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Ciel Voilé

geo-ingenierie

Concentrations de métaux lourds dans l'eau de pluie en Allemagne

28 Juin 2013, 18:36pm

Publié par Ciel Voilé

 Le site allemand www.sauberer.himmel.de a présenté fin janvier 2013, une étude comparée de 73 analyses d’eau de pluie.  

L'empreinte graphique des chemtrails

 Le 23 janvier 2013 www.sauberer.himmel.de

  Konzentration-02-copie-2.jpg

 

 Moyennes des concentrations de métaux lourds dans l’eau de pluie.

( Traduction :   Eisen : fer – Kupfer : cuivre – Mangan : manganèse – Blei : plomb) 


Ce graphique a été établi dans le cadre de notre « action des eaux de pluie nationale» qui nous permet de représenter les valeurs moyennes de concentrations de métaux trouvés dans l'eau de pluie. 73 échantillons ont été analysés pour une période allant de juillet 2011 à novembre 2012. 71 échantillons d'eau de pluie ont été collectés en Allemagne, à plus de 60 endroits différents, un en France et l en Autriche. L'aluminium et le baryum ont été analysés dans les 73 échantillons. Les résultats sont moins probants pour les autres métaux, mais ils pourraient tout de même bien être représentatifs en raison du grand nombre d'échantillons analysés.


Nous avons déjà indiqué lors de précédentes  publications que l’empreinte caractéristique des  chemtrails dans l’eau de pluie est la même en Allemagne que dans d'autres parties du monde. Le graphique  montre maintenant les valeurs moyennes des concentrations de métaux dans l'eau de pluie. L'importance de ces moyennes n’est pas à surestimer, puisque dans le cas présent, aucune conclusion ne peut être tirée au sujet de la distribution des concentrations. Le calcul de l'écart type, et une réflexion sur les valeurs de diffusion sont plus parlants. La fréquence des métaux trouvés nous semble plus importante ainsi que leur corrélation les uns avec les autres.

 Haeufigkeiten-03-copie-1.jpg

Titre : Fréquences des métaux lourds dans l’eau de pluie. 

Sous-titre : Pourcentage d’échantillon dans lequel chaque métal est détectable

 

Pour l'interprétation des valeurs moyennes, par conséquent, le graphique doit être consulté en même temps que celui sur la fréquence des métaux dans l'eau de pluie. Ainsi la fréquence du silicium est une bonne illustration de la manière dont les moyennes peuvent fausser l'image globale. Le silicium a rarement été détecté par les laboratoires dans l'eau de pluie. Si on en trouve dans l’eau de pluie, alors ses valeurs sont élevées. Il en résulte une moyenne élevée de silicium.

Deutschlandkarte-Aluminium-061.jpg

 

Concentrations d'aluminium dans l'eau de pluie

 

Pourtant, cet exemple démontre également que la fréquence ainsi que les concentrations comparées avec les autres métaux (autres que le zinc) sont considérables pour l’aluminium. L’aluminium dans l'air joue un rôle beaucoup plus important que les autres métaux tels que le cuivre, le fer, le plomb, le silicium, le nickel, le titane, le cadmium, l'arsenic et l'antimoine. Les fréquences du baryum et du strontium ainsi que leurs concentrations sont aussi surprenantes.

 

Deutschlandkarte-Barium-01.jpg

 

Concentrations de baryum dans l'eau de pluie

 

Prenons par exemple le strontium. Une étude de l'Université technique de Freiberg montre que les quantités de strontium dans l'eau de pluie varient de 0,0001 ... 0,00044 mg / l. Or, dans nos échantillons la concentration du strontium s’élève jusqu’à 0,017  mg / l et la valeur moyenne mesurée de strontium est de 0.002 mg / l. Même notre moyenne de strontium est supérieure de 350 % à la valeur de référence établie par l’Université technique de Freiberg. La concentration de baryum est aussi une grosse surprise. D’où vient-il ? Cette question chacun devrait se la poser parce que chacun inhale ce beau mélange de baryum et d'autres métaux.


Les fréquences observées d'aluminium, de baryum, de  strontium et de manganèse dans l'eau de pluie sont, à l’évidence, fortes par rapport à de nombreux autres métaux. Comme par hasard, on retrouve ces métaux, du fait de leurs propriétés chimiques dans de nombreux brevets soupçonnés d’être utilisés pour pulvériser des chemtrails. Les principaux polluants de l'industrie et des transports, tels que le cuivre, le fer et le plomb sont beaucoup moins fréquents dans l'eau de pluie. Seul le zinc peut rivaliser en termes de fréquence dans l'eau de pluie avec des éléments comme l’aluminium, le baryum, le strontium et le manganèse.

 

Mais comment expliquer la présence d’une  quantité de zinc si forte : nous ne savons pas. Chaque année, le secteur automobile à lui seul (principalement les pneus et plaquettes de frein) libère 1.975 tonnes de zinc (en comparaison: 76,7 tonnes de plomb et 904 tonnes de cuivre). Le zinc trouvé dans nos échantillons d'eau de pluie proviendrait-il donc principalement des secteurs automobile et industriel ? Une grande partie de ce zinc est emportée par le système d'égouts pour les eaux de surface. Les niveaux extrêmement élevés de zinc (fréquence et concentrations) dans l'eau de pluie restent donc surprenants. Le zinc serait-il pulvérisé dans le ciel ?


En tout cas, les présentes analyses confirment notre position. Elles correspondent finalement à ce qui est attendu lorsque de fines poussières d’aluminium, de baryum, de manganèse et de strontium sont constamment pulvérisées dans le ciel.

 D'autres résultats de l'enquête vont suivre.

 

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Droit de réponse à "L'âge de faire" N°76

17 Juin 2013, 20:58pm

Publié par Ciel Voilé

 

« Expert » pour la Commission européenne, l’OMM*, le GIEC, le Met Office et… « L’âge de faire »


Le parcours professionnel d’Olivier Boucher est exemplaire. « L’âge de faire » s’appuie en toute confiance sur ce scientifique français qui a été l’un des principaux auteurs du « Rapport spécial sur l’aviation et l’atmosphère planétaire » (1999) du GIEC, du 3ème rapport d’évaluation du GIEC (2001), et du rapport de l’OMM sur l’ozone en 2002. Il participe aussi au rapport à venir du GIEC : Chapitre 7 : «  nuages et aérosols ».


Olivier Boucher affirme (L’âge de faire N°73) : « Nous ne cherchons pas à promouvoir la géo-ingénierie. » : VRAIMENT ?


