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Ciel Voilé

Résultat pour “effet secondaire en attente”

L’ineptie de nos instances sanitaires confirmée par l’ordre

27 Avril 2021, 19:37pm

L’ineptie de nos instances sanitaires confirmée par l’ordre

https://smaer.fr/lineptie-de-nos-instances-sanitaires-confirmee-par-lordre/

 

  • 23 avril 2021

Le courrier qu’un de nos adhérents, le Dr.Thierry Medynski, adresse au président de son ordre départemental, mérite d’être notre billet d’humeur.
Ce courrier est fondamental.
Il démontre l’ineptie de nos instances sanitaires confirmée par l’ordre qui permet à tout médecin d’être en contradiction avec les articles R.4127-13 -14 -15 -39 du code de déontologie médicale, et de ce fait avec sa pratique et son éthique médicale.

Nous vous proposons de l’envoyer à tous les ordres départementaux.


 


 

Madame, Monsieur le Président de l’Ordre Départemental des Médecins,

Je vous adresse cette lettre pour bien comprendre la campagne de vaccination contre la Covid 19 car il me semble que je me heurte à des propos contradictoires, raison pour laquelle je sollicite votre éclairage et des réponses à mes questions.

Ce qu’a dit le Pr. Alain Fisher (le “Monsieur Vaccin” du gouvernement) le 3 décembre 2020 (voir sur ce lien) :

  • les données ne sont pas encore complètes pour savoir jusqu’à quel point ces vaccins sont efficaces chez les personnes les plus à risque, on ne dispose que de communiqués de presse de la part des industriels, et on manque de publications scientifiques

  • on ne sait pas si le vaccin protège l’individu vacciné contre l’infection grave

  • on ne sait pas si le vaccin protège contre la transmission ce qui permettrait de briser la chaîne de transmission

Ce qu’a dit le président du Conseil National de l’Ordre des Médecins (CNOM) début avril 2021

Le président du CNOM a incité les médecins à pleinement s’engager dans la campagne vaccinale avec les vaccins à ARN/ADN. « Il faut convaincre l’ensemble des professionnels, comme la population, que la vaccination sauve des vies » a-t-il déclaré le 2 avril 2021 dans le Quotidien du médecin (voir sur ce lien).

Ce que dit la science au sujet des vaccins début avril 2021

  • il y a une incertitude (voir sur ce lien) concernant la prévention des formes sévères avec hospitalisation, la prévention des formes mortelles, la protection contre les futurs variants du virus, la prévention de la transmission du virus

  • on découvre les effets indésirables précoces, et, selon l’ANSM, dans environ 24 % des cas d’effets indésirables, ces effets indésirables sont graves (voir sur ce lien).

  • on ne connaît pas les effets de ces vaccins à moyen et long terme, en particulier sur le risque d’apparition de virus recombinants, de maladie aggravée chez les personnes vaccinées (voir ce lien) ou encore sur les risques liés à la perte d’intégrité de l’ARN (on ne connait pas le devenir des ARN tronqués)

  • selon l’avis même du président du conseil scientifique (voir sur ce lien), les nouveaux variants et l’évasion immunitaire pourraient réduire l’efficacité de la vaccination à court et moyen terme

  • il s’agit de traitements insuffisamment éprouvés, dans le monde entier, tant au niveau de l’efficacité qu’au niveau de la sécurité d’utilisation. De ce fait, ces vaccins à ARN / ADN disposent d’une autorisation de mise sur le marché (AMM) conditionnelle (voir sur ce lien) d’une année, renouvelable en fonction des données fournies par les laboratoires.

Ce qu’a dit le ministre des solidarités et de la santé en février et mars 2021

Les vaccins à ARN / ADN vont-ils permette le retour une vie normale  ? Selon l’édition du 30 mars 2021 d’Europe 1 (voir sur ce lien), le ministre de la Santé a estimé qu’il est prématuré en l’état des connaissances scientifiques de différencier les «  règles relatives aux limitations de circulation selon que les personnes ont reçu ou non des doses des vaccins  ». Olivier Véran invoque quatre arguments  :

  • l’efficacité partielle des vaccins

  • le fait que l’efficacité des vaccins est devenue particulièrement contingente du fait de l’apparition des nouveaux variants

  • les personnes vaccinées sont aussi celles qui sont les plus exposées aux formes graves et aux décès en cas d’inefficacité initiale du vaccin ou de réinfection post-vaccinale ou de la virulence d’un variant

  • le vaccin n’empêche pas de transmettre le virus aux tiers. L’impact de la vaccination sur la propagation du virus n’est pas encore connu

Le ministre des solidarités et de la santé avait déjà tenu des propos similaires dans une conférence de presse le 18 février 2021 (voir sur ce lien) en disant qu’aucun pays européen ne dispose de données publiées fiables prouvant que les vaccins à ARN / ADN permettent d’éviter les formes graves et les hospitalisations.

