociales
Laurent Lederer, comédien
Alain Le Hyaric, Médecin de Santé publique, Paris
Koryna Socha médecin, PH, docteur en sciences médicales
Jean Baptiste Mouzet, praticien hospitalier gériatre, Maine-et-Loire
Gérard Le Roux, médecin généraliste retraité
Jean Jacques Gandini, Avocat honoraire, Montpellier
Marie Monguet, psychologue clinicienne
Jean-Marc Rehby, médecin généraliste (Lille)
François de Chabalier, psychiatre, épidémiologiste
Cynthia Galand, infirmière diplômée d’état
Christine Pavon, professeure des écoles
Sophie Helayel, Accompagnante d’élève en situation de handicap (AESH)
Jérôme Reynier, Docteur en psychologie sociale
Arthur Roncetto, bibliothécaire
André-Pierre Bouillet, médecin généraliste (Talant)
Jean-Dominique Michel, socio-anthropologue
Maryse Pechevis, Avocat à la Cour (Montpellier)
Nadège Pandraud, enseignant-chercheur à Aix-Marseille Université
Didier Delaitre, médecin légiste, Le Bourget
Peter El Baze, médecin Ancien attaché des Hôpitaux du CHU de Nice
Heike Freire, philosophe et psychologue, spécialiste de la Pédagogie Verte
Christian Castellanet, Agro-écologue
Dominique Leiber, médecin généraliste
Margot Mottet-Caisson, étudiante à l’Université
Pascal Roman, Professeur de Psychologie clinique, psychopathologie et psychanalyse à l’Université de Lausanne
Gaël Raimond, étudiant infirmier
Joo Zimmermann, Ingénieur Agronome, chargée d’accompagnement
Maxime Langevin, doctorant en mathématiques appliquées
Hélène Chollet, Docteur en médecine
Béatrice Petit, médecin généraliste
Raphaël Sendrez, masseur-kinésithérapeute et ostéopathe
Nicole Chaudiere, pharmacienne
Karim Souanef, maître de conférences en sociologie à l’Université de Lille
Vincent Manns, médecin généraliste acupuncteur
Martine Mérour, pneumologue
Myriam Balsat, médecin généraliste
Yves-Marie Mattheyses, Infirmier Anesthésiste
Anne Atlan, Directrice de Recherches au CNRS, Généticienne des populations et Sociologue
Caroline Mouzet-Heaulme, Médecin généraliste
Christophe Sgro, avocat, barreau de Nancy
Eliana Carrasco-Rahal, traductrice, autrice
Gilles Moulard, chauffeur-livreur
Adèle André, Juriste
Dominique Bouvier, pharmacienne
Marie-Louise Chaix, micro-entrepreneur
Ralph Lévy, Étiopathe
Nicole Roattino, pharmacienne Praticien Hospitalier
Chantal Hecq, retraitée
Evelyne Jaumary-Lapeyre, avocat, docteur en Science Politique
Sybille Burtin-Philibert, Médecin spécialiste de Santé Publique
Laurent Durinck, médecin anesthésiste
Véronique Ahari, édecin nutritionniste
Nathalie George, médecin du travail et épidémiologiste
Frédéric Schnee, médecin gériatre coordonnateur en Ehpad
Dominique Crozat, professeur de géographie à l’Université Paul Valéry Montpellier 3
Thierry Medynski, médecin généraliste
Teddy Francisot, Avocat à Montpellier
Blanche Magarinos-Rey, avocate au Barreau de Paris
André Bonnet, avocat au barreau de Marseille
Hélène Palma, maître de conférences à l’Université d’Aix-Marseille
Jean Luc Wabant, avocat
Guy Chapouillié, Professeur Emérite à l’ENSAV de Toulouse
Évelyne Gandais, Dermatologue
Nicole Karsenti, Médecin généraliste
Fabien Giboudot, médecin généraliste (39)
Gwennola Nouet Berthelot, docteur en médecine (49)
Édith Delbreil, avocate au barreau d’Avignon
Serge Rader, Pharmacien, Paris
Valérie Giraud, Sage-femme sexologue
Emmanuel Sarrazin, médecin généraliste
Frédéric Barbe, maître de conférences associé à l’Ecole d’Architecture de Nantes
Jean Louis Pasquier, formateur pour adultes et praticien en cohérence cardio-respiratoire
Christine Pasquier, formatrice, coach et praticienne en cohérence cardio-respiratoire
Franck Enjolras, psychiatre et anthropologue
Anne Catherine Martin, médecin généraliste
Paul-André Bellot, chirurgien dentiste
Francine Barouch, médecin Homéopathe (Nice)
Catherine Delmas, médecin généraliste, Toulouse
Jean Emsallem, médecin angéiologue
Morgane Miègeville, cadre de santé

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La peur assure l'obéissance dans la guerre contre le COVID-19

24 Octobre 2020, 17:40pm

La peur assure l'obéissance dans la guerre contre le COVID-19

Analyse du Dr Joseph Mercola – Le 24 octobre 2020


Aperçu de l'histoire


Les scientifiques, les juristes, les professionnels de la santé et les universitaires reconnaissent de plus en plus que la campagne de peur délibérée qui a maintenu la pandémie de COVID-19 en vie menace de remplacer la démocratie par des modèles de gouvernement totalitaires fascistes
 

Au cours des dernières années, la menace du bioterrorisme et des virus en général a été mise en évidence comme l'une des plus graves menaces pour l'humanité, mais nous continuons à financer de dangereuses recherches sur des gains de recherche fonctionnelle - la source et le fondement même de cette menace
 

Les données nous indiquent que le SRAS-CoV-2 n'est pas la menace existentielle qu'on lui prête. La situation mondiale qui se dessine semble indiquer une direction, à savoir la mise en œuvre d'un plan de longue date visant à instaurer et à établir de manière permanente une société technocratique
 

En quelques mois seulement, nous sommes passés de façon spectaculaire d'un état de liberté à un état de totalitarisme, et cela s'est fait par l'ingénierie sociale, qui implique une manipulation psychologique, dont les deux outils sont la propagande basée sur la peur et la censure
 

Il semble que les opérateurs de téléphonie mobile fournissent déjà des données aux gouvernements des États à des fins de quarantaine et de recherche des contacts à votre insu et sans votre consentement, même si on nous a dit que les applications de suivi et de localisation seraient volontaires
 

Une citation célèbre de Franklin D. Roosevelt est "La seule chose que nous devons craindre est la peur elle-même". Il a compris que la peur est en fin de compte ce qui nous prive de nos droits humains et pousse une société au totalitarisme, et que la seule façon de contourner un tel destin est de résister courageusement à la peur. Aujourd'hui, l'une des plus grandes menaces (c'est du moins ce qu'on nous raconte) serait une pandémie mondiale.
 

Aujourd'hui, nous disposons également de quelque chose qu'aucun tyran précédent n'a eu, à savoir la technologie permettant de suivre, de localiser, de contrôler et de manipuler les individus où qu'ils se trouvent. La plupart des gens sont entourés d'appareils électroniques et de dispositifs sans fil qui récoltent tous les points de données imaginables sur leur vie personnelle. La monnaie numérique est prête à compléter le filet de la tyrannie.
 

Contagion fabriquée
 

J'ai écrit de nombreux articles passant en revue les preuves scientifiques qui soutiennent l'affirmation selon laquelle le SRAS-CoV-2 est une création de laboratoire. Que l'agent pathogène ait été libéré accidentellement ou intentionnellement est probablement moins important que d'établir la vérité sur son origine.


La raison pour laquelle je dis cela est que l'intention serait difficile à prouver, alors que le fait que nous sommes toujours en train de concevoir des armes biologiques est incontestable - et, tant que nous poursuivrons des recherches dangereuses sur les gains de recherche fonctionnelle, le résultat final ne pourra être que plus identique. D'autres épidémies. Plus de pandémies. Plus de peur. Plus de contrôle. Plus de restrictions. Moins de libertés.


L'hystérie est contagieuse. Nous nous transformons en une mousse dans laquelle nous exagérons la menace et cessons de nous demander si le remède ne serait pas pire que la maladie. ~ Lord Sumption, Juge à la Cour suprême


Si nous voulons démanteler la version de la menace bioterroriste, nous devons nous pencher sur les recherches qui font de cette menace une possibilité en premier lieu. La vidéo ci-dessus présente la journaliste indépendante Whitney Webb, qui donne un aperçu des recherches qu'elle a accumulées au cours de la rédaction d'articles sur le bioterrorisme.


Son article du 25 septembre 2020 1 "Engineering Contagion : UPMC, Corona-Thrax et "The Darkest Winter" (L'hiver le plus sombre), examine comment le complexe industriel de bio défense travaille déjà sur une forme d'anthrax turbocompressée.


Des documents obtenus via la FOIA révèlent que l'anthrax, un pathogène déjà mortel, est génétiquement manipulé pour exprimer la protéine de pointe SARS-CoV-2, la partie du virus qui lui permet d'accéder aux cellules humaines. Il est clair que cela n'a pas grand-chose à voir avec le fait de garder une longueur d'avance sur la nature, car les bactéries ne sont pas susceptibles de se mélanger à un virus et d'en prendre les caractéristiques si elles sont laissées à elles-mêmes. Je vous encourage à regarder la vidéo et/ou à lire son article si ce sujet vous intéresse.


La démocratie menacée


Comme l'a fait remarquer le Dr Reiner Fuellmich2 - cofondateur de la commission d'enquête extra-parlementaire allemande sur la Corona3,4 qui prépare le plus grand recours collectif de l'histoire5,6,7,8 - les scientifiques, les avocats, les professionnels de la santé et les universitaires reconnaissent de plus en plus que les campagnes de peur délibérées qui ont maintenu la pandémie de COVID-19 bien au-delà de sa date d'expiration menacent de remplacer la démocratie par des "modèles de gouvernement totalitaires fascistes".


Heureusement, ils sont de plus en plus nombreux à se rendre compte qu'ils doivent s'exprimer, avant qu'il ne soit trop tard. C'est le cas de l'article 9 de Stephen Thompson et Eric C. Ip, tous deux de l'université de Hong Kong, paru dans le Journal of Law and the Biosciences et intitulé "COVID-19 Emergency Measures and the Impending Authoritarian Pandemic", dont voici un extrait :


"Cet article démontre - à l'aide de divers exemples tirés du monde entier - qu'il y a des régressions indubitables vers l'autoritarisme dans les mesures gouvernementales pour contenir le virus. Malgré la nature sans précédent de ce défi, il n'y a pas de justification solide pour une érosion systémique des idéaux et des institutions démocratiques protectrices des droits au-delà de ce qui est strictement exigé par les exigences de la pandémie.


L'approche "tout ou rien" de Wuhan en matière d'endiguement du virus crée un dangereux précédent pour les pandémies et les catastrophes futures, la réaction mondiale des imitateurs indiquant une "pandémie" imminente d'une autre nature, celle de la normalisation de l'autoritarisme.


Avec un tribut gratuit infligé à la démocratie, aux libertés civiles, aux libertés fondamentales, à l'éthique des soins de santé et à la dignité humaine, cela pourrait déclencher, à long terme, des crises humanitaires non moins dévastatrices que le COVID-19".


La version du bioterrorisme utilisée pour alimenter la peur


Au cours des dernières années, la menace du bioterrorisme et des virus en général a été mise en évidence comme l'une des plus graves menaces pour l'humanité. Bill Gates, qui investit dans les vaccins contre les pandémies et en tire profit, fait craindre depuis des années l'émergence de maladies mortelles au public.


En 2015, il a averti son auditoire du TED Talk que la prochaine grande menace pour l'humanité serait "un virus hautement infectieux" pour lequel "nous ne sommes pas prêts "10 et, en 2017, il a prédit que des dizaines de millions de personnes pourraient être tuées par des armes biologiques11.


"La prochaine épidémie pourrait naître sur l'écran d'ordinateur d'un terroriste qui aurait l'intention d'utiliser le génie génétique pour créer une version synthétique du virus de la variole ... ou une souche de grippe super contagieuse et mortelle", avait alors déclaré Gates.12


Bien entendu, M. Gates a également co-organisé la simulation de préparation à une pandémie d'octobre 2019, connue sous le nom d'Event 201, avec le Johns Hopkins Center for Health Security et le Forum économique mondial. L'événement a sinistrement prédit ce qui allait se passer 10 semaines plus tard, lors de l'apparition de COVID-19.


Cet exercice sur table, scénarisé, comprenait tout ce que nous voyons aujourd'hui se dérouler dans le monde réel, de la pénurie d'EPI, du confinement et de la suppression des libertés civiles aux campagnes de vaccination obligatoires, en passant par les émeutes, les troubles économiques et l'effondrement de la cohésion sociale. Ils ont même trouvé le bon type de virus : un "nouveau coronavirus".


Le document de travail détaillé13 "Bioterrorisme et bio criminalité : The Illicit Use of Biological Agents Since 1900", publié initialement en 1998 et révisé en 2001, passe en revue quelque 270 incidents de guerre biologique présumés enregistrés.


Étant donné que ce document a maintenant près de 20 ans, cette liste est probablement encore plus longue aujourd'hui. Cette liste pourrait même inclure le SRAS-CoV-2, si l'on en croit Francis Boyle, qui a rédigé la loi anti-terroriste sur les armes biologiques de 1989, et d'autres.


La montée de la technocratie


Le Dr Lee Merritt, chirurgien orthopédique spécialisé dans la colonne vertébrale et exerçant à Logan, dans l'Iowa, est un autre professionnel de la santé qui parle désormais ouvertement de la pandémie de COVID-19 comme d'une prise de pouvoir effrontée de l'élite technocratique.14


Le 16 août 2020, elle a prononcé un discours lors de la convention «  Docteurs pour la préparation aux catastrophes15 à Las Vegas, Nevada, présenté dans "Comment la technocratie médicale a rendu la plandémie possible", dans lequel elle a disséqué les nombreux mensonges alarmistes qu'on nous a racontés sur cette pandémie.


Lorsqu'on examine les données et les statistiques disponibles et qu'on les compare à ce que nous disent les responsables gouvernementaux et les médias, il devient évident qu'il existe un fossé entre les deux. Les données nous indiquent que le SRAS-CoV-2 n'est pas la menace existentielle qu'on lui prête. Ce qui pose la question : "Pourquoi veulent-ils que nous vivions dans la peur ? Il doit y avoir une raison à cela".


Bien sûr qu'il y en a une, et elle n'a rien à voir avec le fait de s'assurer que vous et votre famille restiez en bonne santé et à l'abri de l'infection. La situation globale qui se dessine semble aller dans une direction, à savoir la mise en œuvre d'un plan de longue date visant à instaurer et à établir de manière permanente une société technocratique.


En résumé, la technocratie16,17 est une idéologie économique construite autour d'un régime totalitaire par des dirigeants non élus. Un technocrate est une personne qui exerce un pouvoir sur vous à partir de ses connaissances. En tant que système économique, la technocratie est basée sur les ressources. Dans ce système, on dit aux entreprises quelles ressources elles sont autorisées à utiliser, quand et pour quoi, et on dit aux consommateurs quoi acheter.


L'ingénierie sociale est en plein essor


Le système technocratique exige également une ingénierie sociale, qui repose sur la collecte massive de données et l'utilisation de l'intelligence artificielle. Les technocrates ont fait avancer ce programme en silence et sans relâche depuis les années 1930, et les signes de sa mise en œuvre sont de plus en plus visibles.


En quelques mois seulement, nous sommes passés de façon spectaculaire d'un état de liberté à un état de totalitarisme, et la façon dont cela s'est fait a été l'ingénierie sociale, qui implique bien sûr une manipulation psychologique.


La censure et la propagande ne sont que deux stratégies qui façonnent et modèlent une population. Le "tableau de la coercition "18,19 du professeur de psychiatrie Albert Biderman comprend également les méthodes suivantes, qui peuvent toutes être clairement liées à la réponse au COVID-19 :


Techniques d'isolement - Quarantaine, distanciation sociale, isolement des proches et isolement cellulaire


Monopolisation de la perception - Monopolisation du cycle de l'information 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, censure des opinions dissidentes et création d'environnements stériles par la fermeture des bars, des gymnases et des restaurants


Techniques de dégradation - Tromper, humilier (ou même attaquer physiquement) ceux qui refusent de porter un masque ou de prendre leurs distances sociales, ou qui choisissent généralement la liberté plutôt que la peur


Débilité induite - Être obligé de rester à la maison et de ne pas pouvoir faire d'exercice ou de se socialiser


Menaces - Menace de retrait de vos enfants, quarantaine prolongée, fermeture de votre entreprise, amendes pour non-respect des règles relatives aux masques et à la distanciation sociale, vaccination forcée, etc.


Démonstration de la toute-puissance/omniscience - Fermer le monde entier, revendiquer l'autorité scientifique et médicale


Exécution de demandes insignifiantes - Par exemple, les membres de la famille sont obligés de se tenir à un mètre de distance à la banque alors qu'ils sont arrivés ensemble dans la même voiture, de porter un masque lorsque vous entrez dans un restaurant, même si vous pouvez l'enlever dès que vous vous asseyez, ou de porter un masque lorsque vous marchez seul sur la plage


Indulgence occasionnelle - Réouverture de certains magasins et restaurants mais seulement à une certaine capacité, par exemple. Une partie du plan de coercition est que les indulgences sont toujours reprises, cependant, et ils disent déjà que nous pourrions devoir fermer le monde à nouveau cet automne


Le piétinement de la vie privée et des droits de l'homme


Les empreintes digitales de la technocratie sont également évidentes dans les programmes de traçage et de traçage invasif qui ont été mis en place dans le monde entier, ainsi que dans l'avertissement répété selon lequel, à moins que chaque homme, femme et enfant ne soit vacciné contre le SRAS-CoV-2, la vie ne reviendra jamais à la normale.


La vérité est que les technocrates n'ont aucune intention de nous laisser revenir à la normale. Le plan consiste à modifier la société de façon permanente. Une partie de cette modification consiste à supprimer les libertés civiles et les droits de l'homme, et cela se produit maintenant à une vitesse vertigineuse.


Comme l'a rapporté Alex Berenson dans un post Twitter du 30 septembre 2020 20 , l'expérience du monde réel suggère que les opérateurs de téléphonie mobile, dont AT&T et Verizon, fournissent déjà des données aux gouvernements des États à des fins de quarantaine et de recherche des contacts sans que vous le sachiez ou y consentiez, même si on nous a dit que les applications de recherche des contacts seraient volontaires.


Nous sommes également bombardés de reportages qui nous disent de nous préparer à retrousser nos manches et à nous faire vacciner dès qu'un vaccin COVID-19 sera disponible - ou sinon.


Un article 21 paru le 1er octobre 2020 dans le prestigieux New England Journal of Medicine déplore un sondage qui a révélé que seulement 49 % des Américains prévoient de se faire vacciner contre le COVID-19 lorsqu'il sera disponible. La réponse, suggère l'article, est de le rendre obligatoire pour tous.


Rédigé par des avocats de la faculté de droit de Stanford et d'autres experts en politique de santé, l'article présente ce que les auteurs considèrent comme "six critères de fond" qui permettraient de défendre le premier vaccin jamais rendu obligatoire pour les adultes, en dehors du vaccin antigrippal pour les travailleurs de la santé.


Reconnaissant que ce sont les États (Etats-Unis), et non le gouvernement fédéral, qui seraient chargés de l'homologation, les auteurs passent également en revue les mesures que les États devraient mettre en œuvre pour obtenir une obligation vaccinale.


"Les obligations vaccinales des États ne devraient pas être structurées comme une vaccination obligatoire (exigences absolues) ; au lieu de cela, le non-respect devrait entraîner une sanction", affirment les auteurs, ajoutant que cette sanction devrait être "substantielle", sous la forme d'une suspension d'emploi ou d'une interdiction de séjour à domicile. Si le refus d'un vaccin vous prive d'un revenu et vous oblige à rester à la maison, alors ce n'est pas vraiment volontaire, n'est-ce pas ? C'est aussi obligatoire que possible.


Avec M. Gates, le Dr Anthony Fauci a également sensibilisé le public à la pandémie en l'avertissant que, sans vaccin, nous ne pourrons jamais revenir à la normale.22 Tout ce discours porte sur la vaccination forcée, malgré l'absence totale de garantie que les candidats vaccins sont sûrs.


Les preuves émergentes suggèrent en fait que les nouveaux vaccins à ARNm contre le SRAS-CoV-2 pourraient être une catastrophe de santé publique en devenir. Un rapport publié le 1er octobre 2020 23 par CNBC passe en revue les expériences de cinq participants aux essais de vaccins contre le SRAS-CoV-2 de Moderna et de Pfizer. L'un des participants à l'essai du vaccin de Pfizer "s'est réveillé avec des frissons, en tremblant si fort qu'il s'est cassé une dent après avoir pris la deuxième dose", rapporte CNBC24.