 Pourtant l’OMM en fait la promotion auprès de ses Etats-membres. Voici un extrait de rapport de l’OMM :

« Il conviendrait d’établir dans tous les pays une climatologie des nuages, du brouillard et des précipitations car cela fournirait des éléments d’information essentiels pour les études et les travaux d’exploitation relatifs à la modification artificielle du temps et aux ressources en eau. »


La Commission européenne aussi y est favorable : elle finance le site EUTRACE  auquel participe Mr Boucher, seul représentant français. Le projet « Évaluation Européenne Transdisciplinaire d’Ingénierie Climatique" présente un objectif en 4 points. Le point 2 précise :


« 2. Engager activement le dialogue avec le public, les décideurs politiques et d'autres acteurs de la société civile pour diffuser l’information sur l’ingénierie climatique, et traiter de manière adéquate les préoccupations et les points de vue et les intégrer dans l'évaluation »


 Au point 2, les mots en gras ont été ajoutés entre le 3 et le 12 juin 2013.Le peaufinage de la stratégie de communication est brûlant d’actualité !


Comment la Commission européenne engage-t-elle le dialogue ? Par le déni. De 2003 à 2012, ses réponses à 8 parlementaires  (Hiltrud Breyer, Paul Iannoye, Erik Meijer, Jim Higgins, Claude Turmes, Nessa Childers, Oreste Rossi et Vladko Panayotov) sur les épandages aériens, la manipulation du climat et la géo-ingénierie, affichent un déni total.


Le rapport scientifique  « CASE ORANGE » écrit  par  des professionnels de l’aviation confirme pourtant la réalité de ces pratiques. Des pilotes, universitaires, militaires, médecins, météorologues  les dénoncent aussi. Le 9 avril au Parlement européen à Bruxelles, des activistes ont relancé l’alerte.


Rosalie Bertell, chercheur, épidémiologiste, physicienne nucléaire et Prix Nobel Alternatif témoigne : « Dire que les chemtrails n’existent pas et que toutes ces traînées sont des traces normales d’avions est contraire à l’observation scientifique. La réalité des chemtrails a été prouvée non seulement par l’observation, mais aussi par des mesures réelles en prélevant des échantillons ... Donc les chemtrails sont bien documentés et cela ne fait progresser personne de refuser les preuves qui sont face à nous. » ( film Bye Bye Blue Sky)

 

Association Ciel voilé

 

* OMM : Organisation Météorologique Mondiale

 

Nous ajoutons une réponse publiée sur le site de l'ACSEIPICA le 29 juin 2013

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Les chemtrails ne seraient que du brouillage radar !

29 Mai 2013, 06:54am

Publié par Ciel Voilé

 

 

Les services météo de chaines américaines reconnaissent des épandages militaires de particules métalliques (chaff) : mais ce n’est que du brouillage radar ! "Les militaires nous vaporisent, mais tout va bien". C’est le message envoyé aux américains.

 

 

 


 

 

 

 


Liste des brevets HAARP : http://www.fourwinds10.net/siterun_da...
Documents de l’UE sur l’utilisation de HAARP comme arme : http://www.europarl.europa.eu/sides/g...

Résonnance de Schumann et HAARP :http://aircrap.org/european-parliamen..., http://rezn8d.com/

Agenda « vert » : http://www.green-agenda.com/globalrev...,.

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Chemtrails et "dépopulation" : une approche historique

25 Mai 2013, 06:53am

Publié par Ciel Voilé

Nicolai Melnik 23 mai 2013

 

Communément dénommés par l'appellation anglophone « chemtrails », les épandages aériens réalisés dans l'atmosphère de nombreux pays sont la cible de toutes les spéculations. Bien que leur existence soit historiquement bel et bien avérée, l'immense majorité de la population n'a pas même connaissance de cette théorie classée par la doxa médiatique dans la catégorie des élucubrations conspirationnistes. 

 

Réalité des épandages

 

Les épandages aériens de produits chimiques dans l’atmosphère ont une histoire relativement ancienne, remontant au moins au début du siècle dernier : déjà en 1927, Donald Bradner et Nicholas Oglesby déposèrent un brevet pour un système de diffusion de produits chimiques à partir d’avions. [2] Des centaines d’autres brevets en lien avec la modification du climat, qu’ils concernent de nouveaux moyens d’épandage ou de nouveaux produits chimiques, seront officiellement déposés de 1927 à nos jours, [3] les produits chimiques étant dès lors stockés au sein d’importants containers à bord des avions. En ce qui concerne les dispositifs extérieurs de vaporisation, de nombreux brevets militaires, publics et privés expliquent comment il est possible d’éjecter différents agents chimiques dans la stratosphère ou la troposphère par le biais de mécanismes complexes encastrés sur le réacteur d’avion ou intégrés directement à l’intérieur du réacteur.

 

Des motifs inhabituels dus aux trajectoires excentriques prises par certains avions épandeurs peuvent d’ailleurs régulièrement être observés : courbes, zig-zags, boucles, cercles... Dans le ciel de New-York, un avion alla même jusqu’à tracer le message « LAST CHANCE » (littéralement, « DERNIÈRE CHANCE ») en allumant et en coupant alternativement son système d’épandage. [4] Que ces tracés surprenants soient le fait de pilotes téméraires n’appréciant guère de déverser des produits dont ils ne connaissent sûrement pas la nature dans l’atmosphère, au risque de heurter leur hiérarchie, ne serait que peu surprenant. La question n’est donc pas tant de savoir si ces épandages existent, mais bel et bien à quoi ils sont destinés. L’une des explications les plus couramment avancées est la modification du climat : en 1946, le Dr. Schaeffer de General Electric fit en effet la découverte que le déversement d’iodure d’argent au sein des nuages favorisait les précipitations, [5] à la suite de quoi furent lancés par l’armée des États-Unis les projets Cirrus (1947-1952), Storm fury (1961-1983) et Popeye (1967-1972), qui prévoyaient notamment le contrôle des précipitations ou de la trajectoire des ouragans. [6,7,8] Historiquement, toutefois, certains de ces épandages avaient des objectifs bien différents.