Ce que dit l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM)

La publicité en faveur d’un médicament disposant d’une AMM conditionnelle doit préciser le caractère conditionnel (voir sur ce lien)

Ce que dit le code de déontologie médicale
L’Article R.4127-14  du code de déontologie précise : «  Les médecins ne doivent pas divulguer dans les milieux médicaux un procédé nouveau de diagnostic ou de traitement insuffisamment éprouvé sans accompagner leur communication des réserves qui s’imposent. Ils ne doivent pas faire une telle divulgation dans le public non médical  ». Si je comprends bien cet article, toute communication sur les vaccins à ARN / ADN doit donc être accompagnée des réserves qui s’imposent. Mais la phrase suivante « Ils ne doivent pas faire une telle divulgation dans le public non médical  » ne me paraît pas très claire : que ne doit-on pas divulguer dans le cas précis ?

J’ai ensuite une interrogation sur les deux articles suivants :

  • L’Article R.4127-39 du  code de déontologie précise  :  «  Les médecins ne peuvent proposer aux malades ou à leur entourage comme salutaire ou sans danger un remède ou un procédé illusoire ou insuffisamment éprouvé  ».

  • L’Article R.4127-40 indique également  : «  Le médecin doit s’interdire, dans les investigations et interventions qu’il pratique comme dans les thérapeutiques qu’il prescrit, de faire courir au patient un risque injustifié  »

Etant donné que les vaccins à ARN / ADN disposent d’une AMM conditionnelle et sont insuffisamment éprouvés, peut-on malgré tout les présenter comme un remède salutaire qui va sauver des vies ? L’Article R.4127-35 du code de déontologie indique : «  Le médecin doit à la personne qu’il examine, qu’il soigne ou qu’il conseille une information loyale, claire et appropriée sur son état, les investigations et les soins qu’il lui propose  ».
Cela semble signifier que toute personne qui désire recevoir ce type de vaccin à ARN / ADN devrait être informée :

  • que ce type de vaccin ne dispose que d’une AMM conditionnelle

  • que la balance bénéfices risques ne sera réellement connue qu’en 2022 ou en 2024 selon les vaccins

  • que l’injection du vaccin à ARN / ADN peut être suivie d’effets secondaires graves

Comme il n’y a pas de notice papier indiquant les effets indésirables, doit-on fournir aux personnes qui souhaitent se faire vacciner les liens pour en prendre connaissance : la base de données de l’ANSM (à partir de ce lien), la base de données de l’agence européenne du médicament (à partir de ce lien) et la base de données de l’OMS (à partir de ce lien) ?

A propos des questions posées sur la possibilité de traitements précoces

Suite aux propos du ministre des solidarités et de la santé et à la découverte d’effets secondaires graves précoces, de nombreuses personnes s’interrogent sur la balance bénéfices / risques des vaccins à ARN / ADN. Puisque le fait d’être vacciné n’apporte pas de garanties, ils s’interrogent sur la possibilité de pouvoir disposer des traitements pour les formes précoces de la maladie et mentionnent des traitements utilisés dans un certain nombre de pays à l’étranger comme l’ivermectine, l’azithromycine, ou l’hydroxychloroquine.

En France, ces traitements sont, comme les vaccins à ARN / ADN, insuffisamment éprouvés au niveau de leur efficacité. Par contre, ces traitements ont fait la preuve de leur sécurité d’utilisation puisqu’ils disposent depuis longtemps d’une véritable AMM.

Comment faut-il expliquer à ces personnes

  • que les médecins peuvent déroger au code de déontologie médicale pour des vaccins à ARN / ADN qui présentent une efficacité incertaine et la possibilité d’effets secondaires potentiellement graves alors qu’on ne dispose que d’un recul de quelques semaines sur leur utilisation,

  • mais qu’ils ne peuvent pas déroger au code de déontologie pour ces anciennes molécules utilisées dans nombre de pays, qui présentent une efficacité également incertaine mais très peu d’effets secondaires après une utilisation de plusieurs années ?

