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Ciel Voilé

geo-ingenierie

Le ciel avant 1999 et le ciel maintenant

14 Octobre 2013, 17:38pm

Publié par Ciel Voilé


Clifford E Carnicom – Le 28 Juin 2013

Ce qui suit est une comparaison entre, à gauche des photos prises avant 1999 ( aux USA) et à droite des photos de paysages et de ciel publiées sur internet après cette même date. Que le lecteur juge par lui-même, du point de vue de l'environnement et de la santé, des changements importants qui ont eu lieu.

 

S'il vous plaît, montrez ces photos à vos enfants pour qu’ils comprennent ce qui leur a été volé.

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Le ciel selon le dernier film de Walt Disney

9 Octobre 2013, 21:06pm

Publié par Ciel Voilé

Naturel ou artificiel ?

 

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GIEC et géo-ingénierie selon "la voix de la Russie"

9 Octobre 2013, 20:58pm

Publié par Ciel Voilé

Géo-ingénierie, ou quand le ciel vous tombera sur la tête


http://french.ruvr.ru/2013_10_09/Geo-ingenierie-ou-quand-le-ciel-vous-tombera-sur-la-tete-9946/ 

 

Par La Voix de la Russie | Olivier Berlanda, le 9 octobre 2013


Le dernier rapport du GIEC du 27 septembre 2013 nous informe une fois de plus du bouleversement climatique en cours sur la planète dû, selon ce groupe d'experts, aux activités polluantes humaines. Le réchauffement du climat décrit comme potentiellement cataclysmique et quasi-inéluctable pourrait cependant être contrecarré par un plan B : la géo-ingénierie, ou l'art de manipuler le climat artificiellement et chimiquement. Géo-ingénierie : messie climatique ou plan démoniaque ?


Le réchauffement climatique se révèle comme un dogme religieux. On y croit, on n'y croit pas ou on doute. L'agnosticisme climatique étant sans doute une forme intelligente pour ne pas prendre les prévisions des experts du GIEC pour paroles d'évangiles. Ceux-ci s'étant trompés sur la dynamique du réchauffement. Même les plus ardents défenseurs de la cause « anthropique » (changement climatique provenant de l'activité humaine) ne s'aventurent pas quant à l'impact du réchauffement sur les populations humaines et leurs facultés d'adaptation.


Une nouveauté dont personne ne parle au grand public est l'ajout d'un volet sur la géo-ingénierie conçu comme une sorte de plan B si les sombres prévisions des scientifiques du GIEC (d'ailleurs contestées par ceux qu'on appelle les « climato-sceptiques ») venaient à se réaliser. 


Qu'est ce que la géo-ingénierie ?


Autrefois reléguée à des délires de pseudo-scientifiques ou des incontournables conspirationistes, la géo-ingénierie est l'étude et la mise en place de techniques permettant de contrer par des moyens physiques ou chimiques les effets d'un réchauffement climatique.


Il existe deux grands types de techniques :

1) Les C.D.R. (carbone dioxide removal), il s'agit essentiellement de pouvoir absorber le dioxyde de carbone responsable de l'effet de serre.

2) Les S.R.M (solar radiation management), soit renvoyer une partie du rayonnement solaire, ce qui aboutirait donc à un moindre ensoleillement, donc à une baisse des températures.

 

Du sulfate de fer dans l'océan aux arbres Monsanto 

Comment absorber le carbone ? La fertilisation des océans par des tonnes d'urée et de sulfate de fer déversées dans les mers devrait augmenter le phytoplancton qui capte le dioxyde de carbone. Or les expériences dans ce domaine se sont avérées catastrophiques. L'utilisation de sulfate de fer provoqua un désastre écologique et ce projet fut abandonné.


L'actuel programme consiste désormais à faire pousser des arbres et des plantes génétiquement modifiés en vue de capter plus de carbone que la flore naturelle. Une des solutions prônées serait en quelque sorte de créer des forêts Monsanto. Des super-capteurs de carbone en quelque sorte. Vu le pedigree de cette firme, on imagine facilement la transformation totale de l'écosystème, de la tomate au sapin. Des OGM pour lutter contre le réchauffement climatique ; avouons que l'imagination de nos scientifiques est sans limite.

 

Chemtrail : de la légende urbaine...


Les chemtrails (traînées chimiques) sont issues d'une théorie et d'observations de citoyens à travers le monde qui remarquèrent l'étrange comportement des traînées de condensation (contrails) laissées par les avions. Les chemtrails restent très longtemps (des heures) après le passage des avions et les traînées forment lentement de véritables lignes nuageuses couvrant le ciel. Contrairement aux vapeurs classiques, les chemtrails seraient composées de particules d'aluminium, de baryum et de polymères microscopiques voire d'autres éléments encore plus néfastes.


Ils peuvent être largués par des avions militaires comme les épandages par l'US Army de défoliants (dits « agent orange ») sur le Vietnam. Mais certains n'hésitent pas à affirmer que ces particules chimiques sont pulvérisées à partir d'avions de lignes simplement par l'adjonction de produits dans le kérosène.

Dès lors, vu le nombre d'avions de lignes, l'épandage chimique par chemtrails peut recouvrir des zones géographiques très larges et passer inaperçu aux yeux du citoyen lambda.


Par contre, les dommages pour la santé seraient (si cette thèse était prouvée) désastreux. L'aluminium ingéré même sous forme microscopique provoque entre autres des maladies mentales et une dégénérescence nerveuse. Les conséquences sur la santé humaine, sur la flore et la faune sont si nocives et si nombreuses qu'il serait difficile d'imaginer les raisons pour lesquelles des gouvernements s'amuseraient à injecter des produits toxiques dans le kérosène des avions pour épandre des fibres d'aluminium sur leur propre territoire et intoxiquer ainsi la population. Les chemtrails : encore une théorie conspirationiste née sur le net parmi d'autres ?

 

Chemtrails : ...à la réalité scientifique.


Le projet « Chemtrail » existe pourtant bel et bien et reste la plus probable solution actuelle selon certains scientifiques. Epandre le plus possible de particules chimiques en altitude permet effectivement de lutter contre le réchauffement climatique. L'aluminium ainsi dispersé dans l'atmosphère va réfléchir les rayons du soleil et donc refroidir la planète.


En février 1998, le Parlement européen a tenu une série d'auditions sur les effets néfastes de cette géo-ingénierie. Les plaintes et les interrogations de centaines d'associations dans le monde s'érigeant contre des épandages chimiques prenant parfois la forme de filaments blanchâtres retombant sur les habitants furent donc prises en considération.


Il est également remarquable que pour une soi-disant théorie issue de cerveaux farfelus, la question des chemtrails se retrouve tant au Parlement européen que dans un rapport du GIEC !

Le Parlement interrogea le gouvernement américain sur l'utilisation d'épandages sur le territoire européen mais Washington n'apporta aucune réponse. No comment.


Ensuite, on parla d'expériences limitées, de projets militaires et d'expérimentations scientifiques ... Bref, pas de quoi en informer le vulgus populi, qui de toute façon ne comprend jamais rien selon nos élites.

 

Le billard américain à trois bandes.


Les chemtrails sont issus d'expériences militaires américaines consistant à poursuivre des recherches de contrôle du climat à des fins militaires. Les chemtrails sont souvent associés d'ailleurs à l'utilisation de HAARP, du nom de cette curieuse installation jouant sur l'ionosphère qui fait l'objet de très nombreuses interrogations.


Un rapport très détaillé de l'US air Force datant de 1996 (Weather as a Force Multiplier: Owning the Weather in 2025) démontre que les Etats-Unis travaillent depuis des décennies en vue de manipuler et maîtriser le climat, y compris pour des « opérations internationales» (sic).


En 1997, Edward Teller préconise « la mise en place d'un bouclier pour renvoyer les rayons solaires» Or, M. Teller n'est pas un climatologue mais un des « pères » de la bombe H et un défenseur du projet de « guerre des étoiles » du Président Reagan encore plus d'actualité sous la législature Obama.