 

En 2002, un rapport gouvernemental apporte la preuve que l’armée britannique a mené des opérations d’épandage de substances toxiques à grande échelle sur sa propre population entre 1940 et 1979. [9] De 1955 à 1963, notamment, de très importantes quantités de sulfate de cadmium zinc sont déversées le long des côtes britanniques. Il était affirmé aux militaires en charge de ces programmes que les épandages concernaient uniquement des expériences climatiques. Les États-Unis effectueront des tests identiques sur l’ensemble de leur territoire [10] : dénommés par l’acronyme « LAC » (Large Area Coverage – littéralement, Couverture de Larges Surfaces), ces programmes avaient deux objectifs principaux : tester l’effet d’une substance nocive sur une large part des populations de ces pays, et comprendre comment conduire les épandages afin d’optimiser les surfaces touchées en fonction des conditions météorologiques. Les propriétés fluorescentes du zinc permettaient à l’armée de repérer la dispersion des produits répandus depuis des bases terrestres : des particules de sulfate de cadmium zinc seront ainsi repérées à des distances supérieures à 2 000 km du point de largage. Concrètement, cela signifie que les habitants de Paris seraient concernés par d’éventuels épandages à la frontière occidentale de la Russie. Un vol de 600 km permettait ainsi le relâchement d’environ 2 tonnes de sulfate de cadmium zinc. [11] Bien que les gouvernements britannique et états-uniens aient affirmé l’innocuité des substances répandues, le cadmium était déjà considéré lors de la Seconde guerre mondiale comme arme chimique par les Alliés eux-mêmes. Il est actuellement considéré comme un métal extrêmement toxique, dont les effets sur la santé vont des problèmes respiratoires au cancer en passant par l’insuffisance rénale ou les dommages au foie. [12] De 1961 à 1968, ce sont des bactéries telles que le bacille globigii, simulant le comportement de l’anthrax, et Escherichia Coli qui sont déversées sur les îles britanniques. Des tests similaires seront de nouveau reproduits de 1971 à 1975, les armées britanniques et états-unienne travaillant cette fois-ci en collaboration. La sociologue Lisa Martino-Taylor, ayant eu accès à des documents militaires déclassifiés, a quant à elle révélé que l'armée des États-Unis ajoutait des particules radioactives au sulfate de cadmium zinc, notamment au-dessus des quartiers populaires [13a,13b] : aucun homme politique ne fut averti de ces épandages et il était répondu aux plus curieux que l’armée testait des écrans chimiques pour se protéger contre une éventuelle attaque soviétique.


En réalité, le Département de la Défense des États-Unis effectuait également de nombreux tests d’armes biologiques sur sa population en des endroits localisés – sans épandages aériens donc : le Dr. Hanley Stanson, ancien scientifique au sein de l’armée, révélera en 2010 qu’il existait bien plus de programmes que les huit officiellement reconnus en 1976 par le Pentagone. Pour la seule région de la Nouvelle-Angleterre, plus d’une vingtaine de programmes existaient dans les années 50 et 60. [14] Ce n’était pourtant qu’un début au sein des recherches sur les armes biologiques : à partir des années 70, une mini-révolution s’opéra avec, notamment, les Defense Appropriations for 1970, autorisant le déblocage de fonds colossaux pour les recherches sur les armes biologiques. Lors d’une audience devant le Congrès, le Dr. MacArthur dressa un état des lieux de la discipline qui allait selon lui passait de l’étude des microorganismes existants à la création par bio-ingénierie de tous nouveaux agents pathogènes. [15] D’après d’anciens scientifiques ayant travaillé à l’obscur Fort Detrick, le nombre de projets sur la conception de nouveaux agents pathogènes en tous genres explosa dès lors. [16] Si la vaporisation de produits toxiques dans l’atmosphère afin d’y exposer volontairement les populations civiles est un fait historique avéré et que les arguments utilisés pour justifier ces épandages aux yeux des effecteurs de ces programmes et des civils indiscrets étaient systématiquement la protection des populations contre l’éventuelle attaque d’un état tiers ou la modification du climat, il ne semble plus possible de considérer que cela puisse être le cas aujourd’hui. Aucune raison ne justifie pourtant que les épandages aériens furent abandonnés à la fin des années 70, au contraire.

 

Un détour par le néomalthusianisme


La question du contrôle de la population mondiale sur la scène publique étant actuellement un sujet non seulement non-abordé mais, plus que cela, tabou, cela ne fut pourtant pas toujours le cas : au cours de la seconde moitié du vingtième siècle, les néomalthusiens n’étaient pas aussi timides qu’ils le sont aujourd’hui. Avec la création en 1961 de la première mégastructure écologique, le World Wildlife Fund par, entre autres, le Prince Bernhard, Julian Huxley (le frère de l’auteur du Meilleur des mondes) ainsi que Godfrey Rockefeller, le mouvement environnementaliste contemporain révèle ses accointances plus que troublantes avec les idéologies néomalthusienne et eugéniste. [17a,17b] Le premier était membre du NSDAP, le parti nazi, et a toujours été suspecté par les services de renseignement britannique d’être un agent double nazi même après qu’il eut rendu sa carte du parti en 1936. [18a,18b] Inventeur du concept de transhumanisme, le second était un ardent défenseur de l’eugénisme et membre proéminent de la British Eugenics Society dont il fut vice-président puis président. [19] Le dernier appartient quant à lui à la sulfureuse famille Rockefeller dont les liens avec le contrôle de la population sont non seulement multiples mais assumés.

Il existe essentiellement deux moyens de réduire le nombre d’individus d’une population dans le temps : faire baisser le taux de natalité et augmenter le taux de mortalité. Que de nombreux organismes se soient activement employés à trouver des solutions pour le premier est loin d’être un secret, et au premier chef desquels la Fondation Rockefeller qui explique très clairement dans son rapport officiel de 1968 s’intéresser à l’élaboration de vaccins stérilisants [20]. Le célèbre rapport du Club de Rome de 1972, The Limits to Growth (littéralement, Limites à la croissance), popularisera l’idée selon laquelle l’augmentation constante de la population, étant donnée la finitude des ressources naturelles, représente un danger pour l’humanité dans son ensemble. En 1980, le rapport confidentiel National Security Study Memorandum, rédigé sous la direction de Henry Kissinger en 1974, fut déclassifié. [21] Il appelait notamment à une réduction massive de la population dans l’ensemble des pays du tiers-monde : plus particulièrement visés étaient l’Inde, le Bangladesh, le Pakistan, le Nigéria, le Mexique, l’Indonésie, le Brésil, les Philippines, la Thaïlande, l’Égypte, la Turquie, l’Éthiopie et la Colombie. Établissant que les meilleurs moyens d’arriver à des résultats probants sont les famines, les guerres et les programmes de stérilisation, le rapport contient des directives à mettre en place explicitement via le financement de l’organisation non-gouvernementale US Aid au sein de sections dont les titres parlent d’eux-mêmes : Action pour créer les conditions du déclin de la fertilité : population et stratégie d’assistance du développement, par exemple.

