Ciel Voilé
« Mais l'esprit est un élément mystérieux. Insaisissable et invisible comme l'air, il semble s'adapter docilement à toutes les formes et à toutes les formules. Et cela pousse sans cesse les natures despotiques à croire qu'on peut le comprimer, l'enfermer, le mettre en flacons. Pourtant toute pression provoque une contre-pression, et c'est précisément quand l'esprit est comprimé qu'il devient explosif: toute oppression mène tôt ou tard à la révolte. À la longue, et c'est là une éternelle consolation, l'indépendance morale de l'humanité reste Indestructible. Jamais jusqu'ici on n'a réussi à imposer d'une façon dictatoriale à toute la terre une seule religion, une seule philosophie, une unique conception du monde, et jamais on y réussira, car l'esprit saura toujours résister à l'asservissement, toujours il refusera de penser selon des formes prescrites, de s'abaisser, de s'aplatir, de se rapetisser et de se mettre au pas.» Stefan Zweig
Cristian Terhes sur la dictature canadienne
Tests - vaccins - pass : fabrique de la panique et braquage des comptes publics
Publié le 22/02/2022 à 12:40 – Pierre Lécot – France Soir
TRIBUNE — Cela fait deux ans que la crise du coronavirus a démarré. De différentes manières, nous avons montré sur cette chaîne que la mortalité depuis 2020 en France et en Europe est finalement dans la norme de la décennie, et que les hôpitaux sont finalement loin d’avoir été saturés en 2020, services de réanimation compris.
La psychose qui dure depuis deux ans n’est donc pas maintenue à cause d’une surmortalité, ou d’un surnombre d’arrivées à l’hôpital, mais uniquement en faisant le compte de “cas Covid”. Ces “cas Covid” sont des personnes déclarées porteuses du virus de la Covid, dans l’ensemble de la population, dans l’ensemble des hospitalisations et dans l’ensemble des décès. Ce n’est qu’une fraction de l’ensemble des habitants, de l’ensemble des hospitalisations et de l’ensemble des décès. Nous avons d’ailleurs montré que l’ensemble des hausses de mortalité que nous observons depuis deux ans ont lieu soit pendant les périodes de hausse de mortalité habituelles, soit après la mise en place de mesures qui ont eu pour impact d’arrêter de soigner correctement les Français. Nous avons, grâce aux différents rapports de Santé Publique France ou de l'ATIH, de plus en plus de données officielles donnant le nombre de décès à imputer à ces mesures.
Grand Jury jour 2
L'UE investit des milliards dans le graphène
Divizionair : les cabinets de conseil privés
Christopher Cole de la FDA à propos des vaccins anticovid
Le Pr Raoult à propos du vaccin anticovid
"Les Infiltrés": l’ouvrage qui expose au grand jour la connivence entre État et cabinets de conseil
Publié le 21/02/2022 à 12:10 Auteur(s): FranceSoir
Dans « Les Infiltrés », ouvrage publié chez Allary éditions ce 17 février, Matthieu Aron et Caroline Michel-Aguirre, grands reporters à L’Obs, révèlent le détail d’un système qui s’est mis en place progressivement au cours des quinze dernières années en France : l’abandon des missions stratégiques de l’État à des cabinets de conseil, pour la plupart anglo-saxons. Tous les secteurs sont concernés : la Santé, l’Éducation, mais aussi des plus sensibles comme celui de la Défense. Une omniprésence des grands cabinets de conseil américains qui selon les auteurs, en plus de coûter au contribuable français des sommes faramineuses pour des résultats souvent médiocres, soulève des craintes liées la souveraineté et la sécurité de la France.
Des dépenses gardées confidentielles
Matthieu Aron et Caroline Michel-Aguirre ont passé de longues journées à éplucher les milliers de contrats relatifs aux conseils sur la refonte des services publics, la rationalisation du système de santé, etc. Leur conclusion : chaque année, les sommes versées aux cabinets de conseil oscillent entre 1,5 et 3 milliards d’euros. Une dépense annuelle très élevée, qui ne peut néanmoins être déterminée précisément, puisque les ministères ne communiquent pas sur leurs frais en consultation.
C’est pourquoi, en mai 2021, les deux journalistes se sont adressés à Amélie de Montchalin, la ministre de la Transformation et de la Fonction publiques, chargée de superviser les plus importants marchés, pour connaitre le montant exact de ces dépenses. Sa réponse : elle n’en sait rien…
Pourtant, il y a matière à creuser. En janvier 2021, le grand public découvrait l’existence du cabinet McKinsey à la suite des révélations du site d’information Politico. Le ministère de la Santé avait fait appel à ses services en vue de l’épauler dans l’organisation logistique de la campagne vaccinale contre le Covid-19, qui n’en était alors qu’à ses balbutiements, apprenait-on. Une information confirmée par le Canard Enchainé, puis Gabriel Attal. La nouvelle de la coordination de la campagne vaccinale par un cabinet américain laissera place, dès le lendemain, à une autre information choc, rapportée par l’hebdomadaire Le Point : le cabinet facture à l’État ses services relatifs à la gestion vaccinale à deux millions d’euros… par mois.
Les masques pourraient générer des cancers : l'avocat Jean-Pierre Joseph lance une procédure
Publié le 20/02/2022 à 21:30 - Mise à jour à 21:54
ENTRETIEN — Avec l’avocat au barreau de Grenoble et doyen de l’Ordre, Jean-Pierre Joseph, cette fois au sujet de la procédure qu’il a lancée contre le défaut de marquage de la composition sur les boîtes de masques commercialisées. Certains masques ne présenteraient pas leur composition et ceux contenant du graphène pourraient être extrêmement nocifs pour la santé.
Pourquoi lancez-vous cette procédure ?
Il y a quelques jours, des Grenoblois achetaient des boîtes de masques dans une grande surface de l'agglomération de Grenoble. Comme ils ont entendu dire que certains masques contenaient des nanoparticules d'un produit toxique, lorsqu'ils sont rentrés chez eux, ils examinaient les boites et leur contenu : à leur grande surprise, ils constataient qu'il n'existait aucune étiquette concernant la composition de ces masques. Il était donc impossible de savoir si ceux-ci contenaient un produit toxique ou non. Ils m'ont donc demandé d'intervenir en justice, afin de contraindre les vendeurs à indiquer la composition des produits sur les emballages.
Sur quel fondement juridique vous appuyez-vous ?
Il existe aujourd'hui une réglementation concernant l'étiquetage et le marquage des produits textiles : le règlement U.E. n° 1007/2011 du Parlement européen et du Conseil du 27 sept. 2011, ayant donné lieu à une communication de la Direction générale de la concurrence du 9 octobre 2020 : "[...] L’étiquette de composition est obligatoire et doit être fixée sur le produit. Elle doit être lisible et rédigée en langue française. Elle donnera le pourcentage des différentes fibres textiles composant le vêtement, voire des différentes parties si elles sont de compositions différentes..."