Un participant à l'essai de Moderna a déclaré qu'il avait une faible fièvre et qu'il s'était senti "mal" pendant plusieurs jours après sa première injection. Huit heures après sa deuxième injection, il était "cloué au lit avec une fièvre supérieure à 101, des tremblements, des frissons, un mal de tête intense et un essoufflement". Il a dit que la douleur dans le bras où il a reçu la piqûre, ressemblait à "une patte d'oie sur mon épaule". Il n'a pratiquement pas dormi cette nuit-là, enregistrant une température supérieure à 100 degrés pendant cinq heures "25.

 

Deux autres ont signalé des effets secondaires similaires, et un troisième a averti que vous devriez prendre un jour de congé après la deuxième injection. Le CNBC a également noté que "au fur et à mesure que les entreprises progressaient dans les essais cliniques, plusieurs fabricants de vaccins ont abandonné leurs doses les plus élevées suite à des rapports faisant état de réactions plus graves".

 

Les avocats de la commission d'enquête extra-parlementaire allemande sur le Corona 26,27 ne sont pas les seuls à qualifier la pandémie COVID-19 de fraude et de dissimulation d'un programme plus néfaste.

 

Dans la vidéo ci-dessus, Vladimir Kvachkov, un ancien colonel des services de renseignements militaires russes, qualifie le COVID-19 de fausse pandémie, planifiée et mise en œuvre dans le but d'obtenir un contrôle totalitaire sur la population mondiale. Tout a commencé avec le 11 septembre, dit Kvachkov, et le coronavirus est l'étape suivante pour poursuivre la prise de pouvoir.

 

"Tout cela n'est qu'un mensonge et doit être considéré comme une opération spéciale stratégique mondiale", déclare Kvachkov. "Ce sont des exercices de commandement et d'état-major des puissances mondiales, dans les coulisses, pour contrôler l'humanité."

 

En le comparant à un exercice militaire, Kvachkov dit que le but ultime est de réduire la population mondiale à un milliard de personnes "ordinaires" et à seulement 100 millions de ceux qui contrôlent - les gens ordinaires étant là pour servir les 100 millions.

 

En bref, dit-il, le coronavirus "créé artificiellement" et "répandu intentionnellement" a quatre dimensions. La première est la religion et la réduction de la population ; la deuxième est d'établir un contrôle politique sur l'humanité ; la troisième est de dégonfler l'économie mondiale ; et la quatrième est d'éliminer la concurrence géo-économique.

 

Les règles du COVID-19 marquent le "glissement hystérique vers l'État policier".

 

Je terminerai par quelques observations du juge de la Cour suprême britannique Lord Sumption, qui, dans une interview 28 accordée le 30 mars 2020 au Post, a averti que les règles du COVID-19 ouvrent la voie au despotisme - l'exercice du pouvoir absolu de manière cruelle et oppressive.

 

"Le vrai problème est que lorsque les sociétés humaines perdent leur liberté, ce n'est généralement pas parce que des tyrans l'ont enlevée. C'est généralement parce que les gens abandonnent volontairement leur liberté en échange d'une protection contre une menace extérieure. Et la menace est en général réelle mais généralement exagérée.

 

C'est ce que je crains que nous constatons actuellement. La pression sur les politiciens vient du public. Ils veulent que des mesures soient prises. Ils ne s'arrêtent pas pour demander si l'action va fonctionner. Ils ne se demandent pas si le coût en vaudra la peine. Ils veulent quand même agir. Et quiconque a étudié l'histoire reconnaîtra ici les symptômes classiques de l'hystérie collective.

 

L'hystérie est contagieuse. Nous nous transformons en une mousse dans laquelle nous exagérons la menace et cessons de nous demander si le remède ne serait pas pire que la maladie".

 

Il est temps de se poser des questions très pressantes. Est-il raisonnable d'attendre du gouvernement qu'il élimine TOUTE infection et TOUS les décès ? Ils ont prouvé qu'ils ne le peuvent pas, et pourtant nous continuons à renoncer à de plus en plus de libertés et de droits parce qu'ils prétendent que cela permettra à chacun d'être plus en sécurité. C'est un mensonge séduisant, mais un mensonge quand même.

 

Souvenez-vous, ils nous ont vendu les fermetures d'entreprises et les mises en quarantaine à domicile en disant que nous devions simplement aplatir la courbe d'infection pour éviter la surpopulation des hôpitaux. Aujourd'hui, les hôpitaux sont presque vides et les décès sont si peu nombreux qu'ils ne sont même plus signalés. Pourtant, les fermetures d'hôpitaux se poursuivent dans de nombreuses régions et certaines - l'Australie en est un bon exemple - ont atteint de nouveaux sommets choquants.

 

Tôt ou tard, chacun doit décider ce qui est le plus important : la liberté personnelle ou la fausse sécurité ? La bonne nouvelle, c'est que beaucoup commencent à voir l'écriture sur le mur ; ils commencent à voir que nous avons été "eus", et commencent à choisir la liberté plutôt que le totalitarisme brutal au nom de la santé publique.

(Pour les vidéos : voir l'article en anglais)

https://articles.mercola.com/sites/articles/archive/2020/10/24/securing-obedience-through-fear.aspx?cid_source=dnl&cid_medium=email&cid_content=art1ReadMore&cid=20201024Z2&mid=DM686115&rid=994559811

 

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Dix ans de Mouvement Planétaire pour la Terre Mère !

10 Octobre 2020, 06:58am

Rosalie Bertell

Rosalie Bertell

Auteure : Claudia von Werlhof, Autriche/Allemagne – Août 2020

 

https://www.pbme-online.org/

 

Introduction

Cette introduction est écrite en l'honneur du Dr Rosalie Bertell et de son travail, et j'écris dans sa langue maternelle. En 2010, nous avons fondé le Mouvement Planétaire pour la Terre Mère (PMME) afin de diffuser ses connaissances dans le monde entier.

 

La plupart des contributions à ce numéro spécial sont également rédigées en anglais, certaines en allemand, une en espagnol et une en italien.

 

À cette occasion, nous sommes fiers d'annoncer la publication de deux livres écrits en anglais sur le sujet :

 

1. Rosalie Bertell : Planète Terre, l'ultime arme de guerre, édition augmentée, Talma 2020, Dublin.

 

La réédition du livre original de Bertell est une véritable victoire du PMME. En fait, on peut le considérer comme son principal cadeau d'anniversaire ! Après sa première publication en 2000, ce livre n'a jamais été distribué car l'éditeur, Women ́s Press, à Londres, a fait faillite. La nouvelle édition est enrichie d'articles supplémentaires que Rosalie a écrits entre 2000 et 2011, jusqu'à peu de temps avant sa mort en 2012, et le livre est pratiquement le premier, dans la langue originale !

 

Pour la première fois, ce livre peut maintenant être lu en anglais. Ainsi, il est accessible aux lecteurs internationaux du monde entier !

 

Au PMME, nous nous sommes battus pendant de nombreuses années pour que le livre du Dr Bertell soit à nouveau publié en anglais - puis nous avons rencontré Patrick Pasin, des studios Talma, à Paris, en France. Il a connu Rosalie et a réalisé avec elle un film intitulé "Bye, bye, blue sky", a écrit lui-même deux livres sur la question et a publié pour la première fois l'œuvre de Bertell en français !

 

C'est également Patrick Pasin qui nous a proposé de publier le deuxième livre que nous pouvons annoncer aujourd'hui :

 

2. Claudia von Werlhof : Alerte mondiale ! La géo-ingénierie détruit notre planète, Talma 2020, Dublin

 

Dans ce livre, 10 femmes d'Europe et d'Amérique, dont Rosalie Bertell, car cette collection contient aussi un article écrit par elle en 2010, analysent sous des angles très différents ce qui arrive à la Terre Mère aujourd'hui et ce que cela signifie pour nous, les personnes qui vivons sur et avec elle. Ses contributeurs sont : Vilma Almendra de Colombie, Rosalie Bertell des Etats-Unis/Canada, Josefina Fraile d'Espagne, Elana Freeeland des Etats-Unis, Maria Heibel d'Italie, Claire Henrion de France, Conny Kadia du Portugal, Kaarina Kailo de Finlande, Linda Leblanc de Chypre, et moi-même d'Autriche/Allemagne.

 

Le titre du livre fait référence au discours erroné et trompeur sur le "réchauffement climatique" qui, entre-temps, a été mis en place par le haut, afin de rendre invisible ce que Rosalie Bertell, et d'autres après elle, ont analysé pour la première fois. Le nouveau discours sur le "changement climatique" peut maintenant être démantelé publiquement et être confronté aux faits sur ce qui se passe réellement. Si nous voulons maintenir nos conditions de vie sur cette terre, nous, les gens, devons nous en approcher et commencer à reconstruire son bien-être qui est endommagé au point de détruire cette planète !

 

Au moment de notre anniversaire en tant que PMME, la version allemande du livre du Dr Bertell est entrée dans sa 5ème édition. En 2018/2019, une édition espagnole, une italienne et une française ont également vu le jour.

 

Et, en dix ans, nous sommes arrivés à un point où nous pouvons dire : Nous avons fait de notre mieux pour que les connaissances de Rosalie Bertell ́s soient diffusées dans le monde entier. En outre, nous y avons contribué par nos lettres d'information en différentes langues, des discours publics et la diffusion de nombreuses informations complémentaires sur les débats et les faits d'actualité (www.pbme-online.org).

 

Pourquoi les gens ne veulent-ils pas entendre parler de la violence commise contre la Terre Mère ?

 

Est-ce un tabou de révéler un secret ?

 

Une chose, cependant, n'a jamais été bien comprise : les connaissances du Dr. Bertell n'ont pas, jusqu'à présent, fait l'objet d'un débat public ouvert. Non seulement les pouvoirs en place, mais aussi les mouvements sociaux d'aujourd'hui n'ont pas permis que cela se produise. Très souvent, les gens rejettent d'emblée cette connaissance, parce qu'elle les choque. Une première réaction consiste généralement à la fuir au lieu d'essayer d'apprendre et de faire quelque chose pour y remédier. La plupart d'entre eux nient simplement la possibilité qu'une chose comme la "géo-ingénierie militaire" puisse même exister. Afin d'éviter d'être confrontés à ces faits, ils s'emparent du terme préparé d'en haut dans le but d'éliminer ce genre de « connaissance maléfique » et l'appellent « théorie de la conspiration » !

 

Ainsi, même Rosalie Bertell, qui était une personne au-delà de tout soupçon possible concernant les théories de la conspiration, a été interprétée comme telle. Évidemment, cela ne peut pas être plus éloigné de la vérité, mais cela sert les intérêts de ceux qui ne veulent pas que la vérité soit connue.

 

La vérité à connaître ce sont les faits sur le système dans lequel nous vivons, qui en lui-même est basé sur différentes formes de violence directe et structurelle contre la vie elle-même, contre la nature et contre les êtres humains ! Cette vérité est un secret et il est donc devenu tabou de parler de ces faits. Chaque fois que ce tabou est violé, nous avons constaté qu'il y a toujours une réaction rapide pour mettre fin à tout nouveau débat.

 


J'en suis venu à la conclusion que la vérité sur le système dans lequel nous vivons, que nous le voulions ou non, est si horrible que presque tout le monde essaie d'éviter de la voir, parce que sinon :

 

- Nous nous sentirions très mal à l'aise, et même coupables,

- Nous nous sentirions ridicules d'impuissance alors que nous nous estimons plutôt puissants, et/ou

- Nous nous sentirions soudainement privés d'une protection de la vie généralement supposée venir d'en haut ou d'ailleurs, ce qui provoquerait la peur, et/ou

- Nous devrions enterrer nos hypothèses sur la validité des « valeurs » générales que le système prêche, par exemple les droits et la justice, la liberté et la démocratie, ou la paix et le bonheur, et/ou

- Nous devrions, en prenant au sérieux la « connaissance maléfique», nous lever immédiatement pour mettre fin à la violence que le système commet contre la vie, la nature et l'humanité. Cependant, cela est ressenti comme un fardeau trop lourd à assumer...

 

Pendant ce temps, nous savons sur quoi repose cette violence de notre "système", de notre civilisation moderne. Elle est enracinée dans le système du « patriarcat », comme je l'appelle. L'intention du patriarcat est de transformer toute la vie, la nature et l'humanité, en fait toute la société, en une société « artificielle », c'est-à-dire ne permettant plus à la vie d'exister de manière organique sur cette planète terre, et de manière naturelle et maternelle. Le monde créé par l'homme est par définition un monde « patri-arcal », une « création » de soi-disant pères au lieu de mères et de Mère Nature. Pour parvenir à cette utopie patriarcale, vieille de plusieurs milliers d'années d'ailleurs, beaucoup de violence a déjà été appliquée dans son déroulement. Cette violence s'est transformée en un traumatisme, et en même temps, elle est considérée comme une connaissance interdite et est réprimée. Elle a été cachée à tous les niveaux et ne peut être abordée ouvertement ! Tant que cette civilisation patriarcale n'aura pas réussi à transformer la vie, la nature, les humains, le monde entier - et la planète elle-même - en un monde patriarcal entièrement créé par l'homme, la violence sera continuellement appliquée comme un moyen nécessaire pour atteindre ses dangereux objectifs. Ce sont les raisons pour lesquelles les gens ne sont pas autorisés à reconnaître la violence directe et structurelle inhérente au système !

 

Ce paradoxe mental est le secret du patriarcat. Parce que le récit patriarcal nous dit qu'il n'y a pas de violence, le processus de transformation du naturel à l'artificiel est un processus qui virait vers le meilleur et le plus élevé. Aujourd'hui, on appelle cela le progrès !

 

Le tabou consiste à révéler la violence en cours à un monde prétendument meilleur et plus élevé, afin que ce monde n'apparaisse plus comme le meilleur et plus élevé, étant donné le prix de la destruction, payé pour cela.

 

Le secret à révéler nous dit que la violence ne mène pas du tout à des mondes meilleurs et plus élevés, mais à ce qu'elle produit, à savoir la destruction ! La destruction est le résultat global de ce processus de transformation « alchimique » - comme je l'appelle - par la violence. C'est sa logique, et personne n'est autorisé à la voir et à la nommer. Réfléchir sur la violence patriarcale contre la nature, la terre, la vie et les gens, la voir et en parler, sans parler d'agir contre elle, tels sont les tabous les plus lourds de ce système patriarcal. C'est la connaissance « maléfique », celle qui est interdite, celle qui est oubliée, celle qui est chassée sous terre et ainsi rendue inconsciente ! Je l'appelle le « subconscient collectif ». Comme nous avons tous fait l'expérience de la violence patriarcale, nous la reconnaissons d'emblée, peut-être inconsciemment, lorsqu'il s'agit de la révéler ! Nous paniquons avec elle, car le danger est alors proche et doit être écarté. Nous devons nous protéger contre le danger de nous mêler de la violence systémique patriarcale qui nous détruirait ! Tout le monde semble le savoir, car presque tout le monde réagit de la même façon, quand cela se produit !

 

Il est maintenant clair qu'il est difficile de reconnaître ce que Rosalie Bertell nous enseigne, elle nous apprend qu'entre-temps le patriarcat, sous la forme de l'armée et du complexe militaro-industriel, a commencé à détruire nos conditions de vie et la planète elle-même ! Nous sommes donc littéralement obligés de faire quelque chose contre cela si nous voulons continuer à vivre sur cette terre ! Cela signifie que nous devons nous attaquer au patriarcat et à sa violence systémique, directe et structurelle, en courant le risque de devenir ceux qui brisent le tabou, en révélant et en nommant le secret !

 

Mon expérience personnelle de la rupture du tabou

 

Ma propre expérience de ce syndrome d'évitement et de la peur que nous pouvons voir aujourd'hui également dans le cas de la crise mondiale du coronavirus, a cependant abouti à la création du Mouvement Planétaire Pour la Terre Mère ! Voici comment cela s'est passé :

J'ai parlé dans une interview pour un journal de la nécessité de faire des recherches sur un crime possible qui a conduit à la mort d'un quart de million de personnes - le tremblement de terre à Haïti en 2010 - et j'ai été immédiatement étiquetée comme une « théoricienne du complot ». De plus, j'ai été publiquement « assassinée » et discréditée, privée de ma bonne réputation d'universitaire, de militante, de personne et de femme. J'ai été menacée par l'État profond et l'Institut de sciences politiques de l'université d'Innsbruck, où j'ai travaillé pendant plus de 20 ans. En outre, les médias officiels autrichiens m'ont menacé, étant donné que j'avais reçu des ordres d'en haut, comme me l'a dit un lanceur d'alerte. J'ai perdu beaucoup de mes amis, même de longue date, de l'aile gauche, des mouvements verts et alternatifs, même dans les groupes matriarcaux en Allemagne et en Autriche, avec lesquels je travaillais depuis de nombreuses années. J'ai perdu des éditeurs avec lesquels je travaillais et je n'ai plus jamais été invitée à des interviews ou à des conférences dans les médias officiels et la plupart des médias alternatifs. Cette violence à mon égard en tant que « messager d'une vérité qui dérange » est toujours visible dans Wikipédia où l'on se moque de moi et où mes questions sur Haïti sont toujours d'actualité. C'est une indication de la haine profonde du système patriarcal contre la vie et la vérité, c'est-à-dire les faits réels qui émergent de cette façon.

 

Cette expérience a changé ma vie, car je ne me suis pas enfuie ou cachée en regrettant ma prétendue erreur. Elle est apparue lorsque j'ai appris l'existence de Rosalie Bertell. Cela s'est produit à cause des conflits autour d'Haïti, et Rosalie Bertell m'a envoyé une lettre et s'est tenue à mes côtés. Elle connaissait la nature des accusations qui découlent de tabous sensibles comme celui mentionné, parce que les puissants militaires sont derrière eux. Elle m'a envoyé une copie de son livre « Planète Terre, la dernière arme de guerre », dans lequel elle décrit toute l'histoire du développement des technologies militaires qui sont capables de produire non seulement des tremblements de terre, mais aussi des tsunamis, des courants d'air, des inondations, de la chaleur et du froid, de modifier les courants océaniques, d'évoquer des éruptions volcaniques, etc. À ce moment-là, je n'avais pas la moindre idée de tout cela. Le cas haïtien venait de me mettre sur la voie de cette connaissance qui m'était totalement étrangère. En lisant le livre de Rosalie Bertell, je suis tombée dans une sorte d'enfer, l'enfer de la connaissance des faits réels et du fait que j'avais eu raison quand je me suis sentie « électrisée » à propos d'Haïti, et j'ai su que je devais faire quelque chose à ce sujet. Grâce aux connaissances de Rosalie en matière de recherche, j'ai appris à expliquer ce qui aurait pu réellement se passer en Haïti - et pas seulement cela, mais bien plus encore. J'aurais aimé avoir tort, mais j'avais raison.

 

Au cours de ces expériences de changement dans ma vie, les deux situations se produisant en même temps, je suis tombée malade. Lorsque je suis sortie de l'enfer, j'ai dû décider quoi faire : Soit m'arrêter de faire quoi que ce soit, soit repartir à zéro - et c'est exactement avec ces problèmes que l'environnement social autour de moi a essayé de m'en empêcher. J'ai décidé de faire la dernière chose ! Sinon, nous ne célébrerions pas le dixième anniversaire du Mouvement Planétaire pour la Terre Mère en 2020. J'ai choisi cette option parce qu'il n'y avait pas d'alternative. J'avais ressenti les mêmes tremblements dans mon corps que la Terre Mère a dû ressentir dans son corps lors du tremblement de terre en Haïti. C'était comme si elle m'appelait, et fort. Elle m'a dit : « Oui, c'est toi. Tu dois te lever pour moi, car tu sais maintenant ce que je ressens face à ce qui m'est fait ! Quelqu'un doit le faire ! C'est le moment... »

 

Sachant déjà ce que mon choix signifiait, j'ai commencé ma nouvelle vie. J'ai informé mes amis à l'étranger qui - contrairement à ceux d'ici - étaient pleins de solidarité et de soutien, comme Rosalie Bertell. Ils ont lancé pour moi une campagne qui a traversé de nombreuses régions du monde, car j'avais fait des recherches dans différents endroits au cours des années précédentes et je connaissais de nombreux collègues et les mouvements sociaux de nombreux pays. C'était merveilleux, et cela m'a donné la force de pouvoir aller de l'avant. Le peuple d'Haïti, cependant, n'a jamais eu connaissance de ce débat sur son expérience désastreuse.