 

La même année, John D. Rockefeller III fut l’orateur principal à la conférence réservée aux organisations non-gouvernementales lors de la première Conférence sur la population des Nations unies à Bucarest. [22] Il y plaidera toujours plus la « réduction de la population » dans les pays du tiers-monde ainsi que le contrôle des technologies à la disposition de ces derniers afin d’empêcher un développement trop rapide. Seulement, le contrôle de la fertilité n’a apparemment pas paru suffisamment efficace pour une stabilisation rapide de la population. Les moyens envisagés par les aspirants à une moindre population mondiale évolueront alors de la réduction de la fertilité dans les années 70 à des scénarios plus radicaux dans les années 80 et 90 concernant l’augmentation du taux de mortalité, voire l’effondrement civilisationnel. Ami du Prince Bernhard et troisième président du WWF, le Prince Philip déclarait par exemple en1988 [23] :

 

« Dans l’éventualité où je serais réincarné, j’aimerais l’être en tant que virus mortel, afin de contribuer à résoudre le problème de la surpopulation. »

 

En 1991, quelques temps avant de devenir consultant pour les Nations unies et la Banque mondiale, Jacques Cousteau s’exprimait quant à lui dans une entrevue avec le journal Unesco Courier [24] :

 

« La population mondiale doit être stabilisée, et pour cela nous devons éliminer 350 000 personnes par jour. C’est si terrible à contempler que nous ne devrions même pas dire cela. Mais la situation générale dans laquelle nous nous trouvons est lamentable. »

 

En septembre 1991, un document issu du groupe de réflexion britannique Cobden Clubs aurait circulé dans certains milieux chargés de l’organisation du Sommet de la Terre de Rio de Janeiro de 1992. Il y aurait été noté [25] :

 

« Étant données les instabilités globales, dont celles du bloc de l’ex-Union soviétique, le besoin d’un contrôle ferme de la technologie, de l’armement et des ressources naturelles à travers le monde est désormais absolument essentiel. La réduction immédiate de la population mondiale, d’après les recommandations du Fonds Draper des années 1970, doit être mise en place immédiatement. L’importante surpopulation actuelle, désormais bien au-delà de la capacité de support du monde, ne peut plus être résolue par des réductions futures dans le taux de natalité via la contraception, la stérilisation ou l’avortement, mais doit être  dans le présent par la réduction du nombre d’individus existants. Cela doit être fait par n’importe quel moyen nécessaire. »

 

Ce document ayant été mis en ligne de façon anonyme, sa crédibilité reste toutefois relative. Il est néanmoins certain que les véritables enjeux de l’organisation du Sommet de la Terre de Rio de Janeiro étaient plus complexes que ceux présentés par les médias dominants, d’importantes tensions se faisant jour entre les Nations unies et les pays en développement. À propos de la confiscation des ressources naturelles et refusant de céder la souveraineté de son pays aux Nations unies, le général brésilien Sotero Vaz en charge du commandement militaire amazonien, menacera peu avant la conférence de s'opposer militairement aux Nations unies si celles-ci attentaient à la souveraineté brésilienne. [26] L’Inde, la Chine, les Philippines, le Chili, le Vénézuéla, l’Éthiopie, le Ghana et la Malaisie enverront également leurs négociateurs faire comprendre aux experts occidentaux des Nations unies qu’ils savaient de quoi il retournait. Maurice Strong, le sous-secrétaire général et organisateur principal du Sommet de Rio, s'était fait quant à lui depuis longtemps l'avocat de l'effondrement du monde civilisé. [27] En 2002, lors du second Sommet de la Terre à Johannesburg, les luttes d’influence s’exerçant dans les coulisses du pouvoir furent au moins aussi importantes. L’ex-général russe Konstantin Petrov accusa publiquement les dirigeants des banques et des multinationales de poser un ultimatum aux dirigeants mondiaux en exigeant la réquisition de l’ensemble des infrastructures essentielles au développement humain telles que l’eau, l’énergie et les matières premières, de s’approprier d’immenses réserves naturelles en Russie ainsi de réduire drastiquement la population mondiale, d’un facteur deux ou trois. [29] Un chiffre corroboré par le réalisateur Aaron Russo dans l’entrevue qu’il donnera à propos de ses discussions avec Nicholas Rockefeller. [30] 

 

Retour aux épandages aériens

 

C’est dans ce contexte de radicalisation des idées néomalthusiennes qu’à partir de l’extrême fin des années 1990, les épandages aériens atteignent une envergure jusque-là inégalée dans certaines régions du monde, à commencer par les États-Unis, et attirèrent de ce fait l’attention du public vigilant. De nombreux échantillons de l’air ambiant seront prélevés par des organismes et laboratoires indépendants, révélant des quantités anormalement élevées de métaux lourds tels que l’aluminium, le baryum ou le strontium dont les effets toxiques sur la santé sont dévastateurs. Des échantillons de l’air de Phoenix montraient par exemple des taux d’aluminium et de baryum respectivement 6 400 et 278 fois plus élevés que la limite toxique fixée par le gouvernement des États-Unis. [31] Dans son film « Bye bye blue sky », Patrick Pasin révèle que l’armée française a quant à elle déjà passé commande pour l’achat de 10 tonnes de baryum, un métal n’ayant aucune utilité militaire conventionnelle en ces quantités. [32]

 

Vers le milieu des années 2000, de nombreuses personnes, d’abord aux États-Unis, principalement en Californie, au Texas et en Floride, puis au Canada, en Afrique du sud, en Australie et en Nouvelle-Zélande prétendront être atteintes d’une pathologie inconnue (improprement désignée par le terme Morgellons) comprenant de multiples symptômes tels que lésions de la peau, douleurs osseuses et articulaires, fatigue chronique, anxiété. Les malades prétendaient ressentir la présence d’organismes étrangers et que des fibres de très petite taille étaient expulsées de leur peau. Des laboratoires indépendants conduisirent des analyses des échantillons dermatologiques envoyés par les malades de différents pays et mirent en évidence l’existence de fibres constitués de différents matériaux tels que du polyéthylène, du silicium ou d’autres matières inorganiques. [33] Une classification des différentes fibres découvertes a été effectuée par Jan Smith. [34] Étudiées en laboratoires, ces fibres ne correspondent à aucune fibre industrielle ou vestimentaire répertoriée et ne brûlent pas lorsqu’elles sont soumises à des températures supérieures à 950°C. Très probablement issues de la nano-ingénierie militaire, elles seraient capables d’interagir avec les éléments constitutifs du corps humain afin de se développer au sein-même des organismes des malades.