Enfin en septembre 2002, c'est Colin Powell qui admet lors d'un sommet des Nations Unies sur le développement durable que « nous (les USA) sommes engagés dans un programme de plusieurs milliards de dollars pour développer et déployer des technologies de pointe pour atténuer l'effet des gaz à effet de serre».


Des technologies de pointe, des milliards de dollars ?


Alors, partant du principe qu'un réchauffement climatique serait apocalyptique à terme, des scientifiques se mettent naturellement à chercher des solutions, des plans « B ». Jusque là, rien d'étonnant.

Dans un second temps, la solution technique préconisée et déjà expérimentée coïncide exactement avec des projets militaires de domination climatique menés par les américains depuis au moins 20 ans.

Sans s'avancer trop dans les spéculations, nous nous contenterons d'admirer le triptyque : Réchauffement climatique- solution scientifique- usage militaire. Coïncidence? Hasard ? Récupération par les militaires d'une réalité climatique ? Gigantesque manipulation de l'opinion publique ?  Chacun aura sa vérité.

Par contre, la géo-ingénierie en tant que solution à un changement climatique est sur la table. Des arbres Monsanto à l'épandage chimique en passant par le déversement de sulfate de fer dans les océans, rien ne nous sera épargné si la météo venait à perdre le Nord. Sale temps sur la planète.

 

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Manipuler le climat,manipuler la vie - raisons et déraisons des nouvelles technologies

11 Septembre 2013, 20:36pm

Publié par Ciel Voilé

Par Sciences Citoyennes

 

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http://sciencescitoyennes.org/manipuler-le-climat-manipuler-la-vie-raisons-et-deraisons-des-nouvelles-technologies/


 

Conférence-débat co-organisée par la Fondation Sciences Citoyennes, ATTAC, Basta et ETC Group


Lundi 14 octobre à 19h00

à l’auditorium de la Cité des Sciences et de l’Industrie à Paris

Entrée libre et gratuite

Accès : arrêt Porte de la Villette (ligne 7 ; bus 139, 150 ou 152)


Le sujet


Des nouvelles disciplines scientifiques et techniques comme la biologie de synthèse et la géo-ingénierie, largement financées par des multinationales privées mais aussi, et de plus en plus, par les États, ont beaucoup en commun. Mêmes promesses de technologies miracles arrivant à point nommé pour réparer les dégâts du progrès. Même fuite en avant technologique alors que les risques associés sont mal compris par les scientifiques eux-mêmes et que les mécanismes de réglementation et de surveillance existants sont totalement inadaptés. Même idéologie du rapport à la nature qui est pourtant à la racine de la crise écologique actuelle. Même concentration sans précédent des intérêts économiques.
En quoi consistent précisément ces disciplines techno-scientifiques émergentes ? Quels sont les modèles de développement qu’elles véhiculent ? Les modèles économiques qui les sous-tendent ? De façon plus générale, quels sont leurs impacts sur l’environnement et sur nos vies ?

Les intervenants


Clive Hamilton est un essayiste politique et philosophe australien, spécialiste des questions environnementales. Il a publié plus d’une douzaine d’ouvrages dont Requiem pour une espèce (Presses de Sciences Po, 2013) et Les apprentis sorciers du climat (Le Seuil, 2013). Il est membre de la Royal Society of the Arts et siège à la Climate Change Authority auprès du gouvernement australien.


Pat Mooney est le cofondateur et directeur de l’ONG canadienne ETC Group, qui s’intéresse aux enjeux socio-économiques et écologiques mondiaux des nouvelles technologies. Nanotechnologies, biologie de synthèse, géo-ingénierie font partie des questions sur lesquelles ETC se penche, produit des rapports de grande qualité, et s’engage notamment au niveau international (Nations Unies ; réseaux d’organisations de la société civile).


Geneviève Azam est maître de conférences en économie et chercheuse à l’Université Toulouse II. Elle est par ailleurs militante écologiste et altermondialiste au sein de l’organisation Attac-France. Elle participe régulièrement à la chronique « à contre-courant » de l’hebdomadaire Politis. Elle a récemment co-publié le livre La nature n’a pas de prix – les méprises de l’économie verte (Attac, éditions les liens qui libèrent, 2012). Source : Wikipedia


Catherine Bourgain est généticienne et chargée de recherche au Centre de recherche, médecine, sciences, santé, santé mentale, société (CERMES3) à l’INSERM où elle travaille sur le repositionnement des questions scientifiques, médicales, éthiques et économiques induit par les technologies de la génomique haut débit. Elle est également présidente de l’association pour une Fondation Sciences Citoyennes, et  a cosigné un livre aux éditions du Seuil en 2013 : ADN superstar ou superflic.


Animation : par BASTA

Pat Mooney et Clive Hamilton interviendront en anglais. Une traduction est prévue.

Les interventions seront suivies par une discussion avec la salle.

Pour en savoir plus…


- sur le geo-engineering : 

http://www.bastamag.net/spip.php?page=recherche&recherche=g%C3%A9o-ing%C3%A9nierie&x=0&y=0

http://www.etcgroup.org/fr/issues/climate-geoengineering
http://www.nytimes.com/2013/05/27/opinion/geoengineering-our-last-hope-or-a-false-promise.html?pagewanted=1&_r=1&ref=opinion&

http://www.seuil.com/page-collection-anthropocene.htm

- sur la biologie de synthèse : 

 http://www.etcgroup.org/fr/issues/synthetic-biology

http://sciencescitoyennes.org/biologie-synthetique-questions-autour-de-nouvelles-promesses/

http://www.seuil.com/livre-9782021040944.htm

- sur les NBIC (nano, bio, info, cogno) ou BANG (bits, atoms, neurons, genes) : 

http://www.bede-asso.org/lang/fr/nos_actions/veille_coalition/democratisation_gouvernance/bang.php

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La géo-ingénierie détruit la couche d'ozone

7 Août 2013, 12:41pm

Publié par Ciel Voilé

Les niveaux d'UV dépassant la norme officielle ne sont pas divulgués.

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Publié par Rusty le 30 juillet 2013 - Dane Wigington: L'urgence UV - Conférence téléphonique

http://www.geoengineeringwatch.org/geoengineering-is-destroying-the-ozone-layer/

Alors, comment cela pourrait-il être pire ?  Juste au moment où les mauvaises nouvelles entourant la géo- ingénierie climatique s’accumulent, il se pourrait que la situation soit bien pire encore.

Nous savons depuis un certain temps que les niveaux d'UV s'élèvent rapidement en raison des épandages aériens en cours. Toute personne un tant soit peu éveillée et consciente a remarqué que le soleil parait incroyablement intense sur la peau. La plupart des variétés de végétaux montrent au moins quelques signes de stress dans la plupart des régions. Dans de nombreuses régions, des forêts entières  déclinent fortement. Et cela s'aggrave de jour en jour.

Bien qu'une extrême sécheresse et des pluies toxiques (dues en grande partie aux retombées de métaux lourds de la géo-ingénierie) fassent des ravages, les mesures récentes de niveaux d'UV en Californie du Nord indiquent qu'il y a un élément de ce déclin bien pire que ce que nous pensions, un niveau incompréhensiblement élevé de rayonnement UV.

Avec l'aide d'une personne très généreuse et consciencieuse, geoengineeringwatch.org a acheté le meilleur équipement de mesures d'UV en ligne et l'a confié à un professionnel de 40 ans d'expérience en mesures environnementales, dont 20 ans dans le domaine public et 20 ans comme consultant privé. Nos résultats sont bien plus que choquants.

Selon une étude scientifique récente sur l'excès d'UV:

On nous dit que les UV-B ne seraient qu'une composante mineure du rayonnement solaire total, nous savons maintenant que rien n'est plus éloigné de la vérité. Nos récentes mesures reflètent une augmentation exponentielle des rayons UV-B. En raison de leur grande énergie, ils peuvent causer de graves dommages biologiques aux plantes, aux animaux et aux humains et la moindre augmentation pourrait entraîner des dommages biologiques importants. Il existe de nombreuses études examinées par des pairs qui le confirment.

