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Ciel Voilé

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Cercles de pierres et énergie libre

14 Juillet 2014, 08:59am

Publié par Ciel Voilé

 

 

 

 


 

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Wi-Fi : une menace pour l'avenir de l'espèce, invisible et omniprésente

9 Juillet 2014, 17:24pm

Publié par Ciel Voilé


 de Jim Fetzer – Le 5 juillet 2014 - Traduction Ciel voilé

 

http://www.veteranstoday.com/2014/07/05/wifi-an-invisible-but-ubiquitous-threat-to-the-future-of-the-species/ 

 

 « 47.7 % des femmes exposées aux micro-ondes ont fait des fausses couches avant la 7e semaine de grossesse » selon le Professeur John R. Goldsmith, Consultant International / Conseiller pour la communication sur les ondes, l'épidémiologie et les sciences à l'OMS

Aujourd'hui j'ai fait l'une des interviews radiophoniques les plus troublantes de ma vie en accueillant dans l’émission « La vraie question  », le physicien britannique et expert de la guerre électronique, Barrie Trower.


Barrie-Trower


A la fin de son service militaire, Barrie avait acquis une grande expérience dans le domaine des micro-ondes et il a étendu ses recherches aux systèmes électroniques courants, y compris les téléphones cellulaires, les iPods, les jeux informatiques et les fours à micro-ondes.

 

 

                               Vidéo en anglais :

 


 

 

 

Il a été consterné de découvrir que le rayonnement micro-ondes est omniprésent et extrêmement dangereux, surtout pour les femmes enceintes et les jeunes enfants. Les risques sont si grands que l'utilisation du Wi-Fi, qui est extrêmement répandu, peut conduire à des dommages génétiques permanent chez vos enfants et les enfants de vos enfants. Voici son avertissement personnel et ses propres mots:

« Au tout début des années 1960, j’ai été formé dans l’armée à la guerre des micro-ondes. J'ai observé tous les aspects de cette guerre et quand mon temps de service dans l'armée s’est achevé, parce que j'avais beaucoup de connaissances dans le domaine des micro-ondes, on m'a demandé si je voulais poursuivre cette recherche. Nous sommes dans une nouvelle guerre froide et c'est pourquoi les pays développent les micro-ondes. Le nombre d’émetteurs de micro-ondes ne cesse d’augmenter partout dans le monde : quelqu'un, s'il le voulait, pourrait les utiliser pour d'autres effets. Le système est en marche.

Il y a des années, notre gouvernement a demandé à nos scientifiques : «  A propos des micro-ondes, vous ne parlez de rien d’autres que de chaleur : c'est tout ! ». Donc, ils n’ont même pas discuté de quoi que ce soit d'autre. Ils nieront tout ce qui n'a rien à voir avec la chaleur. Ils nient même l'ensemble de leurs 40 ans de recherche où ils ont découvert que cela peut causer le cancer et bien des dommages. Ils diront que non, ce n’est pas possible. « Nous faisons des recherches seulement sur la chaleur et la chaleur seule compte. ». Donc, ces quarante dernières années, le gouvernement anglais a menti à la population. Et en Amérique, au Canada, en Australie, les gouvernements ont menti aussi à leurs citoyens. Ils ont menti pour protéger l'industrie, pour protéger leurs bénéfices, pour se protéger contre les poursuites.

Donc, ce sont vraiment des menteurs et c’est prouvé par l'Organisation Mondiale de la Santé, sans l'ombre d'un doute. Ce sont les mêmes personnes qui siègent sur ​​le certificat de l’ICNAP (International Conference on Nuclear and Atomic Physics), qui font partie des organismes gouvernementaux de protection de la santé, de l'OMS, ce sont les mêmes personnes. Elles ne sont probablement pas plus de vingt. Mais, oui, elles vont, à mon avis, commettre le pire génocide que cette planète ait jamais connu, pas seulement sur les personnes, mais sur les animaux et sur les plantes. Elles vont probablement causer plus de destruction qu’une guerre mondiale. Et dans plusieurs centaines d'années, les gens, du moins les survivants, chercheront dans le passé pour voir ce que nous avons essayé de faire pour arrêter ce génocide ».
 