 

 

Parmi les premiers à s’être intéressés à la question et à avoir proposé des moyens de soulager les symptômes expérimentés par les malades, Cliff Carnicom et le Dr. Gwen Scott mirent en évidence le lien entre les fibres extraites des lésions cutanées des malades et les épandages aériens. Ils prétendirent également avoir été contactés en 2009 par l’une des personnes en charge du développement de certaines de ces fibres, ayant travaillé pour l’armée des États-Unis et ayant été persuadée que ces fibres seraient utilisées dans des conflits extérieurs afin d’affaiblir la condition des combattants ennemis, sauvant ainsi la vie des soldats états-uniens. [35a,35b] En réalité, un réseau complexe d’agents pathogènes, aussi bien organiques qu’inorganiques et pouvant interagir, serait répandu dans l’atmosphère : fibres, métaux lourds, bactéries, champignons, virus. Des informations identiques seront confiées à Hank P. Albarelli Jr. par des scientifiques de Fort Detrick : le développement de nano-robots y commença après les Defense Appropriations for 1970, lorsque le Pentagone s’engagea dans une multitude de projets de bio-ingénierie. [36]

S’il est parfois suggéré que les épandages puissent avoir un lien avec le contrôle du climat, la présence de telles armes biologiques parmi les substances relâchées plaident plutôt en faveur d’un programme de dépopulation : comme cela fut le cas au cours des opérations Large Area Coverage au Royaume-Uni et aux États-Unis, la modification du climat n’est-elle pas plutôt le prétexte donné aux effecteurs des épandages que l’objectif ? Il est d’ailleurs remarquable que la menace du réchauffement climatique, plus que controversée au sein du monde scientifique, soit apparue à la fin des années 1980 (la création du GIEC datant de 1988) simultanément à la radicalisation idéologique des néomalthusiens : sans elle, la justification d’un programme de grande ampleur d’épandages aériens eut été certainement plus délicate. Les avancées des dernières décennies en nano-ingénierie ouvrent par ailleurs malheureusement la voie à des possibilités infinies en matière d’affaiblissement du système immunitaire. Des problèmes qui ne seront sérieusement adressés que lorsqu’un débat public sera autorisé, si jamais cela est même envisageable...

 http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/chemtrails-et-depopulation-une-136230

 

Références

 

[1] http://www.google.com/patents/US133...

[2] http://www.google.com/patents/US161...

[3] http://www.geoengineeringwatch.org/...

[4] https://www.youtube.com/watch?v=lfW...

[5] http://books.google.ru/books?id=xH4...

[6] http://cecom.army.mil/historian/pub...

[7] http://docs.lib.noaa.gov/rescue/jou...

[8] http://www.vietnam.ttu.edu/virtuala...

[9] http://www.guardian.co.uk/politics/...

[10] http://books.google.ru/books?id=cr8...

[11] http://books.google.ru/books?id=TL0...

[12] http://www.hse.gov.uk/pubns/indg391.pdf

[13a] http://www.dailymail.co.uk/news/art...

[13b] http://gradworks.umi.com/3515886.pdf

[14] http://www.eutimes.net/2010/06/us-t...

[15] http://www.scribd.com/doc/20578136/...

[16] http://www.voltairenet.org/article1...

[17a] http://worldwildlife.org/about/history

[17b] http://worldwildlife.org/press-rele...

[18a] http://www.telegraph.co.uk/news/wor...

[18b] http://www.liberation.fr/monde/0101...

[19] https://en.wikipedia.org/wiki/Julia...

[20] http://www.rockefellerfoundation.or...

[21] http://www.larouchepub.com/eiw/publ...

[22] http://pdf.usaid.gov/pdf_docs/PCAAB...

[23] http://www.guardian.co.uk/lifeandst...

[24] http://www.accessmylibrary.com/coms...

[25] http://archive.org/stream/GeorgeHun...

[26] http://www.larouchepub.com/eiw/publ...

[27] http://www.guardian.co.uk/environme...

[28] http://www.afn.org/ govern/strong.html

[29] http://www.youtube.com/watch?v=xnSY...

[30] http://www.youtube.com/watch?v=YGAa...

[31] http://www.arizonaskywatch.com/char...

[32] http://rutube.ru/video/cf58781fa4ce...

[33] https://www.youtube.com/watch?v=3UM...

[34] http://www.morgellonsexposed.com/Mo...

[35a] http://www.carnicominstitute.org/ar...

[35b] http://www.carnicominstitute.org/ar...

[36] http://www.voltairenet.org/article1...

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La tornade d'Oklahoma

23 Mai 2013, 11:25am

Publié par Ciel Voilé

 

 

Pour l'instant en anglais : Scott Stevens

 

 

 


 

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Déclin des insectes et des poissons au Mont Shasta Californie

19 Mai 2013, 19:36pm

Publié par Ciel Voilé

 

Le 15 mai 2013


Francis Mangels – biologiste retraité- Mont Shasta Californie - témoin du déclin des populations d'insectes et de poissons


Salut à tous de Francis:

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Nous avons utilisé des filets de balayage pour compter les insectes locaux, car nous n'avons pas pu voir ce que nous voyions d’habitude. Ces trois dernières années, les  insectes terrestres ne représentent que 20% de la population normale. Cette année, les populations semblent être d'environ 10% de la normale. Les plus nombreux sont les vrais insectes et les pucerons, les suceurs, tandis que les orthoptères sont presque absents à l'exception de quelques rares criquets volants.


Depuis cinq ans, les poissons ne sont qu’à environ 10% de la normale, sauf dans les zones d’eau de source. Les espèces qui vivent dans la boue sont particulièrement absentes. Les truites sont en mauvais état, et la taille des poissons sauvages a généralement diminué dans les ruisseaux locaux. Je vais à la pêche comme d'habitude, mais quand je prends quelque chose, c’est généralement  un poisson d'élevage qui n’a que quelques insectes terrestres comme des fourmis dans le ventre.

 

Je ne fais que rapporter ce que mon échantillonnage a trouvé. J'espère très sincèrement que ce n’est qu’une anomalie à long terme, mais je commence à soupçonner que ce n'est pas le cas, parce que les effets sont si répandus. Une pollution ponctuelle affecte un seul flux. La pollution atmosphérique les affecte tous, et je soupçonne ces éléments Welsbach ( brevet de géo-ingénierie).


O Seigneur, si tout ceci pouvait être faux !


BF

http://aircrap.org/update-report-frances-mangels/337278/

 

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Les avions de Disney !

19 Mai 2013, 11:47am

Publié par Ciel Voilé



 

Les avions de Disney

 

Le 17 mai 2013

 

Le nouveau dessin animé de Disney sur les avions : « Sneak Peek » sortira le 9 août prochain en 3D. Les chemtrails sont présentés tout au long du film, montrant aux enfants qu'il est normal pour un avion de laisser des traînées persistantes. Les moyens financiers et humains mis en œuvre pour conditionner le public sont ahurissants.

 

Ndt : Soigneusement entretenue : la confusion avec les épandages agricoles : voir la vidéo.

 

http://www.geoengineeringwatch.org/disneys-planes/

 

 

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Chemtrails et contrails

16 Mai 2013, 17:39pm

Publié par Ciel Voilé

 


 

Vidéo filmée en Australie. Différence entre traînée de condensation ( contrail ) et traînée chimique (chemtrail).

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Réunion à Bruxelles sur les nouvelles armes secrètes américaines

9 Mai 2013, 10:47am

Publié par Ciel Voilé

 

Giulietto Chiesa Journaliste, écrivain italien, ancien parlementaire européen.

Traduction assurée par IlFattoQuotidiano.fr

 

Ces jours-ci, lundi 8 et mardi 9 avril 2013, se tient au Parlement européen de Bruxelles une rencontre qui porte le titre « Au-delà des théories sur les modifications climatiques – la société civile contre la géo-ingénierie ».