En espérant que vous pourrez apporter des réponses à l’ensemble de ces questions, je vous prie d’agréer l’expression de mes sentiments confraternels.

 

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Mensonge des autorités sanitaires : l'appel du Dr Bhakdi

1 Mai 2021, 15:31pm

Publié par France Soir

Mensonge des autorités sanitaires : l'appel du Dr Bhakdi

France Soir le 30/04/2021 à 21:41

Le Dr Sucharit Bhakdi, médecin spécialiste en infectiologie et microbiologiste, a travaillé en tant qu'enseignant-chercheur pendant de nombreuses années, notamment au « Max Plank Institute », avant de prendre sa retraite. Depuis le début de la crise sanitaire, il appelle à l’éthique de la part des médecins et dénonce les mensonges de l’EMA (Agence européenne du médicament) et de la FDA (Federal drug agency).

En mars 2020, il écrit le livre « Corona fausse alerte ? », où il s'interroge sur le bien-fondé des mesures sanitaires et notamment du confinement. Il y évoque la crise, les tests PCR, le dosage d’hydroxychloroquine et son surdosage dans certaines études. Il parle aussi de la vaccination de masse et des risques liés aux effets secondaires pris par les autorités. Pour lui, les faux tests PCR ont engendré des décisions de politiques sanitaires erronées.


 


 

 


 

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Où loger les rats et les punaises de lit ? Les écolos strasbourgeois sont inquiets

4 Mars 2021, 12:19pm

Où loger les rats et les punaises de lit ? Les écolos strasbourgeois sont inquiets

 

Jany Leroy – Le 1er mars 2021 – Boulevard Voltaire

Les habitants du quartier Neudorf de Strasbourg peuvent remercier la municipalité écolo. En effet, le 24 février dernier, on apprenait, en lisant les Dernières Nouvelles d’Alsace, que des rats avaient littéralement envahi un immeuble de ce quartier. Or, lors d’un conseil municipal en septembre dernier, une élue écolo avait émis l’idée que les rats et punaises de lit ne devraient plus être classés sous la terminologie « nuisibles » mais « liminaires ». Le terme « commensaux » fut évoqué, mais le camp « liminaire » l’emporta.

Enchantée par ce changement d’appellation, la population pourra désormais se targuer d’employer un mot savant : « Figurez-vous, ma chère, que nous sommes envahis par des liminaires. » Ce à quoi la voisine répond : « Qu’est-ce qui vous a pris d’acheter tous ces luminaires ? Nous, on est envahis par les rats dans la cave et les punaises dans les matelas. » Quelques quiproquos amusants apportent un peu d’animation dans le quartier.

 

 

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La 5G : une catastrophe annoncée

9 Août 2019, 09:07am

La 5G : une catastrophe annoncée

 

« Installer des dizaines de millions d’antennes 5G sans effectuer un seul test biologique de sécurité est sans doute l’idée la plus stupide que l’on ait jamais eue dans l’histoire du monde. » – Martin L. Pall, professeur émérite de biochimie (Washington State University)

La 5G est encore beaucoup plus dangereuse que les 2G, 3G et 4G, or voici les effets des technologies existantes :

  1. Fertilité réduite

  2. Effets neurologiques / neuropsychiatriques

  3. Dommages à l’ADN cellulaire

  4. Apoptose – Mort cellulaire programmée

  5. Stress oxydatif et effets néfastes des radicaux libres

  6. Problèmes endocriniens (hormonaux)

  7. Excès de calcium intracellulaire

  8. Cancer

La docteure Sharon Goldberg a interpellé le Sénat américain en ces termes : « La 5G est une application non testée d’une technologie dont la science nous a appris qu’elle était nuisible. Dans les universités, c’est ce que l’on appelle faire de la recherche sur des sujets humains ».

Martin Blank, du Département de physiologie et de biophysique cellulaire de l’Université de Columbia, explique que les rayonnements électromagnétiques tels qu’ils existent aujourd’hui « endommagent les cellules de notre corps et tuent beaucoup d’entre nous prématurément ».

Claire Edwards, membre du personnel de l’ONU, a lancé un avertissement fort aux membres de haut rang des Nations Unies, qualifiant la 5G de « guerre contre l’humanité ».