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Les résultats

Selon les institutions internationales comme l'OMS (Organisation Mondiale de la Santé) et une longue liste d'autres sources gouvernementales reconnues de l'information, comme la NOAA (National Oceanic and Atmospheric Administration), pas plus de 5% du total des UV atteignant la surface de la Terre  ne devraient être des UV-B. Le reste,  les 95%, devraient être des UV-A. Ces institutions poursuivent en déclarant que le pourcentage d' UV-C devrait être égal à zéro.

Que révèlent nos tests?

Les UV-B - la forme la plus mortelle de radiation UV - représente près de 70% du total des UV atteignant la surface de notre planète. Du moins est-ce le cas en Californie du Nord. (Cela peut signifier que l'exposition totale aux UV a également augmenté considérablement, rendant les niveaux d'UV-B ensemble pire encore.)

En outre, nos tests montrent de façon constante des niveaux significatifs d'UV-C normalement filtrés par la couche d'ozone, à environ 30 kilomètres d’altitude. Pas plus. On détermine les types d’UV en fonction de la largeur de leur bande spectrale. Plus leur bande est large, plus les UV sont bénins; plus leur bande est étroite, plus  les UV sont nocifs.

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Les tests actuels révèlent que près de 70% des UV entrant sont actuellement des UV-B ou des UV-C. (Pas 5%, comme les milieux officiels et leurs médias aux ordres, veulent nous le faire croire).
Cela se traduit par une augmentation de près de 1400% en UV-B dans le pourcentage total d’UV. Si les UV-A ont également augmenté en raison de la même destruction de l'ozone qui a fait grimper les UV-B, cela indiquerait une probabilité que les UV-B et les UV-C soient encore plus élevés - et pas seulement une différence de rapport avec le même nombre global.

Quels sont les effets négatifs connus d'une exposition excessive aux UV sur la vie de la plante?

 La preuve sur le terrain.

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 Dans les forêts du nord de la Californie, l'écorce des arbres est littéralement desséchée. Dans de nombreux échantillons, seule une mince bande d'écorce demeure sur la face à l’ombre de l'arbre. Le feuillage de nombreux arbres est desséché, beaucoup d’arbres n’ont qu’une fraction de leur feuillage habituel. De nombreuses espèces autochtones de plantes ne poussent même plus. Les organismes qui parviennent encore à se développer semblent « miniaturisés » dans certains cas.

Quelles sont les conséquences pour les plantes d’une exposition excessive aux UV ?

• Arrêt possible de la germination des graines
• Croissance par à-coups
• Branches mortes
• Feuillage réduit
• ADN endommagé
• Modification de la distribution des nutriments
• Mutations
• Photosynthèse perturbée
• Mortalité en forte hausse

Certains effets connus de l'exposition excessive aux UV pour la vie aquatique :

Toute la vie aquatique est particulièrement vulnérable aux niveaux d'UV élevés.
Le phytoplancton contribue pour environ 30% à  l'apport mondial en  protéines animales. Le phytoplancton et les micro-organismes qu'il consomme sont tués par des niveaux d'UV excessifs. (Les populations mondiales de plancton ont déjà réduit de 40% à 50%. Une grande partie de ce déclin est probablement imputable à l’augmentation des UV).

Moins de plancton = moins d'absorption de dioxyde de carbone.

Moins de plancton = moins de production d'oxygène. (La teneur en oxygène de l'air autour du globe est en déclin rapide)

Moins de plancton = moins de poissons. Cycle.

Le pire : La chute des populations de plancton affecte l'ensemble de la chaîne alimentaire et de toute la vie sur terre.

L’excès d’UV tue les récifs coralliens. Alors les eaux se réchauffent et deviennent acides du fait des retombées de CO2. (Les récifs sont les pépinières de nombreuses espèces aquatiques essentielles et sont en forte baisse dans le monde entier.)

Certains des effets connus d'un excès UV sur les êtres humains:

• Système immunitaire endommagé
• ADN endommagé
• Vue endommagée
• Diverses formes de cancer

 Les aérosols en géo-ingénierie détruisent la couche d'ozone

Ce n'est pas de la spéculation, c'est un fait. Une montagne de données scientifiques confirme  la destruction de la couche d’ozone par les particules ou aérosols qui reflètent la lumière solaire dans la haute atmosphère. Le géo-ingénieur, modélisateur du climat, Ken Caldeira a mis en garde après avoir chiffré l’écrantage d’aérosols du Dr Edward Teller : le refroidissement rapide de la stratosphère qui en résulterait, provoquerait la formation d'énormes nuages ​​de glace qui attireraient et concentreraient les substances chimiques qui détruisent la couche d'ozone.

En outre, les émissions élevées d'oxyde d'azote produites par les flottes d'avions épandeurs d’aérosols - et plus de 93.000 vols quotidiens de compagnies aériennes (aux Etats-Unis) - attaquent directement la couche d'ozone qui protège la Terre.

Bien que beaucoup de ces « études scientifiques » n'admettent pas que la géo-ingénierie soit déjà en cours, ce fait n'est pas difficile à confirmer pour qui commence à chercher. De nombreuses références figurent après cet article.

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À la croisée des chemins

La gravité de notre crise collective ne peut pas être surestimée. Les mesures actuelles d’UV indiquent clairement que nous sommes maintenant exposés à des niveaux dangereusement élevés d’UV, spécialement les UV-B et les UV-C.

Les mesures effectuées en Californie du Nord, sur lesquelles se base la présente déclaration, ont été réalisées avec deux appareils de mesure flambants neufs, - certifiés de qualité, garantis pour être scientifiquement calibrés, avec une marge d’erreur de moins de 4%. Comme indiqué précédemment dans cet article, le professionnel qui a fait ces mesures a  40 ans d’expérience professionnelle dans le domaine des mesures de l'environnement et de leur interprétation.

Ici, en Californie du Nord, nous constatons déjà des dommages inquiétants sur les feuillages, les arbres et les plantes. Les conséquences de très hauts niveaux d'UV pour toutes les formes de vie - nous y compris - sont graves. La mortalité massive des espèces continue, la nôtre aussi. Nous vivons la sixième grande extinction de masse - ici et maintenant ! (Références ci-dessous)

Si la géo-ingénierie se poursuit sans relâche, et que la couche d'ozone soit complètement détruite, le jeu sera terminé pour nous tous. Aucune couche d'ozone = pas de vie sur Terre.

C'est aussi simple que cela :

• La géo-ingénierie mondiale déchire tout le tissu de la vie sur notre planète.
• La géo-ingénierie empoisonne notre air, les eaux et les sols.
• La géo-ingénierie accroit les phénomènes atmosphériques de plus en plus erratiques qui résultent du changement climatique d'origine anthropique. Le seuil du chaos est dépassé ce qui provoque des événements en cascade imprévisibles.
• La géo-ingénierie a pour but de perturber par des épandages chimiques aériens toutes les conditions météorologiques naturelles, qui à leur tour alimentent des boucles de rétroaction climatiques catastrophiques - la plus terrible d'entre elles étant la libération massive d'hydrates de méthane de la toundra arctique et des fonds marins.
• La géo-ingénierie est en train de détruire la stratosphère, protection contre les rayonnements solaires, qui protège la vie sur Terre.

Alarmisme?

Faites votre propre enquête honnêtement. La prise de conscience globale de ces programmes mortels augmente rapidement, mais pas assez vite. Il nous appartient, à tous, d'aider à faire la lumière sur cette question de vie ou de mort. Chaque jour compte.

Cliquer sur le graphique pour agrandir l'image

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RÉFÉRENCES


Harvard Magazine :

L'article de Science constate que la perte de glace dans l'Arctique menace de libérer d'importantes quantités de dioxyde de carbone et de méthane des sols de Sibérie et du Nord de l'Alaska, ce qui pourrait accélérer le changement climatique. Les chercheurs notent également qu'une « solution » de plus en plus citée pour le changement climatique est la géo-ingénierie du climat. Lancer des particules de sulfate directement dans l'atmosphère pour renvoyer la lumière du soleil loin de la Terre accélérerait le processus de destruction de l'ozone en augmentant la surface réactive pour la transformation du chlore en radicaux libres, comme cela a été observé après l'éruption du Mont Pinatubo en 1991.