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J’ai moi-même organisé cet événement, en tant que président du laboratoire politique Alternativa, en collaboration avec Josefina Fraile Martin, présidente de Terra SOS-Tenible et promotrice de la coalition Skyguards (elle aussi association internationale qui regroupe des chercheurs et des activistes provenant de Grèce, France, Espagne, Belgique, Grande-Bretagne et d’autres pays européens). Je me dois de souligner que la rencontre est parrainée officiellement par deux groupes parlementaires, celui des Verts et celui de la European Free Alliance. 

La rencontre se propose d’attirer l’attention du Parlement européen sur la nécessité de « protéger réellement » et sans délai les citoyens européens – en instituant une commission spéciale d’enquête (ce qui est inclus dans ses prérogatives et dans ses devoirs) – pour enquêter sur des faits extrêmement graves qui, selon une vaste quantité d’indices et de preuves, menacent la santé et la sécurité physique de millions de personnes.

D’après les documents d’ores et déjà rassemblés par les organisations participantes et par de nombreux parlementaires européens de cette législature et de la précédente, l’Europe a été soumise depuis plus d’une décennie à la diffusion aussi massive que clandestine d’aérosols, dont les caractéristiques restent encore à découvrir, mais dont tout laisse à penser qu’elle est en relation avec des expérimentations liées au réchauffement climatique en cours et/ou avec les recherches américaines du projet HAARP (High Frequencies Active Auroral Research Program).

Il s’agit là d’activités qui se déroulent en dehors de toute autorisation légale, que ce soit au niveau national ou international, et sans que les populations concernées ne soient informées, le tout, en violation des principes de précaution les plus élémentaires établis par les normes internationales.

Les gouvernements nationaux, qui ont le devoir fondamental d’autoriser l’usage de leur espace aérien et de défendre la santé et la sécurité de leurs propres citoyens, nient tout simplement l’existence de telles expérimentations. D’où l’appel au Parlement européen, à sa présidence, et à tous les groupes parlementaires.

Les organisations à l’origine de cet événement fourniront une vaste documentation portant sur des faits et des recherches en cours, en lien avec une initiative déjà entreprise au Parlement européen il y a bientôt 15 ans, très exactement en 1999, lorsque la Commission des Affaires extérieures, de la Sécurité et de la Défense adopta (le 14 janvier) une résolution de la rapporteuse générale Britt Theorin qui, tout en soulignant la nécessité de réorienter en partie le budget de la Défense vers la préservation de l’environnement, dénonçait les recherches militaires – se référant spécifiquement au projet HAARP – portant sur l’étude de nouveaux systèmes d’armements visant à la modification artificielle du climat à l’aide de faisceaux de micro-ondes à ultra-hautes fréquences dirigés vers les couches hautes de l’ionosphère.

Aucune suite ne fut donnée à cette résolution. Une fois approuvée, elle termina directement sa course aux oubliettes. Entre-temps, les programmes de diffusion aérosols depuis le ciel, et le développement de nouveaux types d’armements, de contrôle des systèmes de communication (de l’ennemi, mais éventuellement aussi celui des populations locales) se sont multipliés, sans aucune transparence et sans même que les institutions ne soient mises au courant des objectifs.

MUOS-mappa-s2936-21966.jpg

Dans ce contexte, nous mettrons sur la table l’incroyable anomalie que représente le MUOS (Mobile User Observation System) de Nescemi : une base américaine (en dehors de l’OTAN) implantée au centre de la Sicile, sans que cela n’ait jamais été discuté au Parlement italien, et ayant bénéficié d’autorisations délivrées à la va-vite par la Région de Sicile au mépris le plus total des normes de sécurité pour les populations. Et l’on pourrait continuer longtemps la liste des violations de toutes les normes démocratiques ou de sécurité.

 

Le nouveau gouvernement de Sicile, après l’apparition d’une importante vague de protestation ( issue notamment du Mouvement 5 Stelle – NdT), a bloqué les travaux en cours sur la base (une zone gigantesque, équivalente à celle d’un vaste aéroport), travaux destinés à la mise en place d’un système mondial d’écoutes, de contrôle, et de détection d’ « objets mobiles », qui relierait quatre autres bases identiques, réparties sur les cinq continents, au travers d’un système de satellites géostationnaires couvrant l’ensemble de la planète.

Certaines études effectuées par un groupe de chercheurs de l’École polytechnique de Turin font cependant le lien entre la construction de quatre nouvelles paraboles mobiles – ainsi que de 40 antennes de dimensions et de fonctions variées – avec l’hypothèse selon laquelle le système MUOS serait bien plus important qu’une simple station d’écoutes, de contrôle, et de guidage (par exemple des drones, ces avions sans pilotes et dirigés à distance), mais qu’il permettrait l’utilisation d’armes d’agression d’un nouveau genre, comme par exemple des armes destinées à « aveugler » les systèmes de détection adverses.

Il est bien évident que personne ne se fait d’illusion sur l’ouverture par le Parlement européen d’une enquête visant à dévoiler des secrets militaires d’une telle portée. Mais les questions sur la sécurité des populations (questions dérivant du contrôle de la diffusion d’aérosols, appelée improprement « les chemtrails » ; celles sur le bombardement électronique auquel sont soumises les personnes se trouvant dans un rayon de 30 km de la base ; celles enfin sur l’éventualité de devenir les cibles primaires en cas de conflit militaire) doivent être versées dans le domaine public. Les paragraphes T et U de la résolution du rapport de Britt Theorin indiquaient l’obligation de revenir à un « principe de précaution ». Et les lois européennes obligent au respect de la santé des personnes.

C’est pour cette raison que parmi les orateurs à Bruxelles, on trouvera Antonio Mazzeo, le principal animateur de la protestation contre le MUOS, ainsi qu’une dizaine d’experts internationaux. Ce soir, 8 avril, à 18 h 30, le film de Michael Murphy « Why in the world they are spraying ? » sera projeté au Parlement de Bruxelles. Il s’agit d’un documentaire dont le but est de montrer jusqu’où ont été poussées les tentatives (secrètes) d’altérer les systèmes climatiques naturels, de modifier la chimie du sol, d’influer sur les structures géologiques, et de contrôler l’approvisionnement hydrologique de vastes zones de la planète.

En tout état de cause, après cette initiative à Bruxelles, ce sera plus difficile de nier l’évidence.

http://www.agoravox.fr/actualites/international/article/giulietto-chiesa-reunion-a-133885

 

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Quelle quantité d'eau rejette un avion de ligne en altitude ?