Wi-Fi, micro-ondes et conséquences sur notre santé
 
Les personnes les plus fortement touchées sont les femmes enceintes, les enfants, les femmes en général, les personnes âgées, les moins touchés : les hommes et ceux en bonne forme physique. Certaines personnes semblent être invulnérables à l'exposition, mais un pourcentage significatif de 47,7% à 57,7%, semble être particulièrement vulnérable, même si la plupart d'entre nous considérons que de  faibles doses représenteraient un risque minime. Pourtant, c’est le contraire en réalité.


La femme humaine naît avec 400.000 follicules dont environ 400 deviendront finalement à échéance des œufs potentiellement fécondables par le sperme pour produire un zygote, qui se développera en un embryon puis en fœtus et, dans des conditions favorables, se traduira par une naissance vivante. C’est durant les 4 à 6 premières semaines de la grossesse que l'embryon est le plus vulnérable, en particulier parce que la femme peut ne pas savoir qu'elle est enceinte et qu’elle ne prend pas de précautions.

Les risques d'exposition au Wi-Fi

Comme Trower l’a expliqué, parce que les tissus du cerveau et de la moelle osseuse des enfants ont des propriétés de conductivité électrique différentes de celles des adultes, l'absorption du rayonnement micro-ondes par un enfant peut être dix fois plus élevée que celle d'un adulte. Même une faible exposition de fréquence de rayonnement  micro-ondes peut être extrêmement dommageable et induire l'oxydation et des formes de stress « nitrosatif » (NO), ce qui peut provoquer des dommages irréversibles au matériel génétique mitochondrial qui se manifesteront en fausses couches, enfants morts- nés ou en malformations congénitales.

Les effets au fil des générations sont cumulatifs, les études de l'OMS ont établi que les femmes exposées à une irradiation de faible dose aux micro-ondes (en dessous du niveau thermique, où c’est ressenti comme de la chaleur) ont un taux de fausses couches de 47,7% avant la septième semaine de gestation. Le niveau d'exposition dans ce cas était de cinq microwatts par centimètre carré, ce qui est inférieur à ce que la plupart des filles de l'école recevront dans une salle de classe avec Wi-Fi à partir de l'âge de cinq ans environ. Les effets peuvent inclure cancer, perte de mémoire et malformations de naissance pour leur descendance.



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Pourquoi la situation est-elle si désespérée ?
 
L'ADN mitochondrial est dix fois plus sensible à l'oxydation et au stress « nitrosatif » ( ndt :au monoxyde d’azote) que l'ADN du noyau de la cellule. Mais ces effets sont transmis à chaque génération successive de femmes et, si ces 47.7% deviennent 57,7% ou 67,7%, ce n’est pas une différence significative. La conséquence sera la réduction de moitié environ d'enfants normaux à la naissance, à chaque génération, ce qui représente une catastrophe pour l’espèce.

 
Lors de notre entretien, j'ai expliqué à Barrie que je pensais que les perspectives pour remédier à cette situation sont sombres parce que (1) le public américain est scientifiquement analphabète, (2) que nous aimons la commodité des téléphones cellulaires, des iPods et autres appareils électroniques et (3) les sociétés qui les produisent vont faire tout ce qui est en leur pouvoir pour maintenir leurs marges bénéficiaires. J'encourage donc chacun à considérer son appel à l'aide à la population américaine en diffusant son étude.


Un des aspects les plus déconcertants de cette situation est que, non seulement tout cela était déjà connu et documenté bien avant que les enfants n’aient le WI-FI à l’école, mais que les effets biologiques dangereux ont été cachés au public pour protéger les profits de l'industrie:


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L’accord de recherche de l'OMS : « Symposium international » N° 05 - 609-04 (Varsovie  1973) : «  Effets biologiques et dangers pour la santé des rayonnements micro-ondes », souligne dans ses 350 pages: excès de mortalité par irradiation artificielle aux micro-ondes : des effets biologiques sur la santé. La section 28 traite des problèmes concernant la fonction reproductive. Ce document a été classé « Top Secret » et son contenu n’a pas été rendu public par l'OMS et l'ICNIRP (International Commission on Non-Ionizing Radiation Protection).