 

Fonder le Mouvement Planétaire pour la Terre Mère

 

Lors d'un grand congrès de femmes en Allemagne en mai 2010, j'ai parlé des recherches de Rosalie Bertell et de son livre et j'ai proposé la fondation du PMME afin de diffuser ses connaissances. Des centaines de femmes ont applaudi d'un commun accord et nous avons commencé à l'organiser ici en Autriche. Surtout mes anciennes étudiantes, le Dr Simone Wörer et Mag. Mathias Weiss, ont travaillé avec moi de façon continue pendant toutes ces années, et beaucoup d'autres nous ont soutenues. La première et la plus importante des tâches a été de traduire le livre de Bertell de l'anglais vers l'allemand et de le publier. Nous avons rapidement trouvé un très bon traducteur, nous avons reçu suffisamment de dons pour payer son travail, et Rosalie nous a envoyé les manuscrits qu'elle avait écrits après la première publication de son livre en 2000. Cependant, nous n'avons pas pu trouver d'éditeur ! C'était comme un boycott à tous les niveaux, et les éditeurs potentiels se sont comportés comme s'ils étaient menacés et forcés de ne pas publier ce livre. Lorsque nous avons finalement trouvé un éditeur et réussi à publier les travaux de Bertell en allemand, un an plus tard, fin 2011, une deuxième vague de haine, de discrimination et de diffamation s'est produite, qui m'a paru comme si certains voulaient se venger de ne pas avoir pu nous empêcher de publier les recherches de Bertell. J'ai donc dû avaler cette nouvelle vague d'attaques personnelles insultantes et d'attaques politiques féroces, ce qui a eu pour effet de supprimer les amitiés qui me restaient avec les personnes avec lesquelles je coopérais auparavant.

 

De manière étonnante, nous nous sommes fait de nouveaux amis dans le monde entier, toujours plus de personnes et de groupes sont devenus actifs dans le domaine de la géo-ingénierie. Nous avons réussi à atteindre notre objectif de publier les travaux de Bertell en allemand de son vivant, ce qu'elle avait tant souhaité, car elle avait des racines allemandes. Rosalie Bertell voulait confronter les scientifiques allemands à leur rôle de premier plan dans l'invention d'armes contre la vie et la planète !

 

Rosalie Bertell était très consciente des difficultés que son travail rencontrait, et elle en était plutôt contrariée. Elle estimait que ces questions étaient très urgentes. Elle considèrait comme une obligation pour nous d'être avec et de nous battre pour la Terre Mère, étant ses enfants.

 

D'où Rosalie Bertell a-t-elle tiré son pouvoir et son énergie pour le faire elle-même et pour continuer ? Elle, qui a même subi deux attaques contre sa vie, a néanmoins suivi son chemin en sachant qu'il n'y avait pas d'alternative. Sa « dynamo » était sûrement son immense et profond amour pour la Terre Mère, notre belle et fantastique planète qui nous donne tout ce dont nous avons besoin et qui est la seule que nous ayons ! Les choses étaient donc très claires pour elle. Et les choses devraient être claires pour nous aussi. Rosalie avait développé très tôt ce que j'appelle une « conscience planétaire ».

 

Et mon expérience de ces dix dernières années difficiles avec le PMME m'a appris la même chose. J'ai appris à aimer la Terre bien plus que je n'aurais pu l'imaginer, j'ai appris à la connaître comme un énorme être vivant cosmique, j'ai appris à l'écouter littéralement, à lui faire confiance et à accepter son pouvoir comme étant le mien aussi ! Parce que le pouvoir de poursuivre cette lutte vient d'elle - et non du patriarcat, bien sûr. Au cours de ces années, j'ai appris que si nous le voulons, nous pouvons établir une véritable relation avec la terre et lui demander : Que pouvons-nous faire ? Que devrions-nous faire ? S'il te plaît, dis-nous ce qu'il faut faire et ce qu'il ne faut pas faire - par exemple, abandonner !

 

C'est la réponse à la panique, à l'anxiété et à la peur qui nous atteignent lorsque nous commençons à parler de la violence systémique du patriarcat. Le temps est venu de mettre fin à ce mode de vie destructeur. Le temps est venu de passer de la haine patriarcale de la vie à l'amour de la vie, qui est l'attitude naturelle des êtres humains. La nécessité de ce changement, cependant, ne fait pas encore partie de la conscience de la plupart des gens ! Nous devons la réveiller, afin de prendre conscience et de développer une conscience planétaire.

 

Cela devrait être le "virus", la "maladie" qui nous "contamine" tous - pour nous ouvrir à la puissance de l'amour pour notre Mère la Terre ! Quoi d'autre ? Il n'y a pas d'autre choix !

 

Nouvelles questions sur le futur de notre civilisation

 

Si nous regardons autour de nous, nous voyons toujours plus d'armes qui menacent la terre et la vie sur terre. Avec une « militarisation » par le contrôle de l'esprit et les neurosciences, la 5G, l'intelligence artificielle, par exemple la numérisation, les nanotechnologies et les biotechnologies, la géo-ingénierie appartient à la 4e révolution industrielle qui est maintenant proclamée pour construire notre avenir au 21e siècle. Ces technologies produisent déjà des "confinements" du haut, de l'espace et du bas. Elles sont censées utiliser nos corps et nos cerveaux pour cela aussi, et il ne semble pas que nous survivions tous à ce processus de devenir littéralement une partie de ce que j'appelle la « méga machine ». C'est ce que le WEF, le Forum économique mondial, l'un des plus importants groupes de réflexion des pouvoirs en place en Suisse, a annoncé ouvertement récemment.

 

Les problèmes auxquels nous sommes confrontés sont de plus en plus liés les uns aux autres, et il faut renoncer à la vieille négligence qui consiste à accueillir la question de la technologie comme un « progrès », qui continue à envahir les milieux intellectuels. Il faut vraiment regarder en face le patriarcat, la destruction intentionnelle du monde et de nous, les êtres humains aussi ! Les vaccins contre le Covid-19 destinés à nous transformer en zombies génétiquement modifiés sont en cours de production dans les industries pharmaceutiques du monde entier. Le Chancelier de l'Autriche a lui seul a déjà commandé 8 millions de doses, exactement le nombre d'habitants de ce pays !

 

La 15e lettre d'information suivante, destinée à célébrer le 10e anniversaire du PMME, contient 13 contributions sur les travaux du Dr Rosalie Bertell, ses recherches, sa relation avec le PMME, les développements généraux concernant la terre et les cas particuliers, ainsi que notre compréhension conceptuelle de la nature qui constitue la base de notre travail.

 

Des contributions ont été envoyées d'Autriche, du Canada, de Chypre, de France, d'Allemagne, d' Italie, du Mexique, de Nouvelle-Zélande, du Portugal, d'Espagne, de Suisse et des États-Unis.

 

Nous vous sommes à tous reconnaissants pour vos contributions à notre célébration, tous les membres du Conseil international du PMME, la plupart des auteurs de « Global Warning ! », et notre éditeur. Certains membres du conseil du PMME n'ont cependant pas pu contribuer pour le moment.

 

Nous remercions tout particulièrement Sœur Julia Lanigan, ancienne présidente des « Sœurs Grises du Sacré-Cœur » aux États-Unis, qui a toujours soutenu et coopéré avec le PMME et nous a aidés à obtenir les autorisations de publication pour le travail du Dr Rosalie Bertell après sa mort.

 

Nous sommes reconnaissants des dons que nous avons reçus et qui nous ont permis de faire notre travail.

 

Nous sommes reconnaissants aux lecteurs locaux et internationaux de notre site www.pbme-online.org

 

Claudia von Werlhof, rédactrice de « Global Warning ! », professeur de sciences politiques et d'études féminines, Université d'Innsbruck, fondatrice et présidente du PMME, Autriche/Allemagne

 

 

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Jamais si peu n'a fait autant de mal à tant de gens

1 Mai 2020, 16:32pm

Publié par Scott Tips NHF

La dernière attaque de coronavirus est un prétexte pour restreindre nos libertés en matière de santé

 

Scott C. Tips, président de la NHF

 

Article paru le 4 avril 2020 - ( Nombreux liens non intégrès ci-dessous : voir l'article en anglais)

 

L'année dernière, j'ai été invité à prendre à nouveau la parole lors de la conférence de l'Académie internationale de médecine orale et de toxicologie (IAOMT) qui se tiendra début mars 2020 à Dallas, au Texas. J'avais pris la parole lors de l'événement 2019 de l'organisation qui s'est tenu à Indianapolis, Indiana, et ce fut un grand succès. Cette organisation de dentistes holistiques est l'une des meilleures que je connaisse, et ses événements sont toujours bien fréquentés, bien planifiés et organisés de manière impeccable. Cette année, j'ai parlé des vaccins, des mandats gouvernementaux et de la manière d'y résister légalement. À l'époque, la pandémie de coronavirus commençait à peine à se propager dans le monde entier et j'ai commencé mon discours en félicitant les dentistes et le personnel dentaire assemblés pour le courage dont ils ont fait preuve en assistant à cet événement alors que tant d'autres manifestations publiques, dont l'Expo West à Anaheim, en Californie, étaient annulées. J'avais le sentiment qu'ils méritaient tous une médaille ou au moins une récompense, mais ils m'ont surpris en me remettant plutôt une récompense.

 

 

Une partie de mon discours portait sur le coronavirus. Mais de nombreux autres faits ont été mis en lumière et beaucoup de choses se sont passées depuis que j'ai parlé de ce sujet à l'époque, alors que le monde se jette dans le vide pour une destruction inégalée. Dans un environnement qui évolue rapidement, je ne peux présenter ici qu'un aperçu de nos connaissances actuelles sur le drame COVID-19 qui se déroule sous nos yeux. Il est important qu'aucun d'entre nous ne soit réduit à être l'esclave obéissant que la campagne de peur massive menée par les médias et le gouvernement de l'État profond voudrait nous faire devenir.

 

L'escroquerie du taux de mortalité

 

En février 2020, l'Organisation mondiale de la santé (OMS) - jamais connue pour son exactitude ou sa cohérence - a déclaré une "pandémie" pour le coronavirus et a affirmé que le taux de mortalité pour la nouvelle maladie à coronavirus, désormais désignée sous le nom de COVID-19, était de 3,4%, alors que celui de la grippe saisonnière était de 0,1%. Bien entendu, les médias ont repris ces chiffres et ont fait la une des journaux dans le monde entier en déclarant que ce nouveau virus était beaucoup plus mortel que la grippe saisonnière. Le problème avec la déclaration de l'OMS, cependant, est qu'elle a appliqué deux formules différentes pour les deux virus. Pour la maladie COVID-19, par exemple, ils n'ont tout simplement pas compté les cas bénins de COVID-19 qui se sont résolus d'eux-mêmes ; pourtant, ils l'ont fait pour la grippe saisonnière. Si l'OMS appliquait la même formule aux cas de grippe saisonnière qu'aux cas de COVID-19, alors la grippe saisonnière se révélerait plus véridique, étant deux fois plus mortelle que le virus COVID-19.

 

En fait, les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) eux-mêmes ont déclaré que pour la saison de la grippe 2019-2020, 22 000 Américains sont morts de la grippe saisonnière alors qu'environ 1 000 Américains sont morts à ce jour de la grippe COVID-19. Même en appliquant les chiffres mondiaux déclarés pour les décès dus au COVID-19, nous avons moins de 7 000 décès. C'est toujours tragique, mais les chiffres mondiaux de COVID-19 sont bien moins élevés que les décès dus à la grippe saisonnière rien qu'en Amérique ! Sans parler du fait que les taux de mortalité européens sont jusqu'à présent inférieurs en 2020 à ceux de 2017.

 

Et pour tout cela, les États-Unis, les États et les collectivités locales sont prêts à saccager l'économie américaine et à détruire les marchés financiers nationaux et internationaux, dont la plupart sont basés sur le dollar américain ? Et pourquoi maintenant ? Nous devons nous poser ces questions car cette approche drastique n'a pas été adoptée lors des précédentes épidémies avec des virus bien plus meurtriers. Alors, pourquoi maintenant ?

 

 

Le COVID-19 est la plus faible des sept grippes et maladies graves (Nil occidental, SRAS, grippe aviaire, grippe porcine, Ebola et Zika) que nous avons connues depuis 2002. Jusqu'à présent, comme mentionné ci-dessus, il est encore moins mortel - de moitié - que la grippe saisonnière ordinaire. Bob Luddy, écrivant pour The American Spectator, est allé encore plus loin : "Cette saison, la grippe a tué 22 000 Américains contre 388 morts à cause de COVID-19. Ce sont les données concrètes disponibles. Il n'y a pas eu de discussion nationale sur la grippe mais une panique totale sur le coronavirus".

 

John P. A. Ioannidis, professeur de médecine et d'épidémiologie à la faculté de médecine de l'université de Stanford, a raisonnablement fait valoir que nous prenons des décisions sans disposer de données raisonnables, de sorte qu'il est impossible de faire des affirmations sur un quelconque taux de mortalité, actuel ou futur. Le Dr Ioannidis pense que lorsque la poussière se dépose et qu'un comptage précis est effectué, le taux de mortalité réel pour le COVID-19 pourrait être cinq fois inférieur, atteignant 0,025 % ou peut-être 0,625 %, mais certainement pas le chiffre alarmiste de 3,4 % de l'OMS. "Les patients", écrit-il, "qui ont été testés pour le CoV-2 du SRAS sont de manière disproportionnée ceux qui présentent des symptômes graves et de mauvais résultats. Comme la plupart des systèmes de santé ont une capacité de test limitée, le biais de sélection pourrait même s'aggraver dans un avenir proche".

 

Le Dr Jay Bhattacharya, un autre professeur de médecine de l'université de Stanford, partage cet avis lorsqu'il déclare, comme le cite le Wall Street Journal, "Un germe d'épidémie au 1er janvier implique qu'au 9 mars, environ six millions de personnes aux États-Unis auraient été infectées. Au 23 mars ... il y a eu 499 décès dus au Covid-19 aux États-Unis ... soit un taux de mortalité de 0,01%." Il déplore le fait qu'aucune étude n'ait été faite pour évaluer avec précision le taux de mortalité mesuré.

 

Beaucoup ont cité l'Italie et ses taux de mortalité dus au coronavirus comme preuve positive de la morbidité de cette dernière épidémie. Mais selon les responsables italiens, 99% des personnes décédées avaient d'autres maladies qui les prédisposaient à mourir. En fait, l'âge moyen des personnes décédées est de 79,5 ans (certains disent 81-83 ans) ! N'oubliez pas que l'Italie est le cinquième pays au monde pour l'âge médian le plus élevé (les États-Unis se classent 61ème).

 

Comme si cela ne suffisait pas à mettre un clou dans le cercueil du taux de mortalité mythiquement élevé de l'Italie par le COVID-19, un rapport de l'Institut national italien de la santé montre que jusqu'à 88 % des décès italiens présumés du COVID-19 pourraient être attribués à tort. Le rapport indique que "la manière dont nous codons les décès dans notre pays est très généreuse dans le sens où toutes les personnes qui meurent dans les hôpitaux avec le coronavirus sont considérées comme mourant du coronavirus ... Après réévaluation par l'Institut national de la santé, seulement 12 % des certificats de décès ont montré une causalité directe du coronavirus, alors que 88 % des patients qui sont morts ont au moins une prémorbidité - beaucoup en avaient deux ou trois".

 

De plus, si vous regardez les chiffres de mortalité du gouvernement italien lui-même, vous verrez une augmentation constante des décès depuis 2006 ! Nous savons tous que la "crise" actuelle n'a commencé qu'en 2020, donc un autre facteur doit être à l'origine de l'augmentation rapide du nombre de décès en Italie.

 

Les conditions de santé préexistantes ont une grande importance dans l'évaluation des causes de décès. À l'époque, seules trois victimes ne présentaient pas d'autres pathologies. L'écrivain et chercheur en santé Bill Sardi a étudié ce dernier virus de manière approfondie et pense que les décès attribués au COVID-19 pourraient être plus correctement attribués à la tuberculose, qui tue 1,7 million de personnes dans le monde chaque année. La tuberculose est bien plus mortelle que le COVID-19, qui pourrait n'être rien d'autre qu'un virus opportuniste chevauchant la queue de la mycobactérie de la tuberculose.

 

Le président de la Fédération nationale de la santé, David Noakes, est du même avis : "Aujourd'hui, le 27 mars, on compte un total de 759 décès [au Royaume-Uni] dus au COVID-19, mais même cela est un mensonge. Il s'agit de personnes qui sont mortes avec le COVID-19, mais la plupart ne sont pas mortes à cause du COVIV-19. Presque toutes avaient d'autres maladies qui ont causé leur mort".

 

Dans son Alerte COVID-19 n°2 (24 mars 2020), le CDC a émis une directive au personnel médical qui stipule en fait que "le COVID-19 doit être indiqué sur le certificat de décès pour tous les défunts lorsque la maladie a causé ou est supposée avoir causé ou contribué au décès. (souligné dans l'original) Il est donc facile de voir que les chiffres officiels de décès du COVID-19 sont exagérés et que les médecins peuvent attribuer le virus comme cause de décès même sans avoir testé le patient ! De plus, aux États-Unis, les hôpitaux ont une incitation financière à déclarer un patient "COVID-19 positif" puisque le gouvernement remboursera l'hôpital plus pour ces patients (13 000 dollars) et trois fois plus (39 000 dollars) si le patient COVID-19 est sous respirateur.

 

Le Dr Hendrik Streeck, virologiste allemand, soutient également M. Noakes lorsqu'il déclare que COVID-19 n'augmentera probablement pas la mortalité globale en Allemagne, qui est normalement de 2 500 personnes par jour. Streeck cite l'exemple d'un homme de 78 ans qui est mort d'une insuffisance cardiaque, mais qui a ensuite été testé positif pour le virus et donc inclus dans les statistiques de décès de COVID-19 ! Cet exemple est soutenu par le directeur de l'Institut allemand de santé publique (l'Institut Robert Koch ou RKI), qui a admis que tous les décès dans lesquels une personne a également été testée positive pour le coronavirus sont comptés comme des décès COVID-19, même si ces personnes sont en fait décédées d'une autre cause.

 

En outre, dans le tableau du RKI ci-dessous, on peut facilement voir que le nombre de cas de maladies respiratoires aiguës ("Akute Atemwegserkrankungen"), au 20 mars 2020 ("Kalenderwoche" 12 à 13), a plongé, et non augmenté.

 

 

 

Fin mars 2020, le Dr Sucharit Bhakdi, professeur émérite de microbiologie médicale à l'université Johannes Gutenberg de Mayence, a écrit une lettre ouverte à la chancelière allemande Angela Merkel, lui posant plusieurs questions, contestant les fausses nouvelles sur les taux de mortalité dus au coronavirus et s'interrogeant sur la nécessité d'une fermeture drastique des entreprises et du confinement des allemands. La lettre originale est en allemand.

 

De plus, reconnaissant la réalité, le 19 mars 2020, la santé publique britannique et le comité consultatif sur les agents pathogènes dangereux (ACDP) ont déclassé le COVID-19 de "maladie infectieuse à haute conséquence" à une maladie à faible taux de mortalité. Ceci est en accord avec l'évaluation du vice-président de la NHF, le Dr Bradford Weeks, selon laquelle COVID-19 n'est pas plus dangereux qu'une grippe normale.

 

Puis, le 26 mars, un article est paru dans le New England Journal of Medicine, co-écrit par le Dr Anthony Fauci, désormais célèbre, qui dit dans la partie pertinente "Si l'on suppose que le nombre de cas asymptomatiques ou peu symptomatiques est plusieurs fois plus élevé que le nombre de cas déclarés, le taux de mortalité peut être considérablement inférieur à 1%. Cela suggère que les conséquences cliniques globales du Covid-19 pourraient finalement s'apparenter davantage à celles d'une grippe saisonnière grave (qui a un taux de létalité d'environ 0,1 %) ou d'une grippe pandémique (semblable à celles de 1957 et 1968) plutôt qu'à une maladie semblable au SRAS ou au SRASM, qui ont eu des taux de létalité de 9 à 10 % et 36 %, respectivement. “

 

Tout cela est confirmé par les nouveaux chiffres de mortalité provenant de la Chine. Une nouvelle étude épidémiologique conclut que le taux de mortalité du COVID-19, même dans la ville de Wuhan, n'était que de 0,04 % à 0,12 % et donc bien inférieur à celui de la grippe saisonnière, qui a un taux de mortalité d'environ 0,1 %.

 

Pourtant, si l'on en croit les alarmes et les craintes constantes exprimées par les grands médias, on pourrait penser - comme la plupart des gens ont été amenés à le croire - qu'un nombre considérable de personnes dans le monde entier meurent de la maladie COVID-19. Ce n'est tout simplement pas vrai, comme le Dr John Lee l'explique clairement dans son article paru dans le Spectator. Cependant, nos médias contrôlés ont leurs ordres et ils ne sont pas prêts à laisser quelque chose comme la vérité leur barrer la route. L'exemple le plus récent des mensonges des médias de masse se trouve dans le rapport carrément faux de CBS News selon lequel les hôpitaux de la ville de New York sont submergés de cas de coronavirus. N'ayant pas de telles photos à utiliser, CBS News a simplement diffusé une photo d'un hôpital italien sur Sky News à la place.