Source : Prominent Biochemistry Professor Warns – 5G is the ‘Stupidest Idea In The History of The World’

https://www.sante-nutrition.org/un-important-professeur-de-biochimie-met-en-garde-la-5g-est-lidee-la-plus-stupide-de-lhistoire-du-monde/


 

Des scientifiques d’une quarantaine de pays ont lancé un appel international contre la 5G, que tout le monde peut signer : www.5gspaceappeal.org (ce texte, disponible en français, mérite d’être lu intégralement). Les rédacteurs et rédactrices de l’appel s’appuient sur plus de 10.000 études qui concluent à la nocivité des ondes électromagnétiques. Voir la liste des pathologies induites par ces ondes (p 3). Pour le moment, l’industrie et les gouvernements s’agitent sans se soucier de l’avis des scientifiques et en l’absence totale de débat démocratique.


 

Dans certaines régions du monde, la population résiste : Mill Valley (dans la Silicon Valley) a interdit la 5G à cause de ses effets sur la santé ; à Gateshead (Grande-Bretagne), la population a gagné son procès contre la municipalité en faisant valoir le taux de cancer anormal constaté dans la zone où la 5G avait été déployée ; en Suisse, les cantons de Vaud, de Genève et du Jura ont adopté un moratoire contre cette technologie mais sont en délicatesse avec la Confédération, qui les accuse d’outrepasser leurs compétences.


 

Pendant ce temps-là, que font nos instances dirigeantes ?

Dans un commentaire du 4 avril 2019, l’eurodéputée Michèle Rivasi constate que la Commission européenne n’a pas fait et n’envisage pas de faire réaliser d’étude sur l’impact biologique et sanitaire de la 5G : « La Commission avoue qu’elle ne veut pas savoir… Elle brûle les étapes et ne respecte pas les règles qu’elle s’est elle-même fixées… (Elle) adopte une politique de l’autruche irresponsable… C’est d’autant plus scandaleux que la Commission menace la Belgique de l’attaquer pour infraction si elle ne respecte pas le calendrier de déploiement alors que c’est la Commission elle-même qui se met en infraction en refusant d’appliquer les règles communes et de produire une étude d’impact préalable ».


 

En France, le Parlement a donné son aval au déploiement de la 5G. En juillet 2019, le Sénat a adopté un texte visant à sécuriser juridiquement ledit déploiement.

Et localement ? Roland Ries, maire de Strasbourg, a fait abattre des arbres (à la Meinau, par exemple) pour faciliter l’installation de la 5G. Je l’ai interpellé à ce sujet dès 2018, mais mes messages sont restés sans réponse…


 

Que dit la presse ?

Le 16 juillet 2019, les Dernières Nouvelles d’Alsace annoncent l’arrivée de la 5G fin 2020. Le 25 juillet, le même quotidien signale une difficulté : « la 5G expose aussi, de par sa puissance, à une vulnérabilité inédite, notamment en termes de sécurité nationale ». Les journalistes en question ne jugent pas utile de mentionner l’appel scientifique international (que je leur ai pourtant transmis) ni la résistance des populations à ce fléau à venir, et passent complètement sous silence le problème sanitaire majeur que pose la technologie en question.


 

Pourtant, il existe des solutions saines et sûres :

Comme le note le Collectif Stop Linky-5G de Montpellier, « Investir dans le développement du réseau de fibre optique permettrait une vitesse de communication 10 000 fois plus grande que celle du sans-fil à l'abri des cyberattaques et sans danger pour la santé et l'environnement ».

de Natalie Roulon

Relue par Patrice Goyaud, ingénieur retraité de l'EDF et docteur en physique

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Le rapporteur public se prononce contre l'exploitation de la centrale biomasse de Gardanne

29 Avril 2017, 17:10pm

Le rapporteur public se prononce contre l'exploitation de la centrale biomasse de Gardanne

http://france3-regions.francetvinfo.fr/provence-alpes-cote-d-azur/rapporteur-public-se-prononce-contre-exploitation-centrale-biomasse-gardanne-1242877.html

Le rapporteur public demande l’annulation de l’arrêté du préfet des Bouches-du-Rhône, qui avait autorisé l’exploitation de la centrale biomasse de Gardanne en 2012. Il juge l'étude d'impact réalisée insuffisante.

Par AV avec Jean-François Giorgetti Publié le 28/04/2017 à 11:17

Les opposants qui dénoncent le projet de la centrale biomasse de Gardanne peuvent avoir le sourire. Jeudi, le rapporteur public a présenté ses conclusions devant le tribunal administratif de Marseille. Gilles Fedi a demandé l'annulation de l’arrêté préfectoral du 29 novembre 2012 autorisant l’exploitation de la tranche biomasse de la centrale thermique de Gardanne.