 

Jim Fetzer : ancien officier du Corps des Marines, professeur émérite à l'Université du Minnesota-Duluth


Liens en français :


http://www.next-up.org/pdf/Biologic_effects_and_health_hazards_of_microwave_radiation_23_04_2010.pdf


http://www.next-up.org/pdf/Telephonie_mobile_et_vraies_pandemies_04_01_2010.pdf


http://www.next-up.org/questionnaire/index.php


http://fr.wikipedia.org/wiki/Wifi


Liens en anglais :


http://rense.com/general96/trower.html


http://www.geoengineeringwatch.org/barrie-trower-wifi-report-humanity-at-the-brink/

 

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La mémoire de l'eau avec le Pr Luc Montagnier

8 Juillet 2014, 12:05pm

Publié par Ciel Voilé

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Le déclin massif des insectes menace l'agriculture

27 Juin 2014, 16:06pm

Publié par Ciel Voilé

 

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LE MONDE | 24.06.2014  Par Stéphane Foucart

 

http://www.lemonde.fr/planete/article/2014/06/24/le-declin-massif-des-insectes-menace-l-agriculture_4444051_3244.html

 

« Je pense que j'ai dû me réveiller vers le milieu des années 2000. Un jour, alors que je marchais près de chez moi, dans la garrigue, je me suis demandé où étaient passés les insectes, car il me semblait qu'il y en avait beaucoup moins qu'avant, raconte Maarten Bijleveld van Lexmond. Et puis j'ai réalisé qu'il y en avait aussi de moins en moins collés sur le pare-brise et la calandre de ma voiture. Presque plus, en fait. » En juillet 2009, dans sa maison de Notre-Dame-de-Londres (Hérault), le biologiste néerlandais, 77 ans, réunit une douzaine d'entomologistes partageant la même inquiétude.


Tous notent un déclin accéléré de toutes les espèces d'insectes depuis les années 1990. Selon eux, l'effondrement des abeilles domestiques n'est que la partie visible de ce phénomène aux conséquences considérables pour l'ensemble des écosystèmes.


« Au terme d'une longue journée de discussions, nous avons décidé d'examiner tout ce qui avait été publié dans la littérature scientifique sur les insecticides systémiques dits “néonicotinoïdes”, poursuit-il. Cette nouvelle génération de molécules, mise sur le marché dans les années 1990, nous semblait être un élément déterminant pour expliquer la situation. »


Encore fallait-il étayer ce soupçon. Au fil des mois, le petit groupe de chercheurs est devenu un consortium international – le Groupe de travail sur les pesticides systémiques (TFSP, pour Task Force on Systemic Pesticides) – d'une cinquantaine de scientifiques de 15 nationalités, pour la plupart universitaires ou chercheurs au sein d'organismes publics, ayant tous rejoint le groupe d'experts intuitu personae.


NOTRE ENVIRONNEMENT AGRICOLE ET NATUREL MENACÉ 


Le résultat de leurs cinq années de travail, à paraître dans la prochaine édition de la revue Environmental Science and Pollution Research, devait être rendu public mardi 24 juin. « Les preuves sont très claires, affirme Jean-Marc Bonmatin (Centre de biophysique moléculaire du CNRS), membre du TFSP. Nous assistons à une menace pour la productivité de notre environnement agricole et naturel. Loin de sécuriser la production alimentaire, l'utilisation des néonicotinoïdes met en péril les pollinisateurs qui la rendent possible. »


Au total, les experts du TFSP ont passé en revue quelque 800 études publiées dans la littérature savante sur ces insecticides. Ils en ont tiré sept longues synthèses thématiques sur leurs modes d'action, leur devenir dans l'environnement, leurs impacts sur divers organismes, etc.


Ces molécules (imidaclopride, thiaméthoxame, clothianidine, mais aussi fipronil) se partagent aujourd'hui environ 40 % du marché mondial des insecticides agricoles et représentent un marché de plus de 2,6 milliards de dollars (1,9 milliard d'euros). Elles se distinguent d'abord des précédentes générations par leur toxicité, 5 000 à 10 000 fois celle du célèbre DDT, par exemple.


Leur mode d'application est également différent. Ces produits sont en effet non seulement appliqués en pulvérisation, mais sont aussi utilisés en traitement des sols et en enrobage des semences, dans le cadre d'une utilisation systématique et préventive.