 

La vérité est que les hôpitaux américains ne sont pas submergés par les cas de COVID-19. Malheureusement, les grands médias nous mentant à tous sur le fait que ces hôpitaux sont "débordés" de cas de coronavirus, il a fallu des journalistes citoyens pour découvrir la vérité.

 

Dans quelle mesure allons-nous supporter les mensonges flagrants du gouvernement et des médias ? En consultant les statistiques du site web de l'Observatoire européen de la surmortalité pour l'action de santé publique (EuroMomo), même l'œil non averti et amateur peut constater que le taux de mortalité a été jusqu'à présent inférieur à celui des années précédentes ! Sommes-nous prêts à détruire des pays du monde entier à cause d'un mauvais cas de grippe ?

 

Pas de test précis

 

En outre, le test COVID-19 est défectueux et comporte de nombreux faux positifs. Les faux positifs pour le coronavirus COVID-19 peuvent aller jusqu'à 50 %. D'autres disent jusqu'à 75 %. Cela s'explique par le fait que le test PCR standard actuel n'examine qu'un ensemble d'anticorps et ne recherche pas spécifiquement un virus. Un grand nombre des anticorps recherchés dans la liste des résultats positifs sont communs à d'autres souches de virus de la grippe. Si la liste comporte suffisamment de points de contrôle, les médecins parlent de résultat positif. Ainsi, naturellement, tout anticorps qui apparaît après la vaccination par un vaccin composé de souches de grippe inertes donnera un résultat positif. Rappelons que l'Italie avait des vaccinations obligatoires avant l'épidémie de COVID-19. Cela fausserait certainement les résultats, en particulier le nombre de décès.

 

M. Noakes a également observé avec justesse qu'"il n'existe pas de test agréé pour le COVID-19. Le test habituel est un test PCR pour la pneumonie. Si vous l'avez, ils le reclassifient maintenant comme COVID-19. Ils peuvent reclasser tous les 17 000 décès dus à la grippe de cette année en tant que décès COVID-19. La science est nulle".

 

Nous sommes face à une situation mondiale dans laquelle aucune des autorités n'a vraiment la moindre idée de ce qui se passe ou de la manière d'y faire face et pourtant, elles prennent des décisions de vie ou de mort qui touchent des milliards de personnes, ferment des entreprises à droite et à gauche, mettent des gens au chômage, interrompent les voyages aériens internationaux et ferment les portes de leurs maisons. C'est comme si quelqu'un donnait des mitraillettes à une troupe de chimpanzés !

 

Peter Hitchens, écrivant pour le Daily Mail le 14 mars 2020, était d'accord : "Les catastrophes épidémiques ont été prédites de nombreuses fois auparavant et n'ont pas été aussi graves que ce que l'on craignait. L'ancien rédacteur en chef du Times, Sir Simon Jenkins, a récemment dressé la liste de ces craintes non non réalisées : la grippe aviaire n'a pas tué les millions de personnes prévues en 1997. En 1999, c'est la maladie de la vache folle et sa variante humaine, la vMCJ, qui devaient en tuer un demi-million. En fait, moins de 200 personnes en sont mortes au Royaume-Uni. La première épidémie de SRAS de 2003 a été signalée comme ayant "25 % de chances de tuer des dizaines de millions de personnes" et comme étant "pire que le sida". En 2006, une autre épidémie de grippe aviaire a été déclarée "première pandémie du XXIe siècle". Des avertissements similaires ont été lancés en 2009, selon lesquels la grippe porcine pourrait tuer 65 000 personnes. Ce n'est pas le cas. Le Conseil de l'Europe a décrit la pandémie de 2009 comme "l'un des grands scandales médicaux du siècle".

 

 

Avec cette dernière exagération, on nous prend pour des imbéciles. Pire encore, nous sommes complètement vendus à l'esclavage, avec la perte non seulement de nos libertés sanitaires mais aussi de nos libertés politiques... tout cela sur la base d'un mensonge.

 

Une arme biologique aurait-elle été relâchée ?

 

Prédite par le Dr Fauci quelque trois ans plus tôt, cette épidémie "surprise" de coronavirus était peut-être même planifiée à l'avance. Pensez à l'événement 201, un événement "pandémique" qui s'est tenu le 18 octobre 2019 et qui a été parrainé par la Fondation Bill et Melinda Gates, le Forum économique mondial et le Johns Hopkins Center for Health Security. L'événement s'est déroulé à New York avec une simulation d'épidémie de coronavirus très similaire à l'épidémie actuelle mais avec une épidémie fictive provenant d'élevages de porcs brésiliens. L'événement a accueilli des personnalités telles que le Dr George Gao (directeur de la version chinoise du CDC), Avril Haines (ancien directeur adjoint de la CIA), le contre-amiral Stephen Redd (CDC) et Adrian Thomas (vice-président de Johnson & Johnson), parmi de nombreux autres. Ce n'est pas une coïncidence bizarre que les "exercices" du gouvernement et autres événements mis en scène de ce type se déroulent exactement le même jour que l'événement réel ou bien peu de temps avant. Les exercices terroristes du 11 septembre mis en scène le même jour que l'attaque ne sont qu'un exemple célèbre.

 

Le laboratoire de recherche de Wuhan n'est que l'un des nombreux laboratoires de ce type qui effectuent des recherches et développent des armes biologiques mortelles pour la guerre. Il a la plus haute cote de sécurité pour la recherche virale en Chine. Certains critiques ont impliqué le laboratoire de Wuhan dans la création du type d'arme biologique à base de coronavirus qui est mis en évidence dans COVID-19, tandis que d'autres l'ont nié.

 

L'expérience de vaccin bactérien de 1918 à Fort Riley, Kansas (alors appelé Camp Funston) pourrait très bien avoir été l'étincelle qui a tué 50 à 100 millions de personnes. Cette pandémie a été imputée à la "grippe espagnole" de 1918-1919 ; mais en fait, entre le 21 janvier et le 4 juin 1918, l'armée américaine a autorisé l'Institut américain Rockefeller pour la recherche médicale à injecter le vaccin bactérien expérimental contre les méningocoques de l'Institut à des milliers de soldats stationnés à Fort Riley avant qu'ils ne soient envoyés en France et dans les tranchées de ce pays. À la fin de la guerre, les soldats ont ramené chez eux la maladie qui a ensuite infecté des millions d'autres personnes.

 

Selon un document de l'Institut national de la santé publié en 2008, dont le Dr Anthony Fauci est une nouvelle fois le co-auteur, la pneumonie bactérienne a été la cause de décès dans au moins 92,7 % des autopsies de 1918-1919 examinées. Les chercheurs ont examiné plus de 9 000 autopsies, et "il n'y avait pas de résultats négatifs (bactériens) des cultures pulmonaires". En fait, le document indique que "dans les 68 séries d'autopsies de meilleure qualité, dans lesquelles la possibilité de cultures négatives non déclarées a pu être exclue, 92,7% des cultures pulmonaires d'autopsie étaient positives pour la bactérie ≥1. ... dans une étude portant sur environ 9000 sujets qui ont été suivis depuis la présentation clinique de la grippe jusqu'à la résolution ou l'autopsie, les chercheurs ont obtenu, avec une technique stérile, des cultures de pneumocoques ou de streptocoques à partir de 164 des 167 échantillons de tissus pulmonaires". Comme l'a justement fait remarquer Kevin Barry, président de First Freedoms, "Cela représente 98,2%. La bactérie était la tueuse". Et le monde a subi 50 à 100 millions de morts totalement inutiles, tout cela grâce à ce vaccin expérimental.

 

L'expérience de 1918 n'était certainement pas la première ni la dernière fois que le gouvernement américain testait des armes biologiques sur une population américaine peu méfiante. Le 20 septembre 1950, un navire de la marine américaine au large des côtes californiennes a utilisé un tuyau géant pour pulvériser un nuage de microbes dans l'air et dans le banc de brouillard de San Francisco. L'armée testait les effets d'une attaque à l'arme biologique sur les 800 000 habitants de la ville. Ce manque criminel de préoccupation pour la santé de ses propres citoyens et des autres a été démontré à maintes reprises, avec, par exemple, l'armée américaine donnant des couvertures contaminées par la variole aux Amérindiens, les expériences inadmissibles de Tuskegee sur la syphilis chez les Afro-Américains de 1932-1972, et les expériences du vaccin Ebola sur les Africains de l'Ouest.

 

Et dans les années 1970, le laboratoire 257 du ministère américain de l'agriculture, situé à Plum Island dans le détroit de Long Island, a produit ses propres poisons mortels. Apparemment là pour nous protéger, le laboratoire 257 expérimentait l'anthrax et d'autres spores mortelles. Comme le raconte Michael Carroll dans son livre Lab 257, ce qui allait être connu plus tard sous le nom de maladie de Lyme avait été créé dans ce laboratoire. Laissés à la merci des oiseaux et d'autres animaux, les déchets contaminés étaient empilés à l'extérieur du bâtiment. La ville de Lyme, dans le Connecticut, située à seulement 27,8 km de distance, devint facilement le point de départ de la propagation à l'échelle nationale, puis mondiale, de l'une des maladies les plus insidieuses de l'humanité, jusqu'à ce jour.

 

N'oublions pas non plus que l'anthrax, le virus Ebola, la variole et d'autres armes biologiques ont été étudiées et expérimentées dans les années 1990 à Fort Detrick, dans le Maryland, pendant des décennies. L'anthrax de ce laboratoire, selon certains, a été utilisé en Irak et peut-être envoyé par la poste aux membres du Congrès américain après le 11 septembre. Le CDC a cependant interdit au laboratoire en juillet 2019 de poursuivre ses travaux sur l'anthrax, le virus Ebola et la variole jusqu'à ce que ses procédures soient améliorées.

 

Le Dr Gary Kohls, M.D., explique que l'épidémie initiale de COVID-19 était le résultat d'un virus utilisé comme arme. Il donne les raisons suivantes, entre autres, pour justifier ses soupçons : (1) Wuhan, le "point zéro" du virus en Chine, se trouvait à proximité immédiate du laboratoire d'armes biologiques de niveau 4 de Wuhan ; (2) le premier laboratoire américain d'armes biologiques de niveau 4 à Fort Detrick a soudainement et discrètement fermé ses portes juste avant le début de la nouvelle épidémie de coronavirus breveté ; et (3) cinq athlètes-soldats américains qui étaient à Wuhan l'automne dernier pour participer aux Jeux militaires mondiaux de 2019 ont été atteints par le coronavirus. Compte tenu de ces facteurs connus, le Dr Kohls demande, "n'y a-t-il pas assez de soupçons pour au moins insister pour qu'une enquête impartiale et approfondie soit menée par une agence autre que le Pentagone, le CDC, le NIH, le NIAID ou même l'OMS, dans ces laboratoires top-secrets d'armes biologiques".

 

Le Dr Francis Boyle, qui a rédigé le premier traité multilatéral de désarmement interdisant la guerre biologique et qui est professeur de droit international à l'université de l'Illinois, affirme que des scientifiques chinois pourraient avoir volé ce virus dans un laboratoire de Winnipeg, où le Canada teste un grand nombre de ses armes de guerre biologique. Il pense que le virus s'est ensuite échappé d'un laboratoire de Wuhan (BSL-4). Le laboratoire de Wuhan BSL-4 est un laboratoire de recherche spécialement désigné par l'OMS et le Dr Boyle affirme que l'OMS est bien consciente de ce qui s'y est passé.

 

Indépendamment du fait que COVID-19 ait été créé artificiellement, les armes biologiques sont des armes de destruction massive périlleuses, difficiles à contenir et mortelles pour la race humaine. Elles ne servent aucun objectif légitime. Avec tout le mal qui a été fait jusqu'à présent, depuis les essais de vaccins Rockefeller en 1918 jusqu'à la diffusion de la maladie de Lyme en 1975, en passant par le coronavirus actuel et d'autres souches de virus mortels, il est grand temps de mettre fin à toutes les recherches et à tous les laboratoires sur les armes biologiques ! Elles constituent des violations flagrantes des règles de la guerre et ne devraient certainement jamais être imposées à la propre société d'un pays. Cinquante à 100 millions de morts suffisent.

 

Les actions gouvernementales actuelles se retournent contre nous, une fois de plus

 

L'approche actuelle des gouvernements du monde entier consiste à mettre ses citoyens en quarantaine, à fermer tous les magasins et entreprises "non essentiels", à limiter la taille et même les moments où les citoyens et les résidents peuvent quitter leur domicile, tout cela dans une tentative désespérée de limiter la propagation du virus. Ces actions gouvernementales montrent des gouvernements qui, ironiquement, croient au mieux en leur propre propagande de peur, alors qu'au pire, ces gouvernements utilisent la "pandémie" COVID-19 pour modeler les institutions et la société en une forme froide qui profitera à l'élite aux dépens de nous tous.

 

Les médias de masse alimentent le feu avec leurs récits incessants sur le nombre de médecins et d'infirmières qui "ont peur" d'aller travailler, sur la mort d'un jeune de 16 ans à cause du virus COVID-19, et sur l'Italie atypique qu'ils présentent comme l'exemple même de ce qui est sur le point de se produire en Amérique.

 

Le désastre économique d'une ampleur sans précédent créé par les mesures de confinement imposées par le gouvernement est perdu d'avance. Comme l'a fait remarquer à juste titre un homme d'affaires, "en mai [2020], les dommages économiques seront si graves qu'ils causeront encore plus de tort aux familles, aux enfants maltraités et aux conjoints, ceux qui mourront sans être soignés parce que nous ne nous occupons que du Covid-19. Le nombre de personnes qui seront définitivement licenciées (pour ne plus jamais revenir) est stupéfiant et va s'aggraver d'heure en heure". Les chaînes d'approvisionnement ont été perturbées, des contrats commerciaux ont été arbitrairement rompus, des loyers sont restés impayés, les taux de chômage ont augmenté de plusieurs millions et 50 % des consommateurs américains sont au maximum de leurs possibilités avec leur carte de crédit. Les dommages économiques et personnels sont non seulement graves, mais probablement irréparables.

 

Les gens oublient que leurs gouvernements sont dirigés par des hommes et des femmes ordinaires qui ne savent pas vraiment (et n'ont pas de mécanismes de rétroaction du marché) quelles mesures prendre pour améliorer réellement la santé de leurs citoyens et qui comptent malheureusement sur les mêmes médecins, institutions et entreprises qui se sont considérablement enrichis grâce aux maladies et à la mauvaise santé que leurs méthodes de traitement permettent d'éviter. Souvent, leurs patients continuent de vivre alors que leur maladie est "gérée" (certains diraient "traitée") pour tout l'argent que l'on peut tirer de la maladie. Les patients ne sont jamais guéris.

 

 

L'ancien juge de la Cour suprême britannique Lord Sumption a récemment mis le doigt sur le problème en déclarant : "Quiconque a étudié l'histoire reconnaîtra ici les symptômes classiques de l'hystérie collective. L'hystérie est infectieuse. Nous sommes en train de nous faire une mousse dans laquelle nous exagérons la menace et cessons de nous demander si le remède ne serait pas pire que la maladie".

 

Alors, avec les mesures de confinement ordonnées par le gouvernement, sommes-nous à l'abri du virus ? Peut-être en très petits groupes, mais le CDC a récemment publié un document remettant en question le confinement de groupes plus importants d'individus, tels que les sans-abri déjà en mauvaise santé dans les centres de loisirs, ce que le maire de Los Angeles, Eric Garcetti, a ordonné. Le CDC rapporte que les données japonaises ont montré que la transmission du coronavirus était 18,7 fois plus probable à l'intérieur qu'à l'extérieur. Et à mesure que le public comprend ces mensonges, la réécriture de l'histoire pour soutenir les mesures d'enfermement devient plus flagrante.

 

Beaucoup s'accordent à dire que les mesures de confinement produisant du stress tueront plus de gens que le virus COVID-19 lui-même. L'ancien ministre israélien de la santé, le professeur Yoram Lass, affirme clairement que le nouveau coronavirus est "moins dangereux que la grippe" et que les mesures de confinement "tueront plus de gens que le virus". Pietro Vernazza, un spécialiste suisse des maladies infectieuses, est du même avis, affirmant que ces mesures de confinement et autres ne sont pas fondées sur la science et devraient être abandonnées. Il recommande de protéger les groupes de population vulnérables (par exemple, les personnes âgées et les personnes dont la fonction pulmonaire est compromise) tout en laissant l'économie faire son travail. Et Frank Ulrich Montgomery, le président de la Fédération mondiale des médecins, qualifie les mesures de confinement en Italie de déraisonnables et contre-productives.

 

Plus on enquête avec un esprit ouvert, moins on a confiance dans nos fonctionnaires. La Suède pourrait faire exception en s'appuyant sur deux règles : Les groupes à risque sont protégés et les personnes présentant des symptômes de grippe restent chez elles. Les autorités sanitaires suédoises pensent qu'il vaut mieux suivre les cas individuels dans le pays que de tout arrêter. Comme elles le disent, "malgré la perception populaire, notre meilleur espoir contre la pandémie est la poursuite des échanges et de la coopération par-delà les frontières. Les interdictions de voyage, déclare le gouvernement avec sagesse, sont pour la plupart des "placebos politiques".

 

Même le défenseur des vaccins, le Dr Paul Offit, qui n'est pas partisan de la liberté sanitaire, considère que la grippe saisonnière est plus mortelle que la grippe COVID-19, déclarant "nous ne mettons pas en quarantaine et nous n'annulons pas les réunions pour fermer les écoles, les églises et les synagogues à cause de la grippe". Le Dr Offit se demande donc pourquoi nous traitons un type de médicament différemment de l'autre.

 

Mais ce dont on parle rarement, voire jamais, c'est du nombre de personnes qui meurent réellement de ces restrictions sociales, politiques et économiques extrêmes. Combien de personnes sont mortes d'un accident vasculaire cérébral, d'une crise cardiaque ou même d'un suicide provoqué par les médias hystériques et alarmistes et les politiciens qui font la une des journaux et qui essaient désespérément de montrer à quel point leurs efforts sont "nobles" ? J'estime qu'un grand nombre de personnes meurent ou sont gravement atteintes par l'hystérie médiatique et la campagne de peur constante. L'une des meilleures premières mesures que chacun pourrait prendre pour combattre le coronavirus COVID-19 serait de jeter son téléviseur par la fenêtre.

 

Les vaccins sont-ils la réponse ?

 

La communauté médicale traditionnelle, soutenue par les médias et le gouvernement, voudrait vous faire croire que le "Saint Graal" de la guérison de COVID-19 réside dans un vaccin magique. La réalité est que tout vaccin est à un an de sa mise sur le marché ; et tout vaccin développé avant un an sera extrêmement dangereux et non prouvé. Quoi qu'il en soit, dans un an, le coronavirus COVID-19 sera de l'histoire ancienne et tout vaccin efficace sera inutile. Cela n'empêche toutefois pas la communauté médicale de brandir la promesse d'un vaccin devant les yeux de la population. Ignorez cette promesse vide de sens.

 

Ignorez également leurs invitations à vous "protéger" en vous faisant vacciner contre la grippe actuelle. Cela ne vous protégera pas. En fait, des preuves tangibles ont montré qu'il fera exactement le contraire ! Une étude récente publiée dans Vaccine, une revue médicale prestigieuse, a démontré que la vaccination contre la grippe peut augmenter le risque d'infection par le coronavirus de 36% et par le métapneumovirus humain de 51%.

 

Protégez-vous vraiment

 

Rien de ce qui précède ne dit ou ne suggère que vous devriez traiter ce virus, ou tout ce qui est à l'origine des décès et des maladies, à la légère. Évitez autant que possible l'exposition directe. Mais nous ne pouvons pas vivre en évitant une infection potentielle - ce n'est pas pratique comme nous le constatons. Vous pouvez cependant renforcer et soutenir votre système immunitaire grâce aux vitamines A, C, D3 et K2. Prenez régulièrement les minéraux suivants : magnésium (pour aider à activer la vitamine D3), zinc et sélénium. Adoptez un régime anti-inflammatoire composé principalement d'aliments végétaux entiers et nourrissez votre intestin avec des probiotiques, de la choucroute et d'autres aliments utiles. Utilisez de l'argent colloïdal, du jus de citron, de l'extrait de sureau et du peroxyde d'hydrogène pour tuer ou neutraliser le virus. Ce ne sont là que quelques-unes des nombreuses façons de renforcer votre système immunitaire ; éviter la peur et le stress sont peut-être les plus importantes.