8 Mai 2013, 12:00pm

Publié par Ciel Voilé

avion chemtrail

 

Aux questions posées sur les traînées épaisses derrière les avions de ligne en altitude, les météorologues répondent invariablement : "ce sont des "contrails", nuages de vapeur d'eau glacée consécutifs aux rejets de la carburation de l'avion et des gaz chauds dans un air à -50°C.

D'après leurs explications, l'hygrométrie de l'air à ces hauteurs fait que la vapeur d'eau se transforme en cristaux de glace et ce phénomène se propage par avalanche pour donner en quelques heures ces vastes nuages laiteux persistants.

Les scientifiques de METEO-France, du CERFACS, de SAFIRE-CNRS, du CNRS-GAME,  le CORAD, le CEREA ou encore le UQAM (Québec) travaillent activement à mieux comprendre la formation de ces traînées. L'étude de Lauriane Saunier-Batté par exemple, http://www.cnrm.meteo.fr/IMG/pdf/m2_pfe_saunier.pdf  décrit l'état de l'art de la science et donne des résultats de modélisations numériques des équations thermodynamiques.

Jean-Yves VALIN du CORAD fait le constat en 2012 que s'il y a progrès sur la qualification des phénomènes, il reste en revanche des incertitudes majeures (liées à la formulation informatique des modèles et malgré l'approche multi-modèle) sur l’impact et le bilan radiatif des traînées de condensation induites

http://www.aerorecherchecorac.com/uploads/fileupload/7-05-2012/CORAC_RTE_Seminaire_2012.pdf

Depuis de nombreuses années, comme si on attendait peut-être que tout soit compris pour réagir, aucune mesure politique n'est prise et de nombreux citoyens sont excédés en voyant leur ciel quotidiennement rayé.

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Les conséquences nombreuses sur la pluviométrie, l'hygrométrie, le climat et la flore des pays survolés sont déjà très visibles et mesurées par de nombreux scientifiques. Internet, youtube, les vues satellitaires quotidiennes fournissent beaucoup d'images impressionnantes.

vue satellite

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Un nombre croissant de personnes avancent que des traînées pourraient aussi être créées volontairement à dessein militaire, voire eugénique, par substances chimiques ajoutées au carburant civil, ou par des avions de ligne modifiés par les militaires pour ces actions.

A moins que des repentis ne décrivent ces activités avec preuves, il est difficile de prouver ces thèses complotistes. Revenons donc à la réponse de nos chers météorologues.

Puisque la vapeur d'eau rejetée par l'avion est la source de toutes les souffrances de notre ciel pur, ayons-en le cœur net, posons-nous la question qui permettra de corroborer la réponse officielle.

QUELLE QUANTITE D'EAU REJETTE UN AVION DE LIGNE EN VOL D'ALTITUDE ?

On se dit intuitivement qu'elle doit être très conséquente en voyant la taille d'un avion de ligne et les vastes traînées. N'est-ce pas ?

Vérifions nos croyances avec quelques calculs simples. Les quelques étapes ci-dessous vont nous conduire au volume d'eau rejeté en vapeur par un Airbus A320 à chaque seconde de vol.

----------------- Volume d'eau rejeté à chaque seconde de vol d'un A320 ---------------

Le nerf de la guerre étant la rentabilité en vol, tout avion de ligne est optimisé par ses constructeurs pour :

1 - consommer le moins possible de kérosène par le rendement de ses réacteurs, appelé "SFC"

2 - planer le mieux possible grâce à sa "finesse" aérodynamique qui doit être maximale.

 

1 - Les réacteurs

La performance d'un réacteur se mesure avec le paramètre SFC "Specific Fuel Consumption". C'est le débit massique de carburant QC divisé par la force de poussée PREACTEUR.

 

SFC reacteur

Le daN, déca Newton, est l'unité de force. 1 daN vaut pratiquement 1 kilogramme.

La technologie actuelle des moteurs civils atteint 0,55 kg/h/daN. 

Ainsi, propulser l'avion avec 1 tonne de poussée nécessite 550 kg de kérosène par heure.

2 - Comment le A320 reste t-il à la même altitude en vol ?

Réacteurs arrêtés, l'avion plane en descendant à cause de ses frottements dans l'air, comme une voiture qui ralentit doucement en roue libre.

La performance de vol en plané d'un avion est donnée par sa finesse aérodynamique"f".

"f" représente la distance de vol avec moteurs arrêtés, divisée par sa hauteur de descente.

f a320

      

Avec une finesse comprise entre 15 et 20, mettons 17,5, un Airbus A320 peut rejoindre un aéroport à plus de 170 kilomètres en coupant ses réacteurs à 10 kilomètres d'altitude.

Pour rester à son altitude, les réacteurs poussent le A320 d'une force PREACTEURS égale à la "traînée aérodynamique" TA320 qui le freine. TA320 se calcule ainsi :

 

                                                           T a320(kg)-copie-1

La MasseA320 de l'avion évolue en vol entre 70 et 50 tonnes avec 25 m3 de kérosène. (Wikipedia). Pour 60 tonnes en moyenne, la poussée PREACTEURS atteint 3430 kg

Consommation de kérosène du A320 en vol

Connaissant poussée et paramètre SFC, 0,55 kg/h/daN, nous calculons facilement la consommation de carburant par heure des réacteurs QC/h d'un A320 en vol :

Q c h

La masse carburant brûlée en vol par un A320 en croisière est de :

1,88 tonne de kérosène par heure

Notons que poussée et consommation sont indépendantes du nombre de réacteurs, ce sont des données avion.

Un peu de chimie maintenant : Combustion du kérosène dans les réacteurs

Souhaitant connaître la quantité d'eau rejetée par le vol du A320, examinons l'équation chimique de la carburation dans les réacteurs.

La composition chimique moyenne du kérosène est C10 H19,27.

La masse molaire du carbone C est 12 et l'hydrogène H de 1.

La masse molaire MEAU de l'eau H2O vaut 18 g/mol.

La masse molaire moyenne du kérosène MK vaut :

M k

Lors de la combustion, le kérosène réagit avec l'oxygène atmosphérique et rejette eau et gaz carbonique selon l'équation :

                                                      

combustion-chimique-ok.jpg

 

 

10 carbone C se combinent avec l'oxygène de l'air en 10 molécules de gaz carbonique CO2.

19,27 hydrogène H se combinent avec l'oxygène en :  fraction-texte.jpgmolécules d'eau H2O, la combustion de 1 molécule de kérosène dégage donc n =fraction texte = 9,635 molécules d'eau. Partant du débit massique de kérosène QC/h, le

 

débit massique d'eau Qeau rejeté atteint :

Q eau

                             .                      
 

Calcul effectué, le poids d'eau rejeté par heure de vol est de :

 

2,35 tonnes d'eau en vapeur par heure de vol

Avec sa masse molaire MCO2=44 g/mol, calculons aussi en passant le poids de gaz carbonique rejeté en vol du A320 pour quantifier ses gaz à effet de serre et juger de sa propreté.