LES POPULATIONS DE NOMBREUSES ESPÈCES FRAGILISEES


Or, une part importante – jusqu'à plus de 90 % – des quantités ainsi utilisées n'est pas absorbée par les plantes au cours d'une seule saison végétative. Ces produits s'accumulent ainsi dans les sols où ils persistent de plusieurs mois à plusieurs années. De plus, ajoutent les chercheurs, ces molécules sont hautement solubles dans l'eau et peuvent migrer et contaminer des zones n'ayant jamais été traitées.


Selon le TFSP, « il y a des preuves fortes que les sols, les cours d'eau et les plantes, dans les environnements urbains ou agricoles, sont contaminés, à des concentrations variables, par des mélanges de néonicotinoïdes, de fipronil et de leurs produits de dégradation ». Entre autres exemples, les experts du TFSP notent que de l'imidaclopride a été détecté dans 91 % de 74 échantillons de sols français analysés en 2005 : seuls 15 % des sites avaient été traités…


Les concentrations relevées ne conduisent généralement pas à une toxicité aiguë. Mais l'exposition chronique à ces faibles doses fragilise les populations de nombreuses espèces : troubles de reproduction, facultés de survie réduites, etc. Cette « contamination à large échelle » de l'environnement est, selon le TFSP, un « élément déterminant » dans le déclin des abeilles et joue un rôle « irréfutable » dans celui des bourdons. Pour les papillons, les tendances dégagées sont de l'ordre d'une réduction de moitié des populations européennes en vingt ans. Pour M. Bijleveld, le déclin en cours de l'ensemble de l'entomofaune relève d'un « effondrement brutal ».


« LE DÉCLIN DES INSECTES, C'EST AUSSI CELUI DES OISEAUX » 


Son ampleur se mesure notamment sur les niveaux supérieurs de la chaîne alimentaire. « Le déclin des insectes, c'est aussi le déclin des oiseaux, dont plus de la moitié sont insectivores », note François Ramade (université Paris-Sud), l'une des grandes figures de l'écotoxicologie française, cofondateur du TFSP. De fait, le programme de suivi européen ad hoc montre par exemple une perte de 52 % des oiseaux des champs au cours des trois dernières décennies – cependant, les auteurs se gardent d'attribuer l'ensemble de cette perte aux seuls insecticides systémiques, d'autres facteurs entrant en ligne de compte.


Une variété d'autres espèces importantes pour les écosystèmes est également affectée par ces substances. En particulier, les micro-organismes du sol et les lombrics, animaux essentiels au maintien de la fertilité des sols. L'ensemble des informations rassemblées par le TFSP ayant été publié, reste à comprendre comment des effets d'une telle magnitude ont pu demeurer si longtemps sous le radar des autorités sanitaires – à l'exception de l'Europe, qui a commencé, en 2013, à prendre des mesures. « Aujourd'hui, le savoir est fragmenté, juge Maarten Bijleveld. Il n'y a plus de généralistes. »


Le diagnostic de François Ramade est plus sévère. « La recherche en agronomie est sous la tutelle des pouvoirs publics, qui sont généralement soucieux de ne pas gêner l'activité économique et donc l'emploi, estime-t-il. De plus, les agences de sécurité sanitaire ne se sont guère préoccupées de ce problème car ces substances ne posent pas de graves problèmes pour l'homme. Il n'en reste pas moins qu'elles finiront par avoir un impact économique négatif important. »

 

 

 


 

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Nos députés au fil du temps ...

25 Juin 2014, 20:30pm

Publié par Ciel Voilé

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L'Etat brade les forêts françaises aux multinationales - Signons la pétition

18 Juin 2014, 11:38am

Publié par Ciel Voilé


http://www.reporterre.net/spip.php?article5996


APSMB - Le Frau - lundi 16 juin 2014


Les services de l’Etat, chargés de conserver et développer les ressources de nos forêts, succombent aux sirènes du lobby industriel : dans le Lot, soixante-dix hectares de vergers à graines forestiers vont être vendus pour destruction à une multinationale. C’est l’avenir des forêts françaises et européennes qui se joue dans cette tractation opaque et malsaine.

 

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Soixante-dix hectares de vergers à graines forestiers, gérés par l’ONF sur la commune de Lavercantière (46) pour les principaux partenaires de la forêt française, sont en passe d’être cédés pour destruction à Imérys Ceramics France-Quartz.