 

Si vous obtenez un résultat positif au test de dépistage du virus (et qui sait s'il s'agit d'un faux positif) et que vous faites partie des deux pour cent qui ne se remettent pas facilement de ce virus comme s'il s'agissait d'un simple rhume, envisagez un traitement à base de vitamine C par voie intraveineuse (IV) à des niveaux élevés. Selon le Dr Andrew Saul, la première étude approuvée sur la vitamine C par voie intraveineuse contre COVID-19 a débuté en Chine et portait sur des patients prenant 12 000 à 24 000 mg par jour de vitamine C par voie intraveineuse. Le médecin superviseur, le Dr Cheng, a spécifiquement appelé à l'utilisation thérapeutique immédiate de la vitamine C pour le traitement des infections à coronavirus (COVID-19). Ces patients ont tous obtenu de très bons résultats.

 

Un deuxième et un troisième essai clinique de vitamine C par voie intraveineuse ont été annoncés en Chine les 13 et 21 février, respectivement. Dans la deuxième étude, le Dr Cheng rapporte que les chercheurs donneront 6 000 mg/jour et 12 000 mg/jour pour les cas modérés et graves et que la vitamine C par voie orale pourrait même être incluse dans ces études. Les détails du protocole de Wuhan sur la vitamine C (en anglais) sont publiés sur le site : www.orthomolecular.org/resources/omns/v16n07.shtml

 

En outre, la vitamine C est maintenant utilisée pour prévenir et traiter le COVID-19 en Chine et en Corée. Le protocole semble fonctionner.

 

Le Dr Thomas Levy, membre du conseil consultatif de la NHF, a également beaucoup écrit sur l'utilisation de la vitamine C par voie intraveineuse et sur son utilisation générale de niveau supérieur par voie orale. La NHF a publié le protocole du Dr. Levy sur l'arrêt du virus au niveau du nez et de la bouche en utilisant le grattage de la langue, les lavages de bouche et la reconstitution des bactéries intestinales.

 

Le Dr Alex Vasquez a publié de nombreux articles sur l'utilisation de la N-acétyl-cystéine (NAC). Les comptes-rendus sur l'utilisation de doses élevées de NAC administrées par voie intraveineuse pour sauver les patients atteints de pneumonie sont particulièrement convaincants. Les doses d'entretien quotidiennes sont de 600 mg de NAC, selon les travaux du Dr Vasquez dans le domaine de la nutrition antivirale : Acétyl-cystéine / NAC dans le traitement et la prévention de la pneumonie, de la grippe.

 

"Si", comme l'indique le document Fauci 2008 du NIH, "la grippe pandémique grave est en grande partie un problème de copathogénèse virale-bactérienne, la planification de la pandémie doit aller au-delà de la seule prise en compte de la cause virale (par exemple, vaccins antigrippaux et médicaments antiviraux)". Je suis tout à fait d'accord.

 

De plus, l'hémisphère nord se réchauffant presque de jour en jour, sortez et prenez un peu de soleil. Si vous êtes à la bonne latitude, la vitamine D que vous créerez dans votre corps à partir des rayons ultraviolets du soleil vous aidera à vous protéger. Sinon, les rayons ultraviolets des lits de bronzage et la chaleur des saunas à infrarouge lointain peuvent également vous aider à calmer le coronavirus.

 

D'autres médecins ont obtenu d'excellents résultats en traitant le virus avec des combinaisons de sulfate d'hydroxychloroquine, de zinc et de Z-pak (azithromycine, un antibiotique). Le Dr Vladimir Zelenko, médecin de famille agréé à New York, a traité avec succès quelque 700 patients atteints de coronavirus. En utilisant cette combinaison de médicaments et de compléments, le Dr Zelenko a constaté que les symptômes d'essoufflement disparaissaient en quatre à six heures, alors que le traitement complet de cinq jours ne coûtait que 20 dollars. Sardi et d'autres pensent que le zinc est l'une des clés pour renforcer suffisamment le système immunitaire pour combattre des virus tels que le coronavirus COVID-19. Après tout, le zinc est nécessaire à la production de cellules T par le thymus ainsi qu'à la production de neutrophiles, deux acteurs clés du système immunitaire de l'organisme.

 

Non content des remèdes naturels qu'il a déjà fait connaître le plus largement possible, Bill Sardi a également signalé que l'ivermectine, un agent antiparasitaire couramment utilisé, est un antiviral bon marché, immédiatement disponible et efficace qui "reste inexplicablement inutilisé dans la lutte contre les infections virales humaines, comme le coronavirus COVID-19". "Une seule dose d'ivermectine", dit-il, "abolit le coronavirus COVID-19 dans une boîte de laboratoire." Il n'est pas surprenant que l'ivermectine soit encore plus efficace en présence de zinc.

 

Enfin, n'oubliez pas que l'iode tue les agents pathogènes au contact. Je prends moi-même 12,5 mg d'iode/iodure par jour, soit bien plus que le ridicule AJR de l'iode. Pensez à demander à un médecin nutritionniste compétent si vous avez besoin de plus d'iode dans votre alimentation.

 

 

Quel est le véritable tueur ici ?

 

Afin de nous protéger, nous devons savoir quel est le véritable tueur ici. Est-ce un virus ou autre chose ? Le docteur Lawrence Broxmeyer, médecin new-yorkais et chercheur de longue date sur les maladies, pense et a d'abord avancé l'hypothèse qu'il pourrait s'agir d'une mycobactérie. Bill Sardi, entre autres, est d'accord et a popularisé l'hypothèse du Dr Broxmeyer. Il note que l'incidence de l'infection par le coronavirus COVID-19 chevauche nettement, dans la plupart des cas, les zones où la tuberculose est la plus répandue dans la population, observant que la population d'immigrants illégaux fortement infectée qui afflue dans les États frontaliers du Sud est une source majeure de récurrence de la tuberculose en Amérique.

 

Ils ne sont pas les seuls à penser cela. Dans un excellent exposé, Sardi a rendu publics les résultats de l'étude de 2012 du chercheur scientifique Hiroshi Nishiura, qui montrent qu'il n'y a pas eu de décès dus à la grippe chez les témoins qui n'étaient pas atteints de la bactérie de la tuberculose.

 

Mais même avec cette bactérie tueuse primaire ou compagnon, les décès dus au COVID-19, selon d'autres, sont toujours au moins dix fois moins nombreux que ceux rapportés par les responsables gouvernementaux et les médias. Tout ce bruit fait se demander si toute cette crise a été délibérément mise en scène, ou délibérément mal gérée.

 

Le véritable objectif

 

J'ai entendu de nombreuses théories sur la cause de la maladie actuelle. Le récent déploiement de la technologie sans fil 5G (Wuhan, en Chine, et Milan, en Italie, sont tous deux des points chauds des émetteurs 5G, par exemple) jouerait un rôle clé dans l'affaiblissement de la réponse de notre système immunitaire à tout virus, y compris le coronavirus, ou même dans la cause de ce que l'on appelle la maladie coronavirale. Quelle que soit sa cause, la réponse médicale actuelle est une réaction excessive qui dépasse toute nécessité. Cette "grippe" est moins mortelle que la grippe ordinaire, jusqu'à présent. La plupart des personnes y survivront facilement, même si elles l'attrapent. L'hystérie de masse hautement inflammatoire autour de "COVID-19″" est, je pense, simplement un prétexte pour changer nos institutions politiques et notre culture, et pour restreindre davantage nos libertés. "Ne jamais laisser une crise se perdre" est le vieux dicton politique psychopathe, et il s'applique certainement ici.

 

L'économie américaine - et donc l'économie mondiale - est dans une position périlleuse. En septembre dernier, le marché des rachats d'obligations ("repo") a dû être massivement renfloué par la Réserve fédérale américaine. En décembre 2019, Zoltan Pozsar, l'économiste hongrois qui a pratiquement inventé le marché moderne des repo, nous a averti que les interventions de la Réserve fédérale à ce jour n'ont pas réussi à inverser les conditions de faiblesse sous-jacente du système bancaire. La Fed ne peut pas pousser sur une corde plus que ça et sa capacité, par l'impression de monnaie et le contrôle des taux d'intérêt, à empêcher l'économie et les marchés financiers de s'effilocher est de plus en plus limitée. Les taux d'intérêt suivent déjà ceux de l'Europe et d'ailleurs et plongent dans le négatif, alors que la Fed doit faire extrêmement attention à ne pas déclencher l'inflation ou faire chuter la valeur du dollar avec sa frappe de monnaie trop zélée 24 heures sur 24, 7 jours sur 7. J'ai vu cela venir, comme en témoignent mes prévisions pour 2020 dans le numéro de janvier 2020 du magazine Whole Foods, dont je suis le rédacteur juridique et le chroniqueur régulier.

 

Notre château de cartes financier étant sur le point de s'effondrer à tout moment, le coronavirus de cette année est arrivé juste à temps. Au lieu que le gouvernement, les politiciens et les économistes des deux partis soient critiqués pour les périodes économiques soudainement difficiles, ils ont tous saisi le coronavirus "mortel" comme excuse pour permettre au marché de s'effondrer et de faire fermer des entreprises dans le monde entier. Après tout, personne ne mettrait en doute les "mesures de sécurité sanitaire", n'est-ce pas ? La faute pourrait être imputée au virus "invisible", une faute qui continue à ce jour. Alors que l'économie américaine et d'autres économies vacillent à cause de problèmes structurels majeurs, d'une dette incontrôlée, de dépenses inconsidérées et de la stupidité des gouvernements qui ferment les entreprises, la responsabilité de l'effondrement des marchés et de la chute des économies est portée par la maladie COVID-19, qui est facilement accessible.

 

La véritable menace pour nous ne vient pas du "virus" mais des gouvernements et de leurs chefs d'entreprise qui vont prendre le dessus lorsque la poussière de toute cette "pandémie" sera retombée. À la mi-mars 2020, le Parlement danois a adopté une loi draconienne autorisant le gouvernement à tester (avec leurs tests imprécis) qui il veut au Danemark afin de déterminer si ces personnes ont été infectées par le coronavirus et même à leur injecter de force un vaccin (encore inexistant), tout cela contre leur volonté et leurs droits. La loi doit expirer en mars 2021, mais elle a créé un précédent qui a brisé la liberté et dont les 95 parlementaires danois qui ont voté pour elle devraient avoir honte. Plus encore, ils devraient tous être démis de leurs fonctions.

 

De même, la loi sur la quarantaine au Canada donne au gouvernement canadien la possibilité de supprimer les libertés des canadiens en fermant des entreprises et en enfermant les gens chez eux, le tout sur un caprice bureaucratique. Pendant ce temps, la Réserve fédérale américaine parle d'un "arrêt planifié de l'économie".

 

Deux plans de lutte contre les coronavirus ont fait surface pour les États-Unis et aucun d'entre eux n'est de bon augure pour la santé ou les libertés de ses citoyens. Le premier, proposé par Ezekiel Emanuel, un expert en politique de santé de l'université de Pennsylvanie, prévoit que les mesures de confinement commenceront à s'assouplir en juin 2020, si certaines étapes en matière de santé sont respectées. Le second, proposé par l'ancien commissaire de la FDA, le docteur Scott Gottlieb, est plus draconien, appelant à un assouplissement beaucoup plus prudent et ouvert des restrictions, avec la levée de ces restrictions uniquement lorsqu'un vaccin et/ou des médicaments seront disponibles. M. Gottlieb n'hésite pas à violer le code de Nuremberg contre l'absence de consentement éclairé dans les procédures médicales, car il veut vacciner tout le monde par la force. Il pense qu'il faudrait deux ans pour déployer un vaccin (2022), alors que les médicaments pourraient être disponibles dès cet été 2020. Pendant ce temps, l'État policier règne en maître sur la base frauduleuse de fausses statistiques.

 

 

Souvenez-vous, tout le monde n'est pas mort sur le Titanic

 

Nous devrions tous être plus effrayés par la réponse politique au COVID-19 que par le virus lui-même. Comme l'a si bien dit Martin Armstrong, d'Armstrong Economics, "Il s'agit d'une destruction économique intentionnelle qui est effectuée dans un but non divulgué". Ou peut-être savent-ils quelque chose sur le virus qu'ils ne nous disent pas ? Le temps nous le dira.

 

En attendant, nous devons tous nous opposer fermement au confinement et à la destruction actuels de nos moyens de subsistance et de nos vies. Nous devons en fait nous moquer des bouffons politiques et médicaux qui ont réagi de manière excessive et, en réagissant de manière excessive, ont détruit des millions de vies. Les faits montrent que le virus tuera, tout au plus, moins de personnes que les maladies que nous avons vues autour de nous pendant toute notre vie ; mais si les plans politiques mis en place à la suite de cette "crise" fictive du coronavirus se poursuivent jusqu'au bout, alors nous souffrirons tous d'un avenir beaucoup moins sain et plus restrictif.

 

Il y a une chose sur laquelle vous pouvez compter : Tout comme le COVID-19 a été précédé par les virus Zika, Ebola, grippe porcine, grippe aviaire et autres virus de la "fin du monde", le COVID-19 sera lui-même suivi par un autre virus, qui n'a pas encore été nommé. En effet, sommes-nous surpris d'entendre déjà, alors que nous sommes encore bien dans les tranchées du confinement actuel, parler de l'inévitable prochaine pandémie ? Dans un avis rédigé par deux doyens de l'école de santé publique T.H. Chan de Harvard et publié par le magazine de l'establishment Fortune, ces deux porte-parole de l'élite affirment que l'épidémie mondiale de COVID-19 n'est en aucun cas une anomalie et que ce n'est qu'une question de temps avant que la prochaine pandémie ne frappe. Bien entendu.

 

Ce prochain virus sera proclamé encore plus mortel que le COVID-19 ; et les mesures tyranniques mises en place, tout cela au nom de la "sécurité publique", dépasseront de façon exponentielle les mesures mises en place actuellement. Ainsi, la manière dont nous, les amoureux de la liberté, réagirons à la prise de pouvoir actuelle dictera le nombre de libertés qui nous seront laissées, à nous et à nos enfants, dans un avenir proche. Nous devons tous dire "Non" haut et fort et avec persistance.

 

Ensuite, désignez les coupables. Démettez-les de leur fonction et de leur direction. Ils doivent comprendre que s'ils persistent, cela devient le lit de semence des révolutions et tout comme la force intérieure et la résilience que vous possédez, le temps de vous lever est venu, pas en tant que victime mais en tant que vainqueur. La NHF est née pour ce jour. Et vous aussi.

 

Dès maintenant, rendez-vous sur www.thenhf.com/Rally pour demander à vos élus d'obéir à la Constitution et de signer la promesse contre le puçage et les vaccinations obligatoires. Nos libertés sont en jeu comme jamais auparavant et les mesures que vous prendrez maintenant détermineront si nous conservons les quelques libertés qui nous restent ou si nous glissons vers une tyrannie totale.

 

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Lettre ouverte à la Cour pénale internationale alléguant la complicité des Nations Unies dans la trahison planétaire

10 Novembre 2022, 21:16pm

Publié par Ciel Voilé

Pdf de l'article ci-dessous

Lettre ouverte à la Cour pénale internationale alléguant la complicité des Nations Unies dans la trahison planétaire


J. Marvin Herndon, Ph.D.
Transdyne Corporation
San Diego, Californie 92131 USA


Mark Whiteside, M.D., M.P.H.

Florida Department of Health

Key West, Florida 33040 USA

Ian Baldwin, M.A.
Éditeur émérite, Chelsea Green

Craftsbury Common, Vermont 05827 USA

RÉSUMÉ

Nous fournissons une abondance de preuves que des activités secrètes de modification de l'environnement (géo-ingénierie) sont en cours dans le monde entier depuis plusieurs décennies, citant de nombreux articles scientifiques et médicaux évalués par des pairs et d'autres sources à l'appui de notre allégation selon laquelle ces activités causent d'innombrables dommages aux systèmes terrestres. Ces dommages comprennent, sans s'y limiter, la perte catastrophique de la faune et de la flore sauvages, l'aggravation du réchauffement planétaire et du chaos climatique, la perturbation des habitats, l'aggravation des sécheresses et la dégradation concomitante de l'agriculture, ainsi que l'appauvrissement de l'ozone stratosphérique, qui expose la vie à la surface au rayonnement ultraviolet solaire mortel. En 1978, l'Organisation des Nations Unies (ONU) a supervisé la création de la Convention sur l'interdiction d'utiliser des techniques de modification de l'environnement à des fins militaires ou autres fins hostiles (ENMOD), un traité international délibérément vague et trompeur qui a servi de cheval de Troie pour fournir une base "légale" aux activités de géo-ingénierie menées ultérieurement dans le monde entier (comme décrit dans le présent document). Depuis la création du Programme des Nations Unies pour l'environnement (PNUE) en 1972, l'ONU et certaines de ses autres agences, dont l'Organisation météorologique mondiale (OMM), le Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC) et l'Organisation mondiale de la santé (OMS), se sont formellement engagées à préserver l'intégrité de l'environnement planétaire. Nous en appelons à la Cour pénale internationale pour qu'elle rende un jugement en faveur des citoyens du monde, dont les droits fondamentaux ont été abrogés par la géo-ingénierie planétaire, comme cela est documenté dans le présent document. Nous demandons respectueusement à la Cour Pénale Internationale les mesures suivantes : 1) Fin immédiate et permanente de la Convention ENMOD; 2) Interdiction mondiale permanente de toutes les activités entreprises sous l'autorité d'ENMOD; 3) Déclassification de tous les documents relatifs aux activités d'ENMOD et mise à disposition gratuite de ces documents au monde entier; 4) Création d'un organe juridique, inspiré du Tribunal militaire international de Nuremberg, pour entendre les preuves et rendre justice pour la trahison planétaire et les crimes contre l'humanité et l'environnement.
 

INTRODUCTION

Depuis la création du Programme des Nations Unies pour l'environnement (PNUE) en 1972, l'Organisation des Nations Unies (ONU) s'est officiellement engagée à préserver l'intégrité de l'environnement planétaire. En réponse à l'indignation mondiale suscitée par la découverte de l'utilisation par les États-Unis d'armes environnementales au Vietnam, y compris la guerre météorologique, l'ONU a supervisé en 1977-1978 la création de la Convention sur l'interdiction d'utiliser des techniques de modification de l'environnement à des fins militaires ou autres fins hostiles (ci-après ENMOD) [1].


Selon nous, ENMOD a utilisé un langage délibérément vague pour dissimuler son objectif secret, qui n'était pas d'interdire la guerre environnementale en tant que telle, mais d'obliger les pays signataires, c'est-à-dire les "États parties", à participer à des activités de modification de l'environnement à des "fins pacifiques" et pour "améliorer l'environnement", sans spécificité ni limitation.

L'absence générale de spécificité d'ENMOD est injustifiée et délibérée. En revanche, ENMOD est assez spécifique et large dans la définition du terme "techniques de modification de l'environnement". L'article II stipule : "Telle qu'elle est utilisée à l'article 1, l'expression "techniques de modification de l'environnement" désigne toute technique visant à modifier - par la manipulation délibérée de processus naturels - la dynamique, la composition ou la structure de la Terre, y compris ses biotes, sa lithosphère, son hydrosphère et son atmosphère, ou l'espace extra-atmosphérique."

Cette définition est si large qu'elle permet à ENMOD de mandater les "États parties" pour contribuer, par exemple, à la modification par gain de fonction de virus naturels ou même à la modification génétique de populations humaines.
 

En 1988, le PNUE et l'Organisation météorologique mondiale (OMM) ont créé le Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC). La mission politiquement déterminée du GIEC est de documenter le réchauffement planétaire anthropique, alias "changement climatique", en particulier lorsqu'il est causé par le dioxyde de carbone, et de conseiller les dirigeants politiques en conséquence.

Au milieu et à la fin des années 1990, des personnes du monde entier ont commencé à signaler un nombre croissant de traînées d'avion. En 1990-91, l'U.S. Air Force a utilisé le terme "chemtrails" dans ses manuels d'introduction à la chimie. Plus tard dans la décennie, ce terme a été adopté par le grand public pour décrire les traînées qu'il observait au-dessus de lui [2]. Les chemtrails, qui constituent manifestement une forme de modification dévastatrice de l'environnement, comme nous l'expliquons ci-dessous, sont depuis devenus un phénomène quotidien observable dans le monde entier [3-5].
 