EPA :

UV-B: une bande de rayonnement ultraviolet produite par le soleil, aux longueurs d'onde comprises entre 280 à 320 nanomètres. Les UV-B sont une sorte de lumière ultraviolette du soleil (et des lampes solaires) qui ont plusieurs effets néfastes. Ils sont particulièrement efficaces pour endommager l'ADN. Ils provoquent des mélanomes et d'autres types de cancer de la peau. Ils causent également des lésions sur certains matériaux, sur  les cultures et les organismes marins. La couche d'ozone protège la Terre contre la plupart des UV-B provenant du soleil. Il est toujours important de se protéger contre les rayons UV-B, même en l'absence d'appauvrissement de l'ozone, en portant chapeau, lunettes de soleil et crème solaire. Toutefois, ces précautions seront plus importantes si la couche d’ozone continue à disparaître. La NASA fournit plus d'informations sur son site web.


UV-C: une bande de rayonnement ultraviolet aux longueurs d'onde plus courtes que 280 nanomètres. Les UV-C sont extrêmement dangereux, mais ils sont complètement absorbés  par l'ozone et l'oxygène normal (O2). La NASA fournit plus d'informations sur son site web.

La géo-ingénierie pourrait détruire LA COUCHE D'OZONE

Une conférence sur la  géo-ingénierie a eu lieu à Canberra cette semaine voir ici. «La géo-ingénierie» c’est prendre des mesures radicales pour refroidir rapidement et de façon spectaculaire la planète. Une des idées discutées à la conférence serait d’envoyer des particules de sulfamides dans l'atmosphère. Un professeur s'est exprimé à ce sujet : le professeur David Karoly, de l'Université des sciences de la Terre de Melbourne dit une  autre « tarte à la crème dans le ciel", solution qui consisterait à pulvériser des particules de soufre dans l'atmosphère pour protéger la Terre du Soleil. Il dit que cela détruirait la couche d'ozone. «  L’appauvrissement de l'ozone causerait plus de rayonnement UV qui causerait des cancers de la peau - et tuerait des gens », a-t-il déclaré.

 

http://globalskywatch.com/live/archive/2013-07-29, Dane-Wigington, UV-Emergency.html # UfgD_G2KI4k. 

Source: ABC Rural | 27/Sep/2011

 http://ep.yimg.com/ty/cdn/realityzone/UFNscientistOpposesGeoengineering.html#sthash.neDLCzuY.dpuf

La géo-ingénierie détruit la couche d’ozone :

http://www.geoengineeringwatch.org/geoengineering-programs-continue-to-destroy-ozone-layer/

http://www.prisonplanet.com/geoengineering-chemtrails-shredding-ozone-layer-daily-putting-all-life-on-earth-at-risk.html

http://www.thomhartmann.com/forum/2012/07/professor-geo-engineering-climate-change-solution-would-destroy-ozone-layer-and-kill-p

La sixième extinction de masse, c’est maintenant :

http://www.mysterium.com/extinction.html

http://www.actionbioscience.org/newfrontiers/eldredge2.html

Plus de couche d’ozone, plus de vie sur terre :

http://www.theozonehole.com/atmosphere.htm

OGM résistants aux UV :

http://www.academia.edu/171138/Countering_UV-B_stress_in_plants_Does_selenium_have_a_role

Global aerosol depth loop (off course this source does not mention the main source of atmospheric aerosols, global geoengineering)

Mondial boucle de profondeur d'aérosol (hors cours de cette source ne mentionne pas la source principale des aérosols atmosphériques, la géo-ingénierie mondiale)

http://earthobservatory.nasa.gov/GlobalMaps/view.php?d1=MODAL2_M_AER_OD

Etude scientifique récente sur l’excès d’UV :

Bien que les UV-B ne soient qu’une composante mineure du rayonnement solaire total, en raison de leur grande énergie, ils peuvent provoquer des dommages biologiques exception-nellement graves et la moindre augmentation pourrait entraîner des dommages biologiques importants.

Effets d’un excès d’UV sur le phytoplancton :

http://www.photobiology.info/Hader.html

Santé humaine et conséquences écologiques de la destruction de la couche d’ozone :

http://eesc.columbia.edu/courses/v1003/lectures/ozone_health/

Excès d’UV sur les écosystèmes :

http://www.grida.no/publications/vg/ozone/page/1389.aspx

Effets d’UV en excès sur la croissance des plantes :

http://www.agriculturejournals.cz/publicFiles/52840.pdf

Effets d’UV en excès sur la croissance des plantes :

http://www.ehow.com/how-does_5525557_effects-radiation-plant-growth-development.html

Croissance des plantes et excès d’UV :

http://zebu.uoregon.edu/text/UV

Croissance des plantes et excès d’UV :

http://www.google.com/#q=excessive+uv+affects+plant+respiration&spell=1&sa=X&ei=GkXtUcLdCYrgyQGRnoHgDQ&ved=0CCgQBSgA&bav=on.2,or.r_qf.&bvm=bv.49478099%2Cd.aWM%2Cpv.xjs.s.en_US.c75bKy5EQ0A.O&fp=fc20d2414f75fc3c&biw=1442&bih=874

Le plancton produit 50% de l’oxygène terrestre :

http://news.nationalgeographic.com/news/2004/06/0607_040607_phytoplankton.html

Diminution de 40% des populations de plancton :

http://www.scientificamerican.com/article.cfm?id=phytoplankton-population

Source :

http://www.geoengineeringwatch.org/geoengineering-is-destroying-the-ozone-layer/

VN:F [1.9.22_1171]

please wait...

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L'ACSEIPICA répond au journal "L'âge de faire" N°77

26 Juillet 2013, 06:48am

Publié par Ciel Voilé

 

Réponse de Claire Henrion, présidente de l’ACSEIPICA à la réponse de Fabien Ginisty à Ciel voilé ( N° 77 de l’Âge de Faire) à propos de l’article sur la géo-ingéniérie ("Quand les avions provoquent les nuages" N° 76)

 

                                                                                              Le 16 juillet 2013

Bonjour,

 

Votre article sur la géoingéniérie suscite beaucoup d’émoi chez les militants qui dénoncent les

épandages aériens clandestins de produits toxiques, communément appelés « chemtrails » et les manipulations climatiques en général.

 

Chercheur indépendant en astronomie et climat depuis 1995, j’ai fondé en 2008 l’Association

Citoyenne pour le Suivi, l’Etude et l’Information sur les Programmes d’Interventions Climatiques et Atmosphériques (ACSEIPICA).

 

Je me permets de revenir sur votre affirmation « le GIEC, un groupe de scientifiques de toute la planète qui a contraint les responsables politiques à reconnaître la réalité du réchauffement climatique. » Chers « écologistes pratiques », êtes-vous naïfs au point de croire que le CO2 émis par nos activités purement civiles (car on ne nous parle jamais des militaires …) puisse être la cause de la fonte de la calotte polaire et du dit réchauffement climatique qui nous fait grelotter tandis qu’on se baigne en Alaska ? Savez-vous qu’il représente moins de 0,05% des gaz composant notre atmosphère ? Et que même si son pouvoir d’effet de serre est fort, la vapeur d’eau est beaucoup plus forte que lui pour l’effet de serre global ?

 

Le GIEC a été créé à l’initiative de l’ONU pour cautionner la thèse d’un réchauffement climatique dû à nos émissions de gaz à effet de serre, en particulier le CO2. Il faut savoir que depuis 1993 fonctionnent des installations HAARP et consorts (SURA, EISCAT…), de plus en plus nombreuses qui font fondre la calotte polaire arctique par un effet de four à micro-ondes en jouant avec la ionosphère. Ceci, pour HAARP étant sous contrôle exclusivement militaire.