Cette multinationale doit en effet satisfaire à tout prix l’appétit de ses actionnaires et exploiter jusqu’au dernier les galets de quartz situés sous ces vergers. Imérys invoque « des marchés stables, porteurs et la nécessité de sécuriser ses clients ». Les services de l’Etat, pour leur part, ont l’ambition d’en retirer des compensations financières.

Et l’intérêt général, comme celui de la forêt française, où est-il dans tout cela ? 

Après avoir déjà détruit une grosse part des landes du FRAU, milieu écologiquement fragile et riche en diversité biologique, et s’en être pris aux restes d’un patrimoine historique médiéval très prisé localement, IMERYS s’apprête maintenant à faire disparaitre le patrimoine biologique et scientifique inestimable que représentent ces vergers à graines forestiers.

Il aura en effet fallu plus de quarante ans aux chercheurs de l’INRA et de l’IRSTEA, en collaboration avec l’ONF et d’autres partenaires de la forêt française, pour les créer. Ce fut de plus un investissement majeur de plusieurs dizaines de millions d’euros consenti durant toutes ces années aux frais du contribuable.

 

Ces vergers à graines forestiers, à quoi servent-ils ? 


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- Ils produisent les semences forestières améliorées indispensables à la réalisation de reboisements de qualité. Ils ont déjà fourni près de dix tonnes de graines permettant l’établissement de plus de 150.000 hectares de plantations forestières.

- Ils permettent la conservation de génotypes forestiers remarquables, aujourd’hui disparus en forêt naturelle, à partir desquels des forêts détruites ou dégradées peuvent être reconstituées.

- Ils servent de support à une activité de recherche et de développement dans le secteur forestier, dans le cadre d’une fructueuse coopération européenne.

C’est l’avenir des forêts françaises et européennes qui se joue dans cette tractation opaque et malsaine. Nous, citoyens, avons le devoir de résister individuellement et collectivement à cet abandon du patrimoine national au profit d’une multinationale qui n’a d’autre ambition que le profit.


Signons massivement cette pétition pour montrer notre indignation citoyenne et résister à ce honteux projet de destruction. La décision politique qui suivra devra tenir compte de notre avis.

 

Source et photos : L’Association de Préservation des Sites Menacés en Bouriane (APSMB) - Le Frau

Lire aussi : La forêt en danger d’industrialisation

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Pulvérisation de nanoparticules : un technicien allemand témoigne

25 Mai 2014, 13:01pm

Publié par Ciel Voilé

 

 

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http://www.geoengineeringwatch.org/insider-speaks-out/

 
24 mai 2014


Sur cette très courte vidéo,  un homme explique avoir participé à l’installation de réservoirs dans un avion destiné à pulvériser des substances toxiques dans le ciel. Bien que je n' ai pas de moyen de confirmer son témoignage, tout ce qu'il dit de façon tout à fait plausible et sincère, confirme ce que nous savons. Jusque dans sa tentative d'informer le « parti écologiste » et leur refus d'écouter. Ce genre de refus en dépit des faits a été le comportement habituel de la communauté dite écologiste. Espérons que nous entendrons encore cet homme avant qu’il ne lui arrive quelque chose. Espérons également que d'autres  trouveront le courage et le sens de l'honneur avant que tout ne soit détruit.



 


Dane Wigington

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L'aéroport Paris-Charles de Gaulle pollue l'eau que boivent les Franciliens

22 Mai 2014, 21:04pm

Publié par Ciel Voilé

 

Jean-Claude Oliva (Coordination Eau Ile-de-France)

 

http://www.reporterre.net/spip.php?article5898

 

jeudi 22 mai 2014

 

 

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L’aéroport Paris-Charles de Gaulle entraîne, par l’utilisation de nombreuses substances chimiques, la pollution des eaux pluviales rejetées dans la Marne, juste en amont de la prise d’eau de l’usine d’Annet-sur-Marne. Celle-ci produit de l’eau potable pour cinq cent mille Franciliens. Les autorités publiques laissent faire.


L’aéroport Paris-Charles de Gaulle s’étend sur trois mille quatre cent hectares. Il est avec ses soixante millions de passagers le septième aéroport mondial et le second en Europe. L’activité aéroportuaire a un impact important autour de la plate-forme, en terme d’environnement, de nuisances sonores, de pollution de l’air, de circulation induite, routière ou ferroviaire.