Dans ce qui suit, nous présentons une abondance de preuves, publiées sur plusieurs années (2015- 2022) dans plusieurs revues scientifiques et médicales évaluées par des pairs, qui démontrent :
- la nature toxique des particules des chemtrails et la destruction massive de la vie causée par lesdites particules toxiques des chemtrails ; et,
- les conséquences physiques et environnementales des chemtrails, qui comprennent l'aggravation du réchauffement de la planète et du chaos climatique ; la perturbation biophysique des habitats à l'échelle mondiale ; l'accélération des sécheresses et la dégradation concomitante de l'agriculture, non seulement par la sécheresse mais aussi par la pollution chimique et l'empoisonnement ; et l'appauvrissement de l'ozone stratosphérique qui expose la vie à la surface au rayonnement solaire ultraviolet.

Une abondance de preuves indique que le PNUE, l'OMM, le GIEC et l'Organisation mondiale de la santé (OMS) sont complices de ces activités secrètes, qui consistent notamment à provoquer

- le réchauffement de la planète ; et,
- la fonte intentionnelle de la banquise polaire.

Nous demandons respectueusement à la Cour pénale internationale de prendre les mesures suivantes - Fin immédiate et permanente de la Convention ENMOD;
- Interdiction mondiale permanente de toutes les activités entreprises sous l'autorité d'ENMOD;
- Déclassification de tous les documents relatifs aux activités d'ENMOD et mise à disposition de tous ces documents au monde entier;
- Création d'un organe juridique, inspiré du Tribunal militaire international de Nuremberg, pour entendre les témoignages et rendre justice pour les crimes contre l'humanité et l'environnement.
 

UN TRAITÉ INTERNATIONAL « CHEVAL DE TROIE »

Depuis les années 1970, les Nations Unies sont directement impliquées dans des activités mondiales qui reposent sur des hypothèses scientifiques erronées. Ces activités détruisent systématiquement la vie sur Terre et contribuent à la mise en place d'un programme élitiste visant à soumettre et déshumaniser les populations du globe.
 

Les Nations Unies ont produit un traité, classé à l'origine comme un document de désarmement, intitulé "Convention sur l'interdiction d'utiliser des techniques de modification de l'environnement à des fins militaires ou toutes autres fins hostiles" [ci-après ENMOD], ouvert à la signature à Genève le 18 mai 1977 et entré en vigueur le 5 octobre 1978 [1].
 

Du début à la fin, ce traité est trompeur. ENMOD n'interdit pas "l'utilisation hostile des techniques de modification de l'environnement", comme l'indique son titre. Le traité ENMOD, nous le prétendons et l'expliquons ci-dessous, a un objectif différent. Il s'agit d'un cheval de Troie qui oblige la coopération involontaire de pays signataires indépendants, c'est-à-dire les "États parties", à procéder à des modifications hostiles de l'environnement [6, 7] - une guerre de facto - à des "fins pacifiques", sans restriction quant aux dommages causés aux populations humaines et autres populations vivantes dans les circonstances les plus larges possibles [8, 9]. Et ce, sans définir les "fins pacifiques", ce qui est une contradiction fondamentale, car toute activité qui perturbe l'équilibre naturel existant entre le biote et les processus géophysiques blesse ou détruit la vie et ne peut être considérée comme "pacifique", sauf dans le sens le plus pervers et diabolique du terme.

ENMOD fournit les moyens "légaux" de coopter les institutions militaires et de sécurité nationale de nations souveraines pour s'engager dans des "techniques de modification de l'environnement à des fins pacifiques" non divulguées. Ces techniques de modification non divulguées sont extrêmement destructrices pour l'agriculture et la production alimentaire. Elles provoquent également le réchauffement de la planète, le chaos météorologique et climatique, et la destruction des habitats. Enfin, elles compromettent radicalement la santé humaine et l'environnement [8, 9]. Elles constituent en fait une preuve prima facie de guerre environnementale contre les populations humaines [6, 7].

MODIFICATION DE L'ENVIRONNEMENT TROPOSPHÉRIQUE

Dès les années 1990 au moins, des citoyens inquiets avaient commencé à remarquer et à signaler des traînées blanches d'avions qui s'étendaient dans le ciel, se diffusant brièvement pour ressembler à des cirrus, avant de s'étendre pour former une brume blanche dans le ciel [2, 10]. En 2012, ces traînées de particules, parfois appelées "chemtrails", étaient devenues un phénomène quasi

quotidien et quasi mondial, comme l'illustre la figure 1.

Figure 1. Traînées chimiques de particules pulvérisées par avion pour modifier l'environnement. Dans le sens des aiguilles d'une montre, en partant du haut à gauche : San Diego, Californie, USA ; Karnak, Egypte : Genève, Suisse ; Paris, France ; Londres, Angleterre ; Jaipur, Inde.

Des enquêtes scientifiques ont démontré que les particules aérosolisées, dispersées par avion dans la basse atmosphère, correspondent à des cendres volantes de charbon [11-17], le déchet à grain extrêmement fin et léger de la combustion industrielle du charbon qui, en raison de sa toxicité, est piégé et séquestré dans les pays occidentaux (où il constitue l'un des plus grands flux de déchets industriels du monde).
 

On a constamment menti au public, y compris l'armée de l'air américaine [18] et l'Agence de protection de l'environnement [19], sur la nature cachée de ces traînées chimiques dispersées par les avions à réaction, et on l'a trompé sur les risques qu'elles représentent pour la santé humaine et l' environnement [20-22]. La publication d'articles médicaux et de santé publique mettant en garde contre les risques pour la santé a été injustement rejetée sans examen par les pairs par le Bulletin de l'Organisation mondiale de la santé, par Environmental Health Perspectives, une publication des National Institutes of Health des États-Unis, et par les Proceedings of the National Academy of Sciences [23]. Des agents de désinformation professionnels ont contraint les directeurs et les rédacteurs de revues de santé publique à rétracter deux articles évalués par les pairs et publiés sans jamais permettre à l'auteur (JMH) de voir les critiques et d'y répondre [24, 25], ce qui constitue une grave violation du protocole scientifique.

 

Des articles scientifiques et médicaux publiés impliquent les cendres volantes de charbon en aérosol dans les maladies neurodégénératives [26], les BPCO (bronchopneumopathie chronique obstructive) et les maladies respiratoires [23, 27], le cancer du poumon [28], les maladies cardiovasculaires [29], le COVID-19 et l'immunopathologie [30, 31].
 

Les cendres volantes de charbon en aérosol provoquent un réchauffement de la planète [32], perturbent les habitats [33], nuisent à l'agriculture [8, 12], contaminent l'environnement avec du mercure [14], déciment les populations d'insectes [34], de chauves-souris [35] et d'oiseaux [36]. Les cendres volantes de charbon en aérosol tuent également les arbres [15, 37], exacerbent les incendies de forêt [10], favorisent la prolifération d'algues nocives dans nos eaux [38] et détruisent la couche d'ozone stratosphérique qui protège la vie de surface des rayons ultraviolets mortels du soleil [39-41].

La perte de la faune et de la flore sauvages est illustrée par le Fonds mondial pour la nature sur la figure 2. Bien que la perte de biote ait eu de nombreuses causes au cours des cinquante dernières années, l'ajout de la géo-ingénierie secrète exacerbe sans aucun doute la perte sans précédent d'espèces sauvages, estimée aujourd'hui à 70 % depuis 1970.
 

 

Figure 2. Le déclin mondial de 20 811 populations sauvages surveillées de 4 392 espèces entre 1970 et 2016 et, vraisemblablement, a subi d'autres déclins au cours des six années suivantes.
 

Outre les chemtrails de cendres volantes de charbon, une nouvelle substance organique, Figure 3 (à droite), moins visible depuis le sol, a commencé à être utilisée pour pervertir les processus naturels de la Terre. Bien qu'elles soient projetées à haute altitude dans la troposphère, à la limite de la stratosphère, de minuscules gouttelettes tombent au sol et se déposent sur les pare-brise et autres surfaces lisses, comme cela a été observé à San Diego et à Bakersfield, en Californie (États-Unis) [16].

Combinées aux cendres volantes de charbon, les particules organiques sont susceptibles de provoquer des effets néfastes supplémentaires sur la santé humaine et l'environnement. Bien que pulvérisées à haute altitude, les gouttelettes organiques, contenant éventuellement des nanoparticules, pénètrent néanmoins dans l'air que nous respirons, ce qui rend cette substance potentiellement utile comme système d'administration de bio-toxines aux populations humaines. Cette substance organique en aérosol est potentiellement plus efficace pour provoquer le réchauffement climatique et peut être plus facilement transportée dans la stratosphère pour détruire l'ozone [16]. Des études sur ce nouveau polluant en aérosol, délibéré, sont actuellement en cours.
 

Figure 3. À gauche : traînées chimiques de cendres volantes de charbon dans le ciel de San Diego, Californie, États-Unis, en 2015 ; à droite : Nouvel épandage par avion de substances organiques (2022), moins visible, mais potentiellement plus dévastateur. En médaillon, une vue agrandie du plan de pulvérisation, indiqué par la flèche rouge.

MODIFICATION DE L'ENVIRONNEMENT DE SURFACE

Le 14 février 2016 ou aux alentours de cette date, une substance huileuse et cendrée est tombée sur sept résidences et véhicules à Harrison Township, Michigan (USA). Suspectant qu'il s'agissait d'un rejet accidentel d'un avion engagé dans la géo-ingénierie secrète, l'un d'entre nous (JMH) a obtenu des échantillons d'un des résidents pour analyse et a conseillé le Michigan Department of Environmental Quality sur les analyses à effectuer. Comme indiqué dans le rapport publié [42], le matériau largué par avion consiste en un mélange de particules en touffes sombres qui ressemblent à du matériel végétal, notamment des feuilles, des graines et des peaux de fruits, mélangées à des cendres volantes de charbon et à du sel.


La figure 4 montre des modèles de trous quasi-circulaires (appelés "trous de cryoconite") qui sont observés dans le monde entier sur les surfaces des glaciers en ablation, et qui ressemblent au modèle de distribution du matériau tombé du ciel au Michigan. En raison de sa couleur sombre, la cryoconite naturelle - une poussière soufflée par le vent composée de particules rocheuses, de suie et de microbes - absorbe la lumière du soleil et fond dans la glace des glaciers. La ressemblance entre la cryoconite et le matériau tombé du ciel indique clairement que le matériau artificiel tombé du ciel est de la pseudo-cryoconite ou de la proto-cryoconite, dont le but est de faire fondre la glace des glaciers et de renforcer le réchauffement climatique.
 

 

Figure 4. En haut à gauche : Distribution des gouttes d'air ; en haut à droite : Distribution des trous de cryoconite dans le glacier ; en bas à gauche : Pseudo- ou proto-cryoconite déposée par voie aérienne ; en bas à droite : Cryoconite naturel. Adapté de [42].


RÉCHAUFFEMENT PLANÉTAIRE DISSIMULÉ PAR MODIFICATION DE L'ENVIRONNEMENT

Les particules de la basse atmosphère (troposphère) sont chauffées par le rayonnement solaire et par la chaleur rayonnante de la Terre, et transfèrent cette chaleur aux gaz atmosphériques par collisions moléculaires. Le réchauffement qui en résulte augmente la température de l'atmosphère et réduit la différence de température par rapport à l'air proche de la surface, ce qui réduit la convection atmosphérique et, en même temps, le transport convectif de chaleur depuis la surface. C'est le mécanisme par lequel les chemtrails, des particules pulvérisées par avion, provoquent le réchauffement climatique [43-47].
 

La distribution et la composition de la pseudo-cryoconite dans l'air du Michigan (figure 4), associées au réchauffement de la planète provoqué par les chemtrails, constituent une preuve solide que l'intention première des activités de modification de l'environnement entreprises en secret sous l'égide du traité international du cheval de Troie (ENMOD) est de faire fondre la banquise polaire pour ouvrir les voies maritimes de l'Arctique au-dessus de la Russie, de l'Europe et de l'Amérique du Nord et pour avoir accès aux vastes richesses minérales sous la banquise arctique [48].

 

Ces activités de modification de l'environnement ont également pour but de renforcer les affirmations du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC) des Nations unies, selon lesquelles le climat est en train de changer, c'est-à-dire de se réchauffer au niveau mondial. Depuis sa création en 1988, le GIEC a clamé haut et fort que le réchauffement de la planète était une tendance à long terme et qu'il était causé par le dioxyde de carbone, alors qu'en fait le réchauffement de la planète est principalement causé par la pollution par les particules d'aérosol, y compris les traînées chimiques émises par les avions à réaction [43-47]. Le fait que pendant trois décennies, des centaines de scientifiques du GIEC spécialisés dans l'atmosphère et le climat ont systématiquement omis de mentionner les aérosols chimiques pulvérisés par des avions à réaction, ou chemtrails, comme un facteur de la thermorégulation de la Terre est une preuve évidente de tromperie par omission. Nous ajoutons à cette tromperie le fait que l'Organisation mondiale de la santé des Nations Unies a refusé à deux reprises de publier dans le Bulletin de l'Organisation mondiale de la santé nos perspectives (JMH et MW) mettant en garde contre les risques pour la santé publique posés par les chemtrails de cendres volantes de charbon.


ENMOD CONTRAINT A LA GUERRE MONDIALE

Un objectif supplémentaire de ces activités de modification de l'environnement est la conduite d'une guerre environnementale secrète contre l'humanité.
 

En 1968, le géoscientifique et conseiller présidentiel américain Gordon J. F. MacDonald a décrit, dans son essai intitulé "How to Wreck the Environment" (Comment détruire l'environnement), la capacité des militaires à modifier le fonctionnement naturel de notre planète, à polluer l'air que nous respirons, à perturber le climat naturel, à militariser les processus géophysiques naturels, à perturber l'ionosphère qui nous protège des rayonnements électromagnétiques mortels du soleil et à tromper le public sur les risques sanitaires liés à ces activités [6]. MacDonald a imaginé qu'une nation développerait ces technologies au profit de ses intérêts nationaux, sans se rendre compte qu'en l'espace d'une décennie, les armées du monde entier pourraient être et seraient cooptées par un accord international secret, ENMOD. L'entrée en vigueur d'ENMOD a permis à des entités secrètes de mener une guerre de facto contre la planète Terre, contre l'ensemble de son biote et contre ses processus biogéochimiques fondamentaux qui soutiennent la vie [7, 8, 49].

Prenons, par exemple, le cas de la Californie (États-Unis). La pulvérisation quasi quotidienne, année après année, de particules dans la troposphère le long de la côte californienne et au large de l'océan Pacifique oriental réchauffe l'atmosphère. L'atmosphère presque continuellement chauffée entraîne des pressions atmosphériques presque continuellement élevées. Cette zone de haute pression créée artificiellement le long de la côte californienne agit comme un mur qui empêche le flux des masses météorologiques chargées d'humidité de l'océan Pacifique d'arriver sur le rivage (figure 5, à gauche), comme elles le faisaient depuis des siècles. Il en résulte une sécheresse artificielle persistante en Californie, qui exacerbe les feux de forêt (figure 5, à droite) [10]. Comme l'a observé un auteur (JMH), il arrive qu'après une prévision météorologique annonçant de la pluie dans quelques jours, le trafic de chemtrails augmente [10].
 

 

Figure 5. Gauche : Particules pulvérisées par avion empêchant les nuages de pluie de l'océan Pacifique d'atteindre la Californie. A droite : Incendies de forêt en Californie exacerbés par la sécheresse provoquée par la géo-ingénierie. Extrait de [10].
 

L'objectif militaire initial de la dispersion de particules aériennes dans les régions où se forment les nuages était de provoquer des pluies excessives [50] ou d'empêcher les précipitations et de provoquer une sécheresse dans un pays hostile [51]. En effet, l'ancien président iranien Mahmoud Ahmadinejad a accusé les pays occidentaux de faire exactement cela, tout récemment en 2012 [52, 53]. Le public ne dispose d'aucune information sur l'ampleur du déploiement de cette forme de guerre météorologique secrète. La guerre environnementale secrète a été prédite par MacDonald [51], qui a fait valoir que : "... on peut mener des opérations secrètes en utilisant une nouvelle technologie dans une démocratie à l'insu du peuple", citant la guerre du Vietnam comme exemple de ce fait.
 

La figure 6 est une image satellite Worldview de la NASA du 4 février 2016, qui montre des traînées de particules recouvrant la République de Chypre, mais presque absentes dans les régions environnantes. Les citoyens chypriotes ont demandé une explication à leur gouvernement concernant l'obscurcissement délibéré de leur ciel et les " conditions météorologiques extrêmes ", en vain jusqu'à présent [54]. À la suite des présentations citoyennes de février 2016 faites à la commission parlementaire de l'environnement, le département des services environnementaux de Chypre a promis une enquête sur les épandages aériens. Six ans plus tard, aucune réponse n'a été reçue.
 

Figure 6. Image satellite NASA Worldview du 4 février 2016 montrant des traînées d'avions couvrant l'air au-dessus de la République de Chypre, mais presque absentes dans les régions environnantes.
La figure 7 est une image NASA Worldview du volcan Cumbre Vieja sur l'île de La Palma dans les îles Canaries, en Espagne, prise le 1er octobre 2021. Notez les traînées circulaires de particules qui entourent le volcan. Celles-ci agissent pour entraver la perte de chaleur par convection et sont vraisemblablement placées pour exacerber les éruptions. Comme ces traînées circulaires n'ont été observées qu'en ce jour d'octobre, on peut supposer que cette activité environnementale n'a eu lieu qu'une seule fois.

Figure 7. Le volcan Cumbre Vieja sur l'île de La Palma dans les îles Canaries, en Espagne. Image satellite NASA Worldview du 1er octobre 2021. Notez les traînées de particules qui circonscrivent le volcan.

On a envisagé la possibilité qu'une éruption du volcan Cumbre Vieja sur l'île de La Palma dans les îles Canaries, en Espagne, puisse déclencher une vague de tsunami dévastatrice [55-57]. Les preuves présentées à la figure 7 d'une tentative apparente de provoquer une éruption à La Palma sont tout à fait compatibles avec une guerre environnementale, telle que décrite par MacDonald [6].
 

LA COUCHE D'OZONE : SCIENCE, RESPONSABILITÉ ET OBLIGATION

Selon les propres termes du PNUE :


« Depuis sa création en 1972, le Programme des Nations Unies pour l'environnement (PNUE) est l'autorité mondiale qui définit l'agenda environnemental, promeut la mise en œuvre cohérente de la dimension environnementale du développement durable au sein du système des Nations Unies et fait autorité en matière de défense de l'environnement mondial. [58] »

 

L'affirmation de l'ONU selon laquelle elle "établit l'agenda environnemental" pour le monde et porte à la fois l'autorité et la responsabilité de cet agenda, la rend responsable de violations de principes scientifiques solides, et dans le cas d'ENMOD, nous alléguons, responsable de crimes contre l'humanité et l'environnement planétaire.
 

En 1974, Rowland et Molina [59] ont avancé la théorie selon laquelle les gaz chlorofluorocarbonés (CFC) utilisés, par exemple, dans la réfrigération, détruisaient la couche d'ozone stratosphérique, ce qui se manifestait par un "trou d'ozone" dans l'Antarctique. En 1989, les Nations unies ont officiellement adopté le "Protocole de Montréal relatif à des substances qui appauvrissent la couche d'ozone", qui réglemente de nombreux produits chimiques halogénés qui forment facilement des gaz destructeurs d'ozone [60]. Ce faisant, les Nations unies ont décrété que ces produits chimiques halogénés étaient en fait la principale cause de l'appauvrissement de la couche d'ozone. C'était faux, et le comportement de la couche d'ozone au cours des années qui ont suivi a effectivement prouvé que c'était faux.
 

Après plus de 30 ans d'interdiction et de réglementation des CFC, le trou d'ozone de l'Antarctique n'a pas disparu, mais s'est agrandi [61]. De plus, un grand trou d'ozone a récemment été observé en Arctique [62] et sous les tropiques également [63]. Le Protocole de Montréal de l'ONU a mal diagnostiqué la cause de l'appauvrissement de l'ozone stratosphérique, en fermant les yeux sur les activités secrètes d'ENMOD qui ont contribué à la destruction de l'ozone stratosphérique au cours de trois décennies.


Nous avons déjà fourni des preuves irréfutables que les particules de cendres volantes de charbon en aérosol, et non les chlorofluorocarbones (CFC), sont la cause principale de l'appauvrissement de l'ozone stratosphérique [39-41, 64]. La contrainte par l'ONU des activités secrètes d'ENMOD a permis la dispersion des cendres volantes de charbon dans l'atmosphère et a contribué de manière significative à la destruction de la couche d'ozone, vitale pour la protection de la vie à la surface de la Terre.
 

Le mauvais diagnostic de la véritable cause de la destruction de l'ozone stratosphérique a été une erreur potentiellement fatale pour l'humanité. La réalité est que le monde censé être évité par le Protocole de Montréal est déjà là, avec des rayonnements ultraviolets (UV-B et UV-C) de plus en plus mortels pénétrant à la surface de la Terre, comme nous l'avons déjà documenté [65]. Parmi les nombreuses menaces anthropiques auxquelles nous sommes confrontés, celle-ci pourrait bien être la plus grave et la plus immédiate.
 