Une bonne nouvelle pour les quatorze requérants qui avaient saisi le tribunal, même si ce dernier n'est pas tenu de suivre les conclusions du rapporteur public.

Mesurer plus largement les effets négatifs


Le rapporteur s'appuie principalement sur l’insuffisance de l’étude d’impact qui a précédé l'autorisation préfectorale. Selon le magistrat administratif, cette étude, qui s'est limitée à cinq communes dans un rayon de 3 kilomètres autour de la centrale, ne contient pas d’analyse des effets négatifs indirects et permanents du projet sur l’environnement, les paysages, l’approvisionnement, et la production de bois.

Toujours selon lui, "il est important de mesurer l’impact à long terme du projet sur l’environnement, le prélèvement risque de tarir la ressource pour les autres acteurs."

1.800 tonnes de bois brûlées par jour


Alors que la tranche biomasse de la centrale doit consommer 1800 tonnes de bois par jour, le rapporteur déplore :

"l'étude initiale ne dit rien sur les rotations quotidiennes des poids-lourds, on nous dit 250 par jour…"

"L’évaluation du projet d’exploitation n’a pas été présentée à la population, souligne-t-il. Il ajoute :"l'information complète à la population concernant les effets de l’exploitation n’a pas été respectée (…), l'insuffisance de l’étude d’impact a eu pour effet de nuire à l’information du public."

Quelles incidences sur les zones Natura 2000 ?


Voilà de quoi conforter les riverains de la centrale de Gardanne, les associations de défense de l’environnement, le parc naturel Régional du Luberon et du Verdon, les communautés de commune du pays de Forcalquier et de Banon qui s'opposent au projet.

Leurs avocats, Mathieu Victoria et Eric Posak, ont souligné que le rayon d’approvisionnement de la centrale thermique s’étend sur 450 kilomètres et qu'aucune étude d’incidence n'a été réalisée sur les multiples zones Natura 2000 en Paca, Occitanie et Bourgogne.

Le site n’est toujours pas en activité, alors que l’exploitation industrielle devait commencer en 2014.

250 millions d'euros d'investissements


Par la voix de son avocat Frédéric Defradas, l'exploitant Uniper, filiale du groupe énergétique allemand E.On, a mis en avant les 250 millions d'euros d'investissements et les 80 emplois directs liés dans cette centrale, la plus importante unité de France.

"Nous avons fait l’étude d’impact qui était applicable à l’époque, nous avons scrupuleusement respecté la législation"


En fin d’audience, l'avocat d’Uniper a précisé à la demande de la présidente Anita Haasser, que le bois utilisé vient du Brésil et d’Espagne, les granulés proviennent de la production locale. Le jugement a été mis en délibéré.

 

La suite sur :

http://france3-regions.francetvinfo.fr/provence-alpes-cote-d-azur/rapporteur-public-se-prononce-contre-exploitation-centrale-biomasse-gardanne-1242877.html

 

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Alain Soral en garde à vue

30 Juillet 2020, 16:43pm

Alain Soral en garde à vue


 

L'essayiste Alain Soral arrêté et présenté à la justice en vue de l'ouverture d'une information judiciaire

La dépêche le 30 juillet 2020


 

L'essayiste d'extrême droite Alain Soral était déféré jeudi après-midi au tribunal de Paris en vue de l'ouverture d'une information judiciaire, notamment pour "provocation publique", a-t-on appris auprès du parquet de Paris. Alain Soral, de son vrai nom Alain Bonnet, a été interpellé et placé en garde à vue mardi après-midi. 


 

L'information judiciaire devait être ouverte pour "provocation publique non suivie d'effet", "injure publique à raison de l'origine ou de l'appartenance ou de la non-appartenance à une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée" et "provocation publique à la haine ou à la violence, à l'égard d'une personne ou d'un groupe de personnes à raison de l'origine ou de l'appartenance ou de la non-appartenance à une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée", a précisé le parquet. 

 

 

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Vaccins Covid-19: la gangrène des conflits d'intérêts, comme avec le H1N1

16 Décembre 2020, 20:31pm

Vaccins Covid-19: la gangrène des conflits d'intérêts, comme avec le H1N1

 

Initiative citoyenne - Belgique - le 15 décembre 2020

 

Nous vous partageons ici un article important de Christian Staquet sur la situation belge. Il est fondamental de voir que nous sont réimposées avec le coronavirus les mêmes errances que lors du H1N1... Il faut en effet rappeler, comme l'a fait la revue belge d'Evidence Based Medicine (Médecine basée sur les preuves) Minerva, en 2007, que les conflits d'intérêts ont une influence négative, que ceux-ci soient déclarés ou pas: influence négative sur l'intégrité du jugement clinique, et donc sur les intérêts des patients....