 

On arrive aujourd’hui en 2013 à l’un des résultats escomptés : l’ouverture d’un passage arctique maritime, ce qui semblait réjouir tout le monde jusqu’aux années 70, après quoi on s’est alarmé de ce que la banquise fonde… La calotte polaire antarctique, elle, ne fond pas sauf en un endroit depuis 1999 : autour de la base américaine où se trouve également un relais HAARP … (Ceci est le résultat d’une recherche personnelle, publiée dans le diaporama présenté au Klimaforum de Copenhague en 2009 « Les causes de la crise climatique sont-elles vraiment celles que l’on croit ? ») http://rockastres.org/spip.php?article76.

 

Savez-vous que la première équipe du GIEC, composée de scientifiques de renom, n’avait pas abouti aux conclusions désirées par ses commanditaires (l’ONU) ? Aussi leurs rapports ont été tronqués de telle sorte que le sens originel était renversé. Les auteurs ont demandé à retirer leurs noms ; on le leur a refusé car ils étaient prestigieux ; ils ont dû faire un procès pour parvenir à leurs fins ( Source : une interview d’Aaron Russo que je ne retrouve actuellement plus sur internet.). Les équipes de scientifiques suivantes ont bien su faire ce qu’on leur demandait ; c’est le problème de la spécialisation, qui oublie l’origine et le global.

 

S’appuyant astucieusement sur la mauvaise conscience liée à la pollution émergeant en force ces années-là, il n’a pas été difficile de faire gober à une population pleine de bonnes intentions mais dépourvue de culture scientifique que c’était à cause de son mode de vie, ce qui n’était pas faux mais disproportionné et très pratique pour cacher la cause majeure.

 

J’ai eu l’occasion d’assister à une conférence de la Royal Society en 2010 intitulée « Geoengineering the climate » au cours de laquelle nous avons suivi des exposés sur la manière de convaincre l’opinion publique de la nécessité de la géo-ingénierie ; ceci s’articulant sur la conviction hors de tout soupçon que le CO2 est la cause de ce soit- disant réchauffement (c’est plutôt un dérèglement) et que c’est lui qu’il faut combattre.

 

Il est dramatique que beaucoup de personnes impliquées dans l’écologie ne voient pas ce qui se passe dans le ciel, cette attaque généralisée et systématique, d’épandage à petit feu depuis 11 ans de produits toxiques par des avions militaires qui croisent à des altitudes souvent bien inférieures à celles des couloirs civils, par escadrilles, tartinant le ciel pendant des heures et le défigurant.

 

Tout cela, vous ne le voyez pas ? Vous préférez vous laisser persuader que ce sont des traînées de condensation d’avion normales ? C’est bien sûr de la condensation, mais autour de quels noyaux ? Du baryum, de l’aluminium, divers métaux et composés chimiques, comme le révèlent toutes les analyses d’eaux de pluies faites par des individus – car bien sûr aucun pouvoir public ne s’en est encore occupé. Rassurez-vous, il y a aussi des épandages dans les couloirs civils ; il y en a en fait à tous les étages : en bas avec les épandages agricoles, au milieu avec les militaires et en haut avec les civils et les militaires déguisés en civils. C’est ce à quoi concluent nos observations et nos enquêtes.

 

Comment des personnes sensibles à l’écologie peuvent-elles ne pas avoir le cœur retourné par ces lacérations du ciel comme on en voit quelquefois ? Comment peuvent-elles ne pas avoir remarqué de changement dans le ciel ? Ce sont des questions qui tracassent ceux qui osent identifier par eux même ce que leurs yeux voient et ils en observent les effets sur la nature et la santé des créatures vivantes.

 

Le rapport Case Orange n’est pas anonyme : il a été présenté par le professeur Coen Veermoren de l’Université de Delft aux Pays Bas au symposium du Belfort Group à Gand (Belgique) le 29 mai 2010 ; il en assume la paternité ! Merci de nous faire remarquer que le résumé en français du rapport Case Orange stipule que les auteurs préfèrent rester anonymes jusqu’à nouvel ordre : celui-ci est levé depuis longtemps déjà et nous ne l’avions pas corrigé.

La version intégrale en français est ici http://rockastres.org/IMG/pdf/case_orange_1-99._def_doc.pdf

 

Pour revenir à Olivier Boucher, nous avons voulu nous inscrire l’année dernière à l’Atelier de

Recherche Prospective « Géoingéniérie de l’environnement, quels partenariats et quelles recherches » qu’il proposait pour l’Agence Nationale de la Recherche. Nous avons eu, avec une collègue, un entretien d’une heure avec lui, mais quand nous lui avons dit que notre préoccupation était de tirer au clair une bonne fois pour toutes la composition des traînées suspectes (qui illustrent la page internet de présentation de cet atelier

http://www.agence-nationale-recherche.fr/programmes-de-recherche/ateliers-de-reflexion-prospective/geoingenierie-de-lenvironnement-nbsp-nbspquelles-recherches-et-quels-partenariats/ ), il a rompu le contact.

 

Ainsi donc, notre association citoyenne s’est vue fermer la porte de cet atelier présenté comme ouvert aux associations. Il ne faut pas vouloir tirer certains problèmes au clair ?

A vous d’en juger d’un point de vue citoyen.En espérant vous avoir apporté quelques éclaircissements. Et en souhaitant que vous saurez faire rebondir la question avec des informations plus fournies car le nombre de vos lecteurs conscients du problème ne cesse d’augmenter et d’exiger du sérieux dans la documentation.

 

Si nous pouvons vous être utiles dans ce domaine, voir notre blog

http://acseipica.blogspot.fr/

Un jeune réalisateur suisse, Mathias Hancke, est en train d’achever un film sur les preuves scientifiques de la réalité des épandages aériens clandestins de produits toxiques et la composition chimique de ces traînées : « Overcast ».

 

Pour finir, je vous invite à regarder cette toute récente interview de Vandana Shiva, physicienne indienne, sur la question de la géoingéniérie http://www.youtube.com/watch?v=uZg4NKhXh5M

 

Claire Henrion

 

Le chevalier de lACSEIPICA se base sur son bon sens d’être vivant

Observateur et curieux, il sefforce de faire la part des choses

Respectueux de chacun, il interpelle ses concitoyens

 

Association Citoyenne

pour le Suivi, lEtude et lInformation

sur les Programmes dInterventions

Climatiques et Atmosphériques

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La CIA finance une étude sur la géo-ingénierie menée par le gouvernement

21 Juillet 2013, 22:37pm

Publié par Ciel Voilé


Steve Watson - Infowars.com - Le 19 Juillet 2013

 

http://www.infowars.com/cia-is-funding-government-led-chemtrailing-project/


La CIA finance une étude scientifique pour déterminer si modifier le climat de la planète pour lutter contre le changement climatique est faisable, selon des documents publiés par l’Académie Nationale des Sciences.


Les documents révèlent que le projet se déroulera sur 21 mois pour un coût de 630.000 $, avec un rapport final en 2014. Les scientifiques soutenus par la CIA étudieront comment les conditions météorologiques pourraient être influencées et modifiées, et évalueront les impacts potentiels des essais de géo-ingénierie.


Le site NAS remarque que le financement de l'étude provient de « la communauté du renseignement américain ». William Kearney, un porte-parole du NAS, a déclaré à Mother Jones que l'agence en question est la CIA.


C’est la première fois, selon ces révélations, qu'une agence de renseignement finance publiquement une telle étude.


Un porte-parole de la CIA n'a pas voulu confirmer que l'agence était impliquée, mais a déclaré qu’ « il est naturel que sur un sujet comme le changement climatique l'agence collabore avec les scientifiques pour mieux comprendre le phénomène et ses implications sur la sécurité nationale. »


Il semble que la CIA ait externalisé ses études de géo-ingénierie à la suite de la fermeture apparente de son propre centre de recherche sur le changement climatique et la sécurité nationale en 2012. Le mouvement est venu suite aux critiques de membres républicains du Congrès qui déclaraient que la communauté du renseignement ne devrait pas se consacrer à des recherches sur la modification du climat.