Depuis trente ans, par le biais de son Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC) [66], l'ONU s'est engagée à endoctriner les dirigeants politiques et à faire de la propagande auprès des citoyens du monde entier pour qu'ils acceptent la théorie du changement climatique anthropique causé par le dioxyde de carbone, un « ennemi » planétaire commun contre lequel la guerre doit finalement être menée. Comme nous l'avons montré [43-47], le réchauffement régional et global est causé par les particules aérosolisées, y compris les particules toxiques de cendres volantes de charbon délibérément pulvérisées par avion.

 

ACTIONS RECHERCHÉES CONTRE LA TRAHISON PLANÉTAIRE


Nous avons fourni des preuves que des activités secrètes de géo-ingénierie sont en cours dans le monde entier depuis plusieurs décennies. Nous avons cité de nombreux articles scientifiques et médicaux évalués par des pairs et d'autres sources à l'appui de notre allégation selon laquelle ces activités causent d'innombrables dommages aux systèmes terrestres. Nous avons démontré que le traité ENMOD de l'ONU fournit une autorisation vague et trompeuse pour ces activités, qui comprennent la pulvérisation constante de produits chimiques toxiques dans l'air que nous respirons, ce qui affecte les systèmes météorologiques régionaux, inflige des dommages graves à une grande variété de biotes, des humains aux insectes et aux arbres, nuit à la production alimentaire mondiale et produit un réchauffement climatique persistant ainsi que des dommages persistants à la couche d'ozone vitale de la Terre.

 

Plusieurs agences des Nations unies sont responsables de ces activités d'envergure mondiale et d'une nocivité sans précédent, notamment le PNUE et l'OMM, ainsi que le GIEC et l'OMS.

Au cours des siècles précédents, la haute trahison impliquait un abus - un abus de foi ou de confiance - de l'État-nation souverain. Selon l'ancien secrétaire général des Nations unies, Kofi Annan, la souveraineté des États "est en train d'être redéfinie, notamment par les forces de la mondialisation et de la coopération internationale. Les États sont désormais largement considérés comme des instruments au service de leurs peuples, et non l'inverse. Dans le même temps, la souveraineté individuelle - par laquelle j'entends la liberté fondamentale de chaque individu, consacrée par la charte des Nations unies et les traités internationaux ultérieurs - a été renforcée par une conscience renouvelée et répandue des droits individuels. Lorsque nous lisons la charte aujourd'hui, nous sommes plus que jamais conscients que son but est de protéger les êtres humains individuels, et non de protéger ceux qui en abusent". (c'est nous qui soulignons) [67].

 

Il y a cinquante ans, un chimiste atmosphérique de renommée mondiale, James Lovelock, publiait le premier article sur la théorie de Gaïa [68]. Cet article a été rapidement suivi d'un second, coécrit par la biologiste évolutionniste de renommée mondiale, Lynn Margulis [69]. Ensemble, ces scientifiques ont lancé ce que l'on pourrait appeler une vision systémique de la planète Terre, dans laquelle le biote vivant, des bactéries aux baleines et aux séquoias géants, interagit avec des matières abiotiques fondamentales telles que l'eau, la lumière du soleil, l'oxygène, le sol et la température, et les informe. Margulis a défini Gaia comme une "série d'écosystèmes en interaction qui composent un seul grand écosystème à la surface de la Terre", y compris son atmosphère [70]. Nous affirmons que les institutions mondiales, principalement l'ONU et ses agences, ont assumé, officiellement et officieusement, la responsabilité de la santé des biens communs mondiaux, tant biotiques qu'abiotiques.


Dans le cadre d'ENMOD, cette responsabilité a en fait été formellement reconnue.

A partir des faits et constatations qui précèdent, nous accusons l'ONU et ses agences de trahison planétaire.


Nous en appelons à la Cour pénale internationale pour qu'elle rende un jugement en faveur des citoyens du monde, dont les droits fondamentaux ont été abrogés par la géo-ingénierie planétaire, comme cela est documenté ici.
Plus précisément, nous demandons respectueusement à la Cour pénale internationale les mesures suivantes :
- Fin immédiate et permanente de la Convention ENMOD ;
- Interdiction mondiale permanente de toutes les activités entreprises sous l'autorité d'ENMOD ;
- Déclassification de tous les documents relatifs aux activités d'ENMOD et mise à disposition de tous ces documents au monde entier ;
- Création d'un organe juridique, inspiré du Tribunal militaire international de Nuremberg, pour entendre les témoignages et rendre justice pour la trahison planétaire et les crimes contre l'humanité et l'environnement.

Liste des références

 

1. http://www.un-documents.net/enmod.htm

2. https://www.ourgeoengineeringage.org/part-9-essay

3. https://www.cielvoile.fr/2022/10/articles-scientifiques-de-marvin-herndon-sur-la-geo-ingenierie-traduits-en-francais-par-ciel-voile.html

4. http://guardacielos.org/

 

5. https://www.geoengineeringwatch.org/

 

6. MacDonald, G.J., How to wreck the environment, in Unless Peace Comes: A Scientific Forecast of New Weapons1968, The Viking Press: New York. p. 181-205.

 

7. Herndon, J.M., M. Whiteside, and I. Baldwin, Fifty Years after “How to Wreck the Environment”: Anthropogenic Extinction of Life on Earth. J. Geog. Environ. Earth Sci. Intn., 2018. 16(3): p. 1-15.

 

8. Herndon, J.M., M. Whiteside, and I. Baldwin, The ENMOD treaty and the sanctioned assault on agriculture and human and environmental health. Agrotechnology, 2020. 9(191): p. 1-9.

 

9. Herndon, J.M. and M. Whiteside, Global Environmental Warfare. Advances in Social Sciences Research Journal, 2020. 7(4): p. 411-422.

 

10. Herndon, J.M. and M. Whiteside, California wildfires: Role of undisclosed atmospheric manipulation and geoengineering. J. Geog. Environ. Earth Sci. Intn., 2018. 17(3): p. 1-18.

 

11. Herndon, J.M., Aluminum poisoning of humanity and Earth's biota by clandestine geoengineering activity: implications for India. Curr. Sci., 2015. 108(12): p. 2173-2177.

 

12. Herndon, J.M., Adverse agricultural consequences of weather modification. AGRIVITA Journal of agricultural science, 2016. 38(3): p. 213-221.

 

13. Herndon, J.M. and M. Whiteside, Further evidence of coal fly ash utilization intropospheric geoengineering: Implications on human and environmental health. J. Geog. Environ. Earth Sci. Intn., 2017. 9(1): p. 1-8.

14. Herndon, J.M. and M. Whiteside, Contamination of the biosphere with mercury: Another potential consequence of on-going climate manipulation using aerosolized coal fly ash J. Geog. Environ. Earth Sci. Intn., 2017. 13(1): p. 1-11.

 

15. Herndon, J.M., D.D. Williams, and M. Whiteside, Previously unrecognized primary factors in the demise of endangered torrey pines: A microcosm of global forest die-offs. J. Geog. Environ. Earth Sci. Intn. , 2018. 16(4): p. 1-14.

 

16. Herndon, J.M. and M. Whiteside, Nature as a Weapon of Global War: The Deliberate Destruction of Life on Earth2021, Worldwide: Amazon Kindle Direct Publishing https://www.amazon.com/dp/B09KN2LFXL/ref=tmm_pap_swatch_0?_encoding=UTF8&qid=1636027677&sr=8-1

 

17. Herndon, J.M. and M. Whiteside, Chemtrails are not Contrails: The Face of Evil2022: Amazon Kindle Direct Publishing https://www.amazon.com/dp/B09X49TGWB?ref_=pe_3052080_397514860

 

18. http://www.nuclearplanet.com/USAF.pdf

 

19. https://www.epa.gov/sites/default/files/2016-10/documents/afd-051013-001.pdf

 

20. http://www.nuclearplanet.com/Public_Deception_by_Scientists.html

 

21. Shearer, C., et al., Quantifying expert consensus against the existence of a secret large-scale atmospheric spraying program. Environ. Res. Lett., 2016. 11(8): p. p. 084011.

 

22. Tingley, D. and G. Wagner, Solar geoengineering and the chemtrails conspiracy on social media. Palgrave Communications, 2017. 3(1): p. 12.

 

23. Herndon, J.M. and M. Whiteside, Geoengineering: The deadly new global “Miasma”. Journal of Advances in Medicine and Medical Research, 2019. 29(12): p. 1-8.

 

24. http://www.NuclearPlanet.com/retraction.html

 

25. http://www.nuclearplanet.com/explainretractions.pdf

 

26. Whiteside, M. and J.M. Herndon, Aerosolized coal fly ash: Risk factor for neurodegenerative disease. Journal of Advances in Medicine and Medical Research, 2018. 25(10): p. 1-11.

 

27. Whiteside, M. and J.M. Herndon, Aerosolized coal fly ash: Risk factor for COPD and respiratory disease. Journal of Advances in Medicine and Medical Research, 2018. 26(7): p. 1-13.

 

28. Whiteside, M. and J.M. Herndon, Coal fly ash aerosol: Risk factor for lung cancer. Journal of Advances in Medicine and Medical Research, 2018. 25(4): p. 1-10.

 

29. Whiteside, M. and J.M. Herndon, Geoengineering, coal fly ash and the new heart-Iron connection: Universal exposure to iron oxide nanoparticulates. Journal of Advances in Medicine and Medical Research, 2019. 31(1): p. 1-20.

 

30. Whiteside, M. and J.M. Herndon, COVID-19, immunopathology, particulate pollution, and iron balance. Journal of Advances in Medicine and Medical Research, 2020. 32(18): p. 43-60.

 

31. Whiteside, M. and J.M. Herndon, Aerosol particulates, SARS-Co-2, and the broader potential for global devastation. Open Access Journal of Internal Medicine, 2022. 3(1): p. 14-21.

 

32. Herndon, J.M. and M. Whiteside, Further evidence that particulate pollution is the principal cause of global warming: Humanitarian considerations. Journal of Geography, Environment and Earth Science International, 2019. 21(1): p. 1-11.

 

33. Herndon, J.M. and M. Whiteside, Further evidence of coal fly ash utilization in tropospheric geoengineering: Implications on human and environmental health. J. Geog. Environ. Earth Sci. Intn., 2017. 9(1): p. 1-8.

 

34. Whiteside, M. and J.M. Herndon, Previously unacknowledged potential factors in catastrophic bee and insect die-off arising from coal fly ash geoengineering Asian J. Biol., 2018. 6(4): p. 1-13.

 

35. Herndon, J.M. and M. Whiteside, Unacknowledged potential factors in catastrophic bat die-off arising from coal fly ash geoengineering. Asian Journal of Biology, 2019. 8(4): p. 1-13.

 

36. Whiteside, M. and J.M. Herndon, Aerosolized coal fly ash: A previously unrecognized primary factor in the catastrophic global demise of bird populations and species. Asian J. Biol., 2018. 6(4): p. 1-13.

 

37. Herndon, J.M., D.D. Williams, and M.W. Whiteside, Ancient Giant Sequoias are dying: Scientists refuse to acknowledge the cause. Advances in Social Sciences Research Journal, 2021. 8(9): p. 57-70.

 

38. Whiteside, M. and J.M. Herndon, Role of aerosolized coal fly ash in the global plankton imbalance: Case of Florida's toxic algae crisi. Asian Journal of Biology, 2019. 8(2): p. 1-24.

 

39. Herndon, J.M. and M. Whiteside, Aerosolized coal fly ash particles, the main cause of stratospheric ozone depletion, not chlorofluorocarbon gases. European Journal of Applied Sciences, 2022. 10(3): p. 586-603.

 

40. Herndon, J.M. and M. Whiteside, Collapse of Earth's biosphere: A case of planetary treason. Advances in Social Sciences Research Journal, 2022. 9(8): p. 259-281.

 

41. Whiteside, M. and J.M. Herndon, Destruction of stratospheric ozone: Role of aerosolized coal fly ash iron. European Journal of Applied Sciences, 2022. 10(4): p. 143-153.

 

42. Herndon, J.M., An indication of intentional efforts to cause global warming and glacier melting. J. Geography Environ. Earth Sci. Int., 2017. 9(1): p. 1-11.

 

43. Herndon, J.M., Air pollution, not greenhouse gases: The principal cause of global warming. J. Geog. Environ. Earth Sci. Intn., 2018. 17(2): p. 1-8.

 

44. Herndon, J.M., Scientific misrepresentation and the climate-science cartel. J. Geog. Environ. Earth Sci. Intn., 2018. 18(2): p. 1-13.

 

45. Herndon, J.M., Fundamental climate science error: Concomitant harm to humanity and the environment J. Geog. Environ. Earth Sci. Intn., 2018. 18(3): p. 1-12.

 

46. Herndon, J.M., Role of atmospheric convection in global warming. J. Geog. Environ. Earth Sci. Intn., 2019. 19(4): p. 1-8.

 

47. Herndon, J.M. and M. Whiteside, Geophysical consequences of tropospheric particulate heating: Further evidence that anthropogenic global warming is principally caused by particulate pollution. Journal of Geography, Environment and Earth Science International, 2019. 22(4): p. 1-23.

 

48. https://www.ourgeoengineeringage.org/part-5-essay

 

49. Bertell, R., Planet Earth, the Latest Weapon of War: A Critical Study into the Military and the Environment2000, London: The Women's Press.

 

50. https://www.ourgeoengineeringage.org/part-4-essay

 

51. MacDonald, G.J., How to wreck the environment. Unless Peace Comes: A Scientific Forecast of New Weapons, 1968: p. 181-205.

 

52. Reuters_Staff Ahmadinejad says enemies destroy Iran's rain clouds -reports. Commodity News, 2011.

 

53. https://www.dailymail.co.uk/news/article-2201377/Ahmadinejad-accuses-West-stealing-Irans-rain-AGAIN.html

 

54. http://cyprus-mail.com/2016/02/17/minister-pledges-probe-into-chemtrails/

 

55. Løvholt, F., G. Pedersen, and G. Gisler, Oceanic propagation of a potential tsunami from the La Palma Island. Journal of Geophysical Research: Oceans, 2008. 113(C9).

 

56. Abadie, S., et al., La Palma landslide tsunami: calibrated wave source and assessment of impact on French territories. Natural Hazards and Earth System Sciences, 2020. 20(11): p. 3019-3038.

 

57. Ferrer, M., et al., Megatsunamis Induced by Volcanic Landslides in the Canary Islands: Age of the Tsunami Deposits and Source Landslides. GeoHazards, 2021. 2(3): p. 228-256.

 

58. https://www.unep.org/about-un-environment

 

59. Molina, M.J. and F.S. Rowland, Stratospheric sink for chlorofluoromethanes: chlorine atom-catalysed destruction of ozone. Nature, 1974. 249(5460): p. 810-812.

 

60. https://www.unep.org/ozonaction/who-we-are/about-montreal-protocol

 

61. Bernhard, G.H., et al., Updated analysis of data from Palmer Station, Antarctica (64° S), and San Diego, California (32° N), confirms large effect of the Antarctic ozone hole on UV radiation. Photochemical & Photobiological Sciences, 2022. 21(3): p. 373-384.

 

62. Witze, A., Rare ozone hole opens over Arctic--and it's big. Nature, 2020. 580(7801): p. 18-20.

 

63. Lu, Q.-B., Observation of large and all-season ozone losses over the tropics. AIP Advances, 2022. 12(7): p. 075006.

 

64. Whiteside, M. and J.M. Herndon, New paradigm: Coal fly ash as the main cause of stratospheric ozone depletion. European Journal of Applied Sciences, 2022. 10(5): p. 207-221.

 

65. Herndon, J.M., R.D. Hoisington, and M. Whiteside, Deadly ultraviolet UV-C and UV-B penetration to Earth’s surface: Human and environmental health implications. J. Geog. Environ. Earth Sci. Intn., 2018. 14(2): p. 1-11.

 

66. Stocker, T., et al., IPCC, 2013: Climate Change 2013: The Physical Science Basis. Contribution of Working Group I to the Fifth Assessment Report of the Intergovernmental Panel on Climate Change, 1535 pp, 2013, Cambridge Univ. Press, Cambridge, UK, and New York.

 

67. https://www.un.org/sg/en/content/sg/articles/1999-09-18/two-concepts-sovereignty

 

68. Lovelock, J.E., Gaia as seen through the atmosphere, in Biomineralization and biological metal accumulation1983, Springer. p. 15-25.

 

69. Lovelock, J.E. and L. Margulis, Atmospheric homeostasis by and for the biosphere: the Gaia hypothesis. Tellus, 1974. 26(1-2): p. 2-10.

 

70. Margulis, L., Symbiotic Planet: A New Look at Evolution1998, New York: Basic books.

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Tremblement de terre en Turquie le 6 février 2023 : intentionnel

29 Mars 2023, 18:10pm

Advances in Social Sciences Research Journal – Vol.10, N°3

Date de Publication : 25 mars 2023

DOI:10.14738/assrj.103.14290

____________________________________________________________________________________

Lettre ouverte à la Cour pénale internationale alléguant des crimes de guerre et des crimes contre l'humanité pour le déclenchement intentionnel du tremblement de terre du 6 février 2023 en République de Turquie

 

J. Marvin Herndon, Ph.D.

Transdyne Corporation,San Diego, Californie 92131 USA

 

Mark Whiteside, M.D., M.P.H.

Département de la santé de Floride, Key West, Floride 33040 USA

 

Ian Baldwin, M.A.

Éditeur émérite, Chelsea Green, Craftsbury Common, Vermont 05827 USA

 

RÉSUMÉ

En 1968, MacDonald prévoyait la possibilité que les militaires développent à l'avenir les moyens de déclencher des tremblements de terre : « La clé de la guerre géophysique est l'identification des instabilités environnementales auxquelles l'ajout d'une petite quantité d'énergie libérerait des quantités d'énergie bien plus importantes ». En 1997, le secrétaire américain à la défense, William Cohen, a confirmé l'implication de l'armée dans de telles activités. En 2002, les 90 députés de la Douma d'État russe ont averti les Nations Unies que les Américains expérimentaient une nouvelle arme géophysique et ont demandé une interdiction internationale. Les États-Unis, la Norvège et d'autres pays possèdent des "chauffages ionosphériques" électromagnétiques capables de déclencher des tremblements de terre. Le 6 février 2023, un puissant tremblement de terre d'une magnitude de 7,8 s'est produit dans le sud de la Turquie, près de la frontière nord de la Syrie, suivi d'un autre tremblement de terre et de répliques qui ont dévasté certaines parties de la Turquie et de la Syrie, faisant plus de 55 100 morts, dont une majorité de femmes et d'enfants, beaucoup plus encore de blessés et environ 1,5 million de sans-abri. Les informations vraies et fausses diffusées avant et immédiatement après l'événement, ainsi que les faits scientifiques et les circonstances décrits ici, justifient une enquête complète, approfondie et exhaustive de la Cour pénale internationale sur nos allégations selon lesquelles ledit tremblement de terre du 6 février 2023 a été délibérément déclenché et constitue des crimes de guerre et des crimes contre l'humanité.

 

ALLÉGATIONS DE CRIMES : INTRODUCTION

En 1968, MacDonald [1] prévoyait la possibilité qu'à l'avenir, les armées du monde entier développent les moyens de déclencher à la demande des modifications secrètes de l'environnement pour provoquer des tempêtes, des inondations, des sécheresses, des tremblements de terre et des raz-de-marée. Comme il l'a expliqué :

 

« La clé de la guerre géophysique est l'identification des instabilités environnementales auxquelles l'ajout d'une petite quantité d'énergie libérerait des quantités d'énergie bien plus importantes. »

 

Comme l'indique la revue [2], MacDonald [1] a évoqué la possibilité de déclencher délibérément des instabilités dans des systèmes naturels à grande échelle tels que la météo, le climat, les océans et le cerveau humain, y compris des phénomènes tels que les ouragans, les tremblements de terre et les tsunamis, afin de les utiliser à des fins de guerre. Il était conscient, compte tenu des limites de la compréhension géophysique, qu'il fallait également anticiper les conséquences négatives imprévues qui pourraient résulter de la perturbation délibérée de systèmes naturels complexes dont les "points de basculement" sont inconnus.

 

En 1997, le secrétaire américain à la défense, William Cohen, a confirmé l'implication de l'armée dans les activités que Macdonald avait prédites, comme en témoigne la déclaration directe de Cohen [3] :

 

"D'autres s'engagent [...] dans un terrorisme de type écologique qui leur permet de modifier le climat, de déclencher des tremblements de terre [et] des volcans à distance grâce à l'utilisation d'ondes électromagnétiques [...] C'est réel, et c'est la raison pour laquelle nous devons intensifier nos efforts".