 

Q co2  = 2,78 tonnes CO2 par heure

 

Remarque importante :

En réalité, la proportion de kérosène /air dans un réacteur d'avion n'est pas optimale en terme de proportions. Une combustion optimale provoquerait en effet une température interne du réacteur de 2500°C. Il fondrait car on ne sait pas faire technologiquement des matériaux résistants à cet environnement extrême.

Pour fonctionner sans trop chauffer, la quantité de kérosène est donc réduite, ce qui a pour effet de réduire la quantité d'eau rejetée à chaque seconde de vol calculée au dessus.

VOICI LA REPONSE : Eau rejetée sous forme de vapeur par un A320 en altitude

A 10 kilomètres d'altitude, l'air est raréfié au dixième de la pression au sol. Un avion civil à réaction vole vite. Ils volent à peu près tous à 900 kilomètres/heure, soit 250 mètres par seconde.

Pour terminer notre calcul, voyons le rejet en eau d'un A320 non plus par heure, mais par seconde et par mètre de vol.

Par heure                    2340 kg

Par seconde               650 grammes

Par mètre de vol       2,6 grammes = une cuillère à café d'eau vaporisée ...

Et nous ne tenons pas compte du régime appauvri pour éviter la surchauffe du réacteur qui réduit par conséquent l'émission d'eau ...

Mais alors mais alors ... comment une cuillère à café d'eau ajoutée à l'air chaque mètre de vol provoque-t-elle de tels nuages, persistant plusieurs heures ?

La question qui s'impose immédiatement est :

 Quel VOLUME de nuages génère la cuillère à café d'eau à chaque mètre de vol ?

Comme un avion vole à 250 mètres par seconde, la mesure de largeur de traînée est très simple. Elle consiste à compter 4 secondes en regardant un avion voler dans la région du ciel où l'on veut estimer une dimension pour visualiser 1 kilomètre à son altitude, comme montré ici.

n5 mesure chemtrails

Quelques dizaines de minutes après le passage de l'avion, nous mesurons fréquemment une largeur de traînée L de 2 km.

En supposant que le nuage a une hauteur verticale H de 50 mètres (valeur certainement sous estimée), le volume de traînée généré par l’avion par mètre de vol atteint :

            V trainee

= 100 000 mètres cubes de nuage à chaque mètre de vol !

Dit autrement, à chaque seconde de vol cette fois, 650 grammes d'eau rejetés sur 250 mètres créent un volume de 25 millions de mètre cube de fumée et cristaux de glace, soit un cube de 300 mètres de coté !

CONCLUSION :  Touche Pas à Mon Ciel Bleu

 

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Aïe ! Aïe! Aïe ! ... nous regardons les traînées dans le ciel, puis les cuillères à café d'eau déclarées responsables officielles, re-regardons le ciel … puis le volume estimé des traînées persistantes ... puis … puis … ça colle vraiment très difficilement ...

Les météorologues nous répètent qu'il s'agit de vapeur d'eau mais nous ne comprenons pas du tout comment des cuillères à café d'eau provoquent un tel dégât aussi blanc sur fond de ciel bleu ?

La carburation des réacteurs serait-elle désastreuse à ce point ? Les équations montrent que non.

Y aurait-il des liants chimiques, des résines, des particules polymères, nanométriques ou autres "additifs" ajoutés au kérosène ?

Y aurait-il des avions militaires spécialisés dans l'épandage de substances fumigènes ou délétères pour modifier le climat, disperser des virus, et pourquoi pas des déchets radioactifs ?

CONCLUSION ECOLOGIQUE

Le trafic aérien doit être de toute urgence reconsidéré.

Notre SOLEIL est le seul moteur qui alimente - photosynthèse, évaporation, pluies, rivières, flore, faune, insectes - avec 1 kilowatt envoyé sur chaque m² de la planète Terre. 

Son absorption répétée en altitude par les ciels voilés dérèglera définitivement la prodigieuse horloge biologique complexe de la Vie sur la planète, réglée depuis des millénaires, bien avant que nos « savants » aient réussi à « modéliser » les traînées polluantes !

Aussi devrions-nous tous exiger que :

- nos "spécialistes" nous expliquent comment des cuillères à café d'eau rejetées dans un air à -50°C peuvent générer ces millions de mètres cube d'indésirables nuages bien trop souvent visibles désormais ?

- nos "politiques" règlementent aussi sévèrement que les contrôles techniques de nos véhicules terrestres le rejet de cuillères à café d'eau en altitude afin de retrouver rapidement nos beaux ciels bleus.

Signé … un Citoyen Ecologique

 Annexe : Organismes officiels cités  

METEO-FRANCE

42 av Gustave Gaspard Coriolis

31100 TOULOUSE

Centre national recherches météorologiques :                      05 61 07 90 90

Ecole nationale de la météorologie :                                        05 61 07 90 90

Service central d'exploitation de la météorologie :                 05 61 07 80 80

http://france.meteofrance.com

 

CERFACS                                                                                         05 61 19 31 31

Centre Européen de Recherche et de Formation Avancée en Calcul Scientifique

42 av Gustave Gaspard Coriolis

31100 TOULOUSE

http://www.cerfacs.fr/ 

 

SAFIRE-CNRS / Météo-France-CAM                                            05.34.57.23.01

Service des Avions Français Instrumentés pour la Recherche en Environnement

Avenue du Général Barrès    B.P. 20034      

31270 CUGNAUX

http://www.safire.fr/web/index.php?option=com_content&view=article&id=13%3Alatr42&catid=4&Itemid=9&lang=fr

 

CEREA

 

CEREA Centre d'Enseignement et de Recherche en Environnement Atmosphérique

Laboratoire Commun École des Ponts ParisTech et EDF Environnement  (crée en 2003)

6-8 avenue Blaise Pascal                                                       01 64 15 21 57    

Cité Descartes

Champs-sur-Marne 77455 Marne la Vallée Cedex 2

http://cerea.enpc.fr/fr/

 

CNRM-GAME                                                                   05 61 07 93 70

Centre National de Recherches Météorologiques 

Groupe d'Etudes de l'Atmosphère Météorologique

42, avenue Gaspard Coriolis

31057 Toulouse Cedex 1 France

http://www.cnrm.meteo.fr/spip.php?article15

 

CORAC - Conseil pour la Recherche Aéronautique Civile Française

Issu du grenelle de l'environnement en 2008

http://www.aerorecherchecorac.com/medias/presse/index.html

 

UQAM                                                                                  (514) 987-3000 poste 3302

Groupe des Sciences de l'Atmosphère  Faculté des Sciences Université du Québec à Montréal

Case postale 8888, succursale Centre - Ville

Montréal (Québec) Canada  H3C 3P8

http://www.sca.uqam.ca/contact.html

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