Le site NAS indique que l'étude englobera une « évaluation technique d'un nombre limité de techniques de géo-ingénierie proposées. » Une technique de premier plan qui sera évaluée, selon les documents, est « la gestion du rayonnement solaire », qui consiste à pulvériser des particules d'aérosols dans la stratosphère pour réfléchir la lumière du soleil loin de la planète - en d'autres termes le « chemtrailing ».


L'étude se penchera également sur « l'élimination du dioxyde de carbone (CDR) », qui consiste à aspirer le carbone de l'air par des réactions chimiques ou des nanoéponges poreuses. Bien sûr, le dioxyde de carbone est essentiel à toute vie sur Terre, donc « l’aspirer de l'air » pourrait avoir des conséquences désastreuses.


L'étude est également soutenue par deux autres agences gouvernementales – la NASA et la National Oceanic and Atmospheric Administration.


Evoquant le projet, le New Scientist souligne que la participation de la CIA à la modification du climat ne doit pas nous inquiéter.


« En fait, l'intérêt principal de la CIA dans la géo-ingénierie ne réside pas dans son utilisation offensive. Au contraire, la communauté du renseignement américain considère le changement climatique comme une menace potentielle pour la stabilité géopolitique mondiale, et donc veut une analyse approfondie des options d'atténuation » indique le rapport.


Les critiques fusent face à une déclaration si naïve, compte tenu de l'histoire de la CIA qui a secrètement  déstabiliser et renverser des gouvernements étrangers qu'elle n'approuve pas, et fait tout autre chose que d'assurer la stabilité géopolitique.


Les armes climatiques existent depuis des décennies, la recherche sur les techniques offensives remonte aux années 1950. En 1997, le secrétaire américain à la Défense, William Cohen, a reconnu que les techniques de modification du climat étaient activement utilisées par les gouvernements depuis plus de 15 ans. L'armée américaine a utilisé des techniques de modification climatiques depuis la guerre du Vietnam.


Il suffit de lever les yeux au ciel pour avoir la confirmation que nos gouvernements, à la demande de groupes de réflexion, de groupes de « recherche » et d’organismes environnementaux radicaux, se sont déjà engagés dans ce type de programmes. Notre ciel est criblé de nuages ​​artificiels, qui sont manifestement autre chose que les traînées standard de condensation des avions.


En effet, comme nous l'avons signalé l'année dernière, une expérience de projet de l'Université d’Harvard, financée par le fondateur de Microsoft, Bill Gates, a pulvérisé des milliers de tonnes de particules de soufre sur le Nouveau-Mexique, dans le cadre d'une étude de géo-ingénierie, en dépit du fait que même des écologistes fervents ont averti que le processus pourrait avoir des effets catastrophiques sur l'écosystème de la Terre.


Ce n'est qu'un exemple d'une pratique qui est maintenant mise en œuvre depuis des années, sinon des décennies.


Des groupes tels que l'Association américaine pour l'avancement des sciences (AAAS) se réunissent régulièrement pour discuter des programmes de géo-ingénierie en cours, notamment la pulvérisation d'aérosols dans l'atmosphère.


Les niveaux d'aluminium, baryum et strontium dans l'air, l'eau et le sol ont augmenté de façon exponentielle, menant beaucoup à conclure que ce sont les suites de programmes de géo-ingénierie radicaux qui sont déjà en cours.


Une autre étude, l'an dernier, a révélé que le coût d'un programme massif de pulvérisation de particules dans la haute atmosphère serait d'environ 5 milliards de dollars par an. Cependant, l'étude,  menée par des scientifiques américains écrivant dans la revue « Les lettres de la recherche environnementale » a complètement échoué à analyser si un tel programme massif de géo-ingénierie serait une bonne idée et quelles seraient ses conséquences
environnementales.


A l’institut Carnegie pour la science, une proposition similaire a récemment préconisé la pulvérisation dans la haute atmosphère d’aérosols, un processus qui « réduirait de 20 % la quantité de lumière qui se dirige directement vers le sol et transformerait le ciel bleu en  ciel blanc à brumeux » a rapporté le New Scientist.

 

 Compte tenu du fait que la plupart des progrès en science et en technologie sont déjà réalisés des années avant leur communication au public, il va de soi que les programmes de géo-ingénierie basés sur  la pulvérisation de particules dans la haute atmosphère sont déjà en cours.


Les scientifiques admettent maintenant que des traînées de vapeur des avions créent des « nuages ​​artificiels » qui bloquent le soleil. Ce n'est plus un sujet de débat. Les « théoriciens du complot » qui ont été ridiculisés en affirmant depuis le milieu des années 90, que des avions à réaction avaient des traînées persistant des heures et formant des nuages ​​artificiels, avaient raison.


Le professeur Keith Shine de l'Université de Reading a déclaré au Daily Mail que les nuages « formés par les vapeurs d'avions pourraient s'attarder  pendant des heures, privant les zones sous les trajectoires de vol, comme Londres et les Home Counties, de soleil d'été. »


Le rapport fait également référence à une étude réalisée en 2009 par le Met Office qui  constatait que les vents d’altitude  ne dispersent pas des traînées persistantes lesquelles forment plus tard des nuages ​​qui couvrent une distante étonnante de 20,000 miles (32km).


Comme nous l'avons prouvé, les programmes de géo-ingénierie basés sur la pulvérisation d'aérosols artificiels étaient déjà en exploitation il y a des années, y compris au ministère américain de Savannah River, au laboratoire national de l'énergie à Aiken, Caroline du Sud, qui en 2009 a commencé à mener des études impliquant la pulvérisation énorme de quantités de matières particulaires, dans ce cas « des microsphères de verre à paroi poreuse », dans la stratosphère.


Un autre programme dans le cadre du programme du ministère de la science atmosphérique et de l'énergie est conçu pour « développer la compréhension globale des processus atmosphériques qui contrôlent le transport, la transformation et le parcours des traces de produits chimiques et des matières particulaires."


Le site Web du DOE affirme que « l'objectif actuel du programme est le forçage radiatif du climat par des aérosols. La formation des aérosols, leur évolution et leurs propriétés affectent  directement et indirectement le temps et le changement climatique. »


Ces programmes ont déjà pour effet de bloquer la lumière du soleil. L'émergence du phénomène « chemtrails » a coïncidé avec une baisse moyenne de 22% de la lumière solaire atteignant la surface de la terre.


En 2008, un reportage aux informations de KSLA constatait qu'une substance qui tombe au sol en provenance d'un chemtrail de haute altitude contient des niveaux élevés de baryum (6,8 ppm) et de plomb (8,2 ppm) ainsi que des traces d'autres produits chimiques comme l'arsenic, le chrome, le cadmium, le sélénium et l'argent. Parmi ceux-ci, tous sauf un sont des métaux, certains sont toxiques alors que plusieurs autres sont rarement ou jamais trouvés dans la nature.


L’étude met l'accent sur le baryum, qui est le « marqueur » de chemtrails. KSLA a trouvé des niveaux de baryum dans ses échantillons à 6,8 ppm soit « plus de six fois le niveau toxique fixé par l'EPA. » Le ministère de la qualité de l’environnement en Louisiane a confirmé que les niveaux élevés de baryum étaient « très inhabituels », mais a ajouté que « la preuve de la source était une toute autre affaire » dans sa discussion avec KSLA.


KSLA a également demandé à Mark Ryan, directeur du Centre antipoison, quels sont les effets du baryum sur le corps humain. Ryan a déclaré que « l'exposition à court terme peut conduire à des douleurs d’estomac ou de poitrine et que l'exposition à long terme peut provoquer des problèmes de pression artérielle. » Le Centre antipoison a en outre indiqué que l'exposition à long terme, comme pour toute substance nocive, contribuerait à affaiblir le système immunitaire.


La pulvérisation de soufre dans la haute atmosphère cause à la fois des catastrophes environnementales et des problèmes de santé humaine.