Les surfaces imperméabilisées représentent un tiers de la superficie de l’aéroport soit plus de mille hectares qui doivent être déneigés et déverglacés en hiver. Il en est de même pour les ailes des avions qui sont traitées au moment du décollage.


Aéroports de Paris (ADP) utilise des produits à base de glycols, et notamment le propylène glycol (massivement utilisé) et l’éthylène glycol (sans qu’en soit connue l’importance réelle, la composition de certains produits n’est pas divulguée au titre du « secret de fabrication »).


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Ces deux substances n’ont pas la même toxicité, l’éthylène glycol étant considéré comme le plus dangereux. Outre l’impact sur la santé humaine, les glycols requièrent des quantités importantes d’oxygène pour être dégradés dans l’eau. Par conséquent, leur concentration importante entraîne une augmentation du niveau de pollution de l’eau.

 

Des substances chimiques retrouvées dans les eaux utilisées pour l’usine de production d’eau potable 


Ces substances chimiques se retrouvent dans les eaux pluviales qui sont à 90 % rejetées dans les rivières (Reneuse et Beuvronne) et enfin dans la Marne, juste en amont de la prise d’eau de l’usine d’Annet-sur-Marne qui produit de l’eau potable pour 500 000 Franciliens habitant la Seine-et-Marne, le Val d’Oise ou la Seine-Saint-Denis.


Ces rejets d’eaux pluviales dans la Marne ont considérablement augmenté, grâce à une dérogation préfectorale accordée en 2008 et renouvelée (et élargie) en 2012. La présence d’éthylène glycol dans les eaux brutes utilisées pour l’usine de production d’eau potable d’Annet-sur-Marne est attestée pour la première fois par le rapport annuel 2009 de la SFDE, filiale de Veolia qui exploite cette usine.

Dès 2010, une alerte est lancée par l’association Action Verte Roissy Val Maubuée (AVRVM) et plusieurs collectivités territoriales, et par une lettre de Nature Environnement 77 au Ministère de l’environnement.


Des informations difficiles d’accès 


Cette situation alarmante conduit l’AVRVM, la Coordination EAU Île-de-France, les Eco-citoyens de Lagny et des environs, et plusieurs usagers, à demander aux principaux acteurs (Veolia Eau, ADP, Préfecture de Seine-et-Marne et l’Agence régionale de santé) de fournir tous les documents d’information à ce sujet.

Commence alors un ballet de procédures : lettres d’avocats, saisie de la CADA (Commission d’accès aux documents administratifs), recours au tribunal administratif (TA) pour faire appliquer les décisions de la Commission d’accès aux documents administratifs.


La Convention d’Aarhus de 2004 prévoit certes que chaque Etat signataire – comme la France - « garantit les droits d’accès à l’information sur l’environnement ». Mais faire valoir ce droit ne va pas de soi ! Il serait plus simple et surtout plus rassurant que ces informations soient à la portée de tous les usagers-citoyens qui en font la demande.


Des graves lacunes 

Les documents reçus font rapidement apparaître de graves lacunes dans la mise en œuvre des dérogations préfectorales et, surtout, que le problème de la présence de l’éthylène glycol n’est toujours pas résolu.

Cette situation a conduit les associations à déposer des recours en annulation des arrêtés préfectoraux de 2008 et de 2012. Leurs pressions répétées ont commencé à porter leurs fruits. Ainsi l’arrêté préfectoral de 2012 pose une nouvelle condition : ADP doit présenter un plan d’action pour résoudre le problème du rejet de ses eaux polluées au plus tard le 30 juin 2012. Ce plan d’action sera finalement publié en juin …2013 !

Le montant total des travaux est estimé à 50 millions d’euros. C’est dire l’enjeu du dossier. Une somme à relativiser cependant : les dividendes versées par ADP s’élevaient en 2012 à 174 millions d’euros et en 2013 à 205 millions d’euros…. Et pour l’instant, les travaux n’ont pas commencé.