 

Chez nous, en Belgique, le syndicat libre de la fonction publique qui ne veut en aucun cas d'une obligation vaccinale chez les soignants, a déclaré par la bouche de son président, François Roosens: "C'est immonde de faire culpabiliser le personnel qui ne souhaite pas se faire vacciner immédiatement". "En tant que représentant du personnel, je comprends que des gens se posent la question du recul par rapport à ce qu'on sait de ces vaccins. Que sait-on sur la pérennité? Sait-on combien de temps on est immunisé? Les seules personnes qui se montrent rassurantes sont les patrons des firmes pharmaceutiques."

 


 

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Moderna lance des essais cliniques sur des enfants cobayes pour son vaccin à ARN

20 Mars 2021, 08:28am

Publié par Ciel Voilé

Moderna lance des essais cliniques sur des enfants cobayes pour son vaccin à ARN



SOTT.net, jeudi 18 mars 2021

 

Des milliers d'enfants des Etats-Unis et du Canada âgés de 6 à 11 ans vont participer à un essai clinique du vaccin Moderna contre le covid-19 qui utilise la technologie de l'ARN messager.


 

Cet essai clinique concerne un total prévu de 6 750 enfants aux Etats-Unis et au Canada, a précisé Moderna, qui produit déjà pour les adultes un vaccin anti-Covid administré en deux injections séparées de quatre semaines.

Le vaccin de Moderna est pour le moment autorisé pour les personnes de 18 ans et plus, en Amérique du nord, dans l'Union européenne et dans quelques autres pays dont Israël et Singapour. Cet essai, pour lequel les premières doses ont commencé à être injectées, permettra d'étudier « la sûreté, la tolérance, la réactogénicité [production d'effets indésirables, ndlr], et l'efficacité» du vaccin, a déclaré l'entreprise dans un communiqué.

 


 

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Étude Mobi-kids : une nouvelle version avec conflits d’intérêts

3 Février 2022, 17:37pm

Étude Mobi-kids : une nouvelle version avec conflits d’intérêts

Equipe Phonegate 3 Fév 2022  

 

L’étude Mobi-kids a été modifiée afin de mentionner certains conflits d’intérêts dont, notamment, la présence d’un collaborateur d’Orange parmi les auteurs. Un regrettable mélange de genres mis au jour par notre association Alerte Phonegate. Nous venons d’en recevoir la confirmation dans un courriel adressé par Elisabeth Cardis, la coordinatrice de l’étude.

Dès la sortie de l’étude, notre association avait en effet écrit à Madame Cardis, ainsi qu’aux 53 autres scientifiques impliqués dans l’étude Mobi-kids, afin de connaître leur position sur de sous-jacents et importants conflits d’intérêts impliquant l’opérateur de téléphonie mobile Orange.

 

 

https://phonegatealert.org/etude-mobi-kids-nouvelle-version-avec-conflits-dinterets?

 

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Fuite radioactive en Chine : le coup fatal pour le réacteur nucléaire français EPR

15 Juin 2021, 18:47pm

Fuite radioactive en Chine : le coup fatal pour le réacteur nucléaire français EPR

 

Observatoire du nucléaire – Le 14 juin 2021

 

La chaîne américaine CNN a révélé ce jour (*) l’existence d’une situation d’urgence dans le réacteur 1 de la centrale nucléaire de Taïshan (Chine), composée de deux réacteurs français EPR.

 

S’il n’est pas encore possible à cette heure de mesurer l’ampleur exacte du problème - une fuite radioactive dans le circuit primaire, celui qui contient le combustible nucléaire - et la gravité de la situation, il est d’ores et déjà évident qu’il s’agit là d’un coup probablement fatal pour les projets d’EDF de construire des EPR en France et à l’étranger.

 

En effet, alors que les chantiers EPR organisés par les Français - Areva en Finlande, EDF à Flamanville (Manche) et en Grande-Bretagne - sont de véritables désastres industriels et financiers, les promoteurs du réacteur EPR se raccrochaient désespérément au "bon exemple" chinois.

 

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