L'exposition au soufre a les effets suivants sur la santé :


- Effets neurologiques et changements de comportement
- Perturbation de la circulation sanguine
- Lésions cardiaques
- Effets sur les yeux et la vue
- Échec de la reproduction
- Dommages au système immunitaire
- Troubles gastriques et  gastro-intestinaux
- Dommages aux fonctions des reins et du foie
- Défauts auditifs
- Perturbation du métabolisme hormonal
- Effets dermatologiques
- Suffocation et embolie pulmonaire


Même le scientifique Mark Watson, en faveur de la géo-ingénierie, admet que l'injection de soufre dans l'atmosphère pourrait conduire à des « pluies acides, à l'appauvrissement de la couche d'ozone ou à des perturbations météorologiques. »


Le météorologue Alan Robock de l’université de Rutgers a aussi «  créé des simulations informatiques indiquant que le sulfate de nuages ​​pourrait affaiblir les moussons d'été en Afrique et en Asie, et réduire les pluies qui irriguent les cultures vivrières de milliards de personnes."


« Imaginez si on déclenchait une sécheresse et la famine en essayant de refroidir la planète », a dit Robock lors d'une conférence de géo-ingénierie en 2010.


Le Groupe canadien ETC (Erosion, Technologie et Concentration) a demandé que de telles expériences soient stoppées. « Cette expérience est seulement la première phase d'un plan beaucoup plus grand qui pourrait avoir des conséquences dévastatrices, y compris de grands changements dans les régimes climatiques tels que des sécheresses mortelles," a indiqué le groupe dans une déclaration écrite.


Fred Singer, président du Projet de politique environnementale de la science et un sceptique du réchauffement climatique d’origine anthropique, prévient que les conséquences de la manipulation grossière du délicat écosystème de la planète pourraient entraîner des dangers considérables.


« Si vous faites cela sans interruption, vous appuyez sur la couche d'ozone et  provoquez toutes sortes d'autres problèmes que les gens préfèrent éviter » a déclaré Singer.


Même le responsable scientifique de Greenpeace au Royaume-Uni - un ardent défenseur de l'explication du réchauffement de la planète par l'homme - Doug Parr - a qualifié de « bizarres » et « dangereuses » les tentatives de géo-ingénierie sur la planète.
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Steve Watson est rédacteur en chef pour Infowars.com et Prisonplanet.com d'Alex Jones, à Londres. Il possède une maîtrise en relations internationales de l'École de sciences politiques à l'Université de Nottingham et un baccalauréat ès arts en littérature et création littéraire de l'Université de Nottingham Trent.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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HAARP Alaska ferme ses portes

19 Juillet 2013, 22:26pm

Publié par Ciel Voilé

 

http://www.arrl.org/news/haarp-facility-shuts-down 


Le 15 juillet 2013

 

Le programme High Frequency Auroral Research active (HAARP) - un objet de fascination pour beaucoup et cible des «  théoriciens du complot » et de militants anti-gouvernementaux - a fermé ses portes. Le gestionnaire de programme HAARP, le Dr James Keeney de la base de Kirtland Air Force, Nouveau-Mexique, a déclaré à l’ARRL que le centre de recherche ionosphérique qui s’étend sur 35 acres (14 hectares) dans la région éloignée de Gakona en Alaska, a été fermé depuis début mai.


« Actuellement, le site est abandonné », a-t-il dit. «  C’est par manque l'argent. Nous n'en avons pas. » Keeney dit que personne ne se trouve sur place, les routes d'accès sont bloquées, les bâtiments sont enchaînés et le courant éteint. Le site de HAARP via l'Université d'Alaska n'est plus disponible; Keeney a déclaré que le programme n’a plus les moyens de payer ce service. «Tout est en mode sécurisé », a-t-il ajouté, l’installation restera dans cet état au moins pendant 4 à 6 semaines. En attendant un nouveau contractant qui viendra assurer la maintenance de l’installation dont le gouvernement est propriétaire (GOCO).


HAARP a prévenu tout le monde, il y a deux ans, qu'il serait en cours d'arrêt et n'a pas présenté une demande de budget pour l'exercice 5, affirme Keeney, « Mais personne n’y a fait attention. Maintenant, les gens se plaignent. Ils ne lâchent plus ! », a déclaré Keeney, notant qu'il a déjà reçu des demandes du Congrès. Les universités qui dépendaient des subventions de recherche HAARP sont également irritées, a-t-il ajouté.


En ce moment, la seule lueur d'espoir à l'horizon pour HAARP est que la DARPA ( Defense Advanced Research Projects Agency ) est prévue sur le site comme client pour terminer quelques recherches durant l'automne et l'hiver. La DARPA dispose de près de 8,8 millions de dollars dans son plan de budget de l'exercice 14, pour la recherche sur les « aspects physiques des phénomènes naturels tels que les tempêtes de la magnétosphère, le feu, la foudre et les phénomènes géophysiques."


La cause directe de l’arrêt de HAARP début mai est moins budgétaire qu'environnementale, explique Keeney. Les générateurs diesel du site ne sont plus aux normes du Clean Air Act. Les réparer pour répondre aux normes EPA coûterait 800.000 $. Au-delà de cela, dit-il, cela coûte 300.000 dollars par mois juste de garder l'installation ouverte et 500.000 dollars pour la faire fonctionner à pleine capacité pendant 10 jours.


Financée conjointement par le laboratoire de recherche de l'US Air Force et le laboratoire de recherche de  l'US Navy, HAARP est une installation de recherche sur l'ionosphère. Son appareil le plus connu est un instrument de recherche ionosphérique (IRI, 3,6 MW HF (environ 3 à 10 MHz)), qui alimente un système étendu de 180 antennes et qui est utilisé pour « exciter » des sections de l'ionosphère. Un autre équipement de l’installation en évalue les effets.


Larry Ledlow, N1TX, de Fairbanks, en Alaska, a déclaré que l’ionosonde HAARP et les données du riomètre ont été « inestimables, surtout étant plus ou moins locales, pour comprendre les conditions actuelles dans les hautes latitudes. » Il a dit que les données provenant d'autres sites « Tout simplement ne reflètent pas fidèlement la propagation unique que nous endurons ici. »


Pour combler cette lacune, Ledlow dit que plusieurs membres de l'Arctique Radio Amateur Club - dont Eric Nichols, KL7AJ, auteur de Radio Science pour les radio-amateurs et d’ articles de la TVQ - ont discuté de la construction de leurs propres instruments. « C'est très préliminaire, mais on sent vraiment un pincement à perdre HAARP. » Nichols, du Pôle Nord, Alaska, a mené des expériences à HAARP. Il a estimé que l'arrêt de l’installation est « une grande perte pour l'Alaska et ailleurs. »


L'installation d'alimentation à ultra-haute fréquence a longtemps intrigué les gens, même en dehors de l'Alaska. En 1997, HAARP  a transmis des signaux de test sur HF (3,4 MHz et 6,99 MHz) et demander des rapports aux émetteurs et auditeurs en ondes courtes dans le « Lower 48 » pour déterminer dans quelle mesure les transmissions HAARP pourraient être entendues dans le sud. En 2007, HAARP a réussi à faire rebondir un signal à 40 mètres au large de la lune. Plus tôt cette année, les scientifiques d’HAARP ont réussi à maintenir  un nuage de plasma à haute densité dans la haute atmosphère de la Terre.


En l'état, l’US Air Force en est propriétaire, pour l'instant, mais si aucun autre organisme ne s'avance pour prendre le relais, l'installation unique HAARP sera démantelée, dit Keeney. Il a souligné qu'il en coûterait moins de raser le champ de 180 antennes que de les remplacer.


Les annonces sensationnelles abondent sur internet, accusant HAARP de contrôler le temps - plus récemment dans le cas de l'ouragan Sandy et la vague de tornades - et à provoquer d'autres catastrophes naturelles. En plaisantant Keeney ajoute : « Si je pouvais effectivement affecter le temps, je la garderai ouverte. »

 

 

Ndt : Cet article présente la station HAARP d’Alaska comme l’unique installation HAARP. Il en existe bien d’autres et des mobiles. La dernière remarque du Mr Keeney : « Si je pouvais effectivement affecter le temps, je la garderai ouverte. », ne correspond en rien aux possibilités effectives de cette installation. Ses portes n'étaient-elles pas déjà fermées ? Association Ciel voilé

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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Les composés du baryum sont des poisons mortels

30 Juin 2013, 20:46pm

Publié par Ciel Voilé

 

Samedi  9 Mars, 2013

http://www.tankerenemy.com/2013/03/i-composti-del-bario-sono-veleni-mortali.html

Le baryum fait partie des divers éléments dispersés dans la biosphère lors d’opérations de géo-ingénierie. Cet élément, dont le poids atomique est 137, est l'un des plus dangereux. En effet, il s’oxyde très facilement au contact de l’air et surtout réagit avec l'eau, devenant ainsi très nocif en cas de pluie.