Autre résultat de l’action, la signature le 2 juillet 2012 du protocole d’accord concernant les procédures d’alerte réciproques, entre ADP et la Veolia Eau qui exploite l’usine d’Annet sur Marne. Un projet de protocole avait été annexé dès juin 2007 dans le dossier pour obtenir la dérogation préfectorale en 2008, mais jamais mis en œuvre !


On s’étonne cependant du principe même du recours à un protocole d’accord, dont la préfète de Seine-et-Marne explique qu’il s’agit d’un pur contrat de droit privé, situé en dehors de son contrôle, alors qu’il s’agit d’une forme de délégation de la police de l’eau.

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- Une des stations de pompage en Marne de l’usine d’Annet-sur-Marne -


Un tapis rouge déroulé par les pouvoirs publics à ADP et Veolia 


En février 2013, un nouvel arrêté préfectoral autorise ADP à augmenter encore le flux de ses vidanges dans les affluents de la Marne. Et en mars 2013, un contrôle inopiné, réalisé par la société Egis Eau - conséquence d’un engagement de la préfète en réponse à la Coordination - révèle des concentrations d’éthylène glycol dans la Beuvronne près de dix fois supérieures à la mesure de 2009, à l’origine de l’alerte. Du coup, les associations demandent aussi l’annulation de l’arrêté de 2013.


A noter aussi dans le paysage local, la plus importante décharge de déchets ultimes de France qui est installée en amont du même captage (décharge Rep Veolia de Claye-Souilly) : bizarrement, certains contrôles de rejets polluants de cette décharge ne sont pas prévus par l’arrêté préfectoral qui autorise ce site !


Et une autre association, l’ADENCA, révèle qu’à de nombreuses reprises, tout au long de l’année 2013, une eau non conforme a été distribuée au robinet des habitants du nord-ouest de la Seine-et-Marne. Peut-on vraiment produire de l’eau potable à partir d’une eau brute aussi dégradée ? Veolia répond oui, sur la base de ses compétences technologiques, mais les analyses de l’eau produite montrent que non.

Le 7 mai, les recours des associations ont été examinés par le tribunal administratif de Melun. Le jugement est attendu dans les prochains jours. En cause, le tapis rouge déroulé jusqu’à présent par les pouvoirs publics devant les énormes machines économiques que sont ADP et Veolia, qui met en danger les écosystèmes d’un des principaux fleuves français et la santé des habitants. Le principe de précaution, l’intérêt général défendu par les associations, peuvent-ils l’emporter ?

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La stérilité pour tous et toutes ! Alexis Escudero

21 Mai 2014, 18:35pm

Publié par Ciel Voilé

La stérilité pour tous et toutes !


http://www.piecesetmaindoeuvre.com/spip.php?page=resume&id_article=495


mardi 20 mai 2014 par Alexis Escudero


Nous entamons avec cette livraison une série sur La reproduction artificielle de l’humain (alias PMA-GPA) à l’ère technologique. Celle-ci n’est pas le dernier cri de l’émancipation ni de l’égalité, mais l’ultime reddition à l’appropriation du vivant et à l’aliénation technologique. Le capitalisme, dans son expansion perpétuelle, s’empare de tout ce qui était libre, gratuit, commun, des biens matériels comme des savoir-faire, les détruit et nous les revend sous forme marchande, synthétique et altérée. Cette forme technologique, à la fois complexe, coûteuse et souvent dangereuse, garantit la pérennité de la dépossession : il n’y aura pas de retour en arrière (à supposer que les communautés et les individus puissent recouvrer la propriété de tout ce qu’on leur a volé).

Il était fatal qu’après s’être emparé de la sphère de la production (l’eau, la terre, les matières premières, le travail humain, etc), le techno-capitalisme s’attaque à la reproduction. Il faut pour cela que soit détruite cette faculté scandaleuse dont jouissaient les humains de se reproduire par leurs propres moyens – et même, quelquefois avec plaisir. Cette première livraison (outre l’avant-propos) est donc consacrée à la destruction des capacités de reproduction humaine par l’industrie chimique, et aux progrès foudroyants de la stérilité.

L’auteur, Alexis Escudero, participe depuis plusieurs années au mouvement de critique des technologies. Peut-être est-il de la dernière génération d’enfants nés, et non pas produits.

 

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Manger moins de viande pour réduire le réchauffement climatique ?

16 Mai 2014, 08:26am

Publié par Ciel Voilé

 

 


 

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