 

Un document final non classifié, signé par 90 députés, publié par la Douma d'État russe en 2002 et envoyé au président Poutine, aux Nations unies et à d'autres instances, signalait que les Américains expérimentaient un nouveau type d'arme géophysique sans contrôle international, appelé HAARP, acronyme de High Frequency Active Auroral Research Program (programme de recherche aurorale active à haute fréquence) [4]. Les signataires ont demandé qu'une interdiction internationale soit imposée sur de telles expériences géophysiques à grande échelle.

 

En 2011, un courriel de Jacob J. (Jake) Sullivan (aujourd'hui conseiller à la sécurité nationale de l'administration Biden) à Hillary Clinton, alors secrétaire d'État [5], indique que l'heure d'un tremblement de terre de magnitude 6,3 en Nouvelle-Zélande était connue à l'avance et fournit des preuves irréfutables que le tremblement de terre a été délibérément déclenché :

 

De : Sullivan, Jacob J SullivanJJ@state.gov

Envoyé : Lundi 21 février 2011 7:35 PM

To : H ; Mills, Cheryl D ; Abedin, Hume ; Reines, Philippe I

Objet : Fw : Tremblement de terre de magnitude 6,3 à Christchurch, Nouvelle-Zélande

Et à l'improviste... [accentuation ajoutée]

 

Ce tremblement de terre s'est produit à une profondeur de 5,9 km, estimée par la suite à une magnitude de 6,1. Il a fait 185 morts et 6 659 blessés graves (dans les premières 24 heures) [6]. Une délégation de 9 membres du Congrès américain a quitté la ville avant le séisme [7].

Le 6 février 2023, un puissant tremblement de terre de magnitude 7,8 s'est produit dans le sud de la Turquie, près de la frontière nord de la Syrie. Ce tremblement de terre a été suivi environ 9 heures plus tard par un tremblement de terre de magnitude 7,5 à environ 90 km au nord [8]. Ces tremblements de terre et leurs répliques ont dévasté certaines parties de la Turquie et de la Syrie, faisant plus de 55 100 victimes, la majorité étant des femmes et des enfants [9-11], et environ 1,5 million de personnes se sont retrouvées sans abri [12] (Figure 1). Les informations diffusées avant et immédiatement après l'événement, ainsi que les faits scientifiques et les circonstances présentés ci-dessous, justifient une enquête complète et approfondie de la Cour pénale internationale sur notre allégation selon laquelle le tremblement de terre du 6 février 2023 a été délibérément déclenché et constitue des crimes de guerre et des crimes contre l'humanité.

Figure 1 : Scènes de destruction du tremblement de terre du 6 février 2023 en Turquie

 

MÉTHODE ET MOYENS POUR DÉCLENCHER DES TREMBLEMENTS DE TERRE

Les roches soumises à des contraintes qui commencent à se fracturer génèrent un rayonnement électromagnétique [13-16]. Il en va de même pour les tremblements de terre [17-19].

Les tremblements de terre résultent de la libération catastrophique de la tension qui s'est développée lorsque les plaques tectoniques se sont rapprochées. De nombreuses études, par exemple [14, 17-23], ont montré que, lorsque des tremblements de terre sont sur le point de se produire, des rayonnements électromagnétiques sont émis à des fréquences ultra-basses (ULF, <3 Hz), extrêmement basses (ELF, 3-3000 Hz) et très basses (VLF, 3-30 kHz). Comme le rayonnement électromagnétique, observé lorsque les tremblements de terre sont sur le point de se produire [14, 17-23], est observé à la surface ou au-dessus de la surface, cela démontre que le rayonnement électromagnétique de ces fréquences peut se propager dans le sol jusqu'à la profondeur à laquelle certains tremblements de terre se produisent. Le mécanisme spécifique est encore inconnu, mais il implique probablement des microfractures formant une cavité ou une antenne résonnante.

 

Un dispositif résonant produisant un rayonnement absorbera l'énergie d'une source d'énergie externe à la même fréquence de résonance. Un diapason vibrant déclenche des vibrations dans un diapason identique situé à proximité. Le fait de frapper ou de tourner autour du bord d'un verre de cristal avec un doigt humide fait résonner le verre de cristal dans la gamme des fréquences audio ; la voix d'un chanteur à sa fréquence de résonance fait également résonner un verre de cristal et peut même le faire voler en éclats [24]. Un circuit de radiofréquence accordé à la fréquence d'un rayonnement électromagnétique externe absorbera l'énergie d'un rayonnement électromagnétique externe de même fréquence [25]. Le même principe général s'applique au rayonnement électromagnétique produisant la résonance des lignes de faille fortement sollicitées dans l'écorce terrestre.

 

Il s'ensuit sans ambiguïté que le rayonnement électromagnétique ULF/ELF/VLF de la gamme de fréquences appropriée, appliqué à une jonction instable de plaques tectoniques soumises à de fortes contraintes, peut déclencher un tremblement de terre.

 

Le rayonnement électromagnétique ULF/ELF/VLF produit dans les premières phases de la formation d'un tremblement de terre a été observé par des satellites [14, 17-23], ce qui prouve que ce rayonnement se propage dans le guide d'ondes Terre-ionosphère [26]. Il est important de noter que le rayonnement électromagnétique ULF/ELF/VLF produit par le chauffage électromagnétique modulé à haute fréquence de l'ionosphère [27-30] avec HAARP ou d'autres dispositifs de chauffage ionosphérique similaires tels que Tromsø en Norvège [31], peut être dirigé [32, 33] et peut parcourir des milliers de kilomètres dans le guide d'ondes Terre-ionosphère [34-37] pour atteindre un point d'instabilité sismique géophysique et déclencher un tremblement de terre [38-40].

 

La figure 2 (à gauche) montre le réchauffeur ionosphérique HAARP à Gakona, en Alaska (États-Unis). Ses 180 unités sont capables de produire une puissance rayonnée totale de 3,6 MW avec une puissance rayonnée effective d'environ 575 MW [36, 41]. La figure 2 (à droite) montre l'un des autres réchauffeurs d'ionosphère, celui de Tromsø, en Norvège, dont la puissance rayonnée effective est de 300 MW [29, 31, 42] et qui, comme HAARP, est capable de déclencher des tremblements de terre [38-40].

Figure 2. À gauche : Installation du High Frequency Active Auroral Research Program (HAARP) à Gakona, Alaska (États-Unis). À droite : Installation norvégienne de chauffage de l'ionosphère de Tromsø.

 

PREUVES INDIRECTES

Un article d'Aljazeera du 3 février 2023, trois jours avant le tremblement de terre en Turquie, indique [43] :

 

" En début de semaine, neuf pays occidentaux ont soit fermé leurs consulats à Istanbul, soit émis des avertissements de voyage à leurs citoyens se rendant en Turquie, en invoquant des menaces pour la sécurité....La Turquie affirme que les pays occidentaux, y compris les États-Unis et l'Allemagne, ne lui ont donné aucune information pour étayer leurs affirmations selon lesquelles des menaces pour la sécurité les avaient incités à fermer leurs missions dans le pays.... ". Ces mesures ont suscité la colère de la Turquie, qui a convoqué jeudi les ambassadeurs de ces pays en signe de protestation.... Ils disent qu'il y a une menace terroriste... Mais lorsque nous demandons quelle est la source d'information et qui sont les auteurs de ces attaques, ils n'ont partagé aucune information avec nos autorités de renseignement et de sécurité", a déclaré le ministre turc des affaires étrangères Mevlüt Çavuşoğlu... et "Nous avons l'information que certains pays ont demandé à d'autres de fermer leurs consulats".

 

Tel que rapporté le 14 février 2023 [44] : "Selon la sénatrice roumaine Diana Ivanovici Șoșoacă, [le] tremblement de terre en Turquie et en Syrie a été causé par les États-Unis."

 

S'exprimant devant le Parlement roumain deux jours après le tremblement de terre [45], la sénatrice a observé :

-24 heures avant le tremblement de terre, 10 pays occidentaux ont rappelé leurs ambassadeurs d'Ankara.

-5 jours avant le tremblement de terre, plusieurs pays occidentaux, dont la Roumanie, ont émis un avertissement de voyage vers la Turquie sans en fournir de raison.

-Une minute avant que les sismographes ne détectent le tremblement de terre, les gazoducs et oléoducs turcs ont été fermés. (c'est la seule affirmation non vérifiée par [44])

 

Une autre preuve que le premier des tremblements de terre du 6 février 2023 a été délibérément déclenché est la rapidité avec laquelle les sources de désinformation sont entrées en action pour tromper le public en fournissant des opinions fausses et/ou trompeuses, totalement dépourvues de fondement scientifique, ciblant fréquemment les sources d'information comme des "théoriciens du complot" [46-50].

 

Mick West est bien connu pour avoir diffusé de fausses informations sur les activités secrètes de l'État profond [51, 52], telles que la pulvérisation généralisée de particules toxiques dans l'air que nous respirons, les "chemtrails" [53-55], la destruction des tours du World Trade Center [56-58] et les activités de l'Agence centrale de renseignement (CIA) [59, 60]. Mick West aurait déclaré que HAARP "ne peut affecter qu'une petite partie de l'air au-dessus de lui" [61]. L'illustration de West tirée de [62] est présentée à la figure 3a. Contraste avec la légende trompeuse de la figure 3a : "C'est à peu près l'étendue de l'effet de HAARP. Il chauffe l'ionosphère à environ 70 km au-dessus du sol, directement au-dessus de son emplacement en Alaska", alors que les scientifiques reconnaissent et illustrent dans la littérature scientifique évaluée par les pairs que les ondes électromagnétiques produites par HAARP et d'autres dispositifs de chauffage de l'ionosphère "peuvent parcourir des milliers de kilomètres" [34-37], comme l'illustrent la figure 3b de [37] et la figure 3c de [36].

Figure 3 : l'image (a) de désinformation de Mike West contraste avec les schémas (b et c) scientifiques revus par des pairs, montrant que les ondes électromagnétiques émises par HAARP et d'autres chauffages ionosphériques peuvent voyager sur des « milliers de kilomètres.»

 

MOTIFS, OPPORTUNITÉ ET PRÉDISPOSITION

Parmi les possibles raisons de punir la Turquie en utilisant l'arme géophysique qui déclench e les tremblements de terre, on peut citer les suivantes, décrites [63, 64] avec des références :

- La Turquie bloque l'adhésion de la Suède et de la Finlande à l'OTAN.

- Aujourd'hui, la Turquie soutient la Russie de la même manière que la Chine, en lui fournissant des pièces détachées, y compris en réexportant des équipements des États-Unis vers des entreprises russes visées par des sanctions imposées unilatéralement par Washington.

- La Turquie a renvoyé Brian Nelson, sous-secrétaire au Trésor américain chargé du terrorisme et du renseignement financier, qui exigeait la fin des exportations turques vers la Russie et de l'opposition de la Turquie à l'adhésion de la Suède à l'OTAN.

 

Jacob J. (Jake) Sullivan, actuel conseiller à la sécurité nationale de l'administration Biden, a participé au tremblement de terre prétendument déclenché en 2011 à Christchurch, en Nouvelle-Zélande, comme l'indique son courriel à Hillary Clinton [5], et connaissait donc parfaitement les moyens et la méthode potentielle pour déclencher le tremblement de terre du 6 février 2023 en Turquie.

 

En outre, selon Seymour Hersh [65], Jake Sullivan aurait été directement impliqué dans la planification de l'attaque écoterroriste contre les oléoducs Nord Stream 1 et 2, probablement perpétrée par les États-Unis et la Norvège. À ce titre, nous alléguons que Jake Sullivan avait la position, la prédisposition et l'opportunité de planifier, avec d'autres hauts responsables américains, une opération visant à déclencher délibérément le tremblement de terre du 6 février 2023 en Turquie en utilisant des chauffages ionosphériques situés aux États-Unis et/ou en Norvège (ou ailleurs).

 

PREMIER CAS PRÉSUMÉ DE CRIMES DE GUERRE

Au milieu des affirmations contradictoires des dirigeants européens [66], il est important de délimiter sans ambiguïté les alliances politiques liées à la situation géopolitique actuelle. À la fin de la Seconde Guerre mondiale, les États-Unis, qui étaient à l'époque la force militaire la plus puissante du monde, ont forgé, avec des nations d'Europe occidentale soumises, une domination politique, économique et militaire combinée sur une grande partie du monde. L'hégémonie occidentale a été favorisée par la création de la Central Intelligence Agency en 1947 et de l'Organisation du traité de l'Atlantique Nord (OTAN) en 1949.

 

Des organisations mondialistes indépendantes, créées sur invitation uniquement, telles que le groupe Bilderberg en 1954 [67], la Commission trilatérale en 1973 [68] et le Forum économique mondial (WEF), fondé en 1971, influencent directement les agendas mondiaux. Le WEF promeut l'idée que la mondialisation est mieux gérée par une coalition autosélectionnée d'entreprises multinationales, de gouvernements et d'organisations civiles [69]. En outre, des agents mondialistes secrets et non élus, parfois désignés sous le nom d'État profond, sont impliqués depuis des décennies dans des activités de trahison planétaire qui causent des dommages catastrophiques aux systèmes de la Terre [70-72].

 

Le coup d'État à Kiev, en Ukraine, le 22 février 2014, a été qualifié de « coup d'État le plus flagrant de l'histoire de l'humanité » et « a été organisé avec le soutien des services occidentaux et des proto-fascistes » [73]. Depuis lors, le meurtre de quelque 14 000 Ukrainiens russophones et la suppression de leur langue et de leurs valeurs culturelles par le régime néo-nazi ukrainien corrompu ont précipité l'opération spéciale de dé-nazification de la Russie le 24 février 2022 [74, 75].

 

Le 7 décembre 2022, l'ex-chancelière allemande Angela Merkel a révélé qu'en 2014, les accords de Minsk étaient une ruse visant à donner à l'Ukraine le temps de se préparer à la guerre avec le soutien de l'OTAN [76, 77]. Les États-Unis et d'autres pays de l'OTAN ont fourni d'importantes sommes d'argent, des équipements militaires sophistiqués et des renseignements à l'Ukraine pour combattre la Russie [78, 79]. Néanmoins, certains membres de l'OTAN nient être en guerre contre la Russie [66].

 

Le 24 janvier 2023, la ministre allemande des Affaires étrangères Annalena Baerbock a clairement déclaré devant l'Assemblée parlementaire du Conseil de l'Europe : « Nous menons une guerre contre la Russie » [80]. L'aveu de Baerbock est important/pertinent à la lumière de l'attaque qui a détruit les gazoducs Nord Stream 1 et 2 le 26 septembre 2022.

 

Selon le journaliste d'investigation de renommée mondiale Seymour Hersh [81], les États-Unis et la Norvège sont responsables de l'attaque contre les gazoducs Nord Stream 1 et 2 [65]. Les États-Unis et la Norvège, membres de l'OTAN, ont non seulement attaqué la Russie, propriétaire majoritaire des gazoducs, mais aussi d'autres membres de l'OTAN qui possèdent 49 % des gazoducs. La société russe Gasprom détient 51 % des parts du projet de gazoduc, deux sociétés allemandes en détiennent ensemble 31 %, et une société néerlandaise et une société française en détiennent chacune 9 % [82].

 

Pour leur attaque déclarée des gazoducs Nord Stream 1 et 2, nous alléguons que les États-Unis et la Norvège ont commis des crimes de guerre, en particulier ceux décrits dans le Statut de Rome de la Cour pénale internationale [83] : Article 8 (2) (a) (iii) Crime de guerre consistant à causer de grandes souffrances ; Article 8 (2) (b) (ii) Crime de guerre consistant à attaquer des biens de caractère civil ; et Article 8 (2) (e) (xii) Crime de guerre consistant à détruire ou à saisir les biens de l'ennemi.

 

Note : Bien que ni les États-Unis ni la Russie ne soient des États parties au Statut de Rome de la Cour pénale internationale, la France, l'Allemagne, les Pays-Bas et la Norvège sont des États parties au Statut de Rome [84].

 

L'attaque présumée des gazoducs Nord Stream 1 et 2 [65] montre que les États-Unis et leurs alliés de l'OTAN sont suffisamment dépourvus de valeurs humanitaires morales pour être moralement capables - et pas seulement techniquement capables - de déclencher délibérément le tremblement de terre du 6 février 2023 en Turquie. Ce tremblement de terre, ainsi que le second 9 heures plus tard et ses répliques, ont fait plus de 55 100 morts en Turquie et en Syrie, la majorité étant des femmes et des enfants [9, 10].

 

DEUXIÈME CAS PRÉSUMÉ DE CRIMES DE GUERRE ET DE CRIMES CONTRE L'HUMANITÉ

Bien que le déclenchement présumé du tremblement de terre du 6 février 2023 en Turquie ait été effectué en secret, les preuves présentées ici désignent les États-Unis et la Norvège, qui ont tous deux les moyens, les motifs, l'opportunité et la prédisposition, comme les principaux auteurs. Nous alléguons que pas moins de dix nations occidentales étaient complices, c'est-à-dire qu'elles avaient connaissance de la destruction géophysique planifiée de dizaines de milliers d'êtres humains lorsqu'elles ont rappelé leurs ambassadeurs d'Ankara avant le tremblement de terre, mais qu'elles n'ont pas averti l'humanité ou n'ont pas empêché le déclenchement délibéré présumé du tremblement de terre [44]. Nous alléguons que cinq pays occidentaux ont été complices, y compris la Roumanie, en émettant des avertissements de voyage sans en préciser la raison [44]. Nous alléguons que ces pays occidentaux ont participé aux crimes de guerre et aux crimes contre l'humanité suivants : Article 7 (1) (k) Crime contre l'humanité d'autres actes inhumains ; Article 8 (2) (a) (iii) Crime de guerre consistant à causer de grandes souffrances ; Article 8 (2) (b) (ii) Crime de guerre consistant à attaquer des biens de caractère civil ; et Article 8 (2) (e) (xii) Crime de guerre consistant à détruire ou à saisir les biens de l'ennemi. Nombre de ces pays occidentaux, dont la Norvège et la Roumanie, sont des États parties au Statut de Rome de la Cour pénale internationale [84].

 

JURIDICTION ET RÉPARATION DEMANDÉE

Nous demandons respectueusement à la Cour pénale internationale, en vertu de l'article 53 du Statut de Rome [83], d'ouvrir une enquête complète, approfondie et exhaustive sur les allégations présentées dans le présent document.

 

La gravité de ces allégations ne doit pas être minimisée. Parmi les plus de 55 100 personnes qui ont trouvé la mort en Turquie et en Syrie [9, 10], la majorité étaient des femmes et des enfants ; un nombre encore plus important d'êtres humains innocents ont été gravement blessés et on estime que 1,5 million de personnes se sont retrouvées sans abri [85]. L'enquête et les poursuites concomitantes ne devraient pas être réservées aux dirigeants nationaux, mais devraient englober un large éventail d'individus impliqués dans la réalisation d'un tel acte de guerre non déclaré, illégal et clandestin : y compris des scientifiques de haut niveau, des fonctionnaires civils, gouvernementaux et militaires, des agents de désinformation et leurs responsables, ainsi que des diplomates, qui auraient tous aidé et encouragé le déclenchement présumé du tremblement de terre du 6 février 2023 en Turquie.

 

Nous avons présenté des allégations et des preuves d'au moins deux cas de tremblements de terre délibérément déclenchés, celui de Christchurch en Nouvelle-Zélande en 2011 et celui du sud de la Turquie qui s'est étendu au nord de la Syrie en 2023. Il serait naïf de penser qu'il s'agit là des deux seuls cas de guerre géophysique secrète contre des populations innocentes impliquant des chauffages ionosphériques. En fait, il y a eu des allégations concernant d'autres tremblements de terre déclenchés [86-94], dont nous ne pouvons pas attester la véracité.

 

En 2002, 90 députés de la Douma russe ont demandé une interdiction internationale des expériences géophysiques et se sont inquiétés du développement de l'arme du réchauffeur d'ionosphère en Alaska (États-Unis), en Norvège et au Groenland, notant [4] :

 

« L'importance de ce saut qualitatif pourrait être comparée au passage de l'acier froid aux armes à feu, ou des armes conventionnelles aux armes nucléaires. Ce nouveau type d'armes diffère des précédents en ce que le milieu proche de la Terre devient à la fois un objet d'influence directe et sa composante ».

 

Outre notre demande d'enquête approfondie et de poursuites concomitantes, nous demandons respectueusement à la Cour pénale internationale d'inclure une divulgation publique complète de la capacité scientifique et technologique géophysique actuelle de l'humanité à modifier les processus naturels de la Terre afin de les transformer en armes de guerre.

 

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