Parmi les différents composés de ce métal alcalino-terreux, le sulfate de baryum, BaSO4 a une importance particulière, il est extrêmement dangereux pour les êtres vivants. Rappelez-vous qu’entre les différents polluants générés par la combustion du carburant d'aviation, se trouve le dioxyde de soufre, SO2. En présence de baryum, la réaction donne :

 

Ba + SO2 + O2 ==> BaSO4

 

C'est précisément sous cette forme du sulfate de baryum, que les particules fines pénètrent dans le système respiratoire. Le sulfate de baryum, en raison de sa taille microscopique passe la barrière des alvéoles pulmonaires et se jette directement dans le sang.

En présence de pluie et d'humidité, le dioxyde de soufre, SO2 se lie à l'eau est forme de l'acide sulfurique:


SO 2 + 2H2O ==> H2SO4.

De plus, avec le chlorure de baryum dispersé dans l'atmosphère, BaCl (le baryum lié au chlore), il réagit comme suit:

BaCl + H2SO4 ==> BaSO4 + HCl


Et sont générés deux composés très dangereux : le sulfate de baryum et l'acide chlorhydrique.

L'acide chlorhydrique ou chlorure d'hydrogène HCl, utilisé dans le passé comme arme chimique, est extrêmement toxique, a une odeur irritante et attaque surtout le système respiratoire.

Constitués en gouttelettes d'eau, ces composés toxiques s'accumulent dans le sol, dans le cycle de l'eau et la chaîne alimentaire: l'eau utilisée dans l'agriculture et l'élevage est contaminée. Les brumes qui tombent souvent le soir sont acides en raison des réactions chimiques décrites ci-dessus: ces nuages, comme les pluies acides, corrodent les monuments et acidifient les écosystèmes, ils forment un polluant environnemental redoutable.

Le baryum est toxique et cancérigène, même à de faibles concentrations: très peu de mg par kg de poids corporel sont déjà très pernicieux.

Articles connexes:

- La combinaison césium/baryum 2011
- Les accidents nucléaires, quand par les chemtrails, le baryum et le strontium sont dispersés dans l'environnement, 2011

 

 

 

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La géo-ingénierie mondiale - une expérience sans cesse changeante

30 Juin 2013, 18:35pm

Publié par Ciel Voilé

 

25 juin 2013

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C'est un défi que de prédire le résultat d'expériences qui sont constamment modifiées. La saturation de l'atmosphère en particules a des effets spécifiques et bien documentés. Elle provoque l’interruption complète du cycle hydrologique avec une tendance à  PROVOQUER LA SECHERESSE partout.


De nombreux brevets de géo-ingénierie précisent l’objectif recherché de créer une couverture nuageuse artificielle par pulvérisation de nanoparticules d'aluminium, de baryum et d'autres métaux lourds dans la stratosphère et / ou troposphère. La saturation actuelle de l'atmosphère par  ces absorbeuses d'humidité que sont les nanoparticules dessicatrices, a provoqué une sécheresse prolongée dans de nombreuses régions aux Etats-Unis. Le blocage d'un certain pourcentage de rayons solaires directs (l'obscurcissement global) est un objectif exprimé par les géo-ingénieurs. Toutefois, si les  matériaux pulvérisés changent, si la taille des particules est modifiée, si l'atmosphère devient  trop saturée en humidité, ou s'il y a une réduction temporaire de la pulvérisation, les résultats changent aussi. Les régions qui ont connu des années de sécheresse prolongée, peuvent retourner aux pluies diluviennes constantes ou vice versa. Rien ne peut être gravé dans le marbre sur cette expérience en constante évolution de la géo-ingénierie climatique. Actuellement, l'Ouest américain est bloqué dans une sécheresse prolongée  pendant que  la majeure partie de l'Est des États-Unis reçoit des records de pluie. En effet, l'humidité qui aurait dû tomber dans l'Ouest a migré du fait des pulvérisations constantes de particules de géo-ingénierie. Une grande partie de cette humidité tombe au final sur l'Est américain. Certaines des régions de l'Est qui reçoivent actuellement des records de  pluie avaient enregistré des records de sécheresse il y a seulement un an. L'Europe connaît aussi le «coup du lapin » météo, le scénario de la sécheresse et des inondations. 


Des conditions changeantes


Bien que beaucoup souhaitent encore en discuter la cause, la planète se réchauffe, et vite. Pendant que la planète se réchauffe, l'atmosphère contient davantage de vapeur d'eau. Peu importe la force de la sécheresse due aux effets des nanoparticules dans l’atmosphère, les pluies diluviennes vont augmenter en même temps que la planète se réchauffe.


Particules atmosphériques et 11 septembre


L'effet de la pulvérisation constante de l'atmosphère a été vraiment révélé dans les jours qui ont suivi le 11 septembre. La chute du trafic aérien a donné une occasion unique de documenter des changements atmosphériques profonds. Il y a eu une augmentation immédiate de la clarté du ciel au-dessus du continent américain, les températures diurnes ont augmenté de manière significative, et les nocturnes basses ont considérablement diminué. C'est exactement ce qui serait attendu de l'arrêt temporaire des programmes de géo-ingénierie à grande échelle sur notre espace aérien.


Qu'ont-ils « planifié » pour l'été 2013?


La structure du pouvoir mondial détient  « Weather Channel » qui vient de publier des prévisions à long terme pour les trois prochains mois (été 2013). Qu'ont-ils prévu pour la zone continentale des États-Unis? La même chose, voire pire.

 

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Prévisions de sécheresse saisonnière aux Etats-Unis

pour la période du 20 juin 2013 au 30 septembre 2013


La pulvérisation d’une couverture nuageuse sur le Pacifique Est, au large de la côte Ouest américaine continue jour après jour. Toute l’humidité qui parvient sur terre est fortement pulvérisée, ce qui réduit considérablement le risque de précipitations dans l'Ouest des États-Unis. Si la pulvérisation constante continue, la sécheresse prolongée ne fera que s'aggraver à l'Ouest et les pluies diluviennes dans d'autres parties de l'Est américain continueront. Au cours des 7 dernières années, la zone exacte dans le Nord de la Californie où je vis, a perdu  près de 200 pouces (508 cm) des précipitations qu’elle aurait dû recevoir au cours de cette période, sur la base des moyennes historiques. La moyenne historique de ma zone est de 69 pouces (175cm) par an, nous avons reçu une moyenne d'environ 40 pouces (102cm) par an au cours des 7 dernières années. La baisse de la pluviométrie est étroitement liée à une augmentation de l'intensité et de la fréquence des épandages dans notre ciel et au large de la côte Ouest américaine dans le Pacifique.


Dernière ligne


La géo-ingénierie provoque vraiment des ravages sur les systèmes climatiques de la Terre, décimant l'atmosphère, et saturant la surface de la planète de métaux et de produits chimiques toxiques. Bien que l'ensemble du spectre de l'activité humaine ait causé de grands dommages à l'environnement et aux systèmes climatiques, la géo-ingénierie climatique est l'éléphant dans le magasin de porcelaine  qui est en train de causer les plus gros dégâts. Les scientifiques et les écologistes semblent trop désireux d'ignorer ou de nier la géo-ingénierie, et le grand public est aveugle du fait du conditionnement constant des médias et de la société. Il est grand temps de briser le moule de déni sur cette question la plus critique, qui remet tout en cause.


Dane Wigington


http://www.geoengineeringwatch.org/global-geoengineering-the-ever-changing-experiment/

 

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